Une soirée pimentée (PV Graziella)

Son interêt et son desir allait grandissant, pour mon plus grand bonheur. Il finit par m'attraper avant de me claquer les fesses. Je ris.

- Oui tu m'as eu! Quelle va être la punition? Parce que je suis une vilaine fille! Je me sauve et te tire la langue! C'est vilain n'est-ce pas?

Je le repoussais sur le canapé avant de me mettre à califourchon sur ses genoux. Je posais mes mains sur ses épaules et relevais légèrement les fesses pour me tortiller.

- Crois-tu que je mériterais une fessée?

Je me rasseyais et m'appuyais contre lui, ma poitrine pressée contre son torse, mes lèvres très proches des siennes. Son odeur était tout simplement délicieuse.

- Je vous laisse choisir... Monsieur.

J'étais revenu au vouvoiement pour le provoquer, mon regard brulant planté dans le sien, et pour lui montrer que je n'étais pas du genre à diriger au lit.

Elle semblait se soumettre maintenant que je l'avais attrapé. Je lui souriais d'un regard pervers.

- Oui, tu sembles mal élevé et très très vilaine.

Elle vint me chevaucher, je la tenais par les hanches, avant de descendre sur ses cuisses et de remonter sur ses fesses. Je soulevais sa jupe, avant de baisser son string. Puis je remontais son postérieur, avant de commencer à lui donner plusieurs fessés, jusqu’à ce que ses fesses rondes et fermes soit bien rouge.

- Voila qui est fait !

Je ne me gênais pas ensuite pour glisser un doigt dans sa fente sans la prévenir. C'était doux et chaud et je l'enfonçais entièrement, commençant à le tourner à l’intérieur pendant quelques temps. Puis je le retirais avant de le lécher, pour goûter à son jus. Je passais ensuite ma langue sur les lèvres, avant e venir embrasser la jeune femme.

- Sa me plait bien tout ça, voyons ce que se cache la dessous.

Je baissais les bretelles de sa robe, avant de baisser un peu sa robe, pour dévoiler ses jolies seins. Je vins ensuite lécher le bout de ses tétons.

- Mais dis moi, je suis sur que tu n'es pas humaine

Mon entrejambe commençais à grossir, assez rapidement d'ailleurs. Elle serait surement surprise de la grosseur de mon engin qui commençait à frotter contre son string.

Mes fesses me brûlaient un peu mais j'appréciais cette sensation que je connaissais bien. Je gémit doucement lorsqu'il glissa un doigt en moi puis joua avec la pointe de mes seins. Je sentais son sexe grossir contre le mien. Je souris à sa question.

- En effet! Tu as déjà vu mes ailes je pense et....

Je me transformais en jeune fille brune, sans aucune forme ni intérêt particulier et le regardais avec de grands yeux innocents. La frustration transparaissait dans ses yeux et je ris avant de me retransformer. Son sexe entre mes cuisses ne semblaient pas vouloir s'arrêter de grossir. J'avais hâte de voir quel taille il atteindrait, avec une légère crainte malgré tout. Je fis totalement disparaître ma robe, dévoilant un ventre plat et des hanches juste comme les hommes aiment, ni trop larges ni trop minces. Je posais mes mains à plat sur son torse puis les fit descendre doucement jusqu'à sa ceinture que je commençait à défaire lentement.

- Je m'en doutais un peu en fait, moi aussi j'en ai !

Mes ailes sortirent de mon dos, des ailes faites recouvertes de plumes de paon. Puis je les fit disparaitre.

- Je vois, encore un point commun, alors, mais je te préfére comme ça.

Elle se retrouva soudainement nue, faisant disparaitre ses vêtements. Cela m'excitait encore plus car elle se frottait contre moi ce qui ne faisait qu'accroitre la bosse au niveau de mon entrejambe. Étant donné que ma forme démoniaque était un mélange entre un homme et un cheval, j'en possédais les attributs et la taille du sexe était également au rendez vous, bien qu'un peu moins grosse toute de même, une queue longue et bien épaisse avec les bourses bien grosses. La jeune femme ne se fit pas attendre, commençant à défaire la ceinture de mon pantalon. J'ouvrais ma chemise, avant de la retirer, la laissant ouvrir mon pantalon et fouillait mon caleçon, avant de laisser mon membre apparaitre en demi érection, mais déjà de taille conséquente. Elle paraissait bien surprise de la taille de mon engin.

- J'espère que tu aimes les grosses queue

Je me relevais pour coller mon torse à sa poitrine, agrippant ses fesses et lui donnant quelques tapes dessus.

- Ce soir, tu vas être ma petite chienne et tu vas commencer par te promener nue à quatre pattes en te caressant

Je restais interdite face à son sexe. Je n'en avais jamais vu d'aussi gros et j'étais loin d'être sur de pouvoir l’accueillir en moi, surtout qu'il ne semblait pas avoir envie de s'arrêter de durcir et de grossir. Je sortais de mes pensées lorsqu'il me claqua les fesses. Je lui adressais un sourire pervers lorsqu'il m'ordonna de me mettre à quatre pattes et de me caresser. Je descendis donc de ses genoux et me baladait dans la pièce, m'arrêtant quelques fois pour caresser mes seins ou mon sexe, ma langue passant lentement sur mes lèvres avec un sourire charmeur.

Au bout d'un moment, je me mis à genoux, cuisses écartées et commençait à me caresser les seins, mes doigts jouant avec les pointes, les durcissant, me faisant pousser de légers soupirs. Puis je fis descendre un de mes mains sur mon ventre, lentement, puis entre mes cuisses. J'étais déjà bien mouillée, mes doigts titillèrent mon clito, un autre se glissa entre mes lèvres humides, m'arrachant un gémissement. Je plantais mon regard plein de désir dans celui du démon, son membre ne grossissant plus était impressionnant.

Il se leva, je glissais un autre doigt en moi, me mordillant les lèvres. Debout face à moi, son sexe au niveau de mon visage, il me fixait, observait chaque détail de mon corps qui devenait de plus en plus sensible à chaque seconde. Sans un mot il approcha son sexe de mes lèvres, qui s'étirèrent en un sourire appréciateur. Je le pris dans ma main libre et commençait par de légères caresses. Mes doigts ne faisaient pas le tour de son sexe. Puis ma langue apparut entre mes lèvres et je la posais sur son sexe. Je le léchais sur la longueur, happant parfois son gland entre mes lèvres, titillant les points les plus sensibles. Puis j'ouvris la bouche et tenta petit à petit d'entrer son sexe en moi. Ma langue continuait de danser dessus, je réussit à entrer la moitié de son sexe en peinant un peu. Je me contentais de cela et fis des va et viens avec mes lèvres, les serrant et les desserrant selon mes envies. Des gémissements lui échappaient et sa main se posa sur le haut de ma tête. L'avoir en bouche m'excitait encore plus et mes doigts pénétraient facilement mon sexe. Ma main libre caressaient ses bourses, un doigt se glissant parfois rapidement entre ses fesses, sans insister.

La jeune femme fit ce que je lui demandait et je la regardait faire avec un grand sourire. Puis elle se s'arrêta un moment, écartant les jambes devant moi avant de commencer à se doigter et de caresser et lécher ses seins. Cela ne pouvait que m'excite et je commençait moi aussi à me masturber doucement. Je devinais de l'envie dans son regard.

Maintenant je voulais qu'elle me suce et c'est ce qu'elle fit rapidement quand je me rapprochait d'elle. Sa langue parcouru ma hampe avant de prendre le bout en bouche.

- Oui c'est bien comme ça, tu sais y faire

J'accompagnais ses mouvements de va et vient sur ma queue qu'elle humidifiait de sa salive tout en continuant de se caresser, à mon grand plaisir. Elle venait palper mes bourses qui pendaient, l'un de ses doigts venant frottait vers l'entrée de mes fesses. Cela me faisait frissonner, mais je n'étais pas le le genre de personnes à aimer jouer avec cette partie du corps. Si elle arrivait à me satisfaire pour la nuit, je lui offrirais sans doute ma protection.

- Ne va pas trop loin, contente toi de continuer comme tu les fais actuellement.

Il y avait une télécommande sur le bord du canapé et je pus la saisir sans interrompre ma partenaire. J'appuyais sur un bouton et une trappe s'ouvrit au sol, avant qu'un lit deux places n'émerge du sol.

- Ce sera déjà plus confortable.

Je la laissais me sucer, tranquillement jusqu’à ce qu'elle me dise de venir la prendre sur le lit ou autre part, cela m'était égale. Mais il faudrait qu'elle le mérite et qu'elle fasse avec politesse. Je mourrais d'envie de la fourrer comme une dinde, mais j'attendais qu'elle me le demande avec des mots bien cochons, ce serait encore meilleur !

Je pris le temps de te sucer lentement, parfaitement, avec gourmandise... J'essaie de prendre le plus possible de ton sexe dans ma bouche, je t'enfonce jusque dans ma gorge...

Tout en te suçant, je me caresse, l'excitation monte de plus en plus en moi, mes seins sont gonflés et mes cuisses trempées... Haletante tout en faisant courir ma langue sur ta queue et je caresse mon sexe, je fait glisser mes doigts entre mes lèvres et doucement j'en glisse un entre mes fesses...

Je me recule légèrement en continuant de me caresser et je te lance un regard suppliant :

- Baisez moi, s'il vous plait...

La poitrine se soulève rapidement au rythme de ma respiration et ma peau est couverte de frissons