Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]

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Fortune

« Arrêtes de mentir, j’ai juste promis de ne pas te violer devant ton mari en échange de ta coopération. Pour ce qui est du reste je veux bien épargner ce minable pour qu’il vive dans la honte de s’être fait piquer sa jolie femme par un démon qu’il avait été assez idiot pour arnaquer. Je compte bien t’emmener avec moi afin de te faire sortir de ton ignorance. Je veux faire de toi une vraie coquine qui finira par venir me provoquer en se frottant contre moi et qui sera heureuse d’avoir un démon attentionné comme amant. »

Le visage d’Élise se décompose à ces mots, et elle reste pétrifiée d'angoisse. C'est impossible, c'est injuste... elle ne peut pas partir avec lui... elle a son mari qui attend en haut, elle a... elle a tellement de choses à faire ici... il ne peut pas balayer tout ça, cet homme qu'elle ne connait même pas, simplement parce qu'il l'a décidé ?... et puis elle s'imagine être son esclave à jamais, devoir subir cette humiliation et ces douleurs encore et encore... ce doit être une erreur. Sa vie ne peut pas juste finir ainsi... quel est le sens de tout ça ?... Plutôt mourir après tout. S'il croit qu'elle va rester docile ! Elle se battra bec et ongles.

Elle s’apprête à lui envoyer son pied au visage, de toutes ses forces : elle sait que derrière elle se trouve une chaise, à moins de deux mètres... si elle est assez rapide pour s'en saisir, qui sait... elle a des doutes sur l’efficacité de la moindre attaque qu'elle pourrait porter, mais elle n'a pas d'autre choix. Le cœur battant, en quasi-apnée, elle le fixe, le vise, répète le mouvement dans son esprit, encore et encore, sans passer à l'action. La montée du pied, le talon dans son nez... elle doit être vive et précise...

Il lui caresse le derrière et lui administre une claque : c'est le moment, sa garde est baissée, la voie est libre. Élise est pétrifiée. Et c'est trop tard pour le coup de pied, maintenant qu'il est sur le dos. Elle pourrait viser directement les testicules ? Elle n'ose pas. Il va se mettre en rage à coup sûr, il va la torturer, la tuer... mais tant pis, elle doit le faire. Dans un mouvement qui pourrait passer pour une tentative de reprendre son équilibre avant de se lever, elle commence à armer son pied gauche...

« Je vois que tu n’as pas l’air très motivée à respecter ta part du marché, viens me chevaucher ma petite esclave et saches que si tu y mets vraiment du tiens durant les mois qu’on passera ensemble, je pourrais avoir la bonté de te laisser rentrer chez toi après six mois. »

La rebelle se ravise - il faut dire qu'elle ne se sentait pas très vaillante à l'idée de se battre contre ce monstre. Six mois ?... Est-ce que c'est un nouveau mensonge ? Elle rabaisse sa jambe. Six mois... elle pense à son mari, et les larmes lui montent à nouveau aux yeux. Elle n'a pas le choix... six mois, c'est bien peu comparé à ce qui lui reste à vivre si elle coopère... elle se redresse péniblement sur ses genoux, et s'approche à quatre pattes du démon qui se prélasse sur le dos. Elle l'enjambe sans le regarder et saisit d'une main son large sexe, qu'elle guide jusqu'à l'entrée de sa caverne. Celle-ci s'est à nouveau humidifiée son l'action des coups de langues reçus les minutes précédentes, et cette fois la pénétration s'effectue sans mal. Réprimant une grimace, elle s'assoit lentement sur la verge, jusqu'à ce que celle-ci atteigne le fond de son intimité, et elle commence à faire aller et venir son bassin, les mains posées sur les pectoraux du chevalier pour se maintenir en équilibre ; elle effectue la corvée qu'elle aura à effectuer pendant six mois.

Six mois. Six mois ou plus... cette pensée la sape, et le découragement l'emplit comme l'eau dans un bateau en plein naufrage : elle se met à pleurer , silencieusement, tandis qu'elle continue sa besogne avec docilité, seuls ses brefs reniflements se faisant entendre. Elle n'adresse pas un regard à son nouveau maitre, et finit même par fermer les yeux. Elle bat la cadence à un rythme soutenu, espérant ainsi qu'il jouisse plus rapidement. Dès que les allées et venues de ce large membre sur ses muqueuses commencent à lui donner un plaisir malvenu, elle modifie l'inclinaison de ses hanches, tentant de rester dans une indifférence relative pendant qu'elle accompli sa tâche. Encore un effort Élise, soulage le, tu seras tranquille jusqu'à la prochaine fois...

La réaction terrifiée de la blonde quand il lui annonça qu’elle allait être sa captive et putain pour au moins une demi-année amusa le démon, la pauvre Elise semblait paralysée par la peur de devenir sa soumise et de ne plus revoir son mari pendant un moment. Kabraxis vit qu’elle le regardait avec colère, allait-elle oser se révolter même si elle n’avait aucune chance de remporter un combat contre lui.

La deuxième phrase paru la calmer et lui redonner un peu d’espoir car elle se redressa et s’approcha de son nouveau maître à quatre pattes comme une tigresse faisant balloter ses jolis seins à chaque pas, qu’elle pouvait être belle en ce moment. S’armant de courage la donzelle vint lentement s’assoir sur sa puissante verge fièrement dressée, s’empalant sur le démon qui eut un grand sourire victorieux. Il avait su la mater en passant une sorte de contrat de domination avec elle, la petite pouliche humaine avait donc accepté de le servir car elle avait envie qu’il l’épargne et finissent par la laisser retourner auprès de son cocu de marchand.

Le dominateur fut toutefois un peu frustré qu’elle évite de le regarder apparemment gênée d’avoir à se comporter comme une trainée devant le vainqueur pour survivre, il saurait bien s’y prendre pour lui enlever ce petit air farouche mais d’une autre côté il était agréable de dompter une femme en colère. De la voir céder et gentiment se résigner à lui obéir de crainte d’être punie était un spectacle délicieux pour un monstre comme lui. Joueur il décida de la taquiner un peu avec des mots salaces.

« Tu vois ce n’étais pas si difficile, soit une bonne fille et tout se passera pour le mieux. Tu verras comme les démons ont une endurance et un talent exceptionnel au lit, regardes-moi dans les yeux quand je te baise. Je veux que tu sois chaude et fougueuse comme une pouliche en chaleur qui va se faire saillir pendant des heures jusqu’à ce qu’elle soit en sueur avec la croupe couverte de foutre ! »

Sur ces bonnes paroles le démon posa ses mains du les hanches de la jeune esclave afin de l’encourager à remuer des hanches pour l’affronter dans un torride corps à corps qui ne serait pas vite terminé comme la blonde le croyait. Coquin le démon commença à donner de petits coups de reins à la femelle qu’il venait de soumettre, Elise allait devoir se débarrasser de toute sa pudeur pour pleinement le satisfaire et il se réjouissait déjà de la rendre salope à souhait. Il avait déjà en tête un joli programme pour que cette femme au foyer prude mais docile finisse par prendre beaucoup de plaisir à devenir sa petite chienne personnelle, Fortune ne le réalisait pas encore mais sa vie allait changer depuis qu’elle avait eu la chance de rencontrer un vrai mâle qui saurait lui faire oublier son petit mari qui ne saurait rivaliser avec lui en matière de luxure et de perversion.

« Je te promets qu’avec moi tu vas découvrir le monde et des tas de choses dont tu n’aurais jamais pu rêver, tu dormiras dans des draps de soie et tu seras choyée comme une princesse. Chaque nuit sera un vrai fantasme éveillé pour la petite campagnarde que tu es et lorsque tu retrouveras ton mari, il sera surement ravis de la femme sensuelle et intelligente que tu seras devenue. »

Content de lui le démon savourait l’étroitesse de la petite chatte humide d’Elise qui semblait déjà bien moins se plaindre d’être empalée sur un beau diable monté comme un âne, il avait visiblement sut l’exciter en la léchouillant et sans doute que Madame Landevin aimait plus ce genre de cochonneries qu’elle ne voulait l’admettre devant lui.

Fortune

« Tu vois ce n’étais pas si difficile, soit une bonne fille et tout se passera pour le mieux. Tu verras comme les démons ont une endurance et un talent exceptionnel au lit, regardes-moi dans les yeux quand je te baise. Je veux que tu sois chaude et fougueuse comme une pouliche en chaleur qui va se faire saillir pendant des heures jusqu’à ce qu’elle soit en sueur avec la croupe couverte de foutre ! »

Elle obéit, et plonge ses yeux - des yeux rouges et larmoyants - dans ceux du démon. Son regard la transperce et la salit, ces deux yeux jaunes qui ornent un visage au sourire prédateur... Elle ne peut s'empêcher de ciller, malgré sa volonté de suivre scrupuleusement les ordres de son nouveau maitre, mais ne tarde pas à revenir à ces iris à la couleur surnaturelle.

Le démon se met à bouger de lui même, retirant le contrôle de la situation à son esclave ; celle-ci, continue à sauter sur son sexe tendu à un rythme soutenu ; ces coups de reins doivent signifier que l'excitation du mâle gagne en intensité, autant en finir le plus vite possible. Elle s'empale donc de plus belle sur sa verge, sans lâcher ses prunelles délavées du regard tandis que le bas de leurs corps se tamponnent à un rythme crescendo.

« Je te promets qu’avec moi tu vas découvrir le monde et des tas de choses dont tu n’aurais jamais pu rêver, tu dormiras dans des draps de soie et tu seras choyée comme une princesse. Chaque nuit sera un vrai fantasme éveillé pour la petite campagnarde que tu es et lorsque tu retrouveras ton mari, il sera surement ravis de la femme sensuelle et intelligente que tu seras devenue. »


S'il croit pouvoir l'amadouer ainsi il se trompe. Comme si un quelconque luxe pouvait racheter les douleurs et les humiliations qu'il lui avait fait subir, à elle et à son mari. Elle prête à peine attention à son discourt, décidée à ne pas se laisser manipuler. Pour l'heure elle est concentrée sur la fornication, dans laquelle elle met toute son énergie. Elle agite le bassin avec tact et conviction, sans jamais s'arrêter, pour satisfaire le démon du mieux qu'elle peut. Il faut en finir...

Mais malgré ses efforts le monstre ne semble pas vouloir relâcher sa semence : alors elle persévère encore, pendant plusieurs minutes, dans un état proche de la rage. Pourquoi est-ce qu'il ne jouit pas ?... Sa chevauchée furieuse fait naitre dans son bas ventre de douces sensations qu'elle préfère ignorer. Elle grimace, elle sert les dents, elle s’essouffle à coulisser frénétiquement sur cet énorme sexe, grognant parfois lorsqu'elle s'énerve, désespérée de le sentir toujours aussi inébranlable en elle. Quand va-t-il se décider à cracher, bon sang ?

Le visage de la blonde, écarlate, perlé de sueur, est penché en direction de la poitrine du chevalier. Le regard dans le vague, comme un coureur qui oublierait le monde autour de lui, obnubilé par sa propre respiration, elle se concentre sur son partenaire, sur ses mouvement, sur son souffle et ses râles. Elle a conscience de participer à un jeu d’endurance, où le premier à laisser son plaisir exploser sera perdant... et il est inacceptable qu'elle lui abandonne la victoire. Plutôt mourir que se laisser aller à l'extase, les cuisses écartées sur lui.

Elle ne connait qu'une seule manière d'amener le démon à la jouissance plus rapidement, et bien que l'idée la répugne profondément, elle s'y soumet finalement : se cambrant sur lui, comme soudain emportée par son plaisir, elle plante ses ongles dans les pectoraux de la brute et laisse les gémissements qu'elle retenait jusqu'à présent retentir dans la pièce, les accentuant même afin de simuler un orgasme imminent.

Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]

Réponse 33 vendredi 06 septembre 2013, 11:23:35

Sentir le regard larmoyant de la blonde posé sur lui tandis qu’elle le chevauchait avec fouge était une belle victoire pour le prince démon qui se délectait de la honte et de la gêne de la donzelle. Humilier et pervertir une douce femme au foyer pour en faire une grosse cochonne était toujours de plus plaisant, lui ne s’en laissait pas de montrer aux femelle inférieures qu’elles étaient des proies et de vulgaires jouets devant ramper à ses pieds. Il voulait lui montrer ce qu’était un vrai mâle qui lui donnerait bien plus de plaisir que son tocard de mari.

La petite humaine semblait motivée à l’affronter dans une fougueuse cavalcade pour le faire jouir rapidement afin de ne plus souffrir l’outrage de le sentir planté en elle, dans sa fierté de nunuche elle s’imaginait sans doute trop bien pour lui alors qu’elle ne lui arrivait pas à la cheville en tous. Son énergie était cependant agréable et Elise savait bien jouer des fesses pour une humaine, sous ses air de bourgeoise effarouchée elle n’était pas si prude que ça et faisait de gros efforts pour satisfaire son nouveau maître. Tout cela promettait pour les longs mois de débauche qu’ils allaient passer ensemble à forniquer au coin du feu.

Elise était trop ignorante pour devenir une de ses complices mais elle ferait une soumise convenable, la rage qu’elle mettait à le monter lui plaisait beaucoup mais si elle s’imaginait pouvoir réussir à le faire jouir avant elle, la pauvre rêvait. Il était un démon pouvant se retenir de jouir pendant une heure s’il le voulait et elle était loin d’être une succube perverse à l’extrême au point de le pousser à se rependre en elle après seulement une dizaine de minutes de luxure.

« Qu’est-ce qui t’arrives ma jolie ? Tu es surprise que je ne jouisse pas rapidement comme un vulgaire humain ? Je ne pense pas que tu puisses te mesurer à moi à ce jeux là mais ça ne fait rien j’aime quand une fille me supplie de la remplir héhé.»


Lorsque la blonde se cambra et se mit à se laisser aller à hurler son plaisir le démon lui donna quelques tapes sur les fesses, il voulait l’amener à se vautrer dans la débauche au point de perdre la tête à force de se faire si bien empalé par un démon monté comme un étalon. Sa petite chatte serrée d’humaine était désormais inondée de mouille et Fortune était en sueur alors que lui avait à peine transpiré, chez les démons ce qu’il venait de faire n’était qu’un petit échauffement précédent des heures de sexe brutal et violent.

« C’est bien ma belle, jouis comme une folle ! Dis-le combien tu aimes ça te faire tringler par un vrai mâle ! »

Lui lança-t-il entre deux coups de reins pour la provoquer, la coquine humaine allait pouvoir prendre son pied avec lui et oublierait vite son mari, du moins il l’espérait car il adorait avoir des soumises qui le vénérait. Il n’y avait rien de plus beau qu’une chienne qui venait se frotter contre sa jambe en le suppliant de la trousser …

Fortune

Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]

Réponse 34 vendredi 06 septembre 2013, 13:44:28

« Qu’est-ce qui t’arrive ma jolie ? Tu es surprise que je ne jouisse pas rapidement comme un vulgaire humain ? Je ne pense pas que tu puisses te mesurer à moi à ce jeux là mais ça ne fait rien j’aime quand une fille me supplie de la remplir héhé.»

Ses gémissements voluptueux s'éteignent, laissant place à une respiration paniquée. Ça ne fonctionne pas... elle ne peut pas gagner. Ce sexe reste en elle, imperturbable, et son propriétaire semble capable de rester stoïque aussi longtemps qu'il le souhaite : il continue à la narguer, il se délecte visiblement de la situation mais ne perd pas une seule seconde la maitrise de lui-même, la poinçonnant toujours avec froideur. Il s'amuse, alors qu'elle... elle lutte, empalée sur son mât, pour ne pas s'abandonner. Mais plus le claquement de leurs bassins agresse ses muqueuses, plus son esprit cède du terrain, se laissant dévorer par les sensations qui l'assaillent avec de plus en plus de férocité. Bientôt toute pensée logique disparait : elle n'a plus conscience que de son corps, son corps engourdi par l'effort et les coups, son corps transpercé par la lance du chevalier et prêt à succomber.

Il lui administre une claque sur le derrière, et elle pousse un petit cri de surprise. Ses fesses rebondies sont déjà douloureuses d'avoir été battues sauvagement, et leur couleur rouge commence à tirer sur le violet par endroit, laissant sur son corps pâle et soyeux, et maintenant luisant de sueur, une marque étrange et quelque peu disgracieuse pour qui observerait la scène de derrière.

« C’est bien ma belle, jouis comme une folle ! Dis-le combien tu aimes ça te faire tringler par un vrai mâle ! »


Non, elle ne veut pas dire ça... ce n'est pas elle qui aime, c'est... quelque chose en elle. Mais les ordres sont les ordres : quoi qu'il décide, elle doit s'y plier.

« J'adore ... me ... faire tringler... »

Chaque mot met plusieurs secondes à franchir le seuil de ses lèvres écarlates. La gorge serrée par la honte, elle continue à réciter sa tirade obscène entrecoupée de souffles rauques. Me faire tringler... par un vrai mâle... oh non, Ozelius... je suis désolée, ça n'est pas vrai !...

« ...par un vrai... mâle... »

Soudain, elle le sent monter en elle, ce délice crescendo qui finit toujours par...

« N-non !... N-aaah »

Elle colle son front contre la poitrine du démon et cesse de bouger, la dos vouté et les seins remuant au rythme de sa respiration effrénée, tentant de contenir cette vague qui menace de tout submerger. Le monstre continue à bouger en elle, immense, ferme, inflexible. Il s'impose, impitoyable et régulier, au fond de son intimité. Une fois, deux fois...

« N-aaah...aaah... AAh !! »

Cette fois c'est elle qui tamponne ses lèvres gluantes contre la garde du sexe de Kabraxis dans des assauts désespérés, se redressant sur lui pour onduler sauvagement des hanches autour de son pieu, la bouche grande ouverte, les yeux fermés et les sourcils distordus par cette extase forcée. Son vagin se tord, tout son corps se tord, il lui semble que chaque parcelle de son être jouit à l'unisson avec sa grotte. Est-ce que c'est ses cris qu'elle distingue, dans le tonnerre qui entoure sa tête et résonne à ses oreilles ? Elle s'en fiche, car pendant une poignée de secondes, plus rien n'a d'importance. Elle n'est plus rien qu'un corps, un corps qui hurle de bonheur.

Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]

Réponse 35 vendredi 06 septembre 2013, 15:54:08

La vicieuse demoiselle avait apparemment simulé son plaisir pour faire jouir le démon mais cela n’avait pas marché simplement car il n’avait pas envie de jouir si rapidement en elle. Elise n’était plus qu’une vulgaire captive, une esclave qui allait devoir mériter l’honneur qui lui ferait en lui retapissant le ventre ou le visage de sperme chaud et crémeux. Peut-être même qu’il jouirait dans ses fesses après l’avoir bien sodomisée pour la mater et bien lui montrer qui était le véritable maître.

Affronter la blonde dans un torride corps à corps était très agréable, d’autant que le démon était certain de l’emporter contre une simple pouliche humaine, il appartenait à une race supérieure connue pour ses talents exceptionnels en matière de sexe et de débauche. Fortune n’avait jamais eu la moindre chance de remporter une partie de jambes en l’air contre un démon et commençait à réaliser qu’elle n’avait fait que précipiter sa propre défaite. Elle allait finir pas jouir à force de s’empaler sur un membre imposant ayant déjà fait crier de plaisir des milliers de femmes. Il y avait de quoi lui lancer de petites remarques salaces car il allait bientôt la vaincre …

La blonde cria d’une voix saccadée par le plaisir la femme lui obéit en disant qu’elle adorait se faire tringler par un vrai mal, ce qui marquerait définitivement sa défaite et sa soumission au démon lubrique d’autant plus qu’elle finit par s’arrêter et eut un orgasme peu après l’avoir dit ce qui rendait la phrase d’autant plus vraie. Kabraxis savourait sa victoire, c’était facile mais en même temps tellement beau de transformer de prude donzelles en chienne en chaleur, salopes et persuadées que sa virilité était la 8eme merveille du monde.

La jouissance de la bourgeoise fut splendide à observer, cette dernière cria non et tenta de se contrôler mais le plaisir qu’il lui procurait en la besognant était trop fort et elle finit par exploser en rugissant de plaisir comme une tigresse en rut. C’était tellement beau qu’on aurait presque pu en faire un film d’éducation sexuel pour les jeunes démons. Satisfait le démon lui lança sur le même air moqueur tout en ricanant.

« Alors on dirait que tu as vraiment aimé ma pouliche, ça n’était pas si terrible que ça et ce n’est que le début, je n’ai pas encore goûté à ton joli cul huhuhu ! »

Le démon adorait ces moment où il avait le pouvoir sur ses jeunes esclaves rebelles et chaudes qui s’effondrait vaincues à ses pieds, soumises et comblées de s’être fait remplir par un amant expert et endurant capables de forniquer pendant des heures s’en s’arrêter. Il y avait un délicieux paradoxe à atteindre le septième ciel en se faisait tringler durement par un démon, la faute à ces éternels puceaux d’anges qui n’avait jamais su comment satisfaire les femmes !

Heureux le démon resta un long moment planté entre les cuisses de sa soumise avant de lui ordonner de venir lui faire une branlette espagnole avec ses jolis seins blanc, il voulait tester son degré de perversion et d’obéissance, la dévisageant comme un homme évalue la jument qu’il vient d’acheter au marché.

Fortune

Élise s'effondre, vidée de ses forces, collant son front luisant de sueur contre l'épaule du démon ; un instant, elle oublie avec et sur qui elle se trouve. Elle reprend aussitôt ses esprit et se redresse vivement, voulant s'éloigner le plus possible de cet être répugnant. Ce salaud... comme si la prendre pour son propre plaisir ne lui avait pas suffit, il a en plus fallu qu'il s'acharne à lui en donner, à elle. Et elle... elle vient de jouir en s'empalant elle même sur sa verge.

« Alors on dirait que tu as vraiment aimé ma pouliche, ça n’était pas si terrible que ça et ce n’est que le début, je n’ai pas encore goûté à ton joli cul huhuhu ! »

Par tous les dieux, faites qu'il se taise... Ses paroles sont presque pires que ses actes ; jamais de sa vie elle n'a rencontré d'homme si vulgaire, dont les propos la salissent à ce point. Et dire que c'est sur lui qu'elle s'est tordue d'extase à l'instant... La honte l'étreint de son gant de fer, et elle ferme les yeux en baissant la tête, reprenant à contre-cœur ses mouvements de bassin ; ça n'est pas fini, elle doit encore le satisfaire.

Il l'arrête pourtant, lui ordonnant de le masturber à l'aide de ses seins... une idée étonnante, mais qui en vaut bien une autre, après tout. Ce monstre a déjà montré qu'il est capable de pire. Sans un mot, elle se relève et vient s'étendre sans enthousiasme entre les cuisses de son maitre, prenant appuie sur les coudes de part et d'autres de ses hanches, et forçant sa poitrine à se resserrer autour du membre en érection à l'aide de ses mains. Celui-ci est encore dégoulinant de cyprine et glisse sans difficulté; du moins au début, entre ses deux globes de chair. Elle effectue sa tâche sans jeter un regard à Kabraxis, dont elle redoute plus que jamais le regard malsain et le sourire suffisant. Il va encore l'insulter, la rabaisser, lui démontrer de sa langue de vipère qu'elle n'est qu'une trainée... mais c'est injuste... tout ça n'est pas arrivé par sa faute... elle n'a fait que ce qu'elle devait... comment aurait-elle du agir ?... elle n'aurait pas du prendre ce plaisir coupable... est-ce que sa nature est viciée ? C'est injuste... elle voulait seulement être une bonne épouse...

*Tchic tchic tchic*... la bite entre ses seins produit un petit bruit humide et régulier tandis qu'elle s'en occupe avec répugnance.

Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]

Réponse 37 dimanche 08 septembre 2013, 16:28:00

La gêne et la honte qu’il avait provoquée chez sa nouvelle soumise étaient agréables à regarder, elle semblait déjà s’en vouloir d’avoir pris du plaisir à chevaucher le démon comme une délurée ayant rendu son mari cocu. La pauvre humaine n’osait plus le regarder de peur qu’il se moque d’elle mais lui n’avait pas envie de l’humilier davantage alors qu’elle avait fait de son mieux pour obéir à son ravisseur en s’empalant fougueusement sur sa trique.

Fortune semblait avoir abandonné l’envie de lu résistait et se résignait à subir son sort en devenant son esclave pour au moins une demi-année. Elle vient se glisser entre ses cuisses en ne cachant pas le fait qu’elle était humilié d’avoir connu l’extase en se faisant violer par un démon pervers et bien monté. Kabraxis aimait entendre le doux bruit obscène de sa verge frottant contre la jolie poitrine de la blonde. La situation était plaisant et il pouvait la voir baisser la tête de honte tandis qu’elle le caressait avec ses seins, sans doute qu’elle redoutait ce qu’il allait encore lui dire ou lui faire subir, elle n’était plus qu’un jouet sexuel à la merci d’un monstre de luxure après tout.

« Hum tu es mignonne quand tu fais ça, ça mérite une petite récompense. Je vais soigner tes fesses en feu. »

Le démon posa sa main sur l'épaule de la jeune femme et utilisa sa magie curative pour faire disparaitre les bleus et la douleur qu’il lui avait infligée en lui collant une belle fessée. Elsie devait sentir de doux picotement agréable sur ses fesses. Le seigneur des enfers caressait doucement les cheveux de la donzelle, il l’avait vaincue et ne désirait pas l’enfoncer davantage, désormais il allait s’employer à lui donner un plaisir coupable en s’occupant bien d’elle et en se montrant joueur et câlin, aucune femme ne résistait longtemps à cela.

Pour l’instant la bourgeoise semblait encore réticente et n’avait pas envie de se laisser aller à batifoler franchement avec un démon mais cela viendrait avec le temps et Fortune réaliserait vite que sa captivité serait douce et qu’elle aurait meilleurs temps d’en profiter pour devenir une femme plus épanouie que la petite épouse bêcheuse d’un marchand minable. Le démon avec déjà prévu de lui faire découvrir des jeux obscènes notamment des plan à trois avec Carmellia, sa principale maitresse du moment. Ce tocard de Landevin ne reconnaitrait plus sa femme quand il la reverrait car il allait faire sauter ses tabous un à un pour la rendre salope à souhait, jusqu'à ce qu'elle se trémousse comme une chienne devant lui en le suppliant de la tringler comme une bête …

 Peut être même qu'il irait en enfer montrer son nouveau trophée à d'autre démons et qu'il la trousserait devant un public démoniaque, c'était assez courant là-bas de profiter de ses esclaves devant tout le monde pour montrer sa puissance.
« Modifié: samedi 14 septembre 2013, 13:01:25 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

« Hum tu es mignonne quand tu fais ça, ça mérite une petite récompense. Je vais soigner tes fesses en feu. »

Le démon pose la main sur son épaule, et Élise sent soudain comme si "quelque chose" parcourait son corps. Quelque chose de bienfaisant... Un doux picotement nait sous la peau de ses fesses, et sa douleur disparait peu à peu... c'est ensuite au tour de sa cuisse, et de son intimité ; les tiraillements sourds, les brulures, les raideurs... tout ça disparait, laissant ses chairs apaisées, comme si elle n'avait jamais été brutalisée... Salaud de démon... il veut encore se faire passer pour un ami... Elle n'a pas pu s'empêcher de savourer cette caresse provoquée par le sortilège du chevalier, et maintenant qu'elle est soignée de ses blessures... elle se sent plus à même se supporter la suite. Salaud...

Elle est toujours en position humiliante, forcée d'effectuer un acte dégradant, mais au moins elle n'a plus mal, et tout devient plus facile à accepter. Elle ferme les yeux ; elle pourrait presque oublier sa condition : où elle est, ce qu'elle fait... mais une odeur de sueur et de sexe d'homme mélangée à celle de sa propre intimité lui monte sans cesse aux narines. Pourtant, habituellement elle aime cette odeur... C'est l'odeur de l'amour, de la copulation, des soirées de passion qu'elle finit en s'endormant dans les bras de son mari... mais à cet instant, c'est pire que tout. Aussi écœurant que le serait du sucre dans un mauvais plat de légumes. C'est bon, respire par la bouche... oublie l'instant présent... pourvu qu'il finisse par jouir....

*Tchic tchic tchic*

Le démon savourait sa victoire sur cette donzelle humaine nue et humiliée qui lui faisait un beau massage avec sa belle poitrine d’esclave. Cette petite femme au foyer était décidément agréable quand elle le voulait et il aimait voir la honte sur son beau visage, surement qu’elle était surprise qu’il l’ait soignée pour l’amadouer ce qui devait encore augmenter sa gêne. Elise finirait bien par céder et prendre goût au fait d’être devenue la soumise d’un démon séduisant, doué pour la faire crier et la faire se sentir bien entre ses bras. Il aimait la belle vu qu’il avait sur les seins de la blonde qui produisait toujours le même doux bruit de frottement lubrique.

Fortune faisait visiblement des efforts pour être docile afin que son maître l’épargne car elle avait pu voir ce combien ça faisait du bien de s’empaler sur lui comme une délurée. Elle devait se sentir chienne et salope en ce moment à moins qu’elle ne rejette la faute sur le salaud qui la forçait à calmer ses ardeurs … Elle finirait par céder à luxure car les démons était trop doués pour soumettre les filles à la tentation. Même les plus prudes demoiselles devenaient des catins à force de devoir réchauffer la couche d’un prince démon.

« C’est bien ma douce, je m’en vais te culbuter et te remplir comme la belle coquine que tu es. »

Joueur le démon pelota sa partenaire puis il la poussa tranquillement en arrière pour l’allonger sur le dos et lui écarta largement les cuisses pour la pénétrer en missionnaire. Sentir la douceur de ses cuisses et de son intimité était très agréable et Kabraxis avait la ferme intention de profiter encore une bonne dizaine de minute de cette bourgeoise vaincue et soumise avant de lui faire cadeau de sa semence, cette dinde mariée était à lui désormais et elle allait passer des nuits bien longues à le satisfaire …

Cette jolie blonde ferait un beau trophée pour un monstre de son espèce, une esclave en laisse dont il pourrait se venter auprès de ses amis tandis qu'elle lui sucerait la trique en publique avant qu'il ne l'échange avec une autre jolie esclave appartenant à un autre seigneur des enfers le temps d'une nuit. Cela permettrait sans doute à cette pymbéche coincée de voir qu'il y avait pire que lui en matière de jeu lubrique et elle n'en apprécierait que davantage son maitre.

Fortune

La douleur est partie, mais la fatigue et la honte sont toujours là. Elle fait des efforts pour rester aussi indifférente qu'elle peut, mais la chose est difficile, allongée nue sur le sol, un pénis moite glissant entre les seins. Ce sexe qui semble vouloir rester impassible malgré tous ses efforts. Plus qu'une torture, ce viol devient un labeur...

« C’est bien ma douce, je m’en vais te culbuter et te remplir comme la belle coquine que tu es. »

Enfin... tout ça allait prendre fin... pour un temps. Lorsqu'il pose ses mains sur ses formes, elle arrête se mouvements pour lui laisser en profiter comme bon lui semble. Obéissante et docile... c'est exactement ce qu'il attend d'elle après tout. Elle se laisse tomber mollement sur le dos ; le démon lui écarte les cuisses. Le souvenir de la pénétration précédente lui fait serrer les dents par anticipation : cette fois pourtant, l'imposante verge glisse en elle sans difficulté : le sortilège de Kabraxis a soigné les dommages causés par son passage précédent, et c'est dans une scandaleuse volupté que ses petites lèvres s'écartent sous la pression de son gland. Comme si son intimité se souvenait du passage du démon elle et de l'orgasme tonitruant qui s'en était suivi, chaque mouvement lui procure un plaisir immédiat, bien plus grand qu'elle n'aurait pu l'imaginer alors qu'il la plaquait pour la première fois contre la table de la cuisine. Elle ferme les yeux, elle ne veux pas y penser... mais comment ne pas y penser, alors
que tout son corps le réclame avidement ? Elle agite la tête, ses mord la lèvre, en proie à son schisme intérieur. Elle resiste du mieux qu'elle peut, mais les minutes passent et le mâle continue de remuer vigoureusement en elle. Cette fois encore, peut à peu, elle cède du terrain, finissant par même par désirer que se moment se prolonge encore, jusqu'à ce que qu'il lui fasse rendre totalement les armes.

"Hm...n...uhh"


L'obscénité de ses propres grognements l'offusque ; Tais-toi ! Ne lui fais pas ce plaisir... Et pourtant une partie d'elle même n'espère qu'une seule chose : qu'il la baise avec plus d'ardeur encore. Son visage, de toute façon, parle pour elle, de sa bouche grande ouverte à ses sourcils suppliants, et sa poitrine luisante de sueur se soulevant sous les coups de sa respiration fiévreuse ne fait que confirmer l'évidence. Ses deux mains agrippent déséspérement le tapis sur lequel elle est allongée, tandis que son bassin, déjà, refuse d'obéir à la voix de la raison et se redresse dans une position indécente, pour que le monstre la labourre plus aisément, pour que son organe atteigne les zones les plus sensibles, celles là même qui font tant de bien et poussent la blonde à se renier encore, l'espace de quelques instants, juste pour connaitre une seconde fois l'extase.

La vitesse régulière des grands coups de de reins du démon ne faisait que démontrer la facilité avec laquelle Kabraxis défonçait sa proie, se logeant au plus profond de sa petite chatte à chaque coup de butoir. Car c’est ce qu’ils étaient, de véritables coups de butoirs et le diable sentait la belle blonde se cambrer à chaque fois qu’il tapait le fond de son antre étroit et humide comme si elle en réclamait toujours plus. Elle avait rendu les armes et s’était faite à l’idée de n’être plus qu’une femelle en chaleur recevant sa dose de sexe qu’elle réclamait en gémissant.

Fortune avait cédée à la luxure, on pouvait le voir à son visage ravagée par le plaisir, à ses jolis seins balloté par les assauts et surtout au fait que son inimitée était bien trempée au point qu’il pouvait y aller franchement sans lui faire de mal, la blonde se montrait réceptive au plaisir intense qu’il lui offrait et soulevait son bassin pour faciliter la tâche à son ravisseur qui se réjouissait grandement de la voir si offerte. La donzelle semblait avoir bien vite oublié qu’il la prenait contre son gré après avoir tabassé son mari tellement que ce démon lubrique lui faisant du bien, son tocard de mari ne l’avait surement jamais prise ainsi. Kabraxis faisait des efforts pour ne pas jouir trop vite en elle afin de lui offrir de longues minutes de pure débauche ou elle se réjouirait de n’être plus qu’un objet de vice, une petite chienne soumise à son nouveau maître qui lui procurait de délicieuse sensation de bien-être.

« Han ça fait du bien, laisses-toi aller ma jolie, n’aies pas peur de crier et d’en redemander ! »

Lança-t-il fièrement en souriant de manière coquine à la femme qui couinait et se trémoussait de plaisir sous lui, voir une humaine nue perdre la tête sous ses fougueuses assauts et lui réclamer à cran crier de continuer de lui faire la bête à deux dos pendant une demi-heure heure sans s’arrêter était un des plus grand plaisir dont il pouvait profiter. Après plusieurs mois dans son lit à subir ses fantasmes. Elise ne serait plus qu’une chaude délurée totalement dévoué à son maitre et prête à tous accepté pourvu qu’il continuer d’encore la baiser.

C’était normal car après tout elle n’était qu’elle petite mortelle ne pouvant jamais ne serait-ce qu’espérer un jour rivaliser avec un démon millénaire au lit ou ailleurs. Il était désormais son maitre et la bourgeoise rejoindrait son cheptel d’esclaves soumises à ses envies lubriques, chaque nuit renforcerait le côté coquin de la jeune femme jusqu’à ce qu’elle ne soit plus qu’une cochonne ravie de devoir lécher les fesses tachées de sperme d’une succube se moquant d’elle pour faire plaisir à son dominateur démoniaque … Quel beau spectacle cela allait être quand il l’aurait ramené à sa demeure des enfers …

Fortune

Les coups de reins du démons retentissent dans la pièce dans un bruit de claquement moite et régulier auquel se mêlent les soupirs rauques de Mme Landevin. Pourquoi est-ce que son corps s'enflamme ainsi ? Alors qu'elle le hait de tout son cœur, elle ne désir rien de plus que de sentir encore ce monstre s'insinuer en elle. Pourquoi est-ce si bon ?... Elle gémit sans retenue à présent : elle l'appelle de ses cris, en quelque sorte, pour qu'il la prenne encore, que leur sexes s'étreignent avec toujours plus d'ardeur.

« Han ça fait du bien, laisses-toi aller ma jolie, n’aies pas peur de crier et d’en redemander ! »

Les paroles du démon ont un arrière goût désagréable pour sa soumise, lui rappelant qu'elle est en train, finalement, d'abandonner et de lui donner raison... mais il est trop tard pour que cela change quoi que ce soit. Pendant ces dernières secondes, elle est prête à accepter n'importe quoi, pourvu qu'il lui offre enfin la jouissance qu'elle avait mis tant d'énergie à esquiver il y a quelques minutes. Elle continue à geindre de plaisir, fichée sur sa hampe, tout son corps tendu vers l'orgasme à venir.

Et enfin, une décharge de plaisir délirant s'empare d'elle pour la seconde fois, et son corps de cambre avec violence, au point que sa tête heurte le tapis dans un bruit sourd : elle resserre les cuisse autour des hanches du mâle, comme si elle cherchait à le broyer, comme s'il la brûlait. Pendant plusieurs secondes, elle reste ainsi, ses belles fesses rondes décollées du sol, le moindre muscle tendu, immobile à l’exception des tremblements et des spasmes qui l'agitent toute entière, sans qu'aucun son ne sorte de sa bouche.

Puis, comme si le courant qui la traversait s'atténuait, elle retombe en poussant un long râle de félicité et de soulagement mêlés. Les paupières mi closes, des mèches blondes collées sur son visage délicat de jeune bourgeoise trop protégée, elle tente de reprendre son souffle ; sa poitrine et son ventre harmonieux se soulèvent maintenant dans une ondulation irrégulière, qui se fait de plus en plus lente, décroissant à mesure que les battements de son cœur se calment eux aussi.

Deuxième retour à la réalité, deuxième moment de honte et de dégoût envers elle-même : Élise garde les yeux fermés. Elle sait que lorsqu'elle les ouvrira, ce sera pour voir son violeur la dévisager avec un sourire narquois. Le sourire du vainqueur qui aime faire sentir sa supériorité à ses victimes, et leur rappeler à chaque instant combien il est plus fort. Et aujourd'hui, la victime c'est elle.

Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]

Réponse 43 mercredi 18 septembre 2013, 09:02:26

Le démon amusé continuait de défoncer copieusement l’intimité de la jeune femme malgré le fait qu’il l’avait déjà vu jouir, il n’avait pas encore terminé mais ça n’allait plus tarder au rythme ou il se sentait durcir en elle. La main du diable vint masser le bas ventre la jeune femme avant de s’attaquer à ses lèvres intime, appuyant dessus tout en bougeant plus lentement pour la faire encore couiner et soupirer de plaisir. Sa grosse queue bien chaude dans l’entrejambe de la blonde devait procurer de belles sensation à la donzelle, peu habituée à du calibre démoniaque et lorsqu’il déversa enfin son sperme chaud dans les entrailles de la fille, le démon eut la satisfaction de voir qu’Elise avait aimé cette partie de jambes en l’air.

Kabraxis resta un moment planté dans l’intimité de la demoiselle à la regarder tranquillement la plantureuse blonde essoufflée qui venait de se faire mettre de manière royale par un prince des enfers. Sans doute qu’elle se souviendrait longtemps de ce moment où elle avait découvert combien c’était bon de jouer à la bête à deux dos avec son nouveau maitre. Néanmoins il fut un peu déçu de la voir rougir et prendre un air honteux et coupable comme si elle regrettait de s’être laisser aller à rendre son mari cocu dans les bras d’un monstre qui à la base devait la violer.

Fortune ferma les yeux comme pour se cacher de l’humiliante défaite qu’il lui avait infligée dans un corps à corps torride ou il lui avait fait tourner la tête. Il ne voulait pas qu’elle continue à lui en vouloir alors il se retira d’elle et s’allongea à côté de l’humaine tous en lui caressant doucement la joue.

« Tu vois que ce n’étais pas si terrible que ça. Je dois reconnaitre que j’ai bien aimé la fougue avec laquelle tu m’as chevauché, tu sais être adorable quand tu veux ma mignonne et ça mérite un bon massage pour te détendre. Tu n’as pas à avoir honte de t’être fait du bien, tu sais.»

Doucement le démon poussa la blonde pour l’allonger sur le ventre et enjamba la fille pour commencer à lui masser sensuellement les épaules et le dos de manière à lui être agréable. Fortune avait fait des efforts pour se prêter au jeu coquin de son ravisseur et lui avait fait le plaisir de rendre les armes sous ses diaboliques coups de reins, c’était maintenant l’occasion d’être gentil avec elle pour tenter de la pervertir. La bourgeoise avait gémit si fort que son cocu de mari à l’étage avait dû l’entendre prendre son pied avec leur kidnappeur et cela ne rendait que plus belle la victoire du démon ! Elle allait finir par être sa soumise à lui, ce n’était qu’une question de temps avant qu’elle ne cède à la luxure …
« Modifié: mercredi 18 septembre 2013, 09:07:50 par Kabraxis, le voleur d'Espoir »

Fortune

Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]

Réponse 44 dimanche 22 septembre 2013, 23:16:31

Peu après qu'elle ait jouit, le monstre déverse sa semence en elle ; il reste quelques instants dans son intimités avant de se retirer. Cependant, il est en quelque sorte encore en elle. L'idée est plus que désagréable pour Élise, bien qu'elle ne soit pas dans une période à risque, fécondativement parlant. Et puis, elle n'est même pas sûre d'être en état d'avoir des enfants...

« Tu vois que ce n’étais pas si terrible que ça. Je dois reconnaitre que j’ai bien aimé la fougue avec laquelle tu m’as chevauché, tu sais être adorable quand tu veux ma mignonne et ça mérite un bon massage pour te détendre. Tu n’as pas à avoir honte de t’être fait du bien, tu sais.»


... pardon ? La situation vire presque au grotesque. Lui, lui faire un massage ? Après tout il est le maitre, et elle se pliera à sa sa décision, même si celle-ci est d'agir comme un subalterne. Car il n'existe que deux types de personnes pour offrir des massages : les amis proches et les serviteurs. Or cet homme n'est pas un ami, même si visiblement il souhaite le devenir. Il semble que son but, au delà de profiter du corps de sa nouvelle esclave, soit de la rendre docile et consentante. Afin d'infliger une humiliation plus grande à Ozelius ? Ou peut être par caprice d'égo ? En tout cas, il semble persuadé d'être capable de se faire apprécier, à l'usure. Après tout, il aura autant de temps qu'il le souhaite pour arriver à ses fins... mais elle ne se laissera pas acheter comme une pute. Peu importe qu'il la masse et qu'il lui propose de dormir dans des draps de soie. Il est son ennemi et ça ne changera pas. Jamais.

Tandis qu'il fait glisser ses doigts sur le dos de sa prisonnière - avec un certain talent, elle doigt1 le reconnaitre, elle laisse son esprit vagabonder ; est-ce qu'il est possible pour une humaine de tomber enceinte d'un démon ? Quel genre de monstruosité sortirait d'une telle union ? Est-ce qu'elle devrait élever cet enfant ou s'en débarrasser ? Est-ce qu'elle peut, au moins, avoir des enfants ? Est-ce que c'est elle, ou bien son mari, qui est à l'origine de la fertilité de leur couple ? Elle s'est déjà posé cette question avant, bien qu'à l'époque la réponse n'avait pas vraiment d'implication. Aujourd'hui elle espère sincèrement que le problème vient d'elle. Au moins, elle serait débarrassée du risque de tomber enceinte d'une créature des enfers... elle n'a plus qu'à remettre ses idées en place, et décider de la manière dont elle va passer les prochains mois. Est-ce qu'elle doit se montrer docile ou bien résister ? Faire semblant d'aimer le traitement qu'on lui inflige ? Peut être la relâchera-t-il plus vite ainsi... Est-ce qu'elle pourrait, à force de le fréquenter apprendre à l'influencer ? Elle ne voit pas, en fait, d'autre manière d'agir que de tenter d'attirer sa compassion.

Elle laisse échapper un soupir d'aise et se force à détendre ses muscles. Pour l'instant elle se plie à sa volonté, elle fait semblant de trouver du plaisir à la situation. Mais rira bien qui rira le dernier, se dit-elle pour se donner du courage.

« Merci... »



(1) Ohohoh


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