Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

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Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 15 lundi 24 février 2014, 02:24:18

Il avait entendu cette femme se décrire comme une « infirmière »... Ulrik ne savait pas trop quoi en penser. Il ne connaissait pas beaucoup ce monde. Est-ce que leurs infirmières avaient toutes un uniforme aussi bandant que celui-là ? Si c’était le cas, ça expliquait sans doute pourquoi il pouvait se taper aussi facilement cette femme. Le bourlingueur avait toujours l’impression de rêver un peu, de flotter, mais cette sodomie avait eu pour elle de le réveiller, de le plonger dans la scène. Il avait défoncé le cul de cette salope, une vraie chienne, qui ne demandait qu’une chose : qu’il la gifle, qu’il la fesse. L’homme respirait lourdement, mains crispées sur ses seins, reprenant son souffle, et nota alors que la femme déplaçait l’une de ses mains pour caresser son sexe. Il l’imagina en train de mouiller, et, sans pouvoir se l’expliquer, cette image déclencha en lui un sursaut, une nouvelle force. Il soupira entre ses dents, et donna alors un coup de rein, envoyant la tête de la femme heurter le mur, faisant tomber de la poussière depuis le plafond.

« Putain, grommelait-il, tu es foutrement bonne, ma salope... La vache, hum ! »

Son sexe glissait faiblement contre les parois internes de la femme. Il soupira lentement, le retirant, puis retourna s’enfoncer lourdement en elle. Il en avait presque le souffle coupé, et recommença, s’écrasant contre ce latex. Il avait l’impression d’enculer une poupée de latex, et il aimait ça. Ce contact froid et sexy sur sa peau, le faisait frémir, et il accrut le rythme, avant d’attraper la main de Lulu qui lui servait à se caresser, pour l’amener contre le mur.

« Appuie-toi là, je m’occuperai de ta chatte, chérie, t’en fais pas pour ça. Comme dans les manèges, tu saisi ? Cramponne-toi, et laisse-toi emporter ! Allez, couine, ma petite pute ! »

Il leva sa main, et la gifla sur le cul, puis recommença ses pénétrations, n’y allant pas par le dos de la cuillère. Maintenant qu’il était bien positionné, il pouvait donner des coups de reins assez solides, amenant Lulu à devoir s’appuyer contre le mur avec ses mains. Ulrik grognait et soupirait, écartant son corps, le ramenant, l’écartant, le ramenant encore. Lulu s’écrasait à chaque fois contre le mur, et avait alors tout de la femme violée, cette pauvre femme qui se faisait surprendre dans le métro aux heures de fermeture, et était prise dans les cabines. Notre homme n’était pas un violeur, et, de mémoire, il n’avait jamais forcé une femme, mais, en la circonstance, il devait bien admettre que cette comparaison était pour la moins stimulante. Cette femme était terriblement bandante, solide, belle. Une poupée bien formée, rien à voir avec ces putes anorexiques fragiles comme des brindilles. Il pouvait sentir sa chair, sa résistance, son poids. Des hanches solides, longues, fermes, à même de supporter son poids. Il y allait sans remords, car, outre le plaisir intense et jubilatoire qu’il ressentait, Ulrik sentait que cette femme pourrait le supporter.

Une nouvelle claque jaillit. L’homme frappait fort, et un autre carreau fut délogé du mur, tombant sur le sol. Les doigts de Lulu se crispaient parfois dans les creux, répandant de la terre le long de ses doigts gantés. Ulrik était fasciné par la vision de ses doigts noirs, réveillant en lui quelque désir fétichiste profondément enfoui. Ceci accrut son désir de lui péter le cul, de lui exploser la rondelle bien comme il faut. Grognant, il continuait à l’injurier, tout en envoyant le bassin de la femme heurter le mur.

« Allez, allez, salope, putain, hurle ! Dans la catégorie pute, t’es hors concours, toi, hum…! Putain, ce que t’es bonne ! Tu aimes ça, hein ? HEIN, tu aimes, SALOPE ?! »

Il hurlait, ne se retenait plus, mais c’était aussi une manière d’évacuer la douleur, la rage, la frustration. Plus il avait envie de jouir, plus ses couilles le démangeaient, et plus le pirate peinait à se retenir. Il finit ainsi par se lâcher en elle, et jouit dans ses fesses, avec le sentiment persistant que son pénis était en feu. Il jouit assez longuement, en soupirant, ivre, et, quand il eut fini, Ulrik se retira d’un coup, chancelant un peu. Sous l’impact, Lulu tomba sur le sol, n’ayant plus un appui derrière elle, et l’homme s’appuya contre le lavabo, en sueur, respirant lourdement.

« Ça... Ça, c’était intense, ma belle... »
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 16 samedi 15 mars 2014, 13:19:24

Cet homme était une putain de sex-machine, un véritable piston monté sur patte ! Lulu aimait le sentir prêt d'elle, sentir la chaleur masculine et animal qui émanait de se corps musclé et en sueur. Pour une fois, et depuis longtemps, lulu se sentais dominée. L'étalons lui labourait violement l'cul, envoyant de puissant coup d'vit dans le cul de notre Duchesse qui ce sentais défaillir à chaque coup de reins de la par de cet amant d'un soir. Il soufflait, grognait, transpirait, comme un animal... Lucrezia quant à elle, elle haletait comme une petite chienne tout en couinant et en gémissant de plaisir face à cet acte charnel particulièrement intense. Chacun des vas et viens de 'inconnu dans le cul de notre tueuse, prodiguait à cette dernière une multitude de petits frissons dans tout son corps, lui faisant oublier par moment, l'intense douleur de l'acte anal. La chatte de lulu commençait à la démanger, mais l'homme lui rappela bien vit qu'il allait s'en occupait... et après il parla de manège... Lulu sur le coup avait pas trop compris le truc de manège... Surement allait il la monter comme un petit cheval, ou plutôt, comme une petite jument !

Ahh... Aaaah...

Elle avait bien du mal à parler notre Lulu, son cul la brulait, les frottements étaient à la fois très douloureux et particulièrement agréables, sentir se gros chibre glissait en elle était à la fois un pur plaisir et une atroce souffrance, mais Lulu, avouons le, l'avais bien cherchée. Cet homme était atrocement virile, avec ses grognement et ses insultes, écrasant de tous son poids notre tueuse en lui donnant de bonne grosse fessées, claquant le cul bien rond de notre Duchesse, faisant vibrer sa chair molle d'une manière tellement délectable, hoooo oui ! Lulu adorait ça ! Les bonnes grosses fessées cul nu, prodiguées par un beau male en rut et tout transpirant. Ce dernier accéléra la cadence, enfonçant sa queue de plus en plus violement dans le cul de notre tueuse, la faisant hurlait de plaisir et vibrait de mille sensations excises ! Elle s'en mordait les lèvres en fermant les yeux, elle se sentait revivre, elle sentait le plaisir monter crescendo en elle, sa mouille dégoulinant allégrement le long de ses jambes, tendis que les couilles de ce bel homme venait par moment lui fouetter la chatte... Ouai ! Lulu était au anges !

AH ! AAAaaahaaaAaaAH ! HAAAN OuuuIiIiIiIiiiiIIIIII ! continuuuUuUuUHaAaaaaaan !!!!

Mais cet alors que... L'homme envoyât un dernier grand coup d'reins dans le cul de la tueuse... Ejaculant alors en elle, emplissant son cul de sa chaude semence. Lucrezia put sentir cette divine laitance lui remplir le derch, lui procurant des millions de petits frissons dans tout le corps... L'inconnu se retira doucement, libérant ainsi la voie en faisant chuter la tueuse sur le sol. Cette dernière était toute émoustillée, toute vaporeuse tant l'acte eu était intense et jouissif. Là, avachie sur le sol, les fesses relevées et dégoulinantes, Lulu était ailleurs... Comme sonnée par cette baise, respirant doucement, faiblement, elle était en sueur elle aussi... Elle vit l'homme aller se caller contre les lavabos en disant que cela avait était intense, pour sur ! Lulu était complétement sonnée !

Après une ou deux, voir cinq petites minutes de pause, Lulu peut enfin reprendre ses esprits. Doucement, elle se coucha sur le sol en écartant ses jambes, prenant la libre initiative de se masturber devant son amant d'un soir. Les frottements était lents et langoureux, afin d'attiser une nouvelle fois la flamme du désir chez son compagnons, car ce dernier, malheureusement, n'avait plus la même trique de tout à l'heure, Lulu se devait donc d'exciter l'animal, afin que ce dernier vienne lui péter le col ! Frénétiquement, Lucrezia se mis à faire passer ses doigt sur son petit bonbon rose. Elle sentais le plaisir éclater en elle ! Et... Le simple fait de repenser l'espace de quelque seconde aux évènements précèdent... Elle eut un orgasme.

AAAH ! aaaAAAAAAH !!

De petits jet de cyprine sortirent de son antre humide et tendis que tout son corps était en proie à de petits spasme... Elle vit le bel homme s'approcher doucement d'elle.



Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 17 dimanche 16 mars 2014, 15:44:57

Il avait le corps en feu, l’impression d’être en train de s’enflammer sur place. Cette femme... Non, ce ne pouvait être une simple vision de son esprit ! Il ne pouvait pas être simplement en train de l’imaginer, elle était bel et bien réelle ! Elle était , devant elle. Il venait de lui défoncer le cul à la sauvage, quelque chose de violent, à l’ancienne, comme on l’aimait. Pas de temps mort, pas de clémence, pas d’hésitation, il ne pouvait pas s’expliquer une telle bestialité, mais ça avait été délicieux. Ulrik aurait pu croire qu’il était épuisé, qu’après s’être vidé les couilles dans ce cul, il aurait pu reprendre tranquillement sa petite mission, et repartir de ce trou sinistre, mais... La réalité, fort simple, c’était qu’il se moquait de la mission. Il venait de jouir, et, tandis que la femme reprenait son souffle, lui-même respirait lourdement, la poitrine rouge. Il entreprit de retirer les éventuels ultimes vêtements qui restaient sur son corps, finissant nu, sa poitrine se soulevant lourdement. Il était en sueur, mais toujours aussi excité, toujours aussi fiévreux, et avait toujours autant envie de cette femme. Ce latex... Putain, ça le rendait dingue ! Il avait envie de la baiser, de la prendre dans tous les sens, de la retourner comme une saloperie d’huître qu’on s’apprêtait à ouvrir en deux pour dévorer ses entrailles. Oh, il se sentait empreint de cette énergie machiste et primitive, cette force qui vous donnait l’impression d’être invincible, cette explosion d’adrénaline et de testostérone. Empreint de cette folle lubie, il s’imaginait la pulvériser, la violer sur place, comme si elle était aux premières loges d’une putain de tournante du feu de diable. Il s’avançait lentement, reprenant son souffle, se masturbant un peu, caressant sa virilité sale, gluante.

Ulrik la vit se coucher sur le sol, lentement, avant de se masturber, tout en l’observant. Il ne disait encore rien, ni n’agissait. Après tout, enculer une nana, comme ça, c’était tuant. Son vit avait été broyé dans cette masse de chair étroite, et il se caressait lentement, se tripotant, laissant le temps à son petit pensionnaire du dessous de se refaire, tandis que la femme, devant lui, se masturbait sans vergogne, ses doigts en latex remuant dans son intimité. Rien que ça... Oh, le simple fait de voir ça, bordel ! Ulrik soupirait lentement. Il aimait cette vue, tout simplement, comme une saloperie d’œuvre d’art vivante, ou de connerie visuelle du même du genre.

*Je vais tomber amoureux du latex, si ça continue...*

L’homme la laissa faire, sentant une cinquantaine de fantasmes pervers lui traverser l’esprit, et la laissa jouir. Elle se déchaînait rapidement, faisant trembler son latex, soupirant, et finit donc par jouir. Il vit sa mouille jaillir de son intimité par petits jets, tombant lentement sur le carrelage. Ulrik hocha lentement la tête, et se rapprocha d’elle.

« Hum... J’dois bien admettre que tu m’épates, ma belle. Et tu me rends complètement dingue, aussi. Cette tenue, putain... C’est un appel à la tournante la plus baisique qui soit. »

Sous l’excitation, Ulrik inventait des mots, mais c’était la seule manière qu’il avait pour clairement exprimer ce qu’il ressentait. Sa virilité était maintenant dressée, et il n’avait qu’une envie : la fourrer à nouveau. Il se pencha alors, et attrapa sa main gantée couverte de sa mouille, et vint alors lécher les doigts mouillés, mordillant ce latex, sa langue glissant dessus. C’était un curieux changement. Après la manière dont il avait voulu lui déboîter le cul, il se montrait bien plus doux. Il sentait ce latex sur sa bouche, et continuait à lécher ses doigts, avant de la regarder à nouveau, pour balancer, en souriant :

« Et puis... Tu sais, ce n’est pas très respectueux de te caresser devant moi comme ça...  Si les filles commencent à se faire plaisir toutes seules, à quoi est-ce que nous servons, nous, hein, je te le demande ? »

Il se releva alors, près d’elle, la tenant par les mains, comme pour l’inciter à se relever.

« À moins que ce ne soit une manière de m’inciter à te faire le devant, maintenant... Mais, pour ça, il suffisait de me le demander. Je suis un partisan du travail bien fait, moi. Je n’allais pas t’abandonner comme ça dans ton petit nid d’amour sans t’avoir refait la déco’ à tous les étages, poupée. »

Il se rappela alors qu’elle ne savait toujours pas comment il s’appelait...

Bah, était-ce si important, à ce stade-là ?
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 18 mercredi 19 mars 2014, 22:35:35

La langue de ce beau male se mit à tendrement lécher les doigt de notre Lulu, se délectant de sa cyprine. L'homme était plus doux, plus calme, sans toutefois abandonner son humour gentiment machiste. L'heure était à l'apaisement, L'inconnu dont Lucrezia ne connaissait pas le nom, prit soins de gentiment relever notre tueuse en lui faisant par de ses désirs... Lui refaire la déco, en voilà une jolie petite expression. Délicatement, Lulu titilla le menton de son amant à l'aide de son index avant de langoureusement lui rouler un patin, un baiser long, fougueux, passionné, une valse de langues qui sembla s'éterniser sur plusieurs heures. Les mans de la tueuses se mirent à caresser les cheveux blonds de son amant, savourant chaque petites miettes de cet instant.

 Une fois le baiser fini, Lucrezia fit tendrement descendre son visage dans le coup de son amant, se délectant du parfum de la bestialité qui émanait de lui, ce corps nu, virile, en sueur... Lucrezia adorait ça. Elle pouvait sentir le pouls de cette homme sur sa poitrine, son souffle fort et sauvage, la chaleur qui émanait de lui, ainsi que son membre tendu, dont le bout venait à caresser les lèvres intimes de la tueuse, faisant ainsi légèrement frissonner cette dernière. A dire vrai, Lulu ne savait pas trop où et dans quelle position allait ce passer la suite des événements, sur les lavabos ? A même le sol ? Où sur le vieux matelas qui trônait dans un coin de la pièce ? Délicatement, Lucrezia s'écarta de son amant, se dirigeante ensuite vers le vieux matelas. Elle posa  lentement son derrière  dessus, poussant au passage un petit couinement de douleur... Visiblement, elle avait encore un peut mal notre Lulu. Langoureusement, la tueuse dézipa la fermeture qui se trouvait entre ses seins afin de libérer ses attributs mammaires fort volumineux, en ne quittant pas le belle homme du regard, cela va de soi.

Aller mamour... J'ai envie d'une belle cravate ♥

Le message était claire et le geste explicite. Lucrezia s'amusait à soupeser ses seins devant le belle homme, afin d'attiser encore plus son désir.


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 19 vendredi 21 mars 2014, 01:47:32

Elle l’embrassa, et Ulrik la laissa faire, soupirant de plaisir, sa verge s’accroissant à nouveau, tapant contre le bas de la robe en latex de Lulu, glissant dessus, filant parfois dessous sous les mouvements respectifs de leurs corps. Cette femme lui plaisait, il ne pouvait tout simplement pas le nier. Elle était terrifiante, magnifique, dégageant un mélange de sexe, de perversion, et de dangerosité. Ulrik savait qu’elle était dangereuse, comme une espèce de sorcière, mais il ne pouvait s’empêcher de vouloir lui faire l’amour. C’était tout simplement trop bon, et il ne pouvait rien faire contre ça. Il n’avait envie que d’une seule chose : la baiser sévèrement, encore et encore, se perdre avec elle, savourer le contact de ce latex contre son corps. Ulrik n’avait jamais été particulièrement fétichiste, mais il devait bien admettre que cet emballage n’était pas pour lui déplaire. Il goûtait aux lèvres bleues de la femme, à sa passion sauvage. Il lui avait défoncé le cul, l’avait sévèrement tringlé. Tout ça était surréaliste, mais il ne regrettait rien, et, comme un enfant venant de goûter à une bonne chose, il n’avait qu’une envie : y retourner. Dans ce lieu crade et pourri, couvert de zébrures et de lézardes, il voulait continuer à la prendre. Ulrik n’était pas particulièrement un sain, et ce qu’il avait fait aurait pu, sans problème, passer pour un viol auprès d’un tribunal. Cependant, quitte à en passer par la case « justice », il y avait fort à parier que la victime ne serait pas une blanche colombe innocente, mais, ça, et bien, Ulrik ne pouvait pas le savoir, quand bien même il se doutait que cette fille n’était pas normale.

Rompant leur tendre baiser, qui était comme une invitation à poursuivre, Lulu alla lui embrasser le cou. Ulrik la laissa faire, savourant ce contact. Les seins énormes de cette femme s’enfonçaient contre son torse, et sa bouche filait sur son cou. Ses mains caressaient sa longue chevelure, glissant sur son dos, s’appuyant dessus. Elle n’était pas belle... Du moins, pas au sens classique du terme. S’il avait fallu continuer les termes machistes, Ulrik aurait en effet dit qu’elle n’était pas belle, mais bonne. Il se comportait avec elle comme si elle était une traînée, mais, s’il le faisait, c’était bien parce qu’il avait l’impression que c’était ainsi qu’elle voulait se faire traiter. Comment expliquer, autrement, qu’elle vive dans un endroit si miteux, avec une tenue qui al ferait passer pour la dernière des putes ? C’était une cinglée, mais elle voulait se faire ramoner le corps comme la pute d’un bordel insipide des profondeurs de Gordan. Il ne comptait pas aller contre ce point de vue. Gentleman jusqu’au bout, pourrait-on dire. La femme frémissait contre lui, essayant de réveiller cet homme qui l’avait prise contre le mur, qui l’avait baisé comme il l’aurait fait en violant quelqu’un. Elle avait du noter le changement de régime, le fait qu’il soit un peu plus doux, et il appréciait qu’elle cherche à entretenir le feu qui bouillonnait en lui. S’il avait eu besoin d’une preuve pour justifier son consentement, il venait de l’avoir. Elle ne le repousserait pas, et c’était bon à savoir.

Lulu finit par s’écarter, et rejoignit son vieux matelas pourri. Il en profita pour observer son joli petit cul... Indéniablement, il y avait un goût reviens-y, quand même. Cependant, il comptait laisser les fesses de Lulu en paix. Pour le reste de son corps, en revanche... Il s’avança un peu vers elle, et la vit défaire le haut de sa combinaison, laissant poindre ses seins. Deux masses de chair volumineuses. Ça, c’était impressionnant, et il se demanda même si cette femme n’était pas, en réalité, une espèce de démone.

« Allez mamour... J'ai envie d'une belle cravate » l’incita-t-elle.

Il sourit lentement, et hocha la tête. Une cravate de notaire... À l’ancienne. Ouais, ça, il aimait. Son sexe lui fit mal, et il s’avança un peu, puis se pencha vers elle, caressant ses cheveux, et s’assit juste à côté d’elle, avant de commencer à s’allonger.

« Allez, ma chérie, viens y enfouir tes seins... »

C’était à elle d’agir, après tout, il n’allait pas remuer les seins de la femme. Gentleman, après tout. D’une main, il maintenait son sexe en l’air, afin qu’elle puisse mieux le prendre, et, qui sait... Peut-être en lécher le bout ?
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 20 samedi 22 mars 2014, 17:27:31

Suite à la proposition de Lucrezia, l'homme vint gentiment s’asseoir à ses cotés, avant de s’allonger sur le matelas en maintenant sa belle verge bien droite. Doucement, Lulu se saisit du membre de son compagnie au niveau de la base, posant par la suite, une nouvelle fois ses lèvres sur cet obélisque de chair, délivrant à ce dernier, une multitude de petits bisous. Lulu, s'amusait à laisser plein de petites traces bleutées sur le sexe de son amant, faisant par moment glisser ses lèvres sur toute la longueur de son chibre. Après se petit "jeu", Lulu se décidât enfin à enfouir le sexe de l'inconnu entre son énorme paire de seins, deux bonnes grosses miches, bien formées et bien fermes, comme tant de messieurs les aimes. Un petit crachat histoire de lubrifier le tout et hop ! La machine était en marche ! Lentement, La tueuse fit monter en descendre sa poitrine sur le pic de chair de cet inconnu, en poussant de petit soupire de plaisir, c'était si bon ! Lulu adorait ça, sentir la queue d'un homme entre ses deux nibard était un vrai délice pour elle, les seins étant une zone particulièrement érogène.

Ahh... aaahhh Tu aime ça hein ?

Pour sur que se bonhomme devait aimer ça ! Lulu était une experte dans pas mal de domaine, même une simple branlette devient un pur plaisir avec notre tueuse. Le geste était délicat, doux, lascif, Lucrezia y mettais plein d'bon cœur et de tendresse, afin d'offrir à son amant d'un soir, une baise inoubliable. Toutefois elle ne comptais pas le laisser une nouvelle fois jouir, au risque que se dernier perde définitivement sa dureté. Petit à petit, la pression que Lucrezia exerçait sur ses seins devint plus fort, enserrant avec plus d'ardeur le chibre du beau blond, le geste était quant à lui, toujours aussi lent, les choses devait une fois encore, ne pas êtres brusquées.
Dix à quinze longues minutes s'écoulèrent alors, avant que la tueuse se décide enfin à accélérer la cadence, allant chaque fois de plus en plus vite ! Elle prenait un mali plaisir à ce caressait les tétons en même temps qu'elle branler son amant, c'était juste exquis ! Entre nous, cela faisait belle lurette qu'elle n'avait pas fait une bonne cravate de notaire, et pour le coup, elle se faisait clairement plaisir la Duchesse. Le claquement des seins de lulu contre le corps de cet homme raisonnait dans toute la pièce, au même titre quelles petit soupirs de la tueuse. Cette dernière accélérât une nouvelle fois le pas, voulant à tout prit pousser cet homme au limite de l’éjaculation ! Oui... ui ! Elle sentais son membre se durcir d'un coup... ça venait!

Aaaah ! nan ! aahh... ha... tu reste dur mon coco !

Et hop ! Rapidement, Lulu retira la queue du bel homme d'entre ses seins, attrapant alors fermement sa verge au niveau de la base, l’empêchant ainsi de jouir.

Ouf... c'est pas passer loin ! fufufu !

Lucrezia avait eu, d'un seul coup, envie de frustrer son amant, en l’empêchant d'éjaculer... Sadique ? Non... Le terme "joueuse" est plus approprié en ce cas de figure. Lentement, la tueuse changea de positon, se mettant alors en 69 avec son amant.

Aller mon doudou... fait plaisir à maman ♥

Lentement, Elle se redressa de sorte à ce que son intimité arrive très prêt du visage de l'homme, elle voulait un bon cuni, et elle comptait bien l'avoir.

Je m'occuperai de ta grosse quéquette quand tu m'aura suffisamment titillé le minou... D'accord ♥

En réalité, Lucrezia avait nullement envie de jouer les dominatrice, elle voulait juste jouer, voilà tout !


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 21 lundi 24 mars 2014, 01:38:40

Allongé sur le matelas, traité comme un Roi, Ulrik n’allait pas se plaindre. La femme se rapprocha de lui, et se mit à parcourir sa verge de multiples baisers, glissant dessus, en déposant une multitude, stimulant à chaque fois le bourlingueur spatial, qui soupirait lentement, de plus en plus excité. Il avait certes joui sous peu, mais le désir restait toujours aussi fort, durcissant sa verge, amenant cette dernière à se battre contre les lois de la gravité. Sur son vit, il sentit les doigts gantés de Lulu, puis sa bouche, déposant plusieurs baisers, flattant sa virilité par ses lèvres tendres et charnues. Après ce petit traitement préparatoire, la terrible femme déplaça ensuite ses seins, et emprisonna le sexe de l’homme. Ulrik soupira lentement en fermant les yeux, basculant sa tête en arrière. Dans son dos, il sentait les ressorts de ce matelas pourri, mais il s’en moquait alors totalement. Tout son esprit était focalisé presque exclusivement sur ce bruit de frottement... Un bruit très curieux, un genre de *SPLOUITCH !* récurrent. Il releva lentement sa tête, en s’appuyant sur ses avant-bras, afin de pouvoir mieux observer cette femme. Ce qu’elle faisait était clairement fascinant, et il y avait là quelque chose de profondément magique, de terriblement sensuel et pervers, qui fascinait Ulrik. La femme soupirait lentement en remuant ses seins avec énergie, durcissant le sexe de l’homme, qui s’enfouissait entre ses monts de chair.

L’homme se laissait pleinement faire, et Lulu continua ainsi à le masturber, pendant de longues minutes. Ses soupirs étaient légers, relativement silencieux, et il la laissait faire, muet, presque ausis réactif qu’un spectateur qui aurait regardé cette scène. Il n’aurait su dire en quoi, mais il trouvait le geste de cette femme terriblement artistique. Ouais... Ouais, on aurait presque dit une putain d’artiste du cul. Impossible de savoir ce qu’elle fabriquait dans un rade pareil, mais, une chose était sûre : si elle continuait ainsi, Ulrik allait avoir des regrets à la laisser là ! La kidnapper ne faisait cependant pas partie de ses objectifs. Une femme, de manière générale, ça apportait bien trop d’emmerdes, et ça portait malheur. Mais bordel, c’était tentant !

Lentement, mais sûrement, une nouvelle érection le saisissait, avec, à son échéance, une éjaculation. Cette fois, ce serait une éjaculation faciale, à l’ancienne. Il lui balancerait son sperme en pleine gueule, et l’homme fantasmait déjà l’idée de voir la belle en latex se retrouver avec sa crème sur la figure... Il sentait le courant remonter, ses muscles se crispaient, il basculait sa tête en arrière, sur le point de lancer la sauce... Quand cette foutue salope, que Dieu lui pisse à la gueule, cessa alors de le masturber, et alla jusqu’à bloquer sa base, Ulrik grogna en remuant les jambes, donnant un gros coup de poing sur le matelas. Elle l’empêchait de jouir, alors qu’il sentait le courant sur le point d’éclater.

« PUTAIN, MEEERRDE !! » s’exclama alors l’homme.

La femme agit rapidement, se redressant, et lui expliqua le contenu de son deal. Ulrik était alors terriblement frustré, et devait résister à l’envie de lui sauter dessus, de la frapper, et de jouir sur sa gueule, avant de lui pisser dessus. Il avait envie de la tuer, quoi ! De quel droit est-ce que cette pute l’empêchait de jouir ?! Est-ce qu’elle ne réalisait pas à quel point un homme frustré pouvait être dangereux ? Ulrik n’avait qu’une envie : se lever d’un coup, l’étrangler, briser sons ale petit cou, et lui bourrer la gueule en jouissant à en enfanter des planètes entières !

« Je m'occuperai de ta grosse quéquette quand tu m'aura suffisamment titillé le minou... D'accord »

Devant ce ton, Ulrik soupira lentement, serrant les dents, et posa chacune de ses mains sur les fesses de la femme, se détendant légèrement. Il était un ancien soldat, après tout, quelqu’un qui avait appris la discipline auprès de l’Empire de Gordan, un empire connu pour l’importance qu’il accordait à la discipline et à l’entraînement.

« Putain de salope... Soit je te tue, soit je te bénis, c’est tout l’un ou tout l’autre… »

Elle jouait avec le feu, mais, en un sens, il appréciait ça. Pour les Gordaniens, les femmes ne devaient pas forcément être bonnes au foyer. Le sexisme n’existait pas sur Gordan, et des femmes dominatrices étaient même assez appréciées. En attendant, Ulrik avança sa langue, et alla lécher l’intimité de la femme, lourdement, empoignant fermement ses fesses, plaquant son bassin contre son visage, et remua activement sa langue.

Il était sur le point de jouir, et tout son corps tremblait nerveusement, illustrant le même besoin qui le traversait intégralement : une envie phénoménale de s’abandonner en elle. Ses mains se crispaient sur le latex, alors que l’homme grognait lentement. Par rapport à la sodomie brutale dont Lulu avait fait preuve, Ulrik faisait preuve d’une curieuse soumission, assez étonnante. En un sens, il considérait que Lulu prenait une revanche légitime, justement méritée, après l’opération qu’il lui avait fait subir. Il ne pouvait pas aller contre ça, c’était un comportement typiquement gordanien.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 22 mardi 25 mars 2014, 13:37:47

Lucrezia voulait frustrer son amant... Elle avait réussi ! Ce dernier n'était vraiment pas content... Mais alors pas content du-tout ! Il grognait et soufflait comme un beau diable, Lulu lui avait coupé l'herbe sous le pied juste au moment ou le bonhomme aller lâcher la purée et maintenant, voilà qu'elle lui demandait un cuni... Ouai, elle à des couilles la Lulu, enfin, façon de parler. Cependant, après une énième injures proférée, l'homme consenti à gentiment lécher notre Duchesse, agrippant fermement sa belle paire de fesses. Quand l'inconnu vint à enfoncer sa langue dans l'intimité juteuse de Lulu, notre tueuse laissât échapper un petit gémissement, tendis que son corps fut, une fois encore, parcouru par un immense frisson.

Aaaaaah oui... hmmm, comme ça oui.... oui.. Aaaaah !

Oui, cet homme savait y faire avec notre Duchesse, sa langue était comme... Comme... Comme une petit visiteur qui fouinait partout ! Tapant et caressant les parois de la tueuse, glissant amoureusement le long de ses lèvres intimes, titillant avec un certain amusement son bonbon rose. Tout cela faisait vibrer Lucrezia, l'envoyant dans ses souvenirs du temps où elle était encore une femme "intègre", ce rappelant alors de tout les jeux saphiques qu'elle partageait avec ses collègues infirmières, passant de longues heures dans les douches ou dans la salle de repos. Les trucs entre filles, Lulu elle aimait bien ça... Même ci maintenant, la plupart des trucs qu'elle faisait avec une autre nana était... Eux... Enfin voilà quoi... Mais bizarrement, avec les messieurs, Lulu n'a pas changée... Nan, elle est toujours cette grosse coquine qui aime s'en mettre plein la gueule pour pas un rond. Enfin bref, pour le moment, Notre tueuse prenait son pied, sentant cette langue la passer au crible, lui confèrent mille plaisirs, mille frissons et une intense jouissance. La cyprine dégoulinait le long des cuisse de Lucrezia, venant alimenter son amant, qui, devait surement ce délecter du miel délicat qui s’échapper de la belle fleurs rose de notre tueuse. La belle poussait une multitudes de petit gémissements, haletant par moment comme une petite chienne en chaleur, s'amusant même à faire frotter ses lèvres contre le nez du beau blond. L'acte dura bien un vingtaines de minutes avant qu'enfin, Lulu se décide à reprendre "les chose en mains". 

Ah... Ah... AAAaaah je.. Je vais te... Te la faire cracher ta purée ! Aaaah !

Et hop ! Lulu se pencha d'un coup, afin de malicieusement reprendre la queue de cet homme entre ses deux monts de chair et de, bien évidement, reprendre son paizuri là où elle l'avait laissée. Les claquement reprirent de plus belle, tendis que l'homme sembla lui aussi mettre plus de cœur à l'ouvrage.

Aaaah oui, oui,.... ouiiiiii... Vas y... Aaaah !

Lucrezia soupirait fortement, allant de plus en plus vite, enserrent le sexe de blondinet avec hardeur. Elle le sentait, elle savait qu'il n'allait pas tarder à tout lâcher, et cette fois ci, elle n'aller pas l'en empêcher ! D’ailleurs... Elle aussi elle sentait la moutarde monter.


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 23 mercredi 26 mars 2014, 01:56:08

C’était d’une classe à en faire pâlir de jalousie les poètes. Aurait-il été un peu plus machiste qu’il aurait sans doute défoncé sec cette femme, en faisant preuve d’une rage qui lui aurait fait comprendre qu’on ne jouait pas ainsi avec un mâle. Au lieu de ça, il écumait sa frustration en lui léchant son sexe, mordant parfois sa belle peau. Rien de bien méchant, rien qui ne soit susceptible de l’envoyer à l’hôpital pour de la chirurgie, mais suffisamment pour qu’elle sente qu’il goûtait fort peu à cet humour... Du moins, en ce qui concernait son sexe. Son membre était bien raide, assoiffé, tapotant contre le visage de la femme, qui jouait avec ce dernier, continuant davantage à attiser le feu, au risque d’atteindre le point de rupture. Ulrik grognait et soupira, devant en appeler à toute sa discipline pour ne pas la repousser d’un coup, et la prendre comme une truie. Il se demandait même si ce n’était pas ça que cette femme voulait : continuer à se faire tringler comme une chose, à se faire défoncer par un mâle dominateur et brutal. Cette idée remua dans sa tête, et, alors qu’il comptait agir en ce sens, la femme fourra son sexe entre ses seins, et le masturba. La tension qui régnait dans le corps d’Ulrik sembla se détendre d’un coup, et l’homme poussa un long soupir en remuant lentement sur le sol, balançant la « purée ».

Il jouit contre les seins de la femme, et plusieurs filaments de sperme filèrent comme des missiles, pour s’écraser sur le menton de la femme. Ulrik avait la bouche couverte de mouille, mais s’en foutait. Il venait de jouir, et il jouit même généreusement, balançant plusieurs couches, à tel point que, s’il continuait, il se mettrait probablement à pisser sur cette salope. Toute sa nervosité explosa, la tension redescendant, comme une montagne russe, et Ulrik s’affala sur le matelas pourri, des frissons de plaisir traversant tout son corps. Qu’on ose dire, après ça, que jouir n’était pas quelque chose de superbe. Il se sentait merveilleusement détendu. Le sperme filait le long de son sexe, se collant à ce dernier, et il sentait également son visage, sa nuque, être inondée par la semence de la femme. C’était crade, dégueulasse, donc plutôt conforme à l’ambiance générale de leurs ébats.

Ulrik repoussa la femme, l’envoyant à côté de lui, et se releva, luttant contre la torpeur qui l’engourdissait, cette espèce de bienheureuse sensation qui lui disait qu’il pouvait maintenant se reposer, se laisser aller. Il observa la femme lentement, soupirant longuement. Des gouttes de sueur coulaient le long de ses joues, filant sur son menton. Elle était couchée à côté d’elle, dans sa robe en latex, froissée à hauteur de ses seins, le sperme d’Ulrik décorant sa lourde poitrine, comme une digne récompense. Le bourlingueur soupira lentement. Il avait conscience que c’était le moment rêvé pour un bon mot, mais rien ne lui venait à l’esprit, si ce n’est une envie de continuer à la prendre.

*Ça, ça me botte bien...*

Il était fourbu, mais c’était plus fort que lui: cette femme continuait à l’exciter. Son sexe était trempé, et avait gagné en mollesse après son érection. L’homme soupira lentement en fermant les yeux, se masturbant légèrement, ses doigts glissant sur son propre sperme, les rendant un peu plus collant, alors que, dans sa tête, les images défilaient. Une odeur de sexe régnait dans cette petite pièce, et il savait qu’il n’en avait pas encore totalement fini avec elle.

« Fous-toi à quatre pattes, petite salope. »

Si elle refusait, il insisterait. Ne l’avait-elle pas frustré, après tout ? Elle ne pensait tout de même pas s’en tirer simplement avec du jus sur ses seins, non ? Ulrik comptait finir son travail, car, dans le fond, il n’y avait rien de plus horrible qu’un travail imparfait, inachevé.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 24 dimanche 06 avril 2014, 19:30:37

Les trucs sales, Lulu elle aimait bien ça. Non pas qu'elle soit une femme sale, hein, non, non... Mais pour une raison qu'elle ignore, elle adore s'en foutre de partout dans des endroits pas catholiques, elle aime se faire giclée dessus comme une salope et... Et... Il n'y a pas de mots pour décrire à quel point elle aime ça. Sentir sur elle et en elle la chaude semence d'un homme, goûter, humer le foutre gluant d'un inconnu... Ouai, elle aimait vraiment ça notre Duchesse. Fut un temps, à l'époque pas si lointaine ou elle travailler à l’hôpital, elle... Aimait passer son 'tit temps libre à tailler des pipes aux patients sexy ou au membre du personnel, il faut dire qu'elle avait une sacré petite réputation notre Duchesse... Maintenant... Je ne pense pas que ses ancien collègue aimerais se faire sucer par elle... Bref, alors qu'elle masturber amoureusement le vit de son amant, Lucrezia fut bien vite surprise pas la magnifique, que dit je, la gargantuesque éjaculation que lui offrit le belle homme. Plusieurs beau jets de sperme vinrent à s'écraser contre son menton, elle en avait eu dans la bouche, sur les joues, entre le seins et même, sur la paupière droite.

Ah... Ah... Aaaah...

Lentement, la tueuse se redressa, libérant de son emprise mammaire le sexe gluant de son amant. Lentement, les yeux de Lulu se tournèrent vers le bel homme, le fixant d'un air de chienne en chaleur, tout en prenant un malin plaisir à se pourlécher les lèvres, elle en voulait encore... Oui, elle en voulait encore ! Et visiblement, ce beau mâle aussi ! Les deux protagonistes étaient tout deux encore bien chauds et l'odeur sexuelle qui régnait dans la pièce, n’arrangeait visiblement rien à la situation. L'appétit sexuelle de la Duchesse grimpait chaque seconde un peu plus, le fait de voir son amant ce branler, ça la mettait dans tous ses états. Elle avait envie de ce faire prendre et ceux dans n importe quelle position !

« Fous-toi à quatre pattes, petite salope. »

Une levrette ? Oh oui, chic ! Lulu adorait ça ! Une bonne levrette à l'ancienne, comme la fois où... Ouai nan, on s'en branle. Lucrezia avait bien compris le message et elle comptait bien gentiment se donnait à cet homme. Mais avant, elle fit une petit séance effeuillage à son amant, enlevant lascivement son uniforme d'infirmière, veillant à faire traîner en longueur chacun de ses gestes, caressant avec volupté ses courbes féminines, monstrueusement attirante. Les yeux de la tueuse ne quittaient pas l'homme d'une seule secondes, des yeux emplis de chaleur et d'animosité, un regard lubrique suintant de luxure et puant la folie à plein nez, un délicat mélange entre le regard de jack Nicholson et celui d'une pute surchargée d'hormones.  Une fois l'uniforme enlevé, Lucrezia ne portait plus sur elle, que ses grands gants de latex noirs ainsi que ses espèces de de collants en latex eux aussi, tout ça sublimé par des escarpins d'un noirs luisant. Tout cela sentait la bonne baise bien dur et bien sévère, comme à peut prêt tout ce qui avait précédé ce moment et Lucrezia, égal à elle même, eu tout à coup une furieuse envie de SM... Ouaip ! Cet alors en tout bien tout honneur que lulu s'empara d'une longue et vieille cordelette qui traînait là, avant de l'attacher à son ras-le-cou en latex. Lucrezia se cambra bien devant l'inconnu, puis elle lui répondit enfin.

Aaaah... B... Bi... Bifle moi les fesses mon amour... Je suis une vilaine wouf-wouf ! Dit elle en remuant son popotin, cordelette à la mains et sourire en coin.

Une nouvelle fois, le message était clair !


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 25 mardi 08 avril 2014, 02:12:30

Avant de se déshabiller, la petite salope entreprit de retirer sa robe en latex, comme on déballe un emballage cadeau. Difficile de dire si elle était plus baisable avec ou sans cette dernière. En la prenant comme ça, en sentant le latex contre sa peau, il avait eu l’impression de défoncer une belle poupée en latex, aux formes merveilleuses. Une sorte d’Ange de la luxure, oud e reine des putes. Ulrik n’était guère poli en ce moment, laissant s’exprimer sa vulgarité. Dans un tel endroit, le sentimentalisme lui semblait être un sentiment proscrit et un peu inutile. Il la laissa se déshabiller, appréciant cet interlude, comme une manière de calmer le jeu, de se détendre, et de laisser, lentement, la tension remonter. Comme des montagnes russes. Ouais, exactement comme l’un de ces putains de manèges de tourniquet. Ulrik soupira lentement en voyant la femme se tortiller lentement, écartant les pans de sa robe, courbant son corps, se trémoussant, faisant lentement glisser la fermeture Éclair, sans que jamais son regard de sale-chaudasse-bonne-à-être-fourrée-comme-une-grosse-truie ne vienne à quitter le sien. Ulrik, lui, observa ses seins laiteux, ses formes parfaites, et sentit son sexe le tenter à nouveau. Était-elle donc inépuisable ? Le sexe était-elle donc la drogue de cette femme ? Ulrik soupira à nouveau, sans rien dire, son sexe venant à nouveau défier les lois de la gravité. Il se redressait lentement, tandis que Lulu, de son côté, jeta sa robe de latex au loin, comme un élégant morceau de chiffon, s’offrant ainsi à l’homme, à lui et à sa virilité assoiffée. Son cœur hurlait dans sa poitrine, sa gorge était foutrement sèche, et il avait une nouvelle envie de trique... Cette pute se mit alors à quatre pattes, après l’avoir bien échauffé, et bomba fièrement son joli petit cul... Et haaa... Haaa, ce joli cul ! Comme le reste de son corps, il était superbe : deux fesses bien rondes, bien potelées, gracieusement tendues vers lui.

Les refuser, ce serait un crime ; un putain de sacrilège, une saloperie d’offense au beau sexe, et même au bon goût ! Ulrik n’était pas de ce pain-là. Il observait ce cul tendu, ce corps ferme, solide, ample... Lulu était une femme bien en chair, avec de belles cuisses, exactement comme on devait les aimer. Le brave homme, qui ignorait absolument tout de cette femme, si ce n’est qu’elle était cinglée, avait un goût prononcé pour le latex, et qu’elle était très bonne à baiser dans tous les sens, lui fit signe de venir, de s’approcher, de profiter de son corps, de ne pas hésiter. Une invitation que notre courageux guerrier sut prendre au pied de la lettre.

Le premier appel n’utilisa pas de mot, mais une vieille cordelette qui traînait sur le sol, et qu’elle attacha à son ras-le-cou noir, se donnant ainsi l’air parfait d’une chienne. Le sexe d’Ulrik le démangea encore un peu plus, l’éloignant de plus en plus de l’homme civilisé, afin de réveiller en lui le Gordanien sauvage et brutal. Il soupira lentement, avant de la voir tirer sur la cordelette, qui glissa, remuant le long de ses doigts, formant ainsi comme une espèce de lasso.

« Aaaah... B... Bi... Bifle moi les fesses mon amour... Je suis une vilaine wouf-wouf ! »

Ulrik soupira, et s’approcha, puis attrapa la cordelette d’une main, la tirant fermement, ce qui eut pour effet de soulever un peu Lulu, tandis que son sexe heurta ses fesses, glissant dessus. Un sourire amusé traversa alors ses lèvres.

« Toi, ma belle, t’es vraiment... Irrécupérable. »

Bifler les fesses… Il essaya de le faire, mais un sexe… Et bien, une verge, ce n’était pas un bout de bois, et il se sentit surtout ridicule à essayer de faire frotter son sexe contre son cul, à donner des coups dessus. Il finit par grogner, puis relâcha son membre, après quelques vaines et infructueuses tentatives.

« Oh et puis merde, si tu veux que je te claque le cul, ma salope, ‘suffit de demander ! »

Il tira à nouveau sur la cordelette, et donna alors, avec son autre main, une claque magistrale sur son cul, en ressentant un frisson de plaisir... Un frisson différent de celui qu’il ressentait en lui labourant le corps, un frisson qui exprimait plus une sorte de pouvoir, de frisson liée à la douleur qu’il ressentit dans ses doigts. La violence avait pour elle d’être une pulsion désinhibitrice, elle avait pour elle de libérer les gens, et il la gifla donc à nouveau, encore. Sa main s’abattit sèchement sur son postérieur, à plusieurs reprises, tandis qu’il ramenait parfois la cordelette à lui.

« Allez, allez, aboie, ABOIE, espèce de salope, ABOIE, BORDEL, misérable TRAÎNÉE !! »

Son ton devenait fort et grave... Mais, dans le fond, c’était aussi un peu ce qu’elle voulait. Il n’y avait donc virtuellement aucune chance pour qu’il se sente responsable de quoi que ce soit.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 26 mercredi 09 avril 2014, 22:08:49

Ce bel homme... Ce beau mâle virile et emplie d'animosité, il excitais vraiment notre Lulu, lui et sa grosse queue fièrement tendus devant lui, comme une putain de baïonnette prête à embrocher n'importe quelle poulette. Lulu se sentais chienne, elle avait envie qu'il la prennent en levrette avec violence et brutalité, elle voulait qu'il la fasse hurlait, qu'il la fasse jouir comme une salope ! Cet inconnue essaya vainement de bifler les fesses à notre duchesse, mais même cette tentative infructueuse eu comme effet d'exciter la jeune femme, la faisant gémir comme une petite pute... Ouai, Lulu était dans tous ses états, sentir une bonne grosse queue contre son cul, ça la faisait clairement frémir de plaisir !


Ahhh..aaaaaAAAh..
.

Le cul de lulu était... Vraiment un bon gros cul ! Le genre de popotin bien charnue et bien ferme, le genre de cul que les hommes aime giflait comme des porcs, faisant vibrer la chair comme un tambour, ce que l'inconnue fit d'ailleurs sans aucune vergogne... Aucune... et ceux, pour le plus grand plaisir de notre Duchesse.

Ah ! Ah ! ouiiii ! Gi... Gifle moi les fesses !

Ouai, là, elle kiffait grave ! Ce faire fessée ainsi le cul, c'était simplement jouissif pour elle ! Le fait de sentir cet mains ferme lui frapper le cul sans retenue, ça ne faisait qu'exciter plus encore la tueuse et puis... Le coup de la corde là, c'était une putain d'idée de génie ! Lulu ce sentait vraiment chienne, elle ce sentait soumise et ça, ça lui foutait vraiment la chatte en feu, chatte de laquelle, on pouvait apercevoir de longs fil de cyprine dégouliner contre les belles cuisses de la tueuse.
« Allez, allez, aboie, ABOIE, espèce de salope, ABOIE, BORDEL, misérable TRAÎNÉE !! »

Ohoh ! en voilà un ordre qu'il était formel ! Lulu ne savait pas trop quoi dire sur le coup, mais... Bien vite elle fini par s’exécuter, comme une gentille petite chienne en chaleur, en tortillant son cul potelé de gauche à droite en tirant la langue, haletant comme une sale petite pute, le regard emplie de désir et la foufoune chaude comme un brasier !

Ah... Haaann... Nyouuuu... Ouf ! OUf ! AAAH ahh... ahh Af ! Ouaf ! Haaan... hannn...

Certes, ce n'est pas très convainquant, mais lulu y mettait vraiment du siens, je vous l'assure ! Elle tortillait du cul, en mettant bien sa chatte en évidence, tachant de faire comprendre à son amant qu'elle voulait qu'il la baise. Cependant, Lulu y tout à coup une autre idée en tête. Lentement, lascivement, la tueuse se retourna vers le bel homme, se rendant ainsi auprès de sa belle queue bien dure. Cet verge tendue, là, juste sous les yeux de La duchesse... Diable qu'elle lui donnait envie de la lécher... Ce qu'elle fit, bien évidement. Elle la léchât avec amour et tendresse, donnant de grand et délicat coup de langue sur tout ce mont de chair luisant et gluant. Savourant cette queue comme une chienne peut savourer un bon gros nonosse bien savoureux. Le regard de lulu ne quittait pas celui de son amant, elle voulait faire monter la pressions... Elle voulait une baise mémorable.

Aaaah... Aaaah... Wouf... Nyyoouuuf... Ah.. Ah... Lâchât elle avant de venir frotter ses lèvres puis son visage contre la verge du bel homme.


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 27 jeudi 10 avril 2014, 01:17:31

Cette grosse salope était aussi lourde qu’une vache, ce qu’Ulrik ressentait plutôt bien en la soulevant. Il la tirait par le cou, mais l’appui n’était vraiment pas le meilleur pour soulever une personne, et la maintenir. Une chance qu’il soit un Gordanien, un ancien militaire. Il avait passé un nombre incalculable d’heures à s’entraîner, physiquement, afin de se muscler, et de rentrer ainsi dans les standards de l’armée. Gordan était un Empire militaire, et, pour rejoindre l’armée, il fallait suivre un entraînement particulièrement rigoureux. De plus, Ulrik avait fait partie d’un projet militaire, un projet de recherches qui avait encore accru ses capacités physiques. Sans faire de lui un super-homme, loin s’en faut, notre bourlingueur s’en sortait plutôt bien.

Il avait déjà baisé bien des putes, dans pas mal de bordels : des femmes bleues, vertes, des femmes avec des tentacules dans les cheveux, des femmes avec quatre bras, des femmes avec des couilles, mais elle... Ah, dans le genre « pute bien baisable », elle, elle, putain, elle était clairement hors concours ! Ulrik la fessait avec une force de plus en plus décuplée, y trouvant là une sorte d’inexplicable plaisir... Comme une sorte de sauvage frénésie hystérique, la même qu’on finissait par ressentir quand on était sur le combat, et qu’on avait entre les mains une sulfateuse laser terrifiante. On enclenchait la machine, et on voyait les cadavres exploser devant soi par pack de cent. Une terrible impression de surpuissance vous submergeait, presque aussi intense que le fait de se vider les couilles dans le cul de sa grosse le soir. C’était ça, précisément, c’était ce sentiment de toute-puissance qu’il ressentait. En ce moment, Ulrik chiait à la gueule de tous les bienpensants de ce putain d’univers, tous els trous-du-cul assis dans leurs bibliothèques, à vous balancer des paroles mielleuses et candides sur le fait que l’être humain n’était qu’un être d’amour avant tout... Conneries romantiques ! Conneries de connards d’idéalistes négligeant le fait que la Nature n’était pas tempérance et retenue, mais passion et violence ! L’être humain, ce n’était avant tout qu’un loup pour l’autre. La violence était libératoire, expiatrice... On ne pouvait rien y faire, tout simplement. Ulrik frissonnait à chaque fois qu’il claquait le cul de cette salope, tandis que cette dernière haletait et gémissait, aboyant, tout en frottant ses cuisses contre sa verge tendue. Il avait une envie particulièrement forte de la baiser, de s’enfoncer dans son con, tout en la giflant et continuant à la maintenir, mais, pour ça, il lui aurait fallu quatre bras.

Ulrik sentait la fatigue pointer. Les articulations de ses doigts lui faisaient mal, et il relâcha la corde. Lulu se retourna alors, pour se placer à quatre pattes devant lui, la tête face à son membre. Sa main gauche, celle qu’il avait utilisé pour la fesser, était toute rouge, et il remuait lentement ses doigts, afin de faire passer les picotements qu’il ressentait. Lulu agissait comme une véritable chienne, léchant la « sucette » tendue devant elle, tout en aboyant et en s’y frottant. Ulrik commençait à avoir également mal à cette partie-là de son corps. Sa virilité le démangeait, pointant devant lui, remuant contre les lèvres de la femme. Elle ne cherchait pas vraiment à le sucer, plutôt à l’embrasser et à la lécher, ses belles lèvres bleues laissant d’appréciables traces sur son vit. Il l’admirait, la regardait avec un regard envieux, que ce soit sa belle bouche, sa silhouette, ou ce latex qu’elle avait su conserver sur elle. Tout le corps de cette femme était un appel au sexe et à la débauche la plus totale. Impossible de savoir depuis combien de temps il était dans cette pièce, mai sil gageait que cette dernière avait bien du prendre quelques degrés sous l’action de leurs ébats virulents.

« Aaaah... Aaaah... Wouf... Nyyoouuuf... Ah.. Ah... » soupirait-elle.

L’homme lui caressa tendrement les cheveux, la flattant comme on flatterait une petite chienne.

« Hum... Je crois que ma petite chienne mérite sa récompense, hein ? Tiens-toi tranquille, joli cœur... Et tu peux avoir la langue pendante... »

Elle l’avait bien léché, l’excitant, recouvrant sa verge de sa salive. Il était maintenant prêt à agir. Ulrik alla dans le dos de cette femme, et posa ses mains sur ses hanches, appréciant le contact de ce joli cul. Il était maintenant bien rouge, après toutes les baffes qu’il avait reçu. Attrapant sa verge, l’homme la dirigea vers l’intimité de la belle, et la pénétra. Il rentra dans son intimité, et entama une bonne vieille levrette.

Il avait beau avoir joui en elle un certain nombre de fois, elle arrivait toujours à réveiller en lui son excitation.

Une foutue sorcière, tout simplement !
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 28 samedi 12 avril 2014, 18:02:10

L'inconnue gratifia gentiment Lulu d'une agréable caresse avant de lentement se glisser derrière elle. Notre Duchesse, sachant pertinemment ce qui aller lui arriver, se cambra de plus belle en écartant ses jambes bien comme il . L'homme, quand à lui, enfonçat lentement son vit dans l'antre chaude et juteuse de Lucrezia, lui extirpant alors un petit soupir de plaisir. Dieu que sa lui faisait du bien ! Enfin... Enfin ! Cela faisait certes deux mois qu'elle n'avait pas baiser, mais il faut savoir que sa dernière "relation" avec un mâle remonte à... Et bien à environs 3 mois, oui, c'est pas vraiment utile de soulever un détail aussi futile me direz vous, toutefois pour Lulu... Et bien c'est assez important, même si le gros, voir le très gros de ses relations avec la gente masculine ce passe au travers d'une cloison en bois recouverte de tag et de truc craignos, une bite reste une bite et Lulu... Bas Lulu c'est un grosse nympho-psycho et donc... Bon merde ! Elle avait genre la chatte en feu quoi ! D'ailleurs il est assez intéressant de souligner que Lucrezia, même dans une certaine période du mois, continue d'avoir des rapports... Alors qu'étrangement, c'est durant cette "semaine" qu'elle ne tue quasiment pas... Oui, Lucrezia est un mystère, même pour les plus aminants psychiatres de ce beau monde.

Ouh... Ouuuuuhouiiiii... Ah... Ah... Aaaaaah continu...

L'homme commença doucement la pénétration, faisant lentement glisser sa belle verge contre les parois de Lulu, touchant du bout de son gland le col de Notre Duchesse qui, comme vous devez vous en doutez, était au anges, tirant allègrement la langue comme une petite chienne obéissante et bien dressée tout en haletant bien comme il fallait. Sentir cet énorme chibre en elle était... Il n'y avait là aucune explications, aucun adjectifs pour décrire le ressenti de Lucrezia à ce moment précis, sentir cette queue chaude et bien dure en elle c'était...   Supercalifragilisticexpidélilicieux ! Oh grand oui ! ça l'était !

Aaaaah... HAAAAAAaAaAAAAAAaaaaannnn con... continue... Ah...ah...

L'homme semblait petit à petit accélérer la cadence, faisant par moment claquer ses baloches contre notre Duchesse, deux belles couilles encore pleine de foutre, ce miel délicat que Lucrezia adorait tant. Le bourgeon de la tueuse était tout gonflé et cette dernière eu comme réflexe, afin d'augmenter son propre plaisir, de caresser ce délicat bonbon rose, tandis qu'elle contractais ses muscles vaginaux, histoire que son amant ais lui aussi droit à un petit supplément. Il tenait toujours aussi fermement les fesses de notre tueuse, de belles fesses rendue rouge par les innombrables fessées de cet homme, Lulu avait d'ailleurs le cul en feu à cause de ça, ses pauvres fesses la picotait encore... Mais, l'homme était taquins et il ne pus s’empêcher d'envoyer une bonne grosse claque sur le gros derch à notre tueuse.

Ah.... Ah ! AHHHHouiiiiIiIIiIII pl... PL...PLUS VITE ! AAAAh !... F... Fesse moi, Ah... Ah... J... Je suis une vilaine, vilaine fille Aaaaaah. ! 


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 29 dimanche 13 avril 2014, 01:53:53

On en revenait aux fondamentaux, finalement. Le basique, le classique. Une levrette. Le bâton dans le trou. Le coït. À l’ancienne, tout simplement. La recette de la vie était là, dans ce mouvement, dans cette danse en deux temps. Avant. Arrière. Avant. Arrière. Difficile de croire qu’un truc aussi con pouvait être aussi délicieux, et pourtant... Ulrik ne s’en lassait pas, et continuait à la prendre, encore et encore, remuant en elle, la sentant haleter, gémir, la sentant répondre favorablement à ses mouvements. Sa queue trempait dans la mouille de cette salope cosmique. Oui, c’était bon ! Cette pute était terrible, et il ne se lassait pas de ce corps juteux, de sa chaleur saine. Plus il s’enfonçait en elle, plus il remuait, et plus il avait envie de le faire, d’accélérer la cadence, d’aller encore plus vite, de la prendre sans relâche, de la défoncer longuement. Ses mains se crispaient sur son cul, leurs sueurs se mélangeaient, ses mains étaient trempées, pinçant ses fesses, et il soupirait faiblement, serrant les dents en la pénétrant, enfonçant son vit en elle. Il la sentait se cambrer, accepter ce chibre qui se perdait en elle. En un instant, avec elle, il avait fait une synthèse de toutes ses expériences sexuelles. Cette femme était une véritable succube ! Mais, bon sang de Dieu, c’était si bon !

Il en avait mal aux burnes, l’impression d’avoir vidé tout son corps, mais, plus il la prenait, et plus il avait envie de le faire, de continuer à la prendre, sans relâche. Elle avait une sorte d’inexplicable talent pour relancer en lui le désir, pour réveiller le désir de la sauter, de la baiser, de la défoncer comme une truie. Ulrik ne se l’expliquait pas, et préférait le vivre. Il retournait la gifler, mais se concentrait surtout à sa pénétration. Son sexe s’enfonçait dans son vagin, et il se délectait des soupirs de la jeune femme. Sa respiration était lourde, précipitée, et il continuait à remuer, à donner des coups de reins. Son sexe était toujours aussi tendu, et il continua à la prendre pendant plusieurs minutes... Avant de subitement la relâcher.

« Haaaa... »

Ulrik n’avait pas encore joui, mais sa respiration était lourde. En position de levrette, il avait une plus grande marge de manœuvre, mais c’était aussi plus fatigant... Et il y avait aussi autre chose qu’Ulrik voulait tenter. Le bourlingueur ne laissa pas longtemps à Lulu l’occasion de se reposer, et se pencha vers elle, la couchant sur le dos, puis, tout en glissant une main sur la nuque de la femme, en appui, il attrapa sa verge avec l’autre main, et retourna la pénétrer, s’enfonçant joyeusement en elle, glissant son sexe dans son corps.

« Haaa... Voilà, voilà, ma belle... Je veux te sentir...Au plus près de moi pendant que je te baise... »

Il frotta son nez contre sa nuque, tout en remuant son bassin, l’embrassant sur la peau. Il s’étalait sur elle, et remua son bassin, donnant des coups de reins forts, prononcés, soulevant le corps de Lulu avant de la rabaisser, sous l’effet de leurs sueurs, cette sueur qui collait leurs chairs. Ventre contre ventre, les deux amants étaient partis dans une danse endiablée, et le bourlingueur continuait à la prendre, longuement, avec un plaisir évident. Sentir les seins de cette pute contre son torse, sa peau contre lui, ses soupirs, ses gémissements, son corps bouillonnant se tortillant de plaisir sous lui...

Oh putain ouais, c’était bon !
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


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