Une fois que la belle Laelia eut ôté mon sous-vêtement, elle découvrit ma verge en érection dresser devant elle telle une lance de chaire dont la pointe gorgée de sang et de désir émettait de légères palpitations. Depuis que je l’avais rencontrée, depuis qu’elle c’était assise à coté de moi pour ce cours de biologie, depuis que je l’avais rejoins dans cette petite salle de colle, ma jolie camarade me faisait de l’effet et apparemment moi aussi je lui fais de l’effet. Je pus alors voir ses magnifiques yeux rouge foncé comme le vin s’écarquiller légèrement, c’était sans doute le premier sexe masculin qu’elle voyait et pour tout dire, j’étais heureux qu’elle me choisisse comme premier homme dans ça vie. La surprise que je lisais dans ses yeux fut vite remplacée par de la curiosité, une curiosité innocente et, sans la moindre malice, ma belle camarade approcha ses doigts de mon gland tout rose pour recueillir le liquide séminal qui formait une petite goutte au sommet de mon pénis.
- Nyeuh ? C'est ... C'est quoi cette chose ? Du jus ? De la gelée ?
Me demanda-t-elle avant de portée ses doigts à ses lèvres pour gouter ce liquide tiède sortit de mon sexe, mes lèvre s’étiraient en un large sourire devant une telle preuve d’innocence, je ne souriais pas par moquerie, mais bien parce-que je trouvais ça craquant. Laelia fit tout d’abord une drôle de tête, mais ce ne l’empêcha pas de se pencher légèrement en avant, la tête entre mes cuisses, et de tendre sa petite langue pour caresser doucement mon cinquième membre avant de le lécher de la base à la pointe. Quand sa langue chaude se posa sur mon pénis je lâchais un soupir de plaisir, ses caresses langoureuses eurent tôt fait de le couvrir de salive, mais, tenant la hampe de mon sexe d’une main, Laelia releva ses yeux rouge vers moi.
- Haaan, pourquoi ça ne sort plus ?!
S’exclama-t-elle, déterminée à me faire jouir, Laelia se pencha encore un peu plus afin d’avaler mon membre dans sa bouche chaude et humide pour le sucer tout en enroulant sa langue autour en une délicieuse fellation. J’étais comme en transe, je n’en croyais pas mes yeux, je sentais la langue de la belle s’agiter autour de mon sexe tandis qu’elle faisait de légers mouvements de va et viens de plus en plus rapide et intense comme s’il s’agissait d’une grosse sucette. C’était sa première fellation et elle faisait ça si bien, c’était comme si chacun de ses va et viens m’électrisaient de bonheur et pour le lui faire savoir je poussais un râle de plaisir tandis qu’elle poursuivait sa fellation en redoublant d’énergie. Cependant au bout d’une dizaine de minutes de succion acharnées, je ne jouissais toujours pas, j’en voulais toujours plus, et Laelia presque boudeuse dégrafa son soutien-gorge noir, me laissant admirer sa généreuse poitrine à l’air libre.
- Edean ... Je vais essayer quelque chose que j'ai vu sur un site euh ... De jeu !
Laelia se redressa un tout petit peu, puis elle prit alors ses seins en mains dans le but d’entourer mon sexe, elle le fit glisser dans sa merveilleuse poitrine si douce sur ma verge toute dure, ce qui m’arracha un nouveau gémissement de plaisir. Alors qu’elle me masturbait à l’aide de sa poitrine dont les tétons étaient d’ores et déjà au garde-à-vous, ma belle camarade déposa à nouveau sa langue chaude sur mon gland pour le lécher goulument ce qui fit naitre une intense chaleur entre mes reins.
- Ça... ça te plaît ?
Me demanda-t-elle la langue toujours occupé à gâté mon gland, je ne pus répondre sur le coup car j’étais submergé de sensations toutes plus délicieuse les unes que les autres, mais c’était bien sûr que j’aimais ça. Tandis que Laelia accélérait toujours plus les allers et retours de ses monts de chaire et de sa langue chaude sur ma verge, celle-ci se contracta dans la poitrine de la belle avant de libérer de grands jets de ma semence chaude de semi-ange. J’éjaculais abondamment sur la langue, le visage de Laelia et un peu de sperme retomba même sur ces globes de chaire, mais mon sexe était toujours aussi ériger, braquant la belle demandant de nouvelles caresses.
- Oh oui… Laelia… c’est si bon…
Dis-je en reprenant mon souffle.