Il le sentait, ce corps si fragile et cet esprit s'y tendre, se mouvoir et soupirer de plaisir sous ses caresses, lui arrachant une profonde satisfaction en voyant qu'il comblait la jeune femme. Par ses mots et l'humidité croissante de son intimité, elle ne faisait que l’encourager. A chaque fois qu'il l’entendait soupirer son nom, à chaque fois qu'il sentait sa douce peau trembler sous ses doigts il était galvanisé. Il la vit même se caresser lui même, toucher ses petits tétons aussi excitants que la plus belle des poitrines, arrachant un nouveau sourire à son amant.
Ce dernier se redressa peu après, l'eau coulant le long de sa peau, lui ajoutant une apparence translucide, un peu irréelle, alors qu'il venait se lover contre elle, venant lui voler un nouveau baiser, lui faisant partager le gout de son intimité avant de souffler doucement au creux de son oreille, comme s'il ne voulait parler que par murmure.
"Mon propre plaisir...Dans ce cas j'espère que tu es prêt à supporter le tien, qui va encore croître, je te le promets."
Il se recula un peu, lui adressant un sourire complice, avant de la saisir d'une main, passant sur ses fesses, la soulevant un peu et la faisant s'appuyer contre le muret du bassin afin que son intimité soit à la hauteur de sa verge, soutenue par son autre main afin de la guider un peu jusqu'à ce qu'elle effleure le trésor de la jeune femme. Les préliminaires avaient été longs et intenses et le feu qui brûlait en lui s’était apaisé, bien que os excitation demeurée. il était donc grand temps de passer à la suite, de monter un peu plus vers le septième ciel. Ainsi il se frotta un peu, son membre contre l'entrejambe de son amante, puis enfin il commença à se mêler à elle.
Il savait que cela n'était pas sa première fois, et la facilité avec laquelle ses chairs s'écarter le lui prouvait, mais pourtant il fit preuve d'une infinie douceur lors de sa venue en elle. Sa virilité était celle d'un adulte bien doté alors qu'elle avait le corps d'une adolescente, Elle semblait si fragile, si frêle, même par rapport à lui qu'il ne voulait pas risquer de la briser, cette jeune enfant à qui , au fond de lui, il ne voulait pas faire vivre ce qui avait été une véritable torture le jour de ses seize ans malgré toutes ses préparations. Une main au bas du dos il avait l'autre posée doucement sur son visage, alors qu'il soutenait son regard. Même quand il soupira d’aise en sentant ces chairs à la fois si accueillante et si étroites, ou qu'enfin mêlé à elle jusqu’à la garde,effleurant le fond de son intimité, il soutint ce regard, presque hypnotique avec ces paillettes de rouges... Puis d'une voix douce il souffla.
"Me voilà Lucie, en toi... Suis je à la hauteur de tes attentes ?"
Bien que sincère dans sa question il n'attendit cependant pas plus longtemps avant de poursuivre, sachant mieux que quiconque qu'il ne fallait pas laisser le plaisir s’essouffler. Ainsi sa main malaxa doucement les fesse de la jeune femme, ne cessant pas de s'y agripper, mais pour en effleurer des points sensibles, tandis qu'il entamait de lent va et vient, fluides et attentionnés, accélérant seulement petit à petit, certains de ne pas la brusquer. Puis il cueillit à nouveau les lèvres, taisant ses faibles gémissements de plaisir, tandis qu’il relâchait enfin sa joue pour caresser son dos.