Dominer une belle jeune fille, l’opprimer, l’humilier, la battre... Ce genre d’activités perverses étaient, pour Urara Zochi, particulièrement excitantes. Elle savait que Madison allait devenir l’esclave de sa Maîtresse, car, Urara étant elle-même l’esclave de Maîtresse Mélinda, ses esclaves étaient siens. Elle attendait avec impatience que sa petite Maîtresse franchisse cette porte, et ne voit, par elle-même, les résultats de sa formation. Rien que ça, rien que l’idée de voir son regard ravi devant cette petite chienne qui mouillait quand on l’insultait, voilà qui était... Tellement jouissif ! Madison avait été humiliée auparavant, et elle ne pouvait se plaire que dans ça. Si certains pouvaient trouver cela choquants, pour Maîtresse Mélinda, c’était tout à fait normal. L’être humain avait été façonné par les Dieux pour pouvoir prier, pour être un individu servile et obéissant, incapable de se développer et de s’épanouir autrement que dans un système lourd, où il serait opprimé, soumis à une autorité supérieure. Que cette autorité soit celle d’un tyran, de l’État, d’une divinité, ou d’une autre personne, elle était inculquée dès la naissance. Madison l’avait parfaitement comprise. Être insultée, humiliée, et battue, voilà tout ce qu’elle demandait... Et c’était bien là tout ce qu’Urara voulait offrir à cette petite salope.
Elle avait noté que Madison, lentement, avait commencé à se déshabiller, faisant glisser, sous le corps de sa Maîtresse, sa jupe et sa culotte, révélant ainsi, sous sa chemise, son intimité, proprement épilée, ainsi qu’il convenait à une petite cochonne de le faire. Autant d’images délicieuses, qui amenèrent sur les lèvres de l’autoritaire professeur un sourire. Enfonçant sa cravache dans sa bouche, elle vit Madison la lécher avec plaisir, ne se contentant d’ailleurs pas que de la lécher, mais entreprenant aussi de la sucer, avec une sorte de vigoureuse énergie, son regard louvoyant sur le corps de sa Maîtresse. Debout au-dessus d’elle, Urara la regarda faire, mimant une fellation avec la cravache, qui s’enfonçait dans sa bouche, heurtant sa gorge. Tout en masturbant la cravache, Madison alla joue ravec l’un de ses seins, dégrafant son soutien-gorge.
Urara put loucher sur ses gros seins, Madison s’étant dotée d’un impressionnant décolleté. Elle avait des seins merveilleux. Toute cette vue, les gémissements plaintifs que cette esclave poussait, ses soupirs... Urara se sentait fondre, et se pinça les lèvres, ses courts cheveux glissant le long de ses joues. Madison devait sûrement voir sa culotte en train de s’humidifier, sous l’effet de sa mouille. Elle déglutit, et entreprit alors d’agir, faisant tourner la cravache le long de ses doigts, avant de l’enfoncer davantage dans la bouche de Madison, un sourire vorace sur les lèvres. L’appareil glissa dans les profondeurs de sa bouche, atteignant sa gorge, avant de remonter. Vu l’engouement naturel dont Madison faisait preuve, Urara supposait qu’elle avait déjà été éduquée aux gorges profondes, comme toute bonne petite chienne. Il allait sans doute falloir qu’Urara en apprenne davantage sur l’ancienne maîtresse de Madison, mais elle voulait aussi laisser ce petit plaisir à sa propre Maîtresse.
Tout en la laissant jouer avec la cravache, Urara remua sa jambe, posée sur le corps de son esclave, et la rapprocha de son intimité. Elle aussi, elle connaissait quelques petits trucs. Urara portait des talons, et les dirigea vers son intimité. Elle posa ainsi son pied sur le bassin de la femme, et le remua lentement, son talon caressant sa peau, avant de se perde dans ses lèvres intimes. Oui, Urara allait très bien s’occuper d’elle. Madison en regretterait sûrement pas d’avoir choisi de devenir son esclave ! Lentement, pendant quelques minutes, avec son talon, Urara entreprit ainsi de la pénétrer, lentement, tendrement, un sourire ravi sur les lèvres, tandis que la cravache remuait, encore et encore. Son regard se rivait sur les seins opulents de Madison, et, dans un soupir, Urara entreprit alors de retirer sa propre cravache.
« Bien... Passons à la suite, maintenant. »
Posant ses mains sur le corps de la femme, elle entreprit de la déshabiller pour de bon, ôtant également ses chaussettes. Les mains expertes glissèrent sur son corps, et, en quelques secondes, Madison se retrouva toute nue, à l’exception de son collier, dont elle ne se débarrasserait plus. Urara lui sourit, et pétrit fermement dans chacune de ses mains ses lourds seins, les pinçant à hauteur des tétons.
« Hum... Tu es tellement belle, ma salope... Ma Maîtresse va adorer jouer avec une pute comme toi... Elle te labourera le cul d’une telle force... »
Rien qu’à y penser, Urara en frissonnait. La professeur continua à les pétrir, avant de se relever. Ce faisant, elle alla attraper avec sa main la laisse qui pendait à son cou, et tira dessus, avant d’abattre sa cravache sur ses seins. Elle donna plusieurs coups, ainsi qu’un autre sur sa nuque, et un dernier sur sa tête. Elle la maintenait par la laisse, soulevant un peu son corps. Après cette série de coups jouissifs, Urara relâcha la laisse de Madison, qui s’affala sur le sol, et elle se plaça au-dessus d’elle, sa culotte à hauteur de son cou.
« Montre-moi à quel point tu aimes bien lécher, petite chienne salope, et lèche ma culotte ! Vite ! »