La zombification d'esclave pour les nuls. [PV Léona & les Artistes]

Nous étions à quelque mètres du territoire de Tekhos, un simple pas aurait suffit pour engendrer un incident diplomatique et dresser à Nexus une armée de femmes aux armes terrifiantes.  Mais notre but n'était pas d'aller dans cette matriarchie où l'homme ne valait pas mieux qu'un esclave. Non,  j’avais reçu un ordre de la Reine, un ordre que même le Conseil ne savait pas, une mission d'une importance cruciale et qui se devait d'être menée en toute discrétion.

Aussi avais-je une petite escorte, d'hommes de confiance, : deux épéistes de talent, un pyromancien et une guérisseuse qui m'étaient proche, ainsi que deux archers que j'avais sortie des bas-fonds pour leurs offrir une vie plus favorable. Tous avaient une dette envers ma personne et il était temps pour eux de la payer en m'escortant jusqu'à note destination. Je vais avant tout vous parler de cette mission secrète.

La Reine avait vu dans un rêve une colonie de terranide salamandre. Tout être cultivé doit savoir que les salamandre dévore la chaleur et peuvent rendre leurs corps aussi froid que la glace ou aussi chaud que le magma, de quoi faire des dégâts. Mais dans cette colonie il y avait surtout la maîtrise d'une magie inconnue, pouvant servir à faire abdiquer Ashnard et l'obliger à rendre les armes.  Il s'agissait là d'une opportunité pour réaliser le but que je m'étaie fixé.

Nous avons marché pendant près de cinq nuits, le territoire de Nexus était grand et sa force venait de son armée qui était constituée d'une très grand nombre de soldat. Ashnard et Tekhos à côté étaient petit, mais avaient une puissance de feu plus importante. Ainsi nous avions un certain équilibre face à l'une des deux autres nations.

Le pyromancien se mit à s'agiter, il semblait percevoir quelque chose et je fis signe d'arrêter la marche, les soldats se mirent sur les côtés, légèrement avancé, ce qui me permettait d'agir si l'ennemi était en face.

- Surtout ne paniquez pas. Nous sommes proche du territoire d'Ashnard et les bêtes pullulent, gardez votre sang-froid et nous reviendrons tous.

Pour motiver mes troupes, je sortie mon épée, un ouvrage qui était aussi coupant qu'un rasoir. Mon regard se mit à se porter à l'horizon et les endroits où pouvaient se dissimuler cet ennemi. Combien étaient-ils ? Comment allaient-ils attaquer ? Je ne pouvais pas le savoir et il m'était interdit de paniquer. Si je le faisait l'escorte serait elle aussi prise de panique, la peur étant contagieuse.

Si j'avais prédis une escarmouche j'aurais sans doute pris davantage d'homme.

Héreïkross

Il y a quelques jours...
La rumeur des Exgemmes commençait à progressivement se répandre. Rares étaient les personnes qui savaient de quoi il s'agissait, rares étaient ceux qui comprenaient ce à quoi elles servaient. Au final, il n'était réservé qu'à une élite de connaître la vérité sur ces objets. Vous pensez que l'on va vous conter l'histoire d'une de ces personnes qui en font un usage parfait? De loin pas. C'était un petit une petite fille innocente qui s'approcha d'une de ces sphères. Elle était d'un vert étincelant et brillant qui pouvait faire penser à la radioactivité d'un produit bio-terroriste. Mais attirée par cette lumière, la jeune fille posa doucement sa main dessus. Progressivement, la sphère se mit à monter en luminosité, monter, monter... Jusqu'à en exploser dans une lueur étonnante. Les fragments giclèrent et ceux qui touchèrent la fille ne lui firent rien si ce n'est de disparaître progressivement. Et sous les grands yeux ébahis de la jeune fille était apparu la pire chose que l'humanité pouvait imaginer: Un homme grand et fort. Un homme vêtu d'une manière moderne mais simple en même temps. A peine apparu, il était debout, droit. Un atterrissage maîtrisé alors que pourtant ce moyen de transport est clairement compliqué. Remettant sa casquette noire et blanche, il posa ses yeux sur la gamine qui lui demanda si il était un prince caché. L'homme répondit par un rire grave qui mettait plus encore en valeur sa caricature imposante. Il s'accroupit doucement et prit le nez de la jeune fille entre son pouce et son index pour lui faire secouer doucement la tête, la taquinant comme l'enfant qu'elle était

"Un prince? Nooon. Moi, je suis le roi du monde ma petite chérie!"

Et pas deux jours plus tard, on voyait le village parler de lui en tant que seigneur. Parler d'un homme que cet univers ne connaissait pas il y a de cela quelques jours. Ce village l'avait clairement adopté en tant que roi, que souverain, qu'empereur... Pas de lavage de cerveau, rien. Juste comme preuve de la surpuissance qu'il affirmait: Le corps d'un homme. Le corps d'un général qui avait exercé des droits qu'il n'avait pas sur les femmes de ce village. Réputé pour être un barbare, il gisait maintenant au milieu d'une prairie, son crâne squelettique brûlant encore d'une flamme qui semblait ne jamais s'éteindre, gardant le crâne allumé comme une veilleuse de victoire. Mais qui était cet homme aux pouvoirs si étranges? Il portait un nom qu'il avait déjà beaucoup répandu: Héreïkross.

Avec pour ambition de conquérir le monde ainsi que pour arme, sa volonté et ses flammes, il partit dans le but de commencer par une chose simple: Connaître ce monde! Pas grand chose, juste le nécessaire. Et c'est avec ce nécessaire qu'il pu comprendre que les premières choses qu'il devait faire, c'était briser les connections si durement mises en place! Et pour cela? Rien de tel que de créer des tensions~!! Il avait apprit au cours de sa course à l'information qu'un ambassadeur allait devoir faire un petit voyage. Et si ce dernier disparaissait? Les nations concernées se mettraient à douter et se pointeraient du doigt pour se jeter la faute! Ne parlons pas de ce que sa briserait comme alliance et de ce que ça créerait comme tensions. Un plan parfait! C'est pourquoi Héreïkross attendit patiemment. Très patiemment. Au final, il pu enfin voir la cible de ses espérances et rien qu'à la vue de cette dernière, un sourire carnassier apparu sur son visage! Il se craqua les mains, doucement... Et sortit de sa cachette. Ce qu'il fit? Il se contenta de marcher calmement devant les personnes qui marchaient tranquillement. En voyant que ces derniers se méfiaient, chose normale, il afficha un beau sourire

"Ne prenez pas ça contre vous. Vous ne représentez qu'une étape à brûler~"

Et il secoue une seule fois ses mains, ces dernières s'allumant dans le craquement de ses os. Il ne pu retenir un rire terrifiant empli de folie dû à la joie qu'il ressentait en cet instant, ses mains se mirent soudainement à s'animer d'un feu vert clair qui ne présageait rien de bon. S'avançant vers eux, les archers le mirent en joug et lui tirèrent chacun une flèche qu'il esquiva avec brio dans un rire moqueur. Les deux guerriers lancèrent la charge... Mauvaise idée. Le premier eut droit à une esquive suivit d'une droite brutale. Un uppercut passa après cela et de sa main libre, il le repousse en frappant du plat le torse. Le résultat? L'armure commençait à indéniablement se réchauffer, faisant bouillir le soldat. Pendant qu'il paniquait à tenter de retirer son armure, l'Absorbatemæus vint s'occuper du second. Lui attrapant les poignets qu'il brisa, il lui attrapa ensuite la tête à deux main et accru violemment la force des flammes qui mirent le feu à ce visage avec une épatante violence, laissant le corps inerte choir au sol juste après qu'il soit tombé lourdement. Rigolant un peu, Héreïkross prit vite le combattant encore en vie pour l'utiliser en temps que bouclier, les flèches transperçant ce dernier. Il laissa le corps tomber au sol comme le précédent et rit de ces archers aussi mauvais que paniqués.

C'était d'ailleurs l'heure de s'occuper d'eux. Prenant une grande inspiration il prit un solide appui au sol avant de cracher un souffle de feu violent sur ses adversaires. Le pyromancien, plein d'espoir, avait espéré sauver ses camarades par l'habile capacité qu'il avait à manier les flammes. Mais ce n'est que trop tard qu'il se rendit compte qu'il n'avait aucunement affaire à du feu. Des flammes vertes, intenses et étranges, partirent sur eux dans une vague de désespoir qui les immola bien vite. Il ne restaient d'eux plus que des cendres vertes brillantes qui s'éparpillèrent plus ou moins au gré du vent. Les restes trop lourds comme les os restaient au sol, ruinés par les flammes... La dernière personne était l'ambassadeur qui se lança avec hargne sur le tueur. Ce dernier ne pu que rire d'une telle inconscience et esquiva l'estocade d'un splendide tour sur lui même, se rapprochant de l'assaillant. Sa main se tendit pour qu'il frappe ensuite du plat de la main le torse de ce combattant irresponsable, le laissant tomber à terre, sur les fesses. Pourquoi une soudaine faiblesse? Tout cela était dû au pouvoir de cet homme... Regardant de haut celui qu'il venait de bloquer à terre en quelques instants, il prit le temps de remettre sa casquette avant de dire

"Salut Foot~ Je doute pas que tu me connaisse pas~ Je m'appelle Héreïkross et je suns un Absorbatemæus de classe Overlord. Mon but dans la vie est de m'occuper de massacrer les Dieux~ Ce que tu as vu, je suis sûr que tu te demande ce que c'est... Mes créateurs ont appeler ça la "Corruption". Une capacité qui me permet de manifester ces si belle flammes et bien des choses. Brûler, affaiblir, trancher, corrompre... D'après ce qu'on dit, les flammes de l'enfer feraient pâle figure à côté~ Quoi qu'il en soit, je voudrais te faire comprendre une chose: Tu va crever. Je vais te vider de ton sang et éparpiller tes organes sur tout le périmètre si bien qu'à la fin, même les plus grands mordus de puzzle ne s'y retrouveront pas. Alors maintenant, une dernière question avant la douloureuse."

Ses mains s'entourent d'une couche de flamme solide. Des griffes se forment à ses doigts. Le pauvre ambassadeur pouvait comprendre que sa fin était très proche et qu'elle serait loin d'être enviable. Ceci matérialiser, il colla les pointes des griffes entre elle et tâta de leur tranchant, créant quelques étincelles. Il sourit assez pour dévoiler ses crocs et, de ses yeux psychopathes, demande au petit être

"T'as peur de crever ♥?"

Je fus le premier à voir l'ennemi, il était seul. Le plus idiot des général ne se fierait qu'au nombre, or nous savons tous que les  guerriers et magiciens d'Ashnard sont puissant. Il se mit à nous parler avec un air si hautain que cela faisait bouillir mon sang, se prenait-il pour une divinité ou un être célestes ? Les flammes vertes jaillirent de ses mains, il semblait être un pyromancien. Mes archers et épéistes n'attendirent pas qu'il vient jusqu'à nous et décidèrent, contre mon gré de me protéger.

Je  pus voir les épéistes se faire tuer, j'avais mal au coeur ... rhaa ne devient pas sentimental dans un combat où la vie de tes soldats est en jeu. J'allais réagir quand une vague de flamme verte se mit à se diriger vers nous. Le pyromancien tenta de contenir la vague en lançant des flamme dans le sens opposé, mais elles se firent happée par la vague, qui emporta mon escorte. Voir toute ses personnes morte m'emplis d'une telle rage que je me mis à charger, n'usant pas de mon pouvoir, la colère rendant idiot.

J'eus une grimace en sentant la main s'abattre sur ma poitrine. Dieu que cette zone est sensible pour les femme. Je ne pus retenir un gémissement de douleur, essayant de protéger cette zone avec ma main valide, j'étaie accroupie, mes jambes ne me soutenant plus. Je pus voir que je n'avais plus la force de me lever et il était debout en face de moi en train de parler de lui et de mon avenir.

Il vint à faire apparaitre des griffe. Il voulait me tuer, cela se voyait clairement, mais je ne comptais pas me laisser faire ainsi, je ne souhaitais pas mourir sans avoir atteint mon but. Avec un ton arrogant je rétorque à sa réponse.

- Je devrais poser cette question à vous.

Je n'avais qu'une chance de lui faire ce coup-là, il était bas, peu honorable, mais c'était le prix à payer pour ma survie. Je raffermis ma prise sur ma garde et utilise mon pouvoir, disparaissant de sa vue pour faire des roulé boulé dans le sable cent mètre plus loin. Il ne pouvait avoir vu mon attaque et à présent il devait saigner abondamment au niveau de la côté gauche, dans le meilleur des cas je lui est tranché un poumons. J'étaie étalé au sol, sur le ventre, mes dernières forces avaient été utilisé pour faire cette attaque, je ne pouvais même pas bouger un doigt.

Il ne restait qu'à espérer que cet ennemi soit trop atteint pour pouvoir se mouvoir.

Son plan avait été mené à bien jusqu’à maintenant. Tout avait été si parfait! Brûler l'escorte, affaiblir l'ambassadeur à coup de corruption... Lorsque le jeune homme lui retourna sa question, l'Overlord plissa un peu les yeux en penchant la tête de côté, signe clair et net d'incompréhension. Mais la contraste qu'était le sourire sur son visage montrait clairement une curieuse impatience de voir ce qui allait ce passer. Ainsi donc, il fut clairement surprit de voir la disparition du bonhomme. Regardant vivement de ci de là, il n'eut pas le réflexe de balancer des flammes sur la position où il était situé. Il sentit néanmoins qu'il était là quand la lame de ce dernier lui entaillant violemment le flanc gauche. Dans un grognement de douleur, il se pencha en avant et retira sa main, la secouant brutalement pour en retirer le sang. Il semblait sur les nerfs et il y avait de quoi!! A la grande surprise de l'assaillant, le sang qui s'évadait du corps de l'homme était aussi lumineux et radioactif que ses flammes, vert, étincelant... Il chercha du regard son ennemi et pu le voir réapparaître au loin. Ayant perdu l'envie de jouer, il se craque les griffes et s'avance d'un pas rapide vers lui sans pour autant courir

"Biiiiien jouéééééé! T'as fais ton coup de pute? T'es content!? On va voir si tu fais toujours ton mariole quand je t'aurais alléger de quelques organes!!"

Il est là... Première chose: Le désarmer! Un violent coup de pied dans la main et le voici sans armes, le pied de Héreïkross venant s'écraser lourdement sur le poignet du jeune homme. Il lui écrase en allourdissant progressivement la force de la pression, finissant par lui briser le poignet. Il bouge un peu l'épaule de son bras libre pour l'échauffer, la craquant un peu. C'est alors que sa main se met bien à plat pour exécuter une violente estoc qui transperce l'estomac du pauvre jeune homme. Il voulait qu'il sente cette horrible douleur lui tordre les entrailles alors il ne se contente pas de ça et fait tourner sans retenue son poignet de gauche à droite pour bien remuer ses chairs, retirant son bras. Transpercer l'estomac était fatal, mais il n'avait pas que ça à faire: Il devait montrer que c'était un crime violent! Sa main griffue se posa alors sur le torse du jeune homme pour y planter lentement les pointes tranchantes de ses doigts. Son sadisme et sa joie se dévoilent par un large sourire carnassier sur son visage et il descend lentement sa main, lacérant grièvement le corps de sa victime à l'agonie. Un rire malade de démence se fait entendre alors qu'il ne s'occupe même pas de regarder ce qu'il déchiquette, occuper à planter son regard dans celui de Foot

"Alors? Tu flippe~?"

Rien qu'en entendant sa misérable voix, je savais que mon attaque semblait avoir échoué. Je le vie s'approcher de moi, prenant bien son temps, comme un chat s'amuse à narguer une souris avant de l'avaler. Je le vis s'approcher et d'une simple impulsion du pied me retourner, me mettant dos au sol. Il se mit à me désarmer, mais ce ne fut pas le plus douloureux. Cet ordure vint à mettre tout son poids sur mon poignet, je savais ce qui allait se passer et serre des dents en entendant le "crac" annonçant qu'il me l'avait brisé. La douleur était encore surmontable jusqu'à ce qu'il enfonce sa main dans mon estomac.

La douleur dépassa ma tolérance, je sentit des sucs remonter de ma gorge, avec un arrière goût de sang. Je me savais perdu et bon Dieu que la douleur était insupportable, j'en avais presque de mal à crier. Mon ennemi était cruel, je le ressentais, il voulait me faire le plus de mal possible avant ma mort. Horrible fut le destin de me faire confronter ce monstre, mes yeux étaient embrumée par mes larmes qui ne cessèrent de couler, ma gorge peinant à sortir des cris de douleur malgré la bouche grande ouverte.

Je sentie la chair de ma poitrine se faire transpercer par des griffes, mais je ne pouvais plus tellement crier, j'avais l'impression que mon cerveau allait exploser sous la douleur. Je sentis ses griffes m'ouvrir en deux, comme l'on ouvre un vulgaire poisson, pourtant ... pourtant je voulais que cela cesse, qu'il me laisse mourir.

Je ne pouvais pas entendre ses paroles, mon cerveau ne pouvant que ressentir cette horrible impression que l'air s'infiltre en moi et la douleur au combien insurmontable.

J'étaie effrayé à l'idée qu'il continu, j'avais la sensation que la folie allait m'envelopper, je voulais oublier cette rencontre et oublier même la douleur, mais cette dernière revenait sans cesse à la charge. J'avais du mal à voir, la brume semblait devenir de plus en plus sombre. J'avais la sensation que la vie me quittais, que mes sens s'endormaient, mais tout cela était d'une telle lenteur, mon tortionnaire pouvait encore me faire souffrir le martyr.

"Oooooh, les jolis cris de douleuuuur! Alors champion, on l'ouvre plus sa gueule~!?"

Il rit. Encore. Héreïkross était ce genre de personne incontrôlable et totalement malade auxquelles ont ne peut absolument pas résister dans le domaine de la douleur. Il faut le dire: Torturer cet ambassadeur était un bonus qu'il ne pouvait pas se permettre d'ignorer. Surtout vu qu'il comptait le tuer! En effet, ça lui laissait carte blanche! Il pouvait tester de nouvelles manières d'arracher, de lacérer, de dévorer, de découper... Et même si ça provoquait la mort, plus rien à foutre! Il allait de toute manière mourir! Jouasse comme tout, le monstrueux Overlord se mit à ouvrir en deux le corps de ce pauvre être et, dans la joie et la bonne humeur, lui faire fondre les os de la cage thoracique pour avoir tranquillement accès aux organes qu'elle renfermait. Lors que la plupart des os furent d'une manière grossière qu'on aurait pas pu qualifier de chirurgicale, il pu voir les organes s'affaisser sous leurs propres poids pour se répandre dans le corps massacré du pauvre homme. Pas une, pas deux, il commence à arracher quelques organes au hasard et les fait éclater de ci de là. Le sang se répand, sans vergogne. L'être, une fois sa sombre action terminée, soupire d'effort et retire sa casquette pour se passer la main dans les cheveux et les gratter un peu, les tâchant de sang au passage. Il remet son couvre-chef et vient ensuite dire au petit homme

"Tu sais ce que j'aime avec mes dons radioactifs? Il se lève et affiche un large sourire, la lumière verte qui caractérise tout chez lui brillant dans ses yeux Ce sont les fabuleuses horreurs que je peux faire avec!"

Après avoir prit une profonde inspiration, il ouvre grand la bouche et, dans son sourire démentiel, laisse s'évader une quantité étonnante de ce produit bizarre sur le corps de l'ambassadeur. Bien vite, la substance semble être absorber par le corps et il réagit... Ce que Héreïkross venait de faire, ça s'appelle communément une mutation par les radiations. Mais d'une manière plus sombre, plus... Overlord vous voyez? C'était le moyen que Héreïkross avait de faire des pactes: Briser une personne, l'asservir.. En somme: la forcer à sceller le pacte. Mais il fallait que cette personne accepte! Et pour ce petit être? Soit il disait oui et se faisait modifier par la substance, devenant un zombie à la botte de Héreïkross, soit il disait non et serait brûler vif par cette étrange chose. Amusé, Héreïkross lui dit dans un large sourire

"Alors gros naze, j'ai une question: T'es prêt à abandonner ton humanité? Ta dignité? Ce que je t'ai gentiment vomi dessus, c'est de la corruption sous forme brute! La plus radioactive qui soit! Alors maintenant tu as deux choix: Soit j'use de ma sympathie et la substance modifiera ton corps en te transformant en zombie, soit je la laisse tel quel et tu va fondre doucement! La condition pour que tu reste en vie? Accepte de sceller un pacte avec moi!! Répète les paroles que je vais te dire et tu es sauvé au prix de quelques mutations!"

L'Overlord rit aux éclats. Doucement, il marmonne quelques paroles pour lui qui sont les siennes et qui lui permettront de sceller le pacte. Ensuite, il observe le jeune homme et le regarde avec un air amusé. Ce corps ouvert, déchiqueté, meurtri... Un tas de chair difforme auquel il restait un semblant de vie! Doucement, il le regarde et lui dit les paroles à répéter

"He is my lord. Dis le!"

C'était maintenant ou jamais! Il avait en plus bien gardé les poumons intacts pour être sûr qu'il puisse sceller le pacte... Et accessoirement hurler de douleur mais ça, c'était pour son petit plaisir sadique ♥! Sur ces douces paroles, c'était maintenant à l'ambassadeur de sceller son destin!

Je n'arrivais plus à comprendre ce qu'il disait, cela me paraissait si éloigné, si étranger. Il semblait s'amuser à me garder éveillé, pourtant j'avais une sensation de fatigue si importante. Seul la douleur arrivait à me garder éveillé. JE sentait mes os disparaitre petit à petit, comme si on me les faisaient fondre, sans doute était-ce cela qui se passait. J'eus des nausée en sentant mes organes se plaquer contre la peau à l'intérieur, se répandant comme le ferait un slime, il était ignoble, il humiliait mon corps sans la moindre vergogne, ne me laissant pas mourir. Mourir me faisait peur, les héros se faisaient mourir, mais moi je ne suis pas un héros.

Je sentit mes organes se faire arracher, un liquide chaud se répandant sur mon visage. Je fus certain qu'il détruisait mon corps de l'intérieur, au vu de son rire lointain, il semblait bien se marrer de me charcuter l'intérieur. Mon hermaphrodisme semblait l'amuser, détruisant ce qui le prouvait en dernier.

Il se mit à parler de radiation, je ne savais pas ce qu'il s'agissait, une magie ? Comment aurait-il put tuer autant de personne d'un coup si ce n'est pas le cas.

C'est alors que je sentis mon abdomen se faire remplir d'un liquide, étant remplit telle une vulgaire gourde. Le liquide se mit à rentre dans mes cellules, les faisant bouillir, comme si j'étaie plongé dans un lac de magma. J'avais peur, allait-il me tuer de cette manière ... non ... non je ne veux pas ... je ne veux pas mourir, j'ai peur ... père ... mère ... à l'aide ... je ne veux pas mourir.

Mon tortionnaire se mit à demander si je tenais à la vie ... oui, je ne veux pas mourir, par pitié ne me tue pas ... je veux vivre , simplement vivre. Il se mit à me parler d'un pacte qui me maintiendrais en vie et en zombie. Je ne sais pas ce qu'est un zombie, mais si cela me permet de rester en vie alors soit. Je devais dire une phrase dans une langue inconnue, je tente d'imiter son dialecte, la peur faisant trembler ma voix, la mort était proche, sentant la lame de la faux me gratter la gorge.

- He ... is my ... lord

J'eus une horrible douleur au moment que ma phrase fut prononcé. L'horreur me vint en sentant la chaire se mouvoir et se recoudre, les os fondu poussèrent. L'extérieur se mit à se réparer avant l'intérieur, me causant une horrible douleur. Puis ce fut le tour de ce qui était à l'intérieur, la douleur fut moins importante, mais mon ventre me faisait mal. 

Ma vue revint et j'eus l'horreur de voir ma peau prendre une teinte bleuâtre, comme un cadavre. Le sang semblait noir comme les ténèbres. Mon corps changeait beaucoup. Je sentais mes cheveux se raccourcir prenant aussi une teinte orange, comme des flammes ardentes, mes muscles aux bras fondre sans perdre de leurs force, bien au contraire. Ma poitrine vint à s'exprimer, chose qui me dérangea. Une peur me vint et je fis un regard entre mes jambes, je fus rouge de honte. Moi qui me considérait comme un homme j'étais une femme.  Le pire était sans doute que mes vêtements étaient éparpillé et inutilisable, étant nu devant ce tortionnaire.

Comment ! Comment avait-il put me faire cela ? Mais très vite je me rappel encore de sa torture qui me fis frissonné de peur. Mon regard était à la fois du dégout et de la peur. Que comptait-il faire de moi à présent ? J'avais peur de la réponse.  En échange d'une vie j'avais tout perdu, mon identité, ma fierté d'être un homme, même si ce fut en partie. Mon assurance c'était envolé comme pour me fuir.

Je ne savais pas ce qu'être zombie voulait dire, mon corps semblait n'avoir aucune limite de force, mais avait-il des points faibles ? Le regard de ce monstre montrait que lui savait.

Pour dire la vérité, l'Overlord ne s'attendait pas à grand chose si ce n'est se réchauffer les mains sur la carcasse fumante de radiations du petit homme. Mais en finalité et à la grande surprise du puissant homme: Il accepta! Les mots furent prononcé et à chacun d'entre eux, le sourire du monstre s'élargissait et ses pupilles rétrécissaient. Tant de Folie... Amusé au possible, il pu voir le corps alors de l'être se transformer. Sous les yeux fascinés de Héreïkross, l'ambassadeur était devenue une zombie à la beauté toute particulière. Voyant qu'elle n'était pas vraiment grande, il en sourit et pu surtout se délecter de la vue de son corps nu. Ses yeux ne se gênaient pas pour la reluquer, voir les détails... Il sourit en finalité, fier d'une transformation si réussie

"Brave petite~ Alors? Tu va vivre, tu n'es pas contente? Taquin, il ajoute En tout cas, il y a un truc que j'adore avec les personnes que je transforme: ça!"

Sa main se pose sur le sein de la jeune femme. Son corps est gelé comme celui d'un cadavre, ce qu'elle était maintenant après tout. La main chaude de l'Overlord se mit alors à masser le sein non sans une dextérité certaine, un sourire sadique sur son visage. Son pouce joue un peu avec l'embout de ce sein et il rigole délicatement en le sentant se durcir sous son doigt. Il continue un peu, lui pinçant le téton avant d'enfin expliquer

"Tu es gelé et mon corps est chaud~ Ce qui te rends sensible à toutes les caresses. Je ne dirais pas non plus que la seule chose qui peut faire renaître en toi cette agréable chaleur. Pour te résumer: Tu es ultra sensible~"

Pour bien affirmer ses dires, toujours sur un genou à côté de sa victime, il attrape le bout de son sein entre ses lèvres pour jouer un peu avec, commençant à le suçoter en alternant avec quelques passages de langue. Il finit par la relâcher lorsqu'elle fut bien affectée par son traitement. Il était clairement fier de lui! La mutation l'avait transformé en femme, certes, mais elle était maintenant aux yeux de l'Overlord beaucoup plus désirable et tout simplement splendide à observer. Alors pour la consommer... Taquin, il se demandait d'ailleurs si la mutation avait fait le corps vierge. Mais au lieu d'avoir ces pensées perverses, il devrait parler un peu à sa création!

"Bien~ Ceci étant prouvé, on va tranquillement se trouver un endroit où se reposer. J'ai vu un village non loin. Très petit, une quinzaine d'habitations, quelques commerces et une auberge. On va aller s'y installer et on se trouvera quelque chose demain pour se barrer loin, trèèèèès loin d'ici~"

Et il rigole. Mais avant cela, il continue d'observer sa création dans les yeux. Son regard dominateur vert appuyant celui de la zombie, il contemple la beauté qui émane d'elle et finit par lui dire dans un splendide sourire

"Embrasse ton maître~!"

C'était l'heure de lui montrer que le pacte scellé faisait d'elle son esclave~♫!

Le fait qu'il me parle comme une femme me fit mal, mais avait-il tord d'agir ainsi ? Certainement pas, mon corps n'avait rien d'un homme et c'est justement là que le bas blesse. Cependant il avait raison sur une chose, je devais me réjouir d'être dans un état me permettant de vivre. C'est alors qu'il se mit à poser un de ses immondes pattes sur ma poitrine, l'effet fut sans attente, je me mis à pousser un cris de surprise. Le plus horrible dans tout cela fut ma voix qui était celui d'une jeune fille, rendant la scène encore plus humiliante.

Il naquit à l'intérieur de moi une sensation nouvelle, qui ne semblait pas néfaste, mais la façon de faire et la situation actuelle rendait très gênante cette sensation. Je ne me débattais pas, la raison ? S'il avait le pouvoir de me faire devenir un zombie, rien ne me disais qu'il pouvait aussi faire le contraire. Que pouvais-je faire si ce n'est subir cette humiliante expérience sans tenter à le nuire ou m'attirer ses foudres. Oui il me fait peur, mais ne seriez-vous pas ainsi à ma place ?

Voilà que je parle à des personnes invisibles, deviendrai-je aussi fou que le bouffon de la cour ? Un autre cris sortie de ma bouche quand il vint à jouer avec ma poitrine. Mon visage exprimait du dégoût et pourtant cette chaleur à l'intérieur de moi ne cessait de croitre, quel enchantement me faisait-il subir pour que mon corps réagisse ainsi ?

C'est alors qu'il se mit à parler d'aller dans un trou paumé. Avait-il envie de me faire marcher dans mon plus simple appareil ? Voulait-il continuer à me donner une leçon en agissant avec une telle cruauté ?

Le clou du spectacle fut la demande de ce sale type, l'embrasser, ni une ni deux un commentaire sortie de ma bouche.

- Quoi !!! Vous abusez de mon corps, vous me dîtes que je vais aller nu dans un village et en plus je dois vous embrasser ?!!!

Des larmes se mirent à venir, il me prenait pour un esclave, la pire chose après la mort, que je pouvais imaginer comme destin funeste. Mais en y repensant je n'avais plus vraiment le choix, il pouvait me tuer en défaisant sa magie et le tuer reviendrais au même. Je ne pouvais pas fuir, j'étais prisonnier de mon geôlier par une chaine invisible.

Mon corps se mit à trembler devant cette pénible conclusion. Je me lève, tentant de cacher ma poitrine et mon sexe féminin avec mes fines mains. Autant dire que ce monstre pouvait quand même bien voir mon corps. Je me dirige vers lui à petit pas, étant dégoûté de ce que j'allais faire, mais le choix ne m'appartenait plus. Une fois assez proche je ne cache plus mon corps, laissant pendre mes mains et l'embrasse.

Mon dégoût était visible à mes poings qui se refermaient avec force, comme pour souffrir pour oublier. Je ne pouvais pas retenir des larmes de chagrin, je n'étaie rien de plus qu'un outil et cela me faisait mal de devoir admettre cette idée.  

Quelle réaction!! Héreïkross s'y attendait et ne pu s'empêcher de sourire. Il la voit râler, s'énerver mais... Finit par pleurer. C'était normal, la jeune fille passait du stade d'ambassadeur à misérable esclave sans identité. Hautain au possible, l'Overlord ne fit pas de remarque quant au comportement de la jeune femme, la laissant cogiter sur sa situation. Il se contente de la regarder réfléchir et enfin se décider. Quand elle tente de cacher son petit corps, il sourit un peu dans un ricanement perfide. Les lèvres froides de la jeune fille se collant aux siennes ne le font même pas sourciller. Pas de tendresse, pas de joie. Juste un froid olympique après lequel il attrape le visage de la petite dans sa main, lui serrant les joues surtout

"Aller écoute moi bien petite conne! Je crois que tu l'as deviné mais t'es MORTE sans moi compris? J'ai déjà la bonté de te laisser en vie alors que mon objectif était de juste te tuer et toi, tu me remercie comme ça? Non, j'abuse pas de ton corps. Je te fais comprendre que tu es beaucoup plus sensible que la norme humaine. Oui, tu va te balader à poil le temps que je te trouve des fringues et oui, tu dois m'embrasser. Ne serait-ce que pour dire merci espèce de putain d'ingrate!"

Se retenant de lui retourner une gifle, il se contente de la regarder en se mettant accroupi. Son rôle d'Overlord était de faire régner le mal, certes, mais avec les personnes avec qui il avait scellé un pacte, il était un brin plus doux... Mais juste un brin! S'accroupissant pour arriver à la taille de la morte-vivante, il lui caresse doucement le visage d'une main en lui expliquant la chose

"En somme, j'ai rien contre toi. C'était juste ton titre qui t'as valu toutes ces souffrances. Pour ma Folie, on va dire que je m'éclate dans ce que je fais~!! Il rigole un peu, n'arrivant pas à retenir cet éclat de démence. Il ajoute Alors maintenant que t'es à moi, oui je vais t'asservir. Mais tu seras l'esclave maître du monde ma petite~"

Un nouveau petit rire se fait entendre et il regarde de nouveau cette zombie si mignonne... Elle est adorable~ Son petit corps est bien proportionné, donnant une touche innocente à cette dernière bien que, pour dire la vérité, il ne s'attendait pas à ce qu'elle soit très expérimenté au vue de sa réaction rien qu'au massage du sein. En la prenant alors contre lui, d'un bras qui passe dans le dos de la jeune fille pour ensuite attraper ses cuisses, créant une sorte de siège, il la laisse s'appuyer de son torse et sourit, pointant du doigt le village au loin

"Là bas, tu vois? Et sois sage tu veux? Si je deviens VRAIMENT méchant du va pas aimer~"

Comme à son habitude, un rire démoniaque accompagne ses parole, la main sous les cuisses de la belle lui caressant du bout des doigts. Comme une douce invitation à la laisser imaginer ce qui allait ce passer? Non. Plutôt pour la faire frémir~ Il cherchait à lui faire comprendre qu'elle deviendrait accroc à ça et pire: Accroc à lui~ Taquin au possible, il commence un peu à marcher, sa main libre caressant l'entre-cuisse de la belle en remontant doucement vers son entrejambe, la frôlant délicatement

"On a un peu de temps de marche alors j'ai besoin de me divertir~"

Un ricanement et il sourit, clairement prêt à lui montrer à quel point il allait prendre soin d'elle et surtout lui montrer comme elle était sensible~♥! Cette petite zombie allait apprendre les joies de la soumission et les principes du sexe. Mais... pas tout de suite.

Je sentis la main puissante de ce type me saisir aux joues. Cela faisait tout de même mal, ma mâchoire luttant pour rester fermer, sinon j'aurais encore plus mal. Il se mit à appuyer là où cela faisait mal. Je comprenais bien à présent pourquoi ce corps me semblait si vide de vie. Me faire crier dessus par cette personne fit descendre en chute libre mon morale. En plus de sa force inhumaine, il avait l'art de savoir user de mot qui m'affectais. Me faire traiter de putain et d'ingrat me fit mal, j'avais presque l'impression qu'à l'entendre j'avais toujours été ainsi.

Un vent venant des terre vint lécher mon corps, ce dernier frissonnant. J'allais vraiment devoir allez au village ainsi. Je sentais la gêne de devoir me mouvoir ainsi devant les habitants, non oublie, mieux vaut ne pas y penser tout de suite. Le regard lubrique de ce type, je ne pouvais pas dire son nom, trop complexe pour que je puisse le dire et il serait capable de m'en flanquer une si je me trompe.

Il vint à se faire une ovation à lui-même. Il aimait se vanter, d'un autre côté sa puissance le permettait. C'est en pensant à puissance que je me mis à essayer d'utiliser mon pouvoir discrètement, mais rien n'y fit. Ce corps en changeant avait perdu son pouvoir, tout les ESP.er devaient les perdre lors de leurs morts. Le monstre se mit à dire qu'il ferait de moi l'esclave maître du monde. Il voulait sans doute dire son esclave personnel et qu'il comptait dominer le monde. Il était fou, il ne pourrait même pas franchir les mur de Tekhos sans se faire désintégrer. Le fait qu'il emploi des qualification pour souligner ma petite taille était énervant, mais je tiens ma langue pour éviter qu'il ne s'énerve à nouveau.

Il vint à me porter, comme l'on porterait un enfant. Ce geste vint troubler mon jugement, était-il si mauvais que je le croyais ou était-ce encore un de ses coups pour me soumettre à lui. Ensuite la direction du village me fut montré, recevant un premier ordre, suivit d'une menace que je pris très au sérieux, il était tout à fait capable de le faire.

Mon corps se mit à réagir face aux estocades données par les doigts de ce type. Un frisson se mit à parcourir ma nuque, mais je ne dis rien. Quand il vint à clairement montrer son envie de jouer encore une fois avec mon corps je me mis à essayer de l'en empêcher, tout en ne forçant pas trop pour éviter qu'il ne s'énerve. Seulement ce pervers était beaucoup plus agile que moi, sans doute n'étais-je pas le premier à subir ce genre de traitement.

Je sentait de nouveau la chaleur se propager dans mon corps et cette drôle de sensation. Je me mis à douter qu'il use d'un sortilège, était-ce simplement ses mains qui me faisait autant d'effet ? Je compris à ce moment pourquoi père me réprimandait en me disant que mon manque d'intérêt pour mon côté féminin viendrais à me nuire. C'était exactement le cas ici.

Mon corps se mit à avoir de léger tremblement, s'accentuant avec se sentiment qui augmentait et cela me fis peur.

- Arrêtez ça tout de suite ... je ... je ne me sens pas ... à l'aise.

Il m'étais impossible de croiser le regard de ce monstre, il allait en rire et en un sens il aurait raison. J'espérais seulement qu'il n'allait pas s'énerver.

Elle était adorable cette jeune fille malgré le fait qu'elle ne cesse de tenir tête au monstre qu'était l'Absorbatemæus. En même temps, c'était une réaction parfaitement compréhensible! Imaginez, du jour au lendemain, votre vie devient aussi insignifiante que celle d'un objet! La pauvre jeune femme, autrefois hermaphrodite, se retrouvait à marcher sur le chemin d'un destin empli de luxure et de plaisir. Mais il était sûr que ça ne serait pas pour lui déplaire. Héreïkross lui apprendrait à apprécier cela et surtout, à en tirer partie. Elle finirait bien par remarquer que l'après vie est quelque chose dont il faut profiter et pas renier...

Dans tout les cas, la jeune fille prit la parole pour contester les caresses de l'Overlord. Et à quoi on pouvait s'attendre? Une baffe? Un coup de poing? Non. Juste un baiser sur la tête de la nouvelle zombie. C'était étonnant non? Il y a même pas une heure, il était en train de cramer les compagnons de cet être et arracher les organes de l'ambassadeur et là, il était en train de la rassurer doucement malgré son sourire perfide. Sa main se pose entre ses cuisses et se colle lentement à son intimité, caressant du majeur son bouton de plaisir. Il prend le temps d'éveiller en elle ces sensations nouvelles

"C'est normal. Mais tu va voir, tu va te sentir bien~"

Il appuie un peu plus ce doigt sur ce bouton de plaisir et l'infiltre lentement en elle, perfide au possible. Les chairs intimes de la belle sont chaudes, brûlantes même. Le majeur en elle tourne doucement en caressant au passage ses parois vaginales, un sourire en coin se manifestant sur le visage du maître. Le bras qui porte la belle serre un peu plus ce petit corps fragile contre lui au moment où le doigt commence de lents et perfides va-et-vient, stimulant son vagin avec une certaine dextérité pour ce petit être apeuré

"Tu le sens? C'est doux hein? C'est chaud~ Et on appelle ça le plaisir charnel~"

Le village se rapproche à vue d'oeil. Progressivement, ils arrivent aux portes de ce dernier bien qu'entre temps, il avait laissé la petite Foot répondre à ce qu'il lui avait dit et surtout il avait prit le temps de se délecter de chacune de ses réactions~♥!

Le baiser sur le front me déstabilisa complètement. C'était à croire qu'il ne me considérait plus comme sa proie, mais comme quelqu'un d'autre. J'eus donc un regard vers lui, les yeux dévoilant mon incompréhension à son égard. Je vis son sourire qui n'avait pas changé, était-ce une forme de moquerie de sa part.

Je ne vis pas sa main avancer vers mon entre-jambe et fut surpris de sentir comme un léger coup de foudre dans mon corps. Une simple caresse à cet endroit avait suffit pour me faire pousser un petite gémissement de surprise. Il vint à me dire que c'était normal, comment cela pouvait-il être normal ? Un autre foudroiement parcouru mon corps, en me collant contre lui il m'empêcha de me recroqueviller par réflexe.

Je sentis alors quelques chose entre en moi et vois, avec une certaine stupeur, qu'il s'agit de son majeur, seulement cela n'était pas douloureux et je pouvais sentir son doigt jouer à l'intérieur de moi. La chaleur devint suffocante rapidement, je devais avoir le visage rouge, suis-je bête un mort de rougis pas, enfin je crois.

Plus il jouait, plus je sentais comme un liquide se créer, je n'osais même pas demander de quoi il s'agissait, sentant qu'il allait encore plus m'embarrasser que je ne l'étais actuellement. Je fus assez intelligent pour comprendre que le plaisir charnel était ce sentiment qui commençais à me faire un peu dérailler l'esprit. Un sentiment qui n'est pas déplaisant, mais qui dans mon ignorance était assez effrayant.

Il semblait attendre ma réponse, alors je répondis pour ne pas avoir à le faire devant les portes du village et me taper la honte. Ma voix le disais précipitamment, pour ne pas avoir à gémir entre deux.

- Oui c'est doux et oui je la sens.

Plus nous approchions de la porte, plus je tentais de retenir mes gémissements, déjà qu'on devait avoir l'impression que j'avais là fièvre, alors si en plus on m'entendais ...  je n'ose même pas imaginer.

Un beau sourire au visage et l'Overlord, ayant beau l'air imposant, semblait tout de suite plus agréable à vivre. Ce n'était que partiel en effet mais il ne peut s'empêcher d'être doux dans l'instant. Il serait violent si nécessaire, mais c'était un Overlord psychopathe. Pas méchant. Arrivés aux portes du visage, les deux êtres sont étrangement regardés notamment dû à la peau bleue de la jeune fille. Au passage, sur son visage, des petits violacées étaient nées sur ses joues. Non, un zombie ne rougit pas, il violette~ Néanmoins, ils peuvent entrer, le doigt à l'intérieur de la jeune femme accélérant vivement ses mouvements de va-et-vient. Soudainement, il l'enfonce en elle et le bouge pour caresser ses zones les plus chaude tout en arrivant devant les commerces. Il regarde de ci de là et prend alors une tenue qui lui plait à lui et pas à la jeune femme. Une tenue apparemment vendue par une aventurière passée par ici il y a un moment. Faite de cuir et ne cachant que peu du corps de la belle, c'est tout un semble qu'il paye avec l'argent gentiment prit sur sa toute première victime dans ce monde. Avec ces vêtements, il part alors pour l'auberge où il prend une chambre et monte dans cette dernière. Laquelle? La plus chère bien sûr! On est Overlord ou on ne l'est pas!!

La chambre est grande, le mobilier aussi. Un lit énorme, une baignoire spacieuse. Bref, une vraie chambre de luxe. Amusé, Héreïkross vint doucement allonger la jeune femme sur le lit avant de retirer son doigt, le léchant doucement. Il trouvait que sa cyprine était bien agréable à goûter, pensant à Léona qui se ferait une joie de la dévorer à grand coup de langue quand elle la connaîtra. Un petit sourire et il se dit que l'idée n'est pas mauvaise: Il se met à genoux et tient les cuisses de la petite zombie, attrapant en bouche le clitoris de la belle qu'il suçote un peu, agitant sa langue dessus. Il lui arrache autant de réactions que possible et arrête ce traitement, un sourire carnassier aux lèvres

"Alors écoute moi bien: Maintenant tu va devenir ma petite traînée compris? Tu serviras mes pulsions, celles de mes camarades... Et tu va y prendre goût, je te l'assure~ D'ailleurs, je veux que tu me dise absolument tout ce que tu ressens et en détail ♥!!"

Et pour qu'elle ai des choses à décrire, il appuie sa langue entre ses lèvres intime, la bougeant perfidement pour lui aire ressentir bien des choses. Un petit ricanement se fait entendre pendant qu'il dévore l'intimité de sa pauvre petite victime, lui arrachant autant de réactions que possible. Il adore ça. Avoir cette zombie comme jouet... Jamais, Ô grand jamais il n'aurait pu rêver mieux ♥!

Une fois la porte passé nous étions dévisagée, normal pour des étrangers. Mais, leurs regards ne me plaisaient pas, il y avait une lueur à la fois de dégout et d'envie. Je devrais y être habitué depuis le temps que j'étais ambassadeur, mais sous cette forme cela me causait une horrible gêne, je sentait mes joues comme bruler tellement j'avais honte d'être regardé dans cette tenue, dans les bras d'un pervers de surcroit. Ce dernier fit bouger son doigt de plus en plus rapidement et m'obliga à enfuir mon visage contre son torse pour étouffer mes gémissement, mon corps tremblait tellement que les habitants les plus perspicaces devait comprendre ce qui se passait. Pour qui me faisait-il passer  ce monstre ? Un petit cris étouffé perça ma gorge quand il vint à conquérir un nouveau territoire, sur le coup mon corps entier se crispe serrant son doigt à l'intérieur de moi. Le plaisir me faisait défaillir, je sentais mon corps commencer à devenir humide.

Il vint à légèrement ralentir et j'entendis le commerçant nous souhaiter la bienvenue. Je me mis à regarder ce que ce sale type voulait acheter. Le résultat me fis rougir, il avait acheté une tenue des plus osée. Faire la description de ce que je voyais était tellement gênant que je ne le ferrais pas. Dans cette tenue, si elle était à ma taille, j'aurais l'image de ses quelques filles de joie trainant près de la caserne, une idée qui me révulsait.

Le plus surprenant fut que ce type avait de quoi acheter n'importe quoi, sa bourse était remplis de pièces d'or et de platine, il avait sur lui une somme phénoménale, sans doute le vol sur des marchands. Comme pour étaler son argent, il prix la chambre la plus spacieuse. Il était dépensier, le genre de personne que je déteste pour jeter son argent par les fenêtres.

Il vint à me déposer sur le lit. Il avait bien réagit car vu mon état à cause de son amusement j'aurais eu toute les difficultés à rester debout, mon corps semblait si faible à cause du plaisir qui envahissait la moindre parcelle de mon être. Mais je ne fus pas au bout de mes surprise, ce sale type vint à m'écarter les jambes et je n'eus pas la force de résister.

Mon corps se mit à se cambrer quand il joua avec la petite boule de chaire. Quand j'étaie hermaphrodite je ne la possédait pas et me rendis compte combien cette zone était vulnérable. Il vint à arrêter, me disant que je serais un simple jouet sexuel, mais qu'il ne serait pas le seul à en profiter, car ce monstre avait des amis. S'en était presque risible, qui pouvait-il avoir comme amis à part d'autres monstres dans son genre. Il me donna un autre ordre, qui me fit prendre un air gêné, il voulait ... ce pervers ... il voulait que je décrive que je ressent. Il se remit à jouer avec mon intimité.

Mon corps était sans cesse irradié par le plaisir, partant de l'intimité et remontant jusqu'à mon cerveau. Très vite mon souffle devint rapide, ayant presque du mal à avoir une respiration correcte, j'avais l'impression qu'une fois sur deux j'étaie en apnée. Mon corps se mit à réagir bizarrement, mon bassin se leva et resta figé dans cette position, elle était inconfortable mais le foudroiement que chacun de ses coups de langue ne laissait pas à mon corps l'opportunité de se détendre. Mes mains qui avaient essayé de le repousser finirent par saisir le drap et le froisser en se crispant. Le plus gênant fus que j'avais l'impression de baver, le plaisir était si intense que je ne pouvais même pas aligner deux mots, à la place il n'y avait que des cris de plaisir. Pour me rendre moins honteuse ... non je suis un homme pas une femme, ne commence pas à parler de toi  au féminin. Pour étouffer mes cris je pris un bout de couverture et le mit à ma bouche, serrant la mâchoire, même si cela rendait ma respiration plus difficile. Je sentais des larmes couler, mais ce n'était pas du chagrin, le plaisir semblait créer de drôle de réaction. Je ne pouvais pas parler de ce que je ressentais, c'était si gênant et si difficile.