Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le Démonia, boutique et centre de jeux [PV: Lust]

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Le Démonia, boutique et centre de jeux [PV: Lust]

lundi 16 septembre 2013, 17:22:43

Ashnard n’est pas réputé pour être une puissance économique, il est vrai. Pourtant, il existe de nombreuses boutiques, dont, certaines, réservés à l’habillement des esclaves. L’une d’entre elle a su tirer son épingle du jeu, Le Démonia. Avec un nom pareil, vous vous doutez que le gérant, n’est pas un simple mortel, ou plutôt, une mortelle, puisque la boutique est tenue par une succube. Les prix des divers articles ne sont pas à la portée de toutes les bourses,  et quand on ressort de ce lieu richement décoré, ces dernières sont bien vides. Mais ce n’est pas avec seulement la vente d’articles coquins hors de prix que la tenancière arrive à garder la tête hors de l’eau. La boutique possède un escalier, menant à un club particulier où seuls les clients les plus fidèles et les plus fortunés peuvent y entrer. N’imaginez pas un lieu glauque et mal entretenu, la descente de cet escalier est déjà une attraction, où dorures et escalier de marbre noir se rencontrent. Enfin au niveau inférieur, un guichet, vous proposant deux entrées, l’une pour les maîtres et l’autre pour les soumis. Si vous ne l’avez pas encore compris, ce club de jeux, est un club SM, où l’on peut facilement s’amuser avec un partenaire d’un soir. Si c’est votre première entrée, vous avez un règlement à signer avant de vous voir remettre votre insigne de membre de ce club.


Bienvenue au centre de récréation du Démonia,
 Voici le règlement intérieur de ce magnifique centre de jeux.

     1 )   Merci de garder ce lieu secret, vous pouvez y amener votre amant(e) si vous le désirez, mais ce lieu est réservé à l’élite. Vous êtes l’élite.
    
     2 ) a )   Si c’est votre première soirée au Démonia, en tant que maître (esse), vous devez participer à une vente aux enchères et faire un achat.
    
     2 ) b )   Si c’est votre première soirée au Démonia, en tant qu’esclave, merci d’indiquer lors de votre préparation votre orientation sexuelle, vous serez « vendu » auprès des maîtres et maîtresses présent(e)s dans la salle.
    
     3 )   Pour tout achat, merci d’utiliser les « jetons D », vous pouvez échanger votre argent auprès de l’accueil. Cet argent est aussi utile pour les « paris sportifs ».
    
     4 )   Maîtres et Maîtresses, merci de respecter l’orientation sexuels des esclaves. Vous pouvez cependant les fouetter librement s’ils sont en libre-service.


     5 )   Pour faire participer votre esclave du soir à une de nos épreuves sportifs (course hippique, lutte, etc…), merci de le faire le plus tôt possible et de régler d’avance votre mise. Si vous gagnez, vous remportez le double de votre mise. (Merci de garder le ticket jusqu’à règlement, aucun payement ne sera accordé si vous perdez votre ticket. Merci de jeter votre ticket dans une poubelle.)

     6 )   Si vous souhaitez utiliser une de nos salles intimes, assurez-vous qu’elle soit libre et indiquez que vous l’utilisez avec l’un des panneaux fournit.

     7 )   Merci de ne pas embêter les serveurs de l’établissement, ce ne sont pas des esclaves, et nous ne les payons pas pour copuler avec vous, les esclaves sont fait pour ça.

     8 )   Merci d’apporter d’avance votre tenue, vous pouvez à tout instant remonter à la boutique pour faire des achats. Bien que la boutique ferme à 21h, un personnel discret sera présent jusqu’à 6h du matin pour vous aider lors de vos achats.

     9 )   Tous les jouets et jeux dans le club sont libres d’accès, merci de vous adresser à un serveur pour trouver votre taille si vous désirez faire du « ponyplay ».

    10 )   Si vous souhaitez tuer votre esclave, merci de vous adresser à la gérante, afin d’être sûr que tout est dans le but de réaliser un fantasme et non de simplement déguiser un meurtre. Ce genre de fantasme se réalisera sous l’œil de la direction. Merci de ne pas réaliser de sacrifices pour une divinité. Ce lieu est laïc, mais vous pouvez montrer toute appartenance à un culte.



Arillë était une habituée de ce lieu, et ici elle était connue sous le nom de « Lua ». Et comme les autres fois, elle était au guichet des esclaves du soir.  Elle portait une tenue quelconque, tenant dans sa main un sac où se trouvait sa future tenue. Elle allait être le lot n°12, et être « vendu » au marché du club, sans savoir à qui. L’elfe se dirigea donc vers un couloir, arrivant dans une grande salle avec des vestiaires. Parmi les clients, une quinzaine de nékos, chargés de chouchouter les faux esclaves et de les aider. Elles ne comprenaient pas vraiment pourquoi des gens libres venaient ici pour jouer aux esclaves, mais elles obéissaient. Tout le monde passait par le même programme dans cette salle décoré à la mode de l’antiquité. Lavement, un bon bain, pédicure, manucure, séance de coiffure et maquillage. Les clients pouvaient s’ils le voulaient se faire piercing ou un tatouage, ou directement passer à l’habillage. On posa sur Arillë, qui pour l’occasion avait une queue de cheval, des brassards et des chevillières en cuir, avec un anneau afin de l’attacher ou non. Puis, elle enfila un soutien-gorge et une culotte en cuir et avec des chaines, ces dernières étant parallèles et à un centimètre d’écart, ne cachaient pas grand-chose. Fidèle à son habitude, elle portait des chaussures à talons. Enfin, on mit un collier où trônait fièrement « esclave », et un bâillon.

Elle regardait l’estrade, où se trouvait un homme, grand et musclé, muscles saillants et, il faut le dire, plutôt bien membré. La salle avait une décoration digne, certes d’un club de strip-tease, mais qu’attendez-vous d’un endroit pareil ? De plus, les salles privées ont des décorations diverses, pour assouvir tout type de fantasmes, allant du basique donjon, à la salle de classe. De nombreuses tables se trouvaient dans la salle, face à l’estrade. On pouvait boire et manger dans cet endroit et le club était assez grand pour accueillir une petite cinquantaine de personnes, et propose de quoi dormir.  Derrière l’estrade, une petite arène, où les esclaves pouvaient faire une lutte particulière. Le but du jeu ? Soumettre son adversaire par une prise de soumission et le forcer à abandonner, ou pénétrer son anus avec un gode ceinture, ou son sexe. Il n’y avait pas de combat mixte, d’ailleurs, aucune épreuve sportive ne proposait des compétitions mixtes. Mais on pouvait s’arranger entre maîtres pour enfreindre les règles. Pour en revenir à la vente en cours, l’esclave masculin devait faire fantasmer les demoiselles, puis une fois qu’on finit de le montrer sous tous ses angles, l’employé chargé d’animer les ventes se mit à le présenter.

« Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, je vous présente notre magnifique lot n°11. Malheureusement pour les représentantes de la gente féminine, cet esclave recherche un maître, prêt à l’éduquer. Ou éventuellement, une créature aussi membrée que notre charmant jeune homme ! Mais vous aurez l’occasion de faire plus ample connaissance quand il sera à vos pieds ! Commençons l’enchère avec 100 jetons ! »

L’Assemblée, constituée majoritairement de femmes était déçue. Les prix n’étaient pas extraordinaires, puisque le but était d’avoir une créature à ses pieds pour la soirée, et s’il était doué aux épreuves, il pouvait amortir l’achat du maître facilement. Il fut vendu pour 350 jetons à un homme du même gabarit. On tira alors sur la laisse de l’elfe et elle se mit en marche, on avait attaché ses poignets dans son dos et suivait la néko qui la mena sur l’estrade.

« Et voici notre lot n°12. Regardez la bien messieurs, car vous ne l’aurez pas. En effet, la douce créature cherche une femme prête à la dresser. Et n’hésitez pas à employer la manière forte, c’est une habituée, et à ce que l’on m’a dit, c’est une petite salope ! Une beauté pareille, qui serait prête à me faire changer de bord…  L’enchère, pour une elfe pareille, est à 200 jetons »

Arillë était flattée, elle était vendu le double que cet Apollon. Elle regardait l’assemblée. Il y avait de charmantes demoiselle, dont une, avec des cheveux rougeoyant. Rien qu’à la voir, l’elfe était excitée, et son visage tournait rapidement au rose. Elle mordait la boule rouge de son bâillon d’excitation et battait doucement des cils. Lui faisant comme elle pouvait de l’œil.
« Modifié: lundi 16 septembre 2013, 17:53:49 par Arillë »

Lust

Dieu

Re : Le Démonia, boutique et centre de jeux [PV: Lust]

Réponse 1 mardi 17 septembre 2013, 16:22:41



Sous sa forme de jeune adulte, Lust se fait appeler Lucia Stefani, d'une part parce qu'elle trouve que les noms et prénoms Italiens c'est monstrueusement classes et d'autre part parce que les deux premières lettres de chaque donnent "LuSt". Elle se balade un peu partout sur Terra, les gens ne savent pas trop d'où elle vient, ni ce qu'elle fait dans la vie. En général la seule chose qu'ils retiennent c'est qu'elle paye bien, très bien et aussi qu'elle n'aime pas être contrariée, pas du tout, du tout. Elle est connue pour être une habituée du marché aux esclaves de Nexus, achetant peu, très peu, mais toujours des esclaves de qualité supérieure. Certains vendeurs, en son absence bien sûr, la surnomment Mary Poppins à cause du nombre de liasses de billets qu'elle peut sortir de son sac à main. En référence à un film terrien qui a également inspiré le module de stockage dimensionnel Tekhan. Bref !

J'étais à Ashnard depuis quelques semaines déjà, sans raison particulière, je profitais juste d'un peu de temps libre bien mérité. Pervertir de jeunes âmes innocentes est un métier plutôt sympathique. Mais de temps en temps, j'éprouve le besoin de me retrouver avec des perverses plus expérimentées, qui s'assument un peu plus. Il y a des lieux idéaux pour ça, les clubs, clubs échangistes, clubs libertins, clubs SM. Véritables lieux de rencontre pour pervers et perverses de tout calibres. Pour ma part, j'affectionne particulièrement les clubs SM. Ce sont des endroits, vraiment particuliers, qui stimulent la créativité, les sens et créent des relations spéciales entre maîtresses et esclaves. Si vous aimez ce genre de lieux, il y en a un qui est incontournable à Ashnard, pourvu que vous ayez les moyens d'y entrer : le Démonia. Outre le cadre luxueux à souhait et la boutique bien approvisionnée, ce club avait surtout une réputation prestigieuse. Les plus grandes fortunes de Terra s'y côtoient, venant des quatre coins du monde pour y passer quelques soirées inoubliables. Il n'est pas rare d'y voir un noble ou une célébrité venant s'y détendre, pouvant lâcher prise dans ce lieu où rien ne filtre et devenir l'animal de compagnie d'un autre sans conséquences. Enfin, sans conséquences la plupart du temps, car il arrive que certains y prennent goût. En général ce sont ceux qui reviennent très souvent et toujours dans les rôles de soumis, petit à petit ils deviennent accrocs à ce genre de plaisirs et certains finissent même par réellement devenir les esclaves de leurs dominants préférés. Pour cette raison je porte toujours un intérêt particulier aux habituées, sait-on jamais.

Je m'étais parée d'un corset en cuir rouge avec gants et bottes assorties et d'une tapette en cuir qui imprimait le mot "SLUT" à chaque coup porté. Et j'avais prévu une arrivée en limousine, histoire de faire sensation auprès des riches clients et clientes de l'établissement. Dans la rue j'attirai l'attention, peu de clientes arrivaient déjà en tenue ou du moins elles portaient un manteau par dessus. Et en voir une porter fièrement tel accoutrement provoquait toujours son petit effet, y compris auprès des autres maîtresses et esclaves qui vous voyaient débarquer ainsi. Oui, j'adorai qu'on remarque ma présence lorsque je venais ici, il fallait qu'on se dise : "Tiens, je l'ai déjà vue elle.". J'ai descendu le grand escalier, me présentant au guichet des maîtresses et échangeant une grosse liasse de billets contre mes jetons. Les jetons normaux étaient des jetons verts de 50, pour les sommes plus conséquentes on vous donnait des jetons orange de 500 et quand vous donniez vraiment beaucoup d'argent vous aviez droit aux jetons couleur or de 1000. On m'a donné 3 jetons couleur or, 1 jeton orange et 7 jetons verts, donc un total de 3850 jetons, une somme plus que suffisante pour les enchères.

Déjà prête, j'ai évité les vestiaires, allant directement dans la salle ou se tenaient les ventes d'esclaves. Je suis arrivée alors que le lot n°10 sortait de la salle avec son maître, une jolie demoiselle qui m'aurait bien tentée si elle avait demandé une femme. Le lot suivant, le n°11, n'avait strictement aucun intérêt à mes yeux, j'ai donc profité de sa vente pour regarder un peu les autres acheteurs, remarquant une femme qui avait au moins 6 jetons couleur or. J’espérai que nos goûts étaient différents, car je n'avais pas prévu assez pour la concurrencer. Et malheureusement elle n'était pas la seule à avoir plus que moi, une autre avait prévu 4 jetons de couleur or, ça me faisait deux concurrentes sérieuses. Lorsque le lot n°11 fut acheté et emmené, mon attention se reporta sur l'estrade et sur le lot n°12 qui était une elfe, une très jolie elfe, tout à fait à mon goût. Sa description aussi me plaisait, une habituée et une petite salope, exactement ce qu'il me fallait pour passer une bonne soirée.

"L’enchère, pour une elfe pareille, est à 200 jetons." "250 !" "300 !" "350 !"

"1000 !"


Je n'avais pas envie de perdre mon temps en marchandages, je voulais juste cette elfe et tout de suite. Hors de question de me batailler pendant des heures pour économiser quelques jetons. Surtout que madame 4000 jetons et madame 6000 jetons ne semblaient pas intéressées, victoire facile. L'enchère se termina sur mon offre, c'était un très bon prix qui allait probablement gonfler l'orgueil de mon nouveau jouet. Et puisque c'était une habituée j'allai m'employer à la faire redescendre sur Terre au plus vite. La néko qui la tenait en laisse me l'a apportée et je lui ai donné un de mes jetons couleur or pour la payer avant de me retrouver seule avec l'elfe. Tout en approchant ma tête de la sienne, je détaillais son corps, sans un mot, faisant quelques tours autours d'elle, comme un prédateur tourne autours de sa proie pour chercher un point faible. Je me suis arrêtée devant elle, avec un grand sourire sur le visage, caressant son ventre du revers de la main avant de saisir sa laisse. J'ai tiré dessus, doucement, puis j'ai glissé deux doigts sous son collier pour faire venir son oreille gauche jusqu'à ma bouche.

"À quatre pattes."

Ma voix était sensuelle, mais ferme, intraitable. L'ordre lui, était court et parfaitement clair, j'attendais donc une obéissance immédiate de sa part et si elle trainait trop à mon goût un bon coup de tapette la remotivera. Sitôt dans sa position naturelle, mon animal de compagnie eut droit à une tendre caresse sur le dessus de sa tête. Il fallait toujours récompenser les gentilles chiennes, ne serait-ce que pour rendre les punitions encore plus marquantes.

"Reste aux pieds, je ne t'attendrai pas."

C'était l'exercice de base pour dresser une soumise. Obligée de suivre aux pieds, l'esclave n'avait pas d'autre choix que de regarder avec une extrême attention les mouvements de sa maîtresse. Les règles étaient simples, Lucia allait marcher dans tout le club, visitant ainsi les différents stands qui existaient. L'esclave devait suivre exactement ses pas, ni devant, ni derrière, toujours à la même distance, jamais dans ses jambes. À la moindre erreur de sa part la tapette sera là pour la corriger et au bout de trois erreurs elle recevra une punition spéciale, plus recherchée, plus dure. Sa maîtresse avait l'intention de ralentir, accélérer, changer de direction tout le temps, jusqu'à ce que l'elfe se soit habituée à regarder avec toute son attention le moindre mouvement de sa maîtresse. À partir de maintenant, tout ce que l'elfe faisait devait être fait en fonction de sa maîtresse et uniquement en fonction d'elle.
« Modifié: jeudi 19 septembre 2013, 00:05:55 par Lust »
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Arillé

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Re : Le Démonia, boutique et centre de jeux [PV: Lust]

Réponse 2 jeudi 19 septembre 2013, 14:02:07

Les enchères étaient violentes, déjà on commençait à se battre pour les beaux yeux de l’elfe.

"250 !" "300 !" "350 !"

A chaque surenchère elle regardait sa future hypothétique maîtresse quand soudain.

"1000 !"

Si Arillë n’avait pas une boule rouge dans la bouche, elle aurait affiché un grand sourire de satisfaction, surtout que personne ne voulait suivre. Une vente agressive, et rapide, qui gonfla l’égo de l’elfe. Elle suivit d’un pas félin la néko qui l’amena vers sa nouvelle maîtresse. Ses bras étaient croisés dans son dos, chacune de ses mains tenait délicatement l’avant-bras opposé. Le torse bombé, elle était fière d’être menée à sa maîtresse. Arillë était face à elle. La dominante fit plusieurs fois le tour de l’elfe, cherchant peut-être des défauts dans sa pose. Puis, elle force l’elfe à approcher la tête, pour qu’elle lui souffle un ordre.

"À quatre pattes."

Elle se mit lentement sur ses quatre membre, voulant être désirée et sensuelle. Un peu trop au gout de la maîtresse qui fessa les fesses nues de l’elfe avec sa tapette, imprimant une insulte sur ses fesses. Arillë gémit, et reçut une caresse sur sa tête et bafouilla un « merci maîtresse » plus ou moins audible à cause de son bâillon.

"Reste aux pieds, je ne t'attendrai pas."

La maîtresse en rouge se mit alors en marche, suivit de près par l’elfe, qui était juste derrière elle. Elles firent une promenade dans le club, s’arrêtant de temps en temps à quelques stands. La première minute de promenade se déroula sans accros. Lucia et son esclave étaient passé notamment devant une sorte de buffet « vivant » où deux jeunes femmes, attachés à l’aide de cordes, et évoquant un cunnilingus, l’une allongée sur le dos et cuisses écartés, l’autre, à genoux et la bouche bâillonnée proche de l’intimité de sa camarade. Les cuisiniers avaient disposés de nombreux sushis et sashimis sur les deux corps, et remplis leurs intimités dégoulinantes de sauces.  Un autre stand qui attirait beaucoup de monde, était une succube, la gérante de l’endroit, allongée, et couverte de semence. S’ennuyant probablement, elle avait décidé d’offrir son corps aux premiers venus afin de les masturber, les sucer, et les laisser la ramoner comme ils voulaient à condition de se vider sur son corps. C’est d’ailleurs à cet endroit qu’Arillë fit sa deuxième erreur, rentrant dans les jambes de sa maîtresse, elle reçut un deuxième coup, un peu plus fort que le premier. Elles firent un tour, sans nouvelle erreur de la part d’Arillë. Et repassant devant de le stand aux sushis, où Lucia goutta un des plats, l’elfe se colla à ses jambes, caressant son corps sur la longueur de sa jambe gauche, avec un regard joueur et caressant sa joue contre les bottes de la jeune femme, tel un chaton réclamant des caresses. Il restait à voir la réaction de la maîtresse.

Lust

Dieu

Re : Le Démonia, boutique et centre de jeux [PV: Lust]

Réponse 3 vendredi 20 septembre 2013, 11:27:42

L'elfe se débrouillait bien mieux que la plupart des esclaves, le vendeur n'avait pas menti à son sujet c'était réellement une habituée et une petite salope. Pour l'instant elle n'avait fait qu'une erreur et c'était un score plus qu'honorable. Elle suivait mes mouvements avec une concentration exemplaire, se calquant sur mon rythme comme elle pouvait. Inconsciemment je devenais son modèle, son repère, le centre de son attention, en clair sa maîtresse. Après quelques minutes de marche, je me suis dis que c'était bon pour cette étape et que nous pouvions passer aux choses amusantes. J'avais trouvé géniale l'idée du buffet humain devant lequel nous étions passées et j'avais bien envie de m'y attarder un peu. Mais avant cela, j'ai décidé d'aller voir une sorte d'attroupement, pensant que cela pouvait être intéressant. La gérante du club, une superbe succube, offrait son corps à quiconque acceptait d'éjaculer sur elle. Au moment où nous sommes arrivées, elle était en train de se faire sauvagement tringler par un terranide cheval au phallus impressionnant. C'était un spectacle à voir et mes joues rosirent d'excitation devant cette scène. Visiblement ma petite chienne aussi avait été émue par cette magnifique succube, car captivée par elle, elle n'a pas remarqué que je m'en allai et je lui ai rentré dedans. D'une voix sévère je l'ai réprimandée :

"Alors comme ça cette succube t’intéresse plus que ta chère maîtresse ? Met tes fesses bien en évidence vilaine fille."

Avec un petit sourire, je lui ai asséné un coup de tapette plus fort que le premier, faisant rougir ses fesses avec un autre tampon "SLUT". Ah décidément j'adorai ce jouet, outre la douleur, il y avait aussi la honte d'être temporairement marquée de la sorte, un véritable délice. D'une voix faussement bienveillante je lui ai annoncé :

"Attention ma petite chienne, je ne tolérerai pas d'autre erreur. À ta prochaine bêtise je serais obligée de te punir plus durement, c'est pour ton bien ma belle."

Il était temps de retourner au buffet humain qui avait attiré mon attention plus tôt. Ma petite soumise suivait de nouveau mes mouvements à la perfection, malgré les pièges que je lui tendais de temps à autre, accélérant, ralentissant ou tournant brusquement pour m'assurer de son attention. Lorsque nous sommes arrivées, je lui ai ordonné d'une voix sensuelle :

"Assis ma belle."

Absorbée par mon envie d'aller goûter les plats, je n'ai pas vérifié si l'esclave avait bien suivi mon ordre, j'ai pensé qu'elle était suffisamment bien dressée pour lui faire un peu confiance. Je me suis approchée du présentoir humain couché sur le dos, une belle esclave qui semblait bien excitée par sa situation. J'ai empoignée sa poitrine, remontant doucement vers le sushi qui m’intéressait pour finalement le saisir du bout des doigts. Puis j'ai plongée deux doigts gantés dans son intimité pour recueillir de la sauce que j'ai étalée dessus. Justement au moment où je me disais qu'il était peut être temps de m'occuper un peu plus de ma petite chienne, j'ai senti cette dernière qui se pressait contre ma jambe. Ravie de cette initiative, je n'ai rien dis et j'ai fais glisser mon sushi dans ma bouche en le suçant comme s'il s'agissait d'un sexe. Les doigts de ma main droite étaient maculés de sauce, elle coulait aussi le long de ma gorge, finissant sa course sur mon opulente poitrine. En la goûtant, je me suis aperçue que cette sauce était en fait un puissant aphrodisiaque, encore une fois quelle délicieuse attention. J'ai regardé ma petite elfe, lui tendant mon gant couvert de sauce, tout en lui retirant son bâillon de ma main libre. Sitôt enlevé, j'ai enfoncé mes doigts dans sa bouche, attendant que son adorable petite langue nettoie tout. Une fois mon gant nettoyé, je me suis accroupie devant elle, guidant sa tête vers la tâche de sauce sur ma poitrine. Puis je lui ai susurré à l'oreille :

"Lèche ma jolie, tu auras une récompense si ta langue se débrouille bien."

J'ai pu sentir sa petite langue sur ma poitrine, remontant lentement dans mon cou, jusqu'à venir nettoyer mes lèvres. Émoustillée, j'ai glissée ma langue dans sa bouche, cherchant la sienne. Au bout de quelques secondes j'ai rompu le baiser avant de me relever pour prendre une cuillère. Je l'ai enfoncée entre les cuisses du présentoir vivant, récoltant de nouveau un peu de cette sauce aphrodisiaque. Puis j'ai renversé son contenu le long de ma botte droite, désireuse de voir ma jolie petite soumise léchant le sol et mes bottes.

"Hu hu, quelle vilaine fille ! Regarde ce que tu me fais faire à force de m'aguicher petite trainée ! Aller nettoie moi tout ça !"
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Arillé

Créature

Re : Le Démonia, boutique et centre de jeux [PV: Lust]

Réponse 4 dimanche 22 septembre 2013, 21:50:31

Etrangement, Arillë s’attedait à recevoir une vilaine punition, mais, la maîtresse était d’humeur généreuse, elle continua de frotter son corps contre la jambe de Lust pendant de longues secondes, cette dernière, dégustant le buffet mit la à disposition des clients. Elle pouvait entendre les gémissements de l’esclave, sentant les doigts de Lust dans son intimité, brulante à cause de l’aphrodisiaque ; ou encore, les bruits de succion de Lust, pompant le dard de ce pauvre sushi. Arillë fermait les yeux, frottant sa poitrine le long du cuir des bottes de Lust, son sexe à demi caché par les chaines contre le pied de Lust. Arillë commençait à mouiller, excitée par le contact de sa peau nue contre le cuir des bottes de Lust. L’elfe était effectivement une fétichiste des chaussures et avait une petite pièce chez elle remplit de divers talons hauts ou de bottes, pour la plupart, jamais portés. L’elfe rouvrit doucement les yeux quand sa maîtresse lui retira son bâillon et tendit sa main. La bouche libre, elle l’ouvrit doucement laissant les doigts de Lust pénétrer sa bouche. Elle suçait, léchait et caressait les doigts couvert de sauce. L’elfe ne s’arrêta que lorsque Lust retira ses doigts. L’aphrodisiaque agissait rapidement, et l’elfe était toute humide.  Lust s’accroupi, murmurant  sensuellement à l’elfe.

« Lèche ma jolie, tu auras une récompense si ta langue se débrouille bien.

- Oui Maîtresse »

Répondit-elle dans un soupire d’excitation. Elle posa lentement sa langue sur sa poitrine, lapant la goutte qui fuyait vers l’intérieur de son décolleter. Arillë suivait la trace laissée par la goutte, remontant vers le cou de sa maîtresse. La maîtresse avait précisé qu’elle voulait être « léchée » et non « embrassée », et l’elfe se retenait de poser ses lèvres sur sa délicieuse peau. L’elfe atteint le menton, puis la commissure des lèvres de Lust. Elle hésita un bref instant avant de lécher les lèvres de sa maîtresse, qui enchaina en embrassant tendrement. Chaque langue se cherchait, et se caressait pendant de longues secondes. Puis Lust se releva, laissant sa chienne à ses pieds. Elle fit couler de la sauce aphrodisiaque, le long de sa botte, qui était déjà souillée par quelques gouttes de cyprines, appartenant à l’elfe.

« Hu hu, quelle vilaine fille ! Regarde ce que tu me fais faire à force de m'aguicher petite trainée ! Aller nettoie
moi tout ça !


- Tout de suite maîtresse »

Elle commença par laper les quelques gouttes qui étaient tombé sur la moquette rouge du club. Moquette qui avait la particularité être souillée de sperme, de sang, de cyprine, et autres fluides et taches à chaque soir, mais pourtant, d’être propre comme un sous neuf le lendemain. Allongée sur ses bras et les genoux contre son ventre, elle lapait doucement le cuir de la botte rouge de Lust. Face à elle, à deux ou trois mètres, une terranide renarde, dans la même position que l’elfe, lapant une petite gamelle qui contenait un liquide blanchâtre et épais. Cette semence provenait de la démone assise sur la kitsune, masturbant son pénis pour se vider à nouveau ou prendre son esclave, maintenue dans cette position à l’aide de cordes et de compétences en bondage.

Arillë regardait ce spectacle tout en exécutant son ordre, caressant son entrejambe et sa poitrine, excitée par l’aphrodisiaque. Vers le haut de la cuissarde de Lust, Arillë était sur ses genoux, deux doigts dans son intimité, et caressant sa poitrine avec sa main libre. Les bottes de Lust étaient maintenant propres. L’elfe regarda doucement la femme aux cheveux rouge.

« Etes-vous satisfaite maîtresse ? »

Derrière le couple de femmes, résonnait des coups de fouets et des cris, une esclave était en train de recevoir une punition devant tout le monde, attachée face à un poteau. La jeune femme avait le corps zébré, et était fouetté par une autre jeune femme, visiblement sa sœur jumelle.

Lust

Dieu

Re : Le Démonia, boutique et centre de jeux [PV: Lust]

Réponse 5 lundi 23 septembre 2013, 17:37:33

Visiblement la petite elfe était captivée par cette terranide renarde qui se faisait saillir par une futanari, J'ai souri un peu en la voyant reluquer ces deux femmes. Alors comme ça elle aimait ce genre de choses hein ? Soit, je l'ai laissée terminer, regardant sa petite langue nettoyer le sol et ma botte. Visiblement ma petite chienne ressentait déjà les effets de l'aphrodisiaque, je pouvais la voir se caresser la poitrine et doigter son intimité. Mais ce n'était pas bien du tout.

"Êtes-vous satisfaite maîtresse ?"

"Non ! Pas du tout ! Quand t'ai-je ordonné de te toucher de la sorte petite catin ? Regarde toi ! Tu te donne du plaisir sans même penser au bonheur qu'aurait ta maîtresse à t'en donner elle-même ! Je t'interdis de te toucher sans mon autorisation !"

Je regardais la petite elfe sans sourire et en fronçant les sourcils, intérieurement en revanche je me délectais de la situation et je savais déjà ce que j'allai faire par la suite. J'ai levée ma jambe, celle qu'Arille venait de nettoyer pour aller poser mon pied juste au dessus de la poitrine de mon esclave. Je l'ai poussée pour qu'elle tombe en arrière et qu'elle se retrouve sur le dos tout en la regardant de haut. J'ai posé mon pied sur son intimité, comme une conquérante victorieuse et j'ai fais passer mon talon entre les chaines qui cachaient son intimité avant de la pénétrer avec. Je m'amusais à la piétiner de la sorte, faisant tourner mon talon en elle, le ressortant parfois pour mieux le ré-enfoncer.

"J'attends tes excuses petite ingrate ! Et n'oublie pas de me remercier pour ma patience et la bonne éducation que je te donne ! Aller !"

Laissant libre cours à mes penchants sadiques, je l'ai écouté tout en continuant à aller et venir en elle avec mon talon haut. Ce dernier était tout gluant, recouvert par la cyprine de ma petite chienne. Je mentirai si je disais que l'aphrodisiaque n'avait pas d'effets sur moi, il m'excitait et j'avais furieusement envie de la prendre, là, tout de suite, alors j’espérai qu'elle allait vite se faire pardonner afin que je puisse la baiser. L'elfe ne s'excusant pas assez fort à mon goût j'ai poursuivi :

"Ce ne sont pas des excuses acceptables petite pute ! Je veux que tout le club entende à quel point tu es désolée et à quel point tu regrette d'avoir déçue ta formidable maîtresse !"

Je l'ai regardé s’exécuter, avec un petit sourire. Elle était vraiment adorable quand elle voulait cette petite elfe. Bref, elle était pardonnée et moi j'avais envie de passer à des activités plus stimulantes. J'ai retiré mon talon de son intimité avant de me diriger vers sa tête. J'ai enfoncé mon talon-haut dans sa bouche avec un regard sévère et d'une voix ferme je lui ai dis :

"Comme d'habitude. Nettoie moi tes saletés petite trainée."

Une fois satisfaite de la qualité du nettoyage je me suis reculée un peu, regardant la scène avec une certaine délectation. Maintenant nous allions passer aux choses amusantes, d'après ce que j'avais compris la jeune femme aimait les queues, donc j'allai lui offrir la plus belle queue qu'elle n'avait jamais vue de toute sa vie. Une fermeture éclair au niveau de mon intimité me permettait de mettre mon sexe à l'air libre sans me dévêtir, je l'ai ouverte, dévoilant ma fente humide à mon esclave. Ma main droite s'est mise à luire d'une lumière rose et une sorte de phallus de 30 centimètres de long est sorti de mon entre-jambes. Une fois dehors, mon sexe mâle s'est recouvert de milliers de petites langues, augmentant considérablement son diamètre et sa lubrification, ainsi que le plaisir qu'il allait donner à ma petite chienne. J'ai posé mes poings sur mes hanches, bassin en avant et jambes en V, appelant mon esclave :

"Bien ! Maintenant ma petite elfe, maintenant que tu as compris ton erreur. Je vais te montrer pourquoi tes doigts de chienne sont inférieurs à mon membre de maîtresse. Une fois que tu y auras gouté tu ne pourras plus t'en passer petite salope. Je veux que tu le suce et que tes mains soit recouvertes de sa salive !"

~~ Ma fiche ~~ Mes RP ~~


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