N... Non ! Elle... Qu'est ce qu'elle fait ? Qu'est ce qu... Qu'est ce qui envahit son corps, son sang ?! Il aurait du essayer de rafermir sa peau, l'imperméabiliser a la pénétration de cette drogue liquide, mais il avait été absorbé par la beauté de ce corps amplifiée par la glisse de cette magnifique sueur éthylique lustrant ses courbes. Il n'avait pourtant pas besoin de ça pour la désirer, bien qu'il aime opposer une petite résistance, juste de quoi attiser son désir, attiser doucement ses instincts de prédatrice mais elle avait décidé d'y aller fort, très fort d'entrée en infusant cette drogue aphrodisiaque très pure, extrêmement concentrée par les pores de la peau de Ludya... Bien que la composition des cellules et du sang de Ludya lui soit complétement inconnue elle effectua le pari un peu risqué d'introduire cette substance étrangère dans son corps, qui s'attaqua très rapidement à son cerveau, par chance ce n'était pas incompatible et les effets furent foudroyants ! Trop pure et si forte pour son organisme, ennivrant son cerveau.
Il y eut tout de même une réaction, un effet secondaire, les taches sombres de ses yeux s'étendirent à toute son iris devenue noire, comme si ses pupilles s'étaient largement dilatées.
L'étendue presque complète de l'éventail de sa musculature se mit à travailler, s'épaissir et se décontracter, ses battements de coeur d'augmenter leur rythme, à ce vertige de belles contractions physiques et de réactions physiologiques étranges qu'il ressent se lie l'ivresse d'un désir si puissant qu'on pourrait le qualifier de primitif, il ne savait pas qu'il était capable de se comporter comme une bête en rûte... Il n'avait d'yeux et d'envies que pour ce corps qu'il ne pouvait atteindre, mais qui ne tarda pas à lui offrir une vue imprenable sur les courbes si belles, si parfaites de ses cuisses et fesses là dessous, il vit les ombres et la lumière s'allier dans une danse pour lécher ses formes captivantes à mesure qu'elle s'approchait, venait s'assoir le joli minois de l'Abyssian qui, fut en partie enveloppé par la fermeté magnifique des volumes voluptueux de sa vulve déjà enflée de désir, pratiquement étouffé là dessous ♥ Elle couvrait une partie de ses traits enfouis entre ses lèvres qui semblait n'être alors qu'un coussin de chair bien tendu et charnu cherchant presque à épouser ses traits... Tout comme lorsqu'elle l'avait emmené dans les eaux glaciales et avait vu sa mort venir, Haaanw... Il n'aurait, dans son imagination encore fertile et ses fantasmes naissants, pas pu rêver meilleure façon d'étouffer ! Trônant sur son visage, ses lèvres s'entrouvrant pour l'embrasser quand elle se pose. Son petit nez également enfoui sous le délice de ses odeurs et de ses lèvres caressant l'arrête de son nez. Forcé de respirer tout contre sa chair, s'imprégnant de l'odeur entêtante de ses phéromones puissantes.
Il lèche, lèche, lappe comme une petite furie ! Ses coups de langue et les mouvements fluides de son visage ainsi que de sa nuque accompagnent en rythme ses glissades volontaires sur son visage, se servant amoureusement de ses traits pour se frotter, se gratter le sexe sur le doux faciès de Ludya, le badigeonnant de cette essence follement aphrodisiaque, qu'il lèche, lappe comme un petit chaton à la soif intarrissable, ses gémissements se font entendre, même si étouffés par sa vulve charnue lui épousant, lui ventousant, embrassant où même, aspirant les doux traits de son visage entre ses lèvres ! Il aimait tellement ça, tellement être à sa merci sans l'avouer, dans cet état second il loua le ciel de sa naiveté et sa maladresse qui l'ont conduit à perdre face à elle. A maintes reprises il aurait voulu se servir de ses mains pour plaquer trrrès très fort son sexe contre son visage ! Au lieu de celà il devait se contenter d'agiter vivement et rapidement ses mâchoires pour frotter son menton, ses lèvres, les traits de son visage trrrès très fort contre son sexe qui avance et recule, se frotte contre lui, si fort qu'elle pourrait avoir l'impression qu'il essaye soit d'introduire sa bouche où son menton en elle soit de se faire un lissage où un gommage des traits contre la chair de son sexe !
Sa langue râpeuse fait des ravages entre chacunes de ses allées venues, embrasant son sexe, il voudrait de temps en temps qu'elle s'arrête pour la mordiller gentiment du bout de ses crocs, apprécier le volume entier de sa zone pubienne enfermée entre ses dents et pointiller le bout de ses dents partout dessus ! Goùter à sa chair juteuse qui l'affole d'envie et mastiquer son sexe comme on aurait envie d'apprécier l'élasticité et la texture d'une telle bonne chair entre ses dents ! Des désirs et des envies primitives oui ! Qui n'avaient pas le droit de se développer tant et si fort qu'elles chassent toute logique où raison de son esprit ! Et elle faisait ces choses si excitantes avec ses mains, la poigne redoutable de ses mains enserrées solidement autour de son membre, elle serrait fort, fort contre la fibre dense et très solide de sa verge. Pourvu qu'elle use de sa salive, où d'un quelconque lubrifiant, autrement ses mains allaient déraper le long de son membre ultra lisse tout du long et lui échauffer douloureusement le cuir ! A force de crissements caoutchouteux sur la longueur impressionnante de son membre. Elle avait là aussi du se servir de ses sucs surpuissants pour lui graisser la queue sans quoi elle n'aurait pas pu le masturber vite, plus vite, encore plus vite et si fort, insistant bien à une allure qui ne pouvait pas lui laisser la moindre chance d'échapper à la montée rapide, trop rapide de son plaisir, et elle le savait, elle le savait puisque soudain elle lia la base de son sexe avec les lanières serrées de son string alors qu'il souffrait de l'envie de se libérer !
C'était si intense ! Si fort ! Trop même peut être pour le pauvre Abyssian qui n'était pas habitué à des traitements si "hard" il en était encore à faire les choses avec douceur ! Et ouille ! Ca lui faisait mal, et c'était beaucoup plus sensible que chez un adulte accompli ayant l'habitude d'autant de choses ! Il feulait autant de douleur que de plaisir et parfois elle pouvait voir que c'était un peu trop franc et intense pour lui quand des piques de sensations font se contracter son corps qui s'arque en cherchant à échapper à ses mains, à ses caresses si franches sur son sexe. Mais la douleur s'estompa et se changea bien vite en pur moment de délivrance, de bonheur soulagé quand son sexe érigé, encore plus que d'habitude par les pulsions sanguines emprisonnées, atteignant un fatidique et ultime 51 ème centimètre au bout des pulsations de ses deux coeurs, fut happé entre ses lèvres humides...
Il poussa un looong râle de soulagement satisfait, en dandinant un peu ses cuisses et remuant sa queue d'Abyssian à ce contact qui était si frais, si frais après l'échauffement brutal et impitoyable de son sexe par une masturbation si vive et rapide de sa verge qu'il la sentit même s'échauffer par friction ! Sa queue d'Abyssian titilla le bout de ses tétons pendant qu'elle s'étala de tout son long sur son corps. Maintenant qu'elle était étendue elle ne pouvait plus tant se râper le sexe sur son visage et lui pouvait sucer sa belle framboise enflée entre ses lèvres, faire tout le tour de l'extérieur comme de l'intérieur de sa vulve avec sa vilaine petite langue râpeuse ! Qui explorait, découvrait, la goûtait avec un tel appétit ! Il avait envie d'elle, teeellement envie d'elle, elle l'a rendu dingue de son beau sexe bien mûr et juteux qu'il a très très envie de presser contre ses lèvres, contre ses dents, le picorant, caressant en mouvements fluides, circulaires, de ses joues et son visage dessus... Une envie bestiale oui, bestiale de lui presser ce sexe enflé entre ses mâchoires où ses doigts comme on le ferait d'une éponge trop gorgée d'eau. Pourquoi... Pourquoi il avait envie de lui ravager cette magnifique chose dont les formes dévelopées et gonflées ne faisait qu'aviver la flamme toujours plus vive et grondante d'un désir qui... qui... qui lui donnait envie de dire des trucs pas très jolis, vulgaires même ! C'est à cause de cette drogue aphrodisiaque ! Oui, quelle bonne excuse... Il aurait voulu lui dire qu'il avait envie de faire de la salade de choufleur farcie avec sa petite fleur ! Autrement dit, de lui fondre le sexe au chalumeau de sa queue, lui démolir la chatte ! La passer au papier de verre avec sa langue ! Ce qu'il faisait déjà mais, GRRrroui ! Il la voulait il la voulait il avait jamais ressenti une telle obsession admirative et destructrice d'une envie de... D'une envie de mordre à pleines dents dans son sexe, lui mâchouiller et tout ! Il lui aurait semblé qu'il était fait pour être pressé trrrès fort pour le purger de son enflement d'excitation !
Pourquoi il pense à de telles choses, c'était même plus violent ces envies, comme pensées que la douleur qu'il ressent à ne pas jouir ! Cet aphrodisiaque le rend complétement fou ! Et pourtant il avait envie qu'elle continue, qu'elle continue à frotter son sexe sur son visage, il se trempait les traits dedans, le farfouillait de ses lèvres, de sa langue, rapide ! rapide ! si rapide ! tellement rapide ! Appuyant par quasi déhanchements fluides et rabattus de sa tête vers elle en exposant son menton, qui, son menton poussait sur l'aplani de sa langue, sa langue et bien, elle était reposée sur sa lippe inférieure et puis une bonne partie de son menton et c'était son menton qui poussait terriblement fort pour râper sa langue contre sa vulve. Il attrapait parfois son sexe entre ses lèvres et ses dents pour presser la chair et en boire le jus. Mais même s'il mordait c'était pas vraiment douloureux, il cherchait pas à percer la chair, juste la presser avec la forme de ses dents. Loin des pensées de Ludya l'envie de lui faire du mal, c'était intense comme traitement pour son sexe mais il était tellement beaaau, tellement, sais pas, plein de volume, charnel, symbole d'une terrible fertilité ! On aurait dit le plus jolis des petits coussin de cuir très lisse et tendu, ferme, Ca donnait envie de le... De le ravager puis voilà !
Mais elle put sentir qu'il défaillait quand elle encercla son sexe avec ses lèvres, sa tête se rejetant en arrière dans un grognement plus suave, profond, éperdu du mal de plaisir qu'il ne lui était pas permis ♥ Si bonne, si belle et aussi si cruelle ! Son gland pulsait anormalement fort de ses battements, elle pouvait le sentir battre la mesure de ses deux coeurs entre ses lèvres, les écartant un petit peu au bout de la pression forte d'une infusion sanguine dans sa chair et les laisser se refermer d'avantage autour de son bout. Il voulait sentir le soulagement de sa salive et de ses lèvres l'englober d'avantage, c'était insupportable tout ça, ouie ! Rrroui ! Il n'avait aucune idée qu'on pouvait le torturer de cette manière !
Autrement... Il ne pouvait qu'être dans l'attente au travers de son agonie, n'avait aucun contrôle et ne pouvait faire que subir les envies de cette magnifique tortionnaire... Et comprenait peu à peu l'étendue ravagée et impressionnante de ses désirs frustrés pour son Abyssian captif au compte goutte des gestes parfois brusques, parfois plus tendres, impatients, experts où savants, et il ne pouvait décidément pas faire autre chose que vibrer, puisqu'il lui était même impossible de parler avec son sexe collé au visage.