Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Plouf plouf plouf [Ketake]

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Maelie

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 30 mardi 11 février 2014, 10:59:47

Il l'attrape, la lache. Elle laisse un échapper un rire suraigue et s'échappe jusqu'à sa porte contre laquelle elle se jette, y inserant sa clef dans le même mouvement : en quelques secondes, il l'a suivie et a refermé derrière lui : ils sont seuls dans son appartement. Il la plaque au mur, tandis qu'elle cherche difficilement son souffle, riant toujours, au bord de l'asphyxie. Il appuie ses mains de chaque côté de la jeune fille, dans une pose autoritaire. Elle ne résiste pas le moins du monde ; elle l'a amené où elle voulait, elle est toute à lui, maintenant. Elle se laisse embrasser, même si elle manque cruellement d'air, et pose ses mains sur la poitrine de Ketake, caressant la dureté de ses muscles à travers ses vêtements.

" Le chat a attrapé la souris… Est-ce qu’elle va encore essayer de se sauver?
- Trop... fatiguée..."


Heureusement, à mesure qu'elle reprend son souffle, elle réalise qu'il lui reste quand même un peu d'énergie. Encore heureux, elle a encore tant à faire. Lui n'a pas l'air vraiment essoufflé. Visiblement, il n'est pas la moitié d'un sportif. Elle tend le cou pour embrasser à nouveau les lèvre du jeune homme, et lève le talon droit derrière elle, à la hauteur de sa cuisse pour défaire les lanières de sa sandale d'une main. Elle laisse tomber la chaussure sur le sol, puis elle inverse sa position et se effectue la même opération sur son second pied. Ses lèvres dévient de leur position et se perdent dans le coup du mâle. Elle l'embrasse le mordille, respire son odeur... elle se colle contre lui, écrase ses seins gonflés par le désir sur son torse. Ses mains glissent sous le haut de son amant, et elle provoque son dos du bout des doigts, faisaint glisser la pulpe et les ongles dans le creux de sa colonne.

Derrière Ketake se trouve une penderie, tandis que, sur le mur contre lequel il a plaqué la jeune fille, se trouve une porte qui mène à une petite salle de bain. Le petit couloir que forme l'entrée donne directement sur une salle à vivre, où chambre à coucher et cuisine se confondent. Le choix de la rouquine est vite fait ; elle a vu asez d'eau pour aujourd'hui, les festivités auront donc lieux dans la salle à vivre. Elle interrompt une seconde son baiser, et revient à l'assaut pour prendre la lèvre inférieur de son amant entre les dents. Elle commence à se déplacer, lentement, entrainant le mâle à sa suite. Depuis le temps qu'elle rêve de faire ça...

A moins qu'il ne résiste, elle l'entrainera jusqu'au milieu de la pièce, à côté de son lit deux places ( un de ces fameux lit à raz de terre, repliable pour former une banquette ) où une épaisse et moelleuse couette bleue ciel repose à demi enroulée sur elle-même. L'endroit n'est pas très spacieux, par ailleurs. Une cuisinière, un évier, quelques placard, un frigo, deux chaises et une petite table, c'est à peu près tous les meubles qui se trouvent en cet endroit. Sur la table, un ordinateur portable, à côté du lit, une lampe de chevet et une pile d'exemplaires de Full Metal Alchemist.

A condition qu'il se soit laissé faire et qu'il continue, elle le poussera sur le lit pour l'y faire tomber à la renverse, et se jettera à califourchon sur lui.

Darkred Zero

Créature

Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 31 lundi 24 mars 2014, 02:32:14


Le plus excitant pour Zero était déjà passé, mais je ne sentais pas la lassitude si caractéristique quand je m'ennuie à jouer avec une proie, juste avant de la dévorer, sans laisser une goutte de sang m'échapper. Je pouvais sentir quelque chose en elle qui n'était pas humain, aucun humain ne m'avait donné une telle envie... Zero avait faim et aucune femelle humaine ne l'avait retenu dans sa faim très longtemps, n'importe quelle personne normale ne serait rendue si loin.

Elle m'avait entraîné à l'autre bout de son appartement, très simple et petit, mais convenable pour une personne seule, où elle me rejeta sur son lit... Lit d'un grand confort, qui me fit pousser un petit gémissement d'aise à peloter le molleton avant qu'Anasthasia ne se jette sur moi, à califourchon. Aussitôt, mes bras glissèrent autour de sa fine taille, alors que je lui retirai fébrilement son haut, découvrant sa poitrine nue. Ma bouche, alors occupée à l'embrasser le plus longtemps et goulûment possible, essayait de prendre quelques brides d'air. À vrai dire, jamais n'aurais-je cru que l’absorption d'un être externe aurait modifié un réflexe aussi basique à l'être humain que celui de respirer par le nez (Zero n'ayant pas de narine, hein, alors...)

Mes mains s'affairèrent alors à retirer les shortys en denim, mais la donzelle n'était pas en position de pouvoir retirer ces derniers, et je ne voulais vraiment pas la voir s'éloigner de moi, alors je déchirai ces derniers,  de la base jusqu'à la ceinture, me permettant ainsi de les retirer, et les lancer plus loin.

-Désolé, mais je t'en achèterai d'autres... Si tu veux prendre ta revanche...

Désormais nue sur moi, nous en étions presque au même point que lorsque nous nous sommes quitté à la piscine.... Mes mains caressant ses fesses fiévreusement, j'attendais qu'elle passe à l'action.

Maelie

Humain(e)

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 32 lundi 24 mars 2014, 14:12:07

Un petit cri de surprise lorsque son short en jean se déchire comme un nylon. Comment ?... Il a tant de poigne que ça ? En temps normale, elle se serait sûrement mise en colère, mais cette démonstration de force ne fait que nourrir son désir. Et puis, elle n'a jamais été très précautionneuse avec les vêtements, son pouvoir de téléportation la poussant à en semer un peu partout... le jean quitte ses fesses nues, emportant sur lui un peu de son fluide, la laissant presque totalement vulnérable contre son mâle, qui lui est encore habillé.

Sur son visage, la stupeur cède vite la place à un sourire gourmand, et, redressant son corps, elle s'assoit sur le bas-ventre de son bestial ami... ce dernier porte encore son pantalon, ce qui fait de ce corps à corps un combat un peu déséquilibré ; cela n'empêche pas la succube de se frotter lascivement à l'entrejambe encore emballée du jeune homme. Elle peut sentir, à travers la toile, la dureté de son sexe, qu'elle se plait à comprimer sous la chaleur de son intimité, soupirant par anticipation. Son regard envouté croise celui de Ketake, et s'y installe. Elle lui sourit, presque timidement, esquisse le début d'un rire nerveux. Elle se sent trembler de plus en plus, tandis qu'elle ondule sur lui pour jouer les tentatrices, vêtue uniquement de son débardeur, sur lequel se dessine la forme de deux mamelons en érection. Regarde Ketake, je suis à toi, maintenant... dis moi que tu me veux...

"Ça, c'est pas juste... je suis presque toute nue et tu es encore tout habillé..."

Comme pour décrédibiliser immédiatement son propos, elle attrape le bas de son débardeur et le retrousse au dessus d'elle, avant de l'envoyer rejoindre le cadavre de son short. Maintenant, la dissymétrie de cette situation est vraiment frappante. Elle décolle son bassin et se penche en avant, à l'horizontale, pour faire glisser son corps dénudé sur celui de son amant... ou plutôt au dessus, car elle le touche à peine, ne faisant que le frôler. Elle meurt d'envie de sentir leurs corps pressés l'un contre l'autre, la chaleur de leurs ventres se nourrir mutuellement... elle réprime son désir, préférant repousser la satisfaction pour jouer encore à être la souris.

Elle se balance nonchalamment d'avant en arrière et, à chaque fois que ses lèvres passent tout près de celles de son homme, elle le taquine avec douceur : tantôt un petit baiser brulant et humide, déposé en moins d'une seconde avant qu'elle n'écarte à nouveau sa bouche, tantôt un simple effleurement furtif. Elle reste à tout instant proche de lui, si proche qu'il peut sentir la moindre souffle qui laisse échapper au gré de sa respiration saccadée. Elle essaie de la contrôler, de la maintenir à un rythme régulier, mais il est évident qu'elle y arrive de moins en moins. Il est évident qu'elle se mettra à haleter fébrilement à la moindre initiative de son amant.

Une petite main de jeune fille fait sauter les boutons de braguette qui retenaient le membre turgescent, lui offrant un peu plus d'espace. Cette même main  se faufile lentement dans l'ouverture créée et sur l'organe érectile encore prisonnier de la finesse d'un ultime rempart de tissu. Elle glisse lentement, sur toute la longueur du barreau, de haut en bas, puis de bas en haut, pressant la pulpe de ses doigts sur le contour du membre. Ses phalanges s'insèrent sous l’élastique du sous-vêtement et, d'un geste courbe, font jaillir le sexe à l'air libre : elles l'entourent, le caressent, le saisissent, lui impriment un lent mais franc mouvement de va et vient... Cela ne dure que quelques secondes, car la succube abandonne la verge à son sort, préférant effleurer la forme des muscles abdominaux de Ketake avec sa paume, remontant lentement son t-shirt vers sa poitrine. Les lèvres de la rouquine rencontrent la joue du jeune homme et y laissent leur empreinte de chaleur, durant des succions de plus en plus lentes, progressant vers son oreille. Elle ferme les yeux respire son odeur, laisse son souffle effleurer le pavillon, tandis qu'un grognement de désir à peine audible quitte sa gorge. Le bout durci se ses seins viennent chatouiller les pectoraux du mâle à chaque fois qu'une bouffée d'air gonfle sa poitrine. Sa chair n'est plus que volupté et désir d'être saillie lors d'un corps à corps transpirant. Elle ferme les yeux et lui murmure à l'oreille, sur un ton presque suppliant ;

"Baise moi."

Darkred Zero

Créature

Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 33 dimanche 30 mars 2014, 21:49:37


La souris avait justement terminé sa fuite, et maintenant elle demandait au chat de la manger toute entière… Et si le chat n’avait pas terminé de jouer? S’il avait encore envie de se faire les griffes contre le dos de la petite souris? Un petit sourire sadique vint sur mes lèvres alors que j’approchai d’un coup sec  sa tête contre la mienne, plaquant son front contre le mien, une seule pensée me vint en tête.

-Tu veux que je te baise?  Et si je préférais laisser la frustration monter jusqu’à ce que tu ne sois plus capable de te retenir?

D’un petit rire, je glissai mes mains le long de son corps, jusqu’à caresser ses cuisses pour revenir vers les miennes, où je déboutonnai mes pantalons, et les rabaissant, jusqu’à ce que mon chibre soit exposé à l’air libre, caressant  du bout du gland les lèvres inférieures de la donzelle. Les deux mains sur ses fesses, les écartant brutalement, je faisais bouger son bassin  de haut en bas, nos deux entre-jambes se frottant l’un contre l’autre.

-Allons, refais moi cette petite supplication…

Mes mains se trouvèrent plus aventureuses, glissant entre les jambes de la jeune femme, insérant de temps à autre un doigt dans son intimité, ce qui lui arrachait à l’occasion quelques gémissements, qui semblaient se montrer de plus en plus impatients, du moins à mon oreille de symbiote…

Jusqu’où pourrais-je l’amener à faire ce que je luis demandais, juste pour pouvoir la baiser?

Maelie

Humain(e)

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 34 samedi 05 avril 2014, 10:56:25

Elle ne s'attendait pas à cette réaction. Elle avait déjà subodoré son côté dominateur, mais le jeune homme soudain preuve d'une autorité bien plus brusque que précédemment. Qu'importe, du moment que ses mains la caressent comme elles le font. Ça n'est pas Maelie qui s'offusquera qu'on tente de prendre le dessus sur elle. Ca n'est pas non plus elle qui arrêtera de jouer.

« Pourquoi est-ce que ce serait moi qui céderait la première ?... »

Elle sourit et frotte leurs museaux ensemble. Deux secondes plus tard, c'est ses lèvres qui déposent un baiser sur le nez du jeune homme, puis qui pérégrinent jusque sous l’œil. Deux mains attrapent alors ses fesses ; les doigts du mâle pressent la chair tendre de son postérieur, écarte ses fesses l'une de l'autre ; un courant d'air vient caresser le sillon de ses fesses ; elle soupire. Il la force à bouger contre lui, faisant glisser leurs sexes l'un contre l'autre. Celui de Ketake est ferme, tendu, bouillant. Il s'attaque à son intimité : plongeant leurs regard l'un dans l'autre, elle gémit sous ses attouchements et se trémousse lentement au dessus de lui. Ses petites mains se posent tendrement de part et l'autre du visage du mâle, tandis qu'elle ondule au dessus de lui, laissant leur corps se frôler légèrement.

« Baise moi... s'il te plait, Ketake... je te veux... »

Parfois, un doigts entre en elle pour la titiller : la rouquine se met alors à geindre de plus belle pour en réclamer d'avantage. Malgré son envie, elle se se refuse à agir, préférant persévérer dans son petit jeu. L'effort que lui demande la lutte contre ses pulsions est perceptible à chacun des soupirs qui s'échappent par ses lèvres écarlates, chacun des tressaillements qui traversent sa chair. Elle colle son visage rosi contre celui de Ketake et l'embrasse avec lenteur, dévorant lentement ses lèvres, glissant avec tendresse le bout des doigts sur les joues et la mâchoire du monstre. Elle interrompt cette joute brulante et humide pour se reculer de quelques dizaines de centimètre et le dévisager, les pupilles dilatées par l'amour :

« En plus, tu avais promis... »

Darkred Zero

Créature

Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 35 jeudi 10 avril 2014, 17:32:42


La petite russe semblait bien aimer ce petit jeu dominateur-dominé, je pus même voir un petit sourire sur ses lèvres. Rien n’avait encore été dit, mais son corps ondulait contre le mien, et pas seulement parce que je la forçais à le faire; je sentais les mouvements plus tôt carrés à cause d’articulations rebelles devenir plus rond et gracieux, nous donnant à tous les deux un peu plus de sensations bienfaitrices.

Vint alors le moment tant attendu, où Anasthasia reprit sa petite voix, et me supplia de la prendre, comme la chienne qu’elle était. Un petit sourire satisfait, avec une pointe de sadisme,  apparut sur mes lippes, et je ne pus m’empêcher de fermer les yeux lorsque ses douces mains chaudes se sont posées sur mes joues… Puis, comme pour me provoquer, la rouquine me lança une pique, que je lui avais déjà promis. Promis quoi au juste? Bah de la prendre, jusqu’à ce qu’elle ait du mal à marcher pendant des semaines…

D’un brusque mouvement, je nous retournai, me retrouvant au-dessus de la jeune femme. Les deux mains sur ses cuisses, je me mis à l’embrasser dans le cou, remontant jusqu’à son oreille.

-Si je te l’ai promis, ce serait vraiment cruel de ma part de ne pas honorer une telle promesse…

Mon phallus, déjà sur le point de défoncer les barrières de l’intimité d’Anasthasia,  commençait déjà à pulser d’envie… Le jeu venait tout juste de prendre fin, et il était temps de passer aux choses sérieuses!

D’un brusque mouvement de bassin, j’entrai en elle, mon bras droit autour de sa taille, et le gauche autour de ses épaules. Nos deux corps étaient complètement collés, et j’en profitai pour lui arracher un bestial baiser. Un petit instant, je restai planté en elle, tel Excalibur dans son sceau de pierre, pour en apprécier la chaleur et l’humidité de sa belle petite chatte, avant d’entamer de vifs allers-retour en elle. L’attente et le jeux m’avaient mis dans un état tel que chaque coup de bassin m’arrachait un grognement…


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