Le Grand Jeu

Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Dictature d'Ashnard => Discussion démarrée par: Fortune le lundi 05 août 2013, 14:05:22

Titre: Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le lundi 05 août 2013, 14:05:22
La ville de Natalis pourrait être considérée comme un havre de paix en comparaison du reste d'Ashnard. La bourgade, depuis plusieurs décennies, a été relativement épargnée par les conflits qui ont déchiré à mainte reprises le pays. Une activité économique y a donc fleuri, petit à petit, et c'est tout naturellement que le marchand à la fortune grandissante, Ozélius Landevin, décida de s'y établir en compagnie de sa femme, Élise. Leur demeure ne dénote pas des autres habitations des environs, malgré sa taille relativement imposante. Une façade tout ce qu'il y a de plus sobre, sur deux étages, faisant l'angle de la rue. C'est Élise qui avait insisté pour que son époux choisisse cette maison. Elle était habituée à avoir de l'espace, et l'idée d'être enfermée dans une toute petite habitation urbaine lui plaisait peu. Et même si payer cher pour une grande maison dans laquelle ils ne vivraient de toute façon qu'à deux ne plaisait pas vraiment à l'homme d'affaire, celui-ci n'a jamais pu refuser grand chose à sa belle.

La porte d'entrée de la demeure donne sur un large couloir, flanqué de chaque côté d'une paire de portes et donnant, tout au fond, sur un escalier. La première porte à gauche mène à une cuisine, contenant plusieurs marmite, un énorme buffet, un plan de travail et un four, dans laquelle Élise s'active, et dont elle a ouvert l'unique fenêtre pour ne pas mourir de chaud. Elle porte une robe beige quelconque, par dessus lequel elle a enfilé un tablier blanc, et a attaché ses cheveux en un énorme chignon derrière sa tête. Sa tarte aux pommes est au four, presque prête à être servie pour son mari. Comme il est dans les environs de dix-sept heures, celui-ci ne devrait pas tarder à rentrer, et elle l'attend avec une certaine impatience. Le temps, particulièrement ensoleillé pour un mois d'avril, la met d'excellente humeur. Elle ne doute pas que son époux appréciera de déguster sa tarte après une journée passée à négocier avec des grippe-sous. Peut-être même qu'elle et lui passeront le reste de la soirée seuls tous les deux, les volets fermés. Du moins elle l'espère, car cela fait un moment qu'elle et son homme n'ont pas jeté toutes leurs forces dans un devoir conjugal enflammé, et aujourd'hui elle s'y sent d'humeur.

Non, vraiment, la soirée s'annonce plaisante.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le lundi 05 août 2013, 15:11:22
Malheureusement pour la belle et tendre jeune femme, sa petite vie tranquille et sans histoire allait vite changer. Lorsque la porte d’entrée s’ouvrit ce fut pour être refermée sèchement quelques instants plutôt et elle put entendre son mari gémir et protester dans le hall d’entrée. Visiblement quelque chose n’allait pas.

Quelques instants plus tard le marchand entra dans la cuisine ou plutôt il fut poussé avant de s’étaler pitoyablement sur le sol en gémissant. Ozéluis avait les bras solidement ligotés dans le dos et s’était visiblement fait tabasser au vu des bleus et autres traces de coup qu’il portait sur le visage.

La personne qui l’avait poussé était un étranger aux longs cheveux blancs et à la peau sombre. L’intrus avait l’allure d’un chevalier d’une certaine richesse, il était vêtu d’un chapeau à plumes et d’un élégant manteau noir finement décoré et portait un plastron de métal brillant décoré d’une gemme rouge.

Ses yeux jaunes lui donnaient un aspect exotique et terrible à la fois et à son flanc pendant une élégante épée batârde à la garde finement ouvragée avant une poignée incrustée d’argent, même le seigneur de Natalis n’avait pas si fière allure et ce guerrier énervé laissait présager de sérieux ennui pour Elise et son mari.

Malgré son entrée des plus cavalière, l’inconnu salua la pauvre demoiselle qui devait être choquée et trop surprise pour réagir. Le guerrier bien que de mauvaise humeur n’avait pas l’air agressif et engagea la conversation. "Bonjour madame et désolé pour le dérangement, je ne vous veux pas de mal et suis juste ici pour régler une affaire impliquant votre mari. Figurez-vous que ce vil coquin m’a causé du tort et … "  

Le gentilhomme fut toutefois cassé dans son explication par le mari de la blonde qui lui lança un avertissement. "Ne l’écoute pas mon coeur, c’est un démon. Il … ouch "

Le pauvre marchand fut un interrompu par son ravisseur qui lui flanqua un bon coup de pied dans le ventre pour le faire taire, Kabraxis était en colère et il n’aimait pas entendre chialer cette petite frappe qui avait cru pouvoir le rouler, un fois le marchand réduit à gémir le démon se contenta de dévisager Elise un instant.

La femme du négociant arnaqueur était cependant aussi belle que les villageois lui avait dit avec de courbes généreuses et une peau lisse comme celle d’une pèche. Bien que sa coiffure et son tablier ne la mettait pas vraiment en valeur le démon avait toujours adoré trousser des petites servantes et il sentait déjà qu’il allait bien s’amuser avec ce couple-là.

D’un ton fier et moqueur il se moqua de son prisonnier tout en expliquant la situation à sa très belle femme, laquelle se montrerait sans doute raisonnable devant un guerrier armé et menaçant.

" Un démon que tu as tenté d’arnaquer pauvre idiot ! Sois content que je ne t’ai pas écorché sur le champ après que tu m’ais supplié de t’épargner en disant que tu avais de l’argent et une belle femme que je pouvais prendre en échange de te laisser la vie sauve.  Je vois que tu n’as pas mentis sur la beauté de ton épouse, maintenant voyons si elle est compréhensive et prête à payer de sa personne pour te sauver la mise manant !

Chère Elise, je vous déconseille vivement de vous enfuir ou d’appeler au secours. Nous allons calmement régler cette affaire sans nous énerver davantage et votre mari s’en sortira sans plus de mal. Il serait dommage qu’elle ravissante femme comme vous devienne veuve n’est-ce pas ?"
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le lundi 05 août 2013, 16:43:52
Tandis qu'elle en est à anticiper leurs jeux, elle entend soudain la porte d'entrée claquer avec une violence inhabituelle, puis des cris de protestation ; c'est son mari. Un mauvais pressentiment l'envahit à juste titre, et elle commence déjà à se diriger vers la porte lorsque celle-ci s'ouvre brutalement, laissant apparaitre son mari, suivit d'un deuxième homme à l’allure effrayante. Le premier est jeté au sol sans ménagement par le second. Son visage est tuméfié comme s'il avait été passé à tabac. Élise sent un frisson glacé la parcourir de haut en bas, tandis que le monde autour d'elle perd sa stabilité. Terrifiée, désorientée, elle fait un pas en avant vers son aimé, mais s'arrête net lorsque le ravisseur se met à parler.

"Bonjour madame et désolé pour le dérangement, je ne vous veux pas de mal et suis juste ici pour régler une affaire impliquant votre mari. Figurez-vous que ce vil coquin m’a causé du tort et …
-Ne l’écoute pas mon coeur, c’est un démon. Il … ouch "


L'homme en noir vient de porter un coup de pied au ventre de son époux à terre ; les larmes lui montent aux yeux, elle peine à respirer, mais essaie quand même de se concentrer sur ce que lui dit l'inconnu.

" Un démon que tu as tenté d’arnaquer pauvre idiot ! Sois content que je ne t’ai pas écorché sur le champ après que tu m’ais supplié de t’épargner en disant que tu avais de l’argent et une belle femme que je pouvais prendre en échange de te laisser la vie sauve.  Je vois que tu n’as pas mentis sur la beauté de ton épouse, maintenant voyons si elle est compréhensive et prête à payer sa personne pour te sauver la mise manant !

Chère Élise, je vous déconseille vivement de vous enfuir ou d’appeler au secours. Nous allons calmement régler cette affaire sans nous énerver davantage et votre mari s’en sortira sans plus de mal. Il serait dommage qu’elle ravissante femme comme vous devienne veuve n’est-ce pas ?"


Trop d'informations lui parviennent d'un coup, elle ne sait quoi penser. L'homme aux cheveux blancs doit mentir, son mari n'est pas malhonnête, et surtout jamais il ne l'offrirait de la sorte... ce personnage est malfaisant, tout chez lui l'exprime, de ses vêtements noirs à ses yeux jaunes.

"N..non..."
est tout ce qu'elle arrive à dire. Difficile de savoir à quoi elle répond "non", elle même n'en est pas très sûre. Il s'agit certainement d'un "non" qu'on pourrait développer en quelque chose comme "Vous êtes un menteur, vous n'avez pas le droit, laissez mon mari, sortez de chez moi".

Une odeur de brulé parvient soudain à ses narines ; portée par la force de l'habitude, elle se saisit de deux épais torchons, les mains tremblantes, et ouvre la porte du four dont elle sort sa tarte aux pommes. Elle la pose sur sa table de travail, soigneusement. Trop cuite. L’exécution de ce geste lui a cependant rendu quelque peu ses moyens, et elle arrive à nouveau à penser plus clairement. L'inconnu est en colère contre son mari, et il est dangereux. Elle doit le calmer à tout prix. Elle lui parle d'une voix suppliante, tordant nerveusement son tablier entre ses mains.

"S'il vous plait... je... c'est surement un malentendu... nous vous dédommagerons... chéri, dis lui !"

Elle crie presque cette dernière phrase, un semblant de désespoir dans la voix : il est évident que son mari a déjà tenté de régler le conflit de la sorte.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le lundi 05 août 2013, 17:44:28
La réaction de la belle blonde fut agréable à voir pour un démon aimant effrayer ses victimes, voir la douce Elise hésiter à venir aider son mari attaché pour ensuite se figer de peur et commencer à frissonner c’était tout simplement grisant pour un fils des enfers. La pauvrette semblait traumatisée par la situation et sous le choc de voir son cher époux ligoté et tabassé par un guerrier menaçant qui n’avait rien d’humain.

Un vieux démon appréciant la manipulation et les complots comme Kabraxis était depuis longtemps devenu un expert en psychologie à force de duper et menacer ses victimes. Le faux chevalier avait évidemment mentis sur une partie de l’histoire. Landevin avait bel et bien tenté de l’escroquer en lui vendant du matériel de piètre qualité comme neuf et le rusé démon avait évidemment rapidement décelé la supercherie de l’humain.

Le marchand ne l’avait pas supplié de l’épargner comme une tantouze et avait même vivement protesté quand le noble avait eu l’idée de se rendre à sa demeure pour se dédommager en exerçant un droit de cuissage sur sa douce épouse. Toutefois cela et les protestations d’Elise importaient peu car démon avait déjà décidé qu’il passerait la nuit avec cette ravissante et désirable demoiselle, rien qu'en la regardant.
 
Abuser de cette magnifique blonde sous les yeux de son mari cocu et impuissant serait un vrai plaisir pour le fils des enfers, après tout il était un monstre infernal et les humains n’étaient rien d’autres que des jouets destinés à le servir. Il serait déjà bien assez magnanime de laisser une chance à la donzelle de sauver la vie de son époux en se montrant coopérative tandis qu’il la violerait, certain démons avides de sang aurait déjà massacré le marchand sous les yeux de sa femme avant de réduire cette dernière à l’esclavage.

Kabraxis d’ailleurs clairement exposé la situation à la donzelle qui allait devoir calmer son ravisseur en lui ouvrant sa couche si elle voulait qu’il soit assez gentils pour les laisser en vie une fois qu’il aura bien profiter de son joli petit cul. Elise commença par dire Non comme pour tenter de nier ce qui lui arrivait puis elle commença à implorer le démon et lui proposer un dédommagement pour plus grand plaisir de ce dernier.
 
Réalisait-elle qu’elle allait être le dédommagement en question ou n’avait-elle pas voulu entendre qu’il avait sous-entendu qu’elle allait devoir forniquer avec un démon pour qu’il l’épargne.

« Mais j’y compte bien que vous me dédommagiez avec votre joli cul ma belle. Nous allons monter dans votre chambre ou je vous prendrais devant votre crapule de mari qui a bien mérité de finir cocu ! Soyez gentille et je serais doux sinon je me contenterais de vous violer comme une chienne compris ?» Dit le démon en ricanant avant de donner une tape sur les fesses de la jeune femme.

Le démon ramassa ensuite le pauvre marchand ligoté pour le jeter sur son épaule comme un vulgaire sac à patate et saisit Elise par le bras pour la trainer vers l’escalier qui menait à l’étage, sa force démoniaque était terrifiante et la blonde ne tarderait pas à réaliser qu’elle et son mari étaient à sa merci. Elle allait devoir se montrer soumise et salope pour qu’ils s’en sortent ...
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le lundi 05 août 2013, 20:08:25
« Mais j’y compte bien que vous me dédommagiez avec votre joli cul ma belle. Nous allons monter dans votre chambre ou je vous prendrais devant votre crapule de mari qui a bien mérité de finir cocu ! Soyez gentille et je serais doux sinon je me contenterais de vous violer comme une chienne compris ?»

Élise reste figée, d'abord étrangement plus outrée par la crudité des mots du guerrier que par le fond de son propos. Elle le regarde, sans rien dire, la bouche mi-béante, et le laisse approcher, trop effrayée pour faire le moindre mouvement. Il lui met alors une petite claque sur les fesses, qui lui fait faire un bond en arrière, le dos vouté et les bras protégeant sa poitrine, comme recroquevillée sur elle-même. A son grand soulagement, l'homme ne va pas plus loin ; il s'en retourne à Ozélius qu'il souleva et jette sur son épaule comme si celui-ci ne pesait pas plus lourd qu'un enfant. La femme comprend, horrifiée, que son mari ne parlait pas au sens figuré ; il s'agit certainement d'un vrai démon. La créature lui saisit alors le poignet et l'entraine vers les escaliers.

"Arrêtez !... LACHEZ MOI !!"


Elle a beau se débattre, tirer de toute ses forces en geignant, il l'emporte avec lui, implacable. Alors qu'il l'a déjà forcée à gravir la moiter des marches, ses vaines résistances lui font perdre l'équilibre : elle tombe et sa cuisse droite heurte douloureusement une arrête de pierre tandis qu'elle pousse un cri de douleur. Le démon, imperturbable, continue de monter, la forçant à se rétablir tant bien que mal. Elle abandonne finalement la lutte et le suit en boitant, chaque contraction des muscles de sa cuisse lui faisant souffrir le martyr.

Les escaliers mènent à un deuxième couloir, au plancher cette fois en bois, percé de chaque côté par trois portes. Ces six portes menant respectivement à la chambre à coucher des tourtereaux, au bureau du marchand, à deux chambres d'invités et à deux pièces laissées vides.

"Ozélius..."


Élise cherche le regard de son amour, qui détourne les yeux et se contente de regarder le sol, un air fermé sur son visage boursoufflé. Elle commence seulement à réaliser à quel point ils sont tous les deux impuissants face à cette brute, sans aucune issue disponible pour fuir. Ils sont complètements pris au piège, dépendant de la volonté de cet être malveillant.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le lundi 05 août 2013, 21:28:48
Le spectacle de cette nunuche blonde outragée qu’il lui ait mis la main aux fesses et qui tentait vainement de se débattre en réalisant son impuissance face à un démon était des plus plaisants, c’était ce qu’il y avait de mieux quand on violait les humaines. Le moment où elles réalisaient qu’elles étaient belle et bien piégées sans autre choix que passer à la casserole, être obligées de forniquer avec des démons lubriques qui les traitaient la plupart du temps comme des chiennes.

Des fois elles résistaient, certaines plus que d’autres mais c’était évidemment inutile face à un démon doué dans l’art de la débauche les soumettant à la tentation de s’abandonner à ses délicieuses caresses. Pour tous dire Kabraxis ne violait pas souvent des femmes parce qu’il n’avait pas vraiment besoin de ça pour les soumettre et les pervertir mais une fois de temps en temps ce n’était pas si mal. Surtout quand il y avait le mari humilié pour regarder. Faites le mal mais faites le bien qu’il disait … .

La blonde finit par se cogner dans l’escalier et le démon du ralentir l’allure car elle boitait un peu de douleur, ils arrivèrent néanmoins devant des chambres que le démon ouvrit toutes pour s’assurer que personne ne s’y cachait pour ensuite filer chercher de l’aide pendant qu’il batifolerait.

Visiblement ce couple aimait le luxe car ils avaient une grande maison et pas d’enfant, ni de parents vivants avec eux. Cela faisait un point commun entre Elise et le démon un des seuls en vérité car elle était aussi gentille qu’il était cruel et aussi naïve qu’il était manipulateur.

Le démon finit par entrer dans la chambre du couple en poussant la donzelle sur le lit puis il déposa son mari sur la chaise dans un coin et entreprit de l’y attacher avec une cordelette sortie de sa poche sans quitter du regard la femme qui sanglotait allongée sur le lit. Puis il ramassa un foulard qui trainait et bâillonna Ozéluis avec. Pour qu’il ne les dérange pas durant ce qui allait suivre à savoir le viol de son épouse sur qui le démon porta son attention.

"Nous y sommes ma jolie, laisses-toi faire et ce sera agréable, je n’ai pas envie de t’esquinter ma beauté. Restes tranquille que je te câline." Dit il en lui caressant la croupe tel un guerrier victorieux revendiquant son butin.

Sur ces belles paroles le démon se posa sur le bord du lit et vient doucement défaire le chignon de la blonde en lui caressant les épaules avant de l’embrasser dans le cou. Puis les mains du démon s’emparèrent de la poitrine d’Elise que le seigneur commença à peloter en souriant. En douce il se servait de sa magie pour envoyer quelques pensées érotiques dans la tête à la jeune femme pour la faire rougir …
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le vendredi 09 août 2013, 17:25:53
Le monstre, avec sa force surhumaine, la projette vers le lit conjugal sur lequel elle s'écroule sans résistance. Lorsqu'elle s’aperçoit qu'il ligote son mari à une chaise, elle comprend enfin ce qui va arriver. Un sentiment de désespoir l'envahit et lui tire des larmes d'impuissance. Elle pensait que l'inconnu était intéressé par son corps : en réalité, la violer ne semble être qu'un prétexte : ce qu'il veut, c'est les humilier, les rabaisser plus bas que terre. Elle serre les points, toujours étendue sur le dos, immobile. Elle se contente de fixer le plafond dont elle connait déjà les moindre craquelures. Résister ne ferait que la mettre en danger, et son mari également. Elle essaie de vider son esprit : peut être que si elle arrive à être suffisamment ailleurs, ce moment passera rapidement. L'inconnu fera son affaire et s'en ira comme il était venu.

"Nous y sommes ma jolie, laisses-toi faire et ce sera agréable, je n’ai pas envie de t’esquinter ma beauté. Restes tranquille que je te câline."


Celui-ci s'approche enfin d'elle et la fait se redresser ; elle lui obéit, toujours aussi raide, se laissant mettre assise. Impossible de résister, elle commence à le comprendre. Il commence alors à défaire son chignon, et elle devine vaguement, par ce geste, que s'il est d'abord venu pour infliger une punition, le démon n'en est pas pour autant insensible à ses charmes. Pourquoi se donnerait-il la peine de l'apprêter à son goût, sinon ? Il se penche ensuite sur elle pour embrasser sa gorge ; dès qu'il approche son visage, celui de la blonde se froisse sous l'effet d'un sanglot incontrôlé, qu'elle tente de garder silencieux, qui secoue ses épaules dans de petits spasmes nerveux. Elle ferme les yeux comme si sa vie en dépendait alors que tout son corps se crispe.

Elle sent alors son souffle sur elle, puis ses lèvres qui s'introduisent au creux de son cou. Elle aurait préféré qu'il la saillisse immédiatement, même dans la douleur, plutôt que de subir ces caresses. Cette "tendresse" a quelque chose de déplacé et d'inadmissible.

Il s'accapare ensuite sa poitrine à travers la robe, la pressant doucement ; elle a tourné la tête pour ne pas voir son visage, ni celui de son mari, et la porte d'entrée de la chambre, essayant d'ignorer ce qui lui arrive, gardant son esprit le plus loin possible de l'instant présent.

Ses efforts sont vains ; pire encore elle ne peut s'empêcher d'imaginer la suite ; le chevalier déchirant sa robe pour couvrir son corps de baisers humides, avant d'activer son bouton de plaisir d'un doigt habile, pour enfin la prendre, à quatre pattes sur la couche, la tirant par les cheveux pour la ramener vers lui, alors qu'elle hurle malgré elle de plaisir. Ces images la frappent l'espace de quelques secondes, faisant battre sa poitrine et accélérer sa respiration malgré l’écœurement et la honte, et lui faisant perdre immédiatement pied : elle se dégage, paniquée et rampe se réfugier à la tête du lit après avoir poussé une plainte de frayeur. Qu'est ce qui lui prend de s'imaginer des choses pareilles ? Elle déteste ce type !

Elle se recroqueville sur elle-même, toujours en larmes, alors qu'il s'approche à nouveau, jetant un regard furtif à son mari qui fixe la scène. Jamais elle ne l'a vu dans un tel état de colère impuissante : sont visage crispé par la rage a viré à l'écarlate sous ses hématomes, et des larmes ruissellent sur ses joues. Elle même pleure de plus belle. Elle en est réduite à supplier le démon : alors que celui se trouve à nouveau près d'elle, elle se laisse tomber en avant le front et les paumes contre le drap.

"S'il vous plait ! Pitié..."


Elle sait que quoi qu'il arrive elle sera violée : la créature ne partira pas les mains vides. Mais l'idée que son mari la voit traitée comme une trainée lui est insupportable. D'autant qu'elle commence à avoir peur de ses propres réactions, de son corps et même de ses pensées.

"Pas devant mon mari... je vous en supplie ! Je ferais tout ce que vous voudrez !"
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le vendredi 09 août 2013, 18:47:12
Le démon savourait la situation, le couple était totalement réduit à la merci de ses envies perverse et le marchand escroc devait mille fois se maudire d’avoir voulu arnaquer ces clients. L’ironie dans tout cela c’était que ces crétins d’humains pourraient en venir à croire qu’il s’agissait d’une punition divine qu’un démon soit justement apparu pour punir le marchand de sa cupidité en le tabassant avant de s’apprêter à violer sa douce et innocente épouse sous ses yeux.

Violer une femme devant son conjoint impuissant était une des pires humiliations qu’on puisse infliger à un couple s’aimant, une torture psychologie presque pire qu’un châtiment physique surtout pour la donzelle qui souffrirait dans son corps et dans son esprit de se voir souiller devant celui qu’elle aimait.

D’ailleurs l’épouse en question semblait obéir et se laisser faire quand il commença à lui défaire ses beaux et longs cheveux pour ensuite l’embrasser dans le coup. La pauvre devait être trop paralysée pour se défendre ou alors elle était maline et avait compris qu’il pourrait torturer son mari et la tringler comme une chienne si elle ne se montrait pas docile. Le démon prenait tous son temps pour la caresser et la faire frémir, si la naïve Elise croyait qu’il se contenterait de vite la tringler avant de partir et la laisser tranquille. Hé bien elle se trompait lourdement …

Kabraxis était surtout un dominant cérébral et un expert de la torture psychologique, le simple fait de saillir une femelle humain comme une vulgaire trainée devant son mari soumis et cocu ne lui suffirait jamais, il lui faudrait en plus que cette dernière éprouve un plaisir intense et pervers à se sentir à la merci d’un monstre des enfers s’avérant bien meilleur amant que son crétin de marchand. Qu’elle en vienne à perdre ses manières de femme vertueuse et d’épouse modèle pour se vautrer dans la débauche et qu’elle finisse par perdre la tête sous ses puissants coups de reins …

"Hum c’est bien ma jolie, tu as tous compris. Sois docile et câline et je te ferais découvrir des plaisirs sans limites. Tu verras comme les démons sont les meilleurs amants de la création !"  

Les paroles du guerrier et les images érotiques qui lui envoyaient furent toutefois trop pour la pauvre captive qui eut un mouvement de fuite en se dégageant des bras du démon mais qui n’alla pas bien loin et il n’eut même pas besoin de la rattraper. Elise pleurait de honte en bordure du lit visiblement effondrée à l’idée qu’elle allait se faire tringler devant son homme comme la dernière des esclaves, le futur cocu semblait quant à lui fou de rage d’être impuissant et incapable de la défendre.

Quand le démon fit mine de se rapprocher à nouveau de la demoiselle outragée, cette dernière perdis courage et se mit à le supplier. Plus par désespoir de cause qu’autre chose car il était évident qu’aucun démon allait accepter de ne pas violer une jolie femme juste parce qu’elle le demandait. La blonde semblait le comprend au point qu’elle finit par l’implorer d’avoir au moins la clémence de ne pas abuser d’elle devait son mari qui souffrirait le martyr à voir sa belle forcée de forniquer avec un monstre ricanant sous son nez et qu’elle était prête à faire ce qui voulait en échange …

A ces paroles le démon fut parcouru par un grand sentiment de puissance et de fierté, la pauvre venait de se condamner elle-même en lui donnant la permission de la réduire en esclavage et de faire d’elle sa petite putain personnelle en échange d’une faveur. Cela était bien un ridicule raisonnement d’humain car Ozélius souffrirait bien plus que sa femme lui soit enlevée à jamais plutôt que juste violée devant lui par un démon qui se serait contenté de les laisser tranquilles après …

Kabraxis ne put se retenir de pousser un rire triomphal car il venait de remporter une grande victoire sur sa nouvelle captive avant même de l’avoir violée. Les démons prenaient les serments des humains très au sérieux et la pauvrette venait d’accepter de devenir son esclave sexuelle de la plus belle des manières, un tel moment de satisfaction n’arrivait pas tous les ans, c’était juste magnifique.

" Huhu j’accepte avec joie ma belle Elise, allons donc faire ça dans la chambre d’à côté ... "

Le démon souleva donc la femme qui allait bientôt devenir son trophée et sa catin humaine pour la jeter sur son épaule comme un sac et ils sortirent de la pièce pour aller dans la chambre d’ami disposant aussi d’un lit double. Lit sur lequel il déposa la jeune femme sur le dos avant de fermer la porte à clé et à commencer à se déshabiller en déposant son manteau, son plastron et son épée dans un coin de la pièce tout en dévorant sa proie des yeux.

C’était un vrai régal de la voir supplier et gémir mais surtout de savoir que désormais elle allait devenir sa soumise aimante et dévouée, il y veillerait.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le samedi 10 août 2013, 16:18:21
" Huhu j’accepte avec joie ma belle Elise, allons donc faire ça dans la chambre d’à côté ... "

Élise lève de grand yeux ruisselants vers le visage du chevalier. Elle avait supplié avec l'énergie du désespoir et ne s'attendait pas vraiment à ce que celui-ci change d'avis. Il la saisit de ses bras puissants et la balance sur son épaule sans ménagement, lui coupant la respiration sous le choc. Alors qu'il franchit le seuil de la chambre, elle échange un dernier regard avec son mari ; quand elle en aura fini avec le démon, elle retournera se jeter dans les bras de son amour pour lui jurer qu'elle n'appartient qu'à lui, et ils se berceront mutuellement jusqu'à ce que leurs plaies se referment. Elle l'espère.

L'homme entre ensuite dans la chambre d'amis pour la déposer sur le lit, avant d'aller se dévêtir dans son coin ; elle passe en position assise et commence à faire de même, ôtant d'abord son tablier, puis déliant les lacets dans le dos de sa robe. Elle n'éprouve nul plaisir à se déshabiller devant son ravisseur, mais elle préfère encore cela plutôt que de laisser ce dernier faire de l'effeuillage un jeu érotique. Plus vite elle sera nue, plus vite tout ça sera terminé. La pièce est relativement silencieuse, et seul le bruissement de leurs vêtements et les reniflements de la belle viennent troubler le silence. Elle ne pleure plus : la situation est beaucoup moins désespérante qu'il y a quelques instants. Non seulement elle ne sera pas humiliée devant son mari, mais le démon parait maintenant moins effrayant et inhumain. Il a visiblement été quelque peu apitoyé par ses pleurs, et le désir de la prendre était finalement plus puissant que celui de faire du mal à son mari.

Elle se met debout sur ses jambes flageolantes et fait glisser sa robe jusqu'à ses chevilles, évitant de croiser le regard de son futur amant, dont elle sent le regard lubrique glisser sur sa nudité. Elle pince les lèvres en fronçant les sourcils et joint ses mains derrière elle. Qu'il se décharge de sa semence au plus vite, et qu'il disparaisse. Son époux attend dans ma pièce d'à côté. Chaque seconde qui passe doit être une torture pour lui. Peut être même qu'il lui en veut de l'avoir écarté. Elle doit revenir vers lui aussi vite que possible.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le dimanche 11 août 2013, 09:33:08
Le démon eut un sourire amusé quand la jeune femme commença à se déshabiller à son tour pour finalement prendre une position de soumission en détournant la tête tout en se mordant les lèvres visiblement bien gênée de s’être dévêtue devant un inconnu.
Sans doute qu’elle n’avait pas envie qu’il la déshabille lentement en l’excitant, qu’elle croyait que si elle se montrait docile et écartait les cuisses son viol serait vite fini et qu’ils les laisseraient ensuite tranquille. Qu’elle pourrait se réfugier dans les bras de son mari après l’humiliante saillie ...

Kabraxis s’amusait de la naïveté de sa victime qui ignorait visiblement presque tous du comportement des démons, sans doute qu’elle avait dû être un peu rassurée par le fait qu’il ait eut la bonté de ne pas la trousser devant son époux. La pauvre n’avait pas réfléchit aux conséquences de sa suppliante demande, désormais elle lui appartenait et qu’après l’avoir longuement baisée, il la prendrait avec lui pour lui faire vraiment tous ce qu’il voudrait. Elise serait donc séparée de son mari mais ça il n’allait pas le lui dire tout de suite, il était du genre à laisser de l’espoir à ses victimes avant de les briser.

La blonde gironde ouvrirait voluptueusement les jambes si elle espérait qu’il l’épargne. Ce serait surement très plaisant de pervertir cette adorable femme au foyer qui finirait sans doute par s’habituer à son nouvel amant si ce dernier se montrait plaisant et la faisait grimper aux rideaux. Le démon finit de se déshabiller tout en reluquant celle qu’il s’apprêtait à chevaucher. La donzelle était amoureuse et il faudrait donc s’employer à lui faire oublier son mari qui lui manquerait surement au début.

Fièrement le démon s’avança vers sa proie d’un air conquérant, nu il était très beau avec son corps d’athlète et ses pectoraux. Kabraxis était aussi très bien monté comme beaucoup de membres de son espèce, la petite humaine allait bien se faire limer et couiner sous ses assauts. Joueur et sans dire un mot il vient se placer dans le dos d’Elise pour lui caresser sensuellement les fesses tout en l’embrassant dans la nuque, une partie érogène et sensible chez une femme qui ne manquerait pas de la faire frissonner.

« Ne soit pas pressée de terminer avant de m’avoir essayé ma jolie, tu verras ça va te faire le plus grand bien et tu risques d’en redemander. » Dit-il sur un ton coquin pour la provoquer et l’agacer.

Cette gentille fille avait surement de nombreux préjugés sur les démons et devait surement ne pas envisager pouvoir prendre du plaisir dans les bras d’un monstre qui la violerait. Sauf que Kabraxis n’était pas comme la plupart des bêtes issus des enfers et que lui adorait rendre ses partenaires comblées, cela les poussaient bien plus à la luxure et la docilité que les menaces et les coups de fouet.

Confiant le démon pris les beaux seins de la donzelle entre ses mains et entreprit de les masser en taquinant les tétons pour bien les faire durcir. Pour un viol la situation serait bien plus érotique et sensuelle que ce à quoi Elise s’attendait et lui s’amuserait de la sentir surprise et gênée, il comptait bien la faire gémir puis hurler de plaisir pour que son cocu l’entendre prendre son pied avec le démon qui la tringlait. Le petit marchand pouvait bien garder sa fortune et sa maison qu’il aurait déjà beaucoup perdu car il ne reverrait jamais son épouse tendre et attentionnée.

Le démon avait entendu les villageois raconter que la blonde portait chance et qu’on la surnommerait Fortune, il n’était pas sûr que ce soit vrai vu comme son mari avait eu la poisse de tomber sur lui mais cela l’intriguait et il n’allait de toute façon pas laisser une si belle donzelle à un tocard d’humain. Elise méritait mieux …
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le dimanche 11 août 2013, 15:08:26
L'homme termine de découvrir son corps mince et musculeux en même temps qu'elle même se déshabille, exhibant un membre imposant déjà en érection qui témoigne lui aussi que le tortionnaire n'est pas insensible aux charmes de la jolie bourgeoise. Elle rentre la tête dans les épaules alors qu'il s'approche d'elle pour la toiser d'un air conquérant. Il passe ensuite dans son dos ; un frisson de dégout la parcourt lorsqu'il colle ses lèvres sur sa nuque, et tout son corps se tend à nouveau. Toujours ces gestes emprunts de douceur, si malvenus en cette situation. Comme s'il prétendait être un amant, alors qu'il vient d'obtenir l'accès à un corps en enfreignant la volonté de sa propriétaire, par la violence et la menace. Comme un voleur qui s'introduirait chez vous et qui ferait la poussière sur vos meubles pour se faire pardonner de vous avoir dérobé. Elle le déteste de toute façon, les efforts du démon pour l'amadouer seront vains.

« Ne soit pas pressée de terminer avant de m’avoir essayé ma jolie, tu verras ça va te faire le plus grand bien et tu risques d’en redemander. »

... si cela peut l'amuser de penser ça. Bien sur, le corps d’Élise risque de prendre du plaisir en douce. Il est habile de ses mains, et la poitrine qu'il manie avec tact réagit à ses attouchements. Malgré tout ce que la situation a de dramatique et humiliante, la chair reste la chair et la peau de madame Landevin aime être caressée. Elle l'aurait bien fait taire, ce plaisir de rat qu'elle subit malgré elle, et bien qu'il lui répugne.

Mais de toute façon cela ne change rien. Elle le hait, ce chevalier qui vient semer le malheur dans sa maison à elle en le clamant comme son droit. Si elle en avait l'occasion, elle crèverait ses yeux jaunes et trancherait sa langue de vipère. Cet homme mérite de mourir... ça serait tellement plus simple si elle pouvait le tuer... c'est ce qu'il faudrait faire, dans l'idéal. Ses dents, ses poings et sa gorgent se serrent à l'unisson ; elle aura du mal à supporter la suffisance de cet énergumène alors qu'il la tripote, s'imaginant pouvoir la rendre heureuse de son viol par la seule adresse de ses doigts. Comme si on pouvait envisager l'amour comme un acte mécanique, qui lorsque bien effectué provoque des feux d'artifice de plaisir. Elle ne peut s'empêcher de lancer, d'une voix qu'elle aurait voulu ironique mais qui ne porte que les signes de la l’angoisse et de la timidité :

« Seriez-vous en train de tenter de me plaire, démon ? »
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le lundi 12 août 2013, 10:30:37
Il était amusant de sentir cette petite bourgeoise frissonner et frémir face à des caresses qui devaient sans doute lui paraitre déplacées chez un monstre venu pour la violer. A vrai dire le démon ne cherchait pas tant à se montrer agréable envers sa proie qu’à la gêner et l’humilier en lui montrant combien il pourrait pousser son corps à la trahir alors qu’elle-même devait être dégoûtée par la situation. Faire crier une donzelle de plaisir bien malgré elle était une méthode démoniaque classique pour torturer ces femelles humaines en leur montrait qu’il pouvait les pousser à finir par aimer être ses chiennes, de pauvres soumises aimant n’être que les putains du démon, des grosses salopes en devenir pour peu qu’on les pervertisse un peu …

La blonde semblait mal à l’aise et répugnée tandis qu’il la tripotait en ricanant. C’était la une réaction normale chez une captive, seules les nymphomanes dépravées s’accommodaient de se faire violer par un démon les traitant comme des catins à sa disposition et c’était encore heureux que la plupart des femmes ne soient pas de trainées sinon les démons s’ennuieraient. Il fallait bien avoir des filles effarouchées à pervertir et pousser au vice sinon ce n’était pas drôle. Elise semblait être un beau spécimen de pymbéche naïve qui amuserait surement son ravisseur pendant des mois, tout cela serait divertissant.

Lorsque la donzelle osa lui demander s’il n’était pas en train de vouloir la séduire, sur un ton assez ironique comme si elle voulait rabaisser son violeur en clamant qu’il était ridicule de vouloir l’amadouer après avoir tabassé son mari et voulu la trousser devant ce dernier pour l’humilier comme jamais. Qu’est-ce que cette petite dinde s’imaginait ? Qu’il était un démon raté incapable d’assumer le fait qu’il l’avait capturée pour profiter d’elle ? Un minable de romantique se prétendant méchant ? Rien n’était plus faux et Kabraxis se devait de la remettre à sa place de vulgaire captive sur le point de se faire monter comme une jument par un monstre.

Si cette nunuche préférait qu’il soit dur avez elle car elle trouvait sa tendresse déplacée au point de le provoquer pour qu’il en vienne à la traiter comme une sale esclave, un vulgaire jouet sexuel dont il pouvait disposer ... Hé bien elle allait avoir une mauvaise surprise. Le démon ne se générait pas de lui faire subir sa rage, punir les vilaines filles était toujours un vrai plaisir.

« Qu’est-ce que tu imagines blondasse ? Tu oses me provoquer en me traitant de gentil ? Si c’est la punition que tu cherches il n’y a qu’à demander poupée. Tu feras moins la fière quand je te défoncerais ! Tu as osé me dire que tu feras tous ce que je voudrais alors maintenant dis-moi si ça te plairait de te faire sodomiser par un démon ! »  

Furieux le démon inséra deux doigts dans le fondement de sa proie pour bien lui faire comprendre qu’elle l’avait énervé et allait le payer cher quand il lui élargirait son beau petit cul bien serré d’humaine. Lui ne se générait pas de la tringler pendant des heures jusqu’à ce qu’elle en vienne à le supplier de l’épargner. Kabraxis saisi le cou d’Elise d’une main pour bien la dominer tandis qu’il profanait sa petite porte avec l’autre pour bien la faire couiner et la préparer aux nombreux outrages qu’elle allait subir.

Après plusieurs minutes de tortures digitales le démon mit fin aux supplices de la blonde qui commençait à se tortiller, honteuse et gênée dans de vaine tentatives pour lui échapper alors qui l’obligeait à se tenir tranquille en lui serrant légèrement la gorge de sa puissante main. La créature des enfers retira ses doigts de l’anus déjà un peu élargi de la fille avant de la pousser sur le lit sur lequelle elle tomba à plat ventre.

Toujours passablement énervé et désireux de mater sa nouvelle esclave, Kabraxis se mit à lui administrer une bonne fessée tout en la maintenant allongée avec son autre main pour qu’elle ne puisse pas se soustraire à sa première punition qu’elle avait méritée en l’agaçant. Elise n’avait plus l’air de faire la maline tandis qu’il lui rougissait impitoyablement son petit cul rebondi qui claquait bien sous sa main, la pauvre avait intérêt à le supplier si elle voulait qu’il arrête !
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le lundi 12 août 2013, 18:27:02
« Qu’est-ce que tu imagines blondasse ? Tu oses me provoquer en me traitant de gentil ? Si c’est la punition que tu cherches il n’y a qu’à demander poupée. Tu feras moins la fière quand je te défoncerais ! Tu as osé me dire que tu feras tous ce que je voudrais alors maintenant dis-moi si ça te plairait de te faire sodomiser par un démon ! »

La blondasse en sourirait presque si sa position n'était pas si désespérément humiliante. C'est peu ou prou le résultat qu'elle espérait. Enfin, elle n'a plus qu'à serrer les dents et à encaisser, même si... elle ne s'attendait pas du tout à ce qu'il veuille la sodomiser. Quelle idée ? Existe-t-il une pratique plus répugnante ? Elle pourrait imaginer les raisons qui poussaient les pédérastes à s'enfiler par l'entrée des artistes, mais dans le cas présent l'idée lui parait simplement absurde et dégoutante. Aucun objet n'a d'ailleurs jamais franchis son sphincter en sens inverse, aussi elle pousse un gémissement de protestation quand les deux doigts du démon forcent leur entrée, faisant jaillir une sensation de brulure et de gêne.

« Non... » geint-elle, en réponse à sa question, avant d'ajouter, comme pour bien faire comprendre qu'elle ne compte pas revenir sur sa parole : « Faites moi ce qui vous plait... »

Elle essaie de rester de marbre, dans un vain sursaut d'orgueil. Chaque fois qu'un tiraillement plus important se fait sentir en bas, elle ne peut s'empêcher d'exprimer son inconfort en soufflant bruyamment par le nez. Ce traitement a quelque chose de terriblement contre-nature : à chaque instant elle a la désagréable impression qu'elle est en train de faire sur elle.

A son grand soulagement, l'intrus finit par retirer ses doigts et la jette sur le lit, où elle s'étale sur le ventre. Elle ferme les yeux, s'attendant à sentir la verge du monstre la pénétrer dans la douleur ; c'est finalement une claque qui s'abat sur ses fesses, lui arrachant un cri de surprise, suivant d'une seconde, puis de toute une volée. Elle serre les dents, tandis qu'il massacre son postérieur, dans l'espoir d'étouffer ses cris de douleur. Elle agrippe le drap de toutes ses forces entre ses doigts, pour finalement y mordre. Seuls quelques petits couinements s'échappent encore d'elle tandis qu'elle subit son châtiment. Elle ne va pas lui faire le plaisir de hurler. Elle a déjà deviné que son tortionnaire aime se sentir dominateur et que c'est l'insolence de sa proie qui l'a poussé à la frapper pour qu'elle reconnaisse sa supériorité. Elle est tout à fait prête à entrer dans cette lutte. De toute façon elle sent de moins en moins son fessier, et chaque coup qui s'abat sur celui-ci semble apporter une vague de chaleur plus qu'une vraie souffrance, aussi elle ne compte pas le supplier pour qu'il redevienne doux. Les claques, elle peut les supporter.

Elle préfère encore qu'il essaie de lui faire mal plutôt que plaisir : au moins les choses sont à leur place : le démon est son ennemi, et elle peut le combattre à sa façon, dans les limites de leur accord.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le lundi 12 août 2013, 23:01:57
La belle femelle humaine perdit vite son air moqueur quand elle commença à se faire doigter les fesses par son ravisseur. A son air choqué elle n’avait surement jamais pratiqué l’anal et commençait déjà à regretter de l’avoir provoqué, tant mieux elle allait vite comprendre qu’elle était à sa merci et qu’elle ferait mieux d’être aimable si elle voulait éviter une douloureuse et humiliante sodomie. Elise commença par protester avant d’hésiter et de finalement lui signaler qu’elle comptait respecter sa promesse d’accepter les outrages qui lui ferait subir me échange d’épargner le spectale  de son viol à son homme …

Cette petite blonde semblait déterminée à ne pas céder facilement à son agresseur qui voulait la réduire à l’état de chienne en chaleur implorant le mâle dominant d’encore l’humilier et la baiser. La donzelle poussa un soupir de soulagement quand il retira ses doigts de son fondement visiblement elle allait retenir la leçon, en tant qu’esclave elle ne serait plus sensée le défier ni à ironiser sur ce qu’il lui faisait. Le démon aimait les femmes chaudes qui le provoquaient avec des mots cochons mais là il y aurait du travail pour amener Elise à ce niveau de perversité et son dressage ne faisait que commencer.

Quand Kabraxis commença à lui coller une fessée, la belle sembla surprise, s’attendant surement à être directement prise mais il était encore bien trop tôt pour cela. Le démon avait prévu de la taquiner jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus et commence à mouiller comme une fontaine en couinant son envie, d’ailleurs c’était toujours un privilège qu’il faisait à ces femelles humaines en les troussant. Après tous elle appartenait à une espèce inférieure dont le seul avantage était de se reproduire comme les lapins, ce qui poussait les démons à s’intéresser à ces pouliches en chaleur aux faux airs farouches.

Un duel de volonté commença quand la donzelle commença à couiner sous les claques qui lui rougissaient les fessiers, le monstre eut un sourire sadique quand madame Landevin se mit à serrer les draps avant de les mordre pour éviter de hurler de douleur sans doute. Lorsque le démon arrêta le supplice après plusieurs minutes, la pauvre fille semblait matée et allait surement avoir du mal quand il la prendrait vu comme il lui avait rendu la croupe douloureuse.

« Hum j’ose espérer que cette petite punition t’aura ôté l’envie de me provoquer » Dit-il en contemplant ses jolies fesses rougies qu’il caressa pour la taquiner avant de venir caresser son intimité pour voir si elle mouillait. Sans un mot, il vint caresser sa fente avec sa main, lui relevant un peu l’arrière train pour la positionner à quatre pattes devant lui tout jouant avec son clitoris du bout de ses doigts. Finalement le démon s’amusa à frotter son mandrin le long de la raie fessière de la donzelle pour lui faire croire qu’il allait la pénétrer alors qu’il avait juste l’intention de la chauffer en la provoquant encore un bon moment.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le mardi 13 août 2013, 03:25:45
Lorsque les volées de claques sur ses fesses cessent, elle s'autorise en fin à desserrer les dents, mais ses doigts restent crispés. Elle respire fortement, la joue collée contre le tissu imbibé de salive. La peur et la gêne ont presque disparu, laissant la place à une certaine quiétude. Seul l'agitation du démon derrière elle l'empêche de sombrer dans la torpeur.

« Hum j’ose espérer que cette petite punition t’aura ôté l’envie de me provoquer »


La brute porte ses doigts à l'intimité de sa victime et les fait glisser sur ses lèvres ; c'est à se moment qu'elle réalise qu'elle est humide. Elle ignore à quel moment cela a bien pu commencer, mais de toute évidence son corps s'est préparé pour un accouplement. Il la met à quatre pattes : elle tient difficilement en équilibre, ses membres étant tremblants et faibles et son arrière train incandescent se rappelant désagréablement à elle à chaque mouvement. Il continue à titiller son sexe, avec une certaine adresse elle doit le reconnaitre. Il essaie à nouveau de lui donner du plaisir ; elle n'en veut pas, alors pourquoi cet acharnement ? Il approche enfin son sexe de l'anus d’Élise et commence à en caresser les alentours, tournant autour du pot si on peut dire. La chose aurait pu être excitante si la femme avait attendu cette pénétration avec impatience, mais dans le cas présent elle ne fait que vaguement la redouter, ce qui rend ce petit jeu absurde à ses yeux.

La volonté de résister commence à lui manquer. Elle pourrait tout simplement le laisser s'amuser avec son corps, lui faire croire qu'il l'envoie au paradis, jusqu'à ce qu'il soit satisfait... elle doit rassembler ses miettes de courage et d'inconscience pour lui lancer, en tournant la tête vers lui, une nouvelle réplique, où cette fois, malgré la faiblesse de la voix, l'ironie est clairement discernable.

« Ce que je pense semble vous inquiéter... »


Elle espère en disant cela ne pas dépasser certaines bornes. Si c'est le cas, elle pourrait vraiment le payer cher. Mais l’impression de tenir son ravisseur par l’orgueil est grisante. Peut-être - surement - va-t-il encore la frapper. Après tout elle l'a cherché. Ou alors peut-être se contentera-t-il de la ramoner sauvagement, comme un violeur digne de ce nom. Elle ne compte pas le laisser se montrer doux avec, en tout cas. Ils sont ennemis, elle ne l'oublie pas.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le mardi 13 août 2013, 10:35:12
Les efforts pour l’exciter semblaient marcher car Elise était désormais bien mouillée et lui s’en était vite rendu compte, malgré son envie de résister elle rester une femme appréciant qu’on s’occupe d’elle et qu’on la touche à certains endroits sensible. La volonté de la belle semblait se fragiliser et l’envie de s’abandonner à un plaisir pervers finirait sans doute par la traverser, c’était là une torture particulièrement humiliante pour les demoiselles qui avait du mal à admettre qu’on pouvait les faire couiner tout en abusant d’elles.

Quand elle finit par tourner la tête et lui parler, le démon vit qu’elle était sur le point de céder et qu’il s’agissait d’une tentative masquée pour le dissuader de la sodomiser. Une pratique humiliante qui avait l’air de l’effrayer et qu’elle essayait de lui rappeler qu’il avait accepté de lui épargner la honte de se faire tringler devant son cocu impuissant. Cette petite ne manquait pas de cran pour ainsi le défier juste pour lui prouver qu’elle aussi pouvait avoir de la répartie bien qu’elle ne soit qu’une dinde de bourgeoise qui allait se faire violer. Cela amusa un peu le démon qui décida de ne pas la faire taire en la frappant, ça aurait été une réaction primaire et un quasi aveux de faiblesse face à son ironie.

« Surement sinon je t’aurais prise devant ton mari ma jolie mais ça avait l’air de te gêner que je te câline pas vrai ?  » répliqua t’il sur un ton moqueur.

Joueur le démon retourna la jeune femme sur le dos pour la serrer dans ses bras musclés et l’embrasser chaudement à pleine bouche puis dans le cou tout en s’amusant à tripoter ses tétons durcis par l’envie. Faisant courir ses mains sur les beaux seins de madame Landevin pour la taquiner et la faire frissonner, il voulait lui montrer combien sa résistance était vaine et qu’elle aurait mieux fait d’accepter qu’il soit attentionné avec elle. Sans doute que sa fierté de femme mariée lui empêchait de se laisser aller mais il saurait bien la pousser à le faire, après tous les humains n’était fidèles que par fausse morale et ignorance des joies du libertinage …

D’un air charmeur et coquin il lui sourit et lui lança « Arrêtes de faire la mijaurée, ta chatte parle pour toi, t’es trempée … »

C’était la une de ses répliques préférées car elle mettait ses victimes devant le fait accomplis qu’elles prenaient du plaisir à la situation et qu’il serait vide de sens de continuer de nier leur envie montante de se faire prendre et le désir de se soumettre à un démon habile qui savait bien s’y prendre pour les faire crier.

Tel un prédateur sentant sa proie vulnérable Kabraxis repris sa petite torture en caressant sensuellement l’entrecuisse de la pouliche humaine et en y introduisant deux doigts par moment, le tout sans cesser de guetter les réactions de la blonde. Il fallait qu'elle lâche prise et se mette à couiner, couchée sur le dos il lui serait plus difficile de mordre un coussin pour étouffer ses gémissements et de nier le plaisir qui finirait par la prendre, la victoire était proche car il la sentait mouiller davantage. La donzelle serait bientôt inondées et impatiente de se faire prendre, il y veillerait.

Poussant plus loin son avantage le démon finit par retirer sa main de l’inimitée trempée d’Elise pour venir fièrement porter ses doigts gluants aux lèvres de sa captive pour l’inviter à gouter à sa propre cyprine pour bien l’humilier et lui montrer qu’elle n’était qu’une femelle destinée à calmer ses ardeurs démoniaque.

« Aller coquine, lèches mes doigts plein de mouille puis vient me montrer comment tu suces un homme à moins que tu ne préféres te parjurer haha » Ordonna t’il sur un air amusé, il savait qu’avec la promesse qu’elle lui avait faite il détenait un beau moyen de la pousser à obéir et donc de l’humilier en la poussant à agir comme une délurée.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le mercredi 14 août 2013, 04:28:35
« Surement sinon je t’aurais prise devant ton mari ma jolie mais ça avait l’air de te gêner que je te câline pas vrai ?  »

Cette réponse lui cloue le bec, lui rappelant qu'elle est tout de même dépendante de la bonne volonté du démon, qui pourrait très bien la ramener devant son mari pour les humilier tous les deux. De plus, il ne semble pas tomber à nouveau dans le piège et décide de persévérer dans ses actes de douceur ; il la fait rouler sur le dos et se jette sur elle comme un amant passionné. Elle se force à desserrer les lèvres sous le baiser de son violeur, malgré sa répulsion ; après tout, elle a promis d'obéir. Celui-ci descend ensuite vers son cou et elle le laisse faire, agrippant à nouveau les couvertures pour se forcer à rester immobile alors qu'elle ne pense qu'à se dégager de cette étreinte humide. Il caressa à nous ses seins ; ceux-ci avaient choisi leur camp et brandissaient avec impudeur leurs mamelons gonflés.

« Arrêtes de faire la mijaurée, ta chatte parle pour toi, t’es trempée … »


Elle pince les lèvres, sans rien dire ; ça n'est pas de sa faute si son corps réagit ainsi, cela ne change rien au fait que tout ça la dégoute et qu'elle ne s'y plie que sous la contrainte. Cet argument aurait sonné faux si elle l'avait prononcé, mais elle sait qu'il est juste. Elle ne desserre pas les commissures de la bouche alors qu'il commence à la masturber. Elle ne veut surtout pas montrer le moindre trouble, la moindre expression ambiguë. Son visage reste fermé et ses sourcils froncés, même si sa respiration accélère inexorablement ; contre sa volonté, ces attouchement lui procurent des sensations agréables et font monter son excitation.

Lorsque les caressent la même expression est restée plaquée sur son visage, bien que ses joues aient commencé à rougir. L'homme lui tend ses doigts recouverts de cyprine ;

« Aller coquine, lèches mes doigts plein de mouille puis vient me montrer comment tu suces un homme à moins que tu ne préféres te parjurer haha »


A contre cœur, elle ouvre la bouche et engloutit des doigts et passe sa langue autour d'eux pour les débarrasser de la substance qui les enduit. C'est répugnant, elle en aurait presque un haut le cœur. Mais ce n'est que le début puisqu'il lui a également ordonné de le sucer. Elle s'encourage en pensant que meilleure sera cette fellation, plus vite cette humiliation se terminera. Elle se redresse en poussant un grognement, sa cuisse et son postérieur la faisant souffrir dans son mouvement. Elle n'aime pas vraiment l'idée de laisser se sexe s'introduire dans sa bouche, mais ça n'est pas comme si elle avait le choix... elle se penche vers le pénis turgescent et le laisse glisser à l'intérieur de sa cavité buccale, la caressant avec ses lèvres. Elle la saisit à la base d'une main, pour mieux la diriger, et commence de lents va et vient avec sa tête, frôlant la verge avec ses lèvres, cajolant le dessous de gland avec sa langue. Ayant déjà pratiqué cette activité avec son mari de nombreuses fois, elle n'est pas totalement démunie, malgré son manque de volonté, et elle espère bien amener le chevalier à la jouissance assez rapidement.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le mercredi 14 août 2013, 10:33:59
Les répliques du démon avaient finalement remis en place la captive qui commença à se laisser faire en se taisant par peur de la punition. Elise semblait vaincue et soumise vu qu’elle se contentait désormais de taire ses gémissements pour ne pas donner raison à son ravisseur qui lui avait bien fait remarquer qu’elle mouillait et qu’elle n’osait pas s’avouer qu’elle frissonnait sous ses caresses et ses baiser sucrés. La belle rougissait de honte et de géne mais obéit quand il lui ordonna de gouter à sa cyprine avant de venir le sucer.

Qu’il était plaisant de la voir céder et accepter de jouer les bonnes garces dévergondées dans le but d’amadouer son nouveau maître afin qu’il ne s’en prenne pas à son mari par la suite. Si elle semblait jamais avoir pratiqué la sodomie, la blonde savait visiblement s’y prendre pour sucer et devait probablement se débrouiller en galipettes même si jusqu’alors elle ne mettait pas du vraiment sien pour participer cela commençait à changer. La bourgeoise semblait s’appliquer à bien lui tailler une pipe probablement dans l’espoir qu’il lui épargne les pires sévices, c’était beau de voir une femme céder ainsi à l’appel de la luxure en commençant à jouer avec sa trique pour tenter de calmer sa rage.

Satisfait le démon vient caresser les cheveux soyeux de l’humaine qui le suçait désormais comme une petite étudiante salope et toujours en lui souriant d’un aire coquin il lui dit. « Hum tu suces comme une chienne, c’est bien continues ma belle …. Montres moi comment tu sais jouer les salopes pour éviter de te faire enculer ! »

Il aimait la voir ainsi entre ses jambes à lui nettoyer la verge. Son air énervé était excitant comme si elle était furieuse envers elle-même de n’être qu’une faible femme devant se soumettre au vainqueur, une jument impuissante qui vivait que pour se faire saillir et remplir par des chevaux furieux. Les beaux seins de la blonde étaient bien mit en valeur dans cette position ou elle se penchait en avant pour venir le lécher tandis que lui était assis sur le lit à la regarder sucer.

Sa gorge serrée était un régal et le beau diable saisi la belle par la crinière pour la pousser à lui faire des gorges profondes tandis que lui donnait de légers mais rapide coups de reins pour bien lui baiser sa bouche de petite bourge effarouchée. L’idée de lui remplir la bouche de foutre était vraiment tentante et il serait bête de s’en priver.
 
« Actives toi un peu plus ma jolie, fait de longs va et viens en me caressant les bourses … Fais-moi jouir dans ta bouche et avales le foutre comme une grosse cochonne. » Ordonna-t-il d’une voix sacadée par le plaisir qu’il prenait à se faire pomper, humiliant d’avantage le blondasse qu’il était en train de dresser.

Amusé le démon cessa ses coups de reins pour lui laisser finir de lui dévorer son gros mandrin qui déformait la bouche de la captive de façon plaisante, cette mijaurée était complétement en son pouvoir et il comptait bien profiter de son butin jusqu’à la faire rugir de plaisir comme une vulgaire trainée aimant se faire bourrer par un salaud ne lui faisant aucun cadeau …
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le jeudi 15 août 2013, 00:42:41
« Hum tu suces comme une chienne, c’est bien continues ma belle …. Montres moi comment tu sais jouer les salopes pour éviter de te faire enculer ! »

Élise ne prête plus guère attention aux grossièretés de son ravisseur qui n'ont plus grande importance, vu la situation. Elle veut bien se comporter comme une chienne si cela peut accélérer les choses et permettre au guerrier de jouir rapidement. Ils sont seuls dans cette pièce après tout... elle se cambre légèrement pour mettre en valeur ses fesses tandis qu'elle continue sa fellation qui gagne lentement en intensité. A l'écoute des réactions du chevalier, elle veille à faire monter son excitation du mieux qu'elle peut.

Soudain celui-ci lui saisit la tête pour enfoncer sa verge brutalement dans sa gorge. La pauvre est surprise par cette violence : elle n'a jamais été traitée de la sorte et ne s'attendant tout simplement pas à ce que le mâle qu'elle s'appliquait à satisfaire veuille transformer cette fellation, dont l'intérêt est à son sens la douceur et la sensualité, en une pénétration brutale. Elle commence à étouffer, et chacun des coups de hanches du monstre appuie à l'arrière de sa langue, déclenchant un spasme nauséeux. Elle essaye de se dégager, mais il la maintient contre lui de sa poigne de fer, la verge profondément enfoncée dans sa bouche, le gland cognant contre sa glotte.

« Actives toi un peu plus ma jolie, fait de longs va et viens en me caressant les bourses … Fais-moi jouir dans ta bouche et avales le foutre comme une grosse cochonne. »

Finalement, une contraction de son estomac plus violente que les précédentes expulse un jet de bile hors de sa gorge, celui-ci se répandant sur le sexe et les cuisses du dominateur avant d’aller tacher les draps du lit. La blonde se dégage alors de l'emprise du démon et, pliée en deux, des larmes coulant sur ses joues, elle se met à tousser et à cracher, sur le parquet, les restes de sont renvoie.

L'odeur de son propre vomit la prend à la gorge, et elle manque de se vider une nouvelle fois. Si elle s'attendait à être humiliée, la situation dépasse tout ce qu'elle aurait pu imaginer... la peur, la colère, et le début d'excitation malsaine qu'elle ressentait un instant auparavant ont disparu, laissant place à un vague haut le cœur gluant accompagné de morceaux de honte à demi digérés. Elle se demande un instant si son violeur avait prévu ce qui vient d'arriver, si c'est encore l'une de ses perversions... recroquevillée sur elle-même et tremblante, elle lance un regard en coin au monstre dont le gourdin dégouline de soupe stomacale. Vu son expression, il semblerait qu'il n'ait pas anticipé la chose.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le jeudi 15 août 2013, 12:17:24
Kabraxis, prince démon des enfers était abasourdi et dégouté. Cette blondasse avait osé lui vomir dessus alors qu’il lui avait juste baisé la gorge pendant une petite minute, pourquoi avait-il fallu qu’il tombe sur une telle cruche lit ? Comment avaient-ils pu en arriver là alors qu’il avait forcé des filles à le sucer des dizaines de fois sans qu’elles en viennent à faire quelque chose d’aussi dégueulasse. Ce genre de faucheux accident ne lui était plus arrivé depuis un siècle et il dû faire des efforts pour ne pas s’énerver et rester digne en allant chercher un linge dans l’armoire pour s’essuyer les parties.

Le démon était fâché contre Elise mais aussi contre lui-même, il n’aurait pas dû s’amuser à la forcer à avaler entièrement sa verge d’étalon d’emblée sans l’avoir préparée. Mais cela il n’allait évidement jamais l’avouer à la femme qu’il violait, ça ne l’aurait vraiment pas fait qu’il se ridiculise en s’excusant envers celle qui allait devenir son esclave.

Il aurait perdu toute son autorité sur elle alors il se contenta du lancer un regard lourd de reproches à sa victime avant de déclarer. « Tu ne pouvais pas te retenir pauvre cruche ? Regarde dans quel état tu nous as mis … On va devoir aller à la salle de bain se laver avant de reprendre les réjouissances pour le coup ! »  

Le démon dévisagea la pauvre Elise qui avait aussi vomis sur le parquet, décidément elle avait l’air pitoyable dans cette posture peu ragoutante et ils feraient bien d’aller la laver de toute ses souillures afin qu’elle soit de nouveau attirante et bonne à baiser dans sa nudité. Le monstre finit de s’essuyer puis lancer un autre linge à la captive pour qu’elle se nettoie et cache sa honte d’être à poil, puis il la prit par le bras et il sortirent dans le couloir et le démon en profita pour lancer un regard moqueur au mari cocu et attaché en passant devant la porte de la chambre des tourtereaux resté entrouverte.

« Alors cocu, on s’ennuie tous seul dans son coin  ? Elle est bonne ta femme, une vraie pouliche en chaleur Haha ! »  lança-t-il au pauvre marchand attaché pour l’humilier puis Elise et lui descendirent doucement les escaliers pour aller se nettoyer dans la salle de bain. Il s’agissait d’une vieille salle de toilette médiévale avec des baquets et un pompe à eau froide qu’il fallait faire ensuite chauffer. Qu’importe, l’eau glacée ne faisait qu’endurcir les guerriers et exciter les filles, lesquelles aimaient généralement qu’on les réchauffe en les baisant après avoir eut un peu froid.

Le démon fit doucement entrer la blonde dans le grand baquet puis lui versa plusieurs seaux d’eau froide sur la tête pour la faire frissonner et aussi la punir de lui avoir vomis dessus, puis il entra à son tour dans la baignoire médiévale de manière à être placée dans le dos de la donzelle dont il caressa à nouveau les jolis seins pour la taquiner avant de déclarer. « Alors ma jolie on n’est pas bien ici tous les deux ? Tu t’es déjà amusée à te faire sauter dans l’eau ? »
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le vendredi 16 août 2013, 03:43:25
« Tu ne pouvais pas te retenir pauvre cruche ? Regarde dans quel état tu nous as mis … On va devoir aller à la salle de bain se laver avant de reprendre les réjouissances pour le coup ! »

Et voilà que l'énergumène se torche le gourdin dans le linge propre. Même maintenant, elle ne peut s'empêcher de trouver ça culotté. On voit bien que c'est pas lui qui fait la lessive... bon, lorsqu'il lui envoie à elle un drap, elle ne se prive pas non plus pour s'essuyer les lèvres, parce qu'elle se sent vraiment sale... elle s'enroule ensuite à l'intérieur, bien qu'au fond, ça ne soit pas d'une grande utilité. Le démon l'entraine ensuite dans le couloir avant d'aller parader devant l'époux ligoté.

« Alors cocu, on s’ennuie tous seul dans son coin  ? Elle est bonne ta femme, une vraie pouliche en chaleur Haha ! »


Il existe deux types de personnes : celles qui ont de l'humour et les autres. Élise appartient sans nul doute à la première catégorie. L'humour, c'est la petite étincelle qui vient vous dérider à peu près n'importe quand, c'est le grain de folie qui fait pouffer les soldats au fond de leur tranchée, au milieu des cadavres. Alors que la pauvre femme suit son ravisseur, légèrement boitillante et voutée, vers une autre pièce dans laquelle elle sera certainement violée brutalement, elle ne peut empêcher son visage de se déformer dans un rictus sincèrement rigolard. Les paroles du chevalier contrastent tellement avec les faits ( car pour le moment, avouons le, il n'a pas beaucoup profité du corps de sa soumise et s'est montré un amant exécrable ) que s'en est, pour elle, complétement ridicule. Passant à son tour devant l'ouverture, elle fait tanguer sa main horizontalement, par l’entrebâillement, dans un geste pouvant signifier, dans le contexte, quelque chose comme "bof bof". Elle n'a pas le temps de communiquer plus amplement sa manière de penser à son mari qu'elle est déjà entrainée par le bras. Elle a la présence d'esprit de garder son rire silencieux alors qu'elle marche derrière lui. Elle n'imagine pas la raclée qu'il serait capable de lui mettre s'il s'apercevait qu'elle se paie sa tête, surtout après ce qui vient d'arriver.

Elle le suit jusqu'à la salle de bain et entre sans broncher dans le baquet ; elle ferme les yeux et se crispe avant que le premier seau d'eau froide ne se déverse sur elle. Pour le coup, elle n'a plus tellement envie de rire, c'est franchement désagréable. Décidément, ce "viol" a le don de la faire passer d'une émotion à une autre sans préavis. Elle grelotte dans l'eau froide, assise au fond du bac, quand son tortionnaire se décide à la rejoindre, passant dans son dos pour la tripoter à nouveau. Les caresses du démon ont assez peu d'effet, sa victime étant surtout obnubilée par la température de l'eau.

« Alors ma jolie on n’est pas bien ici tous les deux ? Tu t’es déjà amusée à te faire sauter dans l’eau ? »


Ce qu'il est lourdeau... il lui ferait presque penser aux séducteurs ivres des fêtes de village, s'il n'était pas aussi cruel et s'il ne la tenait pas à sa merci... elle lève les yeux au ciel, profitant encore une fois qu'il ne peut voir son visage pour exprimer son mépris au mur d'en face. On a les revanches qu'on peut. Elle n'a pas envie de répondre à la moindre de ses remarques, et pourtant il le lui faut bien, se taire pouvant passer à juste titre pour une marque de mépris. Elle lâche donc d'une voix neutre :

« Oui... mais dans l'eau chaude. »
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le vendredi 16 août 2013, 10:44:10
Cette petite dinde d’Elise était décidément amusante, elle était si ignorante et tellement habituée à sa vie tranquille et son confort de bourgeoise avec un mari lopette qui devait sans doute lui offrir tous ce qu’elle voulait pour qu’elle devienne à ce point douillette quand il lui versa de l’eau froide dessus. A vrai dire elle représentait le genre de personne que le démon méprisait, les riches stupides et suffisants qui n’avaient jamais connus rien d’autre qu’une vie dorée et oisive. Des courtisans bouffons qui étaient si facile à faire tomber de haut en leur collant une bonne humiliation.

La blondasse semblait bien habituée à son confort et eut le culot de déclarer qu’elle aimait se faire trousser dans un bain chaud et pourquoi pas un jacuzzi tant qu’on y était ? S’il y avait une chose que le démon ne pouvait pas supporter chez les femmes c’était bien les capricieuses suffisantes qui s’imaginer pouvoir mener leurs hommes par le bout de la queue pour qu’ils fassent tout ce qu’elles voulaient comme de minables soumis.

Agacé Kabraxis ne tarda pas à remettre en place cette pimbéche superficielle qui n’avait pas encore l’air de réaliser qu’il était ce qui pouvait lui arriver de pire et qu’elle allait bientôt devenir son esclave, une pauvre chienne qui dormira plus souvent par terre que dans un lit. Fortune avait bien besoin qu’on lui rappelle que rien n’était dû en ce monde et qu’avec lui elle allait devoir souvent se remuer les fesses si elle ne voulait pas être traitée pire qu’une soubrette …

 « Mais c’est que madame la bourgeoise est habituée à son petit confort et aurait voulu que je lui coule un bain. Hélas je ne suis pas un pauvre soumis te passant tous tes petits caprices comme ton crétin de mari. Il va falloir sortir de ta petite vie tranquille et dorée pour affronter la réalité, pendant qu’ici tu ne manques de rien des milliers gens crèvent de faim mais ça n’a pas l’air de t’inquiéter. Oh mais j’oubliais, tu es une gourdasse de catégorie A qui n’a jamais voyagé ou ouvert un livre, une bécasse qui serait incapable de se débrouiller si je l’abandonnait la nuit en pleine forêt. »  Lança le démon d’un ton railleur en sortant du bain pour se sécher avant d’ordonner à la captive de faire de même.

Lui qui était intelligent savait pertinemment que les mots matait souvent les gens bien plus que les coups et frappait souvent là où ça faisait mal. Les gens n’appréciaient pas quand on leur rappelait leurs faiblesses et leur stupidité. Le prince démon allait faire s’effondrer la petite ville tranquille de sa victime, laquelle ferait vite moins la maline quand il l’emmènerait dans des endroits nettement moins sympathiques que Natalis. Des lieux où elle ne serait qu’une pauvre esclave parmi d’autres devant ramper et supplier comme une petite chienne pour que son maitre ne la punisse pas en la faisant dormir dans un cachot sordide.

 « Je crois qu’une petite leçon d’humilité te fera le plus grand bien, je m’en vais te baiser sur la table de ta cuisine comme une vulgaire servante forcée d’écarter les cuisses devant son seigneur ! » Annonça-t-il d’un ton sec avant t’entrainer Elise jusqu’à la dite cuisine ou il la fit s’allonger sur le dos sur la table dure avant de lui écarter les cuisses pour commencer à lui caresser l’entrejambe en ricanant. Si cette bêcheuse voulait qu’il la viole durement en la traitant comme une catin plutôt que cela se passe en douceur avec des caresses. Hé bien elle allait être servie !
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le vendredi 16 août 2013, 21:49:31
« Mais c’est que madame la bourgeoise est habituée à son petit confort et aurait voulu que je lui coule un bain. Hélas je ne suis pas un pauvre soumis te passant tous tes petits caprices comme ton crétin de mari. Il va falloir sortir de ta petite vie tranquille et dorée pour affronter la réalité, pendant qu’ici tu ne manques de rien des milliers gens crèvent de faim mais ça n’a pas l’air de t’inquiéter. Oh mais j’oubliais, tu es une gourdasse de catégorie A qui n’a jamais voyagé ou ouvert un livre, une bécasse qui serait incapable de se débrouiller si je l’abandonnait la nuit en pleine forêt. »
 
Intérieurement, elle commence à bouillir de ne pas pouvoir lui répondre. Non seulement il ne sait rien sur elle, mais en plus il se permet de lui faire la morale, comme si lui se souciait du sort des miséreux. Son mari a fait fortune honnêtement, et elle doute que ça soit le cas de cet envoyé des enfers. En plus il se permet de l'insulter. Lui qui n'est finalement qu'un voyou sans envergure et sans intelligence...

« Je crois qu’une petite leçon d’humilité te fera le plus grand bien, je m’en vais te baiser sur la table de ta cuisine comme une vulgaire servante forcée d’écarter les cuisses devant son seigneur !
- Q-quoi ?!  »


Il ne peut pas faire ça ! Tout le monde va les voir par la fenêtre grande ouverte ! Elle sait qu'elle devrait obéir, mais la panique la saisit et c'est plus fort qu'elle, elle résiste de toute ses forces, se débattant comme une furie, projetant de l'eau partout autour du bac, avant que celui-ci ne se renverse et qu'elle ne glisse, impuissante, sur le sol de pierre, trainée sans effort apparent par le démon  qui l'amène, implacable, jusque devant le plan de travail de la cuisine. Ses battements de jambes paniqués ne servent à brasser de l'air ; elle pousse des petits gémissements suppliants à peine audibles, bridée par la peur que quelqu'un dans la rue l'entende et ne regarde à l'intérieur...

« Non !... S'il vous plait ! Pas ça, pitié !  »

Il la décolle du sol et la dépose sur la table, encore recouverte d'épluchures de pommes, avec une aisance effrayante, avant de lui écarter les cuisses de force. et de commencer de nouveaux attouchements, auxquels elle prête à peine attention ; elle ne peux quitter des yeux l'ouverture béante qui donne sur la rue. Elle ne détecte personne à l'extérieur pour l'instant, mais quelqu'un va finir par passer en jetant un œil distrait, c'est une fatalité. A ce moment il la verra, cuisses écartées, offerte comme une pute à un étranger... elle ne pourrait plus regarder personne dans les yeux, son mari serait humilié. Son cœur bat plus fort que jamais et un sanglot de détresse monte de sa gorge, déformant son visage. Elle attrape les poignets du démon dans ses petites mains, tentant de les repousser de toute ses forces, bien que connaissant la futilité de cet affrontement physique, tandis qu'elle le supplie à voix basse avec l'énergie du désespoir, les mots s’échappant de sa bouche dans un flot ininterrompu :

« S'il vous plait arrêtez, je vous en supplie ! Ils vont nous voir, il vont... vous avez gagné ! Je suis à vous, pitié ! Je vous obéirais ! Arrêtez, je serais... je ferais comme désirez ! Pas ça !... »
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le samedi 17 août 2013, 08:01:43
Qu’il était plaisant de voir Elise en proie au désespoir et réduite à le supplier, la simple idée qu’un de ses voisins puisse passer devant la fenêtre et la voir en train de se forniquer avec un étranger comme une pauvre trainée trompant son mari lui était totalement intolérable au point de devenir un peu hystérique. La perspective d’être ainsi humilié à se faire violer devant des gens qu’elle connaissait la faisait paniquer et désormais elle l’implorait comme elle l’avait prié de ne pas la trousser devant son mari attaché.

A vrai dire personne dans la rue ne risquait de les voir ou de les entendre batifoler car le démon avait pris la précaution de lancer plusieurs sort d’illusion sur la maison en arrivant, il n’aimait pas être dérangé par des humains stupides lorsqu’il s’amusait à punir un minable l’ayant mérité en troussant sa femme ! Cette dernière semblait désormais tenter de lui résister tellement qu’elle était affolée à l’idée qu’une de ses voisines puisse les voir, c’était franchement marrant vu qu’il avait prévu d’emmener Elise comme butin avec lui et la pauvrette ne remettrait sans doute jamais les pieds ici.

Devait-il la rassurer pour qu’elle se calme ou en revanche en profiter pour la torturer psychologiquement afin qu’elle ne soit plus qu’une pauvre fille matée et résignée ? Il se souvenait vaguement lui avoir avoué qu’il se souciait un peu de la ménager, pas par pitié mais simplement parce qu’il avait envie de la séduire afin qu’elle lui appartienne totalement ...

Lorsqu’elle lui lança qu’il avait gagné et qu’elle ferait tous ce qu’il voudrait il se mit à ricaner, la pauvre croyait vraiment qu’il se contenterait d’une simple petite victoire sur elle ? Une humiliation et un droit de cuissage avant qu’il s’en aille et la laisse en paix comme l’aurait fait un minable démon queutard de bas étage … Ah vrai dire c’était vexant qu’elle le prenne pour un minable alors qu’il était justement ce que les enfers faisait de mieux, un monstre de manipulation qui avait fait trembler les nations. Même ces pleutres d’anges et toutes leurs manigances ne lui arrivait pas à la cheville !

De la pitié ? Alors que tu as toi-même sous-entendu que tu que tu préférais que je te traite comme une trainée plutôt qu’essayer de te plaire ? Je t’ai déjà fait une faveur de ne pas le faire devant ton mari mais toi tu continues de faire la mijaurée me prenant de haut pour ensuite promettre de faire tout ce que je veux, tu ne serais pas en train de te ficher de moi par hasard ?  Lança-t-il d’un ton cassant tout en la maintenant plaquée sur la table tandis qu’elle gigotait.

Dans sa colère le démon lança un sort d’illusion pour faire apparaitre une fausse villageoise à la fenêtre, laquelle pris un air scandalisée et regarda le couple avec mépris pendant de longues secondes qui durent paraitre interminable pour la blonde … Avant de se transformer en petit diablotin faisant des grimaces, se moquant de la pauvre Elise qui venait de se faire piéger par le démon. Puis il disparut quand Kabraxis dissipa le sort en souriant.

« Huhuhu si tu avais vu ta tête ma jolie … Maintenant calmes-toi, j’ai placé des sorts d’illusions sur ta maison pour que tes voisins ne puissent pas nous voir ou nous entendre. Je n’aime pas être interrompu par des bouseux pendant que je m’amuse vois-tu. Et là je vais te baiser ma jument car j’en peux plus d’attendre !  »  Déclara le démon tandis qu’il profitait du trouble de la jeune femme pour la pénétrer lentement mais surement, une délicieuse sensation de sentir son membre imposant se frayer un chemin dans sa petite chatte serrée d’humaine tout en s’amusant de la gêne et du trouble qu’il avait causé chez sa victime qui n’en menait plus large.

Kabraxis avait effectivement remporté cette bataille mais il lui restait encore à gagner la guerre en séduisant Elise pour qu’elle devienne sa maitresse aimante, les pauvres esclaves humaines vaincues et soumises c'était pour les amateurs. Lui visait bien plus haut que les simples démons qui se contentaient de trousser des femmes délurées ...
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le lundi 19 août 2013, 13:19:13
« De la pitié ? Alors que tu as toi-même sous-entendu que tu que tu préférais que je te traite comme une trainée plutôt qu’essayer de te plaire ? Je t’ai déjà fait une faveur de ne pas le faire devant ton mari mais toi tu continues de faire la mijaurée me prenant de haut pour ensuite promettre de faire tout ce que je veux, tu ne serais pas en train de te ficher de moi par hasard ?
- Non je vous promet, je... »


Elle se tait soudainement : une femme vient de s'arrêter devant la fenêtre et leur jette un regard assassin. La honte écrase brutalement l'épouse modèle, pour qui le temps semble s'étirer jusqu'à la déchirure, pendant qu'une suée glaciale part de sa nuque pour envahir tout son corps. Elle sait trop bien ce que doit penser cette inconnue, à l'instant. Elle cache son visage derrière sa main et ferme les yeux pour tenter en vain d'échapper à l'humiliation, mais malgré ses efforts elle ne peut cesser d'avoir conscience de sa position ; piégée entre deux présences hostiles qui la jugent, chacune à leur manière.

Mais de quel droit elle reste ici à regarder, l'autre ? Cette connasse, qu'est-ce qui l'autorise à se planter là et à la mépriser ? Élise, rabaissée à moins que rien, voudrait rabrouer cette mégère et la remettre à sa place, mais dans sa position tous les mots qui pourraient sortir de sa bouche lui semblent par avance sonner faux. Le monde entier semble s'être injustement ligué contre elle. Elle leur en veut à tous ; le démon, la voyeuse, son mari à cause de qui tout ça arrive. Dire qu'on se permet de penser du mal d'elle, alors qu'elle a toujours agit du mieux qu'il était possible... elle n'y est pour rien, qu'on la laisse tranquille !

Elle ne peut plus raisonner ; son esprit et son corps en sont réduits à un champ de bataille où la colère et la honte se livrent une bataille sauvage... avant que la honte ne l'emporte finalement, repoussant la colère jusqu'au fond de sa gorge. Elle pleure alors amèrement dans sa paume. Un vrai sanglot d'impuissance, dégueulasse, de ceux qui vous martyrisent les muscles du visage et vous font montrer les dents.

La spectatrice se mue alors en une petite créature humanoïde, écarlate et grotesque. La pauvre bourgeoise pousse un cri de frayeur en protégeant son visage avec ses bras ; le petit monstre s'agite un peu, puis disparait. Tout ceci n'a aucun sens... elle se penserait dans un cauchemar si les douleurs réparties à divers points de son corps ne donnaient pas à cette scène délirante un côté terriblement tangible.

« Huhuhu si tu avais vu ta tête ma jolie … Maintenant calmes-toi, j’ai placé des sorts d’illusions sur ta maison pour que tes voisins ne puissent pas nous voir ou nous entendre. Je n’aime pas être interrompu par des bouseux pendant que je m’amuse vois-tu. Et là je vais te baiser ma jument car j’en peux plus d’attendre !  »


Ce démon... elle le déteste et elle le craint. Il a tout pouvoir sur elle : celui de l'humilier, de la tuer, de la torturer en lui faisant voir ce que bon lui semble... elle pleure de plus belle, comme pour implorer sa pitié. Cela ne le touche pas, et elle ne s'attendait pas vraiment à ce qu'il se radoucisse mais... peut être qu'elle continue de l'espérer, au fond. Son insensibilité est surement ce qui rend ce monstre terriblement effrayant ; il est capable de tout. Pourquoi un être pareil doit-il exister ? Comment une injustice pareille peut-elle arriver ? Ce n'est pas un criminel sans moral qui s'apprête à abuser d'elle, c'est une sorte d'erreur, une bête qui prend plaisir à faire le mal, invincible, qui peut se permettre d'entrer dans les demeures des hommes comme bon lui semble... Contre lui elle ne peut même plus se fier à ce qu'elle voit, alors qu'elle ne disposait de rien d'autre. Et bien qu'il lui ait assuré que l'intérieur de la maison soit invisible pour les passants, elle ne peut s'empêcher de fixer la fenêtre avec inquiétude.

Finalement, comme annoncé, il la pénètre, sans égard pour elle que son passage dans le bain a asséchée, ouvrant dans la douleur le passage à travers le seuil de son intimité, écartant de force son vagin contracté par l'angoisse. Elle pousse un cri étranglé, alors que cette poutre la tiraille un peu plus à chaque centimètre dont elle progresse impitoyablement, puis plante les ongles dans les avants bras de son violeur, cherchant à supporter cette brûlure atroce et à étouffer la peur que quelque chose en elle ne finisse par se déchirer sous ces frottements insupportables. Elle a sans cesse l'impression que ses chairs s'apprêtent à craquer tandis qu'il avance sans se soucier des conséquences pour son corps à elle.

Il n'a encore effectué qu'une seule allée dans son sexe, et c'est déjà plus qu'elle n'en peut subir, ou du moins qu'elle ne croyait pouvoir en subir. Dans un regain de lucidité qui la surprend elle même, elle tente de se détendre pour faciliter les va-et-vients  de la brute. Si elle cherche à se fermer, elle ne peut que se blesser elle même, et toute résistance est de toute façon inutile face à la puissance malsaine de cette créature. La pauvre femme, réduite à l'état d’ustensile sans pouvoir de décision, ne peut que se plier aux désirs de son tortionnaire en espérant qu'à la fin il l'épargne, comme il l'a promis.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le lundi 19 août 2013, 18:50:44
Fortune avait eu tort de prendre le prince démon pour un minable bandit de bas étage, une brute stupide qu’elle pourrait narguer et tenter de ridiculiser en se moquant des efforts qu’il avait fait pour ne pas se montrer trop cruel envers elle. Sans doute avait-elle dû se dire qu’elle pourrait se venger en douce en le snobant et en ne faisant pas vraiment d’efforts pour se montrer coopérative malgré la promesse faite d’être gentille en échange de ne pas être prise devant son mari cocu. Croyant que le démon serait trop idiot pour comprendre ces allusions et qu’elle pourrait le mépriser sans qu’il s’en aperçoive.

Désormais la blonde faisait bien moins la fière, la punition  cruelle qu’il lui avait infligée à l’aide d’illusions semblait avoir eu raison du courage d’Elise qui en était désormais réduite à lutter pour ne pas céder à la panique d’être à la merci d’une créature des enfers plus dangereuse et impitoyable que ce qu’elle aurait pu imaginer dans ses cauchemars. Après avoir tenté brièvement de nier s’être moquée de lui la jeune femme avait semblé mourir de honte en voyant sa crainte d’être vue par une passante se réaliser et l’épreuve avait dû être très éprouvante pour elle.

De chaudes larmes se mirent à couler sur les joues de madame Landevin et son tourmenteur pu constater qu’il lui avait déjà infligé presque plus que ce qu’elle ne pouvait supporter. Au début la bourgeoise avait pu se draper dans sa dignité pour nier le fait qu’elle était totalement à la merci d’un monstre démoniaque s’apprêtant à la violer mais après l’humiliation et la peur qu’il lui avait fait subir la blonde semblait sur le point de céder au désespoir.

La peur faisait se tendre la donzelle et il put sentir en la pénétrant qu’elle était très serrée avant qu’elle ne pousse un gémissement plaintif et lui plante ses ongles dans ses poignets pour lui faire sentir sa détresse. Alors qu’il s’attendait à ce qu’elle cède à ses émotions et se mette à l’insulter ou le supplier de se retirer, la blonde eut la présence d’esprit de commencer à se détendre et de se laisser aller. Abandonnant silencieusement la lutte contre son agresseur, elle s’en remettait à l’espoir qu’il soit un peu apitoyé par ses larmes et qu’il cesse de la punir en se montrant plus doux avec elle.

Elle avait sans doute bien fait car le démon vient lui caresser doucement la joue avant de poser ses grandes mains sur la poitrine d’Elise qu’il caressa avec tendresse, cherchant à exciter la jeune femme avant de lui parler d’une voix sensuelle. « Laisses-toi aller ma belle, si tu ne luttes pas et que tu y mets du tien, je saurais te récompenser à la hauteur de tes fantasmes les plus fous. Si tu me trouves trop gros, tu as le droit de te caresser pour te faire mouiller beauté, ça va aller.  »

Sur ces paroles le démon saisis doucement une des mains d’Elise pour la poser sur sa petite chatte élargie par son imposant mandrin pour qu’elle se caresse. Puis il se mit à donner de lents coup de bassin en continuant de lui tripoter les tétons, il voulait lui laisser le temps de s’habituer à l’épaisseur de sa verge et au fait qu’il la ménageait en prenant soin d’elle. Avec un peu de chance les deux partenaires pourraient prendre du bon temps ensemble si la blonde y mettait du sien et jouait le jeu de la coquine aimant se faire culbuter par un beau guerrier qui l’avait vaincue. Il y avait des femmes qui prenaient un plaisir pervers à ce genre de situation après tout et peut être que Fortune finirait par en faire partie, s’il la poussait un peu à la luxure ...
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le mercredi 21 août 2013, 16:12:06
Chaque coup de bassin, si lent soit-il et bien qu'elle soit parvenu à se détendre quelque peu, arrache à Élise des grognements de douleur. Son violeur quant à lui semble amusé de la situation. Il finit par amener sa main sur la joue de la victime pour la caresser. Celle-ci, dans une grimace de dégout, secoue la tête comme une enfant devant une vieillard qui voudrait lui pincer le nez ; elle ne veut pas de ces mains sur son visage, encore moins sur sa poitrine ! Elle pousse une sorte de gémissement bestial, venu du fond de la gorge, lorsqu'il commence à titiller ses seins avec douceur. Elle se tortille sans pouvoir s'échapper, retenue par sa promesse et sachant que le démon pourrait la maitriser à son aise, et elle se contracte à nouveau de toutes ses forces, rendant la chevauchée plus pénible que jamais.

« Laisses-toi aller ma belle, si tu ne luttes pas et que tu y mets du tien, je saurais te récompenser à la hauteur de tes fantasmes les plus fous. Si tu me trouves trop gros, tu as le droit de te caresser pour te faire mouiller beauté, ça va aller.  »

Comment peut-il s'imaginer une une chose pareille ? Après qu'il ait déplacé la main de sa captive vers son intimité, la blonde la ramène immédiatement à sa position initiale : fermement agrippée au bord de la table. Hors de question qu'elle tente quoi que ce soit pour prendre du plaisir avec lui. Elle n'a jamais éprouvé un tel dégoût auparavant. Comment peut-il lui parler d'une voix douce et la caresser alors qu'il vient de la torturer une minute plus tôt ? Non ça ne va pas aller. C'est un supplice, c'est injuste et il es le seul à aimer ça. Pauvre con. Elle a simplement envie de lui cracher au visage.

« Je ne veux pas de vos récompenses ! Je vous déteste !! »

Elle crie le tout d'une voix étranglée,  sans même se soucier des conséquences. Elle ne pouvait pas le retenir de tout manière, et puis son tortionnaire devrait déjà avoir envisagé l'idée que son jouet n'apprécie pas d'être supplicié ainsi et lui en veuille personnellement du traitement reçu.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le vendredi 23 août 2013, 13:04:07
Malgré sa promesse de se montrer docile et de faire toutes les cochonneries que voudrait le démon, la blonde Elise ne semblait faire aucun effort pour s’adapter à la situation et était visiblement des plus dégoutée que son ravisseur ose lui proposer de prendre du plaisir en sa compagnie. Cette nunuche commença à se tortiller pour s’échapper quand il commença à lui caresser tendrement les seins comme si ses caresses étaient une souillure. Bien qu’elle n’essaie pas vraiment de se dégager pour fuir, cette stupide femelle humaine rendait les choses déplaisantes, du moins pour elle car le démon appréciait de sentir ses lèvres se resserrer autour de sa virilité qui la pourfendait.

La donzelle retira vivement sa main de son bas ventre lorsqu’il l‘invita doucement à se caresser pour rendre les choses moins pénibles pour elle, visiblement cette petite idiote n’avait pas envie qu’il l’épargne. Cette nunuche devait penser que ça serait un comportement de putain que d’écarter tranquillement les jambes devant le vainqueur en cherchant à lui donner du plaisir tout en s’accommodant du fait d’être soumise au droit de cuissage, pour cette idiote un viol se devait surement d’être désagréable. Tant pis pour elle, le démon appréciait aussi quand une femme lui résistait et adorait punir les vilaines filles, cette petite prétendait le détester mais elle n’avait encore rien vu ...

« Je vois que tu n’as pas vraiment envie de faire des efforts pour tenir ta promesse ma belle, si tu préfères avoir mal que d’être gentille avec moi c’est ton problème. Résistes-moi j’adore ça, si tu t’y prends comme il faut je te montrerais qui est le véritable maitre. Punir les vilaines filles m’amuse alors continues comme ça, donnes-moi une raison de vous emmenez en enfer ton mari et toi. Un coin sympa ou vous aurez chacun le loisir de voir l’autre se faire violer par une bande de démons … Je connais des succubes qui seraient contentes que je leur offre un humain comme soumis et là on pourra vraiment dire que tu me détestes ! »

Le démon ricana puis se retira de la petite chatte étroite de l’humaine avant de soulever Elise dans ses bras et d’aller la déposer sur le tapis du salon puis il lui écarta de nouveau les cuisses et commença à lui dévorer l’entrejambe à grands coups de langue, s’attardant sur le clitoris pour la faire couiner. Il voulait pousser cette pimbéche à prendre du plaisir malgré elle pour qu’elle s’habitue à n’être qu’une esclave devant le satisfaire. Tandis qu’il s’appliquait à bien la lécher Kabraxis réfléchissait à ce que pourrait être la suite du programme pour sa nouvelle soumise, il pourrait l’amener chez Carmellia. Son amante louve-garou au Nexus, laquelle avait un côté dominatrice et serait sans doute ravis qu’il partage un autre de ses jouets avec elle.

Quant au mari d’Elise le démon le laisserait tranquille, si la belle tenait sa promesse et se montrait plus docile avec lui pour qu’au moins la blonde se dise qu’il aura tenu parole et que le marchand pourrait reprendre une vie normale après s’être remis de la disparition de sa femme.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le dimanche 25 août 2013, 17:49:15
« Je vois que tu n’as pas vraiment envie de faire des efforts pour tenir ta promesse ma belle, si tu préfères avoir mal que d’être gentille avec moi c’est ton problème. Résistes-moi j’adore ça, si tu t’y prends comme il faut je te montrerais qui est le véritable maitre. Punir les vilaines filles m’amuse alors continues comme ça, donnes-moi une raison de vous emmenez en enfer ton mari et toi. Un coin sympa ou vous aurez chacun le loisir de voir l’autre se faire violer par une bande de démons … Je connais des succubes qui seraient contentes que je leur offre un humain comme soumis et là on pourra vraiment dire que tu me détestes ! »

Une poussée d'anxiété s'empare d’Élise ; si vraiment ce n'était pas qu'une provocation et qu'il décidait de les enlever tous les deux... elle ne pourrait rien faire pour l'en empêcher. Ce marché pourrait bien n'avoir été qu'un jeu pour cet envoyé des enfers. Après tout il n'a jamais eu besoin du consentement des deux époux pour quoi que ce soit : il a le pouvoir de prendre ce qu'il désire quand il le désire. Cette perspective fait trembler sa voix alors qu'elle lui répond :

« Vous avez promis ! Vous devez nous laisser tranquille ! Je fais tout ce que vous m'ordonnez ! »

Elle pousse malgré tout un faible râle de soulagement après que son violeur se soit retiré ; ce n'est pas fini, bien sur, il va certainement tenter de la conquérir à nouveau, ou bien la frapper encore... elle ne sait exactement lequel de ces cas de figure elle préfère, laquelle de ces deux situations est la pire ; qu'un ennemi vous fasse du mal, ou bien qu'il tente de vous faire du bien alors que vous employez toute votre énergie à le détester ?

Le démon décide alors de changer de pièce à nouveau, et l'emporte jusque sur le tapis du salon ; drôle de manie, que de varier sans cesse l'emplacement... comme si, au final, il ne pouvait se contenter de la baiser simplement. Tout ça sent un peu la mise en scène, mais après tout ce viol n'était à l'origine qu'une démonstration de force à l'intention d'Ozelius Landevin...

Il la dépose sur un tapis et lui écarte les cuisses ; elle ne résiste aucunement, ses jambes n'obéissant de toute façon plus vraiment à se volonté. Il se penche sur elle et elle devine ce qu'il a en tête ; elle ferme les yeux, le visage crispé, espérant peut être être capable d'ignorer la présence de cette langue de serpent entre ses lèvres endolories... peine perdue. Le monstre lui lèche l'entre-jambes avec conviction, laissant ses sillons à l'entrée de sa caverne et sur son mont de Venus. Mme Landevin, elle, ne peut détacher son esprit de son angoisse. Ses dernières forces sont là, focalisées sur la seule chose qui a encore une réelle importance : la créature va-t-elle les épargner, elle et son mari ? Elle essaie à nouveau, à coup d’intonation suppliantes, de lui arracher une promesse, puisque c'est la meilleure garantie qu'elle puisse obtenir.

« Je vous obéis ! Promettez moi que vous nous laisserez ! »

Pendant ce temps, le démon, qui n'a pas cessé ses caresses buccales, cajole avec insistance son clitoris qui commence à gonfler sous ces assauts. Cependant la frimousse de la blonde ne laisse toujours deviner que de la peur et de la gêne. Elle le regarde fixement, appuyée sur ses coudes, le visage trempé de larmes, espérant qu'il daigne interrompre sa baveuse besogne pour lui répondre. Seule sa crainte que le démon ne tienne pas parole la pousse encore à lutter de quelque manière que ce soit. Engourdie par la lassitude et l'impuissance, elle n'a qu'une envie : laisser retomber mollement sa tête sur le tapis et laisser son agresseur faire ce qui lui plait, quoi que ce puisse être.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le mardi 27 août 2013, 20:05:49
La réaction outragée de la blonde face à la perspective que le démon décide de les réduire à l’esclavage son mari et elle fut amusante à voir. La pauvre femme aux foyer humaine lui rappela en tremblant qu’il avait promis de les laisser en paix si elle se laisser trousser par son ravisseur. Sauf que cela était faux et que le démon n’aurait jamais prononcé un serment aussi idiot qui lui gâcherait le plaisir d’emmener Elise avec lui pour la pervertir lentement jusqu’à ce qu’elle devienne une grosse délurée appréciant de se faire ramoner en force le bas ventre par un démon monté comme un étalon et bien plus doué comme amant que tout ce qu’elle avait pu connaitre.

Les humains avaient beau se reproduire comme des lapins, ils n’étaient souvent que des lopettes comparé aux merveilles de la nature qu’étaient les males démons et les splendides succubes qui elles ne vivaient que pour la luxure et la joie de pervertir. Des enfers était née la perfection en matière de débauche et la pauvre Fortune finirait tôt ou tard par s’abandonner entre les bras de son nouveau maitre qui saurait la faire hurler et la remplir comme jamais elle n’aurait imaginé qu’on puisse la baiser même dans ses rêves les plus érotiques. Le démon daigna interrompre ses attaques buccales sur la fente de la pouliche Landevin pour la remettre à sa place.

« Arrêtes de mentir, j’ai juste promis de ne pas te violer devant ton mari en échange de ta coopération. Pour ce qui est du reste je veux bien épargner ce minable pour qu’il vive dans la honte de s’être fait piquer sa jolie femme par un démon qu’il avait été assez idiot pour arnaquer. Je compte bien t’emmener avec moi afin de te faire sortir de ton ignorance. Je veux faire de toi une vraie coquine qui finira par venir me provoquer en se frottant contre moi et qui sera heureuse d’avoir un démon attentionné comme amant. »

Cette prude blonde effarouchée semblait lutter contre les pulsions de son corps mais elle ne pourrait résister longtemps face au plaisirs sans limites que pourrait lui offrir un démon, son tocard de mari ne savait probablement pas s’y prendre avec les femmes. Il fallait les pousser à devenir des soumises un brin perverses aimant la fessée et la sodomie qui étaient des pratiques courantes chez les habitants des enfers ainsi qu’un bon moyen d’amener les salopes à obéir et à ramper nues devant leur maitre. Rien n’était plus beau qu’une trainée réclamant encore et encore de subir les assauts de son amant infernal jusqu’à ce qu’elle s’endorme épuisée, les fesses couvertes de crème.

Joueur le démon caressa la croupe de la blonde avant d’y mettre une petite claque pour la taquiner, il avait envie de continuer à la provoquer jusqu’à ce qu’elle prenne son pied avec lui. Kabraxis fini par s’allonger sur le dos et faire signe à l’humaine de venir s’empaler sur sa flamberge fièrement dressée.

« Je vois que tu n’as pas l’air très motivée à respecter ta part du marché, viens me chevaucher ma petite esclave et saches que si tu y mets vraiment du tiens durant les mois qu’on passera ensemble, je pourrais avoir la bonté de te laisser rentrer chez toi après six mois. »
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le mardi 27 août 2013, 23:46:44
« Arrêtes de mentir, j’ai juste promis de ne pas te violer devant ton mari en échange de ta coopération. Pour ce qui est du reste je veux bien épargner ce minable pour qu’il vive dans la honte de s’être fait piquer sa jolie femme par un démon qu’il avait été assez idiot pour arnaquer. Je compte bien t’emmener avec moi afin de te faire sortir de ton ignorance. Je veux faire de toi une vraie coquine qui finira par venir me provoquer en se frottant contre moi et qui sera heureuse d’avoir un démon attentionné comme amant. »

Le visage d’Élise se décompose à ces mots, et elle reste pétrifiée d'angoisse. C'est impossible, c'est injuste... elle ne peut pas partir avec lui... elle a son mari qui attend en haut, elle a... elle a tellement de choses à faire ici... il ne peut pas balayer tout ça, cet homme qu'elle ne connait même pas, simplement parce qu'il l'a décidé ?... et puis elle s'imagine être son esclave à jamais, devoir subir cette humiliation et ces douleurs encore et encore... ce doit être une erreur. Sa vie ne peut pas juste finir ainsi... quel est le sens de tout ça ?... Plutôt mourir après tout. S'il croit qu'elle va rester docile ! Elle se battra bec et ongles.

Elle s’apprête à lui envoyer son pied au visage, de toutes ses forces : elle sait que derrière elle se trouve une chaise, à moins de deux mètres... si elle est assez rapide pour s'en saisir, qui sait... elle a des doutes sur l’efficacité de la moindre attaque qu'elle pourrait porter, mais elle n'a pas d'autre choix. Le cœur battant, en quasi-apnée, elle le fixe, le vise, répète le mouvement dans son esprit, encore et encore, sans passer à l'action. La montée du pied, le talon dans son nez... elle doit être vive et précise...

Il lui caresse le derrière et lui administre une claque : c'est le moment, sa garde est baissée, la voie est libre. Élise est pétrifiée. Et c'est trop tard pour le coup de pied, maintenant qu'il est sur le dos. Elle pourrait viser directement les testicules ? Elle n'ose pas. Il va se mettre en rage à coup sûr, il va la torturer, la tuer... mais tant pis, elle doit le faire. Dans un mouvement qui pourrait passer pour une tentative de reprendre son équilibre avant de se lever, elle commence à armer son pied gauche...

« Je vois que tu n’as pas l’air très motivée à respecter ta part du marché, viens me chevaucher ma petite esclave et saches que si tu y mets vraiment du tiens durant les mois qu’on passera ensemble, je pourrais avoir la bonté de te laisser rentrer chez toi après six mois. »

La rebelle se ravise - il faut dire qu'elle ne se sentait pas très vaillante à l'idée de se battre contre ce monstre. Six mois ?... Est-ce que c'est un nouveau mensonge ? Elle rabaisse sa jambe. Six mois... elle pense à son mari, et les larmes lui montent à nouveau aux yeux. Elle n'a pas le choix... six mois, c'est bien peu comparé à ce qui lui reste à vivre si elle coopère... elle se redresse péniblement sur ses genoux, et s'approche à quatre pattes du démon qui se prélasse sur le dos. Elle l'enjambe sans le regarder et saisit d'une main son large sexe, qu'elle guide jusqu'à l'entrée de sa caverne. Celle-ci s'est à nouveau humidifiée son l'action des coups de langues reçus les minutes précédentes, et cette fois la pénétration s'effectue sans mal. Réprimant une grimace, elle s'assoit lentement sur la verge, jusqu'à ce que celle-ci atteigne le fond de son intimité, et elle commence à faire aller et venir son bassin, les mains posées sur les pectoraux du chevalier pour se maintenir en équilibre ; elle effectue la corvée qu'elle aura à effectuer pendant six mois.

Six mois. Six mois ou plus... cette pensée la sape, et le découragement l'emplit comme l'eau dans un bateau en plein naufrage : elle se met à pleurer , silencieusement, tandis qu'elle continue sa besogne avec docilité, seuls ses brefs reniflements se faisant entendre. Elle n'adresse pas un regard à son nouveau maitre, et finit même par fermer les yeux. Elle bat la cadence à un rythme soutenu, espérant ainsi qu'il jouisse plus rapidement. Dès que les allées et venues de ce large membre sur ses muqueuses commencent à lui donner un plaisir malvenu, elle modifie l'inclinaison de ses hanches, tentant de rester dans une indifférence relative pendant qu'elle accompli sa tâche. Encore un effort Élise, soulage le, tu seras tranquille jusqu'à la prochaine fois...
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le mercredi 28 août 2013, 19:30:24
La réaction terrifiée de la blonde quand il lui annonça qu’elle allait être sa captive et putain pour au moins une demi-année amusa le démon, la pauvre Elise semblait paralysée par la peur de devenir sa soumise et de ne plus revoir son mari pendant un moment. Kabraxis vit qu’elle le regardait avec colère, allait-elle oser se révolter même si elle n’avait aucune chance de remporter un combat contre lui.

La deuxième phrase paru la calmer et lui redonner un peu d’espoir car elle se redressa et s’approcha de son nouveau maître à quatre pattes comme une tigresse faisant balloter ses jolis seins à chaque pas, qu’elle pouvait être belle en ce moment. S’armant de courage la donzelle vint lentement s’assoir sur sa puissante verge fièrement dressée, s’empalant sur le démon qui eut un grand sourire victorieux. Il avait su la mater en passant une sorte de contrat de domination avec elle, la petite pouliche humaine avait donc accepté de le servir car elle avait envie qu’il l’épargne et finissent par la laisser retourner auprès de son cocu de marchand.

Le dominateur fut toutefois un peu frustré qu’elle évite de le regarder apparemment gênée d’avoir à se comporter comme une trainée devant le vainqueur pour survivre, il saurait bien s’y prendre pour lui enlever ce petit air farouche mais d’une autre côté il était agréable de dompter une femme en colère. De la voir céder et gentiment se résigner à lui obéir de crainte d’être punie était un spectacle délicieux pour un monstre comme lui. Joueur il décida de la taquiner un peu avec des mots salaces.

« Tu vois ce n’étais pas si difficile, soit une bonne fille et tout se passera pour le mieux. Tu verras comme les démons ont une endurance et un talent exceptionnel au lit, regardes-moi dans les yeux quand je te baise. Je veux que tu sois chaude et fougueuse comme une pouliche en chaleur qui va se faire saillir pendant des heures jusqu’à ce qu’elle soit en sueur avec la croupe couverte de foutre ! »

Sur ces bonnes paroles le démon posa ses mains du les hanches de la jeune esclave afin de l’encourager à remuer des hanches pour l’affronter dans un torride corps à corps qui ne serait pas vite terminé comme la blonde le croyait. Coquin le démon commença à donner de petits coups de reins à la femelle qu’il venait de soumettre, Elise allait devoir se débarrasser de toute sa pudeur pour pleinement le satisfaire et il se réjouissait déjà de la rendre salope à souhait. Il avait déjà en tête un joli programme pour que cette femme au foyer prude mais docile finisse par prendre beaucoup de plaisir à devenir sa petite chienne personnelle, Fortune ne le réalisait pas encore mais sa vie allait changer depuis qu’elle avait eu la chance de rencontrer un vrai mâle qui saurait lui faire oublier son petit mari qui ne saurait rivaliser avec lui en matière de luxure et de perversion.

« Je te promets qu’avec moi tu vas découvrir le monde et des tas de choses dont tu n’aurais jamais pu rêver, tu dormiras dans des draps de soie et tu seras choyée comme une princesse. Chaque nuit sera un vrai fantasme éveillé pour la petite campagnarde que tu es et lorsque tu retrouveras ton mari, il sera surement ravis de la femme sensuelle et intelligente que tu seras devenue. »

Content de lui le démon savourait l’étroitesse de la petite chatte humide d’Elise qui semblait déjà bien moins se plaindre d’être empalée sur un beau diable monté comme un âne, il avait visiblement sut l’exciter en la léchouillant et sans doute que Madame Landevin aimait plus ce genre de cochonneries qu’elle ne voulait l’admettre devant lui.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le lundi 02 septembre 2013, 14:43:16
« Tu vois ce n’étais pas si difficile, soit une bonne fille et tout se passera pour le mieux. Tu verras comme les démons ont une endurance et un talent exceptionnel au lit, regardes-moi dans les yeux quand je te baise. Je veux que tu sois chaude et fougueuse comme une pouliche en chaleur qui va se faire saillir pendant des heures jusqu’à ce qu’elle soit en sueur avec la croupe couverte de foutre ! »

Elle obéit, et plonge ses yeux - des yeux rouges et larmoyants - dans ceux du démon. Son regard la transperce et la salit, ces deux yeux jaunes qui ornent un visage au sourire prédateur... Elle ne peut s'empêcher de ciller, malgré sa volonté de suivre scrupuleusement les ordres de son nouveau maitre, mais ne tarde pas à revenir à ces iris à la couleur surnaturelle.

Le démon se met à bouger de lui même, retirant le contrôle de la situation à son esclave ; celle-ci, continue à sauter sur son sexe tendu à un rythme soutenu ; ces coups de reins doivent signifier que l'excitation du mâle gagne en intensité, autant en finir le plus vite possible. Elle s'empale donc de plus belle sur sa verge, sans lâcher ses prunelles délavées du regard tandis que le bas de leurs corps se tamponnent à un rythme crescendo.

« Je te promets qu’avec moi tu vas découvrir le monde et des tas de choses dont tu n’aurais jamais pu rêver, tu dormiras dans des draps de soie et tu seras choyée comme une princesse. Chaque nuit sera un vrai fantasme éveillé pour la petite campagnarde que tu es et lorsque tu retrouveras ton mari, il sera surement ravis de la femme sensuelle et intelligente que tu seras devenue. »


S'il croit pouvoir l'amadouer ainsi il se trompe. Comme si un quelconque luxe pouvait racheter les douleurs et les humiliations qu'il lui avait fait subir, à elle et à son mari. Elle prête à peine attention à son discourt, décidée à ne pas se laisser manipuler. Pour l'heure elle est concentrée sur la fornication, dans laquelle elle met toute son énergie. Elle agite le bassin avec tact et conviction, sans jamais s'arrêter, pour satisfaire le démon du mieux qu'elle peut. Il faut en finir...

Mais malgré ses efforts le monstre ne semble pas vouloir relâcher sa semence : alors elle persévère encore, pendant plusieurs minutes, dans un état proche de la rage. Pourquoi est-ce qu'il ne jouit pas ?... Sa chevauchée furieuse fait naitre dans son bas ventre de douces sensations qu'elle préfère ignorer. Elle grimace, elle sert les dents, elle s’essouffle à coulisser frénétiquement sur cet énorme sexe, grognant parfois lorsqu'elle s'énerve, désespérée de le sentir toujours aussi inébranlable en elle. Quand va-t-il se décider à cracher, bon sang ?

Le visage de la blonde, écarlate, perlé de sueur, est penché en direction de la poitrine du chevalier. Le regard dans le vague, comme un coureur qui oublierait le monde autour de lui, obnubilé par sa propre respiration, elle se concentre sur son partenaire, sur ses mouvement, sur son souffle et ses râles. Elle a conscience de participer à un jeu d’endurance, où le premier à laisser son plaisir exploser sera perdant... et il est inacceptable qu'elle lui abandonne la victoire. Plutôt mourir que se laisser aller à l'extase, les cuisses écartées sur lui.

Elle ne connait qu'une seule manière d'amener le démon à la jouissance plus rapidement, et bien que l'idée la répugne profondément, elle s'y soumet finalement : se cambrant sur lui, comme soudain emportée par son plaisir, elle plante ses ongles dans les pectoraux de la brute et laisse les gémissements qu'elle retenait jusqu'à présent retentir dans la pièce, les accentuant même afin de simuler un orgasme imminent.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le vendredi 06 septembre 2013, 11:23:35
Sentir le regard larmoyant de la blonde posé sur lui tandis qu’elle le chevauchait avec fouge était une belle victoire pour le prince démon qui se délectait de la honte et de la gêne de la donzelle. Humilier et pervertir une douce femme au foyer pour en faire une grosse cochonne était toujours de plus plaisant, lui ne s’en laissait pas de montrer aux femelle inférieures qu’elles étaient des proies et de vulgaires jouets devant ramper à ses pieds. Il voulait lui montrer ce qu’était un vrai mâle qui lui donnerait bien plus de plaisir que son tocard de mari.

La petite humaine semblait motivée à l’affronter dans une fougueuse cavalcade pour le faire jouir rapidement afin de ne plus souffrir l’outrage de le sentir planté en elle, dans sa fierté de nunuche elle s’imaginait sans doute trop bien pour lui alors qu’elle ne lui arrivait pas à la cheville en tous. Son énergie était cependant agréable et Elise savait bien jouer des fesses pour une humaine, sous ses air de bourgeoise effarouchée elle n’était pas si prude que ça et faisait de gros efforts pour satisfaire son nouveau maître. Tout cela promettait pour les longs mois de débauche qu’ils allaient passer ensemble à forniquer au coin du feu.

Elise était trop ignorante pour devenir une de ses complices mais elle ferait une soumise convenable, la rage qu’elle mettait à le monter lui plaisait beaucoup mais si elle s’imaginait pouvoir réussir à le faire jouir avant elle, la pauvre rêvait. Il était un démon pouvant se retenir de jouir pendant une heure s’il le voulait et elle était loin d’être une succube perverse à l’extrême au point de le pousser à se rependre en elle après seulement une dizaine de minutes de luxure.

« Qu’est-ce qui t’arrives ma jolie ? Tu es surprise que je ne jouisse pas rapidement comme un vulgaire humain ? Je ne pense pas que tu puisses te mesurer à moi à ce jeux là mais ça ne fait rien j’aime quand une fille me supplie de la remplir héhé.»

Lorsque la blonde se cambra et se mit à se laisser aller à hurler son plaisir le démon lui donna quelques tapes sur les fesses, il voulait l’amener à se vautrer dans la débauche au point de perdre la tête à force de se faire si bien empalé par un démon monté comme un étalon. Sa petite chatte serrée d’humaine était désormais inondée de mouille et Fortune était en sueur alors que lui avait à peine transpiré, chez les démons ce qu’il venait de faire n’était qu’un petit échauffement précédent des heures de sexe brutal et violent.

« C’est bien ma belle, jouis comme une folle ! Dis-le combien tu aimes ça te faire tringler par un vrai mâle ! »

Lui lança-t-il entre deux coups de reins pour la provoquer, la coquine humaine allait pouvoir prendre son pied avec lui et oublierait vite son mari, du moins il l’espérait car il adorait avoir des soumises qui le vénérait. Il n’y avait rien de plus beau qu’une chienne qui venait se frotter contre sa jambe en le suppliant de la trousser …
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le vendredi 06 septembre 2013, 13:44:28
« Qu’est-ce qui t’arrive ma jolie ? Tu es surprise que je ne jouisse pas rapidement comme un vulgaire humain ? Je ne pense pas que tu puisses te mesurer à moi à ce jeux là mais ça ne fait rien j’aime quand une fille me supplie de la remplir héhé.»

Ses gémissements voluptueux s'éteignent, laissant place à une respiration paniquée. Ça ne fonctionne pas... elle ne peut pas gagner. Ce sexe reste en elle, imperturbable, et son propriétaire semble capable de rester stoïque aussi longtemps qu'il le souhaite : il continue à la narguer, il se délecte visiblement de la situation mais ne perd pas une seule seconde la maitrise de lui-même, la poinçonnant toujours avec froideur. Il s'amuse, alors qu'elle... elle lutte, empalée sur son mât, pour ne pas s'abandonner. Mais plus le claquement de leurs bassins agresse ses muqueuses, plus son esprit cède du terrain, se laissant dévorer par les sensations qui l'assaillent avec de plus en plus de férocité. Bientôt toute pensée logique disparait : elle n'a plus conscience que de son corps, son corps engourdi par l'effort et les coups, son corps transpercé par la lance du chevalier et prêt à succomber.

Il lui administre une claque sur le derrière, et elle pousse un petit cri de surprise. Ses fesses rebondies sont déjà douloureuses d'avoir été battues sauvagement, et leur couleur rouge commence à tirer sur le violet par endroit, laissant sur son corps pâle et soyeux, et maintenant luisant de sueur, une marque étrange et quelque peu disgracieuse pour qui observerait la scène de derrière.

« C’est bien ma belle, jouis comme une folle ! Dis-le combien tu aimes ça te faire tringler par un vrai mâle ! »


Non, elle ne veut pas dire ça... ce n'est pas elle qui aime, c'est... quelque chose en elle. Mais les ordres sont les ordres : quoi qu'il décide, elle doit s'y plier.

« J'adore ... me ... faire tringler... »

Chaque mot met plusieurs secondes à franchir le seuil de ses lèvres écarlates. La gorge serrée par la honte, elle continue à réciter sa tirade obscène entrecoupée de souffles rauques. Me faire tringler... par un vrai mâle... oh non, Ozelius... je suis désolée, ça n'est pas vrai !...

« ...par un vrai... mâle... »

Soudain, elle le sent monter en elle, ce délice crescendo qui finit toujours par...

« N-non !... N-aaah »

Elle colle son front contre la poitrine du démon et cesse de bouger, la dos vouté et les seins remuant au rythme de sa respiration effrénée, tentant de contenir cette vague qui menace de tout submerger. Le monstre continue à bouger en elle, immense, ferme, inflexible. Il s'impose, impitoyable et régulier, au fond de son intimité. Une fois, deux fois...

« N-aaah...aaah... AAh !! »

Cette fois c'est elle qui tamponne ses lèvres gluantes contre la garde du sexe de Kabraxis dans des assauts désespérés, se redressant sur lui pour onduler sauvagement des hanches autour de son pieu, la bouche grande ouverte, les yeux fermés et les sourcils distordus par cette extase forcée. Son vagin se tord, tout son corps se tord, il lui semble que chaque parcelle de son être jouit à l'unisson avec sa grotte. Est-ce que c'est ses cris qu'elle distingue, dans le tonnerre qui entoure sa tête et résonne à ses oreilles ? Elle s'en fiche, car pendant une poignée de secondes, plus rien n'a d'importance. Elle n'est plus rien qu'un corps, un corps qui hurle de bonheur.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le vendredi 06 septembre 2013, 15:54:08
La vicieuse demoiselle avait apparemment simulé son plaisir pour faire jouir le démon mais cela n’avait pas marché simplement car il n’avait pas envie de jouir si rapidement en elle. Elise n’était plus qu’une vulgaire captive, une esclave qui allait devoir mériter l’honneur qui lui ferait en lui retapissant le ventre ou le visage de sperme chaud et crémeux. Peut-être même qu’il jouirait dans ses fesses après l’avoir bien sodomisée pour la mater et bien lui montrer qui était le véritable maître.

Affronter la blonde dans un torride corps à corps était très agréable, d’autant que le démon était certain de l’emporter contre une simple pouliche humaine, il appartenait à une race supérieure connue pour ses talents exceptionnels en matière de sexe et de débauche. Fortune n’avait jamais eu la moindre chance de remporter une partie de jambes en l’air contre un démon et commençait à réaliser qu’elle n’avait fait que précipiter sa propre défaite. Elle allait finir pas jouir à force de s’empaler sur un membre imposant ayant déjà fait crier de plaisir des milliers de femmes. Il y avait de quoi lui lancer de petites remarques salaces car il allait bientôt la vaincre …

La blonde cria d’une voix saccadée par le plaisir la femme lui obéit en disant qu’elle adorait se faire tringler par un vrai mal, ce qui marquerait définitivement sa défaite et sa soumission au démon lubrique d’autant plus qu’elle finit par s’arrêter et eut un orgasme peu après l’avoir dit ce qui rendait la phrase d’autant plus vraie. Kabraxis savourait sa victoire, c’était facile mais en même temps tellement beau de transformer de prude donzelles en chienne en chaleur, salopes et persuadées que sa virilité était la 8eme merveille du monde.

La jouissance de la bourgeoise fut splendide à observer, cette dernière cria non et tenta de se contrôler mais le plaisir qu’il lui procurait en la besognant était trop fort et elle finit par exploser en rugissant de plaisir comme une tigresse en rut. C’était tellement beau qu’on aurait presque pu en faire un film d’éducation sexuel pour les jeunes démons. Satisfait le démon lui lança sur le même air moqueur tout en ricanant.

« Alors on dirait que tu as vraiment aimé ma pouliche, ça n’était pas si terrible que ça et ce n’est que le début, je n’ai pas encore goûté à ton joli cul huhuhu ! »

Le démon adorait ces moment où il avait le pouvoir sur ses jeunes esclaves rebelles et chaudes qui s’effondrait vaincues à ses pieds, soumises et comblées de s’être fait remplir par un amant expert et endurant capables de forniquer pendant des heures s’en s’arrêter. Il y avait un délicieux paradoxe à atteindre le septième ciel en se faisait tringler durement par un démon, la faute à ces éternels puceaux d’anges qui n’avait jamais su comment satisfaire les femmes !

Heureux le démon resta un long moment planté entre les cuisses de sa soumise avant de lui ordonner de venir lui faire une branlette espagnole avec ses jolis seins blanc, il voulait tester son degré de perversion et d’obéissance, la dévisageant comme un homme évalue la jument qu’il vient d’acheter au marché.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le samedi 07 septembre 2013, 20:47:24
Élise s'effondre, vidée de ses forces, collant son front luisant de sueur contre l'épaule du démon ; un instant, elle oublie avec et sur qui elle se trouve. Elle reprend aussitôt ses esprit et se redresse vivement, voulant s'éloigner le plus possible de cet être répugnant. Ce salaud... comme si la prendre pour son propre plaisir ne lui avait pas suffit, il a en plus fallu qu'il s'acharne à lui en donner, à elle. Et elle... elle vient de jouir en s'empalant elle même sur sa verge.

« Alors on dirait que tu as vraiment aimé ma pouliche, ça n’était pas si terrible que ça et ce n’est que le début, je n’ai pas encore goûté à ton joli cul huhuhu ! »

Par tous les dieux, faites qu'il se taise... Ses paroles sont presque pires que ses actes ; jamais de sa vie elle n'a rencontré d'homme si vulgaire, dont les propos la salissent à ce point. Et dire que c'est sur lui qu'elle s'est tordue d'extase à l'instant... La honte l'étreint de son gant de fer, et elle ferme les yeux en baissant la tête, reprenant à contre-cœur ses mouvements de bassin ; ça n'est pas fini, elle doit encore le satisfaire.

Il l'arrête pourtant, lui ordonnant de le masturber à l'aide de ses seins... une idée étonnante, mais qui en vaut bien une autre, après tout. Ce monstre a déjà montré qu'il est capable de pire. Sans un mot, elle se relève et vient s'étendre sans enthousiasme entre les cuisses de son maitre, prenant appuie sur les coudes de part et d'autres de ses hanches, et forçant sa poitrine à se resserrer autour du membre en érection à l'aide de ses mains. Celui-ci est encore dégoulinant de cyprine et glisse sans difficulté; du moins au début, entre ses deux globes de chair. Elle effectue sa tâche sans jeter un regard à Kabraxis, dont elle redoute plus que jamais le regard malsain et le sourire suffisant. Il va encore l'insulter, la rabaisser, lui démontrer de sa langue de vipère qu'elle n'est qu'une trainée... mais c'est injuste... tout ça n'est pas arrivé par sa faute... elle n'a fait que ce qu'elle devait... comment aurait-elle du agir ?... elle n'aurait pas du prendre ce plaisir coupable... est-ce que sa nature est viciée ? C'est injuste... elle voulait seulement être une bonne épouse...

*Tchic tchic tchic*... la bite entre ses seins produit un petit bruit humide et régulier tandis qu'elle s'en occupe avec répugnance.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le dimanche 08 septembre 2013, 16:28:00
La gêne et la honte qu’il avait provoquée chez sa nouvelle soumise étaient agréables à regarder, elle semblait déjà s’en vouloir d’avoir pris du plaisir à chevaucher le démon comme une délurée ayant rendu son mari cocu. La pauvre humaine n’osait plus le regarder de peur qu’il se moque d’elle mais lui n’avait pas envie de l’humilier davantage alors qu’elle avait fait de son mieux pour obéir à son ravisseur en s’empalant fougueusement sur sa trique.

Fortune semblait avoir abandonné l’envie de lu résistait et se résignait à subir son sort en devenant son esclave pour au moins une demi-année. Elle vient se glisser entre ses cuisses en ne cachant pas le fait qu’elle était humilié d’avoir connu l’extase en se faisant violer par un démon pervers et bien monté. Kabraxis aimait entendre le doux bruit obscène de sa verge frottant contre la jolie poitrine de la blonde. La situation était plaisant et il pouvait la voir baisser la tête de honte tandis qu’elle le caressait avec ses seins, sans doute qu’elle redoutait ce qu’il allait encore lui dire ou lui faire subir, elle n’était plus qu’un jouet sexuel à la merci d’un monstre de luxure après tout.

« Hum tu es mignonne quand tu fais ça, ça mérite une petite récompense. Je vais soigner tes fesses en feu. »

Le démon posa sa main sur l'épaule de la jeune femme et utilisa sa magie curative pour faire disparaitre les bleus et la douleur qu’il lui avait infligée en lui collant une belle fessée. Elsie devait sentir de doux picotement agréable sur ses fesses. Le seigneur des enfers caressait doucement les cheveux de la donzelle, il l’avait vaincue et ne désirait pas l’enfoncer davantage, désormais il allait s’employer à lui donner un plaisir coupable en s’occupant bien d’elle et en se montrant joueur et câlin, aucune femme ne résistait longtemps à cela.

Pour l’instant la bourgeoise semblait encore réticente et n’avait pas envie de se laisser aller à batifoler franchement avec un démon mais cela viendrait avec le temps et Fortune réaliserait vite que sa captivité serait douce et qu’elle aurait meilleurs temps d’en profiter pour devenir une femme plus épanouie que la petite épouse bêcheuse d’un marchand minable. Le démon avec déjà prévu de lui faire découvrir des jeux obscènes notamment des plan à trois avec Carmellia, sa principale maitresse du moment. Ce tocard de Landevin ne reconnaitrait plus sa femme quand il la reverrait car il allait faire sauter ses tabous un à un pour la rendre salope à souhait, jusqu'à ce qu'elle se trémousse comme une chienne devant lui en le suppliant de la tringler comme une bête …

 Peut être même qu'il irait en enfer montrer son nouveau trophée à d'autre démons et qu'il la trousserait devant un public démoniaque, c'était assez courant là-bas de profiter de ses esclaves devant tout le monde pour montrer sa puissance.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le samedi 14 septembre 2013, 13:37:16
« Hum tu es mignonne quand tu fais ça, ça mérite une petite récompense. Je vais soigner tes fesses en feu. »

Le démon pose la main sur son épaule, et Élise sent soudain comme si "quelque chose" parcourait son corps. Quelque chose de bienfaisant... Un doux picotement nait sous la peau de ses fesses, et sa douleur disparait peu à peu... c'est ensuite au tour de sa cuisse, et de son intimité ; les tiraillements sourds, les brulures, les raideurs... tout ça disparait, laissant ses chairs apaisées, comme si elle n'avait jamais été brutalisée... Salaud de démon... il veut encore se faire passer pour un ami... Elle n'a pas pu s'empêcher de savourer cette caresse provoquée par le sortilège du chevalier, et maintenant qu'elle est soignée de ses blessures... elle se sent plus à même se supporter la suite. Salaud...

Elle est toujours en position humiliante, forcée d'effectuer un acte dégradant, mais au moins elle n'a plus mal, et tout devient plus facile à accepter. Elle ferme les yeux ; elle pourrait presque oublier sa condition : où elle est, ce qu'elle fait... mais une odeur de sueur et de sexe d'homme mélangée à celle de sa propre intimité lui monte sans cesse aux narines. Pourtant, habituellement elle aime cette odeur... C'est l'odeur de l'amour, de la copulation, des soirées de passion qu'elle finit en s'endormant dans les bras de son mari... mais à cet instant, c'est pire que tout. Aussi écœurant que le serait du sucre dans un mauvais plat de légumes. C'est bon, respire par la bouche... oublie l'instant présent... pourvu qu'il finisse par jouir....

*Tchic tchic tchic*
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le samedi 14 septembre 2013, 20:22:09
Le démon savourait sa victoire sur cette donzelle humaine nue et humiliée qui lui faisait un beau massage avec sa belle poitrine d’esclave. Cette petite femme au foyer était décidément agréable quand elle le voulait et il aimait voir la honte sur son beau visage, surement qu’elle était surprise qu’il l’ait soignée pour l’amadouer ce qui devait encore augmenter sa gêne. Elise finirait bien par céder et prendre goût au fait d’être devenue la soumise d’un démon séduisant, doué pour la faire crier et la faire se sentir bien entre ses bras. Il aimait la belle vu qu’il avait sur les seins de la blonde qui produisait toujours le même doux bruit de frottement lubrique.

Fortune faisait visiblement des efforts pour être docile afin que son maître l’épargne car elle avait pu voir ce combien ça faisait du bien de s’empaler sur lui comme une délurée. Elle devait se sentir chienne et salope en ce moment à moins qu’elle ne rejette la faute sur le salaud qui la forçait à calmer ses ardeurs … Elle finirait par céder à luxure car les démons était trop doués pour soumettre les filles à la tentation. Même les plus prudes demoiselles devenaient des catins à force de devoir réchauffer la couche d’un prince démon.

« C’est bien ma douce, je m’en vais te culbuter et te remplir comme la belle coquine que tu es. »

Joueur le démon pelota sa partenaire puis il la poussa tranquillement en arrière pour l’allonger sur le dos et lui écarta largement les cuisses pour la pénétrer en missionnaire. Sentir la douceur de ses cuisses et de son intimité était très agréable et Kabraxis avait la ferme intention de profiter encore une bonne dizaine de minute de cette bourgeoise vaincue et soumise avant de lui faire cadeau de sa semence, cette dinde mariée était à lui désormais et elle allait passer des nuits bien longues à le satisfaire …

Cette jolie blonde ferait un beau trophée pour un monstre de son espèce, une esclave en laisse dont il pourrait se venter auprès de ses amis tandis qu'elle lui sucerait la trique en publique avant qu'il ne l'échange avec une autre jolie esclave appartenant à un autre seigneur des enfers le temps d'une nuit. Cela permettrait sans doute à cette pymbéche coincée de voir qu'il y avait pire que lui en matière de jeu lubrique et elle n'en apprécierait que davantage son maitre.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le lundi 16 septembre 2013, 17:37:44
La douleur est partie, mais la fatigue et la honte sont toujours là. Elle fait des efforts pour rester aussi indifférente qu'elle peut, mais la chose est difficile, allongée nue sur le sol, un pénis moite glissant entre les seins. Ce sexe qui semble vouloir rester impassible malgré tous ses efforts. Plus qu'une torture, ce viol devient un labeur...

« C’est bien ma douce, je m’en vais te culbuter et te remplir comme la belle coquine que tu es. »

Enfin... tout ça allait prendre fin... pour un temps. Lorsqu'il pose ses mains sur ses formes, elle arrête se mouvements pour lui laisser en profiter comme bon lui semble. Obéissante et docile... c'est exactement ce qu'il attend d'elle après tout. Elle se laisse tomber mollement sur le dos ; le démon lui écarte les cuisses. Le souvenir de la pénétration précédente lui fait serrer les dents par anticipation : cette fois pourtant, l'imposante verge glisse en elle sans difficulté : le sortilège de Kabraxis a soigné les dommages causés par son passage précédent, et c'est dans une scandaleuse volupté que ses petites lèvres s'écartent sous la pression de son gland. Comme si son intimité se souvenait du passage du démon elle et de l'orgasme tonitruant qui s'en était suivi, chaque mouvement lui procure un plaisir immédiat, bien plus grand qu'elle n'aurait pu l'imaginer alors qu'il la plaquait pour la première fois contre la table de la cuisine. Elle ferme les yeux, elle ne veux pas y penser... mais comment ne pas y penser, alors
que tout son corps le réclame avidement ? Elle agite la tête, ses mord la lèvre, en proie à son schisme intérieur. Elle resiste du mieux qu'elle peut, mais les minutes passent et le mâle continue de remuer vigoureusement en elle. Cette fois encore, peut à peu, elle cède du terrain, finissant par même par désirer que se moment se prolonge encore, jusqu'à ce que qu'il lui fasse rendre totalement les armes.

"Hm...n...uhh"


L'obscénité de ses propres grognements l'offusque ; Tais-toi ! Ne lui fais pas ce plaisir... Et pourtant une partie d'elle même n'espère qu'une seule chose : qu'il la baise avec plus d'ardeur encore. Son visage, de toute façon, parle pour elle, de sa bouche grande ouverte à ses sourcils suppliants, et sa poitrine luisante de sueur se soulevant sous les coups de sa respiration fiévreuse ne fait que confirmer l'évidence. Ses deux mains agrippent déséspérement le tapis sur lequel elle est allongée, tandis que son bassin, déjà, refuse d'obéir à la voix de la raison et se redresse dans une position indécente, pour que le monstre la labourre plus aisément, pour que son organe atteigne les zones les plus sensibles, celles là même qui font tant de bien et poussent la blonde à se renier encore, l'espace de quelques instants, juste pour connaitre une seconde fois l'extase.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le mardi 17 septembre 2013, 14:38:22
La vitesse régulière des grands coups de de reins du démon ne faisait que démontrer la facilité avec laquelle Kabraxis défonçait sa proie, se logeant au plus profond de sa petite chatte à chaque coup de butoir. Car c’est ce qu’ils étaient, de véritables coups de butoirs et le diable sentait la belle blonde se cambrer à chaque fois qu’il tapait le fond de son antre étroit et humide comme si elle en réclamait toujours plus. Elle avait rendu les armes et s’était faite à l’idée de n’être plus qu’une femelle en chaleur recevant sa dose de sexe qu’elle réclamait en gémissant.

Fortune avait cédée à la luxure, on pouvait le voir à son visage ravagée par le plaisir, à ses jolis seins balloté par les assauts et surtout au fait que son inimitée était bien trempée au point qu’il pouvait y aller franchement sans lui faire de mal, la blonde se montrait réceptive au plaisir intense qu’il lui offrait et soulevait son bassin pour faciliter la tâche à son ravisseur qui se réjouissait grandement de la voir si offerte. La donzelle semblait avoir bien vite oublié qu’il la prenait contre son gré après avoir tabassé son mari tellement que ce démon lubrique lui faisant du bien, son tocard de mari ne l’avait surement jamais prise ainsi. Kabraxis faisait des efforts pour ne pas jouir trop vite en elle afin de lui offrir de longues minutes de pure débauche ou elle se réjouirait de n’être plus qu’un objet de vice, une petite chienne soumise à son nouveau maître qui lui procurait de délicieuse sensation de bien-être.

« Han ça fait du bien, laisses-toi aller ma jolie, n’aies pas peur de crier et d’en redemander ! »

Lança-t-il fièrement en souriant de manière coquine à la femme qui couinait et se trémoussait de plaisir sous lui, voir une humaine nue perdre la tête sous ses fougueuses assauts et lui réclamer à cran crier de continuer de lui faire la bête à deux dos pendant une demi-heure heure sans s’arrêter était un des plus grand plaisir dont il pouvait profiter. Après plusieurs mois dans son lit à subir ses fantasmes. Elise ne serait plus qu’une chaude délurée totalement dévoué à son maitre et prête à tous accepté pourvu qu’il continuer d’encore la baiser.

C’était normal car après tout elle n’était qu’elle petite mortelle ne pouvant jamais ne serait-ce qu’espérer un jour rivaliser avec un démon millénaire au lit ou ailleurs. Il était désormais son maitre et la bourgeoise rejoindrait son cheptel d’esclaves soumises à ses envies lubriques, chaque nuit renforcerait le côté coquin de la jeune femme jusqu’à ce qu’elle ne soit plus qu’une cochonne ravie de devoir lécher les fesses tachées de sperme d’une succube se moquant d’elle pour faire plaisir à son dominateur démoniaque … Quel beau spectacle cela allait être quand il l’aurait ramené à sa demeure des enfers …
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le mardi 17 septembre 2013, 18:50:56
Les coups de reins du démons retentissent dans la pièce dans un bruit de claquement moite et régulier auquel se mêlent les soupirs rauques de Mme Landevin. Pourquoi est-ce que son corps s'enflamme ainsi ? Alors qu'elle le hait de tout son cœur, elle ne désir rien de plus que de sentir encore ce monstre s'insinuer en elle. Pourquoi est-ce si bon ?... Elle gémit sans retenue à présent : elle l'appelle de ses cris, en quelque sorte, pour qu'il la prenne encore, que leur sexes s'étreignent avec toujours plus d'ardeur.

« Han ça fait du bien, laisses-toi aller ma jolie, n’aies pas peur de crier et d’en redemander ! »

Les paroles du démon ont un arrière goût désagréable pour sa soumise, lui rappelant qu'elle est en train, finalement, d'abandonner et de lui donner raison... mais il est trop tard pour que cela change quoi que ce soit. Pendant ces dernières secondes, elle est prête à accepter n'importe quoi, pourvu qu'il lui offre enfin la jouissance qu'elle avait mis tant d'énergie à esquiver il y a quelques minutes. Elle continue à geindre de plaisir, fichée sur sa hampe, tout son corps tendu vers l'orgasme à venir.

Et enfin, une décharge de plaisir délirant s'empare d'elle pour la seconde fois, et son corps de cambre avec violence, au point que sa tête heurte le tapis dans un bruit sourd : elle resserre les cuisse autour des hanches du mâle, comme si elle cherchait à le broyer, comme s'il la brûlait. Pendant plusieurs secondes, elle reste ainsi, ses belles fesses rondes décollées du sol, le moindre muscle tendu, immobile à l’exception des tremblements et des spasmes qui l'agitent toute entière, sans qu'aucun son ne sorte de sa bouche.

Puis, comme si le courant qui la traversait s'atténuait, elle retombe en poussant un long râle de félicité et de soulagement mêlés. Les paupières mi closes, des mèches blondes collées sur son visage délicat de jeune bourgeoise trop protégée, elle tente de reprendre son souffle ; sa poitrine et son ventre harmonieux se soulèvent maintenant dans une ondulation irrégulière, qui se fait de plus en plus lente, décroissant à mesure que les battements de son cœur se calment eux aussi.

Deuxième retour à la réalité, deuxième moment de honte et de dégoût envers elle-même : Élise garde les yeux fermés. Elle sait que lorsqu'elle les ouvrira, ce sera pour voir son violeur la dévisager avec un sourire narquois. Le sourire du vainqueur qui aime faire sentir sa supériorité à ses victimes, et leur rappeler à chaque instant combien il est plus fort. Et aujourd'hui, la victime c'est elle.
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le mercredi 18 septembre 2013, 09:02:26
Le démon amusé continuait de défoncer copieusement l’intimité de la jeune femme malgré le fait qu’il l’avait déjà vu jouir, il n’avait pas encore terminé mais ça n’allait plus tarder au rythme ou il se sentait durcir en elle. La main du diable vint masser le bas ventre la jeune femme avant de s’attaquer à ses lèvres intime, appuyant dessus tout en bougeant plus lentement pour la faire encore couiner et soupirer de plaisir. Sa grosse queue bien chaude dans l’entrejambe de la blonde devait procurer de belles sensation à la donzelle, peu habituée à du calibre démoniaque et lorsqu’il déversa enfin son sperme chaud dans les entrailles de la fille, le démon eut la satisfaction de voir qu’Elise avait aimé cette partie de jambes en l’air.

Kabraxis resta un moment planté dans l’intimité de la demoiselle à la regarder tranquillement la plantureuse blonde essoufflée qui venait de se faire mettre de manière royale par un prince des enfers. Sans doute qu’elle se souviendrait longtemps de ce moment où elle avait découvert combien c’était bon de jouer à la bête à deux dos avec son nouveau maitre. Néanmoins il fut un peu déçu de la voir rougir et prendre un air honteux et coupable comme si elle regrettait de s’être laisser aller à rendre son mari cocu dans les bras d’un monstre qui à la base devait la violer.

Fortune ferma les yeux comme pour se cacher de l’humiliante défaite qu’il lui avait infligée dans un corps à corps torride ou il lui avait fait tourner la tête. Il ne voulait pas qu’elle continue à lui en vouloir alors il se retira d’elle et s’allongea à côté de l’humaine tous en lui caressant doucement la joue.

« Tu vois que ce n’étais pas si terrible que ça. Je dois reconnaitre que j’ai bien aimé la fougue avec laquelle tu m’as chevauché, tu sais être adorable quand tu veux ma mignonne et ça mérite un bon massage pour te détendre. Tu n’as pas à avoir honte de t’être fait du bien, tu sais.»

Doucement le démon poussa la blonde pour l’allonger sur le ventre et enjamba la fille pour commencer à lui masser sensuellement les épaules et le dos de manière à lui être agréable. Fortune avait fait des efforts pour se prêter au jeu coquin de son ravisseur et lui avait fait le plaisir de rendre les armes sous ses diaboliques coups de reins, c’était maintenant l’occasion d’être gentil avec elle pour tenter de la pervertir. La bourgeoise avait gémit si fort que son cocu de mari à l’étage avait dû l’entendre prendre son pied avec leur kidnappeur et cela ne rendait que plus belle la victoire du démon ! Elle allait finir par être sa soumise à lui, ce n’était qu’une question de temps avant qu’elle ne cède à la luxure …
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Fortune le dimanche 22 septembre 2013, 23:16:31
Peu après qu'elle ait jouit, le monstre déverse sa semence en elle ; il reste quelques instants dans son intimités avant de se retirer. Cependant, il est en quelque sorte encore en elle. L'idée est plus que désagréable pour Élise, bien qu'elle ne soit pas dans une période à risque, fécondativement parlant. Et puis, elle n'est même pas sûre d'être en état d'avoir des enfants...

« Tu vois que ce n’étais pas si terrible que ça. Je dois reconnaitre que j’ai bien aimé la fougue avec laquelle tu m’as chevauché, tu sais être adorable quand tu veux ma mignonne et ça mérite un bon massage pour te détendre. Tu n’as pas à avoir honte de t’être fait du bien, tu sais.»


... pardon ? La situation vire presque au grotesque. Lui, lui faire un massage ? Après tout il est le maitre, et elle se pliera à sa sa décision, même si celle-ci est d'agir comme un subalterne. Car il n'existe que deux types de personnes pour offrir des massages : les amis proches et les serviteurs. Or cet homme n'est pas un ami, même si visiblement il souhaite le devenir. Il semble que son but, au delà de profiter du corps de sa nouvelle esclave, soit de la rendre docile et consentante. Afin d'infliger une humiliation plus grande à Ozelius ? Ou peut être par caprice d'égo ? En tout cas, il semble persuadé d'être capable de se faire apprécier, à l'usure. Après tout, il aura autant de temps qu'il le souhaite pour arriver à ses fins... mais elle ne se laissera pas acheter comme une pute. Peu importe qu'il la masse et qu'il lui propose de dormir dans des draps de soie. Il est son ennemi et ça ne changera pas. Jamais.

Tandis qu'il fait glisser ses doigts sur le dos de sa prisonnière - avec un certain talent, elle doigt1 le reconnaitre, elle laisse son esprit vagabonder ; est-ce qu'il est possible pour une humaine de tomber enceinte d'un démon ? Quel genre de monstruosité sortirait d'une telle union ? Est-ce qu'elle devrait élever cet enfant ou s'en débarrasser ? Est-ce qu'elle peut, au moins, avoir des enfants ? Est-ce que c'est elle, ou bien son mari, qui est à l'origine de la fertilité de leur couple ? Elle s'est déjà posé cette question avant, bien qu'à l'époque la réponse n'avait pas vraiment d'implication. Aujourd'hui elle espère sincèrement que le problème vient d'elle. Au moins, elle serait débarrassée du risque de tomber enceinte d'une créature des enfers... elle n'a plus qu'à remettre ses idées en place, et décider de la manière dont elle va passer les prochains mois. Est-ce qu'elle doit se montrer docile ou bien résister ? Faire semblant d'aimer le traitement qu'on lui inflige ? Peut être la relâchera-t-il plus vite ainsi... Est-ce qu'elle pourrait, à force de le fréquenter apprendre à l'influencer ? Elle ne voit pas, en fait, d'autre manière d'agir que de tenter d'attirer sa compassion.

Elle laisse échapper un soupir d'aise et se force à détendre ses muscles. Pour l'instant elle se plie à sa volonté, elle fait semblant de trouver du plaisir à la situation. Mais rira bien qui rira le dernier, se dit-elle pour se donner du courage.

« Merci... »



(1) Ohohoh
Titre: Re : Épouse modèle, printemps ensoleillé et tarte aux pommes [Kabraxis]
Posté par: Kabraxis, le voleur d'Espoir le lundi 23 septembre 2013, 14:31:37
Qu’il était plaisait de se vider les bourses dans les entrailles d’une jolie fille, le démon ne s’en laissait pas de ces moments de bonheur ou il pouvait avilir de misérables femelles humaines comme les petites catins qu’elles étaient toutes sans oser se l’avouer. Elles ne connaissaient que des mâles incapables de leur faire connaitre la vraie extase dans un lit, pas étonnant que la plupart soit des mijaurées avec ça. Elise semblait se laisser faire et le massage que lui prodigua le diable du visiblement lui faire du bien vu qu’elle finit par se détendre en soupirant avant de remercier son maitre.

Ce simple merci aurait été un beau symbole de la victoire du démon mais il venait sans doute un peu trop tôt pour être sincère, la blonde devait lui en vouloir à mort d’avoir cogné son mari avant de la violer elle et allait certainement pas lui dire merci pour ça.

« Merci pour quoi ma jolie ? Pour le massage ou pour avoir enfin jouis en toi car tu n’en pouvais plus de forniquer comme une folle depuis une demi-heure ? » Dit-il pour la taquiner et lui montrer qu’il n’était pas dupe de sa soumission feinte, la donzelle voulait surement juste qu’il continue de la masser et la laisser tranquille sans la sodomiser comme il l’avait précédemment menacé de le faire quand elle rechignait.

La petite pouliche humaine pouvait penser ce qu’elle voulait de lui, tout ce qu’il lui demandait c’était d’être une bonne esclave soumise et joueuse avec qui il pourrait prendre du bon temps. Lui ne la voyait que comme une vulgaire servante juste bonne à calmer ses ardeurs bestiales, un jouet sexuel soumis à son bon plaisir. Elle n’était pas démone, ni louve-garou ou à la limite vampiresse pour prétendre avoir le droit à un peu de respect de sa part. Fortune ne gagnerait probablement pas les faveurs de son nouveau maître car ce dernier avait réellement l’intention de la libéré d’ici quelque mois quand il se serait lassé de l’humilier et de la débaucher.

A moins qu’à la fin u séjour elle ne le supplie à genoux de la garder avec lui et de ne pas la renvoyer chez son tocard de mari ou qu’elle se montre assez vilaine pour qu’il l’offre en cadeau à une succube, le démon tiendrait parole. Madame Landevin devait se raccrocher à cette idée et si elle restait docile pour le moment c’était surement par envie d’être bien traitée par son dominateur et de s’éviter de désagréable punition. Aucune fille intelligente n’avait envie de désobéir à un prince des enfers susceptible de l’offrir en pâture à une bande démon lubrique qui la traiterait pire qu’une chienne en la violant par tous les orifice pendant des heures. Amusé Kabraxis sourit à sa captive.

« Cela fait deux millénaires que je possède des esclaves alors ne crois pas pouvoir sottement me faire croire que tu as aimé te faire violer par une créature infernale, seule les plus dépravées des humaines aiment se faire traiter comme des chiennes par un inconnu qui abusent d’elles. Ce qui semble loin d’être ton cas, je m’en fous bien mal que tu me détestes tout ce que je te demande c’est d’être docile, câline et respectueuse envers moi mais aussi envers mes maitresses et les succubes auxquelles je pourrais te prêter durant les quelques mois que nous passerons ensemble ! »

Son long discourt terminé le démon caressa les fesses de l’humain puis il se releva pour aller voler une bouteille de vin posée sur le buffet servant aussi de mini-bar placé dans un coin de la pièce et alla s’asseoir sur le canapé après s’être servis un verre, la vue de sa nouvelle esclave gisant sur la tapis les fesses couvertes de sperme était agréable. Le démon avait en tête de la laisser nue et honteuse un moment, le temps qu’ils mangent la tarte aux pommes qu’elle avait faite avant qu’il n’arrive chez lui puis ils remonteraient à l’étage pour se rhabiller avant de partir. Bien sur l’esclave n’aurait le droit que de porter des chaussures et des sous-vêtements, en enfer il faisait une trentaine de degrés la plupart du temps à cause des nombreux volcans et la plupart des démons s’habillaient donc de façon légère.

Les plupart des démones allaient en bikini pour aguicher les mâles et leur donner l’envie de leur arracher leur string avant de les monter farouchement à même le sol. La petite blonde n’était qu’au début de ses peines et allait devoir s’habituer à voir tous les jours des créatures infernales forniquer dans les rues sans aucune pudeur, une notion humaine dont on ne faisait que peu de cas au pays des démons lubriques ou le sexe était un sport aussi rependu que la course à pied sur terre …