Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

L'ennui avait gagné Slade, tellement qu'il avait congédié Tut pour quelques jours, afin qu'il ait la paix… enfin, congédié… il lui avait donné une tâche bidon que son cerveau de petite idiote mettrait quelques jours à résoudre, un peu comme un puzzle pour blonde… dans tous les cas, il avait ainsi la paix. Elle lui tapait sévèrement sur les nerfs à force de voleter autour de lui, à piailler sans cesse… bon dieu ce qu'elle pouvait se montrer pénible… et quand il s'était trouvé trop las pour la supporter, il l'avait congédiée…

Mais du coup, il se cherchait une nouvelle activité, peu importe qu'elle ne soit pas permanente, qu'elle reste juste temporaire, tant qu'elle était assez intéressante pour l'occuper ne serait-ce qu'aujourd'hu. Si elle durait plus longtemps, tant mieux, si elle durait moins, tant pis… Il sourit et décida donc de changer un peu ses habitudes . En effet, il disposait de la possibilité de se dépayser unn peu en se rendant sur terre…. Et il connaissait un coin sur terre, une petite ville ien sympathique avec, comble de la chance, un joli petit quartier qui ressemblait davantage à un coupe gorge qu'autre chose…

IL adorait cet endroit en particulier pour la simple et bonne raison qu'il  s'y sentait dans son élment. IL pouvait y trouver tout ce qu'il voulait car il pouvait se le procurer lui-même… et personne ne se poserait de question, les policiers n'intervenaient que très rarement, car pas assez bien armés, et plutôt bien corrompus… Aussi, il n'avait quà attendr ele bon moment et s'emparer de ce qu'il voulait. Et c'était d'autant plus pratique qu'il avait payé un joli petit pied à terre : une sorte de cave très bien aménagée sur plusieurs niveaux que des serviteurs féeriques avaient été obligés de creuser, ainsi, il faisait ce qu'il voulait et personne n'y voyait le moindre problème, n'entendait le moindre cri… il l'avait équipé de plein de matériel intéresant, et contrairement à Terra, ici, il yb avait l'électricité, l'eau courante et tout ce qui en découlait…

Tapis dans une ruelle à deux pas du petit coin qu'il s'était fait faire, il attendait donc la cible idéale…. Cela l'occuperait bien un  peu… il attendit ainsi presque toute la journée, l'une était trop grasse, l'autre pas assez en forme, une autre, quoique cherchant bien les ennuis, trouvait-il, était beaucoup trop jeune à son goût… sans doute pas encore lycéenne… enfin, il vit une personne qui lui plaisait :  une jeune femme aux cheveux joliment colorés, vêtue de noir, qui se mouvait avec une certaine grâce. Elle semblait assez mignonne, aussi, il ne voyait pas de raison de ne pas la choisir…

Il sortit de sa « cachette » alors qu'elle s'apprêtait à passer devant lui, et il lui fit un sourire qui s'accordait mal avec un regard aussi glacial que le sien, froid du surtout à son apanage et à la couleur de ceux-ci plus qu'à un ressentiment.. une lueur malveillante les animait néanmoins quelque peu… cet instant de « sortie » lui permit durant quelques instants de bien observer la jeune femme, quelqu'un de tout à fait à son goût en avait. Comment était-elle nue, était une autre question….

« Bonjour mademoiselle... »

En effet, si le soir approchait sans doute, le soleil était encore bien présent. Il était peut être six heures du soir…

« Dites-moi, vous savez que le quartier n'est pas particulièrement sur ? »

Il lui sourit et d'un seul coup, la pousa dans la ruelle, sans ménagement…

« Tu pourrais tomber sur quelqu'un de mal intentionné...

Aujourd'hui était un jour étrange, il régnait dans l'atmosphère une sensation malsaine, il faisait soleil, mais le ciel était assombri. la météo avait annoncé de l'orage, ce qui donnait un aspect surnaturel au climat. Si Coralie était superstitieuse, elle penserai que c'est un mauvais présage, mais ce n'est pas le cas. La radio de sa chambre jouait la musique Bad Company de Paul Rodgers, une musique rythmé et entraînante qui mettais la jeune fille de bonne humeur. Cette dernière se préparait à aller dans une soirée organisé par des amis de sa classe. En  temps normal elle aurait refusé, à cause de Lust Enigma. Mais depuis qu'elle avait fait la connaissance de la chanteuse Inori, cette dernière utilisait son pouvoir pour apaiser les pulsations de la malédiction. Pour la première fois depuis cette fameuse nuit, Coralie se sentait vraiment heureuse, elle pouvait mener la vie lambda dont elle a toujours rêvé. Comble du bonheur, la jeune fille n'avais pas ressentit la présence de Lust Enigma de toute la journée.
Pour marquer le coup, elle se fit belle, et fit des efforts pour choisir sa tenue. Une chemise avec des coutures violettes, une jupe longue avec des motifs de fleurs pourpres discrets et des ballerines simples. Bon tout ça était de couleur noire mais Coralie avait peur de choisir des vêtement coloré à cause de sa malédiction. Si Inori continuait à utiliser son pouvoir, tout cela serai peut être de l'histoire ancienne. Sa joie était telle, qu'elle se permit même une petite fantaisie, ses sous-vêtements était un ensemble soutien-gorge, string noir tout ce qui a de plus classique. Mais elle mit une jarretière noire sur sa jambe droite, elle n'était pas en dentelle car elle n'osais pas passer le cap mais rien que ce petit bout de tissus autour de la jambe était déjà une révolution dans la vie de la jeune fille. Pour donner une petite touche de couleur à toute cette noirceur, elle mit une fine mais très longue écharpe rose autour du coup au cas où l'air deviendrai frais.

Coralie se dirigea donc en direction de la soirée, pour aller plus vite, elle pris la décision de passer par le quartier de la Toussaint. En temps normal, elle n'aurait jamais traversé ce coupe-gorge et elle même éprouva de légères inquiétudes. Mais ces dernières s'envolèrent immédiatement lorsqu'elle se rendit compte que même les petits voyous du coin n'était pas plus attiré que ça par elle. La jeune fille était sur un petit nuage, elle aurait voulu que ce sentiment dure toute sa vie. Elle avait l'impression que sa malédiction c'était envolé.
C'est alors, qu'au détour d'une ruelle, elle tomba nez à nez avec un homme à la stature imposante et aux cheveux blanc. Ce dernier regarda attentivement la jeune fille, les yeux était d'une froideur hivernale. Un léger rictus apparu sur le visage de l'inconnu.

Bonjour mademoiselle... Dites-moi, vous savez que le quartier n'est pas particulièrement sur ?

Et sans attendre, il poussa violemment Coralie plus loin dans la ruelle qui semblait visiblement totalement vide, ce qui la fit tombé à la renverse. La situation avait totalement changé. Elle était passé du nirvana à l'enfer.

Tu pourrais tomber sur quelqu'un de mal intentionné...

Coralie était terrorisé, l'homme n'était comme aucune autre personne qu'elle avait pu rencontrer jusque là. Il dégageait une aura terrifiante, tout son corps tremblait comme jamais, et des larmes commençait à perler sur le coin de ses yeux. Elle ressentit alors le pouvoir de Lust Enigma, la jeune fille n'avait jamais ressentit de pulsation aussi forte. C'est alors qu'elle pris conscience de l'horreur de la situation dans laquelle elle se trouvait. Coralie se frotta les yeux et se releva doucement, elle marqua un temps de pause et plongea son regard dans celui de l'inconnu, il fallu toute sa force de volonté pour ne pas s'évanouir.

Est-tu le bourreau de mon destin ? Celui qui doit abuser de moi au cours de la 19e année de ma vie ? Demanda-t'elle avec détermination.

C'était une question idiote, elle savait bien qu'il ne pouvait pas répondre, et même s'il disait oui, ce ne serait probablement qu'à cause de l'influence de Lust Enigma. Pour sa part, elle en était convaincu, cet inconnu était le monstre de sa destiné. Coralie n'attendit pas qu'il réponde, elle était entrain de se préparer psychologiquement à l’événement le plus important de sa vie. Si elle parvenait à le vaincre, elle deviendrait capable de prendre son avenir en main, de contrôler enfin cette malédiction qui l'a hantait.
Elle sortie de son sac, l'une de ses lames d'auto-défense et fendit la jupe sur la longueur révélant sa jarretière. La jeune fille avait besoin de toute sa mobilité pour le combat à venir, elle se mit en position de combat et ce concentra sur son adversaire. Coralie tentait par tous les moyens de ne pas succomber à la peur, car avec une telle pression, elle serait paralysé. Peut être qu'elle n'avait aucune chance face à lui, peut être qu'elle serait balayé en même pas une minute. Mais une chose était sur, elle allait se battre de toute ses forces ! Si ce mec voulait abuser d'elle, il allait devoir le mériter !

La terreur, voilà un sentiment qu'il aimait propager par nature… il y trouvait une certaine forme de frisson,  une certaine forme de plaisir, presque sexuel, quand il y réfléchissait… il sourit et la regarda alors qu'elle semblait un peu chercher un moyen de s'en sortir… aaah….. un doux frisson lui parcourut l'échine, le long de ses écailles… délicieux…

Ses propos étaient troublant… le bourreau de son destin ? Abuser d'elle au court de sa dix neuvième année ? Heu… de quoi elle parlait ? Il se fichait de son âge, et plus encore, il se fichait de sa connerie foutrement pénible qu'elle appelait destin. Il était son destin ? Qui sait… après tout elle était là, elle était sa proie, non ?

Il lui sourit alors qu'elle semblait se tenir prête à se battre. Prête à se battre... c'était amusant, comme idée, tiens… il sourit et la regarda alors qu'elle fendait sa robe pour avoir un minimum de liberté. IL sourit soit. Mais elle allait déchanter !  IL pouvait le lui garantir ! Mais  ce serait sans doute plus efficace de cette maière, après tout… une brève concentration, et après, il pouvait prendre le coups les plus puissants :  son corps devenait aussi solide que du carbone pur :  du diamant… il regarda la jolie cuisse désormais dévoilée et lui lança, amusé :

« Jolie jarretière dis moi... »

Pourquoi se priver du plaisir d'une petite démonstration, avant qu'elle frappe, histoire qu'elle sache à quoi s'attendre… il envoya un coup de poing nonchalant dans le mur, comme si de rien n'était… il sentit son poing s'enfoncer au travers du ciment, du béton… il sourit et retira son poing. Et le froid s'abattit sur les lieux… il ne s'agissait pas d'une simple brisr, mais sur le sol même des lieux, des traces de givre apparurent, comme si l'hiver était de retour…

Le chevalier de l'hiver prenait possession des lieux…. Et si le combat s'éternisait plus d'une demi-journée, il se mettrait à neiger dru dans toute la ville. Aussi, autant récupérer cette minette le plus vite possible, non ? IL se contenta de croiser les bras sur son buste et d'attendre quelque chose…

« Bon, allez, vas y, frappe de toutes tes forces, avec ton couteau, si tu veux, je ne chercherai même pas à parer... »

Mais contra attaquer, il n'hésiterait pas un seul instant : en effet, la lame volerait en éclat. Pire, elle se briserait tous les os de la main si elle cherchait à frapper à mains nue, mais dans tous les cas, il riposterait, dans le creux de l'estomac, un violent coup de genou, suivit d'un coup sec et rapide, ses deux poings dans ses omoplates, une pour chaque… elle mangerait le béton…

« Je ne comprends pas tes conneries, et sincèrement, je m'en fous... »

La réaction de l'inconnu confirma les doutes de Coralie, il n'était pas conscient d'être directement l'agent au service du destin. Cela ne changeait finalement pas grand chose à la donne. Son ennemi se tenait face à elle et semblait déterminé à assouvir ses pulsions.

L'homme posa simplement son poing sur le mur, et à l'instant d'après, la température tomba brusquement, le froid s'engouffra dans la ruelle, des traces de givre apparurent sur le sol et les murs.

Bon, allez, vas y, frappe de toutes tes forces, avec ton couteau, si tu veux, je ne chercherai même pas à parer...

Ce n'était pas la première fois qu'elle vivait un événement surnaturel, son amie Inori possédait également des pouvoirs. Mais là, c'était au-delà de tout ce qu'elle avait pu voir. L'homme semblait sûr de lui, de ses capacités et de ses pouvoirs. Coralie avait l'impression d'être une enfant qui devait gravir une immense montagne. Le froid commençait à mordre la peau sensible  de la jeune fille, elle se sentait de plus en plus paralysé, tant sur le point physique que mental.
C'était l'instant de vérité, c'était tout ou rien. Soit elle parvenait à réussir l'impossible et elle serait libre, soit était battu et alors ... Elle ne préférait pas l'imaginer. Coralie fit le vide dans son esprit et se lança à corps perdu dans son combat. Cela débuta avec un coup de pied dans une canette proche pour l'envoyer directement dans le visage de l'inconnu. Le but était de déstabiliser son adversaire et de profiter d'un moment de distraction. A la surprise de la jeune fille, il ne fit rien, la canette cogna sur son front sans aucune réaction de sa part. Elle aurait jeté la canette sur un mur que le résultat aurait été le même. Elle ne se laissa pas abattre et frappa avec son couteau dans le cœur de son adversaire. Hélas, le résultat fut le même, la lame se brisa lorsqu'elle rencontra l’épiderme de l'homme. Coralie n'eut même pas le temps de rendre compte de ce qu'il venait de se produire qu'un déluge de coups s'abattit sur elle en de nombreux point.

Je ne comprends pas tes conneries, et sincèrement, je m'en fous...

La jeune fille était à présent au sol, elle avait mal partout, et le froid engourdissait ses membres. Sa vision était flou, non seulement à cause de la douleur mais aussi à cause des larmes qui firent leur apparitions.

C'est ... C'est déjà fini ? C'est tout ? Voila à quoi se résume le combat de ma vie ? ... Je suis déçu. Il va se passer quoi maintenant ? je vais me faire violer ? Il va me ligoter, me baillonner et faire de moi son jouet ? Qu'est-ce que ça peut changer ? Se questionna Coralie.

Son visage touchait le sol gelée, elle perdait petit à petit les sensations sur la joue. Lorsque sa vision devînt un peu plus net, elle crut apercevoir Lust Enigma assis sur une poubelle. Ce dernier semblait se réjouir de la situation, elle devait effectivement être pitoyable. Elle avait tellement besoin de l'aide de quelqu'un, de son frère, Inori, ou de n'importe qui, elle avait envie de hurler "au secours", mais la ruelle était désespérément vide. Et même si quelqu'un était là, qu'aurait-il pu faire face à ce monstre.
Elle pris appuis sur le sol et se releva doucement, c'était une tâche extrêmement difficile vu son état. Coralie était convaincu d'une chose, c'était son histoire qui était en jeu, son destin, c'était à elle de faire quelque chose et pas un autre. Elle prit une ultime résolution, étant donné que la jeune fille n'avait pratiquement plus de force, elle allait puiser dans tout ce qui lui reste pour donner un ultime coup. Quelque soit le résultat, elle l'accepterai, peut-être que pour l'ennuyer elle se débattrait un peu, mais elle accepterait l'idée de devenir une esclave sexuelle. Coralie leva sa main et ferma son poing, son esprit calme et apaisé. Le pouvoir de Lust Enigma était de nouveau entrain de produire de puissante pulsation mais pour la première fois, elles émanaient de la jeune fille. Pour la première fois, elle avait l'impression que c'était   son destin qui donnait le coup et non elle.

Que toute ma volonté s'abatte sur toi, car ceci est le poing de mon âme. Hurla Coralie dans sa tête.

Slade éprouvait un vif plaisir devant la résistance de la jeune femme. IL ne détestait pas celles qui renonçaient au moindre problème, mais il n'était pas contre un peu de jeu, comme un chat devant sa proie, en effet, il aimait jouer, jouer jusqu'à la reddition complète… comme pour tester son esbroufe, elle lui jeta une canette et il ne réagit pas. Elle était vide de toute manière,e t puis, elle n'allait pas le blesser, quand bien même elle aurait eu un mal fou à trouver quelque chose qui aurait pu lui faire un bleu…

Il sourit et regarda la jeune femme, petit sourire en coin… ah…. Le plat de résistance, la voilà qui s'y mettait, et comme il avait prévu de le faire, la réponse fut immédiate et il la regarda au sol. Si elle avait frappé trop fort, elle se serait sans doute cassé tous les os de la main, mais sans doute avait-elle prévu un minimum et donc ne s'était pas abîmé tant que cela… il la regarda, les yeux pétillant de malice et d'un éclat d'envie autant que de malveillance…

Sa question, c'était de savoir si c'était fini. Allait-elle renoncer si vite après ? Il dut attendre qu'elle se relève, plus encore, qu'elle se reprenne pour être sur de quoique ce soit. IL la regarda, comme si elle essayait d reprendre ses esprits. Reprendre ses esprits… voilà qui était intéressant… elle semblait à nouveau prête à se battre, tant mieux, ce serait plus amusant… il al regarda agir, serrant son poing avant de tenter de le frapper de nouveau… peine perdue. Cette fois-ci, il ne chercha pas à esquiver pour contre-attaquer.

Il se contenta, en effet, d'attraper d'un geste vif son poing en plein vol, tenant sa mimine dans sa grande pogne, quoiqu'il ne soit pas colossal. IL se contenta après de continuer le mouvement jusqu'à ce que le reste du corps de la jeune femme arrive davantage à portée et il tendit la jambe, dans une forme des plus basiques de croche-patte… gardant le bras en main, il le lui rabattit dans le dos, le lui tordant dans une clef de bras des plus efficaces…

Sa main était glacée, pas juste froide comme un vent d'hiver venant du septentrion, mais plus comme si le contact vous glaçait jusqu'à l'âme, lui engourdissant tout le bras alors que le bras en lui-même devenait rigide comme si il avait geléle sang dans le membre, lui gelait les muscles. Puis, tout en la maintenant au sol, il posa son genou contre ses reins.

« Alors, comment vas-tu te défendre maintenant ? »

Il éclata de rire avant de lui caresser la joue avec une douceur étonnante. Il lui prit quelques cheveux dans la main pour les examiner avant de finalement reprendre la parole, sur ce ton douceureux mais qui ne présageait pas pour autant quelque chose d'agréable pour la suite…

« Tu sais, ma jolie… ma jolie… - tiens, d'ailleurs, c'est quoi ton nom ? - ce quartier a beaucoup d'inconvénients, la criminalité, les cartels et mafias en tout genre, mais surtout, il a certains avantages encore meilleurs :  comme le fait que je pourai te tuer sur le parking du commissariat loal que tous les flics diraient haut et fort que je n'y étais pas ! Donc maintenant, soit tu me suis et nous irons dans un petit coin tranquille, soit je commence par m'offrir un petit plaisir, et ensuite je t'offre physiquement à tous les passants avant de t'y emmener… tu peu crier, si ça 'amuse, mais ça ne changera rien... »

Il lui tapota les fesses, un rien amusé par la situation… et son petit cul était drôlement mignon...

Ça y'est, cette fois-ci c'était vraiment fini. Coralie avait tout donné, mais le monstre qui se tenait au-dessus d'elle était décidément trop fort. Bloqué au sol par une force immense, incapable de faire quoi que ce soit pour bouger. La jeune fille en était maintenant convaincu, il était impossible de se défaire de son destin, et ce malgré tous les efforts fournis et l'aide apporté par Inori.

Alors, comment vas-tu te défendre maintenant ? Demanda l'inconnu.

Son corps tout entier continuait à lui faire atrocement mal, seul le bras qui était tenu commençait à s'engourdir à cause du contact glacial avec l’épiderme de l'agresseur. Le rire que fit ce dernier faisait froid dans le dos, encore plus que la froideur de son étreinte sur le bras de Coralie. On pouvait y lire toute sa malveillance et le plaisir qu'il tirait de cette situation. Comment un être aussi monstrueux que lui pouvait existait ?  Y'avait-il seulement des personnes capablent de lui tenir tête dans cette ville ? La caresse qu'il fit sur la joue de la jeune fille était étonnamment douce, mais par ce simple contact, l'homme indiquait très clairement ses intentions.

Tu sais, ma jolie… ma jolie… - tiens, d'ailleurs, c'est quoi ton nom ? - ce quartier a beaucoup d'inconvénients, la criminalité, les cartels et mafias en tout genre, mais surtout, il a certains avantages encore meilleurs :  comme le fait que je pourai te tuer sur le parking du commissariat local que tous les flics diraient haut et fort que je n'y étais pas ! Donc maintenant, soit tu me suis et nous irons dans un petit coin tranquille, soit je commence par m'offrir un petit plaisir, et ensuite je t'offre physiquement à tous les passants avant de t'y emmener… tu peu crier, si ça 'amuse, mais ça ne changera rien...

Elle n'écoutait que d'une oreille distraite ce que disait son agresseur, l'esprit de la jeune fille était ailleurs. Elle imagina tous les atrocités que Lust Enigma lui avait montré durant ses rêves. Chaque nuit était devenu un cauchemar dans lequel de nouvelles tortures sexuelle étaient pratiqué à son encontre. Le contact de la main de l'homme sur les fesses de Coralie, la ramena dans le monde réel. Elle éprouva un profond sentiment de dégoût, pas seulement à cause de ce type, mais d'elle-même. La jeune fille c'était faite belle pour passer une bonne soirée avec des amies et profiter de sa jeunesse. Mais elle avait était manipuler comme une marionnette par son destin, c'était afin de mieux la préparer pour son viol. Coralie espérait que l'homme ne devinerai pas qu'elle type de sous-vêtement elle porte à travers le tissus de sa jupe. C'était une réaction de timidité purement instinctive mais idiote de sa part car elle savait très bien que ça n'aurait plus aucune importance au vue de ce qui se profilait à l'horizon.
L'idée de mettre fin à ses jours lui traversa alors l'esprit. Et si c'était la seule façon que la jeune fille avait pour échapper à son destin ? Elle ouvra la bouche afin de se préparer à se mordre la langue. Mais elle pensa alors à sa famille avec laquelle, elle avait repris contact, son frère, et Inori. Coralie se mit à espérer, elle n'était plus seule, et peut être que quelqu'un finirait par venir l'aider. Il fallait pour ça qu'elle reste en vie, et donc qu'elle obéisse docilement pour le moment à son agresseur. Elle ferma les yeux avec force dans un effort incroyablement difficile pour éviter de verser des larmes, ce qu'elle ne parvînt pas complètement à faire. C'était également une sorte de moyen inconscient pour Coralie de refuser d'admettre sa preuve de soumission. La jeune fille commença alors à glisser tout doucement son bras libre dans son dos afin que ses poignets se touchent. C'était la seule façon qu'y était venu à son esprit pour dire qu'elle abandonnait sans avoir à le dire clairement et qu'elle ne souhaitait pas être donné en pâture à des inconnus.

Mon nom, n'a pas d'importance... Elle marqua un temps de pause à cause de ses sanglots. Appelez-moi comme il vous plaira, emmenez-moi où vous voulez, faites de moi que vous désirez.

Bien sûr qu'elle avait envie de crier à l'aide de toute la force de ses poumons, mais elle ne voulait pas impliquer d'autre personne. Pas seulement à cause d'éventuelles sévices que Coralie pourrait subir, mais surtout parce que Lust Enigma était toujours là. Elle avait toujours la volonté d'épargner aux gens sont effroyables destin.

Le chevalier de l'hiver sentit la deuxième main de la jeune femme vennir rejoindre spontanément l'autre dans son dos, comme ultime signe qu'elle se rendait. Bien, elle avait compris ce qu'elle risquait, mais comprenait-elle bien ce qui risquait de se passer la suite ? Il en doutait franchement, mais qu'importe… il la briserait. Il briserait son esprit, quitte à briser son corps si nécessaire… Il sourit à cette idée avant de finalement  lui tapoter la tête, comme on tapote celle d'un animal de compagnie…

Il se pencha sur les poignet et souffla dessus doucement, et ce fut comme si un vent d'hiver venait pour finalement créer une sorte de gangue de glace autour de ses poignets, les entravant solidement, collant à la peau et donc ne nécessitant pas de serrer outre mesure. IL le lui retirerai une fois arrivés dans son petit repaire… là bas il avait tout le matériel dont il pouvait avoir besoin, et même dont il avait pas besoin, d'ailleurs. Il était bien équipé…

Il se leva et la regarda, au sol, sans réellement décider comment l'emporter… finalement, il se décida. Il lui saisit les jambes et les écarta brutalement pour glisser ses mains de part et d'autre afin de saisir son sous vêtement et le lui ôter. Il avait une idée plutôt précise de ce qu'il pourrait faire de cela. En effet, il lui mit ledit sous-vêtement sur le visage avant de finalement la saisir par les cheveux encore disponible, eux, au moins, étaient à l'air libre, contrairement à ses yeux qu'il avait aveuglé volontairement, qu'elle se perde dans le chemin qui la conduirait vers la planque du seigneur de glace… puis il se mit en route, lui mettant une bonne fessée pour lui faire comprendre d'avancer.

« Allez, on va à la maison ! »

Il lui remit une fessée, pour le plaisir, avant de la guider par des coups, pas trop fort tout de même, juste de quoi laisser des jolies marques rouges, sur ses cuisses, à droite pour tourner à droite et à gauche pour tourner à gauche. Il ne cessa ce manège qu'une fois arrivés devant la porte qu'il déverrouilla avant de la pousser à l'intérieur, il y avait trois marches qui descendaient avant d'attendre un parquet impeccablement ciré. Biens ur, il s'attendait à ce qu'elle tombe dans les maigres escaliers, mais si elle gardait l'éqyuilibre , tant mieux !  Cela irait très bien quand même !

Il lui enleva enfin la culotte de sur les yeux pour qu'elle voit les yeux alentours, tout était décoré dans les tons pourpres pour les murs, assombbrissant drastiquement les murs malgré l'abondance de lumière qui était souvent magique. Il toucha ses bras et la glace disparut dans un léger craquemet, refaisant affluer la chaleur dans ses bras…

« J'en ai pour deux secondes, je reviens, immobilité complète jusque-là et si jamais tu cherches à t'enfuir et que je te retrouve, je t'écorche vive centimètre carré par centimètre carré... »

Et il la planta la pour aller chercher quelques petites choses. Principalement deux choses. Le premier était un collier de cuir étarange car il n'avait pas d'attache :  pas de boucle, rien, juste un collier complètement fermé que le chevalier de l'hiver ouvrit en écartant simplement le collier en deux parties.

« Tiens, mets ça autour de ton cou, il se refermera tout seul. Et ilo me faudra quand même au moins ton prénom, que je sache quel nom graver dessus ! »

Il lui jeta le collier à la figure avant de reprendre.

« Ensuite te te mettras toute nue, que je puisse t'examiner. Ah et pendant que j'y pense, j'ai deux noms et je souhaite que tu t'en souviennes pour m'appeler soit par l'un soit par l'autre. Mo nom est maître et l'autre c'est monsieur. J'en veux un à chaque fin de phrase, c'est compris ? »

Ensuite, il allait vraiment passer à l'amusement…

En agissant de la sorte, Coralie avait accepté de devenir le jouet de ce monstre. Elle avait déjà eu plusieurs aperçu de ce qui aurait pu lui arriver lors de ces rêves... ou plutôt cauchemars grâce à Lust Enigma. A cause de cela, l'attente sur le sol froid fut particulièrement traumatisante pour la jeune fille qui ne put réprimer toutes les images qui affluait dans sa tête.
L'agresseur fit une tape sur la tête, ce qui était le premier pas de Coralie dans la voie de sa domestication.

L'agresseur utilisa son pouvoir pour "menotter" les poignets de la jeune fille, qui ressentit une vive douleur lorsque la glace se forma. Sa dernière chance de se rebeller venait de s'envoler, et la volonté de se battre avec. Elle avait eu le désir ardent de se relever et de tenter de s'enfuir, d'essayer de chercher le faible pourcentage de chance de se sortir de cette situation. Mais la triste réalité est qu'il n'y a pas d'histoire de probabilité à ces yeux, seulement le destin.
Coralie fut prise d'une vive terreur lorsque l'homme lui ôta sans ménagement son string. Avait-il changer d'avis ? Allait-elle se faire violer là, comme ça  ? Aussi abruptement ? Dans une ruelle aussi miteuse ? L'aspect soudain de la situation lié à la peur, l'a fit instinctivement se débattre et supplier.

Que... qu'est-ce que vous... NON ! Pas ... içi, je ... supplie. Dit-elle en sanglotant.

Il était difficile pour la jeune fille de s'exprimer à cause de ses pleurs, mais sa réaction l'a surpris. Ces mots étaient sortie instinctivement de la bouche de Coralie alors qu'elle c'était résolu à toutes les formes de sévices. Lamentable était le mot qui lui revenait le plus à l'esprit lorsqu'elle pris conscience de son attitude. La jeune fille était devenu le trophée de chasse de cet individu et il pouvait convenir d'elle selon son bon vouloir. Elle avait perdu son droit de contestation au moment même où ses mains s'étaient rejointe.
A sa surprise, l'agresseur tira les cheveux de Coralie pour la forcer à ce lever et qu'elle se tienne debout. Ce dernier utilisa le sous-vêtement de la jeune fille pour lui bander les yeux.

Allez, on va à la maison ! dit l'homme en donnant une bonne fessée en guise d'ordre pour avancer.

Coralie ne comprenait plus rien, c'était ainsi qu'elle allait se rendre à son futur de lieu de détention ? Elle n'aurait jamais imaginé cela possible. Ne voyant rien, la jeune fille avança lentement, de peur de cogner quelque chose, son rythme était d'autant plus lent que l'absence de sous-vêtement la gênait profondément. Sa jupe était fendu, et le moindre petit courant d'air l'a faisait se lever légèrement. L'inconnu la guida en donnant des claques sur son postérieur en fonction de la direction à prendre. Il semblait prendre un plaisir sadique à jouer avec sa victime et à la rabaisser. Le peu de fierté qui restait de Coralie vola en éclat devant le côté grotesque de la situation. Elle était forcé de marcher à l'aveugle avec un sous-vêtement sur la tête, alors que tout le monde pouvait la voir et que son intimité serait révélé au moindre courant d'air venu. Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase, la jeune fille se mit à pleurer abondamment, ne poursuivant sa marche que lorsque l'homme lui administra une nouvelle tape sur les fesses qui commençaient à être rouge. Elle sentit la présence de Lust Enigma et la situation devait sûrement bien le faire rire.

Ils finirent par arriver à leurs destination. Des bruits de verrous qui s'enclenchent ainsi que celui d'une porte qui s'ouvre se fit entendre. Coralie perdit pied dans l'escalier situé à l'entrée, et parvînt qu'avec chance à se réceptionner sur ses genoux, sa tête avait frôlé le sol mais heureusement l'impact fut éviter de justesse. L'homme libéra la vue et les poignet de la jeune fille, le sang se remit à affluer dans ses mains, cela serait probablement la dernière sensation agréable qu'elle allait ressentir dans les moments à venir. Coralie jeta un œil aux alentours, la pièce était une sorte de salon de couleur pourpre, c'était une teinte qu'elle aimait beaucoup en tant normal. L'obscurité de la pièce l'empéchait d'en distinguer tous les détails mais donnait un aspect froid à cette dernières, froid comme la glace de son ravisseur.

J'en ai pour deux secondes, je reviens, immobilité complète jusque-là et si jamais tu cherches à t'enfuir et que je te retrouve, je t'écorche vive centimètre carré par centimètre carré... Menaça l'inconnu.

Elle n'avait de toute manière nulle part où aller. Coralie n'avait aucune idée du chemin qu'elle avait emprunté pour arriver jusqu’ici et même si elle tentait de s'enfuir, ce monstre l'a rattraperai sans aucune difficulté. Ce dernier ne mit pas longtemps avant de revenir avec deux chose : l'un d'entre eux était une sorte d'anneau en cuir que l'homme sépara en deux comme par magie.

Tiens, mets ça autour de ton cou, il se refermera tout seul. Et il me faudra quand même au moins ton prénom, que je sache quel nom graver dessus ! Lui dit-il en jetant ce collier sans aucune vergogne dans le visage de la jeune fille, ce dernier tomba au sol. L'homme ajouta : Ensuite te te mettras toute nue, que je puisse t'examiner. Ah et pendant que j'y pense, j'ai deux noms et je souhaite que tu t'en souviennes pour m'appeler soit par l'un soit par l'autre. Mo nom est maître et l'autre c'est monsieur. J'en veux un à chaque fin de phrase, c'est compris ?

La jeune fille ramassa les deux parties et les approchèrent de son cou. Elle marqua un temps de pose avant de le faire, son esprit continuait à refuser ce qui était entrain de lui arriver, mais il était impossible de revenir en arrière à présent. Coralie plaça les deux partie sur son cou et le collier se reforma de la même manière qu'il s'était défait.

Je ... Je vous ai dit que vous pouviez m’appeler comme vous le désirez... Je ... Mon ... Mon nom ... Mon nom est Coralie, mais ... Je vous en supplie... monsieur... ne m'appelez pas comme ça. Demanda la jeune fille.

Elle ne sanglotait plus car elle avait déjà beaucoup pleuré durant le trajet, mais la tristesse se lisait encore très clairement sur son visage. Elle tremblait car elle était dévoré par la peur. Coralie savait ce qui allait se passer et priait de tout son être que cela ne soit pas trop douloureux, qu'elle aurait la force de l'endurer.
La jeune fille commença alors à se déshabiller, très lentement. Commençant tout d'abord par déboutonner sa chemise, un bouton après l'autre, comme autant de marche d'un escalier qui mène vers l'enfer. Puis vînt le soutiens gorge, elle aimait ses sous-vêtements et regrettaient qu'ils aient servi à ça. Elle posa ses ballerines à côté de la pile de vêtement, tout en cachant avec un bras sa poitrine. Le plus long fut la jupe, il fallut beaucoup de temps pour que la jeune fille surmonte sa timidité et poursuive son effeuillage. Elle fit alors glisser sa jupe le long de ses jambes jusqu'à ce qu'elle soit en position assise et la déposa avec le reste, elle ne se releva pas préférant rester à genoux.

Coralie était maintenant entièrement nu, seul son humble jarretière ornait encore sa jambe gauche. Elle tentait vainement de cacher ses seins et son intimités. Le regard de l'inconnu avait changer, elle avait une idée de ce qui allait se produire ensuite.

Coralie… joli nom, mais elle ne voulait pas qu'elle l'emploie ? Quel dommage, cela sonnait bien, surtout quand on rajoutait un petit mot devant… en effet, à sa douce oreille, « chienne Coralie » sonnait encore mieux. Il devrait peut être lui dire de s'appeler comme ça dorénavant… cela sonnait drôlement bien, et il était ravi de cette trouvaille, ma foi fort aisée à dénicher… elle serait ravie de son nom, il n'en doutait pas, car si jamais elle ne l'était pas, elle devrait de toute manière feindre de l'être. Il allait lui apprendre plein de jolies choses...

Le Chevalier de l'Hiver avait gagné. Il n'avait pas gagné le droit d'abuser d'lle une fois dans une ruelle, mais juste de lui faire ce qu'il voudrait autant de fois que ce qu'il voudrait, et elle en ressortirait brisée, il le savait très boen, ce n'était qu'une belle question de temps, et cette idée le faisait frémir de délice… il eut un sourire peu amène avant de regarder la jeune femme s'effeuiller… il la regarda ôter tous ses vêtements alors qu'elle cherchait à cacher sa nudité de ses bras, de ses mains, d'un sur sa poitrine, peu développée, soit dit en passant, sa main libre venant cacher son intimité.

IL s'approcha d'elle alors qu'elle se trouvait ainsi et dégaina une petite baguette de bois très fine qui ne devaitb pas faire plus d'une cinquantaine de centimètres de long, et qui semblait particulièrement souple. Il sourit, l'air amusé par sa honte et son humiliation… si seulement elle savait que ce n'était que le début… il ne s'agissait de rien, pour le moment, juste de nu, le reste était en chemin, à n'en pas douter...

« Bien, voilà qui est déjà mieux, ça de fait... »

IL agita la baguette et lui cingla la joues et les cuisses deux ou trois fois, sans ménagement. IL s'agissait de cette baguette qui, semblait-elle, était faite pour cela, en effet, il ne lui faisait marquer que des rougeurs, pas la moindre trace de sang, surtout qu'il ne voulait pas salir le sol pour le moment…

« Ces coups, c'était parce que tu n'étais pas assez rapide, et parce que si je te demande de te déshabiller, ce n'est pas pour que tu caches tes appâts féminins… alors désormais, chienne Coralie, quand tu n'as rien à faire de tes mains, tu te contentes de les croiser dans le dos... »

Et comme pour le lui faire comprendre, il se saisit de ses mains et lui tordit le bas droit puis le gauche jusqu'à ce qu'elle se retrouve avec les deux poignets croisés dans le dos… hors de question de laisser la moindre faiblesse entraver ces instants où il lui apprenait à bien se comporter…

« Comme ça... »

Il passa ensuite de nouveau devant elle et commença à jouer avec sa baguette sur son corps avec douceur et lenteur, glissant le long des épaules, le long de ses côtes, de ses hanches, de ses cuisses, avant de remonter à l'intérieur de celles-ci pour aller tapoter ses lèvres intimes de la verge de bois vert. Il enfonça même celle-ci contre son bouton de plaisir – un peu fort, vous vous en doutez -  avant de l'abandonner et de rejoindre le nombril et de remonter le long de celui-ci pour rejoindre ses monts de vénus, quoiqu'il s'agisse plutôt de colline. Il joua avec l'une, puis l'autre de ses pointes de chair avant d'y porter sa main libre pour les pincer avant de malaxr son sein gauche…

« Et bien, tu es aussi bien roulée qu'une gamine de douze ans... »

Il descendit sa main entre ses cuisses et glissa ses doigts le long de sa féminité, taquinant celle-ci avant de finalement lui caresser la joue.

« Mais à part ça tu conviend tout à fait…. Il faudra juste refaire ta garde robe car ça, c'est fini ! »

Il prit ses vêtements et les jeta dans l'âtre où ils prirent feu et se disparurent en cendres…

« Mais je crois que je vais te laisser la jarretière, c'est mignon, chienne Coralie… allez, mets toi à genoux devant moi, que je vois si tu es à la bonne hauteur... »

L'autre objet qu'avait rapporté l'inconnu était une sorte de fine baguette en bois. Cette dernière émettait un léger sifflement lorsqu'il l'a manipulait.

Bien, voilà qui est déjà mieux, ça de fait... L'homme enchaîna ses paroles avec plusieurs coups porté vigoureusement avec la baguette sur le visage et les cuisse de Coralie. La douleurs infligé était vive, le bruit claquait fort, tout cela faisait penser à un fouet mais sans provoquer de saignement. Il reprit alors la parole : Ces coups, c'était parce que tu n'étais pas assez rapide, et parce que si je te demande de te déshabiller, ce n'est pas pour que tu caches tes appâts féminins… alors désormais, chienne Coralie, quand tu n'as rien à faire de tes mains, tu te contentes de les croiser dans le dos...

Il pris alors les poignets de Coralie pour les placer dans le dos, comme s'il s’apprêtait à la menotter de nouveau. Elle exposait pour la première fois ses atouts féminin devant un homme, ce qui l'a gênait profondément. Son corps comme son esprit avait énormément de mal à accepter une telle soumission. C'était un dressage en bonne et du forme que la jeune fille était entrain de vivre.

Comme ça... Ajouta t'il satisfait.

Il débuta alors son petit jeu en laissant glisser sa baguette sur le corps de Coralie. Le contact de l'instrument de torture avec sa peau provoqua des frissons qu'elle eut du mal à contenir. La peur que l'arme avait infligé à son esprit rendit les longues caresse particulièrement désagréable. La trajectoire effectué par la baguette commençait par l'extérieur du corps avant de remonter lentement vers l'intérieur au niveau de son intimité. L'homme appuya avec son ustensile sur son bouton de rose ce qui provoqua chez la jeune fille un gémissement qui était plus proche de la douleur que du plaisir.
Une fois qu'il en eu fini, ce fut au tour de la poitrine de Coralie d'être le jouet de cet homme. Il joua un moment avec la pointe de sa baguette sur ses extrémités de chairs provoquant ainsi de sensible picotement. Au bout d'un moment, le ravisseur sembla se lasser du jeu et agrippa directement avec ses mains les seins de la jeune fille afin de les pincer et de les malaxer. Ce traitement provaqua bien plus de douleur que le glissement de l'arme sur la peau de Coralie. Elle se sentait comprimé et avait parfois du mal à respirer.

Et bien, tu es aussi bien roulée qu'une gamine de douze ans...

Les bras placé ainsi relevaient sensiblement d'avantage la poitrine de la jeune fille, mais même ainsi, la taille ne semblait pas convenir à son agresseur. Coralie était mignonne mais n'avait jamais développer de forme exubérante, à l'image de ses goûts vestimentaires. Et il valait mieux à cause de la malédiction qui planait sur elle. L'homme se mit à jouer avec l'intimité de la demoiselle, cette intrusion poussa instinctivement cette dernière à reculer le bassin pour y échapper, ce qui était bien sûr impossible. A plusieurs reprise elle décroisa sensiblement les mains pour tenter de repousser le bras de son ravisseur avant de se raviser et de les remettre à leur place. L'angoisse de la douleur infligé par la baguette était plus forte que celle de son sévice actuel.

Mais à part ça tu conviens tout à fait…. Il faudra juste refaire ta garde robe car ça, c'est fini !

Lorsque l'inconnu jeta les vêtement de Coralie dans le feu, cette dernière eu un pincement au cœur. Les derniers souvenir de sa liberté étaient réduit à l'état de cendre. Ces vêtements était une part de son identité qu'elle était entrain de lentement mais sûrement perdre. Elle n'avait dorénavant plus aucun vêtement à ce mettre, qu'est-ce que ce malade allait lui faire porter pour la rabaisser encore ?

Mais je crois que je vais te laisser la jarretière, c'est mignon, chienne Coralie… allez, mets toi à genoux devant moi, que je vois si tu es à la bonne hauteur...

Elle détestait profondément entendre son nom dans la voix de cette homme, quitte à être rabaissé et à devenir une chienne, qu'il lui donne un nom d'animal, pas d'humain. Coralie était peut être vierge mais était loin d'être naïve, elle savait où cela aller l'emmener. Lust Enigma lui avait suffisamment bourré le crâne de dépravation diverse et varié pour doter la jeune fille d'une connaissance considérable dans ce domaine. Elle restait cependant totalement inexpérimenté. Il y eu un moment d'hésitation chez la pauvre victime, puis se rappela vite la douleur encore présente infligé par la baguette. Ce qui l'a poussa à ne pas faire trop faire attendre son ravisseur. Elle se mit alors à genoux devant l'homme au niveau de son entre jambe puis détourna le regard, Coralie avait accepté sa condition, et savait qu'elle n'allait pas échapper à ce qui se préparait.

Je ... Je n'ai encore jamais fais ... ça. Je vous demande monsieur... s'il vous plait... d'être doux avec moi. Demanda t'elle, avant de commencer à prier dans sa tête : S'il vous plait, qu'elle soit pas trop grosse... et que ça ne soit pas aussi douloureux qu'avec son instrument de torture.

C'était bien sûr un espoir aussi illusoire que naïf, mais c'était la seule chose auquel Coralie pouvait encore se raccrocher.

Slade sourit en la voyant agenouillée devant lui, amusé, voilà qui allait se révéler intéressant, elle était vierge, elle le dévoilait comme ça, sans qu'il ait besoin de le lui demander...voilà qui se révélait particulièrement satisfaisant sur ce sujet. En effet, il était toujours ravi de se retrouver face à quelqu'un qui manquait d'expérience, non, qui était complètement ignare -physiquement parlant -  en la matière…

Il avait savouré chacun de ses cris, chaque gémissement de douleur qu'il avait pu la forcer à pousser tant avec la baguette  qu'avec ses mains, et en la matière, il n'aurait su dire ce qui était le plus efficace… tous les moyens étaient bons, il le savait déjà depuis longtemps, mais une chose était avantage sur :  cette jeune femme au corps – avouons le -  menu allait lui offrir pléthore de divertissements, des plus classiques aux plus exotiques… surtout les plus exotiques…

Il baissa son regard sur elle, alors qu'elle avait prestement obéi… ou du moins, suffisamment pour qu'elle ne prenne pas de coup de baguette, c'en était presque dommage, trouvait-il… mais bon, s'il frappait en permanence, comment pouvait-il se retrouver avec quelqu'un d'obéissant ? Il lui tapota doucement la tête alors qu'elle finissait par demander d'être doux… être doux… elle en avait de bonne…

Il saisit l'arrière de la tête de la jeune femme et la força à faire entrer en contact sa joue avec le pantalon en lin qui ne cachait rien de la protubérance durcie qu'il renfermait… ce n'était pas une troisième jambe, soyons honnêtes, mais ce n'était pas non plus normal, en effet, elle devait être juste un peu moins épaisse que le poignet – assez fin – de la jeune femme, quand à la longueur, elle était ma foi tout à fait correcte, juste un peu plus d'une vingtaine de centimètres...

« La douceur… tu en as de bonne… tu feras avec ce que je déciderai  de faire de toi, tu couineras de plaisir sur commande, et tant que je ne te l'ordonnerai pas, tu n'auras pas droit de jouir, quant au reste, j'espère que tu apprendras vite ! »

Il la relâcha et se déshabilla pour lui montrer ce qu'il avait en stock. Enfin, se déshabilla, il se contenta, plutôt d'ouvrir le pantalon et de de le retirer ainsi que le slip, el haut n'avait aucune importance… joliment veinée, sa virilité se dressait devant le visage de la jeune femme…

« Allez, l'apprentissage commence. Je suis pour apprendre sur le tas… N'utilise jamais tes mains sans mon accord ! »

Il laissa errer ses mains sur sa poitrone dont il s'amusa à tirer et tordre les pointes de chair.

« Peut être que je t'y installerai des anneaux, peut être pas, je verrai selon mon envie du moment… enfin bon, je parle, je parle, mais tu suces pas beaucoup pendant ce temps, chienne Coralie... »

L'homme rapprocha la tête de Coralie avec son entre jambe afin que la joue de cette dernière entre en contact avec l'excroissance qui se formait sur le pantalon.

La douceur… tu en as de bonne… tu feras avec ce que je déciderai  de faire de toi, tu couineras de plaisir sur commande, et tant que je ne te l'ordonnerai pas, tu n'auras pas droit de jouir, quant au reste, j'espère que tu apprendras vite ! Dit l'homme.

Il relâcha l'étreinte qu'il exerçait sur la jeune fille afin de pouvoir libérer la colonne de chair qui ne demandais qu'une seule chose : sortir à l'air libre. Les yeux de Coralie s'ouvrir en gros lorsqu'elle vue le membre de son ravisseur, elle n'en avais jamais vu de vrai et pour une première fois, la chose qu'elle voyait lui semblait immense. Elle cru un instant qu'elle allait tomber dans les pommes, et il aurait sûrement mieux valu que ce soit le cas. Décidément, le destin faisait toujours en sorte de réaliser l'exact inverse des prières de la jeune fille.

Allez, l'apprentissage commence. Je suis pour apprendre sur le tas… N'utilise jamais tes mains sans mon accord ! Il reprit alors sa trituration des seins de Coralie, qui continuait à émettre de petit gémissement de douleur. Difficile pour elle de se concentrer alors que ce monstre s'acharnait à maltraiter sa poitrine. Il ajouta : Peut être que je t'y installerai des anneaux, peut être pas, je verrai selon mon envie du moment… enfin bon, je parle, je parle, mais tu suces pas beaucoup pendant ce temps, chienne Coralie...

Il fallu à la jeune fille tout son courage pour approcher du chibre de son ravisseur malgré le mauvais traitement mammaire qu'elle était entrain de subir. Sa respiration était devenu de plus important à mesure que son visage s'en approchait. C'était la même peur qui envahissait Coralie que celle que ressente les personnes qui sont sur le point de faire leur premier saut en parachute. La jeune fille se remémora certain cauchemars que lui avait imposé Lust Enigma et tenta de reproduire maladroitement ce qu'elle avait vu.

Monsieur... non, maître. Donnez moi un nom de chienne... s'il vous en prie. Si vous le faite, je ferai tout ce que vous me dites... comme une ... une chienne bien dressé. Je ... Vous donnerez tout le plaisir que vous désirerez... et j’essaierai de vous faire croire de mon mieux que je ... je ... gémie ... de plaisir. Demanda, une dernière fois Coralie avant de commencer à laisser glisser sa langue le long de la colonne de chair.

La jeune fille commença d'abord avec les bourses de l'homme, en y allant tout doucement, essayant de capter les zones et la méthode qui plaisait à son ravisseur. Puis elle déposa des baisers en remontant très très lentement ce membre vigoureux. Elle pouvait ressentir l'afflux sanguin, les pulsations de ce chibre même si cela restait encore très amateur. Coralie termina avec des coups de langue sur le bout du gland qui était à la fois chaud et dur, elle déposa un dernier baiser et repris la parole.

Si vous êtes d'accord... alors ... allez y, servez vous de ma bouche comme vous l'entendez, maitre, re... remplissez moi la bouche je tacherai de faire mon mieux pour ... pour ... tout avaler.
Par contre, veuillez m'excuser maître, mais je ne suis pas sûr de pouvoir contenir toute votre virilité sans me débattre par pur instinct de survie... il serait peut être préférable que vous ... vous me ligotiez les mains. Sur ces paroles, la jeune fille ferma les yeux en fronçant les sourcils et ouvrit grand la bouche en tirant la langue.

Peut être qu'en agissant comme il le voulait, elle pourrait l'attendrir...

Elle semblait intimidée, effrayée par la situation. D'une certaine manière, il la comprenait, elle était face à un inconnu qui avait une verge assez grosse pour lui faire mal quel que soit l'orifice, donc c'était compréhensible. Rajoutez à cela le fait qu'il ne s'était jamais montré tendre depuis qu'il lui avait mis la main dessus, et vous comprendriez aisément qu'elle ait un peu peur, mais cette peur était une manière d'être motivée, elle savait qu'elle risquait gros à ne pas obéir...

Il se contenta d'arrêter de lui malmener la parole alors qu'elle ouvrait la bouche pour prendre la parole, alors qu'elle aurait du prendre autre chose si elle suivait les ordres…. Mais que voulez-vous, c'était ainsi que cela devait se passer, que vous y croyiez ou pas… il écouta patiemment. Au moins, elle avait commencé sur le bon ton en le qualifiant de « maitre », voilà un début intéressant… la suite ne lui plut pas des masses… elle mettait des conditions à sa bonne conduite et à sa docilité ? Voilà qui était assez exceptionnel… elle n'avait aucun droit hormis celui de recevoir des punitions en cas de désobéissance, ne l'avait-elle pas compris ? Devait-il le lui rappeler ? Apparemment cela s'avérait nécessaire…

Et comme si ça ne suffisait pas, elle n'attendit même pas de réponse, comme si elle estimait obtenir ce qu'elle souhaitait juste en le demandant… même si il trouvait agréable et amusant de voir la jeune femme tenter de se montrer efficace sur sa verge autant que sur ses testicules, jouant de la langue et des lèvres, dans de petits baiser timides… il sourit et ce sourire disparut quand elle reprit la parole pour expliquer la suite. Se débattre ? Et ? Il se doutait bien que si elle était inexpérimentée, sentir le gland contre la glotte allait lui faire ressentir des nausées, et une envie de rejet assez consistante...

« Je vois…. Et ça se passe ainsi que si j'accepte ce que tu me propose, c'est ça ? Sinon quoi ? Sinon tu vas fermer la bouche et refuser de l'ouvrir ? Auquel cas je malmènerai topn corps jusqu'à ce qu'il cède, et ce, sans la moindre gêne ! Je ne m'embarrasserai pas de ça !  Alors écoute moi bien, chienne Coralie, tu feras ce que je t'ordonnerai de faire, quand je t'ordonnerai de le faire, comme je t'ordonnerai de le faire. Pour le reste, tu n's pas le moindre pouvoir, ni même celui de négociation ! »

ET comme pour faire bonne mesure, il lui mit une paire de gifles. Un aller-retour qui claqua de manière plus que sonore sur ses joues et il lui saisit les cheveux et lui baissa la tête en arrière et lui saisit le sein qu'il tordit plus que violemment en le pétrissant, tirant dessus sans le moindre ménagement.

« Compris, chienne Coralie ? Alors maintenant tu vas te forcer un peu et le prendre en bouche aussi loin que possible, et si ce n'est pas assez loin à mon goût, tu le sauras immédiatement…. Et si jamais tu te débats, je te promets la correction de ta vie ! »

Il posa les mains sur ses propres hanches et frotta sa verge sur le visage de la jeune femme avant de finalement attendre qu'elle se mette au travail.

« Et si je dis que ton nom est chienne Coralie, c'est comme ça et pas autrement, tu n'es plus rien, alors oublie tous tes droits, le seul que tu aies, c'est obéir sinon, tu auras un châtiment !

Je vois…. Et ça se passe ainsi que si j'accepte ce que tu me propose, c'est ça ? Sinon quoi ? Sinon tu vas fermer la bouche et refuser de l'ouvrir ? Auquel cas je malmènerai ton corps jusqu'à ce qu'il cède, et ce, sans la moindre gêne ! Je ne m'embarrasserai pas de ça !  Alors écoute moi bien, chienne Coralie, tu feras ce que je t'ordonnerai de faire, quand je t'ordonnerai de le faire, comme je t'ordonnerai de le faire. Pour le reste, tu n's pas le moindre pouvoir, ni même celui de négociation !

L'homme ponctua ses paroles de deux gifles qui firent perdre tous les repères de Coralie pendant quelques secondes. Le bruit résonna dans tout la pièce et fit vibrer les tympan de la jeune fille. Sa torpeur ne prix fin que lorsque la douleur sur ses joues fut remplacé par celle subit par sa poitrine. La manipulation des seins n'avait plus rien de sensuelle, c'était juste de la méchanceté à l'état brut, il n'y avait dans ce geste que la volonté de faire mal. Ne pouvant plus le supporter, Coralie poussa un véritable cri de douleur.

Compris, chienne Coralie ? Alors maintenant tu vas te forcer un peu et le prendre en bouche aussi loin que possible, et si ce n'est pas assez loin à mon goût, tu le sauras immédiatement…. Et si jamais tu te débats, je te promets la correction de ta vie ! Dit l'homme tout en frottant sa verge contre le visage de la jeune fille, il ajouta : Et si je dis que ton nom est chienne Coralie, c'est comme ça et pas autrement, tu n'es plus rien, alors oublie tous tes droits, le seul que tu aies, c'est obéir sinon, tu auras un châtiment !

Cette homme ne se lasserai jamais de lui faire du mal, il ne se ferait jamais attendrir et toute tentative de négociation se solderai par un échec. Le bourreau du destin de Coralie était un monstre à l'image de son pouvoir : Froid et impassible comme un iceberg. Il fallait que ce calvaire cesse le plus vite possible, et pas seulement la douleur sur sa poitrine, mais bien l'ensemble de cette séance de torture.

O... oui, monsieur. Dit doucement la jeune fille.

Son regard était larmoyant mais semblait se vider de son essence. Elle reprit alors sa position devant son tortionnaire : A genoux avec les mains dans le dos. L'ensemble de son traitement lui faisait tourner la tête, et la vue de l'imposant membre de chair devant elle ne l'aida pas à calmer ses angoisses. Elle prit un court instant pour ce calmer et se concentrer, reprendre sa respiration comme lorsqu'on se prépare à plonger en apnée. Puis, ouvrit la bouche et baissa doucement la tête pour faire rentrer délicatement le pénis de l'homme dans la bouche de la jeune fille. Commençant d'abord à la sucer comme on le ferait avec une vrai sucette. puis elle démarra un petit mouvement de va et vient avec sa tête. La taille imposante de l'appendice rendait la fellation difficile et Coralie avait peur qu'elle ne l'avale pas suffisamment au goût de son ravisseur. Elle tenta alors de se pencher plus en avant et de se cambrer afin que sa tête, sa gorge et son corps soit dans le prolongement du pénis, elle parvint alors à faire rentrer d'avantage le membre dans son corps. Sa nouvelle position rendait l'équilibre de la jeune fille précaire et donc pénible. Elle écarta alors doucement les jambes jusqu'à ce qu'elle se sente plus stable. La posture finale de Coralie était devenu très sensuelle même si elle faisait toujours preuve d'un amateurisme flagrant. Ses actes n'était pas poussé par une volonté de faire plaisir, mais par la force du désespoir de ne plus en subir d'avantage. Ce qui était une nuance particulièrement importante dans la situation présente.

La jeune femme  avait les yeux quelques peu larmoyants. La douleur, sans nul doute…. L'humiliation aussi… peut être… il n'était pas particulièrement important de savoir d'où venaient ses larmes…. Il lui sourit et la regarda alors qu'elle acquiesçait tout bas. Au moins, c'était parfaitement clair d'un côté comme de l'autre…

Enfin, elle commença à s'exécuter , lentement, il sentait qu'elle n'était pas à son aise, mais le confort de la jeune femme n'était pas à l'ordre du jour. Femme ? Non, pardon, mauvais terme, femelle, chienne à la limite ! Il la regarda et lui sourit alors qu'elle baissait la tête pour empaler son visage sur la turgescence dressée devant elle… elle était une grande amateur, certes, mais il fallait prendre en compte quelque chose d'autre :  que si c'était la première fois, ce n'était pas si mal…

Il la regarda faire, souriant et savourant ses débuts en se duisant qu'outre le fait que c'était presque plaisant, ce n'était pas si mal pour un début… il la regarda tenter d'en prendre davantage en bouche, comme elle pouvait, se dressant sur  ses jambes comme pour forcer le visage à se baisser et à en prendre davantage. Bonne idée, c'était une solution intéressante !  Il regarda son esclave sexuelle, le cul relever, et prit la baguette pour lui fouetter le derrière avant de la repousser.

« Ça, c'est parce que je ne t'ai pas donné l'autorisation de te relever ! Tu mériterais bien pire pour ne pas avoir demandé l'autorisation de te relever…. Quand tu suces, c'est à genoux, sauf quand je donne des ordres particuliers… oh, et attends, j'ai une idée pour que ce soit plus simple pour moi... »

Il la laissa là et partit un court instant pour revenir avec deux petits élastiques qu'il utilisa pour lui faire une couette de chaque côté de la tête, comme de petites poignées pour pouvoir jouer… et ainsi, quand il mènerait la cadence, il s'assurerait qu'elle n'ait pas de mouvements de reculs qui n'étaient pas prévus…

« Regarde comme c'est pratique... »

Il s'en saisit et frotta un eu son chibre sur le visage de la jeune femme avant de forcer  l'ouverture de sa bouche en lui pinçant le nez, pour lui entrer le gland dans la bouche. Ensuite, il commença de lents coups de reins qu'il  n'enfonçaient pas très loin. Il renforça ses prises  et d'un coup, il enfonça sa verge le plus loin possible, jouant aisément contre sa glotte….

« Allez, on tient, on tient... »

Il la força à rester ainsi comme ça, gorge encombrée, lui bouchant le nez temporairement pour compliquer les choses, et enfin il se retira, ravi de son petit effet… il lui sourit et lui tapota la tête doucement, comme un tapote la tête d'un petit toutou pour le féliciter. Elle ne méritait rien d'autre…

« Bon, tu sais ce qu'il te reste à travailler...allez, recommence, et vas-y autant que possible, je ne l'ai pas enfoncée entièrement, mais si tu arrives de ton propre chef à faire aussi profond et à rester comme ça assez longtemps, je m'estimerai satisfait, ma belle petite chienne Coralie... »

Il lui sourit et essuya sa verge couverte de salive et où perlait du liquide pré-séminal sur le visage de la jeune femme avant de rajouter…

« Si tu as besoin d'aide pour t'empaler la gorge, tu peux utiliser tes mains sur mes cuisses pour te maintenir... »