Retrouvailles amoureuses ? ( Pv Arashi )

Du temps s'était écoulé depuis ce soir. Le soir où j'ai transformé une demoiselle qui m'avait charmé en vampire.  D'ordinaire, j'aurais du la tuer, ne pas faire cela, mais je ne l'ai pas fait car le charme qu'elle m'a fait m'a transformé en amant. Je l'aimais et encore aujourd'hui, je l'aime comme un fou. Cependant, elle me manque. En effet, la belle et moi, nous n'avions pas décidé de vivre tel le couple cliché. Pas de je t'aime dès le premier soir, pas de vie commune directement non... Elle avait voulu rester libre alors le lendemain de sa transformation, elle m'a quitté. Pas amoureusement, mais physiquement. Elle vie sa vie quelque part sur Terra. Je priais chaque jours pour elle priant qu'elle aille bien. En effet, je me souciais d'elle tout ce temps. Cependant, depuis peu, j'avais décidé de partir à sa recherche.

Franchissant donc un portail après l'avoir trouvé, je me retrouvais sur la fameuse nouvelle Terra. Ce n'est qu'après quelques expériences avec une Slime rencontré par mégarde que j'avais mis pieds à Nexus. En gros, sur Terra, c'est comme une capitale sur Terre. Un lieu où tout se trouvait. Femme, hommes, esclaves ou simples citoyens. Je m'y baladais comme un homme se balade en ville. N'ayant crainte de rien pour le moment, je me mis à réfléchir. Si la miss était là, chose que je préssentais, où serait-elle ? Je m'avançais pour alors réfléchir. Alors que je marchais, je ressentis des gens qui semblaient me suivre. Deux hommes et non des femmes. Visiblement, l'un avait des gènes de dragon vu ses ailes et quelques écailles, l'autre était un simple homme capable de je ne sais quoi.  Me détournant donc dans une ruelle, je vins à nous éloigner des ruelles principales.

" .. Vous comptez me suivre longtemps comme ça ?"

Alors que je me retournais, je vis les deux hommes se regarder. Ils voulaient ma personne ? Intrigué, je les laissaient faire. L'homme simple vint à apparaitre devant moi. Il semblait pouvoir faire je ne sais quoi. Courir vite ? Se téléporter ? Tentant de le frapper, je le vis re apparaitre plus loin.

" ... Oh ?"
" Tu vas venir avec nous.. petit esclave.."

Petit ? Esclave ? Serait-ce une blague ? Rigolant de bon coeur, je vis l'homme se téléporter devant moi pour alors me frapper de plein fouet. Reculant, j'essuyais un léger filet de sang. Pas mal... L'homme dragon quant à lui envoyait en ma direction un gerbe de flamme envahissant la ruelle. Le second homme hurlait qu'il ne fallait pas me blesser tandis que les flammes disparaissaient. Alors que j'aurais du être brûlé, je laissais juste une aura se dégager de moi. Les flammes semblaient attirés par celle-ci. Souriant, je la laissais augmenter niveau quantité.

" ... Dégagez..."

Alors que les deux ne semblaient pas d'avis à partir, je donnais un coup de poing vers l'homme téléporteur qui était apparu devant moi. Utile son pouvoir, mais dommage qu'il soit prévisible. Mon aura se mis à l'entourer commençant à le brûler. Alors qu'il gémissait, je m'en pris à l'homme dragon. Celui-ci continuant à envoyer des gerbes de flemmes, pour ma part, je laissais mon aura brûler commençant à presque se voir dans la ville. Une sorte de fumée rouge fumante se dégageait de la ruelle. Doucement, je me contentais d'approcher et saisir l'homme dragon par la gorge, ses écailles regardant la brûlure.

" ... Idiots..."
" A... Attends"
" Je vais te vider de ton sang toi.."
" N... Non... I... Il y a le marché noir pour ça... D...Du sang... De tout type... S'il te plait. Ne me fait rien..."

Le lâchant, je venais à réfléchir une nouvelle fois. Souriant, je me mis à le regarder avant qu'une gigantesque explosion eu lieu. Telle une bombe incendiaire, mon aura avait enflammé la ruelle, laissant derrière moi de simples cadavres consommés par les flammes. Sortant de là, je me dirigeais donc vers ce marché noir dans les bas fond, m'entourant de gens peu recommandable prouvant que j'y étais. Si du sang devait être pris par quelqu'un... S'était le lieu.
Une odeur de sang se faisait sentir et là... Je cru ressentir la belle. Tournant mes yeux de droite à gauche, je ne vis personne qui lui ressemblait, pourtant, je la ressentais. Les dires de la louve étaient vrais. Elle venait ici. Son sang n'était pas loin, je pouvais la ressentir, sa présence était proche et lointaine à la fois. Mon regard tournait encore et encore. Cette sensation de toucher au but et de le voir filer entre mes doigts me rendait dingue. Fronçant les sourcils, je continuais à chercher persuader qu'en cherchant bien, je trouverais. Oui.. J'allais la trouver. Arashi... Attends moi.

L’esclavage, mot qui répugne tant de gens, chose qui fait réagir toute personne, certains aime choisir un esclave ou même en dresser, d’autre veule leurs libérations… Pour Arashi, la liberté à toujours été importante, d’être libre à 100%, vivre sa vie sans se soucier de personne ou presque et surtout sans servir personne… Mais un évènement avait tout chambouler sa vie : Sa capture et sa vente à un Lord Belmont, au début on pourrait le croire comme tout acheteur d’esclave, mais il était tout de même très différent de ceux qui achète des esclaves pour leurs plaisirs… Enfin, oui il était très différent des maîtres d’esclaves qu’on attendait parler, il donnait une certaines libertés à ceux-ci, ils pouvaient se déplacer, mais toujours revenir à son domaine…

Au fils du temps, elle s’était habituer, même qu’elle en fut heureuse, étrange non? La raison est très simple, cette marque que son maître lui à poser sur son poignet était en qu’elle que sorte une protection, si elle ce forçait à la faire disparaître et réapparaitre, son maître le ressentirait et saurait l’endroit où qu’elle ce trouve et aussi ce symbole montrait son appartenance à la famille Belmont, ainsi donc, aucune chance qu’elle se fasse attraper et vendre à nouveau. Elle avait été la première esclave de Stephen, puis par la suite avait suivis une Terranide  louve, Shad elle se nommait, elle n’aimait pas les vampires, mais malgré tout, elle avait pu voir qu’Arashi était une vampire fort différente de beaucoup des vampires autant par ses gestes que pour sa répugnance de boire du  sang des veines d’une personne vivante, alors elle avait bien sympathisé et se séparait les tâches dans le domaine. Mais peu de temps après sont arriver elle avait disparue et donc ainsi donnait toute les tâches à faire à la vampire qui avait pu en râler un peu!

Puis elle revint, accompagner du maître, elle avait atterrit dans une maison près des sous-bois sur Terre, le cœur de la vampire ce serra, se remémorant un homme qu’elle n’avait jamais oublier, ce tendre vampire qui en plus de lui avoir donner son corps en premier, s’était fait transformer en vampire grâce à celui-ci. Elle ne l’avait pas oubliée, mais il s’était passé tant de chose depuis la dernière fois qu’ils s’étaient vue, qu’elle n’avait eu le temps de retourner dans ses bras… Shad lui raconta alors sa rencontre avec un vampire, son vampire… Elle lui raconta sa rencontre avec Iruka, elle en fut troubler par tous ses dires, mais elle savait qu’elle rencontrerait dans peu de temps Iruka, qu’ils se croiseront et qu’elle allait devoir lui apprendre son état d’esclave…

À présent, ses sorties pour ses tâches étaient remplie d’incertitude, elle était inquiète et avait peur de voir Iruka, elle ne se sentait pas prête, elle avait peur, tout son état d’être était chamboulée, elle ne savait pu quoi en penser ou quoi faire, elle l’aimait et malgré tout elle avait peur de lui, peur de ses réactions et les dires de Shad l’inquiétait et la faisait redouter cette rencontre qu’elle savait inévitable…

Les bas-fonds, endroit peut recommandable pour tout individus, les gens les plus non recommandable y avait élu domicile, mais à cet endroit ce retrouvais une endroit importante pour la vampire : Le marché noir vampirique. Tout ce qui est bon pour les vampires s’y trouvait et Arashi achetait ses poches de sang à cet endroit, elle était toujours frais et d’un bon goût, malgré que le vampire d’une seule personne pourrait lui donner le meilleur des effets, celui d’Iruka.

Et donc en cette sombre soirée, Arashi avait revêtue une apparence différente comme à son habitude, s’étant habitué à prendre différente apparence à chaque fois qu’elle sortait. Direction, bas fond, elle manquait de sang au domaine alors il était inévitable qu’elle devra en faire un plein, mais elle se sentait plus stresser qu’à son habitude, une odeur, faible mais présente se faisait sentir dans l’air, elle sentait le sang d’un homme en particulier, elle savait l’identifier, mais n’était pas sure, elle se dit qu’elle devra acheter tout rapidement pour ensuite partir aussi rapidement au domaine, arriver au marché noir elle s’acheta 6 poches de sang, assez pour deux jours, elle n’aimait pas garder trop de sang, le goût devenait différent si conserver trop longtemps. Alors qu’elle repartait, elle s’arrêta, l’odeur se fit sentir puissante et reconnaissable, Iruka était là.

Elle trembla, ses yeux verdâtres semblait se modifier lentement, quand elle avait soif, ses dons de polymorphie déraillait et elle avait de la misère à tenir son apparence. Mais elle voulait en être sûre et suivit l’odeur du sang, puis au loin elle le vit, la jeune femme sentit tout son courage s’évanouir, les larmes monta à ses yeux, la honte la prenant soudainement, elle aurait tant voulue courir vers lui et lui sauter dans les bras, mais elle avait peur, peur de tant de chose… Avec tristesse elle se retourna et partie dans une direction opposé à celui d’Iruka, son cœur se blessa à son geste, ses yeux se remplie à nouveau d’eau, puis elle s’éloigna un peu plus à pas rapide et sans faire par exprès rentra dans une personne, se coupant par la même occasion le dessus de la main d’une franche coupure dû à l’objet pointue que la personne transportait, elle s’excusa, posa sa bouche sur sa blessure pour récolter le sang coulant, il était sure qu’Iruka l’est sentie à présent, son sang.

Elle se mit à courir, entrant dans une ruelle que rare était les personnes qui y allait, la jeune femme utilisait un chemin qui peu utilisais parce qu’il était plus long à traverser pour se rendre dans la ville et quitter les bas-fonds, pourquoi ne pas utiliser la grande allée? Parce que, si elle devait ce faire attraper par Iruka, elle ne voulait pas qu’il y est personne d’autre… Fuir ainsi l’être aimé la blessa, mais la peur ravageait son corps et la peur est malheureusement une chose très puissante.

*Iru’ pardonne moi d’être si faible…*pensa-t-elle

Arashi... Elle était tout pour moi. Voilà la dure vérité. Sûrement est-ce pour cela que j'avais été jusque là. Traversant les mondes, j'avais été jusque là afin de retrouver la demoiselle. Après des mésaventures par-ci par-là, après de longs moments à hésiter, après de long instants à me morfondre et imaginer bien des choses, je me retrouvais dans Nexus. Plus précisément dans son marché noir pour trouver là où la demoiselle pourrait être. Au fond, qu'est-ce qui était le plus dur ? La retrouver ? Ou devoir la revoir ? Après tout, une année c'est passée durant son départ. Zéro nouvelles, rien... L'oubli total. Et visiblement, rien ne lui est arrivé. Une lupine me l'avait dit. Elle allait bien. Pourquoi ? Comment ?  La question était entière. Une chose était sûre, c'est que je voulais voir ce qu'on m'avait dit pour le croire. Intérieurement, je m'imaginais le pire des cas... la voir complétement assoiffée, déboussolée et autre... Avançant dans cette foule de monde, je sentais son odeur proche d'ici. Pas précisément, mais je le sentais. Pour ma part, ayant un peu de sang sur la main, je pourrais être repéré plus facilement. Son odeur flottait dans l'air, mêlée aux sangs en poche non loin, j'allais toucher en but. Je le préssentais...

" Où es tu Arashi..."

Je murmurais cela à moi-même, poussant gentiment quelques personnes ici et là. Je fouillais dans la foule. Elle était proche. Oui, son odeur me le disait. Elle était là... Elle me voit, je le sais. A moins que ça ne soit qu'une illusion. Mes dents me démengent. Je veux la serrer contre moi, je veux sentir son odeur, pouvoir sentir sa chaleur, voir son regard posé sur moi. Tant d'envies m'empoignent d'un coup... Je me mordille la lèvre nerveusement avant de soudainement détourner la tête sur le côté regardant une personne. L'odeur est proche, trop proche... Elle est là. Je le sent. Mais je ne la vois pas. Du monde est là, partout... Je vais devenir fou je le sent. Mon regard devient de braise, j'ai presque envie de faire exploser l'endroit pour dégager un peu tout ce monde. Mais dans ma pulsion meurtrière qui m'envahit, je revois ce doux visage qu'est celui d'Arashi. Lui faire du mal en étant en colère, même ça j'en serais incapable. Elle m'avait désarmée de toute manière, au point de pouvoir me tuer quand bon lui semblerait. Je n'oserais jamais lever les mains sur elle. Du moins je le pense. Entre la pensée et l'acte, il y a toujours un fossé. Pourtant, même en me l'imaginant, je ne le ferais pas. Je la vois là... Devant moi. Non... Même si elle avait tué ma propre soeur, je ne pourrais pas... Je n'oserais pas.  Son odeur m'enivre, je la sent, cependant, elle semble s'étendre. Fuierais-t-elle ? Non, impossible. M'avait-elle repéré ? Ses sens seraient-ils dévellopés comme moi ? Le temps avait fait son affaire peut-être. Plus besoin de coupures pour reconnaitre le sang de chacun connus. En parlant de coupure, voilà qu'un bruit se fit entendre. Visiblement, quelqu'un courait au milieu de ce monde. Me retournant, je ne vis que très peu de choses. Une crinière rouge virvoltait doucement et disparaissait, mais là, une odeur vint frapper brutalement mes narines. Une odeur que je reconnaitrais entre mille. Une odeur forte, sucrée et épicée.

" ARASHI !!! "

Ni une ni deux, je me mis à courir. Passant outre les petites et grandes personnes. Elles me ralentissaient, mais je ne faiblissais pas. J'approchais sans approcher. Elle me filait entre les doigts ? Pourquoi courait-elle ? Arashi... Mon coeur faisant mille et un bonds, je me sentais stressé à un point. Finalement, j'arrivais dans une ruelle plus qu'étroite. Impossible d'utiliser les toits, là encore je me retrouvais à devoir jongler entre étroitesse et personnes faisant barrage. Criant son nom pour tenter de la stopper, je voyais et sentais son sang au sol, j'approchais, elle était là, courait comme pas deux le ferait. L'implorant de se stopper, ce n'est qu'après une grande impulsion que je l'attrapais. Ma main se posait sur une de ses épaules et je tirais vers l'arrière avant de la rattraper dans mes bras. Malheureusement, la vitesse de la course faisait que tout deux, nous tombâmes. Heureusement par contre, s'était moi en dessous.
La femme dans mes bras était bien Arashi, son sang ne me trahissait pas. Re ouvrant les yeux, je pris son bras avec force sans la blesser pour alors la fixer dans les yeux silencieusement. Mon regard tentait de la calmer, je la fixais sévèrement et pourtant, je voulais qu'elle se calme. Que sa respiration se calme. Fixant ses yeux et son état qui semblait redevenir normal puisqu'elle était stressé et déconcentrée, je lui dit d'une voix se voulant rassurante.

" C...C'est moi Arashi... Pas besoin... de me fuir... C'est moi. Iruka..."

Son cœur bas rapidement, elle le sent qu’il court après elle, elle avait été remarquer,  son sang la trahissait, elle se mordit légèrement la lèvre mais continuait sa course et attendait derrière elle la douce voix de son tendre vampire, elle se blessait le cœur à courir, fuir cet être qui la fait rêver, l’être que son cœur ne voudrais jamais oublier, mais là honte, ah la honte change une personne… Arashi ne voulait regarder son amant qui criait son nom derrière elle, elle continuait de s’enfoncer dans les ruelles sombres, il l’implorait de s’arrêter, mais la honte et la peur l’empêchait de l’écouter.

Elle se rappela son départ, il y a un an, cette soirée où elle est morte pour revenir à la vie sous la forme de vampire, les crocs d’Iruka se plantant dans sa chair pour boire son sang, leurs douces ébats mêlant sensualité et sauvagerie. Un frison parcourut son corps et elle dû ce ressaisir, car elle s’avait qu’elle ne pourrait se taire sur une chose précis, son nouvel état d’esclave. La voix d’Iruka la faisait souffrir malgré le bonheur d’entendre sa douce voix. Elle se remémora ce que Shad lui avait dit sur sa rencontre avec lui, certaine chose ne lui ayant pas du tout plu et des choses qu’elle avait appris sur lui qui l’avais fait mal de l’apprendre, ses détails sur sa sœur l’ayant bouleverser… Elle trembla, une larme roulant sur sa joue, tandis qu’elle continuait à courir comme si la mort elle-même lui courrait après.

Il voulait qu’elle s’arrête, l’appelant par son nom, elle avait que le cœur briser à courir pour échapper à l’homme qu’elle aimait, pourquoi autant souffrir? Elle sentie alors une main se poser sur son épaule et la tirer vers l’arrière, lâchant en même temps le sac contenant ses sacs de sang, lentement se retournant pour ce faire coller contre l’homme lui courant après, elle tomba en même temps que celui-ci… Ses bras la serrant et d’une chaleur qu’elle reconnaissait entre mille. Cette chaleur si douce qui la fait trembler doucement, il ouvrit doucement ses yeux rouges et se saisit de son poignet, leurs regards se croisèrent un silence y était si on oubliait la respiration rapide du couple après une course, elle tremblait, son regard paniquer tandis que lui d’Iruka semblait sévère, un nouveau tremblement vint secouer le corps de la vampire polymorphe.


" C...C'est moi Arashi... Pas besoin... de me fuir... C'est moi. Iruka..."

Le regard de la vampire tentait d’éviter le regard du vampire un instant, tout son corps secouer par des tremblements, le stress la secouait, lentement son regard verdâtre ce retourna sur celui d’Iruka, il pouvait lire tant d’émotion dans son regard, la joie, la peine, la tristesse, la peur, l’angoisse, la passion, tant de chose s’entrechoquant. Lentement la voix de la jeune femme ce fit entendre, une teinte différente de ce qu’il est put entendre d’elle la dernière fois :

« Iru…ka… »

Le vampire put voir sous ses yeux le corps de la jeune femme qu’il tenait ce modifier doucement pour lentement former le corps qu’il connaissait tant, ses yeux bleue-violacé le regardant, ses cheveux verdâtre contre son visage, elle trembla, et de longue larme coula le long de son visage alors qu’elle murmura qu’elle que fois le nom du vampire… Elle fut alors secouer d’un autre frison, tremblant de peur à nouveau, elle tentait de penser, mais ses penser était obstruer par diverse penser…  Les yeux de la vampire se teintait lentement de rouge pour montrer sa soif, ses légère crocs apparentent, heureusement le symbole sur son poignet n’était pas voyant, cacher sous sa peau.

Son regard se pencha, n’osant pas regarder Iruka dans les yeux, tentant de se libérer lentement de son emprise. Son sang bouillonnant de peur et tentait de calmer ce sentiment de détresse. Elle murmura d’une voix normal d’elle mais mêler avec une grande tristesse :

« Pardonne…moi…Iruka… »

Son corps se secouant de spasme de tristesse, des larmes coulant toujours de ses yeux, elle aurait voulu à cette instant disparaître pour ne plus jamais être visible pour tenter d’étouffer tous ses sentiments qui l’enveloppait, mais c’était impossible, devant elle … Enfin sous elle, se trouvait l’être qu’elle aimait le plus au monde et qu’elle avait malheureusement trahis.

Arashi était là, contre moi, dans mes bras. Enfermé dans mon étreinte, je la ressentais bien. Clairement, il s'agissait d'elle. La belle au coeur pur. L'humaine naïve, mais si douce. Une femme devenue vampire par amour et par courage. Je la tenais contre moi alors que nous étions sur le sol. Le sang de son corps coulait un poil de part sa main. Il signifiait bien qu'il s'agissait d'Arashi et personne d'autre. Son physique avait changé sûrement de part son pouvoir. Pouvoir extraordinaire et utile. Je voulais tant dire des choses, mais rien ne sortait de ma bouche outre son prénom. Arashi, ma douce Arashi. Après une année d'absence, la revoilà contre moi. Je me demandais bien quelle serait la suite de tout ça. Je l'imagine partir de chez moi. Nue, elle avait  fait comment ? Avait-elle pris une forme autre ? Ou un animal ? Quoi qu'il en soit, je l'imaginais en colombe. Une colombe qui déploie ses ailes pour alors voler. Laissant derrière elle des draps souillés de bonheur et de plaisir ainsi que beaucoup d'amour. Je l'enviais, je la désirais et je l'avais devant moi là.

Son corps était tremblant. Elle était comme un grelot, elle était tremblotante comme jamais avant. Si, lors de notre rencontre, elle grelotait de peur ainsi. De la peur ? Mais de quoi ? Je ne suis pas un tueur, je ne suis pas un homme qui lui veux du mal. Je suis Iruka. Ne le voyait-elle pas ? C'est donc courageusement que je lui signalais bien qui j'étais. Je tentais de la calmer tandis que nos corps se répondaient doucement. En effet, la belle laissait échapper d'elle une chaleur qui se mêlait à la mienne. Une chaleur si douce, si envoutante... Ma personne était comblé, un baiser serait l'ultime pièce dans ce puzzle magnifique. Mon coeur battait la chamade, j'étais encore sous le choc. Reprenant mon souffle, laissant la belle trembler encore et encore entre mes bras, son regard se mis à percer le mien. Son regard remplit d'émotions en tout genre. Qu'attendait-elle pour les exprimer ? Je voulais la voir crier, hurler, qu'elle s'exprime depuis tout ce temps. Face à moi,son homme bon sang !!!

Son corps changeait. Doucement, ses cheveux passèrent de roux à verts. Ses yeux devenaient d'un vert à un doux bleu violacé. Son regarde remplit d'émotions belles et tristes à la fois, je rougissais un peu. Elle était encore en état de choc ? Ou bien elle était consciente. La belle vampire était enfin là, devant moi, l'être presque immortel l'ayant transformé il y a un an de cela. Un an et des poussières. Mon poignet dans ses mains, j'observais ses yeux virer au rouge vif. Les poches de sang au sol, je me demandais ce qu'elle choisirait si elle craquait là, maintenant. Pour ma part, je capturais une de ses mains pour alors lécher la plaie de ma langue habile. Son sang... J'en jouissais presque tant il était merveilleux pour moi.

La belle pleurait. Tentant de s'extirper de mon étreinte, elle était là, pleurant sur moi. J'avais face à moi un visage décomposé par la tristesse et l'émotion. C'est donc étonné que je l'écoutais s'excuser. Mais de quoi ? De quoi s'excusait-elle ? De la vérité que je niais ? De la posibilité de trahison que je refusais à croire ? Non... Alors qu'elle déversait un torrent de larmes, je vins emprisonner ses lèvres.  Mes lèvres cherchaient leurs jumelles si longtemps attendu. Je ne voulais pas la voir pleurer, pas sur moi, pas avec moi, pas pour moi. Elle était là et moi aussi, alors autant reprendre le train en route non ? Mes lèvres se collaient parfaitement aux siennes, laissant nos souffles saccadés à cause de la course retrouver une allure normale. Ma langue forçait le passage pour aller rencontrer la sienne. Tant attendue comme moment... Son sang, sa langue, son corps... Que demander de plus ? Mon étreinte se fit encore un poil puissant pour la garder avec moi. Tandis que nos langues dansaient, nos salives se mélangeaient provoquant un doux nectar dans nos bouches. Je buvais tout en continuant le baiser jusqu'à céder. Mon muscle buccale s'échappait disant un simple au revoir  à la sienne, bien que les retrouvailles se feraient plus souvent là non ? Posant une main libre sur sa joue, je tentais de capter son attention.

" Tout va bien ne t'en fait pas... Je suis là... Arrête de pleurer... T...Tu n'as pas à t'excuser... Arashi, je t'en pris. Dit moi tout.  Comment vas tu, pourquoi courrais tu ? ... "

J'espérais qu'elle n'ose pas me mentir. Shad qui la connaissait m'avait parlé d'elle. Elle allait bien de base, alors pourquoi me fuir ? Comment allait-elle bien ? Qui était le responsable de son bien ? Au fond, je me faisais jaloux avant l'heure, mais pour une bonne cause. La gardant contre moi, je laissais ma main glisser de sa joue toujours aussi douce à son corps. Parcourant joue, nuque et dos, je finissais par passer devant pour titiller le ventre. Nous redressant, je la plaquais soigneusement contre le mur pour alors la fixer. Piégée, je la fixais tendrement et à la fois durement. Ma bouche entre ouverte laissant voir mes crocs, le message semblait clair non ? Je voulais mordre et qu'elle fasse de même.

" ... Prend Arashi..."

Dévoilant ma nuque, je posais ma main sur une des siennes, celle blessée la mettant aussi contre le mur. Mon corps musculeux et imposant l'empêchant de se retirer avec une force classique, je m'approchais de sa nuque pour alors tendrement et amoureusement mordre cette chaire qui m'avait tant manqué.  Mes crocs parcouraient son corps, sa nuque était mienne. Doucement, j'enfonçais mes canines en elle pour ressentir ce nectar si vital pour nous. J'attendais sa morsure pour gémir de plaisir et en attendant, je caressais nos mains avec un plaisir exprimé clairement.  Elle m'avait manqué... Terriblement. Trop longtemps sans la voir et voilà comment je suis, trop fleur bleu.  Son sang parcourait ma bouche et je priais que sa peur ne la fasse pas bouger brutalement au risque de la blesser sans le vouloir. Mord Arashi... Mord moi bon sang... Depuis le temps.

L’amour, la plus belle chose au monde est le sentiment d’aimée une personne inconditionnellement, l’aimer de toute son être sans même ce poser de question, la vampire aimait ce vampire, c’est certains, elle ne l’avait jamais oublier et ne l’oublierais jamais. L’amour qu’elle ressentait pour lui était un sentiment terrible et délicieux, bien sûre cela faisait longtemps qu’ils ne savaient pas vue, voir même trop longtemps, mais tant d’évènement c’était passer, tant de chose avais retardés leurs retrouvailles, mais les voilà enfin c’est cher retrouvaille… Même si elle était arrivée trop tard pour empêcher le geste, peut-être que s’ils s’avaient rencontrés avant sa vente, elle ne serait pas aujourd’hui, une esclave.

Les larmes furent alors étouffer par les lèvres du vampire qui vinrent capturer ceux de la jeune femme, ses chaudes lèvres allant enfin rencontrer leurs âmes sœurs qui s’assemblaient, faites pour être coller ensemble, le corps d’Arashi frissonnant à ce contact qui lui fit battre le cœur encore plus fortement dans sa poitrine, plaisir et tristesse rassembler au même moment, la vampire ferma lentement ses yeux, savourant ce baiser. Lentement la langue d’Iruka brisa la gêne de leurs lèvres pour se frayer un chemin dans sa bouche pour rencontre la langue de la vampire qui alla à la rencontre de celle de l’homme, entrant dans une douce danse érotique qui se voulait douce et désirable, il avait un étreinte sur elle pour qu’elle ne puisse bouger, elle trembla à nouveau, elle avait peur malgré le fait qu’elle se savait en sécurité. Alors que leurs langues se séparèrent la main du garçon ce posa sur sa joue, lentement elle r’ouvrit les yeux pour regarder ceux d’Iruka.

" Tout va bien ne t'en fait pas... Je suis là... Arrête de pleurer... T...Tu n'as pas à t'excuser... Arashi, je t'en pris. Dit moi tout.  Comment vas tu, pourquoi courrais tu ? ... "

Elle resta muette, hésitante à parler, tandis que la main d’Iruka glissa le long de sa joue pour ce glisser à son cou puis doucement à son dos, puis doucement elle passa sur son ventre pour lui caresser celui-ci à travers son vêtement… Ils se relevèrent, mais il garda le contrôle, la plaquant doucement contre le mur, il l’observait et la jeune femme pencha son regard vers le sol, tremblant légèrement avant de relever son regard vers celui d’Iruka qui l’observait d’un mélange tendre et sévère, sa bouche était légèrement ouverte, dévoilant ses crocs, il avait soif, comme elle avait soif… Leurs sangs s’attirant et qui semblait ce dirent dans un muet silence de mordre leurs partenaires pour absorber de leurs sang, de ce donner ce plaisir pour démontrer la joie de se retrouver enfin…

" ... Prend Arashi..."

Voilà une invitation faites pour l’inviter à le mordre, pourtant son corps tremblait encore, le stress, la peur, tant de chose mélanger ensemble. Iruka avait emporté sa main blesser contre le mur, l’empêchant de sa force à ce qu’elle ne puisse s’échapper, le regard de la vampire regardant à nouveau de gauche à droite. Lentement sa bouche approcha de sa nuque, elle eut un grand frison qui la parcourut et elle ferma doucement les yeux en sentant alors les crocs de l’homme transpercer sa chair, déclenchant un douce vague de plaisir sanguinaire, lâchant ainsi une douce plainte, son corps frissonnant doucement sous la sensation, elle tentait de résister à cette envie de le mordre… Elle hésitait et tremblait encore légèrement, puis ouvrit ses yeux qui était maintenant totalement rouge, lentement elle se pencha pour faire savoir à Iruka qu’elle partait pour le mordre….

Sa langue sortie de sa bouche allant lentement caresser le cou de son vampire, sa langue caressant amoureusement son cou, sa main libre bougeant lentement pour caresser son dos, puis elle planta ses crocs dans son cou pour lentement sentir ce doux sang couler dans sa bouche, chaud et délicieux, ce goût irremplaçable qui caressait sa gorge, un léger sourire sur ses lèvres, un frison parcourant son corps, un mélange de tant de passion qui la faisait trembler de plaisir. Elle but une gorgée, puis une deuxième et pourtant ses larmes continuait de couler alors qu’elle but une troisième…

Elle sortie doucement ses crocs et lécha ses marques de crocs et son corps fut secouer à nouveau de spasme, mais elle restait coller à lui et lentement elle ouvrit la bouche, elle savait qu’elle allait regretter ses paroles, mais elle se devait de dire la vérité… S’il y avait bien une personne à qui elle ne pourrait pas mentir, c’est bien lui…

« Iruka…J’ai perdue… ma liberté… »

Ses mots avait été lâcher avec lenteur et douleur, elle avait mal qu’à dire ses mots, ses mots qui voulait clairement dire, qu’elle était maintenant une esclave….Elle trembla, laissant doucement son corps plus mou, redoutant la colère d’Iruka, elle avait peur qu’il se fâche contre elle, elle avait les yeux fermés, les sourcils froncer, attendant peut-être ce coup qu’elle redoutait.

Retrouver l'être cher. Voilà une chose unique au monde. 365 jours, une année, voilà ce qui s'écoulé depuis son départ à mon manoir. Additionné à quelques jours en plus, la belle m'avait terriblement manqué. Elle semblait toujours la même et en forme. Rien que cela, ça me rassurais quant à son état. Mais la suite promettait d'être moins joyeuse, du moins si je savais tout. Pour l'heure, je profitais de nos retrouvailles pour rattraper le temps perdu. Par là, j'entendais réaliser tout ce que nous n'avions pu faire depuis ce temps à savoir s'embrasser et boire notre sang. Ces deux activités étaient les notres, nos principales. Après quoi, je lui demanderais tout. C'est donc avec douceur que j'avais savouré notre baiser romantique et fortement érotique. La passion et l'amour se mêlait parfaitement à cet instant. Suite à cela, je la maîtrisais montrant indirectement qui est le mâle, puis avec une douceur dont elle ne pouvait pas douter, j'étais venu  à sa gorge. Gorge pulpeuse, j'avais le plaisir de ne voir aucun autres trous que les miens. Elle n'avait pas été touché fort heureusement. Elle était resté mienne à ce niveau là. C'est donc avec bonheur que je venais m'abreuver à sa nuque. Un an que ce sang n'avait pas coulé dans ma gorge. Ce liquide carmin coulait avec régularité. Tel un bon vin, je dégustais avec joie ce breuvage. Il remplissait mes veines et me renforçait. Je me sentais désormais invincible. Mon corps avait la chaire de poule tant le plaisir était immense. Ma satisfaction était à son summum.

La belle de son côté semblait toujours autant trembler. De joie ? De peur ? Des deux ? Elle était timide de base, mais après un certain moment, voilà qu'au final, elle se mis à lécher ma nuque. Avec tendresse, elle s'empressait à sa façon de me mordre. Laissant son corps parler et son coeur surtout, elle me mordit avec passion. Ses lèvres se plantaient en moi tel un couteau dans du beurre mou. J'étais aux anges. Si bien qu'un gémissement de plaisir se fit entendre. Un " hmmm " qui voulait tout dire. Je laissais ma main serrer la sienne avec une envie nouvelle et toujours présente. Je la voulais auprès de moi à jamais. J'allais le lui dire sans doute. Mon projet.. Vivre ou au moins avoir une maison sur Terra afin de pouvoir la voir plus souvent. Oui voilà mon plan. Quant elle eu finit de boire, elle se retirait avec autant de douceur que lors de la pénétration, et elle léchait ma nuque. Aucun gâchis, voilà sa philosophie et la mienne. Clean, nous étions bien là malgré l'endroit étroit et peu peuplé.

Mais alors que je me sentais satisfait, heureux, comblé, voilà qu'une petite vois se fit entendre. La belle faisait entendre sa voix pour m'avouer une horrible vérité. Elle avait... perdue sa liberté ? Que voulait-elle dire par cela ? Violée et séquestré ? Esclave ? ... Intérieurement, je me sentais en rage et durant une brève seconde, elle pu sentir une pression sur sa main qui prouvait que ces mots avaient eu l'effet d'un gong sur moi. Je la regardais sérieusement avec toujours un peu de douceur pour pas l'effrayer. Bouche bée, je me taisais. Plus libre ? Cela voulait-elle dire que ? Non.... Non !!!

" Qu... Que veux tu dire ? .. Tu es... soumise à quelqu'un ? ... Dit moi qui, je te libérerais sur le champs. Quitte à le tuer qu'importe, je ne veux pas te voir souffrir...."

Sûrement était-ce là que j'allais avoir droit à ma redescende sur terre.  Allait-elle m'avouer son statut qu'elle assumait malgré tout ? Comment allais-je le prendre moi . Elle qui voulait être libre, m'avouer qu'elle était plus libre, cela me consternais, mais je ne la frappais pas pour autant. Je ne comprenais pas totalement. Je me contentais de la fixer pour alors lécher sa nuque. Son corps, son odeur ,son sang, tout cela m'avait tant manqué. J'en pouvais presque plus de cette présence. Elle me tuait joyeusement. Le bonheur était si parfait là. Que demander de plus ? Lui caressant une joue avec ma main souillé de son sang, j'étalais ce sang avant de venir le lécher. Avec une douceur passionnelle et envieuse, je lui murmurais.

" Allons parler de ça ailleurs veux tu ?"

Prenant sa main, je voulais l'emmener loin d'ici. Au moins dans une auberge de la ville. Mais qu'allait-elle dire hm ? Et si elle refusait hein ? Ne sachant pas, je laissais la belle choisir la regardant dans les yeux. Qui sait ce qui se passe dans sa tête. Avait-elle peur de mes dires ? Je voyais de la tristesse et de la honte. Sûrement s'en voulait-elle de me dire cela alors qu'elle m'avait refusé, elle dans le passé m'avait refusé de vivre avec moi pour être libre justement alors là... Ceci était comme une blague de mauvais goût. Me penchant vers elle, je venais lui susurrais d'un ton suave.

" S'il te plait Arashi... Il y a tant de choses qu'on a à se dire je pense... Suit moi..."

Mon regard tendre comme furieux sans avoir envie de la frapper pour autant, je tentais de l'emmener dans un coin plus approprié pour parler. Tirant avec légéreté, je voulais nous emmener dans un lieu où être en paix. Elle et moi et uniquement elle et moi. Silencieusement, je me mis à lécher ses lèvres et caresser sa joue avec envie.

" Je t'aime...."

Ses paroles c’était fait lente, elle avait si peur de sa réaction, c’était pour cette raison qu’elle réagissait ainsi, elle tremblait et alors qu’elle avait terminé sa réponse elle put sentir sa main se faire serrer par celle d’Iruka, elle lâcha une petite plainte de douleur et elle trembla, elle rouvrit un œil pour regarder Iruka, elle trouvait son air effrayant malgré qu’il tente de paraître doux, son corps était secouer de spasme de peu et d’angoisse, son regard paniquer, alors que sa langue récupérer qu’elle que goutte de sang qui perlait sur le coin de ses lèvres roser, un frison parcourant son corps.

" Qu... Que veux tu dire ? .. Tu es... soumise à quelqu'un ? ... Dit moi qui, je te libérerais sur le champs. Quitte à le tuer qu'importe, je ne veux pas te voir souffrir...."

Elle ferma ses yeux et trembla, le tuer… Non, elle ne voulait pas qu’il tue Stephen ou même qu’il essaie, Stephen n’était pas méchant, elle ne souffrait pas avec lui, elle pouvait faire ce qu’elle voulait tant qu’elle revenait à son domaine…  Il rapprocha son visage de son cou et elle referma ses yeux et trembla à nouveau, la langue d’Iruka caressa alors sa nuque, elle frémit d’un grand frison qui parcourut alors tout son dos et qui frappa sa nuque. Puis la main d’Iruka caressa sa joue, étallant du sang dessus et sa langue glissa pour venir récolter ce sang, malgré sa douceur, elle le craignait, même si elle savait qu’elle n’avait pas à le craindre.

" Allons parler de ça ailleurs veux tu ?"

Il lui prit la main et elle hésita à le suivre, elle ne voulait pas faire réprimander pour être partie trop longtemps malgré le fait qu’elle est fait toute les tâches qu’ont lui est assigner aujourd’hui. Quand Iruka la regarda, elle pencha son regard au sol, il se pencha pour lui dire d’une voix douce et suave :

" S'il te plait Arashi... Il y a tant de choses qu'on a à se dire je pense... Suit moi..."

Son regard faisait peur,  toujours ce regard légèrement furieux qui tentait de se cacher, la jeune femme en tremblait à nouveau, elle ne savait pas quoi faire, son regard parcourut de gauche à droite, il tirait un peu sur sa main pour qu’elle le suive, mais elle ne bougea pas et hésitait beaucoup, son cœur ou la raison? Dure choix que voilà, elle aimait Iruka, mais si elle le suivait, elle allait se faire rechercher par Stephen et elle ne voulait pas que cela se passe mal. Elle trembla à nouveau et se mordit la lèvre tandis qu’Iruka se rapprocha d’elle et lécha tendrement ses lèvres, sa main caressant sa joue, le regard de la jeune femme se ferma et un long frison parcourut son corps.

" Je t'aime...."

Elle frisonna à ses mots et une nouvelle larme coula à son œil, elle l’aimait tant aussi…

« Moi…aussi » Murmura-t-elle.

Elle savait où qu’il pourrait aller pour être tranquille, dans les bas-fonds il n’y a pas juste des mauvaise places, elle connait une auberge très bien camoufler et très privé, leurs chambres bien insonorisé, ils pourront parler en paix… Lentement elle se pencha pour reprendre son sac et vérifier qu’aucun sac  n’était briser, heureusement il y en avait aucun de briser. Elle serra la main d’Iruka doucement et son regard l’observa pendant qu’elle que seconde et sans un mot le tira, pour refaire le chemin jusqu’au chemin principale des bas-fonds, elle savait parfaitement où aller, après 5 minutes de marches ils arrivèrent à la petit auberge qu’on nommait dans les environs L’auberge du Silence, nom correspondant très bien à son endroit, lorsqu’elle ouvrit la porte, tenant toujours la main d’Iruka, l’aubergiste, une femme terranide du chat qui avait un bandeau sur son œil droit et qui avait un air bien sévère les observa. Arashi sourit et lui fit un signe de la main et l’aubergiste lui fit un signe et la jeune femme la suivit, sa main serrant un peu plus celle de son tendre vampire.

La femme terranide les emporta devant une chambre et Arashi la remercie d’un mouvement de tête et entra dans la chambre et referma derrière Iruka.

« C’est une Terranide que j’ai aidée il y a longtemps, elle m’offre toujours une chambre gratuite quand je viens ici… Nous serons tranquille, les chambres sont insonorisé, personne risque de nous entendre parler… »

Dans la chambre il y avait un lit double une petite table avec deux chaises, un coffre, mais pas de fenêtre, seuls des chandails éclairait la pièce un peu partout. La jeune femme posa son sac sur la table et trembla légèrement, son regard regardant Iruka, elle eut un doux soupire mêlant tristesse et crainte…

« Un vampire m’a capturer et m’a revendu… Le maître que je sers à présent est un dém… Homme qui heureusement me traite bien… je peux faire ce que je veux, je suis libre, mais je me dois de toujours retourner au domaine ou de ne jamais partir plusieurs jours sans avertir… Iruka… »

Elle avait dit son nom, comme si c’était le plus beau mot au monde qu’elle venait de prononcer, son regard fixant Iruka, elle fit alors un sourire et des grandes larmes s’écroula à nouveau sur son visage à nouveau malgré son sourire.

« Je suis heureuse de te revoir… Pardonne moi… Iru… Je… »

Elle trembla, ses mots se mourant dans sa gorge, son regard se tournant de gauche à droite, fixant le sol, ses doigts se jouant ensemble, elle ne savait pas quoi faire, le stress embarquait, elle se mordit la lèvre doucement sous le stress…

Le moment était doux et douloureux à la fois. En effet, la révélation qu'elle m'avait faite me chamboulait bien que je ne laissais rien paraitre. Parler semblait être la seule issue, sans quoi, nous allions nous déchirer pour sûr. Je ne voulais pas la voir souffrir, je ne voulais pas la voir aux mains d'un autre. Je la désirais pour moi et uniquement moi. Aussi égoiste cela soit-il, je ne voulais pas la perdre, quitte à devoir faire souffrir autrui. Je l'aimais et elle aussi d'après ses dires. Cependant, était-ce la vérité ? Je ne doutais pas, mais qui sait.... Cette pensée me fit mal, très mal. Pourquoi ? Pourquoi oserait-elle me mentir ? Non, elle ne me mentait pas je le savais. Doucement donc, elle semblait peser le pour et le contre. Elle hésitait, mais finalement, elle m'emmenait là où elle le désirait.

Sa main fine et douce tenait mon poignet et elle me tirait tel un petit poids mort. Je me laissais faire la suivant furtivement. Nous nous faufilions tranquillement dans la foule de monde en tout genre, puis nous arrivâmes devant une auberge. Elle semblait la connaitre alors je lui faisais confiance. L'auberge semblait discrète, parfaite pour un moment comme on allait en passer. Sûrement que joie, douleur et bonheur allait se mêlait, mais il le fallait pour notre bien. Une terranide semblait faire la gueule en me voyant, mais rapidement elle nous laissait passer via une intervention de la demoiselle vampirique. Visiblement, elles se connaissaient et elle avait donc certains droits que d'autre non pas. Quoi qu'il en soit, je me laissais encore traîné jusqu'à la fameuse chambre. Petite , quoi que non... Normale en faite. Elle était parfaite, ni trop spacieuse, ni trop étroite. Nous serions bien là pour discuter.

S'installant, elle tremblait encore de peur. Pourquoi me craignait-elle tant ? Elle ferait mieux de craindre son maître plutôt. Les gentils sont souvent méchants au final. Je m'efforçais de rester calme, bien que depuis son aveux, je me sentais mal. Terriblement mal... L'écoutant donc, elle m'avouait ce qui s'était passé. Capturé par un vampire, revendu et un dém.. ? Démon sans doute... L'avait prise sous son aile pour en prendre soin. Elle m'affirmait être libre, faire ce qu'elle voulait alors qu'avant, elle me disait être esclave. Se foutait-elle de moi ? Alors qu'elle redressait son regard, j'admirais son sourire triste. Un sourire qui me rappelait celui d'une personne. Ma soeur... Avant sa mort, m'imnplorant de fuir et vivre sans elle. Mon coeur manquait un battement en voyant la scène. Des pleures alliés à un sourire ? Voilà une drôle de scène. Pourtant, celle-ci me fit un effet impressionnant. Mon air sérieux fusionnait avec de la tristesse. La voir pleurer me rendait malade. J'en voulais au monde entier et je me battrais pour elle.
S'excusant encore et encore, j'avais de la peine à voir la miss ainsi. Pourtant, un détail me choquait. Elle ne me disait pas s'être battu, comme si elle acceptait son sort de maintenant. Elle n'était plus humaine pourtant. Pourquoi ? Voilà la terrible question. Serrant les points, après un lourd silence, je lui ordonnais d'une voix froide tout en baissant mon regard.

" Cesse de pleurer Arashi..."

Un ordre froid... Première fois que je lui avais parlé ainsi. Poings serrés, coeur de même, je la fixais m'approchant d'elle.  Mon corps puissant s'approchait du sien pour alors la plaquer contre le lit. Montant dessus, je me mis à quatre patte au dessus de son corps pour la dominer. L'admirant un bref instant, je la regardais avec ce regard exprimant une déception intérieur. J'avais été nul de la laisser partir, cela avait été une erreur. Triste voilà ce que j'étais. Ma tristesse étant présente, je vins lui dire donc caressant sa joue.

" Pourquoi Arashi ? Tu es une vampire maintenant... Pourquoi ne t'es tu pas rebellé ? Pourquoi tu acceptes ton statut actuel ? C'est l'impression que j'ai. C'est contradictoire. Tu m'as dit dans le passé vouloir être libre, désormais tu es forte, mais tu ne te bat pas pour être libre... Pourquoi Arashi ? "

Frissonnant en sentant son souffle, mon coeur ne pouvait pas retenir plus longtemps mes émotions. Une larme coulait de mes yeux jusqu'à son menton. Une goutte, deux, puis trois... Je pleurais quelque peu. Devant elle, face à elle... J'avais mal de la voir me trahir ainsi. Quoi que trahir est un grand mot, mais c'est l'impression qu'on peut avoir. Je ne voulais pas l'accuser, mais savoir pourquoi elle ne se battait pas était crucial. Si elle me disait aimer son maître parce qu'il est gentil, cela reviendrait presque à de la trahison, mais le mot ne sortirait jamais de ma bouche.

" Si longtemps que je t'attends... Pourquoi ne m'as tu rien dit ? Pourquoi ne t'es tu pas enfuis ou n'as tu pas pris quelques jours de pseudo repos pour venir me retrouver ? M'expliquer etcetc ? Je peux t'aider tu sais.. Je suis là pour ça non ? ... Tu m'as manqué tout ce temps... J'ai presque voulu construire une maison sur Terra rien que pour pouvoir passer plus de temps avec toi. Que dois-je faire hein ? Que puis-je faire maintenant ? Tu vas continuer à rester ainsi ? Réponds moi ... J.... je..."

Il me fallait son souffle... De manière impulsive, mes deux lèvres se posaient sur les siennes. Dans un baiser fougueux, je reliais nos bouches pour un baiser brûlant d'envie et de passion. Ma main droite se posait sur son ventre le caressant au travers des habits. Un toucher puissant et doux, je voulais vraiment pouvoir la ressentir contre moi. Me rassurer de sa présence. Liant nos langues, c'est dans un doux bruit de luxure que nous nous embrassions. Finalisant ce baiser en retirant doucement la langue laissant ainsi un filet de salive nous relier un bref instant, je la regardais intensément, quelque peu plus calme.

" Je ne veux pas te perdre Arashi.. Ne m'abandonne pas...."

Voilà ma peur. Qu'elle m'abandonne, qu'elle me laisse, qu'elle choisisse entre ce qui peut l'être et ce qui ne peux pas l'être. Criant mon amour via les gestes, je me mis sur le côté passant une main sur ses côtes. Je l'attirais contre moi continuant de fixer sa personne, son visage, son corps.

Le silence se fit, la jeune femme était tendue, pourquoi avoir si peur ? Peur de ses reproches, peur de sa propre faiblesse. Elle était forte, certes, mais mentalement elle était faible, très faible, sa naïveté était pour quelque chose. Elle n’osait pas faire de mal à personne malgré qu’on la blesse, elle ne ripostera que rarement, elle se laissais toujours faire… Parfois c’est une qualité mais s’en est plus un défaut majeur pour la polymorphe vampirique. Le regards de la vampire continuais de ce balader de droite à gauche, ce silence l’angoissais, elle aurait presque voulue disparaître à cette instant pour fuir ce stress que son tendre Iruka lui causait.
 
" Cesse de pleurer Arashi..."
 
Froid, sec… Cet ordre avait été lancé par la voix de son vampire, elle frémit, c’était la première fois qu’elle l’entendait lui parler ainsi et elle en eut peur de cette voix qui ce voulait autoritaire envers elle, son cœur même se serra sa main vint essuyer ses larmes qui perlait au coin de ses yeux, elle voyait ses poings serrer et il s’approcha d’elle, elle recula de peur, ses jambes ne pouvant plus reculer à cause du lit bloquant la route, elle se mordit la lèvre, elle eut peur de ses mains, qu’ils s’abattent sur elle sur le coups de la colère, mais il la poussa sur le lit, se plaçant par dessus elle, dominant la jeune femme, le regard de la jeune femme remonta pour voir son regard qui exprimait tristesse et déception. Elle tentait de bouger, mais Iruka l’empêchait de bouger, sa main allant caresser sa joue…
 
" Pourquoi Arashi ? Tu es une vampire maintenant... Pourquoi ne t'es tu pas rebellé ? Pourquoi tu acceptes ton statut actuel ? C'est l'impression que j'ai. C'est contradictoire. Tu m'as dit dans le passé vouloir être libre, désormais tu es forte, mais tu ne te bat pas pour être libre... Pourquoi Arashi ? "
 
Lentement une larme coula le long de la joue du vampire, puis suivit une deuxième puis une troisième, voir ainsi son amant sous les émotions devant, la fit trembler, son regard tout aussi triste le regardant… Elle était faible d’esprit, voilà pourquoi elle ne se battait pas, bien qu’elle soit forte, sa tête ne l’était pas encore, elle n’avait jamais été forte sur se coter là, un rien l’affectait, alors un tout était la fin du monde. Stephen était un bon maître, quoiqu’elle soit qu’un esclave à présent, elle n’était pas vraiment traiter ainsi par ce maître démoniaque, c’est pour sa qu’elle ne se rebellait pas, elle pouvait presque vivre comme elle voulait et elle savait aussi que même si elle se sauverait, il la retrouverait et ferais craquer son esprit faible à nouveau… S’il y a bien une personne qu’elle aimait, c’était ce vampire qui se trouvait face à elle et cela ne pouvait se faire contre dire… Jamais elle ne pourrait aimer une personne autre que lui…
 
" Si longtemps que je t'attends... Pourquoi ne m'as tu rien dit ? Pourquoi ne t'es tu pas enfuis ou n'as tu pas pris quelques jours de pseudo repos pour venir me retrouver ? M'expliquer etcetc ? Je peux t'aider tu sais.. Je suis là pour ça non ? ... Tu m'as manqué tout ce temps... J'ai presque voulu construire une maison sur Terra rien que pour pouvoir passer plus de temps avec toi. Que dois-je faire hein ? Que puis-je faire maintenant ? Tu vas continuer à rester ainsi ? Réponds moi ... J.... je..."
 
Son cœur battait fortement dans son corps à ses mots, elle ne savait comment réagir, elle avait si mal réagit, cela faisait si longtemps depuis leurs dernières rencontre, mais tant de chose c’était passer depuis ce temps, tant d’événement qui avait fait reporter leurs retrouvailles et pourtant maintenant, ils se retrouvaient enfin, mais pas comme Arashi l’aurait souhaiter… Pas en tant qu’esclave d’un homme autre que lui qu’elle aimait vraiment… Ses penser furent briser par les lèvres chaudes et brûlante d’Iruka qui se colla contre les siennes, fougueux baiser qui s’imprégnait de passion, malgré la tristesse du moment, sa main touchant son ventre au dessus de se tissu, elle trembla alors que leurs langues entrèrent en contact, se cherchant, se cajolant de passion avant de lentement l’enlever, son regard chaud la regardant, tandis que celui de la jeune femme tentait de vouloir se faire rassurant, malgré sa détresse.
 
" Je ne veux pas te perdre Arashi.. Ne m'abandonne pas...."
 
Il avait peur… Cette peur qui ravagea même le corps de la jeune femme et lentement ses bras passèrent autour de lui, elle usa de sa force pour le forcer à lâcher pour se coller à son corps. Elle caressa doucement son dos, avec le bout de ses doigts, elle frissonnait doucement, ses yeux se fermant, elle le tenait fermement contre elle, elle voulait qu’ils sentent toute sa chaleur, qu’il sente qu’elle était là avec lui. Elle se dit qu’elle avait toujours été présente depuis le début au domaine, une nuit pas présente, cela ne sera pas la fin du monde…

Elle posa un baiser sur la tête d’Iruka et murmura de sa douce voix qu’elle se voulait calme malgré ses légers tremblements :
 
«Iruka… Je ne t’abandonnerais jamais… Je t’aime toujours autant que la dernière fois… Cela n’a pas disparu…»
 
Elle posa un autre baiser sur sa chevelure rouge, ses mains caressant toujours son dos pour lentement glisser jusqu’à son cou qu’elle caresse lentement le coté, l’endroit exact qu’elle a mordu, caressant cet endroit avec amour et passion, sentant légèrement la chevelure de l’homme, elle s’était ennuyer de cela… Son cœur se pinça et elle se mordit la lèvre avant de rouvrir ses yeux et se placer pour faire en sorte que leur visage se retrouve face à lui d’Iruka, elle y posa un rapide baiser sur ses lèvres et prit doucement la main de son vampire dans la sienne et la posa près de l’emplacement de son cœur qui bat doucement.

«C’est impardonnable l’attente que j’ai pu te faire subir… Mais il s’est passé tant de chose depuis ce temps… Des belles choses… Comme des choses affreuses…»
 
Elle eut un frison d’horreur en repensant à ce viol qu’elle avait subi et ferma ses yeux et les rouvrit pour fixer les yeux de son tendre vampire et elle l’embrassa subitement, son corps secouer de tremblement. Elle prenait ses lèvres d’assaut, ses joues ayant virer au rouge, ses lèvres lui avait tant manquer, sa voix aussi, ses mains, ses crocs, son corps… Tout son corps désirait le sentir un peu plus contre elle, malgré l’envie de lui parler pour entendre encore sa voix.

Quel moment quand même. Un an s'était écoulé et là, je me sentais comblé. Bien que de la souffrance me tenaillait, je voulais vraiment profiter de l'instant. Mais avant de passer à un quelconque plaisir, nous devions nous expliquer sérieusement. Il ne pouvait pas y avoir de paroles bâclées. Aller droit au but et basta, voilà l'objectif. Mais pour l'heure, j'étais troublé. Troublé de la revoir, troublé de la savoir esclave et surtout, troublé de la voir pleurer.Ses pleures étaient insupportables. Ils me rappelaient ceux de ma soeur et j'aimais pas ça. C'est donc avec autorité que je lui avais parlé. La belle avait pris cela sérieusement et avec peur. Je le lisais en elle, elle avait peur, je la terrorisais avec ce ton. Elle reculait sur le lit tant je lui avais fait peur.

Bref, tout ça pour dire que s'était dur de devoir régler nos soucis avant de se dire retrouver. En effet, je voulais des explications avant de pouvoir me dire heureux. La belle semblait s'en vouloir, mais ne disait rien. Je laissais pour une fois parler mes émotions. Versant quelques larmes, je m'étonnais moi-même. J'avais si mal de cette absence. Soupirant, je tentais de reprendre mon calme, mais cela était impossible, seul un baiser me calmait. Je lui avouais mes peurs les plus secrètes, je jouais franc jeu. Que si elle ne m'avait jamais vu comme j'étais, que là elle le puisse. Je lui avouais ma peur de la perdre. Elle était ma seule promise, ma seule femme et unique personne constituant ma nouvelle famille. Ne serait-il pas cruel de me laisser ? Inversement ne serais-je pas cruel de la renier ? ... Non, je ne voulais pas ça. Qu'elle comprenne ma détresse. Je l'aimais autant que n'importe qui. 

Rapidement, elle se mis à me câliner. Usant de sa force, elle me collait contre elle. Ses formes, son corps parfait se collait au mien me faisant ressentir une intense chaleur. Son odeur, sa chaleur, tout était là, elle était vraiment là. Arashi ma belle était contre moi. Je me sentais déjà plus heureux et rassuré, mais cette douceur était aussi à double tranchant. Un véritable poison que j'adorais ingérer. Goûtant à ce plaisir de nouveau, arriverais-je à la laisser partir cette fois ? Je me le demandais.
Baisers et câlins étaient là, mais cela suffirait-il ? Sa peau avait beau êre si douce, ses mains si délicates, franchement, je ne savais pas si cela suffirait à me combler assez. Bien que je ne sois pas difficile, j'écoutais ses paroles me taisant. Oui, j'espérais qu'elle ne me laisserait jamais, mais cette peur était éternelle. Un jour, elle ou moi disparaitre, la vie étant pas infinie... Nous sommes condamnés à souffrir un jour ou l'autre.  Me calment doucement, je respirais à plein poumon son odeur.  Tandis qu'elle caressait mon corps à des points stratégiques, je finissais par doucement m'abandonner. Pas trop, mais un peu quand même, je lui dit donc repoussant un poil la miss pour pouvoir être bien en face d'elle.;

" Dit moi tout... Pourquoi tu ne te rebelle pas et ensuite tes péripéties durant cette absence ? ... Y-a-t-il des gens qui t'on touchés sans ton consentement ? Comment te sent tu ? Vas tu vraiment bien ? ... Arashi.. S'il te plait, viens avec moi après ce soir... Libère toi et redevient libre..."

Je l'implorais presque, mais au fond, cela ne servirait à rien. Elle savait que ce serait elle qui aurait le dernier mot. Me taisant donc, je la fixais en silence. Durant un instant, je sentais ma main au dessus de son sein. Son coeur battait, fort, régulièrement comme le mien.  Je rougissais pour alors me sentir tout chaud. Le moment ne pouvait plus attendre. Finalement, alors qu'elle allait sûrement répondre, je lui volais un baiser remplit de fougue et d'envie. Je la voulais tant...

" Arashi..."

Le ton suave, envieux, il n'y avait pas besoin de faire mille et un dessin. Retirant avec rapidité mon haut, je la laissais admirer ma carrure. Voilà un fruit gardé en pleine santé. Mon torse musclé, sculpté par le temps, le reconnaissait-elle ? Je me penchais pour alors moi me diriger vers ses cuisses. Les écartant via mes mains faisant preuve de virilité, je posais chaques doigts sur sa peau, puis doucement, j'écartais ces cuisses blanches. Sa peau était douce, elle était belle, comme au premier jour. Ni une ni deux, je plongeais ma tête entre ses cuisses pour alors venir faire ressentir mon souffle sur le bas de la belle. Certes, elle avait encore ses habits, mais j'avais l'objectif de la faire mouiller comme personne... Mes mains massant ses cuisses avec plaisir et talent, je déposais ma bouche sur le tissu épais qu'était son bas. Embrassant ici et là, je me contentais de vouloir créer un désir tel qu'elle craquerait. Ou l'inverse... Quoi qu'il en soit, je pense que ce soir, cela serait sauvage. 
Insistant avec un certain côté bestiale, je vins doucement remonter vers le haut m'arrêtant à son nombril. Remontant de mes doigts son haut, je dévoilais un peu sa peau. Ma langue vint donc chatouiller cette peau si douce et délicieuse. Sa saveur n'avait pas changé, j'en voulais tellement plus. Titillant ce petit nombril, j'harcelais l'endroit de petits coups de langue mes mains quand à elle continuant de jouer avec son corps notamment au niveau des cuisses.

Je la voulais et ce soir... Rien ni personne ne nous empêchera de jouer comme bon nus semble. Je l'avais retrouver et elle allait avoir droit à bien des traitements spéciaux. Mon souffle chaud caressant son corps avec délicatesse, je murmurais son nom relevant un peu les yeux. Comment trouvait-elle cet élan de sauvagerie et d'envie hm ?

Les lèvres de la jeune femme tentait de bien s’emparer celle de son âme sœur, mais qu’elle que chose le préoccupait malgré la douceur de ces baisers et la passion qu’elle imposait, elle trembla légèrement, elle désirait tant de chose, cela la mélangeait en même temps, elle voulait parler et en même temps sentir le corps de son tendre vampire contre elle. Pour l’instant seul elle et les lèvres du jeune homme la préoccupait, leurs lèvres se caressant, enveloppé dans une douce danse charnelle. La vampire continuant de caresser doucement sa nuque avec sa main, elle avait une autre envie, autre que se corps… Le mordre à nouveau, goûter à ce sang si goûteux à nouveau, le seul sang qu’elle adore vraiment! 

Lentement Iruka brisa le baiser pour la regarder à nouveau, le regard de la polymorphe l’observa et elle se mordit la lèvre, encore stresser par les évènements…

" Dit moi tout... Pourquoi tu ne te rebelle pas et ensuite tes péripéties durant cette absence ? ... Y-a-t-il des gens qui t'on touchés sans ton consentement ? Comment te sent tu ? Vas tu vraiment bien ? ... Arashi.. S'il te plait, viens avec moi après ce soir... Libère toi et redevient libre..."

Il arrêta de parler et le regard de la vampire se pencha sur sa main qui était poser sur son propre cœur, il battait pour une personne, une seule et unique personne, personne ne pourrait le remplacer à cette endroit, car c’est une place unique et personne n’avait voler la place d’Iruka, peu importe les gens qui la toucherons, personne ne pourrais voler cette place. Esclave ou non, elle aimait ce vampire plus que tout… Redevenir libre, cela avait ses désavantages comme des avantages…  Elle trembla à nouveau, que faire? Elle ne voulait pas déplaire à son tendre, mais elle savait qu’elle allait le décevoir, lentement elle ouvrit la bouche pour parler, mais les lèvres de l’homme vinrent à la charge et s’emparèrent de ceux d’Arashi qui eut un long frison lui parcourut le long de  son dos, un baiser  représentant plaisir et luxure, doux mélange invitant le charnel à s’installer.

" Arashi..."

L’entendre dire son nom était plaisant, surtout sur un ton aussi lascif.  Un frison parcourut son corps en le voyant enlever son chandail, dévoilant se corps qui l’avait si manquer, un doux sourire vint attraper ses lèvres, elle l’observa et se mordit la lèvre sensuellement, parler seras pour plus tard, il y avait un vide d’un an à combler par avant. Elle lâcha un doux soupire en sentant les mains de l’homme se poser sur ses jambes, caresser sa peau là où qu’aucun vêtement cachait celle-ci. Ses doigts lui rappelait des si bon souvenir, son corps en fut secouer sous le plaisir alors que lentement il écarta ses jambes, pourtant elle était encore habiller…

Lentement, il descendit sa tête vers son bas, son souffle contre ses cuisses et ses vêtements, puis doucement se fut ses lèvres qui y toucha, posant de doux baiser par ici ou par-là, donnant de délicieuse bourrasque de plaisir dans le corps de la vampire qui laissa sortir un léger soupire de bien-être.  Ses doigts caressant avec adresse ses cuisses remontèrent doucement, tandis qu’il remonta doucement ses lèvres jusqu’à son nombrils, d’où il posa de doux baiser, se fut par la suite ses doigts qui soulevèrent le tissu de son chandail pour dévoiler sa douce peau, la langue de son amant caressant son nombril avec douceur, faisant réagir la jeune femme à coup de frison. Les mains de l’homme retournant s’amuser à ses cuisses, les caressant avec passion…

Son souffle chaud contre son ventre la fit à nouveau frémir, tout comme lorsqu’il murmurait  son nom avec douceur, levant son regard vers celui de la jeune femme qui ne put que lui sourire, sa main allant caresser son visage, elle sut alors que s’était à son tour de jouer. Lentement elle prit le garçon par les épaules le forçant à se coucher sur le dos, la jeune femme se plaçant par-dessus par-dessus lui, ses lèvres se dirigeant vers ses son oreilles pour lui murmurer sous une voix remplie de sensualité et de passion :

« Nous reparlerons de cela… plus tard… Pour l’heure… nous avons une autre préocupation…importante…Iruka »

Elle avait dit son nom dans un murmure presque pervers, ses lèvres glissant alors sur sa joue, puis sur ses lèvres très rapidement, il pouvait sentir le souffle chaud et désireux de la jeune vampire, lentement ses lèvres se frayèrent un chemin jusqu’à sa gorge qu’elle planta légèrement à l’intérieur, seulement pour donner une délicieuse décharge sanguinaire, comme elle savait qu’il aimait avoir.  Elle recommença se manège 3 fois à des places différentes, désirant le marquer un peu plus, un autre frison parcourant son corps, sa langue caressant chaque trou qu’elle avait fait avec plaisir et envie, voulant voir s’il y avait du sang qui sortirait de ses plait qu’elle avait nettoyer. Arashi débuta sa descente, caressant le devant de sa gorge de sa bouche pulpeuse, elle la caressa doucement et continue à descendre, posant de doux baiser jusqu’à son propre nombril, elle lança un regard provocateur au vampire et sortie doucement sa langue, caressant le contour de celle place, puis continuant sa descendante jusqu’au bord de ses pantalons, elle posa seulement des baisers à son bord, ses mains taquinant le garçon en tentant d’enlever sa ceinture, la détachant très lentement, pendant ce temps la jeune femme posait de doux baiser sur son torse, attendant qu’il agisse et qu’il reprenne son rôle dominant.

Plaisir charnel au rendez vous, nous commencions à nous perdre dans nos ébats. A peine commencé, nous voilà sûrement très loin des malheurs de la vie. Il nous fallait oublier et rattraper le temps perdu. Une année, c'est long.. Mais à mon avis, ce temps sera vite rattrapé. Soupirant d'aise, son odeur m'enivrait. Mes caresses, mes touchés, tout cela était fort plaisant à mes yeux et d'après les sons de la belle, cela lui plaisait autant qu'à moi. Au dessus d'elle, je laissais ma bouche et mes mains se faire douce. Plus besoin de me retenir, nous pouvions nous en donner à coeur joie. J'aimais la belle et elle allait le comprendre. En effet, autrefois, sûrement nous y étions aller avec douceur. Là, j'allais pouvoir y aller et pas de main morte. Elle non plus d'ailleurs. Baisers, caresses, paroles douces, tout passait dans ce moment et le résultat en était saisissant.

La regardant, je notais un plaisir certain en elle. Elle appréciait et moi, j'appréciais qu'elle apprécie. J'en étais ivre de joie. Pouvoir lui procurer du plaisir, je me sentais privilégié.  La belle était tout pour moi, s'en rendait-elle compte ? Ressentait-elle ce plaisir fou ? Cette envie brutale et puissante ? Mon souffle chaud sur sa peau était une douce caresse que je ne me lassais pas de lui donner. Ce genre d'acte, je pourrais en faire mille, mais avec elle, il n'y avait pas de nombre précis. Le faire autant de fois qu'elle le voudra, cela était mon rêve. Pouvoir être avec elle çà jamais... Quel plaisir.

Doucement, la belle déposait ses petites mains douces sur mes épaules et elle me retournait. Prenant ainsi le dessus, je frissonnais. La miss se voulait dominante ? Voilà qui était étonnante, mais charmant aussi. Que demander de plus hein ? Un peu d'évolution dans une relation ne fait pas de mal. Pouvoir la voir au dessus de moi était un véritable charme. J'étais sous le siens. Son corps, ses courbes, sa poitrine , son regard, toutes ces petites choses me rendaient dingue d'elle en ce moment. Je voulais la toucher, la mordre, lui faire ressentir moult orgasmes. Oui, elle allait avoir droit à un traitement plus qu'exceptionnel ce soir.

Ses baisers, ses caresses, tout cela me faisait frissonner. Ses lèvres étaient d'une douceur unique. Personne ne lui arrivait à la cheville. Rouge tomate, je lâchais un puissant râle de plaisir quand elle me mordit à plusieurs reprises. Hm ? Avait-elle retenue la leçon ? Visiblement oui. Elle mordait pour le plaisir. Un peu de sang coulait de mes plaies, mais cela m'était égale. La suite n'en fut que plus plaisante. En effet, elle usait de sa petite langue. Petit muscle si puissant dans ce genre de moment. Me cambrant un peu pour bomber le torse alors qu'elle l'embrassait et glissait dessus, je la regardais avec un regard envieux et désireux. Oui... Cela venais doucement mais sûrement.

" Arashi..."

Soupire de plaisir, tout ces ébats me rendaient dingue. Alors que le fin cuir de ma ceinture glissait sur mon pantalon, je regardais la belle la laissant faire. Une fois la ceinture retirée, je me redressais pour alors échanger les rôles. L'allongeant la tête à l'autre bord du lit, je vins sourire de manière perverse et si douce à la fois. Mon regard en disait long quant à mes intentions. Sourire aux lèvres, je me mis à baiser sa nuque lui donnant droit à de moult baisers. Doux, envieux, fougueux, il y en avait de toutes sorte, cela juste pour attiser sa soif. Mais la suite était encore plus plaisante. En effet, mes mains puissantes s'emparaient de son chandail si fin pour le soulever et le retirer. Pressé ? Nullement, mais là... Cela s'imposais.
Poitrine nue face à moi, tout deux torse nu, je l'admirais pour alors mordre la belle à la nuque sans retenue . Une morsure passionnelle et si désireuse. Mordant plusieurs fois au même endroit, j'espérais lui transférer bien du plaisir. Pas de douleur, juste du plaisir si attendue depuis tout ce temps.

Mon appétit était éveillé... Son corps... Je ne pouvais plus me retenir. Une main puissante s'occupait d'une cuisse tandis que l'autre s'occupait d'un sein. Le gauche pour être précis. Mais quant était-il du droit ? Et bien la réponse fut simple... Alors que je me retirais de sa nuque, ma bouche gourmande se posa sur celui-ci. Son sein généreux avait droit à de doux baisers suivis de mini morsures. Au final, je mis ses bouts rosés en bouche. Léchant, suçant avidement, un bruit de succion se faisait entendre rendant le moment bien érotique à souhait. Que demander de plus hm ? M'appliquant dans ma tâche, j'espérais qu'elle ne soit point deçu. Alors que je m'occupais de ses seins en léchant, suçant et massant et que je faisais le même genre de massage avec une de ses cuisses, je commençais à réfléchir à comment elle pourrait me prendre Alala... L'amour.  Laissant le temps passait quelque peu, je revins à moi après quelques minutes. Me retirant de son sein, je la regardais amusé. Sourire en coin, je vins alors lui murmurer d'une voix mielleuse et tentatrice.

" Tu es toujours aussi délicieuse ma belle ♥ "

Mes mains vinrent masser sa poitrine avec envie. Mes doigts s'enfonçant presque dans ses atouts de chaires, je la regardais avec envie. Prend donc ton pied, car moi, je le prend ma belle... Je voulais la voir devenir folle de plaisir. Qu'elle se laisse porter même.

" Arashi..."

L’attendre dire son nom était une chose fantastique, sa voix entrait en elle comme le plus délicieux de tous les plaisirs, encore plus plaisant que de se faire mordre, c’était une plaisir quasiment inexplicable, tout un lot de frison la parcourait à ce moment, tant d’idée de plaisir autant doux que tirée d’une belle sauvagerie vampirique, heureusement que cette auberge avait la qualité d’avoir des chambres insonorisé, ils pouvaient faire ce qu’ils souhaitaient sans être pour autant déranger… Tant de plaisir à rattraper, tout se plaisir allant sans aucun doute se faire rattraper en ce soir, en ces murs, entre ses deux personnes qui s’aimait d’un amour sans faille.

Puis il l’allongea à nouveau en direction de l’autre bord de ce lit douillais, leurs regards s’observaient, s’analysait, tous les deux voyais les intentions de l’autre dans le regards, tous les deux en désirant plus,  tous les deux eurent un sourire sur leurs lèvres, puis ses lèvres vinrent sur sa nuque, tant de délicieux baisers, tous différent les uns que les autres, donnant tant et tant d’envie à la polymorphe, elle se mordit délicieusement la lèvre, son corps secouer de doux spasmes plaisant. 

Les mains du vampire se posèrent sur le bas de son chandail, un frison s’empara d’elle en le sentant emprisonner celui-ci dans ses mains puissant et lentement le fit lever pour faire découvrir sa poitrine cacher toujours par un sous-vêtement blanc…. Une fois le chandail loin, les mains de l’homme s’attaquèrent à se vêtement gâchant la nudité de son haut, une fois que celui-ci rejoignit son chandail, il l’observa et elle eut une légère rougeur à ses joues, un frison la parcourant, puis il vint s’attaquer à sa gorge, ses crocs se plantant dans celle-ci, un doux soupire quittant ses lèvres, si doux et si plaisant soupire, puis se fut une autre qui se chargea à la même endroit, puis tout cela se répéta plusieurs fois, déchargeant dans son corps de douce décharge de plaisir et remplie de doux plaisir qui la faisait lâcher de léger soupires.

Son sein gauche se fit prendre par sa main, un frison s’échappa de son corps à nouveau, son autre mains se posa sur sa cuisse qu’il caressait avec passion. Elle se mordit la lèvre avec plaisir, adorant la sensation qui la prenait, un léger soupire sortie de sa bouche alors qu’elle sentie la bouche d’Iruka quitter sa nuque pour s’installer sur son sein droit. Il était l’heureux choisi pour recevoir de tendre baiser ainsi que de légère morsure qui ne lui fit que du plaisir, un sourire animant les lèvres de la polymorphe vampirique, puis sa langue vint prendre d’assaut sa pointe rosé et commença à jouer avec de diverse manière, toute aussi délicieuse les unes que les autres, on pouvait entendre clairement les sons que sa bouche produisait dans toute la pièce, un léger soupire quittant à nouveau ses lèvres, sa main caressant alors la chevelure de feu de l’homme.

Les minutes passa, il continuait ses caresses avec habileté, sachant comment animer le plaisir de la belle polymorphe qui ne pouvait que soupire d’aise à ses caresser si plaisante, cette bouche, jamais elle ne pourrait s’en lasser, même chose pour ses mains… Elle s’avait tant ennuyer de cela, de ses mains, de sa bouche, de son odeur, de ses crocs… Elle désirait plus et toujours plus, avide de tous ses attributs. Lentement il retira sa bouche de son seins, une plainte de désapprobation quitta les lèvres de la femme, il la regardait d’un air amusé, son sourire en coin pouvant signifier tant de chose. Doucement sa voix se fit entendre d’une manière tentatrice et délicieusement envoutante.

" Tu es toujours aussi délicieuse ma belle  "

Ses mains attaquèrent ses deux seins en même temps, les massant avec passion, un frison parcourant son corps quand elle sentait ses doigts s’enfoncer un peu plus dans sa chair, elle ferma lentement ses yeux, le laissant faire doucement, pensant rapidement à ce qu’elle pourrait lui faire subir, elle allait se tourner vers un classique, mais qui n’aimerait pas cela les classiques? Surtout ce qu’elle allait faire…

Lentement elle se mit à genoux, faisant face à son amant, elle l’observa de son doux regard qui s’enflammait de passion et lentement elle approcha son visage du sien, attrapant avec douceur ses lèvres, lui offrant un baiser remplie de passion et de plaisir, elle passa même sa langue pour que leurs langues puissent faire cette torride danse, les mains de la jeune femme se firent baladeuse sur son corps qu’elle commença doucement à caresser, descendant lentement ses mains jusqu’à son pantalon qu’elle fit glisser habillement jusqu’à ses genoux, dévoilant son sous-vêtement, elle caressa la bosse qui se faisait voir, doucement, tout en continuant le baiser…

Quand elle le sentir plus dure, elle fit descendre se vêtement pour finalement  dévoiler se membre viril qui réclamait de la tendresse de ses mains, lentement elle le caressa de sa mains, fessant de doux mouvement de va et viens, puis avec douceur sa langue revint en sa bouche et ses lèvres quittèrent leurs amis pour revenir à la charge de son cou, remordant légèrement celui-ci que pour le plaisir que cela lui offrait. Doucement ses lèvres posèrent mille et un baiser tout en descendant progressivement jusqu’à se rendre lentement à son membre, elle était bien pencher, ainsi placer Iruka pouvait admirer son dos si finement travailler et sans défaut apparent jusqu’à ses hanches bien détailler, touchant cacher il pouvait tout du moins s’imaginer ses fesses sous ce tissu… 

« Iruka… » Murmura t-elle d’une voix délicieusement douce

Son regard se levant vers lui pour l’observer, puis lentement elle ouvrit la bouche pour caresser très doucement se bout de membre, le tentant à en vouloir plus...

Le moment était parfait, du moins selon ce qu'on y voit. Pour ma part, je le trouvais parfait puisque là, nous avions mis les soucis de côté. Nous parlerons plus tard des soucis qui nous envahissent. Pour l'heure, nos corps parlaient à la place de nos bouches ou nos esprits. La douceur, l'envie, les tremblements, tout cela se mélangeais lentement pour créer le plus délicieux des plaisirs. Un plaisir ayant attendu plus d'un an, pour sûr que l'instant de ce soir allait être sauvage. Cette chambre allait-être utilisé comme il se doit. Pas question de laisser les draps propres ou peu froissés. Loin de moi l'idée... Après notre passage, ils ne seront que trace de notre nuit d'amour pour sûr. Souriant, je baisais la belle dans la nuque, sur son corps. J'écoutais attentivements chaque sons que la belle produisait. Que ce soit des soupires ou des plaintes, elle était à croquer. Plus que d'ordinaire du moins. Je ne me lassais pas de ce moment torride et encore bien loin du grand final. Le plaisir n'était que sommaire là, le vrai et ultime plaisir serait lors de l'orgasme. Mais avant d'en arriver là, nous avions du temps... Beaucouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuup de temps.

Mon regard dans le sien, alors que je massais sa poitrine, je l'observais usant de ma grandeur. Ainsi dominée, elle était superbe. Je massais sa poitrine avec un doigté presque expert. Masseur de poitrine pro ? Non, loin de là, mais il n'était pas difficile de comprendre que la chaire du sein est moelleuse tandis que le téton une fois stimulé est bien dur. Quand on a compris cela, il est facile de jouer avec. Le tout pour stimuler le tout. Voilà un jeu d'enfant dans lequel je me plaisais énormément. La belle subissait à merveille. Son sourire me rendait si heureux.  Ses morsures étaient un véritable aphrodisiaque dont je me nourrissais avec gourmandise. Chaque gestes de la belle était un poison dont j'adorais me délecter. Que de plaisir vraiment...

Finalement, alors que je la massais, elle bougeait. Se retirant de mon emprise sur sa poitrine, elle se mis donc à genoux devant moi. Me regardant avec un regard en disant long, je me mis à sourire pour alors la laisser faire. Ne rompant point son baiser, je la laissais totalement faire. Ses doigts de fée s'occupaient parfaitement de moi. Ils caressaient chaque centimètres de mon corps jusqu'à toucher à mon pantalon. Le descendant en douceur, elle se mis à titiller la bosse légèrement dure au niveau de mon sexe. Ainsi donc, elle voulait déjà y aller ? Remarque... Je dit " déjà ", mais si ça ne tenais qu'à moi, elle serait déjà en train de crier suite à mes nombreuses pénétrations vaginales que je lui aurais faites.
Souriant en coin donc, je fermais les yeux pour savourer cet instant. Sa langue et la mienne continuaient inlassablement la danse endiablé  dans nos bouches, de la salive s'échappait un peu d'entre nos lèvres tant notre baiser était désireux et si peu posé.

Finalement, après un temps à se toucher ou autre, la belle quittait ma bouche pour s'occuper de moi. Alors qu'elle me mordait avec passion, qu'elle me caressait avec douceur et qu'elle semblait m'aimer comme personne, je rougissais pour ma part, imaginant mille et une choses en cet instant. Alors qu'elle était penché et semblait vouloir titiller mon membre, pour ma part, j'avais une vue parfaite sur son dos. Dos et fessier. Bien que voilà par ses habits, je pouvais clairement les voir et imaginer. La robustesse, la douceur de ses fesses... Vivement qu'on entende le bruit de claquement entre nos deux corps... En attendant, je laissais une main flirter avec son dos, puis alors qu'elle commençait à embrasser mon membre timidement pour me donner envie, je me mis à grogner de plaisir prouvant la satisfaction que j'avais à la sentir faire ça.

" C... Continu.  "

Une plainte de plaisir s'échapper d'entre mes lèvres. Me tendant sous l'effet de plaisir extrême, je voulais qu'elle use de sa bouche pour me sucer, qu'elle joue de sa langue pour lécher celui-ci, qu'elle fasse ressentir chaleur et humidité à cette partie si sensible et désirable d'elle.  Visiblement, la belle s'était amélioré dans ce domaine. Jaloux et heureux à la fois, je me demandais jusqu'où elle était aller. Mais pour l'heure, je verrais bien plus tard. Là, je profitais de ce souffle brûlant mon gland si joliment traité par la belle. Elle me faisait languir et cela était frustrant.

" Aller... Entre le dans ta jolie bouche... Suce le avec ardeur... Fait moi jouir dans ta bouche comme jamais tu ne l'as fait Arashi..."

Insistant sur son nom comme quoi il était extrêmement important à mes yeux, je me mis à donner de bref coups de bassins comme pour l'insiter à la faire. Mes mains quant à elles se dirigeaient vers son fessier l'empoignant légèrement. La position actuelle ne me donnait pas droit à un toucher des plus approprié, mais bon, je ferais avec. Désirant lui faire l'amour en passant par la case ébats torrides, je priais qu'elle se dépêche de mettre ce membre en bouche, après tout... il commence à avoir froid ce petit.
Soupirant d'aise, je passais une main sur sa joue, puis sous son menton. Redressant son visage la bouche encore un poil ouverte, je vins chercher sa langue avec la mienne dans un baiser érotique où seules nos langues jouaient ensemble. Les lèvres ne se touchaient pas, seule les langues jouaient et le bruit obscène de celle-ci se faisait entendre joyeusement. Après une brève seconde à faire cela, je lui souriais l'intimant de le faire. D'abréger mes pseudo souffrance à ce niveau là. Que sa bouche ne fasse qu'une bouchée de mon membre. Tel était mon souhait. Que sa fellation fasse envier les dieux et déesses.

" Hmmm... Aller..."