Si on peut même plus massacrer tranquille [Hera]

qu'est ce que c'était que ces bestioles ? Bleiz n'en savait rien et honnêtement il en avait rien à carrer.

Il se baladais tranquillement, quittant seikuzu par le seul portail qu'il connaissais et arrivant dans les terres sauvages, et s'apprêtait à retourner à nexus. Et voilà qu'une demi-douzaines de créatures l'encerclais et lui aboyais quelque chose dans une langue que Bleiz ne comprenais pas, pointant dans sa direction des lances primitives. les créatures avait l'apparence de lezard et était vétu d'un simple pagne d'ou dépassait une queue (dorsale donc la queue ).

Un peu en retrait se trouvais un autre homme lezard, pourvu d'une crête, qui semblais dépasser Bleiz d'une tête. Il portait une épée sur le coté et semblais etre le chef.

Bleiz sentit que l'affrontement  était inévitable... et cela le fis sourire. Il est vrai qu'il manquais d'entrainement ces temps si. Il enleva son manteau, le plia et le posa au sol. Puis il détacha sa ceinture, et posa son épée et son couteau de chasse également. Il finit par enlever son débardeur noir pour se retrouver torse nus et désarmé devants les six homme lézard et leur chef.

-Ben alors vous attendez quoi ? Vous chargez oui ou merde ?
Dit il en faisant des gestes pour les inciter à approcher, un sourire au coin des levres.

Il se dit que sans armes ça serait un challenge intéressant... Il n'empêche que en dehors de ses gugusses, il se sentait observé. Enfin! il verrai ça après s'etre occupé d'eux.

Tssk tssk tsssk ... Hera donna un dernier coup au cadavre sur le sol. Un merveilleux homme lézard... Comme dans ses cauchemars. Sans raison apparente, il lui avait sautée dessus, et elle l'avait égorgée en moins de deux. Face à son frère, elle se plantait. Mais face à des être aussi simples à tuer ...

Depuis peu, la déesse avait retrouvée ses forces, et ses pouvoirs surtout. Enfin, une partie, une bonne partie. Elle avait retrouvée une certaine maitrise à se battre, et a jouer avec le feu et la terre. Deux choses qu'elle appréciait. Enormément.

Elle fit craquer ses phalanges et remit sa cape sur elle, reprenant son baton en main. Cette cape était le seul moyen qu'on ne la reconnaisse pas. Le Nelshä ( tissu vivant qui prend la forme que l'on désire ) lui tenait relativement chaud, malgré sa tenue légére : Un haut barriolé rouge et vert assez moulant, pour mieux se battre, et une jupe qui partait dans tout les sens. Comme elle les aimaient.

Et alors elle entendit des sifflements et des rires. Elle escalada la colline, restant assez discrete, et alors la surprise, puis l'amusement se posérent sur son visage. Un homme en proie a des hommes lézards. Elle s'installa confortablement sur la dune, visa un homme lézard et l'enflamma. ieux valait profiter des pouvoirs qu'elle avait, demain ils auraient sans doute disparus. Elle toussa et appela l'homme.

- Masochiste ou en manque d'adrenaline, jeune homme ? dit elle d'un ton amusé, mais pas moqueur. J'espére que vous connaissez leurs points faibles. Et leurs points forts.

Elle eut un petit rire, et descendit de sa colline. Même si elle enlevait sa cape, il ne la reconnaitrait pas. Enfin, elle l'esperait. Elle détestait qu'on la remarque. Elle fit glisser sa cape et posa son baton sur le sol.

- A mains nues ... cela peut être amusant ... dit elle en souriant, tandis que le Nelshä lui offrait une tenue plus apte au combat, une combinaison rouge prés du corps.

C'était une voix de femme qui avait parlé. Une voix qui respirai encore plus l'assurance et la force que dame Semerket. Et ce n'était pas peu dire. Il n'eus pas besoin de regarder pour voir de quel coté elle se trouvai. Le son de sa voix suffisait. Elle devait être sorcière car il était évident que l'homme lézard ne s'était pas enflammé tout seul. Il répondit à sa question

-Plus en manque d'exercice que d'adrénaline. ce n'est pas ce genre de chose qui peut me procurer de l'excitation. D'ailleurs, ce n'est pas que je déprécie votre geste, mais j'aimerai bien m'en occuper moi-même. Si je n'en suis pas capable c'est que je ne mérite pas votre considération. Vous n'êtes pas d'accord ?

Il l'avait entendu s'approcher. ce n'est pas que de voir une femme se battre lui déplaisait, mais il voulait vraiment se dérouiller. Alors plutot que d'attendre que les hommes lézards le chargent, et donc courir le risque qu'on lui pique son amusement, il chargea.

Il commença par celui tout à gauche. Il attendis le dernier moment pour sortir de la trajéctoire de sa lance afin qu'il soit totalement tendus en tentant de l'estoquer. Il attrapa la hampe de la lance afin qu'il ne puisse le frapper avec, et lui mit un coup de pied dans l'abdomen. D'un coup de poing il brisa la hampe, et enfonça la plus petite partie dans la gorge de la créature. Et d'un.

Il pris ensuite l'autre partie de la lance, celle qui avait le fer, et la lança à l'homme lézard le plus proche. Il tenta de la dévier, mais au lieu de la recevoir dans le ventre, il la pris dans torse. Et de deux.

Le deux derniers essayèrent de le prendre en tenaille. Il frappèrent les deux en mêmes temps. De sa main droite, il dévia la première lance qui ne fit qu'entailler ses vêtements, et de sa main gauche, il attrapa la seconde juste en dessous du fer. sa grande taille et la taille réduite de son adversaire de gauche, fit qu'il réussi à atteindre sa tête d'un coup de pied. Chose qui, si elle ne le tuerai peut-être pas, le mettais hors combat pour un bon moment. Dans le même élans, il lui pris sa lance et frappa d'un coup circulaire, son adversaire de droite avec la partie en bois. Il se retrouva par terre, et Bleiz l'acheva d'un coup direct au cœur.

Bleiz releva la tête et vis que le chef des hommes lézards, n'avais toujours pas bougé. Il marcha tranquillement en direction de ses affaires. Il se pencha pour ramasser son épée, la sortie de son fourreau, et se mit en garde.

-Il semblerai qu'il ne reste plus que toi mon gros. Alors ? tu viens ?

Hera le laissa se battre, reprenant une tenue plus appropriée, c'est a dire une longue robe rouge et verte façon marquise chic Marie-Antoinette mais en plus trash, du genre tissus déchirés et grattés,  et avait sortit une lime à ongles. Tant qu'a faire ... Elle l'avait regardé, avait sourit quand a sa maniére de tuer ses sales bestioles. Il était rapide, clair, précis, brutal quelque peu. Elle ne put s'empêcher de se demander s'il se conduisait ainsi au lit. Et il n'en restait plus qu'un, un seul et unique être, le chef semblait-il. PLus grand, plus costaud, plus difficile à battre ... Le moment favori arrivait.

- Je pense que si cet bestiole meurt, vous mériterez des applaudissements trés cher.

Elle s'installa mieux, prête à regarder le combat, laissant sa lime à ongles sur le côté. Comment allait-il réagir ?

Il sourit devant les paroles de sa mystérieuse spectatrice. Il était un homme de combat c'est vrai, mais il n'avais rien contre impressionner les dames. Il n'avais pas encore vus si la dame valait la peine d'être impressionnée car il ne quittai pas son adversaire des yeux. Mais sans savoir pourquoi, il sentait qu'elle était plus qu'attirante.

Il baissa sa garde. feintant l'inactivité afin de faire charger son adversaire. ce qu'il fit. Il hurla un mot dans sa langue et chargea, son épée pointée vers le ciel. Cela amusa tellement bleiz qu'il se permit de continuer la conversation tandis qu'il le chargeais.

quand bien même des applaudissements d'une dame sont toujours les bienvenus, je dois vous dire qu'il seront de trop face à une telle performance. car voyez-vous madames, je puis être doué au combat a mains nus...

Lorsque la créature ne se trouva plus qu'a un cheveux de lui ouvrir le crâne en deux de son épée, Bleiz, en un instant, fit un simple pas de coté et fit faire un mouvement horizontale de sa lame et trancha la tête de son adversaire.

-Je suis un maître en escrime.

Une fois que le corps de la créature fut à terre, il se retourna enfin pour voir son interlocutrice. Il la vit, et il se félicita de ne pas avoir succombé à la curiosité de la regarder. Il aurait suffit qu'il la regarde, Qu'il voit se visage plein de force et de sensualité, qu'il observe se corps dont les formes généreuse était à peine cachés par une robe (volontairement ?) trouée, et il aurait été suffisamment déconcentré pour que le combat soit plus ardus.

Il se rendit compte qu'il devait avoir une expression un peu trop étonné et que son regard devait s'être attardée un peu trop longtemps sur le corps de la dame. Il marcha vers son manteau, essuya sa lame contre l'herbe afin de la nettoyer du sang qui la recouvrai, remis son épée au fourreau qu'il rattacha autour de sa taille, puis il remis son manteau, tout ça dans le but de se calmer pour pouvoir parler à cette plus que charmante créature sans bafouiller. Le manteau servirai également à masquer le début d'érection que la vus de la robe avait provoqué. Il s'approcha de la dame et s'inclina légèrement.

-Je me présente. Je me nomme Bleiz. Humble mercenaire cherchant à parfaire son art du combat. A votre service.

Il lui pris délicatement la main et inclina la tête afin de la frôler de ses lèvres.

-Et quel est le nom qui à l'honneur d'être possédé par une aussi jolie dame ?

Hera eut un petit rire. il n'y avait donc pas qu'a l'Olympe qu'elle faisait tourner les têtes dans cette tenue ! Un beau combattant, un humain délicieux, s'attardait sur ses atraits. Et un homme bien élevé, qui savait se battre qui plus es. Un bien bon garçon, interessant sous tout les aspects.

- A mon service ? dit elle en souriant. J'en ai de la chance !

C'était donc un simple mercenaire qu'elle ne laissait donc pas de marbre ... interessant ... La jeune femme lui fit une jolie révérence, se penchant, dévoilant un merveilleux décolleté bien soigné.

- Hera. Déesse Mère, femme de Zeus. C'est un plaisir de vous croiser sur ma route - que dis-je - un désir surtout.

La nature aguicheuse de la déesse reprenait le dessus. Tant pis si elle dévoilait son identité ... c'était un atout.

Héra...HERA!???!
houla! ça Bleiz ne l'avais pas vus venir. Il avait remarqué que beaucoup de choses sur Terra correspondais à des créatures dont on entendait parler sur terre, Mais il ne pensais pas tomber sur une déesse mythologique. Il en savait suffisamment sur Héra pour savoir qu'il ne fallait pas l'énerver. Il se demanda si le fait de lorgner son décolleté pouvais l'énerver mais il ne pus s'en empêcher tellement elle était prêt de lui.

-C'est un honneur qu'une dame de votre rend se donne la peine de faire une révérence pour moi. Je ne suis pas sur de comprendre ce que vous sous-entendez par désir...

Il ne s'y connaissait pas beaucoup en déesse mais il avait finit par comprendre certaine chose des femmes. Et il lui semblait que celle-ci, tout déesse qu'elle était n'était pas indifférente à sa personne. Il voulut le tester.

-Tout ce que je sais c'est qu'en temps que reines parmis les dieux, vos désirs sont des ordres

Oh oh Encore un. A son expression, il la connaissait. Ou tout du moins il connaissait ses défauts   -_-". Elle ne prêta pas tellement attention à son regard, une habitude, et passa sa main dans ses cheveux noirs, les détachant à l'air libre. Ses boucles brunes étaient un plaisir à regarder voler, et elle en était fiére. On n'est pas déesse pour rien !!

- Oh mon cher ... Bleiz, c'est ça ? Bleiz. Ne croyez pas que je sois une peste de reine. Enfin, si, mais bon ... Pas plus que ça. Mais c'est un plaisir de savoir que j'ai un serviteur !

Elle eut un petit mouvement d'epaules, comme lorsqu'on se reveille. Et a cet instant, compris le double sens des paroles. OU plutôt cru comprendre. Evidemment ... Ce genre de jeu, elle adorait ... Les sous entendus, les paroles a double sens ...

- Dites-moi ... Avez-vous une occupation à me proposer alors ?

Elle s'installa bien sagement sur un rocher, le sourire aux lévres. Le jeu commence ...

-Je ne me permettrai pas de juger une dame sans la connaitre. Encore moins une dame aussi belle que vous.

Il était vrai qu'elle était très belle et avait un vrai corps de déesse (c'est le cas de le dire). A cela s'ajoutait le fait qu'elle avait détaché ces cheveux ce qui ajoutait encore plus à sa sensualité.

Elle lui demanda si Bleiz avait une occupation à lui proposer. Le sous-entendu était assez évident. Il s'approcha alors d'elle et lorsqu'il ne fut plus qu'as quelques centimètre d'elle et dit:

-Oh il y en a bien une qui me vient à l'idée. Mais je ne sais pas si je puis me permettre de le proposer à une femme mariée. Et quand bien même seriez vous célibataire que votre rang m'obligerai à vous demander votre permission avant.

Il se baissa et mis son visage à peine à un cheveux de distance du sien.

-Je vous laisse le soin de décidé majesté.

Elle eu un sourire en coin. Une femme mariée, quelle blague... Elle attrapa le visage de Bleiz dans ses mains, le fixant dans les yeux.

- Le mariage ? je ne m'arrête pas à ce genre de détail, Bleiz ...

Et elle continuait de le fixer, calmement, tenant son visage entre ses mains. Non, elle n'allait pas l'embrasser ... Elle voulait lui laisser le soin de le faire. Et pour l'encourager, elle avait sa petite idée. Ainsi fit elle glisser sa jambe le long de celle de Bleiz, comme une petite caresse, et approcha sa bouche de son oreille.

- Attention, je suis trés exigeante , dit'elle d'un ton amusé. Et j'aime beaucoup jouer à ce genre de jeu ...

Bleiz fut rassuré de savoir que ses prochains actes n'auraient aucune mauvaise conséquence pour lui. Il se lacha enfin

-Ne vous en faites pas oh ma reine.

Il pris son visage dans sa main et l'embrassa sauvagement.

-Je suis assez doué dans ce que je fais

Il l'embrassa à nouveau. Mettant son bras droit autour de sa taille et collant son bassin contre le sien. Il quitta ses lèvres pour s'attarder quelques peu sur son cou et jouer avec. sa main gauche parcourus son corps entier. Elle caressa légèrement ses cheveux, puis descendis lentement son dos et arriva sur ses fesses qu'il caressa doucement.

Un homme sûr de lui ... ça changeait  Elle n'était tombée que sur des hommes peu sûrs d'eux, tremblants, psychotants, qui l'avait énervé au plus haut point. La déesse les aimait sûrs et mûrs. C'est pour cela qu'elle avait subit deux mois d'abstinence relativement long et ennuyeux ...

- Je crois que ces deux mois de solitude vont être récompensés, dit elle en souriant à l'oreille de Bleiz.

Elle l'enserra, doucement avec ses bras, sentant papilloner en elle une envie, un désir qu'elle n'avait pas ressentie depuis longtemps ... Il embrassait comme il se battait, avec force et rage ... Mais pour la suite, était-il ainsi ? Elle eut un petit sourire en coin.

Elle semblait aimer la manière qu'avait Bleiz de prendre les choses en mains. Tant mieux. Après un tel combat, il n'était pas d'humeur à y aller en douceur.

-Deux mois ? Vous devez être impatiente dans ce cas

Sa main gauche qui lui caressait les fesses passait alors vers l'avant. Il passa au dessous de sa robe et caressa le plus légèrement possible son pubis. Il senti une immense chaleur et même déjà un soupcont d'humidité.

-Et bien majesté! Il semblerait que votre chatte réclame déjà d'avoir quelque chose ne elle. Je ne peux décemment pas la laisser seule plus longtemps.

Il la pénétra alors de son index et commença alors doucement à la caresser.

Elle etouffa un soupir, un sourire satisfait se dessinant sur son visage à l'instant où il pénétra son index sans douceur. Parfait ... la surprise, la brutalité ... elle était d'humeur à ça. Elle sentait les mouvements de son doigt en elle, et cela lui arrachait quelques soupirs. Deux mois ... ses parois avaient eu le temps de devenir parfaitement érogéne, et sensibles ... Elle se rapprocha de lui, collant sa poitrine contre son buste, son souffle brûlant caressant son cou, et s'approcha de son oreille.

- Effectivement ... elle se sent seule ...

Sa main calîne alla se glisser pour caresser sa bosse qui se formait dans son entrejambe.

-Alors je pense qu'il faut plus de monde.

Il mit alors un second doigt et accélèrera ses vas et viens. A nouveau, il embrassa sauvagement la déesse, puis il quitta sa bouche pour venir lui lécher et lui mordiller le coup tandis que sa mains s'activait à lui donner du plaisir comme elle le faisait au niveau de son entrejambe. Son autre mains lui caressa les fesses avec force et vigueur.

-Comment peut-on s'abstenir durant deux mois avec un corps aussi parfait que le votre majesté ?

Il pencha sa tête en avant et se mis à lécher son décolleté sur lequel il lorgnais depuis qu'il l'avais vus. S'il s'écoutait, il la plaquerai contre la pierre et la prendrai tout de suite, mais il y avait une certaine chose qu'il voulais qu'elle lui fasse avant de commencer.