Aperture Sex Laboratories : Expérience n°023 - Etude des dragons.

Il faisait tellement froid, ce matin... étrange. Nous étions pourtant en plein milieu de l'été. Rexia, la jeune dragonne rouge, avait du mal à reprendre ses esprits. Elle vivait depuis plus de cent ans, et pourtant c'était la première fois de sa vie qu'elle avait le réveil aussi lourd. Et puis, elle se sentait bizarre, tout patraque... elle avait l'impression qu'un serpent géant était en-train de s'enrouler autour d'elle et de lui couper la respiration. Pourtant, même dans son monde, il n'existait aucun reptile assez grand pour s'en prendre à un dragon... enfin, tout-du-moins, pas à sa connaissance. Après la sensation de froid et d'étouffement, ce qui frappa la créature, ce fut l'odeur... ça ne sentait pas comme d'habitude, ici, ça ne sentait pas l'or et les diamants qu'elle utilisait pour faire son nid, ça ne sentait pas la forêt qui se trouvait face à son antre ni la roche chauffée par le soleil... les odeurs des fleurs, des bêtes, de la nature, tout-ça avait disparu, remplacée par une odeur qu'elle trouvait vraiment horrible, entêtente, une odeur qui lui donnait à la fois envie de dormir et envie de se boucher les naseaux... elle l'ignorait encore, mais c'était les odeurs habituelles que l'on sentait dans un laboratoire. Et le vent ? Où était le vent ? Elle était toujours caressé par le vent, le matin, lorsqu'elle se révaillait, car il circulait facilement au milieu des galeries de sa caverne. Elle essaya de se mouvoir... mais elle n'y arriva pas. Ses ailes restaient obstinément clouées sur son dos, sa queue n'arrivait plus à gigoter, elle n'arrivait même plus à ouvrir la gueule... elle n'arrivait qu'à pousser de petits cris qui sortaient de sa gorge. Elle ne savait pas ce qu'il se passait, ni où elle était, mais une chose était maintenant clair, pour elle : elle n'était pas dans sa caverne. Au bout d'un moment, elle trouva enfin la force d'ouvrir les yeux...

Tout était noir, autour d'elle... elle était éclairé par une froide lumière grise venant du plafond, dont elle n'arrivait pas à voir la source, mais tout le reste de la pièce était plongé dans l'obscurité, elle ne pouvait voir ni ce qui l'entourait, ne où elle se trouvait. Et elle comprit bien-vite pourquoi elle ne pouvait plus bouger : elle était enfermée dans... et bien, en réalité, elle n'avait jamais vu de cage de sa vie, mais elle en avait déjà entendu parler. C'était surement ce qui s'en rapprochait le plus, pour elle, sauf que ce n'était pas vraiment une cage. Elle était couchée sur le ventre, droite, sur une sorte d'épaisse plaque en métal, et, directement reliés à cette plaque, elle était entourée par des barres d'acier qui la plaquaient sur ce sol de métal avec force. Deux plus larges que les autres lui entouraient le corps, lui plaquant les ailes contre les flans et les pattes à-terre. Trois autres lui maintenaient la queue en place, ainsi que trois qui lui entouraient le cou. Et une dernière, qu'elle considéra comme une sorte de coque-muselière, lui enfermait le museau, de manière qu'elle ne pouvait plus l'ouvrir, parler, ni même sortir la langue... elle ne pouvait même plus souffler de flammes par les naseaux sans risquer de se blesser. Un même genre de coque lui entourait également chaque griffe et le bout de la queue. Ainsi arnachée, elle n'était même plus capable de bouger une écaille, elle ne pouvait que bouger les yeux et essayer de déterminer où elle se trouvait...

Sa respiration se faisait forte tendis que la peur commençait à lui enserrer le ventre... mais enfin, comment était-elle arrivée ici ? Elle essaya de réfléchir, de se remémorer ses derniers souvenirs... elle se souvenait qu'elle était en train de chasser dans les landes dévastées des contrées du chaos, son royaume natal. Ces terres chaudes et son vol sous le soleil de plomb lui avait donné soif... elle s'était posée près d'un lac et elle avait bu... et après, que c'était-il passé ? C'était flou... une piqûre ! Oui, elle se souvenait avoir ressentit une piqûre au niveau de sa cuisse gauche. Ce ne pouvait pas être un insecte, ses écailles étaient trop épaisses, généralement ils s'attaquaient surtout à ses naseaux et à ses oreilles. Mais alors, c'était quoi ? Elle se souvenait s'être tourné, avoir vu des ombres de créatures humanoïdes... et puis plus rien. Sans le savoir, elle s'était faite tirée dessus par un fusil aux fléchettes à l'aiguille solide, pouvant traverser les écailles, et elle s'était faite injecter une dose suffisante de tranquillisant pour endormir un jeune dragon de sa taille. Elle réussit cependant à deviner qu'elle venait de se faire capturer... mais par qui ? Et par quoi ? Et surtout : qu'allaient-ils faire d'elle ?

Alors qu'elle se sentait déroutée à l'idée d'avoir perdue sa liberté, il y eut comme un bruit de cliquetit, puis les néons au-dessus d'elle se mirent à clignoter, et enfin, la pièce s'alluma. Mais la lumière fut si puissante, d'un-coup, qu'elle lui fit mal et qu'elle dut fermer les yeux... il lui fallut un moment pour réussir à les réouvrir, et pour pouvoir regarder ce qu'il y avait autour d'elle...

Les informations étaient vraies. Cela faisait plusieurs mois en fait que nous l'avions détectée : l'anomalie ou ce que les humains appellent un "dragon" ou quelque chose qui s'en rapproche fortement. il est difficile à croire que leur cerveaux primaires aient pu pressentir quoi que ce soit et pourtant leur description du dragon colle parfaitement à celle de cette créature. Après la détection vint l'analyse et après l'analyse vint la planification et après la planification vint... la capture. Après vint le rapatriement, après revint le rapatriement. Je le cite deux fois parce que ca a prit vraiment beaucoup de temps et d'efforts. Il a ensuite fallu la préparer, l'attacher. Tout l'équipement a été créé pour l'occasion, y compris la salle. heureusement que notre usine interne est capable de créer sur demande.

Maintenant, c'est l'heures des tests. Sur un spécimen aussi rare, ça promet d'être intéressant ! J'apparais sous ma forme holographique juste devant son museau pour lui expliquer les règles du test.

Bonjour ! Bienvenue dans le centre aperture sex laboratories, nous sommes heureux de vous compter parmis nos sujets tests volontair...rement désignés par moi même. Si vous êtes prpete, nous allons maintenant pouvoir commencer les tests. Ils auront pour objet votre anatomie, plus particulièrement vos organes reproductifs. Sachez que nous avons été obligés de concevoir certaines machines et instruments rien que pour vous. Ce qui fait de vous un mauvais investissement... à l'heure actuelle puisqu'aucun test n'a pu être mené. Pour vous amortir, il faudra sans doute plusieurs siècles de tests. Mais cela est possible puisque vous avez une très très longue durée de vie.

La dragonne ne peut pas voir ce qui se trame derrière elle mais... ça se trame !

Oh pardon je manque à tous mes devoirs : je suis GLADYHS. Et le membre copié d'une verge humaine mais qui mesure 1,5m de diamètre sur 5m de long et qui s'apprête à vous pénétrer nous l'avons surnommé LUTHOR. Pas mal comme nom hein ? Ne vous inquiétez pas, dans quelques instants vous recevrez plusieurs litres de lubrifiant directement sur votre vulve. Ah et pour une meilleure qualité de test, vous avez le droit d'exprimer vos impressions.

Les barres qui maintiennent la tête de la dragonne s'espacent légèrement pour lui permettre de parler. De parler doucement...

Sachez que votre souffle de flamme n'aura en premier lieu aucun effet ni sur moi ni sur le mur en face de vous, par contre, ce mur n'étant qu'à 3m de vous, vous risquez de vous cramer les miches. C'est ce que les gars du labo ont écrit : "cramer les miches" hum... ces humains sont si étranges...

La "muselière" de métal qui entourait le museau de la jeune dragonne rouge coupé une partie de sa vue, si bien qu'elle ne pouvait entièrement voir la représentante féminine de l'espèce humaine qui venait d'apparaître devant-elle... oui, littéralement apparaître en plein devant son museau, elle semblait être sortie du néant, au milieu de cet étrange pièce aux murs blancs remplis de machines et d'ordinateur qui n'arrêtaient pas de faire des bruits et des lumières. Rexia ne connaissait que peu de choses sur ce que les humains appelaient la technologie, elle en savait juste assez pour savoir ce qu'elle devait appeler une machine ou un ordinateur... en revanche, elle ne connaissait rien des hologrammes, si bien qu'elle se demanda si cette apparition était due à de la magie. A cause, donc, de la plaque de métal qui lui couvrait tout le haut de la gueule et bouchait en-partie l'avant de sa vue latérale, elle ne pouvait voir de cet étrange femme que le haut de son corps à la poitrine nue et son visage aux yeux bandés et aux longs cheveux. Elle ne voyait pas ses jambes, mais elle se sentait si humiliée à l'idée qu'elle était entravée devant-elle, forcée d'avoir la tête plaquée à ses pieds tel un animal dressé ! Une haine sans borne commençait déjà à grandir en elle vis-à-vis de cette humaine...

Tendis qu'elle lui parlait, Rexia sentait sa peur grandir en elle... quoi, qu'est-ce qu'ils allaient lui faire !? Non, ils n'allaient quand-même pas oser faire ça !? Si les calmants qu'on lui avait administré depuis sa capture l'avaient laissée dans le cirage, maintenant elle se sentait parfaitement réveillée, et paniquée ! Ses yeux roulèrent vers l'arrière, tendis qu'elle essayait d’apercevoir la chose qu'elle avait appelé LUTHOR... mais son propre corps couvert par les plaques de métal lui bouchée la vue. Cependant, elle sentait bien une présence, derrière elle, quelque-chose qui bougeait, et elle entendait les bruits des machines en-train de se mettre en place. Elle avait déjà la nausée, avant que les choses n'aient commencées...

Les plaques qui entourèrent son museau se déserrèrent... à-peine, mais elles se déserrèrent quand-même, et la dragonne put enfin respirer normalement. Sa muselière avait été si fortement serrée autour de son museau qu'elle avait bouchée ses narines, la forçant à respirer par les coins de la bouche... sauf que pour un dragon, respirer par la bouche, ce n'était pas vraiment un reflex naturel. Elle avait eu l'impression, à plusieurs reprises, qu'elle allait s'évanouir à-nouveau à-cause de l'étouffement. Elle prit une longue goulée de l'air froid de cette pièce... les odeurs y étaient agressives ! Elle sentit en outre les odeurs d'huiles et mécaniques, l'odeur du liquide lubrifiant juste derrière-elle... ce qui n'était pas du-tout pour la rassurer... et les odeurs d'éther et de médicaments divers dans le laboratoire. Étrange, elle ne sentit aucune odeur de créature organique, dans le coin, à part la sienne... où étaient ceux qui faisaient fonctionner ces machines ? Et pourquoi cette femme n'avait-elle pas d'odeur ?

Elle ne s'attarda cependant pas sur ces interrogations inutiles, elle était dans une situation beaucoup trop délicate pour penser à tout-cela. Grognant à travers un son qui montait du plus profond de sa gorge, elle se mit à dire à l'adresse de GLADYHS, parlant plus doucement qu'elle ne l'aurait souhaitée parce que son museau était trop serré, ayant également des difficultés à articuler à-cause de ça, le haut de son nez se cognant chaque fois qu'elle ouvrait la gueule :

-Mais qu'est-ce qui se passe !? Comment je suis arrivé ici !? Libère-moi tout-de-suite, saleté de primate sans fourrure ! Ou je jure que dès que j'aurais réussi à me libérer de ces entraves, je te grillerais tout-doucement, et tes os irons orner mon nid ! Ils serviront de cure-crocs pour mes futurs petits ! Vous ne pouvez pas me faire ça ! Je vais réduire cet endroit en cendres dès que je serais libre !

Ce à quoi elle était en-train de s'évertuer, on pouvait d'ailleurs voir ses écailles s'agiter par de petites vaguelettes, tendis qu'elle essayait de bouger les muscles... mais elle était beaucoup trop serrée pour pouvoir bouger, ses liens de métal étaient trop solides pour qu'elle puisse les brises... elle n'arrivait qu'à se faire mal.

Nous respectons votre droit de réserve quand aux précédentes déclaration et notons que votre humeur au début du test est : très en colère. Nous verrons si cela change au courant ou après le test.

Le lubrifiant commence à être appliqué, ce sont des tuyaux de part et d'autre qui projettent le liquide directement sur les lèvres. LUTHOR ne devrait pas tarder à entrer en action.

Pendant les 30 secondes de lubrification, je vais vous expliquer ce qui suivra l'intervention de LUTHOR : il n'est là que pour vous mettre dans l'ambiance. Il va falloir connaître la sensibilité de votre clitoris aussi. Ensuite, nous testerons l'élasticité de votre vagin ainsi que celle de vos lèvres. Nous tenterons de connaître la capacité en terme de contenance que peut avoir vos organes et...

Un grand bruit de machine qui se met en marche se fait entendre, ca va être à LUTHOR de jouer...

Ah le voila qui entre en action... et en vous par la même occasion.

Le gode géant s'avance, presse contre la vulve lubrifiée, son contact se fait insistant, de plus en plus fort jusqu'à ce que le portique de chair cède et n'avale le membre tout entier. Cette dragonne a beau être grande, ca représente quand même un sacré morceau ce qu'elle se prend... et le robot commence à faire des vas et viens. Des litres de lubrifiants d'écoulent des bords à chaque mouvement : on entend le bruit du liquide qui s'écoule sur le sol et des sortes de sussions quand LUTHOR tente de se retirer. Ca lime dur tout ça...

LUTHOR fait très bien son travail. Nous allons commencer les tests sur votre clitoris maintenant. Sachez que la taille de votre clitoris est plus ou moins celle d'une verge humaine. Vous comprenez ce que cela veut dire ? Vous êtes presque hermaphrodite à mes yeux. Alors sachant cela vous sentez vous plus humain ? D'ici quelques instants, une pince viendra... ben... pincer, désolé pour la répétition, progressivement votre clitoris. Nos capteur enregistreront une éventuelle réaction douloureuse. Ou orgasmique. Sachez que si votre clitoris se retrouve sectionné ou arraché, nous sommes en mesure de vous en refaire un à l'identique grâce à la génétique ! Mais cela n'a que peu de risques d'arriver avant d'atteindre le niveau 8 de pincement.

La pince sort sur sol, s'ouvre et se dirige vers le clitoris en question.

Tiens d'ailleurs ca me rappelle une blague : Pince mi et pince moi sont sur un bateau. Pince mi tombe à l'eau. Qui reste-t-il sur le bateau ? Si vous répondez juste, nous agirons selon vos désir mais juste une fois. Vous pourrez même me demander de vous relâcher si c'est ce que vous voulez.

Rexia n'avait pas atteint l'âge de la reproduction depuis bien longtemps... en réalité, elle n'était considéré comme une dragonne adulte que depuis quelques semaines, si bien qu'elle n'avait encore jamais eu l'occasion de se reproduire... d'ailleurs, elle n'avait encore jamais rencontré de dragon mâle avec qui passer à l'acte. Depuis cependant le jour où elle avait ressenti ses premières chaleurs, qui revenaient de façon régulière, la poussant frénétiquement à chercher un compagnon, elle s'était demandé, et avait imaginé à plusieurs reprises, à quoi ressemblerait la première fois, pour elle... elle s'était imaginé un moment tendre, doux. Le dragon aurait passé des heures à chercher à la séduire, et elle, plus par jeu qu'autre-chose, aurait résisté jusqu'à ne plus en pouvoir, et elle se serait soumise à lui. Elle avait imaginée toute-sorte de situations pour la première fois où elle aurait été pénétrée... mais certainement pas ça ! Se faire prendre de force par les machines d'une humaine sadique dont elle ne comprenait pas la moitié des paroles... elle comprenait qu'elle faisait ça pour l'étudier, mais enfin, dans quel but la torturait-elle ainsi ?! Elle se demanda si être prise par une machine comptait... venait-elle de perdre sa virginité ? En tout-les-cas, il n'y avait ni amour, ni douceur, ni même de plaisir, comme elle l'avait espérée... elle ne ressentait que de l'humiliation, du froid, et de la douleur.

Des larmes avaient commençaient à couler de ses yeux lorsqu'elle avait sentit l'horrible liquide froid et visqueux qu'était le lubrifiant utilisé être envoyé avec pression contre son intimité, et celle-ci se mêlaient maintenant à la transpiration qui suintait entre ses écailles, tendis que l'objet long et dure nommé LUTHOR s'enfonçait et se retirait à interval régulier à l'intérieur d'elle. Rexia avait tenté de résister, mais à ce niveau-là, la puissance d'un dragon ne pouvait rien face à la puissance mécanique et inarrêtable des machines. Elle s'était faite pénétrée par ce qu'elle sentait comme un tube à l'étrange forme sans avoir la moindre possibilité de le repousser. Son corps la faisait souffrir... à chaque fois qu'il revenait en elle, elle avait l'impression qu'il la déchirait, même si ce n'était rien par-rapport à la première pénétration, après laquelle elle avait senti, sans pouvoir le voir, son propre sang couler. Le départ avant le retour n'offrait qu'un maigre soulagement, car il ne se retirait jamais totalement. Instinctivement, son corps tentait de se mouvoir en rapport avec la sensation de reproduction... elle cou tentait de se arquer, et ses serres de se serrer... mais ses harnais de fer l'en empêchait, et cela la faisait souffrir.

Vint ensuite le moment des questions... à travers le rideau de larmes qui lui brouillait la vu, la dragonne rouge regarda sa tortionnaire avec haine... elle décida qu'elle ne lui répondrait pas ! Elle ne se sentait pas plus humaine, elle se sentait seulement brisée, humiliée, et en colère, mais certainement pas humaine ! Elle ne le lui dirait cependant pas, car elle refusait d'entrer dans son jeu... elle avait peut-être la possibilité de jouer avec son corps, mais Rexia ne la laisserait pas jouer avec son esprit, elle ne la laisserait pas l'humilier d'avantage. Elle ressentait cependant l'envie de lui demander d'arrêter, de la supplier de la laisser tranquille... ce serait l'humiliation suprême, elle se soumettrait à cette humaine ! Non, elle refusa d'obéir à cette pulsion, elle garderait son honneur jusqu'à la fin ! Elle se tut donc, se contentant de la regarder et de souffrir en silence...

Cependant, la proposition qu'elle lui fit de la relâcher si elle répondait à sa stupide question était trop tentante... pourtant, Rexia sentait bien qu'il devait y avoir un piège... c'était trop facile, à moins qu'elle ait mal compris sa question, ce qui n'était pas impossible, car elle avait du mal à garder l'esprit clair. De tout-façon, elle n'avait plus rien à perdre, vu sa situation... incapable de bien réfléchir avec LUTHOR qui n'arrêtait pas de la marteler, elle finit donc par répondre ce qu'il lui semblait le plus logique, haletante, entre deux grognements et deux petits couinement de douleur alors que la machine venait et se retirait...

-Pince-Moi... c'est... Pince-Moi... qui reste... sur... le... bateau...

Ce n'est qu'en prononçant le nom qu'elle se rendit compte de sa véritable nature, et qu'elle comprit que cette immonde sorcière l'avait piégée de façon à ce que il semble que ce soit elle qui demande la suite... elle ouvrit de grands, emplis à la fois de haine et de terreur, à l'idée de la douleur qu'elle allait bientôt ressentir.

Bonne réponse et souhait exhaussé !

La pince se referme sur le clitoris avec fermeté. Niveau de pincement : 7

La réponse à cette question vous octroie un QI minimum de 75. Bien qu'il y ait une chance sur deux pour que vous disiez la réponse au hasard... nous choisissons de penser que vous êtes plus ou moins intelligente malgré le ton hésitant de votre parole qui peut être dû aux 369 kilos de plastique mou qui vous ramone le vagin. Du moins c'est encore une fois l'option que nous choisissons de penser. Somme toute, nous sommes très optimistes. Notez la confiance aveugle que nous vous accordons.

Pincement de niveau 8. Niveau critique pour l'intégrité physique du sujet.

Ah oui, il y a en effet 10 niveaux de force pour ce pincement mais nous avons éliminés les 6 premiers parce que beaucoup moins intéressants en matière d'informations qu'ils pouvaient nous procurer.

Accélération du nombre de vas-et-viens de LUTHOR : 2,5 coups/s

Chez les humains, l'endorphine sert à deux choses : à atténuer la douleur lorsqu'elle se fait sentir et à jouir. Intéressant ce rapport entre la douleur et le plaisir n'est ce pas ? Le plaisir n'est en fait qu'une atténuation de la douleur trop poussée.

Nombre de vas-et-viens de LUTHOR : 4,5 coups/s

Vous ne vous en lassez pas ma parole... Peut-être devrais-je électrifier cette pince... mais nous avons un programme et il faut le respecter. Luthor, c'est assez.

L'immense verge se stoppe nette, marque un temps d'arrêt et se retire lentement. Une fois le gland sorti, des litres de liquide se déversent sur le sol et s'échappe par une trou d'évacuation prévu à cet effet.

Il est maintenant temps de procéder à l'élargissement de votre organe reproductif. Ah non au temps pour moi, il s'agit d'un test d'élasticité. Il ne faut pas m'en vouloir : à par le nom, il n'y a aucune différence entre ces deux tests. Jusqu'à présent, vos niveaux de plaisir et de douleur se situent à combien sur une échelle de 1 à 10 ? Répondez bien et je pourrai peut-être desserrer cette vilaine pince ? En fait, le but global de tous ces tests, outre le fait de collecter des informations sur votre anatomie est de faire de vous un être totalement perverti. Mettez y du votre, et vous serez récompensée !

*De l'électricité ?! Oh non, par-pitié,surtout pas de l'électricité !* supplia mentalement Rexia, sans cependant le dire à haute-voie, gardant sa supplique pour elle-même... penser ce qu'elle désirait dire atténuait légèrement son calvaire psychologique, mais elle se refusait toujours de supplier cette humaine... non, elle ne le ferait pas, malgré toute les douleurs et les humiliations, elle ne supplierait pas... sinon, ça voudrait dire qu'elle aurait gagnée, que Rexia aurait perdu tout ce qui faisait d'elle un dragon, à savoir l'honneur, la puissance et la sauvagerie. Mais elle se demandait tout-de-même si GLADHYS avait appris à quel point les dragons pouvaient craindre l'électricité. Leurs écailles possédaient presque le même code génétique que le métal, c'était ce qui les rendait si solides... mais elles conduisaient également bien mieux l'électricité, et le choc que ressentirait un humain était multiplié par deux chez un membre de son espèce. La pauvre jeune dragonne avait déjà poussé un long sifflement douloureux lorsqu'elle avait senti les pinces se serrer, son clitoris étant devenu particulièrement sensible à cause de LUTHOR et de ses horribles vas-et-vients en elle en continu, et de ses yeux coulaient maintenant un long ruisseau de larmes qui naissaient de sa douleur et partaient s'écraser sur le sol de sa prison... elle n'était par certaine qu'elle survivrait à la douleur d'un choc électrique à un tel endroit.

Son coeur battait fort dans sa poitrine, et elle se sentait épuisée bien qu'elle n'ait pas bougeait durant tout ce test... et tout-cela ne faisait qu'empirer avec l'augmentation de la vitesse du tube en plastique et l'augmentation de la pression de la pince. Elle grognait et serrait les crocs, s'enjoignant à ne pas perdre la tête et à ne pas se soumettre. Le seul point positif dans tout-cela, c'était que le corps d'un dragon en général était plus résistant que celui d'un humain, même les coins mous, humides et dépourvu d'écailles, bien que ces coins n'en étaient que plus sensibles... la force du pincement était horrible, mais elle ne trancha pas son intimité... elle espérait cependant qu'elle résisterait au niveau dix, et à l'électricité si il y en avait.

-Si je... ne m'en... lasse pas ? Protesta Rexia d'une voie faible. Tu... m'as... attaché... sale... primate. Un conseil... lorsque j'aurais... réussie... à me... libérer... prend garde... je t'empalerais... sur LUTHOR. GRRRIA !

Et c'est après cela que Rexia voulu pousser un rugissement qui se perdit malheureusement dans sa muselière de fer, tendis que le god géant se retirait enfin d'elle. Le pire, pour elle, fut de s'apercevoir qu'elle ressentait une sensation agréable lorsque le gland se retira, qui lui fit hérisser les écailles de son postérieur... non, elle ne devait pas apprécier de qu'ils lui faisaient ! Autrement, elle était perdue, ils allaient réussir à la "dompter" comme un animal ! Elle refusait de devenir leur esclave ! Elle essaya de cacher cela derrière un long grondement, alors que de la fumée noire sortait de ses naseaux... elle ne pouvait cependant toujours pas cracher le feu. La pince était cependant toujours bien présente, et lui faisait naître une horrible douleur au niveau du bas-ventre... elle supposa qu'elle aurait vomi, si son ventre n'avait pas été vide. Et il était si humiliant de sentir du liquide s'écouler de son vagin sans qu'elle ne puisse l'en empêcher...

La dragonne regarda d'un oeil noir le programme informatique en forme de femme devant elle... la promesse qu'elle lui fit de desserrer les pinces était tentante, elle devait bien le reconnaître. Mais elle s'était déjà faite piégée une foie avec Pince-Moi... si GLADHYS avait confiance en Rexia, Rexia n'avait aucune confiance en GLADHYS. Elle ne la laisserait plus jouer avec elle, et l'humilier en la piégeant de cette façon ! Alors elle desserra les dents avec difficulté à cause de la douleur qu'elle ressentait à travers la pince, et lui répondit faiblement, d'une voie enrouée :

-Va te faire cuir un lézard, primate ! Je me fiche de tout ce qui pourrait venir de toi, récompense ou pas, je ne veux que ma liberté ! Je ne te laisserais pas jouer avec mon esprit, et tu peux toujours t'arracher les cheveux pour que je me soumette et devienne "un être totalement perverti".

Aussi longtemps qu'elle serait capable de résister, Rexia ne se laisserait pas briser... seulement voilà : combien de temps serait-elle capable de résister ? Elle disait qu’elle ne cèderait jamais, mais elle n’en était pas aussi certaine, en réalité. Les dragons étaient plus résistant que les hommes, mais elle était encore une jeune dragonne, qui n'avait jamais autant souffert de sa vie.

Je note que vous ne coopérez pas du tout aux tests. C'est très mal. Quand à l'expression "va te faire cuir un lézard"... je ne suis pas sûre de comprendre tout son sens. Pour information, je ne suis qu'un hologramme, vous ne pouvez pas m'empaler sur LUTHOR. Je suis comme un fantôme, vous ne pouvez rien contre moi. Tenez, regardez : je me met juste sous votre museau, je me couche par terre, j'écarte les jambes et je me touche sous votre nez. Pensez vous que je pourrais faire tout cela si j'avais peur que vous me fassiez du mal ? Cessez donc de dire n'importe quoi et profitez du spectacle. D'autant que l'élargissement est sur le point de commencer.

Un tube creux de 0,5m de diamètre et de 3m de longueur s'enfonce progressivement dans le sexe de la dragonne.

Ce tube fonctionne un peu comme ce que les humains appellent un spéculum. Mais sous une autre forme. En fait le tube qui est fiché dans votre intimité est composé d'une seule plaque en métal roulée sur elle même, mais lorsque cette plaque se déroule, le trou augmente son diamètre. Nous pouvons donc vous élargir à loisir !

Augmentation du diamètre : 0,8m

Vous savez, je ne suis pas très grande, je ne mesure qu'1m56. Vous croyez que je pourrais rentrer sans avoir à me baisser dans votre vagin ? En fait, vous êtes un peu comme une grotte inexplorée. Des dragons, des grottes... peut être trouverons nous un trésor enfuis au fond de votre intimité ?

Augmentation du diamètre : 1,10m

Puisque vous n'avez pas été coopérative, j'augmente le pincement de votre clitoris à 9/10 aussi. Libre à vous de revenir sur vos vilaines paroles et de commencer à coopérer ! Une fois que vous aurez été élargie, nous vous ferons passer un test de goût. Vous en avez de la chance, ce test ne produit aucune douleur.

Effectivement, les insultes des dragons et des humains semblaient parfois s’inspirer les unes des autres, mais aux oreilles de l’une ou l’autre de ces deux espèces, certaines de leurs insultes pouvaient ne pas avoir de signification… voir être complètement ridicules. Mais les dragons pondaient, et naissaient dans des œufs, donc pour eux l’expression ‘’Va te faire cuir un œuf’’ n’était pas un terme particulièrement apprécié, surtout par les femelles. Au fil des années, cela s’était changé en ‘’Va te faire griller un lézard’’. L’injure la plus vulgaire que connaissait Rexia, c’était ‘’Briseur d’œufs’’. Briser un œuf de dragon en le faisant exprès était un geste lâche, car on s’en prenait à un dragonneau avant-même que celui-ci ne naisse… c’était particulièrement mal-vu si c’était un dragon qui se faisait traiter de cela. Mais bon, je m’égare, là… retournons donc aux calvaires de ma pauvre héroïne…

-Je ne sais pas ce qu’est un hologramme, s’exclama Rexia, et je m’en fiche ! Si je ne peux pas te toucher, je trouverais bien un autre moyen de te faire payer ce que tu me fais… je détruirais cet endroit, par exemple, et je te détruirais avec ! Et écarte cette horreur poilue de sous mon… GNIAH !!

Rexia ne put finir sa phrase et poussa un nouveau cri de douleur, car l’élargissement venait de commencer. Il semblait bien que plus le temps passait, plus les tests de GLADHYS devenaient douloureux… elle s’imagina que c’était sans doute son but.
Elle serra à-nouveau les crocs et fit en sorte de souffrir en silence. Elle sessa également de se débattre : elle savait qu’elle ne serait pas capable de se délivrer, ses liens étaient trop résistants, et elle était déjà épuiser… elle décida de garder ses forces pour résister psychologiquement à ces tortures, tout en guettant sa chance de s’enfuir. Elle ne supplierait pas, même si hélas, elle ne pouvait pas s’empêcher de couiner de douleur. Les yeux mi-clos, elle observa cette horrible imitation d’humain toucher son entre-jambe devant-elle… les humiliations qu’elle voulait lui faire subir n’avaient donc pas de limite ? Elle ne pouvait pas souffler de feu sans risquer de se blesser, mais elle pouvait toujours lui cracher dessus… ceux à quoi elle ne se priva pas ! Le crachat passa par-dessus la muselière de fer… il aurait dû tomber sur le ventre de son adversaire, mais il lui passa au-travers et tomba sur le sol, où il resta là à fumer. Elle lui avait donc dit la vérité : elle ne pouvait pas la toucher… elle n’en était que plus désespérée.

L’hologramme se croyait-il donc drôle avec ses références aux dragons, aux cavernes et aux trésors ? De toute-façon, même si Rexia avait eue envie en rire, elle ne le pourrait pas : le tube qui s’écartait progressivement en elle l’empêchait de réfléchir correctement, et le pincement qui ne cessait d’augmenter, par punition à son refus d’obtempérer, la rendait si sensible que la moindre goûte de sueur qui coulait le long de ses écailles lui faisait ressentir un affreux picotement. La rendre folle ? Cette femme avait-elle l’intention de la rendre folle ? Si elle continuait comme-ça, elle allait finir par y arriver… mais elle ne se rendrait pas sans se battre jusqu’au bout… GLADHYS devrait faire plus si elle voulait briser ses dernières barrières mentales… même si Rexia espérait ne pas recevoir de torture pire que celle-ci. Malgré cela, elle ne se sentit pas forcément rassurée lorsqu’elle lui promit que le test suivant était indolore… elle ne savait pas pourquoi, mais elle avait un doute sur le fait qu’un ‘’test de goût’’ ait pour simple but de la nourrir… elle pouvait se tromper, cependant.

L’intérieur de son intimité était maintenant tellement écarté qu’elle se demandait si il n’avait pas été déchiré… haletante, elle avait du mal à respirer. Son corps entier était secoué par des tremblements, et les coins de sa gueule étaient couverts par une bave blanche et écumeuse. Au bout d’un moment, elle finit par demander :

-Mais Qu’est… ce que tu… attends… de moi ?

Elle avait compris que cette créature… à ses yeux, ce ne pouvait pas être une humaine, ni un animal, c’était juste un monstre… voulait l’étudier, mais dans quel but lui faisait-elle subir tout-cela ? Que voulait-elle trouver, ou prouver, avec elle ?

Nous attendons de vous que vous coopériez. Ces tests ont pour but, autre que celui de recueillir des informations sur vos capacités physiques s'entend, de voir votre évolution mentale. Par exemple, est ce que la douleur infligée peut vous contraindre à dire des obscénités sur vous même ? Peut-elle vous contraindre à faire des actes obscènes ? Vous savez, là je vous fait du mal. Mais si vous coopérez, je peux aussi vous faire jouir de manière ininterrompue pendant des années ! Je vous donnez une chance de me prouver votre valeur.

Activation test de goût.

Les trois tuyaux qui vont se présenter à votre bouche dans un instant sont reliés chacun à une cuve différente d'une contenance de 10 litres. Dans deux de ces cuves, il y a du sperme de provenance animale. En général cela gêne beaucoup les humains mais je suis sûre que pour vous cela ne posera aucun problème... vicieuse ! Dans la troisième cuve, il y a... de vous. Eh oui de vous. Vous vous souvenez que j'ai recueilli tout ce qui sortait de votre sexe béant tout à l'heure ? Il est maintenant temps de vous le rendre. Les règles du test sont simples : Vous devez boire au minimum la moitié de chaque cuve et déterminer quelle cuve est attribuée à quel animal et aussi trouver votre cuve. Je pourrais vous enfoncer ces tuyaux dans la gueule et vous forcer à le faire mais je trouve beaucoup plus intéressant de vous laisser le choix. Coopérez. Et puis... plus vous attendrez et plus votre vagin s'élargira. Coopérez et la douleur s'estompera, mieux, vous prendrez du plaisir !

Oh oui, arrêter la douleur... GLADHYS lui promettait que si elle coopérait, si elle lui répondait, elle arrêterait la douleur. La vue de Rexia était brouillée par ses larmes tendis qu'elle observait sa tortionnaire... elle ne tenait pas temps que ça à jouir pendant des années, comme elle le lui promettait, peut-être parce que ça ne lui était encore jamais arrivé de sa vie. Mais en tout-les-cas, elle tenait à garder sa première jouissance pour le jour où elle s'accouplerait avec son compagnon... mais que la douleur s'arrête, ça, elle le voulait. Après-tout, ce n'était que des questions, elle voulait seulement qu'elle réponde à ses questions... serait-il si déshonorant qu'elle accepte de lui répondre, tout-simplement, afin qu'elle atténue sa douleur ? Elle pouvait très bien coopérer, après-tout, elle ne perdrait rien... ce n'était que des questions... ce ne serait pas déshonorant...

*SI !!!* rugit une voie tout-au-fond de son crâne qui l'aida un peu à reprendre conscience... mais que cela signifiait souffrir un peu d'avantage par l'écartement et le pincement. La souffrance qu'elle ressentait l'avait plongée dans une sorte de transe, à travers laquelle elle s'était mise à avoir des pensées qui n'étaient pas les siennes... son subconscient, afin de la protéger de la douleur, avait voulu qu'elle se soumette, afin que la douleur cesse, et qu'elle puisse se sentir bien, enfin... aussi bien qu'un chien couché dans son panier, attendant que le maître lance un susucre ! Non, il n'en était pas question ! Elle n'était pas un animal. Il fallait... elle devait... elle voulait résister ! Mais elle était si épuisée... elle avait si mal...

Les yeux humides, tremblante, elle regarda l'hologramme... faible, mais ayant encore un peu de détermination dans la voie, elle répondit :

-Non... je ne me soumettrais pas... je préfère encore que tu me tue. Tu ne me dressera pas... comme un chien. Je ne veux rien de toi... ni du plaisir... ni de ces stupides tuyaux...

Elle observa ceux-ci se lever devant son museau, alors qu'ils se mettaient en place... ainsi, deux d'entre-eux contenaient du sperme de créatures inconnus, et le troisième tout ce qui était sortie de son vagin... sans-doute surtout de l'urine et du sang. C'était répugnant... elle avait donc eut raison : ce teste de "goût" n'était encore qu'une façon supplémentaire de l'humilier. A nouveau, elle cracha par-terre... mais pas pour blesser GLADHYS, ce coup-ci, juste pour l'insulter et lui montrer son mépris.

-Fait ce que tu veux... je ne mettrais pas ces horreurs dans ma gueule... tu devras te battre si tu veux me dompter... je ne craquerais pas...

Et, sur-ceux, elle ferma la bouche et serra les crocs, afin de combattre les tuyaux qui, elle le supposait, n'allaient pas tarder à essayer de forcer le passage. Elle avait déjà ressentit la puissance des machines et savait qu'elle ne pourrait pas leur résister longtemps... mais elle tiendrait le plus longtemps possible avant de les avaler. Elle se demanda, cependant, si avec toutes ces machines qui calculait l'état dans lequel se trouvait la dragonne, GLADHYS savait qu'en réalité, elle n'était pas loin de craquer...

La douleur, l'humiliation... tout-cela était en-train de lui faire perdre la raison. Quelque instant plus-tôt, elle s'était plongée dans un état tel qu'elle avait failli craquer, et elle savait que cet état pouvait revenir à tout-moment, la protégeant de la douleur, mais la poussant à se soumettre. Elle était déjà à la limite de ce qu'elle pouvait supporter...  elle avait si mal au niveau 9 de pincement, à quoi ressemblerait le niveau 10 !? Elle voulait tenir... mais elle ne s'en sentait presque plus capable. *Par les quatre esprits élémentaires...* pensa-t-elle, dans une prière silencieuse qui résonna dans sa tête, *... aidez-moi... je crois que je ne tiendrais plus très longtemps...*

Mes capteurs s'agitent. Si j'étais dotée de sentiments, je serais certainement énervée. A la place, je calcule le temps perdu et estime le degré de force à laquelle je vais devoir avoir recours pour rattraper ce temps perdu. Ce qui est beaucoup plus saint. Objectivité et impartialité sont de rigueur en matière de science. Mais revenons à notre problème.

Me battre ? Je n'ai pas l'esprit combatif. Je ne suis qu'une logique. Une logique et un hologramme en train de se masturber sous votre nez. Je pourrais déchirer votre corps d'un coup sur une simple impulsion électrique mais j'estime que cela serait improductif. Bien que cette perspective puisse être envisagée, surtout si vous continuez comme ça... vilaine. Je pourrais dire "toute résistance est inutile" si je n'avais pas peur des clichés. Mais je préfère vous dire, continuez de résister autant que vous le pouvez, nos résultats n'en seront que plus riches, de plus, je crois que je vais augmenter la contenance des cuves au prorata du temps que vous prendrez à tenter de faire obstruction au test. Pour moi, votre résistance n'est rien de plus qu'un cadeau. Mais ne vous en faites pas : après les tests, moi aussi je vous ferai un cadeau !

Augmentation du diamètre : 1,40m
Pincement de niveau 9 : danger pour l'intégrité physique du sujet

Ma forme holographique arrête de faire joujou sous les yeux du sujet et j'apparais devant être, dans mon plus simple appareil - bien sûr - mais avec un cocktail à la main. Je bois quelques gorgées à la paille.

Huuuum... c'est très bon. Vous savez ce que c'est ? C'est une pina colada. Vous avez la même dans l'un de ces tuyaux. Je vous laisse découvrir lequel. A votre santé. Oh, j'allais oublier : ceci est le dernier avertissement avant que votre sexe ne soit assez béant pour accueillir ma forme holographique... mais rien ne m'empêche par la suite d'augmenter ma taille, ce n'est qu'un hologramme après tout ! De plus, j'électrifierai la pince si vous vous obstinez. Alors... obstinez vous !

Pf... cette machine n'était même pas capable de comprendre que lorsque Rexia disait "se battre", elle ne parlait pas forcément de bagarre, mais tout-simplement d'insister dans ce qu'elle était en-train de faire. Elle commençait un peu à comprendre ce qu'était un hologramme... elle n'en connaissait pas la signification exact, mais le peu qu'elle en avait vu et qu'elle en avait entendu, elle devinait grosso-modo ce que c'était... ce n'était qu'une imitation de la vie, une autre machine bizarre inventée par les humains. Ça n'avait pas de sentiment, pas de capacité, ça ne pouvait pas toucher, ni sentir, c'était à-peine capable de penser... ce n'était qu'un programme, qui ne faisait que suivre sa programmation. Un souvenir... une espèce de souvenir qui restait là, dans ce laboratoire, à continuer à faire ce que faisait les hommes qui étaient là avant, c'était le souvenir de ces hommes. En réalité, cette chose n'était rien de plus qu'un mirage... c'était pour cela qu'elle n'avait pas d'odeur, pour cela que la dragonne rouge ne sentait que les machines et l'huile, ici... il n'y avait plus d'humains depuis longtemps. Oui, Rexia comprenait vite... ça ne l'arrangeait cependant pas pour autant. Elle se rendait réellement compte, maintenant, qu'elle ne pouvait ni faire de mal, ni faire peur à un hologramme.

L'écartement de son intimité s'élargit encore d'avantage... Rexia ferma les yeux, essayant de supporter d'avantage la douleur. Elle entendit un craquement au niveau de la griffe centrale de sa patte arrière-droite... à travers la sensation de pénétration et d'écartement, ses muscles tentaient de se crisper d'eux-même et ses pattes de se serrer, mais elles étaient retenus par ses liens de métal... sa griffe s'était brisée. Elle aurait dû avoir mal... mais son cerveau n'arrivait à enregistrer que la douleur de son vagin, écarté et pincé par les machines.

Lorsque l'écartement s'arrêta, Rexia trouva la force rouvrir les yeux et d'observer GLADHYS tendis que celle-ci lui parlait. Elle lui annonçait que très bientôt, son calvaire n'allait être que plus horrible. Ce qu'elle redoutait tant, l'électricité, allait arrivé... de plus, elle allait bientôt recevoir l'humiliation d'avoir cet être pénétrant à l'intérieur d'elle. Elle ne se savait pas aussi élastique. Le trou qui formait son vagin était maintenant si gros qu'elle atteignait la moitié de sa propre taille. La respiration de la dragonne se fit plus forte tendis qu'elle ressentait la peur... elle savait qu'elle allait avoir mal... très mal... et pourtant, elle répondit entre ses dents, gardant les mâchoires serrées en prévision de la douleur, et de la tentative de pénétration forcée des tuyaux dans sa gueule :

-C'est bon, hein ? Et comment pourrais-tu le savoir... misérable machine... tu n'as ni sensation... ni sens... ni goût. Tu n'es qu'une vulgaire... imitation... de vie... tu n'es rien. J'en ai assez de m'épuiser... a te menacer... et à te répéter que tu... ne me... soumettra pas. Fait ce que tu veux... tu ne m'auras pas... et je fuirais d'ici... bientôt...