Un Oral inattendu [Iruka Seishi]

Ikase était devant Myumi, fièrement dressée, les mains jointes dans le dos. La belle petite Ikase allait commencer son exposé, après y avoir planché pendant une dizaine de minutes dans l’autre salle. En cet après-midi, Myumi avait organisé des Oraux blancs, préparatoires. Elle savait que, à la fin de la dernière année, les élèves allaient dans les universités, et devraient, pour cela, réussir des concours d’entrée. Les universités étaient très sélectives, et ces concours n’étaient pas faciles, déchaînant les passions, amenant les élèves à devoir travailler lourdement. Il était donc normal que le lycée Mishima les prépare aussi bien que possible à ces épreuves, et Myumi avait accepté de soumettre ces épreuves à ses élèves. Elle se chargeait de l’Histoire, et traitait de divers sujets, concernant l’Histoire japonaise, que ce soit celle du siècle dernier, ou l’Histoire plus lointaine. Il y avait notamment plusieurs sujets sur l’époque des shoguns, et du shogunat Tokugawa. Ainsi, certains élèves avaient décrit leurs connaissances, sous une Myumi attentive... Certains, seulement.

Pour d’autres, Myumi avait préparé d’autres sujets, et une autre épreuve très particulière. C’était ainsi qu’Ikase, en entrant, avait tiré un sujet très particulier, et avait été dans la salle de derrière pour le traiter. Le sujet tenait en ces quelques mots :

« Racontez votre première expérience sexuelle »

Ikase avait légèrement rougi, mais son trouble s’était accru quand Myumi lui avait ordonné de retirer sa culotte, afin d’en mettre une, une culotte spéciale. Elle était rose, en latex, et avait la particularité de disposer de deux godes inversés, des vibromasseurs qui s’enfoncèrent dans ses parties intimes, avant que Myu’, à l’aide d’une télécommande, ne les enclenche. Ikase, dans son superbe uniforme, était ensuite allée à l’arrière, pour plancher. Elle avait refermé la porte, et était rentrée une dizaine de minutes plus tard, en portant autour des yeux un autre instrument : un bandeau blanc, qui l’empêchait de voir.

Quant à Myu’, elle en avait profité pour retirer son tailleur, et enfiler une tenue en latex gris avec un masque, plus appropriée, avec des talons et de longs collants, laissant ses seins à l'air libre. Elle s’était avancée, et avait passé des menottes autour des poignets d’Ikase, tout en l’amenant à parler.

« Je... Hum... J’ai perdu ma virginité à l’âge de... De quatorze ans, haaa... »

Ikase était une belle petite blonde, originaire du Japon, mais ayant eu deux parents occidentaux, qui avaient immigré au Japon. Elle avait donc de beaux cheveux blonds, ce qui était un grand fantasme nippon, les Japonaises étant très rarement blondes. Ikase tremblait légèrement sur place, et Myu’ savait qu’elle avait déjà du avoir plusieurs orgasmes. Ikase était l’une de ses élèves « spéciales », l’une de celles qui participaient aux soirées spéciales que la prof’ organisait parfois. La jeune femme parlait lentement, tandis que Myu’, dans son dos, la caressait, et l’embrassait dans le cou.

« Tetsu est un... Un voisin d’enfance... C’est... C’est lui qui m’a embrassé pour... Haaaa... Pour la première fois... Un délicieux baiser quand j’avais onze ans, après qu’on ait été à la piscine ensemble... »

Myu’ souriait lentement, tout en caressant les seins volumineux d’Ikase, à travers ses vêtements. Ikase sentait le latex de sa senseï et Maîtresse, et bascula sa tête en arrière, tirant un peu sur ses menottes. Lentement, Myu’ appuya sur la télécommande, accentuant la vibration des godes.

« Il... Il m’a fait l’amour... Dans mon lit, au milieu de... De mes ours en peluche, haaan... »

Lentement, Ikase se dévoilait, expliquant comment ça s’était passé. Il lui faudrait bien dix minutes pour le tenir, car elle jouissait entre-temps. Elle se tortillait sur place, et Myu’ finit par lui mettre un collier autour du cou. Ikase lui avait expliqué que ce Tetsu était un ami d’enfance, quand ils vivaient à la campagne, et il lui avait fait l’amour alors que les parents d’Ikase étaient chez ceux de Tetsu. Tetsu l’aimait depuis de longues années, et ils avaient encore fait l’amour à plusieurs reprises, en se cachant, avant qu’Ikase ne finisse à Seikusu, et ne fasse ensuite l’amour à sa prof’, ainsi qu’à quantité d’autres élèves.

« Bien, Ikase, c’est très bien... Maintenant, mets-toi à quatre pattes, et lèche mes pieds... Montre-moi que tu es une élève dévouée et soumise... »

Ikase obéit silencieusement, tandis qu’une laisse la reliait à la main de Myumi. Cette dernière posa l’une de ses mains sur ses hanches, sans avoir remarqué que le temps avait maintenant bien passé. Depuis le retour d’Ikase, il s’était écoulé un quart d’heure, au lieu des dix minutes règlementaires. Un élève pouvait donc à tout moment ouvrir la porte pour essayer de voir ce qui se passait ici.

Des oraux.. Quelle plaie. Je me devais de les passer, car mine de rien, ces matières peuvent être porteuses de grands points. Bref, j'avais insisté pour qu'un ami me les fasse passer par tout les moyens et en ce jour, il allait faire ce qu'il avait à faire. En ce jour, j'étais là, dans mon lit. Tranquillement en train de dormir, j'en avais oublié mes oraux. Heureusement, mon tuto humain allait jouer son rôle. Tranquille dans mon lit, je rêvais encore et toujours d'une certaine femme. Elle me manquait mais je me devais de finir mes études pour être normal aux yeux des autres. Certains savaient que je suis un vampire, mais hors de question que cela s'ébruite. Hors de question... Allongé et appuyé contre mon oreiller, voilà que mon téléphone se met à sonner. Au début, je grognais et serrais plus fortement mon oreiller. Malheureusement, il ne se stoppait pas. Du moins, à peine était-il éteint, qu'il se remis à sonner. Visiblement, la personne qui m'appelait tenait vraiment à m'appeler pour me dire un truc. C'est donc après un long moment que je saisis mon téléphone.

" ... Ouai ? "

Ma voix embrumé ne laissait aucun doute sur ce que j'avais fait la veille. La fête, veiller... Bref, ce qu'on ne fait pas la veille d'un oral aussi blanc ou non soit-il. Immédiatement, une voix affolée se faisait entendre dans le combiné téléphonique. La voix était claire et ne laissait aucun doute quant à la situation.

" Mec... T'es où bordel ?"
" ... Dans mon putain de lit. On est dimanche ..."
" HEIN ?!!! HEY... On est le jour de l'oral. Pas dimanche idiot. "
" Ah... Bah on s'en fou... Je passe à 14h30."
" HEIIIIN ?!!! Non mec... Loin de là, tu passes là, dans quinze minutes."
" ... "

Raccrochant, je vins donc à prendre une douche rapidement, puis je ne perdais pas de temps. M'habillant à toute vitesse, je me contentais de courir. Usant de ma rapidité hors du commun, je fonçais à l'autre bout de la ville. Quelle plaie quand même... Me réveiller en retard. Grognant contre moi même, je loupais plusieurs fois de me prendre un beau poteau en passant. Après une dingue course poursuite sur les toits de la ville, j'atterrissais en douceur à l'entrée du lycée. Personne ne m'avait vu, ouf.. Regardant l'heure, j'avais quelques minutes de retard. Soupirant, je fonçais encore et me dirigeais vers la fameuse salle. Immédiatement, mon " ami " me regardait et grognait à son tour. Il me faisait la morale... Habits peu correct, pas classe alors que le jour de l'exam il faut être un minimum classe, etcetc... Pour ma part, je m'en foutais. C'est habillé d'un shirt blanc, un haut noir en cuire et d'un jean que j'étais là. Devant la fameuse porte où l'autre candidate aurait du sortir. Hm ? Aucun bruit, je n'entendais rien de spécial. C'est donc sans hésitation que je vins toquer à la porte et immédiatement entrer en fermant la porte et laissant mes mots s'échapper.

" Excusez mon retard "

Me retournant au cours de ma phrase, je vis une chose des plus... inattendue.  Ouvrant grand les yeux, je vis une chose inattendue. La participante était en train de visiblement s'appliquer à une tâche peu en rapport avec l'oral. Intrigué, je me mis dans un coin et toquais pour me faire remarquer. Cet acte suivis à un ralement de gorge exprès pour se faire remarquer. Les deux demoiselles semblaient bien s'amuser et voir la prof dans une tenue si... plaisante, cela me mettais dans bien un état.

" ... Navré de vous déranger... Mais mon tour est venu il me semble..."

L'air joueur, je ne précisais pas de quel tour il s'agissait. En effet, je voulais voir si les rumeurs étaient étaient vrais. En effet, certains garçons racontaient des choses sur cette prof qui m'intriguait. Elle serait une parfaite coquine ? Une dominatrice des plus dure ? Sourire aux lèvres en admirant la miss qui léchait ses pieds avec envie comme une chienne, j'étais amusé par la scène. Ikase... Quelle élève. Voilà d'où viens ses bonnes notes ?

" Hm... Peut-être qu'une aide serait souhaitée hm ? "

Moi ? Participer à ces ébats ? Qui sait... Quoi qu'il en soit, ce moment était vraiment bizarre de vue. Qui aurait pensé à tomber sur des scènes comme ça en allant à un oral hm ?

« Mmmh-hmmmm... »

À genoux, le bandeau autour des yeux, Ikase s’appliquait soigneusement à sa tâche, léchant avec appétit les longs collants en latex de Myumi. Debout, cette dernière l’observait, en se mordillant les lèvres. La belle Ikase avait décidément un indéniable talent dans ce domaine. Elle était un membre très talentueux des petites soirées discrètes de Myumi, et ne l’avait jamais déçu. Il n’y avait aucune raison qu’elle commence maintenant. Se débrouillant merveilleusement bien, Ikase léchait avec adoration, remontant des chevilles jusqu’aux doigts de pied. La petite paysanne avait toujours vécu avec une sorte de profonde admiration pour les professeurs, admiration qu’il avait été facile de transformer et de modifier, afin d’en faire une telle soumise. La senseï se régalait, un sourire sur le coin des lèvres. Un masque recouvrait partiellement son visage, lui donnant une allure mystérieuse, convenant mieux à son comportement, et au rôle qu’elle était censée incarner, quand bien même Ikase ne la voyait pas. La jeune fille tirait lentement sur la laisse en se déplaçant, et sa langue glissait sur le latex, alors qu’elle soupirait de contentement.

Myu’ s’était également dotée d’une cravache, et frottait avec cette dernière le joli petit cul d’Ikase, comme pour mieux la tenter, donnant parfois quelques tapes, afin de la motiver, ce qui faisait à chaque fois gémir son élève.

Elle la laissait faire, et était tellement prise dans son plaisir qu’elle ne nota pas que le temps avait filé. Normalement, c’était à Ikase de sortir, pour annoncer à l’autre élève de revenir. Un argument plaidant en la faveur de Myumi était que l’élève prochain, Iruka, n’était pas l’élève le plus assidu en cours, et elle pensait qu’il ne serait pas là. Elle pouvait donc se faire plaisir. Aussi, quand la porte s’ouvrit, Myumi fronça les sourcils. Elle reconnut les cheveux rouges d’Iruka. Mal coiffé, en jean, dans une tenue qui, d’office, l’aurait recalé à n’importe quel Oral normal... Une chance que cet Oral ne soit pas normal. Myu’ ne se sentait nullement gênée ou troublée. Ikase entendit toutefois la porte s’ouvrir, et leva la tête, étonnée.

« Navré de vous déranger... Mais mon tour est venu il me semble...
 -  Hein ? Qui est là ? »

Elle avait relevé la tête, et se reçut rapidement un coup de cravache en plein sur les fesses, la faisant couiner.

« Retourne lécher, c’est un ordre !
 -  Oh... Oui, Maîtresse, désolée, Maîtresse ! »

Elle baissa immédiatement la tête, sans se poser davantage de questions, et Myumi observa plus attentivement Iruka. Elle ne savait pas grand-chose de lui. Il venait rarement à ses cours, et ne faisait donc pas partie du petit club de détente de Myumi. Cette dernière l’observa, alors que lui regardait la langue d’Ikase, qui remuait rapidement, cette dernière frottant également le bout de son nez ainsi que sa joue. Après un instant de réflexion, Iruka finit par lentement se rapprocher, observant les yeux de Myumi :

« Hm... Peut-être qu'une aide serait souhaitée hm ? »

Myu’ sourit, avant de répondre.

« Tu es en retard, Iruka... Si je le voulais, je pourrais te mettre un joli zéro... Et je dois avouer que c’est tentant. Sauras-tu me convaincre du contraire, hum ? »

Le silence qui s’instaura n’était rompu que par les glissements de la langue d’Ikase, et ses lents soupirs. Elle s’appliquait avec dévotion, tout en remuant un peu. Les vibromasseurs lui procuraient la plus grande joie, et ses soupirs de plus en plus forts signifiaient clairement qu’elle était en train de jouir, le faisant tout en continuant à lécher sa Maîtresse.

De la main, Myumi faisait signe à Iruka de s’approcher.

Quelle chance que j'avais. Moi qui m'attendais à une scène ennuyeuse d'une prof assise devant un bureau en train de me poser des questions... Voilà que je tombais nez à nez avec une femme en train d'en soumettre une autre de manière originale. Certes, je n'étais pas fan du costume en latex et du masque cachant l'infinie beauté de la prof, mais bon, chacun son trip. Retenant un quelconque commentaire, je vins admirer la scène qui se passait en face de moi. L'élève brillant était en train de lécher sa maîtresse avec un tel soin qu'on croirait voir deux amants. L'un se donnant totalement à l'autre. La soumission n'était pas mon genre, du moins, ce genre de soumission. Regardant les formes de chacune, je souriais en coin alors que la prof ne semblait pas s'attendre à me voir. Hm ? 

La belle demoiselle répondait à mes dires sans broncher. Avec un sourire, voilà qu'elle me proposait de la convaincre. Ricanant, je me demandais bien quoi faire. Bah... Il n'y a pas quarante solutions à ce genre de situation. Alors que Ikase s'appliquait avec soin, je vins m'approcher quand je vis le geste de la main de la belle professeur. Cette femme avait un potentiel charme de fou. J'ai toujours ressentit comme une attirance, sans jamais la traduire clairement. Là, pouvoir éventuellement m'amuser, cela serait le pied... Frissonnant de plaisir en regardant ses doigts m'inviter, je commençais par retirer mon haut de manère aguicheuse et l'envoyer valser dans un coin de la pièce.

Tablettes offertes à la vu, je m'approchais en douce puis je souriais en coin. Bien des idées me traversaient l'esprit. Prendre Ikase pour lui faire une surprise, tenter la prof ou carrément la prendre là tout de suite. Hm... Par où commencer hein ? Visiblement, je me devais de faire mes preuves, alors autant le faire tout de suite.

" Vous semblez tendu très chère... Laissez moi ... vous détendre."

Passant derrière elle, je vins coller mon ventre à son dos et approcher sa nuque. Soufflant délicatement dedans, je me mis à masser ses épaules avec vigueur et force. Le plaisir était si bon. Avec délicatesse, je descendais avec une certaine envie vers sa poitrine. Une fois à portée, mes mains s'emparaient de celle-ci et c'est là que je commençais à m'en donner à coeur joie. Ses seins étaient bandant il faut le dire. Gros sans être immense pour autant, ferme et moelleux à la fois. Un délice pour mes mains... Ma langue venait chatouiller sa nuque en douceur et ainsi, je prenais lentement mais sûrement mon pied.

" Est-ce mieux ainsi ? ... Maîtresse ?"

Un petit signe de soumission légère pour montrer que je jouais le jeu. J'avais hâte de voir comment allait tourner la suite.

La venue d’Iruka était assez inattendue, en réalité. Cependant, Myumi n’était pas du genre à se laisser surprendre, et elle savait rapidement comment s’adapter... C’était essentiel, quand on était, comme elle, une professeur bien plus intéressée par l’éducation sexuelle de ses élèves, que par leur éducation mentale. À ses pieds, Ikase ne se posait guère de questions. C’était une bonne petite, une élève soumise, tout ce que Myumi demandait. Iruka, lui... Et bien, en fait, elle ne savait pas grand-chose sur lui. Il venait rarement en cours, et on le disait distant. Cependant, l’idée de coucher avec son professeur ne semblait nullement le gêner, et il retira son haut, exhibant son torse nu, avant de se rapprocher. Myu’ esquissa un léger sourire, et le laissa se glisser dans son dos, avant de sentir ses mains presser ses seins.

« Hum... Voilà, Iruka, comme je l’aime... »

Ses mains vinrent jouer sur ses seins, tandis qu’Ikase continuait à remonter. Elle avait certes un bandeau autour des yeux, mais elle pouvait tout de même deviner amplement ce qui se passait. Iruka se glissait dans le dos de la senseï, faisant jouer ses mains, son souffle venant sur sa nuque. Il était précipité, accéléré, et, surtout, elle sentait, contre ses fesses, la virilité de l’homme, sa vigueur, qui s’enfonçait contre sa chair. Un contact que Myu’ adorait tout particulièrement. La langue de l’homme glissa sur sa nuque, et elle soupira alors, la basculant légèrement en arrière, l’entendant parler, toujours sur ce ton sensuel :

« Est-ce mieux ainsi ? ... Maîtresse ? »

Maîtresse... Un mot qui était tellement délicieux à entendre. La senseï soupira lentement, et tourna sa tête vers l’homme, frottant son nez contre sa joue.

« Oui... Mais encore bien insuffisant. »

Elle s’écarta alors, et tira sur la laisse d’Ikase, l’amenant à se relever. Elle lui ôta alors son collier, ainsi que le bandeau autour de ses yeux. Ikase cligna des yeux, en regardant brièvement Iruka.

« Iruka-san ?! s’étonna-t-elle.
 -  Deux beaux élèves, rien que pour moi… »

Amusée, Myumi caressa le menton d’Ikase, et l’embrassa brièvement, puis glissa une main sous sa jupe, et tira sur sa culotte spéciale. Ikase gémit en se tortillant, manquant tomber sur le sol, puis la senseï lui ordonna de retirer cette culotte. Les joues rouges, gênée à l’idée d’être devant quelqu’un qui, pour elle, s’apparentait à un inconnu, Ikase se retourna, se mettant dans le dos de sa professeur, et fourra ses mains sous sa jupe d’écolière, ôtant sa culotte en latex. Myu’, quant à elle, alla enrouler ses mains autour de la nuque d’Iruka, ses seins se pressant contre son corps, et elle l’embrassa langoureusement, pressant ses lèvres contre les siennes, fourrant sa langue dans sa bouche, ramenant l’une de ses mains gantées pour caresser ses cheveux, collée à l’homme.

Le baiser dura jusqu’à ce qu’Ikase ait ôté la culotte, la jetant dans un coin. Elle se retourna alors, et Myu’ rompit le baiser, en souriant, et fit signe à Ikase de se rapprocher. Cette dernière obtempéra, et l’une des mains de sa prof’ se posa sur ses fesses, les pressant. Cette dernière gémit, et, d’un coup, Myu’ la mit dans le creux des bras d’Iruka.

« Voici ton examen, Iruka... Tu as cinq minutes pour me la faire jouir. Si tu échoues, tu n’auras plus qu’à repartir, la queue entre les jambes. Et je te tiens à prévenir : Ikase est loin d’être vierge, et elle est très farouche envers les gens qu’elle ne connaît pas. »

Cette dernière, comme pour le prouver, était toute rouge, en n’osant pas regarder l’homme, tout en se sentant plutôt bien contre son corps. Il était bien bâti, après tout, et elle était de base assez excitée. Ce genre d’imprévus était typique de sa belle prof’. Ce n’était pas sa Maîtresse pour rien.

Jamais je ne me serais attendu à cela. Tomber nez à nez avec une prof qui s'amusait avec une de ses élèves... Désormais, j'étais un petit chanceux, puisque j'allais pouvoir profiter de ces personnes ici présente. Du moins, je le pensais. C'est donc de façon aguichante que je m'étais dirigé vers ma prof et aller la tripoter en douce. Massant sa poitrine généreuse et caressant son corps, je m'en donnais à coeur joie, n'ayant pas pour objectif de me précipiter. Bien au contraire. Je m'amusais comme un petit fou. Sourire aux lèvres, j'entendais les dires de la demoiselle prouvant qu'elle aimait ça. Cependant, s'était bien loin de ses espérances. Hm ? Se pourrait-il qu'elle en demande bien plus ? Alors qu'elle se cambrait, je restais là, mon membre frottant doucement son fessier. Encore habillé à ce niveau là, je me demandais quand nous allions finir nu. Rougissant quelque peu, je la sentis détourner la tête et par la suite se décaler,  brisant notre position actuelle.

Elle défit le bandeau de la deuxième soumise, puis celle-ci semblait être intrigué. Hhaha, Ikase devait être plus que surprise. Moi qui la voyais comme une simple et une pucelle qui n'a aucun talents pour s'amuser. Là, elle me parraissait plus que coquine. La voir ainsi soumise à la prof, bien des notes s'expliquent selon moi. Laissant Myu donner ses ordres à son écolière, je me fit surprendre en douce. La belle rousse se fit un plaisir de se coller à moi, m'enlacer au niveau de la nuque avant de m'embrasser langoureusement. Lèvres contre lèvres, langues contre langue... Ce baiser était plus que délicieux. J'aimais celui-ci comme pas deux. J'en fondais sur place tant il était bon. Mes mains se posaient sur son fessier encore recouvert de latex. Dommage, mais soit... Me faisant silencieux, je faisais danser ma langue avec la sienne, échangeant ma salive et la sienne de temps à autre tant ce moment était érotique. Quel baiser... Il respirait à plein poumon l'érotisme.

Après un temps à bien révasser, la belle rompit ce baiser et semblait avoir bien des idées. En effet, Ikase se montrai utile pour sa prof. Ainsi donc, elle me donnait quelques consigne assez clair à vrai dire. La faire jouir rapidement sans quoi... Ainsi donc, je me devais de la faire jouir ? Sourire en coin, je ne fanfaronnais guère et m'appliquais à la tâche. Ainsi donc, je plaquais la petite miss contre un mur, puis je me permis un baiser brûlant d'envie. Ma main allant se balader sur ses cuisses, mes doigts étaient attirés par cette antre humide réclamant bien des attention. Ainsi donc, alors que nos langue valsaient érotiquement, je laissais mes doigts s'enfoncer dans sa chaire, la doigtant rapidement. Dieu que c'est bon... Frissonnant de plaisir, je n'oubliais pas les avertissements de la prof. Elle est farouche et n'allait pas jouir avec si peu. Ainsi donc, je vins retirer mon pantalon et faire glisser mon boxer sans tarder. Dévoilant ma lance fière et droite, je pris la belle par la taille et la soulevais. Lui intimant d'enrouler ses cuisses autour de moi, elle le fit, mon bassin se collant doucement au sien. La relâchant en douceur, mon membre ne se fit pas prier, puis je commençais donc à me la faire sans soucis.
Mon sexe glissait en elle comme un couteau qui coupe du beurre. Gémissant discrétement face aux coups de butoirs en elle, je soupirais et la regardais. Elle allait jouir non ? A la longue... Accélérant et changeant parfois le rythme. Ne la laissant pas s'adapter au rythme employé, j'espérais la faire craquer ainsi. La tenant bien par les hanches, j'aimais ce son de fessier qui claque contre le bassin... Hmmm

" Aller... Laisse toi aller..."

Le temps impartit s'approchait de la fin, mais la demoiselle elle... Elle semblait presque craquer.

Il fallait bien laisser les élèves s’amuser entre eux, et, après tout, n’était-ce pas plus stimulant ainsi ? Un simple Oral, passer des heures et des heures à entendre les élèves débiter les mêmes stupidités qu’ils oublieront dès qu’ils traverseront cette porte... Sérieusement, comment pouvait-on vouloir d’une telle vie ?! Myumi entendait bien s’amuser, et donner à l’éducation cette touche jeune et tendance dont elle avait cruellement besoin. Après tout, qu’est-ce qui interdisait à une prof’ de se faire du bien avec ses élèves ? Mieux valait qu’Ikase perde sa virginité avec elle, une femme cultivée et experte, plutôt que dans la chambre sordide d’une boîte de nuit, en ayant bu suffisamment d’alcool pour faire sauter tous les alcootests du monde. Iruka se rapprocha d’Ikase, qui rougit, mais se laissa faire. Elle regarda brièvement sa Maîtresse, puis, quand Iruka l’embrassa, la jeune femme répondit sans hésitation à ce baiser. Son dos heurta le mur, et elle enroula ses bras autour du cou d’Iruka, y répondant avec plaisir, fermant les yeux, frottant son corps et ses jambes contre lui.

« Hnn ! » gémit-elle quand les doigts d’Iruka s’enfoncèrent en elle.

Elle eut un soupir de plaisir, et le laissa toutefois faire, les doigts de l’homme remuant dans son intimité trempée. Ikase soupirait lentement, et, quand l’homme se déshabilla, faisant tomber ses affaires, révélant sa virilité, elle se frotta davantage. Myumi, quant à elle, était assise contre le rebord d’une table, les observant lentement, un sourire ravi sur les lèvres. Le bonheur d’Ikase faisait plaisir à voir. Elle haletait et soupirait, son corps nu contre celui d’Iruka, et ses deux élèves commencèrent à se faire tendrement l’amour, Iruka allant lentement la pénétrer, enfonçant son chibre en elle. Ikase soupira sous cette pression momentanée, et enroula ses jambes autour de la taille de l’homme, afin d’accompagner ses coups de reins. Comme si la machine se mettait en marche, les coups de reins s’accentuèrent rapidement, soulevant peu à peu Ikase, leurs chairs se collant ensemble, claquant entre elles, ses fesses heurtant et rebondissant sur le mur.

Myu’ n’en perdait pas une goutte. Elle adorait ça, tout simplement. Voir ses élèves se faire mutuellement l’amour, c’était un régal constant. Elle les laissait faire, Iruka y allant de plus en plus fort, satisfaisant Ikase, qui, entre plusieurs baisers, poussait des cris de plaisir et de longs soupirs. La belle était bercée par les mouvements de l’homme, par ses coups de reins

« Allez, soupirait-il. Laisse-toi aller... »

Et elle se laissait aller. En attendant, les minutes s’écoulaient, et Myu’ se rappela alors qu’elle lui avait fixé un délai de cinq minutes pour la faire jouir. Ikase continuait à se tortiller, poussant des cris de plus en plus forts. Myu’ avait pu noter que les murs des salles de classe de Mishima étaient insonorisés. C’était à croire que ce lycée avait été créé dans le but de favoriser les relations sexuelles... Ce qui, en réalité, était assez exact, mais, ça, Myu’ l’ignorait. L’homme continuait à prendre Ikase, et cette dernière s’agrippait contre son dos, enfonçant ses ongles en lui,

« HAAAANNN !!! HAAAAAAAAAAAAAAANNNN !! OOO-OOOOUUUUIII !!! »

Ikase haletait de plus en plus, et finit par avoir un orgasme. Sa cyprine inonda la verge de l’homme, filant sur ses jambes, et elle soupira plu longuement, ses muscles se relâchant d’un coup.

« Oh putain... » jura Ikase en s’affaissant d’un coup.

Après s’être crispée durant son orgasme sur le corps d’Iruka, elle se relâcha en effet, en sueur. Myumi, quant à elle, dans un sourire, observa sa montre... Pour constater que le délai avait été tenu. Elle sourit donc, et s’approcha lentement.

« Tu peux relâcher Ikase, Iruka... Pour le moment, en tout cas. »

Elle observa ensuite l’homme.

« Hum... Assieds-toi sur la table, là... »

Elle fléchit lentement les genoux, et caressa ce sexe trempé de la main. Il était maculé de la mouille d’Ikase, et peut-être aussi d’un autre liquide intime. Elle prit alors ce sexe dans sa bouche, optant pour une fellation, à l’ancienne.

Que de plaisir. Soupirant d'aise, je m'en donnais à coeur joie. Ne pas décevoir la professeur étant bien sûr mon objectif. Jj'allais lui montrer de quoi je suis fait. Et pour cela, j'allais réussir ce premier examen. Soupirant d'aise, poussant quelques râles de plaisir, je pillonais la belle qui finalement finissait par enfin jouir. Enfonçant ses ongles dans ma chaire, je frissonnais de plaisir. Malheureusement, je n'avais pas eu ce plaisir que de jouir. Fermant les yeux, je relâchais la belle quand finalement j'en avais eu l'autorisation. Tombant comme une demoiselle qui en a assez eu, je dépose la belle sur le sol puis je regarde ma prof. Serait-elle satisfaite ? Ouf.

Sourire aux lèvres, je l'observe et l'écoute. Faisant ce qu'elle dit, je me laisse emporter par la douce sensation qu'elle m'offre. Sa bouche est aussi douce que du coton. Me mordillant une lèvre, la voilà qui me fait une fellation du feu de dieu. Vraiment, jamais je n'avais eu droit à une telle fellation. C'est comme si toute la douceur du monde suçait ma queue. Quel pied là. Me crispant doucement, je me sentais venir aisément. Même s'il m'en faudrait plus pour perdre de ma vigueur, la jouissance elle approchait. Regardant ma prof, je soupirais d'aise jusqu'à ce que le moment arrive.
Emporté dans cet instant de pure extase, je pose mes mains sur sa tête et j'enfonce ma queue dans sa bouche pour y jouir.  Qu'elle veuille ou non, sur le coup, je n'y ais pas pensé. Je me délecte de cette sensation de relâchement, puis finalement, je revient à moi. Retirant mon sece de la bouche de la sublime rousse, je m'excuse brièvement.

Mon sexe a beau s'être vidé sur ce coup, il reste droit comme un i, prêt pour l'action. Souriant, je me masturbe pour garder cette droiture. La belle a-t-elle appréciée ? Quelque chose en elle cloche. C'est comme si mon envie de la baiser était encore plus présent que d'ordinaire. Elle me fait envie, j'ai le besoin de l'approcher. Se pourrait-elle qu'elle ait un pouvoir qui attire les mâles ? Soupirant d'aise, je viens l'embrasser me fichant s'il lui reste encore un peu de sperme ou non. Liant ma langue à la sienne, je me montre entreprenant en sautant quelque peu sur ma prof. J'ai trop envie d'elle sur le coup. Mon imagination tourne à plein régime et mes idées sont nombreuses. Délicatement, je viens lui susurrer à l"oreille.

" Sensei... Puis-je... Vous prendre ?"

Simple, pur et simple, je souriais en coin alors que je me mis à lécher délicatement sa nuque.  Mon excitation était bien présente. J'aimais vraiment la toucher, la caresser ou même, simplement respirer son odeur. Elle est enivrante pour une raison que j'ignore.