Sur le toit du lycée, l'ombre d'un homme y résidait. Cet homme était assit, regardant vers à l'horizon et contre le mur où régnait une simple porte en bois. Celui-ci avait séché les cours comme à son habitude et se "réfugiait" là pour réfléchir. Mais, n'ayant pas le temps qui le touche, la nuit tomba aussitôt. Le jeune humain qu'il était se leva et, regardant vers la cours, ne vit que le gymnase éclairé. Mais, regardant quelques minutes de plus, il remarqua que la lumière de celle-ci était étrange. Souriant, celui-ci se retira du vide et, marchant tranquillement, il arriva au gymnase. Regardant par la fenêtre, celui-ci constata qu'une étudiante pratiqua une incantation qu'il n'était censé connaitre que dans les livres. Quelques minutes passérent, puis, le mur du gymnase se détruisit, les morceaux de roches volérent, raflant la jeune femme qui, à cause du souffle de l'explosion, glissa en arriére, annulant ainsi son incantation. La fumée produite par l'explosion enveloppa toute la piéce et une ombre apparut, éclairé par la lumière et entrant par le trou. La fumée disparut petit à petit, mais, lorsque le jeune homme avait encore son identité caché, il lui adressa quelques mots :
- Les élèves n'ont guére le droit de se trouver dans l'enceinte de l'école sauf pour les cours....
La fumée disparut dans un fracas d'air et on pouvait distingué un homme de 16 ans, veste sur ses épaules, bras dégagés (sans les manches de la veste), un brassard avec écrit dessus : "Chef du conseil de discipline" et, pour finir, un tonfa entouré d'une aura mauve à chaque main. Son regard était neutre, aucune émotion sauf celle de la combativité. Son sourire n'était qu'un simple sourire d'assassin ou de sadisme dans la catégorie "criminel". Descendant petit à petit de la montagne de débris de roche, le jeune homme la fixa d'un air froid, mais, mortel et continua :
- .... Vous ne devrez pas être ici, d'ailleur. Vous n'êtes guére un élève et encore moin un parent ou un professeur. Ta façon de regarder, ta façon de t'habiller, ta façon de t'assoir ainsi que ton odeur empeste. Tu n'es pas une fille de 15 ans, mais, plutôt une de plusieurs années, je dirais même siécles. Donc, je ne te poserais que deux question : Qui es-tu et Que fais-tu ici?