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The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

vendredi 05 septembre 2014, 22:33:44

[THEKOS METROPOLIS]
[BIOGENIX TOWER]
[ÉTAGE N° 147: TECHNO-SOLDATS]
[14H37 HEURE MÉTROPOLITAINE]



Dans le froid glacial d'une cellule cryogène, Irina dort d'un sommeil sans rêve, le corps inerte et enchevêtré dans sa prison mécanique. Les ténèbres de la pièces reflètent à merveille la profondeur abyssale dans laquelle baigne sa conscience. Seulement accompagnée par le ronronnement incessant de la machine qui l'entrave corps et âme. 


[Protocole de réanimation Cryo-chambre n°13 - SUJET 2501]

La voix mécanique brise le silence de la pièce. Une lumière jaune commence à se déverser de toute pare jusqu'à ce qu'elle imprègne les lieux d'une ambiance tamisée. Les faisceaux lumineux mettent  en valeur les courbes de la Cyborg emprisonnée dans sa camisole cryogénique. Sa peau bleutée par le froid intense exhale une vapeur givrée, son visage masqué fixe les ténèbres. Ses lèvres à demi ouvertes sont figées dans le gémissement de douleur qu'elle endure à chaque fois qu'elle sent son cerveau se déconnecter et les fibre de sa chaire geler.


[Mission prioritaire]
[Mise en place immédiate du protocole de décongélation du sujet 2501]

Le carcan d'acier d' Irina commence à luire d'un jaune fade, les ronronnements de la machine s'intensifient. Petit à petit la peau de la Cyborg recommence à prendre une teinte blanche, puis rose, avant de reprendre sa couleur naturelle. Les lèvres d' Irina se mettent à trembler, elle termine son gémissement interrompu des semaines plus tôt par la stase. Elle dodeline de la tête, toujours perdue dans les ténèbres de son masque. Mais à peine commence t'elle à reprendre connaissance que déjà le serveur de mission bombarde son cerveau d'ordres et d'informations diverses pour son bon déroulement. Elle se contracte et tente de résister, mais son esprit embrumé est encore trop faible pour se défendre. Les suggestions hypnotiques commencent à déferler sous le bandeau qui l'aveugle et dans les écouteurs profondément enfoncés dans ses oreilles. Très vite elle craque et ses yeux s'écarquillent d'eux même pour emmagasiner les images et paramètres de sa traque. Elle se débat faiblement, mais le trône d'acier la retient immobile le temps que le lavage de cerveau s’opère et que toute trace de rébellion disparaisse. Ses implants cérébraux réajustent les signaux de ses neurones et son équilibre hormonale, progressivement elle se détend et soupire, un filet de salive ruisselle le long de ses lèvres.

[Processus de transfert Ordres de Mission: 100%]
[Processus de transfert Informations relatives à la Mission: 100%]
[Réinitialisation de la mémoire: 100%]
[Lavage de cerveau: 100%]
[État sujet 2501: Docile]
[/color]

Les grandes plaques d'acier qui entravent ses mains et ses pieds se séparent, Irina se redresse, des bras mécaniques sortent du trône pour lui enlever le dispositif de contrôle mental. Elle descend de sa prison d'acier et avance vers la chambre d'armement. Une multitudes de petits bras mécaniques commence à s' afférer autour d'elle pour "l'équiper". Surprise, elle constate que jamais auparavant, elle n'avait reçu un tel arsenal.


[Nom de la proie: L U D Y A]
[Conditions de capture: vivante / Pas d’altération génétique / Pas de dollification]
[Nature/Race: Inconnue]
[Danger: Extrême]
[Raison: capacités naturelles importantes, force et résistance exponentielle, victime d'expérience en bio armement et nanotechnologie primitives]
[Arsenal déployé: "Préjudice Extrême"]

Irina tic en découvrant que sa proie avait, comme elle, été victimes d'expériences horribles. Mais elle ne parvient pas à affronter le conditionnement, et quand le serveur de lancement annonce son habituel: "Lancement de la Mission", elle se contente d'activer son module ARPENTEUR, et instantanément son corps se volatilise.

[ALENTOURS DE LA VILLE DE SEIKUZU]
[19H10 HEURE TERRIENNE LOCALE]           
[DÉBUT DE LA MISSION]


Irina était arrivée au bon endroit... Il ne lui restait plus qu'à trouver le bon moment pour atteindre sa cible, ce LUDYA finirait bien par se montrer, la traque serait courte cette fois...

[437 JOURS PLUS TARD]

La traque du jeune extra terrestre avait virée à l'obsession.
Irina n'en dormait plus la nuit, même les mise en veille que lui imposaient ses implants neuraux ne parvenaient pas à la purger de sa frustration et de ses envies. C'est qu'elle en avait apprise des choses sur sa proie en plus d'une année de chasse compulsive. Elle avait découvert sa nature véritable, son histoire et avait pleurée pour lui comme pour elle, frappée par la similitude de leur destins et la cruauté de ceux qui les avaient utilisés comme cobaye. Sauf que lui avait eu le pouvoir de s'enfuir, elle... et bien elle n'avait qu'à se regarder dans une glace pour voir qu'elle n'avait pas réussie...Elle était devenue la poupée parfaite de BIOGENIX; à demi consciente, parfois consentante, esclave des désirs de la firme.
Irina avait trouvée des photos de lui avec sa famille, sa beauté et son sourire enfantin l'avait troublée au plus profond de son être. Et petit à petit l'instinct du prédateur s'était changé en désir de rencontre. Elle voulait le connaitre, lui parler, savoir qui il était. Mais la proie était vraisemblablement rusée car jamais elle ne se laissait prendre, jamais elle ne tombait dans ses pièges. Le bel Abyssien semblait se comporter de manière totalement chaotique, il était impossible de monter un plan basé sur la logique pour l'attraper, et c'était bien pour cela que la Cyborg ne parvenait pas à le capturer.

Puis, un jour, elle était enfin parvenue à l'acculer, mais alors qu'elle le pensais déjà pris dans ses filets, il avait révélé ses véritables capacités. Le combat qui avait suivit n'avait pas tourné à l’avantage de la techno-soldate... Elle l'avait vue dans toute sa magnificence, son corps puissant aux muscles gonflés, son odeur musquée, son regard de braise, sa voix et ses cris d'effort alors qu'il frappait. Elle en avait vibrée, elle s'était sentie vivre à nouveau, jouir de ce combat où elle pouvait le toucher. Elle s'était imaginée dans d'autres circonstances, leurs deux corps s'entrechoquer dans la recherche du plaisir et non de la mort. Sa voix grondante et animale feuler en jouissant alors qu'il la prendrait...
Mais ce fantasme n'avait pas pu se réaliser, il l'avait frappé si fort qu'elle en avait perdue l'équilibre et l'usage de ses jambes pendants quelques secondes. Il s'était enfui sans demander son reste.

Les semaines qui suivirent avaient été abominables, Irina ne parvenait plus à réprimer son imagination débordante et son désir primal. Les scientifiques de BIOGENIX avec leurs traitements hormonaux et leur chirurgie brutale l'avaient rendu nymphomane, et elle avait besoin de sa dose de sexe pour garder le contrôle. C'était un ingénieux moyen pour la firme de s'assurer qu'elle accomplisse ses mission d' escorte girl avec passion. Mais en l’occurrence, une année d'abstinence pour attraper LUDYA était en train de la rendre folle.


[QUELQUE PART DANS LE CERCLE ARCTIQUE]
[12H09 HEURE TERRESTRE LOCALE]


[40 JOURS PLUS TARD]

Cette fois c'est la fin, elle le tient. Celui qu'elle n'appel désormais plus "sa proie" mais LUDYA a commit une dernière erreur en se rendant dans une contrée aussi froide malgré la faiblesse de sa race pour ce type d'élément. Irina ignore pourquoi il s'était rendu dans cette grotte perdue au milieux de l' Antarctique mais ce devait être important pour qu'il quitte la sécurité propre à l'immense ville de Seikuzu. De toute façon son esprit bouillonnant de désir ne parvenait plus à chercher autre chose que la satisfaction de s'emparer de Ludya pour le soumettre à sa loi.

Elle y pénètre à son tour, elle marche dans les ténèbres sur plusieurs centaines de mètre avant d'arriver sous un grand dôme de glace, avec en son centre une strate de permafrosts que LUDYA avait commencé à creuser avec acharnement.
Elle prépare son piège astucieusement, profitant de son camouflage optique pour poser des charges explosives sur la croute de glace qui tapisse le sol de la grotte. Elle est si excitée que ses mains en tremblent, mais pas asse pour commettre une erreur fatale. Cette fois-ci il n'en réchapperait pas, elle allait enfin l'avoir pour elle toute seule !

Une fois sa toile d’araignée parfaitement bien tendue autour de son Abyssien, elle empoigne son fusil à lunette et vise son biceps puissant. Elle tire et lui plante une petite fléchette anesthésiante. Cela n'avait eu aucun effet la fois précédente mais peut être cela jouait il tout de même un peu sans qu’elle le sache. Dès qu'il sent la piqure de l'aiguille il se retourne, furieux.  De manière théâtrale Irina dissipe son camouflage optique et se révèle à lui dans sa combinaison moulante dont le blanc et le bleu se fondent fort bien avec la glace. Elle lâche son fusil par terre.

Irina - Bonjour Ludya... tu n'imagine pas à quel point tu m'as manquée...

Et sans dire un mot de plus elle lui montre le détonateur, et l'actionne. La glace sous leurs pieds explose et se fend en d'immenses radeaux flottant sur une mer gelée.


Elle éclate d'un rire fou et se jeter dans la bataille.
« Modifié: samedi 06 septembre 2014, 11:09:10 par Irina Tarkovskaya »

Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 1 samedi 06 septembre 2014, 11:16:31


Si Irina avait tant de mal à attraper Ludya tout ce temps c'est bel et bien avant tout à cause de son éveil et de sa curiosité à tout voir et être interessé par tout et n'importe quoi, il accusait un certain retard de maturité et d'apprentissage, une envie très vive d'apprendre qui le rend assez perturbant et inégal dans ses centres d'interêt, il était difficile encore de dresser un portrait psychologique adéquat où exact chez une personne qui se développe encore, qui s'intéresse à tout et n'importe quoi et Ludya rattrapait ce retard comme il le pouvait avec tout ce qui était à portée de ses yeux ! On pourrait dire qu'il procrastine d'un centre d'interêt à l'autre tout comme on ère sur internet d'une page à l'autre en cliquant sur l'un, puis l'autre lien qui vous paraît tout à coup intéressant où attiser votre curiosité, en retirer quelques minutes, parfois heures de lecture et apprendre certaines choses puis passer à une autre. Il lui fallut un long moment à le suivre, à presque perdre sa trace par moment avant de réaliser qu'il n'était pas l'être aussi psychologiquement -dérangé- où instable, dangereux dont on lui avait dressé le portrait, plutôt un gosse hyperactif toujours en proie à sa propre impressionabilité face à peu de choses. Et c'est bien ça en fin de partie qui le rendait si difficile à localiser, à cerner.

Ca et aussi... quelques voyages hasardeux entre cette dimension et celle de Terra à des moments complétement innoportuns qui lui firent peut être s'arracher les cheveux, la pauvre !

Maintenant qu'il y repense... Par moments il avait senti cette étrange présence partout où il allait, cette impression d'être observé... Ca n'arrivait pas tout le temps, tout un temps il associa sa chance insolente d'être parvenu à rester libre sur terre après sa fuite du centre de recherche à la présence d'une sorte d'ange gardien qui veillait sur lui. Mais il ne pouvait pas se trouver d'avantage que ça dans l'erreur... Parce que même qu'a un moment il avait cru qu'on le cherchait oui... C'est stupide, il s'était imaginé que peut être c'était un parent, quelqu'un de sa vraie famille, sa véritable mère peut être même... Qui s'était mise à sa recherche où qui veillait sur lui de loin comme ça. Alors oui il s'était mis à imaginer des tas de choses pendant des mois, et trouvait même un peu cruel qu'elle entre pas en contact avec lui mais croyait dans le fond de son coeur qu'elle était toujours là avec lui.

Quand elle se dressa devant lui pour lui barrer la route, l'illusion de rêves et sentiments purs volèrent en éclat, surtout lorsqu'elle annonça vouloir le capturer, le ramener pour le compte d'un autre type de laboratoire. Une profonde déception se mêla à une épouvantable rage et elle avait peut être fait l'erreur de le sous estimer à se montrer comme ça pour lui rentrer singulièrement dedans. Elle avait sauté sur l'occasion de peur de perdre sa trace une fois de plus, elle croyait sans doute ne pas disposer d'assez de temps, et se savait pas encore préparée.

Il la laissa sur place ayant pas le coeur à l'achever, en fait sa condition étrange l'avait touché et peiné lui aussi elle n'était plus vraiment une humaine, il sait pas ce qu'elle était mais, jamais aucun humain n'aurait été aussi résistant et capable d'encaisser ses coups sans que leur corps ne se pulvérise. Quelque part au fond de lui, la regardant répéter ses ordres de mission alors qu'elle essayait encore de se trainer, ramper vers lui et voir son regard luire de frustration, de colère et de peine brisées en s'éloignant d'elle lui donnait l'impression qu'elle était prisonnière de quelque chose. Et elle n'avait pas l'allure non plus d'une bête demandant à être achevée. Mais libérée. Encore... Au fond de ses petits coeurs d'Abyssian... Il comprenait à son incroyable force et sa volonté qu'elle devait avoir subi des choses horribles pour être devenue si forte. Il avait peut être pas idée de ce qu'elle avait du traverser.


Dans ses errances, Ludya avait appris qu'une source d'énergie inconnue avait été réveillée le jour de son arrivée sur terre, loin très loin dans le grand nord, des avaries météorologiques et des disparitions de couche glaciaire supérieure avaient tout un moment formé des galeries sous la glace, une expédition scientifique s'étant intéressée au phénomène avait même complétement disparu depuis des mois, les secours n'avaient pas pu s'approcher de la zone de recherche car la météo était très turbulente, capricieuse, de larges trombes de tempête de glace encerclant le lieu.

Cette fois Ludya avait mis un pantalon ! Et des grosses bottines rembourrées de fourrures à l'intérieur. Même une paire de gants. Ca caillait ici, les turbulences atmosphériques permettaient pas qu'il utilise son vaisseau si loin puis il avait pris l'initiative d'aller à pied pour ne laisser que peu de traces. Et d'une façon assez étrange à pied les turbulences atmosphériques se dissipaient un long moment autour de lui pour le laisser passer. Il avait fini par apprendre qu'il était possible que certains anciens artéfacts Abyssians avaient du être enfouis pas loin d'ici il y a des milliers d'années, et dans sa quête pour retrouver les siens où quelques fragments de ses origines il s'était perdu jusqu'ici, bravant ce qu'il redoute le plus, la glace et le froid.


C'était tellement beau à l'intérieur des galleries, on aurait dit que la glace était si polie par l'érosion de milliers d'années qu'elle paraissait être comme du cristal, à certains endroits sa pureté permettait de voir à quelques mètres au travers d'un aquarium où des anciens types de crustacés et poissons si vieux et si différents de ceux d'aujourd'hui qu'on dirait presque eux même des extra terrestres, ont été figé dedans à jamais. Des larges stalactites et stalagmites de glace décorait le coin des galleries, parfois elles étaient disposées en impressionnante batteries de part et d'autre de parois semi circulaires, on aurait presque dit la mâchoire d'un requin géant. A d'autres moments l'écoulement d'eaux ont sculpté à même la glace d'intéressantes formes, ici on aurait dit que le tronc d'un très vieux chêne enlaçé de lianes de glace passait au travers du plafond et du sol, là la silhouette d'un homme assise qui aurait l'air de s'apesantir sur un trone.


Chose étonnante il ne faisait pas sombre du tout, comme si la glace reflettait la luminosité extérieure depuis le début des galleries où d'autres endroits, certaines parois étaient même aveuglantes de luminosité. Quand Ludya arriva près d'une cavité dans ce grand dôme de glace il ressentit quelque chose... Un truc particulièrement aigu et aveuglant à ses sens, lui donnant la nausée sur une très courte durée. Ca provenait de là dessous... Quelque part sous la glace. Il y était presque !

Il se mit à creuser, à mains nues, cherchant, fouillant, sachant pas exactement à quelle profondeur mais il savait que c'était là dans cette direction légèrement en diagonale, en bié vers le fond de la calotte glacière. Il était pas conscient des forces qui se jouaient ici à creuser la glace en augmentant la température de ses mains si ça se trouve tout allait lui tomber dessus ! L'inconscient, il y pensait même pas une seconde !

Quelque chose le stoppa net dans son entreprise, une démangeaison, un truc au bras... Il regarde un temps en clignant les yeux à plusieurs reprises pensant avoir des hallucinations et voit une seringue plantée dans son bras ! UNE SERINGUE ?! Il la retire puis l'éclate avec sa main pressée dessus, se retournant effectivement assez rapidement après ce coup en traitre !

Bonjour Ludya... tu n'imagine pas à quel point tu m'as manquée...

Mais... C'est... Je... Je te reconnais toi... Qu'est ce que tu f... ?!!


Elle vient d'appuyer sur un truc il a pas eu le temps de comprendre ! Plusieurs explosions ?! La glace à différents endroits du dôme, commence à fêler et tombe, disloquant plusieurs grosses plateformes glissant dans une strate inférieure du glacier dans des rapides !

IIIiiiiiiiiiiiiik !? Des rapides... Des rapides sous la calotte glacière ! Quelle dinde celle là pourquoi elle à fait ça ?! Elle est tarée ?! Il est terrifié par la situation, les radeaux de glace tombent dans une sorte de large rivière, où plutôt des rapides sous terrains et commencent à tanguer tout en entrant en mouvement, formant des plateformes mouvantes pas toujours très stables, certaines d'entre elles raclent parfois contre les rebords puis reviennent percuter les précédentes formant à intervales irrégulières des chemins de glace qui se disloquent et reforment des îlots séparés.

Elle à disparu ? Enfin c'est ce qu'il croit sa combinaison la rend très difficille à repérer avec toutes ces nuances de bleu et de blanc glace il est prudemment resté sur sa plateforme de départ. Il arrivait pas à croire qu'elle l'ait suivi jusqu'ici, il arrivait pas à croire qu'elle l'ait suivi encore tout ce temps non plus ! Cette fois ci elle avait attendu qu'il soit vraiment dans une position délicate pour tendre son piège. Heureusement il avait un accessoire de sécurité sur ses bottines, des gros crampons pointus pour l'escalade dans la glace, ça le rendait assez stable sur les ilôts mais il était quand même pas à l'abri d'une glissade où d'un retournement de plateforme. Car certaines d'entre elles percutaient des obstacles glacés dans les différences de niveau des rapides, sautaient puis retombaient dans les eaux, fallait faire attention à pas mal de trucs à la fois !

Il saute d'une plateforme à l'autre, sentant déjà quelques uns de ses doigts s'engourdir dans le bras qu'elle à visé, ouvrant et fermant son gant, ses yeux se portent sur les autres plateformes pour déceler sa silhouette, elle doit bien apparaître à un moment où a un autre, sa combinaison furtive doit pas apprécier les goutelettes d'eau glacée qui sont projetées entre deux entrechocs de plateformes. Quand il saute d'une plateforme à l'autre il met un coup de talon assez puissant pour obliger la plateforme d'où il vient de sauter à faire un tour sur elle même avant qu'elle puisse se stabiliser, s'assurant qu'elle provienne au moins pas de derrière lui !

Je vais bien finir par te trouver ! Si il faut je casserai tout ! T'auras plus nulle part où poser ton pied !



« Modifié: samedi 06 septembre 2014, 18:10:11 par Ludya »

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 2 samedi 06 septembre 2014, 20:20:01

Irina le regarde faire comme une araignée juchée sur sa toile, admirant les ailes du grand papillon qu'elle va bientôt dévorer. Elle le regarde bouger, sauter, elle admire sa musculature d'acier se contracter, totalement indifférente au chaos de leur progression sur les rapides. Elle saute avec une dextérité invraisemblable de bloc en bloc, même les plus petits lui permettent de poser le pied et s'élever à nouveau.
Ses implants cérébraux calculent en temps réel leur progression sous la glace et scannent les profondeurs du permafrost pour en dessiner une carte.
Dans quelques kilomètres, ils atteindront un autre dôme de glace où les eaux seront calme et peu profondes.

Elle devait l'affaiblir le plus possible avant d'y parvenir, et une fois qu'ils y serait, elle lui offrirai le plus merveilleux bain de minuit qu'il ai jamais eu...
Irina glousse d'anticipation, son imagination surchauffée commençant déjà à produire de merveilleux fantasmes. Elle le regarde frapper en tout sens dans une tentative veine de la faire sortir de sa cachette.

Ludya - Je vais bien finir par te trouver ! Si il faut je casserai tout ! T'auras plus nulle part où poser ton pied !

Soudain, la voix suave et langoureuse d' Irina se fait entendre juste derrière son dos, comme le souffle de délectation d'une succube avant son repas.

Irina - Toi non plus...

Elle lui donne un violent coup de pied dans le bas des reins, sa force est titanesque, incroyable quand on voit la stature et la fragilité apparente de la Cyborg.  Profitant de son coup déstabilisant elle lui jette une poignée de poussière argenté qui se colle instantanément à sa peau et lui provoques de petits picotements électriques.

Irina - Cette fois ci il n'y aura que moi qui jouera avec ses nanomachines mon amour !


Mon amour ? Pourquoi ais je dit ça ?


Elle ne le comprenait pas elle-même, c'était sorti comme ça, naturellement, et c'était très plaisant à dire. Pendant ce temps la les micro dis-rupteurs qu'elle lui à jetté sur le dos commencent à envoyer de petites décharges électrique dans son corps. Il ne ressent qu'un léger fourmillement mais en revanche les nano machines archaïques qui peuple sont sang sont comme bombardées d'ondes électromagnétiques.

Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 3 samedi 06 septembre 2014, 21:38:34



Elle, elle était là ! Non, là bas... Il a cru la voir... Ce n'était que l'ombre d'un pas sur la glace... Il change de plateforme quand il à l'impression qu'elle doit se trouver à moins d'une de lui ! Mais il ne peut pas être sûr. Elle se déplace très rapidement comme si elle connaissait déjà les fluctuations du changement de niveau et du retournement des plateformes à l'avance ! Il n'avait pas de super ordinateur en tête ni de sonar de ce genre pour être au courant lui, GRRrrr ! Elle triche ! Il est capable d'anticiper à l'avance sur une cinquantaine de mètres peut être, en amont mais son regard doit se déporter pour ça. Le temps même de regarder vu la vitesse a laquelle elle se déplace elle finirait par le rattraper tôt où tard !

Et ses craintes se cristalisèrent lorsque surpris, il entendit sa voix troublante, chargée d'une aura lascive et succubique parvenir depuis très près, trop près de lui, dans son dos ? Près de son oreille ?! Hein !!

Irina - Toi non plus...

OuRGr !

Il est rare qu'il ait eut à encaisser un choc comme ça, dans le bas du dos elle y était pas allée de main morte, pour la première fois depuis vraiment longtemps quelqu'un était parvenu à lui faire mal ! Depuis qu'il doit pas subir les essais d'armes sur son armure épidermique, par chance il avait des os drôlement résistants et la plupart de ses cellules étaient composées d'éléments inconnus ne figurant pas sur le tableau périodique terrestre mais quand même, il en sursauta vers l'avant en atterrissant très près de la limite de la plateforme en retombant par réflexe sur les genoux, dans la manoeuvre elle lui avait jeté un truc qui le fit éternuer à plusieurs reprises !

Irina - Cette fois ci il n'y aura que moi qui jouera avec ses nanomachines mon amour !

Hein ?!

Il cligne des yeux et rougit stupidement lorsqu'elle lui lance une pique de ce genre, secouant la tête rapidement pour reprendre ses esprits.

T'as le cerveau dans le bon sens ? Je t'ai peut être tapée un peu trop fort la dernière fois... hum.

Qu'est ce qu'elle dit ? Son joli minois d'Abyssian en rougit, Il regarde ses mains sur lesquelles ces paillettes argentées figurent et ressent les picotements plus intensément lorsqu'il essaye de recourir à ses capacités d'armure dermique, ça picote et l'électrifie sur place, il rassemble ses doigts en fermant les poings, grinçant des dents tout en chargeant une aura l'entourant d'arcs électriques de plus en plus puissants, il n'avait pas peur d'avoir mal en essayant de recourir aux nanomachines évolutives ayant été absorbées par ses cellules mais plus il forçait plus ça augmentait le rayon des arcs électriques bleus, formant une sorte de bouclier électro statique autour de lui qui lui envoyait des décharges de plus en plus douloureuses, essayant de court circuiter où détruire les paillettes disruptives collées à sa peau.

GRRrr... Qu'est ce que tu m'as fait ?! Tu triches !

Il sait ! Il n'avait qu'a les faire fondre en montant à une très haute température ! Haha ! Ouais... Ouais c'est celàààà, c'est celaaaa ouie... Et passer au travers des plates formes comme dans du beurre fondu et se retrouver dans les eaux glaciales. Bien calculé ! Il l'avait réalisé juste avant de se mettre à tenter le coup.

Alors il décida de foutre les prévisions de mouvements de plateformes d'Irina en l'air, nanomachines où pas il restait quand même très rapide et gardait une redoutable force, en tapant du pied sur les bords des plateformes en les envoyant s'entrechoquer les unes contre les autres et créant temporairement un dessin en zigzag, et tout en se déplaçant d'une plateforme à l'autre il décidait de forcer sur ses nanomachines et son bouclier dermique pour créer ce champ de force électro magnétique autour de lui, même si ça faisait mal. Histoire de l'électrifier elle aussi si jamais il la rencontre entre deux sauts !

Là ! il a fait en sorte d'arranger le dédale de plateformes en frappant dedans pour que dans exactement deux prochains sauts elle se retrouve sur la troisième plate forme à partir de la gauche, cherchant à l'obliger à se déplacer là où il veut en renversant certaines plateformes en tappant du talon dessus, shootant dans d'autres pour les renvoyer à l'autre bout des rapides, et détruisant certaines d'entre elles après un saut. Là ! Il était sûr que son pied allais juste atérir...

Maintenant ! Sur la plateforme jouxtant la sienne, à son tour de tricher et de balayer sa plateforme d'un revers de sa queue d'Abyssian, la faisant tomber à terre il sautera sur la plateforme en prenant ses mains dans les siennes, il a attérit si fort sur la plateforme qu'il l'obligea à faire un tour complet sur elle même, les plongeant à peine un quart de seconde dans les eaux gelées avant que la plateforme ne se retrouve à nouveau au dessus du niveau de l'eau comme au départ ! Ils n'étaient pas restés assez longtemps dans l'eau pour subir tous les effets négatifs d'une chute brutale de température mais maintenant ils étaient mouillés tous les deux !

Je sais pas pour toi... Mais mes nanomachines elles aiment ni l'eau ni tes trucs argentés là, et si je les active maintenant...


Ludya afficha un beau sourire enjoué à ce moment là parce que ses paillettes argentées qui produisaient un effet secondaire avec l'aura de l'abyssian allait lui en mettre plein la face ! Enfin, tout comme lui d'ailleurs mais on verrait bien qui peut supporter le plus d'ampères et de voltage ! Assis à califourchon sur elle et son beau sourire pleins de jolies dents serrées il tenta de faire durcir son épiderme et augmenter sa masse musculaire mais bien sûr les dis-rupteurs émirent leurs arcs électriques de plus en plus violents ! la plateforme entière où ils se trouvaient était surchargée d'électricité et Ludya luttait contre la force des bras d'Irina.

...On... Va prendre... Cher... J'espère que t'as pas de plombages !

Des énormes sons comme on peut en entendre provenant d'arcs de centrales électriques où d'arcs Tesla se firent entendre.

ZZzZZzzom ZZzzzZZzzom ZZzzzZZzzom... TSK-K-TchA ! ZZzoom  ZZzzoom TSK-TZzzk-T-Cha K-TCHA !

Des étincelles ! Des étincelles et des arcs électriques partout, qui faisaient se surélever dans les airs les cheveux d'Irina et de Ludya, le voltage monte et l'ampérage commence à devenir de plus en plus douloureux, chaque arc électrique envoyant quelques bonnes centaines de volts à travers leurs corps, puis progressant tout doucement au premier millier, ça faisait mal ! Les muscles de Ludya se bandaient à chaque fois qu'ils étaient traversés par les arcs électriques et il n'arrivait même plus à décoller ses mains de celle d'Irina ! Même s'il le voulait ! C'était mal calculé ça ils allaient finir tous les deux entre-grillés sur cette plateforme !

C'est de l'eau qui les sépara soudain, un remouds dans les rapides percutant un rocher de glace les ayant frôlés à renversé une quantité non négligeable d'eau glacée sur la sphère électrique qui était si concentrée qu'elle explosa et envoya Irina comme Ludya sur deux plateformes distinctes. Ludya avait que ses vêtements, Irina avait une combinaison de combat, peut être même qu'une bonne partie de son corps avait été isolé des arcs électriques qu'il à produit. Il a bien failli tomber dans l'eau la moitié de son corps à glissé sur le coté de la plateforme où il à atterri et s'est hissé dessus in-extremis.

Ses muscles étaient un peu tétanisés et douloureux de par son exploit débile, il fit légèrement chauffer ses mains aussi pour se frictionner, depuis qu'il avait été trempé il commençait à avoir drôlement froid, il faisait super froid ici même si y avait pas beaucoup de vent, il sentait que ça allait pas tourner à son avantage sur un terrain comme celui là privé de ses nanomachines, il devait reconnaître qu'elle était rusée, très intelligente, même qu'elle commençait à lui faire peur tiens ! Le suivre comme ça si longtemps juste... Juste pour avoir la chance de l'attraper au plus mauvais endroit pour lui ! Il voulait que ça s'arrête, il trouvait ça plus très drôle elle voulait vraiment lui faire mal !

Ah non, non hein ! Pas question d'abandonner en tout cas ! Il plante ses doigts réchauffés dans la glace des plateformes et retire d'énormes blocs de glace du centre de celles ci qu'il balance furieusement en direction d'Irina, derrière la roche de glace elle pouvait pas le voir mais il venait de sauter en suivant la trajectoire du bloc pour la briser en plein saut d'un salto terminé sur un coup d'boule supersonique qui fendit la roche en deux, entre les morceaux du roc glacé apparut la silhouette de Ludya qui allait atterrir sur elle.

Du moins si son attaque surprise avait fonctionné et qu'elle était restée là il aurait mis ses deux genoux en avant pour lui percuter violemment la cage thoracique en finissant son coup de boule ralenti par l'impact dans la glace, sur son front à elle, autrement il risquait d'être très très court sur cette plateforme pour freiner à temps et se reprendre pour retourner dans l'autre sens...


Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 4 samedi 06 septembre 2014, 23:31:44

Plus il se défendait, et plus elle l'admirait d'avantage. Chacun de ses coups, de ses cris, de ses éclairs de génie ou de bêtise la ravissait et l'excitait. Jamais au part avant elle n'avait eu à combattre un ennemi aussi résistant et véloce, et sa forme presque animal réveillait en elle la femelle primale, à la recherche du meilleur parti.

Il s'était jeté sur elle et l'avait agrippée par les mains. Mais au lieux de crier de douleur elle avait gémit de plaisir. Profitant de leur proximité pour lui lancer un regard langoureux et provocateur, ce genre de regard qui ferait rougir un proxénète en fin de course, qui ne laissait aucune doute sur ce qu'elle aurait aimée faire avec lui...

L'instant d'après ils plongent ensemble quelques seconde dans l'eau gelée, mais le corps d' Irina, cryogénisé entre chaque mission, avait acquis une résistance au froid presque absolut. Seul les cryo-tubes de BIOGENIX ou encore l'azote et l’hydrogène liquide pouvait la paralyser ou la tuer.

Quand il sortent à nouveau de l'eau, elle lui sourit de nouveau, pour lui montrer que le froid, contrairement à lui n'avait aucune prise sur elle. Ludya et Irina étaient comme Feu et Glace, destinés à s'affronter sans jamais se détruire totalement.

Mais il ne se laisse pas décourager pour si peu et s’assoie à califourchon sur elle. Elle gémis à nouveau et cette fois-ci son regard d'un bleu profond est pure et touchant. Aussi déconcertant que cela puisse paraitre, la position qu'il adopte, sur elle, la rend heureuse, la comble de bonheur. Elle arrête de forcer sur ses bras pour se défendre et attend de voir ce qu'il va faire. Mais contrairement à ce qu'elle espérait il ne l'embrasse pas. La frustration la submerge et la rend d'autant plus folle de désir.

Au lieux d'un contact intime il se contente de jouer les idiots. Il invoque la puissance de ses nano-machines et bien entendu, les nano-disrupteur les court-circuite de leurs petits arcs électriques. Mais il s'obstine et les arcs enflent.

Soudain elle comprend, il voulait l’électrocuter. Elle éclate de rire, évidement, il n'avait pas comprit, il ne pouvait pas savoir ce qu'elle était exactement. Une cyborg dernier cris, équipée de fibres conductrices spécialement conçu pour justement canaliser l'énergie électrique et la contrôler à loisir. Quand aux effets des impulsions électromagnétiques et électrique, Irina en avait déjà été victime des mois plus tôt en affrontant un flic ripou de la terre (cf. sujet: Un Impondérable). Il avait utilisé cette méthode pour la déconnecter et il l'avait violée sur un vieux matelas défraichit . Mais cela avait permis à BIOGENIX de l'équiper de contre mesures pour ce genre d'attaque.

En revanche la combinaison d' Irina n'avait pas été conçue pour supporter ce genre d'attaque, et progressivement les arcs bleuté lui arrachent des morceaux entiers de sa tenue, la laissant à demie nue par endroits. Par les interstices de sa combinaison déchirée, le jeune Abysien peut admirer quelques détails de sa plastique superbe. Les contours de sa poitrine gonflée, un de ses tétons, plusieurs centimètres de ses jambes et de ses fesses, son nombril et même le début de son entrecuisse.

Irina - Je t'en pris... profite... tout est pour toi...

Dit elle d'une voix suave, promesse d'aventures sulfureuses et orgasmiques.

Irina - Laisse moi te montrer comment on électrocute quelqu'un...

Elle utilise sa fibre dermique pour canaliser toute l'énergie qu'il lui envoi dans ses mains, Ludya ressent ses membres se crisper. Mais à ce moment là ils sont séparés par le remoud.

Ludya se redresse sur son radeau de glace, il lui fait face, l'eau glacée moule son corps superbe. Irina, qui a absorbée et emmagasinée le gros de l'énergie produite par la tentative de l' Abyssien de l’électrocuter, brille comme un photophore. Des arcs d'énergie impressionnants serpentent sur son corps et se concentrent entre ses poings.

Usant de sa force titanesque l'extraterrestre soulève un bloc de glace et lui lance dessus. Irina s'apprête à esquiver quand son scanner lui révèle la véritable position de sa proie. Ludya s'est servi de l'angle mort de son  bloc de givre pour lui foncer dessus.

Irina sourit et concentre la totalité de l'énergie absorbée au bout de ses mains. Elle attend le dernier moment, ou le corps de l'Abyssien brise le mur qui les sépare pour les joindre ensemble et les tendre vers lui. Un arc électrique d'une densité et d'une violence comparable à celle de la foutre frappe Ludya de plein fouet.

Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 5 dimanche 07 septembre 2014, 09:42:42

C'était survenu pendant qu'ils étaient en train de s'électrocuter l'un et l'autre... Non, heh... Même avant ça... Y comprenait pas... Où faisait l'idiot, semblant de ne pas comprendre la charge prodigieusement sulfureuse autant de sa voix et de ses regards fiévreux de désir, d'envie. Et ça le déstabilisait à chaque fois un peu plus. Ses mains avaient été soudées aux siennes pendant l'échange de surtension électrique et il n'avait pas pu complétement... ignorer les pelures de combinaisons se déchirant, donnant sur la superbe du corps de cette sirène dont la voix se voulait toujours plus envoûtante à ses oreilles, lui promettant des choses que la fertilité imaginative de son jeune cerveau ne saurait ignorer sans que les bribes de son innocence en soient encore profondément troublés et fasse rougir le miel des reflets de la peau de ses joues.

Irina - Je t'en pris... profite... tout est pour toi...

...M... mais... T'as fini oui ?!

Mais bien souvent, ce genre de promesses était accompagné, comme tout à l'heure d'un pic de douleur violent, c'était sa manière de... De profiter de sa naïveté pour faire tomber ses barrières, ses défenses aux moments opportuns et lui asséner un coup !

Irina - Laisse moi te montrer comment on électrocute quelqu'un...

Par chance ça n'a pas duré longtemps avant qu'ils ne soient séparé tous les deux, sa prochaine attaque aurait du faire mouche, enfin, si Irina n'était pas à nouveau équipée de senseurs pour savoir qu'il se trouvait juste derrière l'angle mort de son rocher lancé à toute vitesse dans sa direction... Il était pourtant si sûr de son coup !

Il aurait bien voulu crier la douleur qui vient de le frapper et le traverser de part en part, la foudre vient de s'abattre sur lui en plein vol, il perd la maîtrise du reste de sa chute vers l'avant, la vélocité dynamique de sa dernière position où il était prêt à heurter Irina de plein fouet avec ses genoux, bien que ses genoux iront la frapper dans sa poitrine, ils ne sont plus réellement tendus et maintenus dans une position qui aurait du être bien plus percutante, il finit sa course un peu à la manière d'une créature pleine de vigueur et de volontée soudainement devenu une poupée désarticulée et inconsciente en plein vol.

Ses iris se sont diluées dans le blanc du reste de ses yeux et ses pupilles se sont rétrécies au point de ne presque plus les apercevoir, son esprit est sous le choc, si bien que le coup de tête qu'il aurait voulu lui donner perd toute sa précision et que la douce joue de l'Abyssian viens simplement heurter la sienne. Il ne reprend seulement conscience que lorsqu'il commence à glisser sur elle en retombant à genoux sur la plateforme, son esprit reprends ses droits sur un corps qui est pour l'instant encore violemment tétanisé et paralysé par la tension qui l'a traversé. le torse, ses bras inanimés et le doux visage de Ludya ont glissé avec cette lassitude évanouie qui du paraître terriblement excitante et sensuelle contre le corps de son adversaire.

Ses doigts glissants sur le coté de ses seins, puis ses hanches en étant incapables de la saisir, finissant leur course sur l'extérieur de ses cuisses, la douceur de son visage lui à glissé depuis sa joue tout doucement et lentement contre son cou, lui donnant alors presque l'impression qu'un baiser à du y être déposé de l'appui inerte de conscience et de volonté du visage de Ludya... Il a glissé avec une fluidité rare jusqu'entre ses seins, sa joue droite continuant et continuant de glisser, humide, contre son ventre et lorsque ses genoux on atteint le sol, Ludya étant sous cette forme plus petit qu'elle d'une tête, son visage du bien s'arrêter aux alentours du haut de son entrecuisse découverte.

Ses esprits embrumés lui étaient revenus par sensations, par caresses contre sa plastique à mi course, se sentant glisser contre elle sans encore pouvoir y faire grand chose cette sensation d'impuissance faisait grésiller son regard farouche de la fierté d'un orage stellaire troublé... Défaillant... Il à du mal à comprendre ce qui à du se passer, se retrouvant subitement à genoux, défait devant elle... La sensation de la peau lisse contre son visage. Il commençait à avoir vraiment froid, il avait presque envie de rester là... Non... Non, il en était pas question, GRrrr ! Ça faisait mal, mal de parvenir à serrer à nouveau les doigts, mal de reprendre ses droits sur son corps.

Mais il serrait les dents ! relevant le regard sur elle, si il était pas encore capable de bouger tous ses membres il pouvait encore utiliser sa tête et sa ruse, ses yeux se chargèrent de nébuleuses sombres, qui s'étendaient comme des taches d'encre dans le reste de ses iris, il cligna un oeil tandis que l'autre prit toute la charge de l'oeil venant de se clore, un faisceau énergétique au corps dense et noir chargé d'une aura électrique violette et bleuie passa tout juste au dessus de l'épaule d'Irina.

Aww... Raté.

Dit il, son visage était en fine sueur et l'eau qui y résidait commençait à se cristaliser en givre ornant les contours de son visage, sa lèvre commençant à trembler par froid. Il avait dit qu'il avait raté son tir, et ça semblait bien être le cas ! Jusqu'a ce qu'elle se prenne le poids d'une énorme stalactite tombée sur elle, la glace se brisant contre son dos. Ce qu'il avait fait c'était de tirer en bié au dessus d'elle à quelques mètres sur une série de stalactite accrochées au plafond, deux premières étaient tombés dans l'eau un peu en amont et deux autres en aval tandis que celle là avait bien atteint son but !

Ha ! Désolé... hum. T'aurais du regarder en l'air... hihi.

« Modifié: dimanche 07 septembre 2014, 12:03:36 par Ludya »

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 6 dimanche 07 septembre 2014, 13:11:13

Irina soupire d'aise en sentant le corps de son mâle percuter le sien comme celui d'un insecte s'écrasant sur un pare brise. Toute sa chaire musclée et dorée fusionne presque avec chaque courbe de la cyborg, sa tête épouse le galbe délicat de son épaule et glisse le long de ses seins. Amusée, elle le prend dans les bras et le soutiens quelques instants pour que sa tête plonge dans son énorme décolleté plongeant. Elle lui maintient la tête contre ses seins jusqu’à ce qu'il commence à étouffer.

Puis elle le relâche et le laisse continuer sa lente chute le long des courbes de son corps, frissonnant de plaisir au contact des mains puissantes de Ludya qui la caresse involontairement en glissant. Il finit par tomber à genou devant elle, juste entre ses cuisses, le visage à hauteur de son intimité à moitiés révélée par les ébréchures de sa tunique.

Voir le beau visage mi enfantin mi bestial de sa proie, si proche de son sexe, enflamme d'autant plus l'imagination et le désir de la cyborg rendue nymphomane par les années d'expérience en laboratoire.
Toute la frustration sexuelle accumulée pendant plus d'une année de traque commence à se cristalliser et lui bruler les reins. Une odeur forte de sexe et de femme se repend entre ses jambes et vient émoustiller les narines de Ludya alors qu'elle sécrète involontairement quelques goutes de cyprine. Elle passe délicatement ses mains dans la chevelure de l' Abyssien, les caressant et les lissant avec amour, puis elle les glisses sur ses joues. Elle emprisonne son visage entre ses doigts mais sans aucune pression brutale ou douloureuse.

Mais l'esprit combatif du jeune homme ne s'était pas éteint avec la foudre non. Il redresse la tête et l'affronte du regard, déterminé et sauvage, invaincu malgré la douleur. Irina reste captivée par son regard, à cet instant tout son ressenti par rapport à lui passe dans son expression et ses yeux bleus azure. Ludya discerne en un instant, toute l'admiration, tout le désir animal qui habite la cyborg. Et en même temps il la comprend perdue et désespérée, elle semble se retrouver en lui, libre et farouche, avant que BIOGENIX ne la brise en mille morceaux.

Mais cet instant est de courte durée, l' Abyssien, pour qui la liberté passe avant tout, utilise une de ses armes secrète. Le rayon jailli de ses yeux et passe à quelques millimètres de l'épaule d' Irina, sectionnant au passage sa combinaison qui commence à bailler en avant sous le poids de sa poitrine.

Ludya - Aww... Raté.

Irina passe un doigt sur les lèvres de sa proie pour lui intimer sensuellement de se taire. Puis, fermant les yeux, elle se penche en avant et ouvre les lèvres pour l'embrasser.

C'est à ce moment là que le stalactite se détache et chute lourdement le long de son dos. La lance de glace se brise en une myriade de morceaux tranchants qui lacère sa combinaison.

Ludya - Ha ! Désolé... hum. T'aurais du regarder en l'air... hihi.

Le choc à fait sortir Irina de sa transe sensuelle et cela la déconcerte, son regard semble perdu dans le néant, elle regarde sa tunique en lambeaux. Elle porte sa main au fragile bout d’étoffe qui s'accroche encore à son épaule, et elle tire d'un coup sec. Tout le haut de sa tunique se déchire jusqu'à la naissance de son pubis. Sa poitrine généreuses, jusqu'ici engoncée sous le tissu, s’épanouit et se révèle dans toute sa splendeur, les tétons et les auréoles durcies par le froid et le désir. Sa peau, libérée de ces contraintes, exhale un parfum délicat et musqué à la fois, enivrant, presque succubique.

Toujours sans dire un mot elle reporte ses deux mains sur les joues de l' Abyssien. Elle avance encore un peu, au point que le visage de celui-ci se trouve "nez à nez" avec l’étoffe déchirée qui ne cache plus qu'à moitié les ravissantes petites lèvres pubiennes d' Irina.
Ses mains serpentent autour de lui, d'une d'elle s'enfonce dans sa chevelure et se campe derrière sa nuque, pendant que la seconde glisse plus bas, d'abord sur son épaule, puis sur sa poitrine.
Irina accompagne le mouvement de sa seconde main en glissant à son tour toute entière contre le corps musculeux de sa proie. Elle écarte les jambes pour s'assoir contre ses reins, juste au dessus de l'entrejambe de l' Abyssien.

Ses doigts serpentent et déchirent de ses ongles la tunique qui recouvre le torse viril de Ludya. Il se retrouve très vite torse nu, la tête coincée entre les seins d' Irina et le visage levé vers ses yeux. Pendant ce temps la, sa main libre continue de jouer avec le corps de l' Abyssien, elle passe sur ses tétons et les caresse parfois tendrement, parfois plus durement pour les faire pointer. Puis elle descend le long de son torse, passe entre les jambes d'Irina pour venir caresser l'emplacement vraisemblable de son sexe.

[ALERTE]
[POINT D' IMPACT PRÉDÉFINI ATTEINT]

Irina offre à Ludya le plus sulfureux de tout ses regard, et sans lui demander son reste elle l'embrasse fougueusement. Ses lèvres sont avide de plaisir et d'amour, elle l'embrasse comme jamais il n'a été embrassé, avec toute la force et la vigueur d'une amante subjuguée par son désir.

Soudain elle arrête de l'embrasser, elle lui fait un clin d’œil, et en un éclair, saute en arrière pour agripper comme une araignée au plafond du boyaux dans lequel ils sont en train de progresser à vive allure.

Sa vision libérée de l'obstacle qu'était Irina, Ludya comprend pourquoi... mais trop tard... Devant eux le niveau de l'eau monte brusquement et une corniche de glace coupe net le flot d'eau glacée. Son radeau de fortune frappe la cornique avec une violence inouïe, projetant son corps en avant sur des dizaine de mètres.

Quand il se redresse, il découvre qu'ils se trouvent sous un immense dôme de glace, enfoncés à hauteur de cheville dans une eau glaciale qui recouvre toute la caverne.

Quelques instants plus tard, Ludya entend les clapotis de l'eau sous les pas de sa Némésis. Irina avance, torse nu, ce qu'il reste de sa combinaison ressemble désormais plus à une paire de collant déchirés et sexy qu'à une tenue de combat. Elle le regarde d'un air malicieux alors que le dernier acte de leur affrontement commence.[/b]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 7 dimanche 07 septembre 2014, 16:51:35

Elle est aussi belle qu'elle est super vilaine celle là ! Ludya se prends la corniche de glace de plein fouet dans les bas abdominaux quand la plateforme se relève avec le niveau des eaux et l'écrase contre la corniche qui elle même explose en partie lorsqu'il passe au travers lorsqu'il entre en collision avec le tout.

Son cri mi humain - mi Abyssian comportant une touche de douleur bestiale se réverbère et prends un écho dédoublé à plusieurs reprises à travers le large dôme de glace où ils viennent de s'échouer.

GrouwARGhRrrF !!  ... Grouwargh ! ... .. Grouwargh !..

exemple pour l'echo du cri dans le dome. (et éventuellement Trunks glisse en partie sur la gorge / revers du menton quand il tombe comme Ludya va le faire à peu près. )


Le corps de Ludya virevolte dans les airs, roulant et tournoyant en tous sens comme une toupie puis atterrit méchamment sur le plat de la gorge. la ligne de sa mâchoire sous le menton. Son corps étrangement maintenu en équilibre par dessus sa tête d'un arc du dos, on aurait pu croire qu'il se serait fait le coup du lapin où brisé le cou, heureusement il possède une certaine souplesse en plus d'une fibre musculaire et osseuse beaucoup plus résistante, il est contorsionné comme ça dans cet étrange équilibre tout en glissant à terre sur une distance impressionnante dans les eaux comme ça. Des trombes d'eau se soulevant de part et d'autre du chemin qu'il trace dans ce lac peu profond avant que le reste de son corps retombe dans l'eau à la fin de sa glissade. La force de sa glissade continue à produire de larges vaguelettes en arcs jusqu'au bout du dôme.

C'est sympa... Je, j'suis content de te connaître et tout. T'es douée et tu fais preuve de beaucoup de créativité et de ruse... Mais...

Ludya se retourne avec difficulté dans les eaux, finissant en étoile sur le dos. Et puis il a mal, mal partout là, en plus d'avoir de plus en plus froid complétement détrempé dans de l'eau glaciale. ses mèches de cheveux ont commencé à se solidifer et à geler, ses doigts picotent et se raidissent par froid, il entend les pas se rapprocher de lui. Il est pas décidé, cette tête de mule, à abandonner !

...Tu m'as... Fait vraiment mal là... J.. J'suis pas d'accord !

Un genoux dans l'eau... Une main qui presse de ses doigts et relève le centre de sa paume, une bottine qui claque contre la glace dans le fond de l'eau. Son équilibre se trouve après deux tentatives pour se dresser sur ses jambes.


Des flashs luminescents, aveuglants entourent l'Abyssian, les particules argentées, les dis-rupteurs recommencent à s'affoler et crachent des gerbes d'étincelles rougies, cette fois il ne sagit pas de nanomachines qui entrent en conflit avec elles. Les battements affaiblis et ralentis des deux coeurs de Ludya donnent un éclat particulier à sa chevelure qui passent de reflets cuivres au rouge, rouge vif éclatant au sommet du battement d'un coeur, rouge comme de l'acier porté a température de fonte. Il s'enrage, un peu tard mais il s'enrage enfin. rassemblant les forces qu'il peut pour un ultime assaut.

Quelque chose dont il n'a pas l'habitude se produit, elle l'a frappé si fort, et poussé si loin dans se retranchements dans cet environnement hostile, défavorable à sa nature que des extensions de son épiderme qui n'auraient pas du se révéler à cet âge chez un Abyssian se révèlent, le résultat d'un surentrainement où des nanomachines "archaiques" ayant peut être surexcité et surentrainé son organisme. Ici et là des plates d'armure Abyssiniales protègent certains endroits clés où sensibles de l'anatomie d'un Abyssian, formant un métal organique plus résistant que tout acier terrestre. Ça apparaît entre deux battements de coeur. Il a du mal à maintenir cette forme, on peut voir les extensions d'armure croitre et décroitre sa chevelure s'allonger, s'élever puis rétrécir. Puis cette forme est aussi instable à cause des pétarades électrifiées rougeoyantes des dis-rupteurs qui provoquent des spasmes où mini explosions d'arcs électriques à gauche et à droite, un peu partout qui font que ses épaules sont un temps projetées vers l'avant, puis vers l'arrière, dépendant d'où la dernière explosion électrique s'est produite... C'est vraiment pas des conditions idéales pour exploiter pour une toute première fois cet état inconnu.


K-RrOoaRRrrrh !

Il s'élance et disparait de sa position précédente ! Il file à une vitesse surprenante ! soulevant là encore de larges vagues d'eau sur son passage, s'il avait réussi à la percuter a cette vitesse fulgurante sous cette forme il lui aurait certainement brisé sa colonne vertébrale d'un coup de tête ou d'épaule dans le ventre, mais diverses explosions électriques des dis-rupteurs le génèrent dans sa course, que dis je, ses pieds n'avaient même pas à toucher le sol il était propulsé complétement penché vers l'avant, une explosion au niveau d'une de ses hanches et épaules lui fit faire plusieurs tonneaux, comme un avion de chasse en plein vol effectuant une manoeuvre d'évitement désespérée sauf que la sienne était pas le produit de sa volonté, il rata de peu Irina, oh il heurta sans doute très violemment l'une de ses épaules, assez fort pour la lui déboiter suite à cette déviation involontaire. Il s'écrasa dans le mur de glace à la base de la corniche, des gravats de glace retombant sur lui.

Bon ! Il était maladroit ou quoi ?! Trop de force... Il avait mis trop de force là dedans, puis il était pas aidé hein ! On entendit un rugissement tonitruant provenir de dessous les rocs de glaces qui se pulvérisèrent lorsqu'il sortit de là dessous, une aura rouge chargée d'arcs électriques et un regard noir, orageux, sa masse musculaire aussi avait un peu évolué, plus compacte, légèrement plus massive. Il a pas... Il arrive pas à articuler un putain de mot, tout ce qu'il fait c'est... C'est grogner parce qu'il se sent pas capable de faire autre chose sous la somme de la rage d'origine inconnue qui l'assaille.

Non... non il sent comme... Comme un souffle au coeur, des vertiges... il est trop, trop affaibli... D'ailleurs cette forme devient de plus en plus instable, apparait puis se désagrège... Apparaît à deux reprises par ré-explosion de son aura rougeoyante, qui elle aussi, se met à pétarader et disparaître à intervales régulières, comme la torche d'une flamme de chalumeau sur le point de s'éteindre quand la bonbonne se vide presque de tout son acétylène où l'oxygène, la pression, son énergie suit pas, sa colère contre elle suit pas non plus, son aura si attirante, succubique à tôt fait de produire un effet de sappe sur la volonté et la violence qui, déjà de base n'existe que très peu dans l'esprit de Ludya.

Ces moments où elle lui à caressé amoureusement sa chevelure, porté ses doigts pour soutenir son visage... Laissé trainer son visage entre la volupté charnelle de ses seins... L'a t'il rêvé ? Etait ce son esprit fatigué qui lui jouait des tours ? C'était pas arrivé mon pauvre, c'était qu'un fantasme... T'as du salement tomber sur la tête quand tu as heurté le sol... Pour imaginer des trucs comme ça. L'embrasser... L'embrasser... Qui... Qui embrasse comme ça son adversaire... Qui caresse de cette façon son ennemi ? A sa faiblesse physique commence à se nouer sa faiblesse charnelle. L'aura ne s'est pas encore dissipée et ses extensions d'armure dermique durcie bien qu'instables et vacillantes sont encore là, trouvent... Une toute autre forme de "chaleur" et d'énergie à exploiter pour se maintenir encore un peu... L'orage farouche et défiant de son regard prends une toute autre... intensité... Un orage tropical, chaud de fièvre.

Il devrait savoir... Il est intelligent pourtant ! il devrait savoir qu'il à perdu cette fois ! Oui il sait, même s'il tient encore debout hm ? Dans cette fière bien qu'instable allure. Au moins ça lui tiens chaud... Où est ce ses hormones en ébullition ? Son aura à elle qui lui tient chaud comme ça... Ses cheveux auparavant glacés recouvrant leur souplesse et sa sueur elle aussi figée de leurs petites billes de glace recommençant elles aussi à s'écouler sur la peau brune aux reflets de miel doré. Il transpire... De jolis petits nuages de respiration chaude s'élèvent dans les airs et sa respiration est devenue plus bruyante, plus féline voire même rauque, ses mains glissent sur ses propres joues alors qu'il a bien du mal, le pauvre à dévier ses pensées d'autres chose que les caresses qu'elle à offerte à sa poitrine, à ses petits tétons encore dressés depuis tout à l'heure, à son entrejambe qui devient aussi excitée que douloureuse... Qu'est ce que c'est ? Qu'est ce qui le rend si chaud et fait fondre toute intelligence, raison où logique dans son crâne ?

Elle l'a... Elle l'a ensorcelé avec son odeur ? Avec son aura ? Avec cette poussière argentée ? Il en a pas la moindre idée, a t'elle même fait quoi que ce soit ? Ça le torture en tout cas et une main s'est glissée le long de sa joue, son petit doigt mordu entre ses lèvres pendant que le reste de ses doigts flattent le coté de son visage un doigt glisse en partie sur le haut de sa joue, et un autre sur sa paupière, comme s'il cherchait à cacher en partie sa honte où des rougeurs qui assaillent son visage en regardant aussi de coté, en bié vers le sol. son autre main posée sur sa bouche pour étouffer la vibration honteuse de ronronnements tout aussi révélateurs de son état que le reste.

La main qui étouffe ses vibrations s'écarte de sa bouche, se tends, et se décoche une gifle magistrale ! A l'en faire tourner une fois sur lui même, sur place, voilà de quoi se remettre les idées en place ! voilà de quoi se concentrer sur la suite ! Elle qui se rapproche inexorablement, sans doute que son épaule sera remboitée par ses soins sans plus de formalité que ça. L'impressionnant lui aussi de par sa résistance à la douleur, admirant aussi sa résistance et son intelligence tout court pour l'avoir, elle, amené là ou elle voulait comme elle le voulait !

Après cette gifle il avait perdu son aura, mais pas encore l'extension d'armure Abyssiniale recouvrant certaines parties de son corps, et recouvert assez de raison pour être capable de prononcer des mots, lorsqu'elle se retrouvera trop près de lui il s’élancera pour donner une série de coup de poing et une série de coup de pied qu'elle trouvera bien faible, plus faible encore que lorsqu'il était sous sa forme précédente, sous sa forme d'Abyssian de base, il avait consumé beaucoup en adoptant cette forme qu'il ne maîtrise pas, il réalisa sa faiblesse lorsque ses coups ne la faisaient ni broncher, ni détourner la tête lorsqu'ils atterrissaient sur sa joue, digne d'une caresse à l'impact pour elle. Ses muscles étaient vidés, depuis tout à l'heure ils étaient éléctrocutés, puis glacés, puis électrocutés à nouveau, mis sous rude tension et sous épreuve en l'affrontant. Ils étaient durs, et gonflés durs comme lorsque l'on les solicite beaucoup, beaucoup, beaucoup trop, et sa respiration commençait elle aussi à être bien essouflée, bruyante, le froid arrangeait pas parce que sa démangeait aussi ses voies respiratoires.

RRRrrr... HFfRRrr... HFfRrr... On devrait arrêter... HRrFrrrr... remettre ça a une autre fois ! Oui, oui... Ça pourrait finir par être dangereux hein ! Surtout quand on joue dans un endroit comme celui là... Jeu de mains, jeu de vilains... Puis je commence... à avoir froid moi... S'il te plait ?

Il avait l'air de parler sincèrement et naïvement, l'inconscient... Croyait il qu'il s'agissait encore d'un simple jeu ?


« Modifié: dimanche 07 septembre 2014, 17:01:22 par Ludya »

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 8 dimanche 07 septembre 2014, 22:43:16

La soudaine monté en puissance et la métamorphose de sa proie l'avait surprise au point qu'elle échappa de justesse à un impact d'une puissance inouïe. L' Abyssien s’était jeté sur elle à une telle vitesse que l' épaule d' Irina s'était déboitée sous le choc. Mais heureusement il avait dévié de sa trajectoire et s'était encastré dans le mur quelques mètres plus loin.

Se retournant avec la raideur bionique d'un androïde, Irina regarde le trou dans lequel le jeune fou s'est enfoncé, puis elle porte son regard sur son bras qui pend mollement contre son flanc. Son regard est totalement inexpressif, comme si la vue de son propre corps blessé lui était égale. Elle reporte son attention sur le cratère dans la glace. Elle bascule la tête de coté, à droite, à gauche, ses vertèbres craquent. Soudain un bruit mécanique digne du films Terminator résonne sous le dôme. L'épaule d' Irina se remet en place instantanément dans un craquement violent d'os et d'acier.

Irina entend rugir Ludya sous sa prison de glace à mesure qu'il la brise pour revenir. Le son bestial de l' Abyssien la fait vibrer de crainte et de plaisir mêlés, même si elle sait que le combat est sur le point de se finir. Sans se séparer de son mutisme habituelle elle se laisse glisser et s'allonge toute entière dans l'eau glacée jusqu'à ce qu'elle soit totalement immergée. Le rythme de son cœur ralenti, son corps refroidit et prend la blancheur teinté de bleu propre à ses phases de cryogénisation. Et elle attend.

Quand Ludya ressort enfin il est seul dans la pièce. Seul avec sa colère, seul avec son pouvoir qui ronge ses forces. Seul avec ses illusions et ses fantasmes. Irina attend, concentrée sur les battements de son propre corps, ignorant la morsure du froid qui la raidie peu à peu. Elle attend que le pouvoir de l' Abyssien le détruise lui-même. Elle l'entend se débattre, hurler, tomber à genou et enfin se gifler pour tenter de reprendre ses esprit.

A cet instant elle surgit à nouveau des flots. Tout son corps s'élève des eaux avec lenteur, comme la Dame du lac se présentant au Roi Arthur pour lui tendre Excalibur. Et elle avance à nouveau vers lui, sa peau blanche la fait ressembler à un fantôme, une banshee inexorable qui vient prendre son âme.

Et leur ballet martial reprend, sauf que cette fois-ci, Irina profite de la faiblesse de son ennemi pour prendre le dessus. Elle esquive ses coups lents et fatigués et s'enrouler autour de lui comme un serpent. Elle attrape son poing et le lui passe dans le dos. Elle enserre le buste puissant et musculeux de Ludya entre ses cuisses et commence à l'écraser pour qu'il suffoque. Puis, quand elle constate que tout l'air à quitté les poumons de sa proie, elle fait basculer tout son poids en arrière pour qu'il tombe avec elle dans l'eau glacée. Le choc brise la croute de glace et il s'enfoncent dans un trou d'eau de deux bons mètres de profondeur. Elle le retient sous l'eau avec elle, prisonnier de ses bras et de ses cuisses qui lui compriment toujours ses poumons vide. Jamais en cette instant, elle ne lui avait paru aussi belle. Si la mort avait un visage, ce devait être celui-ci, parce qu'après tout... ... elle était en train de le tuer, il le sentait.

Soudainement elle le relâche et le repousse de toutes ses forces à l'aide de ses jambes. Ludya est expulsé hors de l'eau et atterri sur la banquise de la grotte. Il se redresse pour faire face à sa Némésis au cœur de titane. Elle est en train de sortir de la prison d'eau glacée comme s'il s'agissait d'un bain moussant et confortable.

Ludya -  RRRrrr... HFfRRrr... HFfRrr... On devrait arrêter... HRrFrrrr... remettre ça a une autre fois ! Oui, oui... Ça pourrait finir par être dangereux hein ! Surtout quand on joue dans un endroit comme celui là... Jeu de mains, jeu de vilains... Puis je commence... à avoir froid moi... S'il te plait ?

Elle lui sourit aimablement, toujours touchée par sa naïveté enfantine, mais cela ne suffit pas à soulager le désir qu'elle éprouve à son endroit. Le jeu est terminé pour l' Abyssien, elle le sait, mais elle veux le voir tenter une dernière chose avant d'en finir. Elle veux encore l'admirer dans son combat pour la survie et la liberté, avant qu'elle ne lui vole l'un et l'autre.

Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 9 lundi 08 septembre 2014, 00:39:45

Une dame blanche, dame de glace à l'allure aussi merveilleuse que froide et mortelle... Il en a les coeurs qui palpitent... Il la trouvait déjà inquiétante sans qu'elle n'ait à recourir à ses talents de Cryogénisation pour faire chuter sa propre température, elle semble si sûre d'elle maintenant qu'elle à ressenti à quel point il est faible à travers ses coups... Ça... ça l'effraye, là il commence véritablement à avoir peur d'elle, ça doit être perceptible dans l'étincelle encore vive de son regard, de ses pupilles tremblantes.

Il essaye de palier à sa faiblesse par des coups n'exposant pas trop de sa personne en élançant ses bras, ramenant vite ses coudes près du corps mais elle est plus rapide, ses muscles endoloris ont déjà trop donné, elle parvient à lui saisir un bras, puis s'enrouler d'une façon qui serait perçue comme sensuelle, et dangereuse autour de lui de par ce froid qu'elle lui communique, tétanisant ses muscles par simple contact de son corps contre le sien. Ramenant son poing dans son dos pour lui faire une clé de bras et jouer de sa souplesse en enlaçant son buste avec ses cuisses, maintenant probablement sa cage thoracique comprimée et son diaphragme bien haut. ça le vide, elle le vide de tout son air ! tirant jusqu'a sa petite langue hors de ses lèvres tant elle le comprime juste à la limite de lui froisser les côtes !

Il aurait voulu crier, crier de surprise, d'effroi, quand elle fait basculer son poids vers l'arrière en l'obligeant à la suivre dans les eaux glacées, ses pieds se sont mis à mouliner désespérément dans les airs avant qu'il ne pénètre profondément dans les eaux glaciales. Il crut mourrir sous la différence trop brutale de température, un choc thermique épouvantable oui ! Il n'a plus d'air mais ça ne l'empêche pas d'avoir encore un peu de réserve dans le sang, mais ce choc thermique l'a littéralement sonné, tétanisé si fort entre ses cuisses et ses bras, elle le sent se débattre, se débattre désespérément dans l'étau sensuel et pourtant si glacial de son corps, elle doit le sentir... Le sentir faiblir dans tous ses mouvements, ça doit être si bon pour la cruelle prédatrice qu'elle est, elle doit même savourer chacun de ses déhanchements, de ses tressautements désespérés pour lui échapper, toujours... Toujours plus faibles, plus faibles... faibles les uns que les autres, perdant ses forces, devenant pratiquement aussi faible qu'un humain.

Plus il se débat plus le besoin d'oxygène dans son sang se fait pressant à ses poumons, ses yeux dardent dans les siens, chargés d'un tel désespoir, d'une telle incompréhension face au sort qu'elle lui réserve... Il se sent partir... Défaillir... Trop, trop froid... ses spasmes meurent dans ses bras, entre ses cuisses et se font remplacer par un étrange calme... Appréciant pour quelques temps qui lui paraissent être une éternité la beauté mortelle du piège qui s'est refermé sur lui. Il est si calme... Il serait vraiment si calme dans la mort ? Il l'accepterait alors avec ce genre de courage, lui souriant paisiblement droit dans les yeux. Son seul bras libre a cessé de tenter de lui donner des coups de coude et a tendu sa main, ses doigts effleurant la joue de sa meurtrière.

Se noyer dans ses bras semblait être une mort bien douce, la glace se refermerait pour l'éternité autour de lui et il ne pouvait sans doute pas rêver d'une plus belle image, dernière image imprimée sur sa rétine à jamais dans ce tombeau de glace. Si calme... Si paisible... Ses yeux perdaient leur éclat une secousse de son corps cherchant de l'air brisa la quiétude, elle dut le sentir elle aussi, à quelques doigts de mourir.

C'est elle qui pourtant, n'a pas pu s'y résoudre, à moins que ce soient les ordres programmés dans son crâne, il à tout de même avalé la tasse avant qu'elle ne le repousse de toutes ses forces, atterrissant sur la banquise il tousse, tousse et craches l'eau froide, grelotte intensément, lorsqu'il est ressorti des eaux il en avait perdu cette forme, cette apparence enarmurée, étrange de tout à l'heure et était repassé à son stade précédent. Et très vite l'eau qui le recouvre encore se gèle, le parcourt de plaques de givre qui cristalisent ses cheveux, son brun abyssian s'en retrouve légèrement bleui par les plaques cisaillées de glace qui le recouvre mais aussi par froid intense !


Lorsqu'elle sort des eaux l'air de ne rien avoir à faire ni du froid ni du temps passé là dessous il rampe à reculons, glissant sur la glace, effrayé, mais ça ne le mènera nulle part, il ne pourra pas lui échapper... Il ne savait plus ce qu'elle voulait, ce qu'elle était, il avait peur car elle avait essayé de le tuer là ?! C'était sérieux ça n'avait plus du tout l'air d'un jeu, elle lui faisait peur, c'est rare qu'il ressente une telle peur, son jeune esprit ne parvenait pas à comprendre pourquoi elle voudrait le tuer ? Peut être qu'il avait mis à mal sa fierté la dernière fois lorsqu'il l'avait laissée sur place, elle voulait le tuer pour ça ? Est ce qu'il pouvait lui demander sincèrement pardon ?


Il en aurait pleuré, tiens, beaucoup trop sensible sans doute, mais ses larmes sont déjà cristallisées à la sortie même de ses canaux lacrymaux, formant deux perles statiques à la commissure extérieure de ses paupières. Sa chevelure en bataille elle aussi complétement gelée, paraissant plus blanche que cuivrée. des stalactites de glace avaient même envahi le tour de sa mâchoire saillante. Il toussait et respirait de façon très bruyante, comme un asthmatique, se préparant probablement une vilaine toux s'il en réchappait vivant de toute façon ! Elle lui sourit, elle lui sourit de cette façon qui faisait fondre ses deux coeurs malgré toute la glace qui se solidifie autour de lui.

Désormais il devait forcer pour respirer, on le voyait tirer vers le haut en redressant sa cage thoracique comme si ça devenait très dur de respirer, les muscles de sa gorge et de ses pectoraux tirant et se striant lorsqu'il inspirait on pouvait entendre un long son syphoné comme un "HHhuuuuff" suivi d'une expiration "KRRrrr" assez... dérangeante pour lui, ça faisait mal il avait toujours l'impression d'inspirer plus que ce qu'il parvenait à expirer comme air.

Pourquoi... ? HHhUu-KRRrrr... Je veux plus être ici... HHHUu-kRRrrr... Je veux retourner chez moi... Kof, kof... HHhuuu-KRrrrr... Même si tu me tues, hihi. Je rejoindrai les miens plus tôt... HHHUu-kRRrrr... Tu... Kof... kof... HHHUu-kRRrrr ! Tu ne feras... Que de me libèrer de ce corps, HhhkRRrrr... cette enveloppe charnelle... Et je serai alors comme tous les miens ! HHHUu-kRRrrr... j'irai les rejoindre... Koff... Dans les étoiles... Vous ! Vous m'emprisonnerez jamais ! Ha ha huHHuu-KRRrr.... je m'arracherai les coeurs si il le faut, de toute façon ils me font déjà si mal, HHHUu-kRRrrr... si mal... Tout ça HHHUu-kRRrrr... Même respirer... j... J'en ai assez... ça fait si mal.

Il leva sa main au ciel et sortit ses griffes, se les plantant profondément dans le pectoral droit, cherchant vraiment à se forer la chair où se perforer le torse pour aller chercher son coeur l'imbécile ! Il avait... Il avait littéralement l'impression que ses poumons et ses coeurs respireraient mieux à l'extérieur de son corps exténué qui lui donnait l'impression, sa chair durcie par le froid, ses muscles endoloris lui donnaient l'impression de comprimer ses pauvres organes vitaux, de presser sur l'envergure de ses poumons, de comprimer les battements de son coeur, ce qui n'était pas faux dans une certaine mesure tant ils ont été solicité et tant il se tétanise par froid poignant les pénétrant !

Même ça, même ça il en était plus capable, il en avait pas la force, une force de... de simple humain ! Il se faisait mal ses griffes étaient plantées dans son pectoral et le sang qui en avait jailli s'était cristalisé autour de ses doigts pénétrés dans son muscle, incapable avec ce qui lui reste de force de l'en sortir, préférant ramasser un éclat de glace bien tranchant sur le sol de sa dernière main libre.

Une belle mort... HHHUu-kRRrrr.... est une récompense en soi !

L'élan du désespoir, encore impressionnant de rapidité pour quelqu'un d'atteint par une vilaine bronchite asthmatique, son coup vise sa poitrine, son coeur de titane, qui doit être aussi froid que la glace de cet endroit pour vouloir le tuer, la glace contre la surface de sa peau, aussi tranchante soit elle se brise inexorablement, et même si la pointe avait pénétré sa poitrine, sa peau, elle se serait brisée sur son coeur... Il pouvait même pas atteindre son coeur... Il se retrouva contre elle à grelotter et taper du poing là ou serait supposé être son coeur, entre ses deux seins légèrement décallé, avec la rage du désespoir.

« Modifié: lundi 08 septembre 2014, 00:55:16 par Ludya »

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 10 lundi 08 septembre 2014, 20:22:22

Irina le regarde se débattre en esquivant ses coups devenus lents, admirant pendant de nombreuses minutes le combat que livre la bête d'une autre galaxie. Mais soudain, le jeu prend une tournure qui ne lui plaie pas quand elle le voit se mutiler et tenter de se donner la mort.

Elle soupire et se jette alors sur lui à son tour, elle lui attrape les poignets et les lèves au dessus de sa chevelure de miel avec une facilité déconcertante. Puis elle s'allonge de tout son long sur lui, écrasant son torse musclé avec ses énormes seins dur et contractés par le froid. Elle remonte une des ses cuisses vers l' entrejambe tétanisé de l' Abyssien, là où elle imagine qu'il cache ses attributs sexuels. Elle commence à le réchauffer en se frottant à lui.

Irina - Ce n'est pas obligé de finir ainsi mon amour... ma proie... laisse moi faire, arrête de te mutiler.

Lui dit elle en chuchotant à son oreille d'une voix suave et ronronnante, son alène est agréable, enivrante même. Son souffle tiède réchauffe l'oreille de l' Abyssien gelé. Cette étrange chaleur se propage aussi dans ses reins... Elle provoque un fourmillement agréable à l'intérieur de lui, la où sa verge et ses testicules se cachent.

Utilisant ses ultimes forces, celles du désespoir, Ludya agrippe un morceau de glace sur le sol et tente de le plonger dans la poitrine de la Cyborg. Mais l'épieu de givre bien fragile éclate sur l'épiderme d' Irina, qui le regarde d'un air triste et désolée.

Irina - J'aurais voulue que ça se passe autrement... tu ne me laisse pas le choix... je suis désolée...

Avec une dextérité et une rapidité incroyable, Irina se contorsionne contre le corps de Ludya et parvient à faire passer ses cuisses autour de la gorge de celui-ci. Ses pieds délicats sont passé dans son dos de l' Abyssien. Quant à sa tête, elle est prise dans un véritable étau de chaire chaude, le visage comprimé contre l’intimité d'Irina qu'il peut voir et sentir par les ébréchures de sa combinaison. Il est si proche qu'il pourrait la lécher, si proche qu' il sent le pou régulier de la tueuse palpiter sous sa combinaison. Elle lui attrape les mains pour qu'il ne puisse plus la frapper et elle commence à serrer. Épuisé et sur le point de suffoquer, Ludya commence doucement à sombrer dans l'inconscience, persuadé qu'il vit ses derniers instants...

La douce sensation d'une intense chaleur caresse la peau de l' Abyssien évanouit, qui commence doucement à reprendre connaissance. Il ouvre lentement les yeux et voit le sommet du dôme de glace, sauf qu'il n'est plus là où la Cyborg l'a étranglée. Il sent le sol sous son dos, ce n'est plus de la glace, mais de la roche. Son regard se porte immédiatement sur la superbe ampoule à plasma qui baigne la grotte d'une lueur brulante, qui réchauffe ses tissus, réveil son corps endolori.

Heureux de sentir ses forces lui revenir, Ludya essai de bouger, mais il en est étrangement incapable. Il regarde ses bras et ses jambes, et constate horrifié qu'il est attaché en étoile de mer, entièrement nu ! Les bras et les jambes bien écartés. Ses mains et ses pieds sont enchâssées dans d'étranges moufle faites d'un métal tiède et lourd. Et malgré toute la puissance qu'il mobilise, il ne parvient pas à se libérer. 

Irina - Bonjour mon bel étalon ? Tu as bien dormi ?

La voix chargée de désir d'Irina est envoutante, elle ressemble plus à celle d'une succube que d'une femme. Elle s'approche et s'agenouille à coté de lui. Comme lui, elle est entièrement nue cette fois, et il peu admirer en détail ses belles lèvres pubiennes. Elles semblent fermes et charnues, surmontées d'une petite toison d'or délicatement épilée en bande. Mais plus surprenant encore est son clitoris, qui contrairement à celui d' une femme normal, est bien visible, presque aussi gros qu'une framboise.

Irina passe une main fiévreuse en tremblante sur le corps de sa proie. D'abord sur sa joue, puis son torse, elle s'arrête à hauteur des tétons qu'elle titille à plusieurs reprises du bout des ongles. Puis elle descend et commence à lui masser l'entrecuisse de manière obscène, passant la pulpe délicate de ses doigts dans la raie de ses fesses.

Irina - Cela fait si longtemps que j’attends cela... je ne veux pas en gâcher la moindre seconde... qu'en dis tu ?

Puis de son autre main elle lui empoigne sa chevelure de feu et l'embrasse fougueusement, léchant l'extrémité de ses lèvres avec la langue, lui mordillant la sienne entre ses dents parfaites et blanches.

Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 11 lundi 08 septembre 2014, 22:32:24

Ce n'est pas obligé de finir ainsi mon amour... ma proie... laisse moi faire, arrête de te mutiler.

Mon amour... Mon amour ? Ce mot... Pourquoi choisit-elle un tel mot. Lorsque ce n'est pas sa force qui s'empare de lui pour le tuer ce sont ses mots qui le tuent aussi. Pourquoi lui parait elle si belle et douce à ces moments là où ses mots vibrants et suaves caressent son oreille.

Irina - J'aurais voulue que ça se passe autrement... tu ne me laisse pas le choix... je suis désolée...

Il se débat, si faiblement encore une fois contre elle, allait elle le tuer ? Ca y est ? C'est comme ça qu'il meurt ? Etouffé entre ses belles, si belles... Si puissantes cuisses... Il sent les muscles et la ligne musculeuse de l'intérieur de ses cuisses lui masser les joues, et comprimer sa gorge, ses bras emprisonnés dans sa poigne implacable... Il aime... Il aime tellement... Tellement être dans cette situation désespérée. Tellement chaud entre ses cuisses... S'il pouvait respirer il halèterait sûrement d'envie. Ses souffles rauques et froids de par la chute de la température de son corps glisseraient, caresseraient et chatouilleraient son sexe... Au lieu de cela elle l'étrangle en disant qu'elle est désolée. Lui aussi... Lui aussi est désolé... Sa petite langue sort de ses lèvres à force d'être étranglé dans cet incroyable étau de chair, visage à quelques millimètres à peine de la toucher, bouche embrassant presque... Presque son sexe par dessus sa combinaison. Son cerveau suffoquant assailli par tellement d'envie, l'envie de l'embrasser, l'embrasser si fort... Si fort entre les jambes. Elle dut sentir ses membres raidis se laisser aller, s'abandonner à son sort, ses muscles tétanisés et saillants d'efforts se lisser tout en se relachant quand il perdit enfin conscience.

Il faisait si bon... Si chaud dans ses rêves... Il était donc devenu une étoile... Cette belle chaleur irradiante, aveuglante même sous ses paupières fermées ça ne pouvait être que lui qui avait enfin trouvé sa place dans l'univers. Il ne pouvait plus parler mais était sûr qu'il devait briller du magnifique éclat d'une étoile naissante et que de partout dans l'univers on le voyait, que même ses véritables parents l'ayant abandonné le verraient en chaque nuit en levant les yeux au ciel. Eux... Ils sauraient que c'est lui. On ne saurait peut être jamais son nom mais il serait toujours là haut et personne ne pourrait jamais l'oublier, il était si heureux. Si heureux que des larmes coulaient sur ses joues dans son sommeil. Mais cette chaleur qu'il ressentait provenait d'une toute autre source que celle qu'il s'imagine dans ses songes.

Non... Non il réalise... Il réalise qu'il est toujours en vie lorsque ses paupières s'entrouvrent, que ses sens s'éveillent à l'étrange posture dans laquelle il se trouve, sentant un sol rocheux sous son corps. Ses muscles sont encore douloureux de leur affrontement, combien de temps a t'il... dormi ici ? Elle ne l'a pas tué ? Pourquoi l'a t'elle attaché ?! Il le réalise lorsqu'il essaye de bouger, le bruit de chaines métalliques retenant ses membres écartés en étoile. Il tourne la tête vivement à droite, puis à gauche, apercevant ces moufles empêchant même ses doigts de bouger. Il essaye de tirer vivement sur ces fers mais rien à faire, il n'a pas recouvert assez de force pour s'en libérer !

Irina - Bonjour mon bel étalon ? Tu as bien dormi ?

... J'ai bien... Bien dormi... tu ne m'as donc pas tué. J'ose... Pas te demander pourquoi... Constatation évidente mais bon, fallait-t'il encore la faire, clignant à plusieurs reprises l'éveil de son regard.

Pourquoi l'avait elle attaché ? Pour l'empêcher de se faire du mal ? De se tuer ? Elle lui parlait de cette façon si douce, si emplie d'un désir vrai... Si vrai qu'il en était troublant, où alors elle l'imite vachement bien ! A chaque fois qu'elle lui parle comme ça elle finit par lui donner un coup, lui faire du mal, il craint la suite parce qu'il est attaché de la tête aux pieds, si elle voulait lui donner des coups il ne pouvait même pas parer, utiliser la souplesse de son corps pour dissiper une partie de l'impact. Il faut qu'il arrête de délirer elle l'a quand même pas gardé en vie pour le simple plaisir de le frapper ! Enfin il espère parce qu'il à encore mal partout, s'il y avait une association SoS Abyssiens battus il remporterait haut la main la palme, il avait l'impression d'être passé sous un rouleau compresseur.

Lorsqu'elle s'approche et vient s'agenouiller à ses cotés il à cette réaction défensive, ce petit redressement du corps avec un écarquillement des yeux le tout accompagné d'une inspiration profonde, ayant l'impression que ça n'annonçait rien de bon ! Il est crispé et nerveux, magnifiquement tendu et suspicieux jusqu'a ce qu'elle passe une main sur sa joue... Surpris il cligne encore son joli regard Abyssian dans celui d'Irina, la tendresse de cette caresse le réconforte juste assez pour qu'il relache cette drôle de tension défensive qui animait son corps et le plat de son dos comme ses fesses rejoignent à nouveau le sol.

Ses yeux s'égarent alors sur le corps dénudé d'Irina... Il s'empourpre, il n'avait jamais vu... Jamais vu un vagin aussi pulpeux, charnu et bombé de chair que le sien, ni un clitoris si enflé, ressemblant à magnifique fruit bien tendu de sa chair ferme, de son jus, si beau et mur. Donnant de terribles, profondes envies de le goûter, de lui faire tellement, tellement de choses avec ses lèvres, sa langue, ses dents pointues même... C'était indécent, toutes ces pensées primaires, primitives, honteuses qui envahissent son intellect d'Abyssian.

Quelle honte... Quelle honte qu'il soit en train de ronronner d'un tel traitement... Elle profite cette incroyable garce, elle profite de sa victoire. Disposant de son adversaire. Malgré les liens, les chaines qui le retiennent il surélève ses hanches lorsque sa main glisse sur son corps, la surface lisse et brune aux reflets caramélisés de son torse révèle deux petites billes roses lorsque ses ongles s'y attardent, insistante, comme sûre de caresser assez longtemps cette zone pour les voir apparaître et n'aura pas eu tort quand elle put les voir prendre forme, s'ériger pour former deux toutes petites billes roses enflées.

Lorsque sa main parcourt sa zone pubienne entre ses jambes... Elle sent la forme un peu plus bombée, charnue d'une forme aussi lisse, belle et ferme qu'un vagin sans lèvres. fermé. Lorsqu'elle caresse cet endroit une vague emmenées par une succession d'abdominaux contractés harmonieusement dans leurs mouvements font chavirer les muscles de ses hanches, de ses cuisses que sa position écarte et rend si vulnérable... Incapable de lui cacher quoi que ce soit. Il y avait tant de désir dans ses caresses... Même... Même jusqu'a... Jusqu'a cet endroit qu'elle caresse du bout de la pulpe délicate, douce de ses doigts qui glissent entre ses sphères fessières, cet endroit interdit entre ses belles petites fesses musclées qui en un temps se sont contractées pour l'empêcher d'y passer puis la caresse de la progression de son doigt a amené presque naturellement ses fesses à se détendre.

C'est à la fin de cette caresse chatouilleuse et troublante entre ses fesses que son sexe surgit depuis la zone lisse de son pubis clos, une verge à la peau velourée, brune comme le reste de son corps mais culminant de son sommet aux alentours des 47,5 centimètres du bout à la base, et peut être, quelque chose comme 49 où 50 centimètres au paroxysme de ses doubles battements de coeur, qui la tendaient donc très fréquemment et la rendaient bien plus rigide et dressée, très stable dans sa fermeté érigée, bien plus dure que la moyenne malgré la pesanteur qui devrait faire son travail sur l'organe elle était bien droite, les battements de coeur de l'Abyssian, qu'ils soient lents, où rapides étaient particulièrement puissants.

Chose rare pour être notée ses bourses se sont également libérées de leur prison, légèrement plus foncées que le reste de la couleur brune et mielleuse de son corps. Deux sphères fermes qui luisaient de leur cuir tendu et pressurisé, où lézardaient quelques bonnes grosses veines, tout comme sur sa hampe dressée, aussi épaisses qu'un index.

Cela fait si longtemps que j’attends cela... je ne veux pas en gâcher la moindre seconde... qu'en dis tu ?

Tu... Longtemps ? Comment ça... Longtemps ?! Tu...

Il aurait voulu terminer sa phrase par un "tu aurais pas pu le dire plus tôt... idiote..." Mais son baiser étouffa ses paroles et il roula des yeux, loucha de plaisir alors qu'elle attrape fougueusement sa bouche, projetant son torse vers l'avant, renfonçant un peu sa nuque et l'arrière de la tête vers le sol entre ses épaules tendues, comme pour tenter une dernière échappatoire, impossible, face à la fougue et la détermination de son baiser.

Que pouvait il en dire embrassé de la sorte... Haaawh... HaaaaawRh... Il aimait qu'elle prenne soin de lui alors qu'elle l'avait vaincu, il avait cru à sa mort entre ses cuisses, il avait eu si envie, si envie d'elle au moment même où ses odeurs, la forme si belle, mure de son sexe pulpeux s'était découvert à son regard... C'était trop facile... Trop facile de s'en prendre... A plus faible que soi.. Surtout qu'il est attaché ! C'était si dur pour sa p'tite fierté d'accepter la défaite, encore plus d'accepter qu'elle fasse tout ce qu'elle veut de lui... Et pourtant c'est bien ce qu'elle faisait. Pendant qu'elle l'embrasse sa verge ne cesse de pulser et se dresser si fort, si fort...

Elle empoigne sa crinière enflammée et l'embrasse, l'embrasse avec une fougue et une envie exceptionnelle, rare, qu'il n'a pas l'habitude de recevoir sur ses douces lèvres, il s'en laisse vibrer, ronronner dans son baiser, tortillant des hanches et effectuant des rotations du bassin et des cuisses, comme s'il cherchait à ramper, à lui échapper sans réelle conviction de se soustraire à ses lèvres, mieux encore la douceur lascive des déhanchements si fluides, si fluides de son visage accompagnent la danse de ses lèvres sur les siennes, l'emporte dans une valse synchrone d'happements de lèvres et de tournoiement de sa langue dans son baiser... ses yeux troublés pétillant encore d'un éclat farouche et défiant mais ils ne sont certainement pas dénué du mélange brumeux et vibrant du désir, haletant lorsqu'elle lui lèche les lèvres, plissant magnifiquement son regard d'un désir qui se fait aussi orageux et farouche que sa défiance, les deux y résident pratiquement côte à côte et d'égale mesure, s'annulant où s'apprivoisant l'un l'autre.

Humr... Toi... Depuis combien de temps... Depuis combien de temps tu voulais... me faire ces choses ?

Il profite qu'elle lui mordille la lèvre inférieure, et lui laisse peut être un moment de répit pour s'exprimer d'une voix qu'il se méconnait, plus suave et sensuelle à son tour.

Ca... Ca contrevient à... A toutes les lois internationales de... De traitement des prisonniers... Et c'est... C'est une violation de plusieurs traités des droits de l'homme. Je pourrai me plaindre ! Mais... Mais tu sais... tu sais comme je suis un Abyssian, je suis pas humain... On... On s'en fout ? Tu peux... Tu peux recommencer si tu veux... Moi... Je... Tu sais... J'ai très envie que tu... recommences...


« Modifié: lundi 08 septembre 2014, 23:14:10 par Ludya »

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 12 mercredi 10 septembre 2014, 22:32:27

Irina sourit et lui pose un doigt sur les lèvres.

Irina - Chuuuuuut...

Elle emprisonne la tête de Ludya entre ses mains, et pose ses doigts délicats sur les tempes de sa proie.

*TAC*

L' Abyssien ressent un choc qui le tétanise et paralyse sa pensée et son corps alors qu'un courant électrique passe entre les mains d' Irina.

Irina - Ce n'est pas de ta discutions que j'ai envie.

Elle roule en boule un morceau de tissu et le four dans la bouche de sa proie avant que la paralysie de l’électrochoc disparaisse. Le gout du tissu est âpre et salé, chargé du parfum d' Irina, mais surtout de l'odeur forte et délicieuse de son entrejambe.

Irina - Tu es à moi... tu parle quand je te l'ordonne...

Elle lui sourit, impatiente de voir comment ce jeune mâle orgueilleux et vaniteux réagirait face à sa prise de pouvoir. Sans dire un mot de plus elle tourne son attention vers les deux superbes tétons qui ornent les puissants pectoraux de la bête.

De sa main libre elle s'amuse avec l'un d'eux, le titillant du bout des ongles, le massant entre le pousse et l'index, puis le caressant de la pulpe de ses doigts. Quant à l'autre elle le prend en bouche, reproduisant les mêmes gestes, mais avec ses lèvres pulpeuses et ses dents parfaites. Sauf qu'à cela elle ajoute les lapements de sa langue puissante et chaude.

Pendant ce temps, la main qui caressait son entrecuisse continue son œuvre, sauf qu'elle va de plus en plus vite. Elle lui presse l'emplacement d'où la queue devrait jaillir avec la paume de sa main et frictionne son pubis de ses doigts experts. Une chaleur incontrôlable enflamme les reins de l'extraterrestre.

Irina - Alé... donne la moi... je la veux... laisse la sortir !

Irina prononce ces dernières paroles avec la fureur sensuelle d'une succube.

Soudain la chaire de l' Abyssien se déforme et pousse, révélant aux yeux ébahis et incrédules d' Irina son pénis énorme et gigantesque. Il est plus gros et plus long que tout ce qu'elle avait pu voir ou prendre durant toutes ses années de service. Quant à ses bourses, elles aussi étaient volumineuses, et de toute évidence, pleines...

Irina - Brave bête... c'est bien... voici ta récompense...

Ajoute t'elle en lui pressant la base du pénis entre ses doigts puissants. Elle remonte alors lentement en maintenant sa prise pour que l' Abyssien ressente chaque centimètre carré de son sexe qu'elle empoigne.

 
« Modifié: mercredi 10 septembre 2014, 22:53:59 par Irina Tarkovskaya »

Ludya

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Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 13 jeudi 11 septembre 2014, 00:01:17

Qu'est ce qu'elle voulait faire ?! Elle voulait quand même pas en faire un légume en survoltant son cerveau ? Pitié... Pitié il veut pas devenir paralysé où enfermé dans son propre corps à jamais, qu'est ce qu'elle fait ?! Il a peur, il panique ou au moins ses yeux montrent de la panique au moment où le choc électrique se produit puis ses pensées se vident pour quelques secondes.

Irina - Ce n'est pas de ta discutions que j'ai envie.

Il aimait pas ces manières là, pourquoi elle vient de faire ça ?! Il est prisonnier de toute façon... Il peut rien faire ! Elle aime pas l'entendre parler... Elle aime pas sa voix ? Et viens lui foutre un morceau de tissu dans la bouche, il n'apprécie pas trop ça parce qu'il à l'impression que c'est très irrespectueux ! Puis c'est salé et tout pwââââah ça vient de son entrejambe !! C'est quand même pas ce qu'il croit quand même ? HEIN ?! Glourpfr ! Shi... Sh'est che qu'il penshe que ch'est... Hansh sh'est d... dégoutansh sha... HMmsh ? Dégoutansh ouish ! Lui y fouwsh pash sha culoshte dans la boushe des shens ! Sha va pash ou quoi ?

Irina - Tu es à moi... tu parle quand je te l'ordonne...

A elle ?! Non mais elle s'écoute celle là... Il a pas encore un collier autour du cou ! C'est vrai que... Qu'elle est très jolie mais... Mais saperlipopette c'est pas à elle de lui dire quand il peut parler où non ! GRrrr ! Il se remue en plissant l'orage défiant de son regard, mordant très fort sur le bout de tissu qu'elle à mis dans sa bouche, respirant au travers, il s'imbibe de sa salive puis doit bien la ravaler à un moment où à un autre, préférant respirer du nez pour éviter que son jeune cerveau soit trop vite atteint... Atteint par ses odeurs, ses hormones concentrées en plein dans sa bouche, ce qu'il trouvait un peu dégoûtant et insoutenable à son esprit quelques minutes plus tôt était en train d'envahir, d'ennivrer son cerveau de ses odeurs et de son goût si mûrs qui l'attaqueraient presque comme une espèce d'elixir, de liqueur où d'alcool bien trop puissant faisant des ravages sur les zones du désir même du cerveau de Ludya.

C'est pas vrai... C'est pas... HnGrr ! Possible !! HHaaaawww... Il ne savait pas qu'il pouvait être si sensible et si excité par l'extrêmité de ses propres tétons qui irradiaient de bien étranges chatouilles dans le reste de ses pectoraux, ça faisait du bieeen ! Plus de bien même qu'il ne l'aurait imaginé du bout de ses doigts si délicat et habiles, qui insistent et insistent à cet endroit, étirant, arquant son dos pour offrir les muscles très beaux et ronds de sa poitrine au supplice de ses lèvres, il gémit dans son baillon, un gémissement honteux et puis, heureusement étouffé pour cacher sa honte. Tout en faisant glisser ses cuisses comme s'il cherchait encore à lui échapper, pauvre fou...

Elle put sentir sa verge se dresser et durcir d'avantage lorsqu'elle s'acharnait avec ses lapements successifs, son corps y réagissait plus violemment qu'il ne pouvait le contrôler, envoyant des décharges de plaisir à chaque coup de langue titillant cette douce petite bille ornant la colline douce de chair ferme de sa poitrine.

C'était tellement bon ce qu'elle faisait avec son entrejambe juste avant que son engin ne jaillisse, en fait il aurait bien aimé résister un peu plus longtemps pour sentir le massage envieux, désireux et puissant de sa paume pressant ce relief charnel entre ses doigts et sa main entière, c'était tellement spécial, excitant de sentir ses doigts et sa main complète pouvoir emprisonner et masser la chair ferme de son pubis fermé, plus elle le massait et caressait là dessous plus elle le vit danser, chavirer, rouler des abdominaux et des hanches en poussant sur ses talons pour faire remonter ses fesses du sol, son bas ventre et ses cuisses en tremblaient, comme tétanisées au sommet d'un déhanchement envoyant ce pubis fort haut et loin appuyer contre sa main puis revenir en arrière dans un mouvement fluide, si roulé des hanches avant de repartir à l'assaut du prochain passage de sa main pour s'appuyer volontairement plus fort encore dessus.

Irina - Alé... donne la moi... je la veux... laisse la sortir !

Inutile sans doute de répéter ce qui aurait déjà été dit à ce sujet mais ses organes génitaux jaillirent littéralement de son corps de là où il n'y avait absolument rien précédemment, même pas d'ouverture ni de supposé cachette visible, non ça jaillit immédiatement à la surface du pubis lisse et rond.

Irina - Brave bête... c'est bien... voici ta récompense...

Brave bête... Brave bête ?! Non mais ça va pas il est pas un pitain d'animal hein ! Une récompense ?! Il avait rien demandée ! Faut qu'elle arrête tout d'suite avec ça parce qu... ?! Hhh... HHOoooooh... HUuMmmm... Non non non elle faisait quoi la ?! LAaa ?! LAAAhh !! LAaaaaaahh huuuuuuuuuuuuummmm !!! Ses doigts empoignaient si fermement dans la chair dure de son truc que, d'habitude c'était lisse, très lisse, ultra lisse même mais elle, elle empoignait si fort dedans qu'on pouvait presque entendre comme un crissement de gomme d'un pneu freinant à bloc sur la route où lorsqu'on prends un tournant trop vite, où comme les semelles toutes neuves de chaussures crissant sur les carrelages... Ses doigts parvenaient même à se presser dans la chair de sa virilité et la masser, malgré son incroyable fermeté lisse et sa dureté.

C'était tellement plaisant le touché d'une femme aussi puissante et mûre qu'elle mais en même temps un peu douloureux on lui avait jamais empoigné la verge pour la caresser comme ça auparavant, en plus elle faisait ça lentement, elle emprisonnait certaines de ses pulsions sanguines dans sa verge en la caressant si fort ce qui l'épaississait par moment d'avantage.
 
Ses yeux s'embrumaient de désir mais quelques petites piques farouches luisaient ici et là dans ses yeux, elle était lente exprès pour qu'il ressente toute la surface, l’entièreté de son machin glisser entre ses doigts et de la base à la pulpe de son gland elle ne put que ressentir la tension très lisse d'une chair et d'un cuir exceptionnellement tendue sous la densité plus forte, plus outre-monde de son corps et ça le tuait, cette délicatesse mêlée de fermeté, de puissance, et le désir qui sortait de ses lèvres ça le faisait fondre.

Oui ça commençait à le faire fondre, roulant sa joue couchée sur la rondeur de l'une de ses épaules en faisant mine de la regarder du coin de ses paupières mi closes, mastiquant avec honte le bout de tissu dans sa bouche pour le faire suinter de son jus, s'imprégner du goût de plus en plus désirable du corps mûr et puissant d'Irina. Ses mains et ses pieds cherchant à tirer parfois sur leurs fers et toute sa musculature se mettait à onduler et se contracter par endroits lorsqu'il le faisait, se braquant soudainement lorsqu'une empoignade était plus forte qu'une autre. Ca devait sans doute être la première fois qu'Irina devait pouvoir user d'une bonne partie de sa force en empoignant un sexe sans qu'elle ne le déchire en n'y allant pas forcément avec le revers de la cuillère, Ludya était bien membré mais c'était aussi très solide comme le reste de son corps.

Prisonnier et désormais dans l'incapacité de s'exprimer, juste... Juste subir... Subir ses tortures, ses yeux se rivaient dans les siens, fébriles et tremblants si rapidement. Malgré le baillon des souffles chauds de désir laissant des petits nuages de buée par différence de température commençaient à s'élever à mesure qu'il haletait au travers du baillon qu'il mordait, mordait fièrement entre ses jolies paires de dents pointues. Puisqu'il n'était qu'une bête d'après elle il se mit à grogner dans son bâillon en la fixant du regard.

« Modifié: jeudi 11 septembre 2014, 00:09:33 par Ludya »

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : The Evil that men do [Irina Tarkovskaya - Ludya]

Réponse 14 dimanche 14 septembre 2014, 22:14:56

Au début le bel étalon de bronze tente de lui résister, mais cela ne fait que renforcer le désir prédateur et arachnéen de la Cyborg. Et comme toute veuve noire qui se respecte elle commence à inoculer son venin... Tout le corps d' Irina se met à exsuder d'une transpiration forte, aux râlants sexuels et exotiques. Le mélange d'hormones et de drogues naturelles se mêlent à ses sucs et commencent à glisser le long de sa peau d'albatre. L'abyssien assiste impuissant à leur chute inévitable, puis les premières goutes touchent sa peau et s'y enfoncent lentement. Le cocktail commence immédiatement à agir, développant son désir, troublant son jugement au point qu'il ne se soucie plus que de l'assouvissement de ses instincts. Les drogues courent dans ses veines jusque dans son cerveau, son cœur et son énorme membre reproducteur qui vient de jaillir, décuplant ses sensations de plaisir.

Irina le regarde changer et se mettre à grogner comme une bête, les yeux noircis par la folie du désir.

Irina - Bien... bien... tu as l'air prêt... tu ne me mordra peut être pas maintenant.

Et sans dire un mot de plus elle lui arrache le string qu'elle lui a profondément enfoncée dans la bouche. Elle se lève et vient se placer au dessus de lui, les pieds de chaque coté de ses épaules, la tête tournée vers son phallus. Puis dans un soupire de contentement elle se laisse glisser à genou, s' assaillant directement sur le visage de sa proie. Elle s'affale en avant pour pouvoir prendre entre ses mains la queue de Lydua et former ainsi un 69 parfait.

Irina commence à frotter sa vulve humide contre le visage du bel Abyssien pendant qu'elle le masturbe vigoureusement de plus en plus vite. Elle continue ses vas et vient, s'aidant de ses deux mains jusqu'à ce qu'elle sente son membre gonfler et ses hanches bouger sous l'orgasme montant.

Et quand elle sent qu'il est sur le point de jouir, elle presse la base de son pénis de toute ses forces et enroule la ficelle de son string autour. La queue turgescente de l'Abyssien se couvre de veines épaisses et gonflées et gagne encore en volume, la douleur et le plaisir son immense pour lui, mais il ne peux venir, elle l'en empêche. Son corps lui impose d’éjaculer, mais il en est incapable...

Irina - Tu jouiras aussi quand je le déciderais.

Ajoute t'elle d'une voix cruelle avant de refermer sa bouche sur le gland de Ludia...


 



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