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Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

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Rahemar

Dieu

Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

lundi 31 décembre 2012, 11:54:47

Apparence : http://cdn1.gelbooru.com//images/1314/03fb33700200232e67bd4022e2f4e915.jpg?1525839

« Ma fille ! »

La personne s'inclina bien bas devant l »'homme qui lui faisait face. On ne faisait pas face à Nobutada  Noël en lui refusant quoique ce soit, proche collaborateur du ministre de l'économie, il conversait souvent avec le premier ministre lui même, et était en très bon termes avec l'empereur lui même !  Il n'était pas des gens que l'on ignorait ou à qui on résistait et c'était ce qui avait fait choisir cette personne au dieu dans l'ombre.

« Oui, monsieur, tout de suite, je vais la chercher monsieur, ce ne sera pas long monsieur. »

Il s'inclina encore et partit. Lui, patienterait ici, à l'accueil. C'était ce matin que tout avait commencé ! Kimiko était entrée dans es appartements sans y être conviée et après avoir été sévèrement corrigée, elle en porterait les bleus plusieurs jours, et à des endroits particulièrement gênants. Peut être qu'il avait une côte cassée en plus du bras déboité et de la lèvre fendue... oui, il avait très mal dormi... jusqu'à ce qu'elle lui parle du programme.... il avait oublié ça !

D'un seul coup, ça avait réussi à le mettre de bonne humeur ! Et quelle belle humeur ! Oui, de suite il s'était intéressé à cela, comment plonger dans les affres du désespoir et du ravagement intérieur lune personne :  Cassandre Noël. Pourquoi cela? Tout simplement parce qu'il n'avait pas aimé son comportement il y avait de cela quelques jours.

Jouant à merveil son rôle de psychologue, il était intervenu en milieu scolaire. Faussement perdu, il avait demandé sion chemin à une jeune femme qui l'avait, par son air dédaigneux envoyé bouler ! Il avait décidé de se venger tout simplement ! Et quelle vengeance ! Il allait lui montrer que les apparences sont trompeuses, à sa manière... et quoi de mieux pour cela qu'une leçon par son propre père ?

Surtout quand on savait quel père c'était, un homme de pouvoir, ambitieux, et surtout très exigeant avec son entourage, exigeant, sévère, dur, et distant, un bourreau de travail pour qui la famille n'était qu'un autre moyen de parvenir à ses fins ! Il n'était pas un mauvais homme, mais il n'téiat en rien un père affectueux au possible...

Aussi, l'apparence du père pour la déchéance de la fille, celle ci ne serait que plus belle !  Oui, ce serait splendide, magnifique, extraordinaire ! Il sourit, cela donnait un air étrange à l'apparence qu'il avait pris, ne serait-ce que parce que ce devait être un homme qui souriait fort peu. Impeccable dans une tenue des plus aristocratique, il tenait à la main une serviette en cuir qui contenait, à en croire tout le monde, de précieux documents particulièrement importants?. C'était peut être vrai pour l'original mais pas pour lui...$

Quand elle arriva, pas un bonjour, rien, juste un regard glacial, sans doute était-ce plus froid qu'à l'accoutumée...

« Y aurait-il une salle de disponible pour discuter en toute tranquillité ? »

La personne l'ayant accueuillis s'inclina bien bas et dans une phrase presque inintelligible, il leur indiqua une salle à utiliser, une salle de classe, mieux encore : il les y conduisait. Il le suivit, sans un mot ni un regard pour sa « fille », le dieu exultait, elle devait commencer à paniquer, elle devait commencer à se demander pourquoi père avait tu à se déplacer en personne...

On lui ouvrit la porte et on les laissa seul dans une salle. Il daigna enfin porter à nouveau son regard sur elle. Il allait la remettre dans ce que le dieu estimait le dropit chemin, non sans une certaine forme de plaisir...

« Assis – un ordre bien sec qui ne tolérait aucune question et aucune incartade. -  alors, toujours la même ? Pas le moindre progrès dans cet univers? »

Il prit une moue dégoutée en parlant d'univers, l'univers des pauvres était écœurant...

« Tu n'en as pas déjà assez ? Tu ne veux pas rentrer à la maison ? »

Question piège.... mais quel piège ? Bonne question !Son père l'avait envoyé dans ce monde de prolétaires pour une bonne raison, elle l'avait peut être compris, peut être pas, et il voulait jouer avec ça au début...

Symphonia

E.S.P.er

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 1 lundi 31 décembre 2012, 12:39:50

- Mademoiselle Noël  ! Veuillez suivre le cours, comme tout le monde !

La jeune bourgeoise se mit à lancer un regard foudroyant au professeur, un regard qui eut tôt fait de déstabiliser légèrement l'adulte qui ne semblait pas savoir s'y prendre avec elle.

- V ... Vous ... Ne me regardez pas de haut, tu me dois le ...

La main de Cassandre vint claquer contre le bois de son bureau, prenant ensuite la peine de se lever et dire avec un air hautain.

- Les roturiers dans votre genre ne savent qu'agiter leurs langues. Je ne crois pas non plus vous avoir permis de telle familiarité en me tutoyant. Les chiens doivent savoir où est leurs place ... au pied de leurs maîtres.

La jeune femme ne supportait pas cette attitude pathétique, il en avait été de même pour un psychologue. Cassandre s'en souvient bien car il s'était permit de l'appeler comme une personne normal, pire, il avait même osé la saisir au poignet pour demander son chemin. La jeune bourgeoise en gardait encore la répugnance de ce contact.

Le professeur allait s'énerver, ce qui aurait conduit Cassandre à lui jeter un gant à la figure, en signe de duel, quand une personne vint à entre.

- Mademoiselle Nöel, votre père vous attend à l'acceuil.

La jeune bourgeoise se mit d'un coup à frémir, dissimulant une certaine peur. De toute la famille son père était le membre le plus strict et le plus dur, elle n'avait eu droit à un appartement que par la fausse compassion de sa mère. LA bourgeoise n'était pas dupe, son père était là pour mettre le couteau dans la plaie et voir si sa fille avait comprit la leçon.

La rencontre du dieu et de la demoiselle se fit dans un silence de mort, les regards des deux étant aussi froid que le désert sibérien. Cassandre utilisait son masque de mauvaise fille pour dissimuler une peur qui l'étouffait, respirer était devenu difficile, car elle craignait que son père ne la punisse. La jeune femme avait encore souvenir de la dernière punition, elle avait reçu une centaine de coups de bâton pour avoir répondu par des termes grossier à sa cadette. Le genre de souvenir qui vous met rapidement sur vos gardes.

Quand son père l'ordonna de s'assoir, telle une vulgaire chienne, Cassandre obéit, non sans serrer fortement sa main pour éviter de dire des mots bien vulgaire. Effectivement Cassandre n'avait pas changé, pour la simple et bonne raison que cette attitude agressive était son armure. Quand vint l'histoire du progrès sa langue se délia, mais le ton fut assez agressif.

- Vous ne croyez tout de même pas que je puisse me  rabaisser à faire comme ses prolétaire, père. 

Vint la double question que la jeune bourgeoise se mit à répondre avec un rire dédaigneux.

- Vous connaissant père, trois mois dans cet univers ne serait pas suffisant pour me punir. Rappelez-vous que je suis votre fille et par conséquent je suis la mieux placé pour vous connaître, père.

La bourgeoise se mit à se lever, opposant de manière visible une résistance à son père.

- Je n'ai nul raison de revenir dans une demeure où ma "famille" apprécie de cacher leurs mépris. De toute manière que pouvez-vous me faire ici, si ce n'est me battre à mort et devoir dépenser de l'argent pour soudoyer la police.

La jeune bourgeoise avait montré par cette parole qu'elle avait au moins compris le principe de "coups et blessures"


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Rahemar

Dieu

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 2 lundi 31 décembre 2012, 14:32:23

Il la regarda alors qu'elle commençait à parler. Quel courage que celui de s'opposer à celui qui avait jusqu'à présent !  Rahemar aurait pu être admiratif s'il avait su ce qu'était l'admiration, elle avait plus ou moins gardé son sang froid. C'était pas plus mal, la chute ne serait que plus rude quand elle arriverait. Il ne sourit pas mais la fixca droit dans les yeux pendant que la jeune femme parlait, ce regard glacial...

se rabaisser... qui parlait de se rabaisser, il ne s'agissait pas de se rabaisser, juste d'apprendre aux chiens qui sont leurs maitres !  Ni plus, ni moins!  Qu'elle ne le comprenne pas le fit sourire... de même que son rire dédaigneux.... ainsi, elle ne comprenait rien à rien... il soupira avant de redresser de deux doigts avec un geste qui respirait la grâce et le panache, ses lunettes sur son nez avant de replonger son regard dans le sien. Qu'elle rit, rirait bien qui rirait le dernier...

Il lui sourit, mais un sourire méprisant, pas un sourire chaleureux ou d'encouragement ! Il regarda des pieds à la tête cette gamine qui s'était dressée contre son autorité en se levant... il se détourna d'elle et regarda dehors. Comme si ce qui se passait dehors était plus intéressant que ce qui se passait dans la dalle, comme si elle ne valait même pas le coup qu'on luui manifeste un peu d'intérêt.

« J'ai dit assis ! »

Rappel à l'ordre sec et froid. Mais apparemment elle en avait besoin. Machinalement, imitant le comportement du père il avait levé la main comme pour la gifler. Il ne frappa pas et baissa la main.Il ne lui dit rien de plus pendant quelques instants avant de lui lancer :

« Tu n'as rien compris, toujours la même petite peste.... la non désirée, si on avait pu se sséparer de toi autrement sans faire jaser nous l'aurions fait sans la moindre hésitation. Pas de scrupule, pas de gêne... et si ta mère n'était pas aussi faible... si elle n'avait pas eu de la pitié... t-u serais à travailler pour te payer un logement miçsérable sous un pont... la moindre des choses serait de montrer de la gratitude vis à vis de ceux qui s'occupent de tes besoins, par l'obéissance entre autres... »

Il soupira de nouveau avant d'ajouter :

«  Tu vas changer d'attitude ou tu recevras une correction comme jamais tu n'en as subie ! »

Il eut un sourire et un regard sadique qui hurlait silencieusement :  « je ne désire que cela, vas , ose ! »
« Modifié: lundi 31 décembre 2012, 19:38:32 par Rahemar »

Symphonia

E.S.P.er

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 3 lundi 31 décembre 2012, 18:16:28

Cassandre avait les sourcil froncé, montrant une apparente obstination à s'opposer contre son père. Cependant, les yeux de la jeune bourgeoise montrait clairement qu'elle avait peur. Elle savait que s'opposer à son père lui coûterais cher, mais elle ne voulait pas non plus montrer de la faiblesse, devenir une femme faible ayant toujours eut tendance à énerver son père. Aussi ne bougea-t-elle pas, restant debout et soutenant un possible regard de son père. Cassandre s'apprêtait à recevoir immédiatement une gifle de la part de son père, mais cela ne se passa pas comme elle l'avait anticipé.

Les mots du dieu firent énormément de mal. Même si elle avait comprit que sa famille la méprisait, elle avait toujours redouté le jours où ses mots allèrent sortir de la bouche d'un membre de sa famille. Elle fut d'un coups beaucoup moins rebelle, se tenant sur le bureau, comme si elle luttait pour ne pas s'évanouir. Le dieu n'avait pas tord, sans l'apport financier de son père, elle ne serait pas là, elle n'aurait pas à se soucier d'assouvir les besoins primaires  qui sont, la sécurité d'un foyer, pouvoir manger et boire, obtenir une vie sociale.

Le corps de l'ESP.er se mit à trembler, elle était sur le point de craquer psychologiquement et ce fut la dernière phrase de la divinité qui fit sauter la soupape.

- La seule personne dont je peux montrer de la gratitude est mère, vous vous ne pensez qu'au profit au dépend de votre famille. Combien de fois ne vous ai-je pas vu à mon anniversaire, prétextant un rendez-vous important. Combien de fois avez-vous placé votre image au détriment d'une quelconque marque d'affection. De vous je ne connais qu'une personne martyrisant mon corps de coups, des fois sans avoir une raison valable. Est-ce donc la légende sur notre famille qui vous effraie tant ? C'est par peur de cette légende que vous m'avez envoyé ici, étant trop lâche pour essayer de sauver votre fille d'un destin bien funeste. Aussi fort que vous pouvez l'être par la force, le pouvoir ou l'argent vous n'êtes au final qu'un froussard préférant l'argent aux liens familiaux.

Les mots étaient dit. Cassandre avait le visage rouge, des larmes coulant sur son visage, elle avait vidé son sac devant son père, ne craignant plus tellement d'être battu, car cela irait confirmer ses dires et donc placerait son père dans une situation plus que délicate.


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Rahemar

Dieu

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 4 lundi 31 décembre 2012, 19:37:16

Il la gifla.

Aucun mot, aucun autre geste ne remplacerait cela. C'était le geste le plus simple du monde et le plus humiliant. Il la regarda droit dans les yeux, il ne tolèrerait pas qu'elle faiblisse, son père ne l'aurait jamais toléré et sur le coup, elle aurait, avec lui pris bien plus qu'une simple gifle. Rien n'aurait pu être plus clair aux yeux de la jeune femme. Elle avait dit que les choses là dedans qui le faisait sourire. Elle avait bien cerné son père, mieux qu'il ne l'aurait cru.

Et ça rendait les choses encore plus amusantes car il n'était pas son père, donc il pouvait mentir sans vergogne, même sur des points sur lesquels il n'aurait jamais menti. C'était étrange de dire ça ainsi sans doute, mais il comptait dire peut être la seule chose que le père de la lycéenne n'aurait jamais dit, d'abord parce que cela risquait de faire jaser, tout d'abord, mais aussi parce qu'il avait fait preuve de générosité ! Enfin, c'étaient les raisons que le dieu allait laisser imaginer... ou pas... non peut ^rtre qu'il les dirait sans détour... juste pour accentuer ce qu'il allait lui jeter à la figure comme on jette de l'huile bouillante depuis les mâchicoulis !

« Au moins, tu as une bonne raison de pleurer ! »

Ton sec et formel, un poil condescendant. Pas différent du véritable monsieur Noël, exactement le même. Tout était fait pour imiter cette personne pour le moment, il fallait qu'elle croit définitivement à cette rencontre avec son père, qu'elle en est un frisson d'angoisse, une peur certaine, elle en aurait l'amertume dans la bouche, elle en aurait chaque souvenir gravé au fer rouge au fond de son cœur !

« J'ai été plus généreux avec toi qu'avec aucun de mes enfants ! Chaque correction, tu l'as amplement méritée, chaque geste de ma part à ton égard était mérité !  Je ne vais pas traiter une erreur de ta mère de la même manière que j'élève mes propres enfants, ce serait injuste ^pour ma descendance !  Mais pour ne pas faire jaser, pour ne pas que cela se sache, je t'ai faite passer pour ma fille, je t'ai nourrie, logée blanchie, je t'ai donné une très bonne éducation, et c'est aisni que tu traites ton bienfaiteur ? »

Le ton était sévère mais les paroles qu'elle pouvait entendre devaient être encore plus violentes sans doute que la gifle qu'il lui avais mis.

« Ose me reprocher d'avoir élevé une fille qui n'est même pas la mienne ! Malédiction ou pas, je te méprise car tu représente mon seul et unique échec. Et pourtant  je me suis occupé de toi presque aussi bien que mes engfants. Ose me reprocher ma froideur, ose me reprocher ma vie de famille. Tu ne devrais même pas y figurer ! Tu crois que je t'ai banni de la famille ? Jsi j'avais pu je t'aurai abandonné à la naissance ! Mais je ne l'ai pas fait, je t'ai offert une belle vie ! Et quand je te replonge dans la fange qu »e tu n'aurais pas du quitter tu me le reproches ? Ne parle pas quand tu ne sais pas ! »

Il al regarda, son regard exprimait, outre le mépris, le dégout désormais..

« Je ne m'intéresse pas au présent mais uniquement au futur, si mes enfants vivent comme des princes une fois que je ne suis plus là, c'est encore mieux qu'une famille aimante dans la misère prolétaire. Tu n'es qu'un élément de trop, un élément sacrifiable qui me servira quand je le déciderai.?? »

Symphonia

E.S.P.er

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 5 mardi 01 janvier 2013, 01:58:03

La joue de Cassandre se mit à rougir à cause de la gifle, la bourgeoise pouvant sentir la zone picoter un peu et devenir chaude. La bourgeoise retenu des larmes, car cela faisait tout de même mal de se faire frapper et elle n'était pas masochiste.

Quand la tirade se mit à parvenir aux oreilles de la jeune ESP.er, elle ne put y croire, c'était impossible, son père devait obligatoirement mentir. Pourquoi sa mère ou l'un des membres de sa famille ne lui avait pas dit qu'elle était une fille illégitime, son père devait mentir, mais Cassandre savait plus que quiconque qu'il était du genre à frapper avec la vérité, sachant que cela blesse plus que le mensonge. Elle se sentit suffoquer, ne pouvant clairement plus cacher le choc émotionnel que cela avait eut sur elle. La preuve la plus flagrante fut sans doute qu'elle s'assit sur une chaise, les yeux écarquillé, comme si elle avait vu un monstre.

Le pire fut certainement cette sensation que tout le monde avait joué une farce dont elle était le sujet, pourquoi croyait-elle aux dire de son père ?  Elle ne pouvait le dire et très vite les idées s'embrouillèrent dans sa tête. Elle se mit à se lever et faire les cent pas, essayant de remettre en ordre ce puzzle, mais il y avait beaucoup trop de pièces pour un cadre assez étroit. Le dieu avait raison sur une chose, Cassandre ne semblait plus rien comprendre et son visage jadis rebelle laissait place à celui d'une jeune femme tourmentée par ses pensée.

La dernière phrase la fit frémir et elle répondit avec précipitation, sans même chercher à avoir une attitude sereine.

- Vous parlez de moi comme d'un outil. Ne suis-je donc que ça à vos yeux ? Un simple outils dont on dispose ?  Vous ne pouvez que me mentir c ... c'est  impossible que vous me disiez la vérité ... mon enfance ... tout aurait été orchestré ?  Je ne peut pas croire, vous ne pouvez pas dire la vérité. Je vais aller appeler mère.

D'un pas rapide, elle se mit à marcher vers la porte, son but étant d'aller au bureau et téléphoner à sa mère pour obtenir la vérité. Cassandre voulait surtout fuir, pour une fois dans sa vie, elle préférait fuir un combat plutôt que de risquer d'être blessée profondément.


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Rahemar

Dieu

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 6 mardi 01 janvier 2013, 02:41:00

Bingo il avait touché, et il faisait mal, c'était d'un ravissement sans nom. Le dieu dans l'ombre inspira à fond. Pauvre âme en perdition ! Et dire qu'il ne s'attaquait pour le moment qu'à une certaine forme de choc, la suite suivrait tout aussi bien se passer. Elle était tellement choquée par la nouvelle. Mais bon étant inventée de toute pièce, cette histoire était faite pour lui mettre un coup au moral.

Et ça avait marché !  Elle était troublée et perméabilisé... jusqu'à aller parler de téléphoner à mère... oh non, certainement pas !  Il la saisit par le bras et serra assez fort ^pour qu'elle s'arrête sous la douleur et l'attira vers lui avant de la forcer à se rasseoir juste devant lui, la dominant de toute sa hauteur. Le père Noël était grand, sans doute le mètre quatre vingt dix, et le charisme naturel chez lui donnait l'impression de le rendre encore plus grand !

« Je ne savais pas quel rôle tu jouerais mais je souhaitais qu'un jour tu me sois utile. Tu auras ton rôle à jouer en ma faveur, ne serait que le rôle de fiancée dans un mariage arrangé ! »

Il sourit avant de poser la main sur son épaule. Un sourire qui n'augurait rien de bon, elle devait s'en douter pour le reconnaître. Il n'était après tout qu'un imitateur de talent, il poussait la mimique dans les moindres détails, il copiait la moindre mimique, la oindre expression faciale.

« Après, cela aurait-il changé quelque chose de le savoir plus tôt ? Tu aurai fait quoi ? Demandé à aller en orphelinat ? Laisse moi rire ! »

Il la gifla à nouveau sur l'autre joue.

« Les chiens doivent se rappeler leur place.... les personne aynt eu de la chance aussi ! Rappelle toi à qui tu dois tout !  Ta mère s'opposait à ce que je t'en parle.... mais ta mère, elle, t'aime un peu, la pauvre, si elle savait comment tu nous considères, elle en ferait une attaque ! »

Symphonia

E.S.P.er

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 7 mardi 01 janvier 2013, 14:01:02

Une léger gémissement de douleur se fit entendre, Cassandre se mettant à dire d'une voix apeurée. Elle commençait à montrer sa crainte vis à vis de son père.

- Père lâchez moi, vous me faite mal !

La jeune femme fut forcée à s'assoir, cette dernière se massant le bras pour faire passer la douleur, elle était certaine qu'elle porterait une marque. Elle se mit à écouter de nouveau le dieu parler et elle ne put tenir sa langue, quand Rahemar dit qu'elle n'était gardée en réserve que pour une utilisation futur, le mariage arrangée elle s'en doutait un peu.  Elle se mit à murmurer.

- Père taisez-vous, arrêtez de mentir. Je vous en prie.

Elle eut presque une sursaut en sentant les deux mains du dieu ternie fermement ses épaules. Il se mit à parler de ce qu'elle aurait fait si elle l'avait sut. Cassandre allait répondre à cette question quand elle se fit gifler de nouveau.

- Haaa !

Cette fois ont pouvait clairement la voir pleurer, la tête ayant légèrement suivit l'inertie de la gifle, ses cheveux cachant une partie de son visage. Vint de nouvelle réprimande et cette fois ce fut au dieu de se faire surprendre. La main de la jeune bourgeoise  se mit à balayer la main tenant son épaule avant de s'abattre sur la joue de Rahemar, ce dernier n'ayant visiblement aucune difficulté à tenir le poignet et éviter la gifle. Cassandre se mit à crier contre son père, c'était bien la dernière chose à faire.

- Arrêtez cette comédie père, je ne peux vous croire ! Arrêtez donc de balayer mes seuls souvenir heureux par vos mensonge ! Ne voyez-vous donc pas que vous me faites plus de mal que de bien ?! J'accepte d'être punit pour mon attitude, mais arrêtez donc de me mentir. Je ne peux pas supporter cela.


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Rahemar

Dieu

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 8 mardi 01 janvier 2013, 18:11:45

Oh, elle &était donc vraiment bouleversée par cette nouvelle, s'imaginer bouseuse était sans doute impensable... pire, elle devait en somme éprouver une certaine forme d'amour pour son père, refusant d'imaginer ce père comme un étranger. C'était intéressant et instruictif... méfiez vous des apparences disait-il toujours !

Ses pleures étaient un délice pour sa vue, le désespoir lié à) cela était hum, un un beaume qui encensait ses sens. Il inspira à fond, dora cette fragrance avec un plaisir certain, il souriait et même quand il se fit gifler, elle manquait cruellement de force, il continua de sourire, particulièrement amusé par la situation. Mais en quelques instants son regard redevint aussi dur que de l'acier trempé !

Il la foudroyait du regard alors qu'elle pleurait à chaude larme, réussissant à articuler qu'elle ne voulait pas kele croire et qu'elle était sure que c'était un mensonge. Très bien, arme secrète, dans sa serviette il avait quelque chose de particulièrement violent et qui attesterait de ses dires... et il suffisait de le sortir...

Il lui tourna le dos pour ouvrir son cartable de cuir, qu'elle ne voit pas le reste du contenu, et sortit une longue enveloppe kraft qu'il jeta au visage, cela contenait des tests de paternité truqués... ça allait lui exploser les dernières traces de résistance morale, les derniers doutes sur la vérité ! Il souriait, un sourire sadique et méchant, c'était certain !

« Tu crois sincèrement, petite idiote que je me serai donné la peine de venir te voir ici pour te jouer une pseudo comédie basée sur des mensonges... c'est bien mal me connaître et pourtant tu dis bien me connaître... »

Nouveau regard glacial, nouveau sourire mesquin. Il lui laissa le temps de découvrir le contenu de l'enveloppe, savourant son effet, savourant le plaisir qu'il avait d'agir ainsi, il voulait jubiler, il jubilerait, et pendant qu'elle prenait le temps de consulter le rapport, il sortit une cravache.... oui, une jolie cravache d'équitation en parfait état, elle n'avait jamais du être utilisée.

« Mais ne t'en fais pas, je ne vais pas non plus refuser de te punir pour tes gestes et tes mots inconsidérés.... j'ai horreur de devoir me répéter.... tu le sais ! »

Il fit siffler la cravache dans le vide...

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E.S.P.er

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 9 mardi 01 janvier 2013, 19:05:51

Cassandre se mit à voir son père tourner le dos. Elle n'aimait pas voir son père agir de cette manière, cela finissait toujours par la blesser. Son intuition n'était pas réellement fausse, même si elle n'avait pas encore conscience de ce que Rahemar avait préparé. Elle ne réagit pas assez rapidement pour éviter que l'enveloppe, assez lourde au vue de la paperasse e à l'intérieur, lui atterrisse au visage, tombant lourdement par terre.

Même la jeune bourgeoise savait que dans cet enveloppe se cachait quelque chose. son père n'était pas du genre à blaguer, aussi se mit-elle à appréhender le contenu de l'enveloppe. Ce fut avec des mains tremblante et peu assuré que la jeune bourgeoise défit le cache de l'enveloppe et sorte les feuilles.

Ses yeux se mirent à lire chaque lignes, certain termes juridiques ne furent pas difficile à comprendre, son tuteur ayant prit soin de faire d'elle une femme cultivée. Elle vit très rapidement que la conclusion approchait et enfin elle eut sa réponse. Le choc fut violant, elle vint à déposer sa main droite sur sa bouche, comme si elle avait des nausées. Jamais elle n'aurait cru être une fille illégitime, le fait de ne pas avoir l'héritage ne la dérangeait pas, il s'agissait plutôt de toute une vie de mensonge mis à nu.

Cassandre ne put retenir des larmes qui imbibent le papier, quelques feuille étant froissée par la main gauche de la bourgeoise, les doigts se crispant et tremblant. Elle vint à lever le tête et vit son père avec la cravache ne main, la peine fit place à des yeux terrifiés, elle avait peur de son père qui avait la détermination de la punir. Même elle savait que son père n'allait pas retenir ses coups suite à cette révélation.

Cassandre se mit à se relever, les yeux embrumés par les larmes. Elle se mit à reculer à chaque pas que faisait Rahemar, Cassandre ne pouvait fuir si ce n'est par la fenêtre, mais ils étaient au second étage. Il ne restait que la porte, mais sur le chemin se trouvait le dieu qui continuait son avancé.


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Rahemar

Dieu

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 10 mercredi 02 janvier 2013, 11:46:03

Encore et toujours des larmes... il ne manquait que des cris et cris il y aurait, même s'il fallait les lui extirper sous la torture... quelle excellente idée aussi... il pouvait faire ce qu'il voulait pour cela, ce n'était pas elle qui allait l'en empêcher !  Loin de là, elle allait subir, et cela serait suffisant, non, il voulait l'entendre pour ce que soit suffisant.

Elle transpirait la peur, une peur qui la faisait reculer vers le fond de la pièce à chaque fois qu'il s'avançait vers elle. Elle finirait acculée et ne pourrait plus reculer. Il sourit, amusé, mais dénué de toute gentillesse, en avait-il seulement fait preuve ? Non, la gentillesse, il n'en savait rien, ce n'était qu'une énorme  foutaise à ses yeux

Il ne chercha pas à brusquer quoique ce soit, levant juste la cravache pour armer son coup, alors qu'il la regardait reculer vers la fenêtre fermée. Cinq pas, quatre pas, trois pas, deux pas... un pas... elle put sans doute sentir le contact de la fenêtre du fond avant de sentir autre chose :  la cravache venait de s'abattre sur sa joue droite, y traçant un sillon rouge, ce n'était pas du sang, c'était juste un contact qui lui mordit la joue, lui donnant l'impression d'une légère brûlure.

«  Tu vas bien sagement subir ta punition pour ton comportement. Déshabille toi et tourne moi le dos... »

Il ne s'agissait pas de quelque chose de nouveau, avant de punir elle était toujours déshabillée, afin qu'aucun des coups donnés ne soient amorti par un quelconque vêtement. Il savait que son père avait toujours fonctionné comme ça, question de coup et question d'humiliation, alors pourquoi changer une méthode qui lui plaisait ?

« Allez, dépêche toi un peu ! »

Il fit cingler la cravache sur son corps pour la faire se dépêcher.

« Pas question qu tes vêtements amortissent les coups ! »

Symphonia

E.S.P.er

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 11 mercredi 02 janvier 2013, 21:11:09

Cassandre voulut bloquer le coup de cravache sur sa joue, mais ne fus pas assez rapide pour éviter la claquette de frapper la joue. La jeune bourgeoise se mit à se protéger le visage avec ses mains, pour éviter de se refaire frapper. Elle savait comment allait se passer sa séance de "rééducation", comme son père l'appelait bien souvent, le fait d'utiliser une cravache faisait croire qu'il dressait une jument un peu trop rigide.

La jeune bourgeoise fut chanceuse, son père n'ayant visiblement pas prit le fouet, l'un de ses outils préférés quand il s'agissait de la dresser à obéir.

En tant normal Cassandre obéissait immédiatement, mais dans ce cas précis, elle semblait hésiter. Quoi de plus normal me direz-vous, nous sommes dans un lycée et non dans la pièce où son père la punissait, de plus elle était très proche de la fenêtre et craignait que quelqu'un ne la voit dénudée.

Ce fut le coup de cravache sur le bras qui la fit réagir, malgré la honte qu'elle subissait en prenant le risque de se faire voir un peu plus bas dans la cour. Elle se mit à retirer son collier, évitant de cette manière que son père ne l'étrangle avec. Puis elle retira ses chaussures et ses collants. Elle fit glisser la robe, jusqu'à ce que le vêtement se froisse au sol, dévoilant son corps juvénile. Cassandre avait honte d'avoir si peu de forme et ses grandes soeurs avaient insisté sur le point qu'une femme sans forme ne sera jamais un bon parti pour un mariage.

La jeune bourgeoise se mit à regarder son père et vit dans ses yeux qu'il al voulait en tenue d'Eve. Elle ne pouvait se soustraire à la puissance de Rahemar, pouvant à tout moment abattre de nouveau sa cravache, aussi c'est avec l'appréhension des coups à venir, qu'elle défit son soutient-gorge et fit descendre sa culotte.

Avec une voix tremblante et les joues rouge de honte, elle se mit à parler.

- Voilà père.

Le corps de la jeune femme semblait se tendre. Cassandre se préparer physiquement et psychologiquement à se faire battre, elle ne pouvait pas l'éviter et plus tôt ils commenceraient, plus vite cela finira.

- Combien de coup comptez-vous me donner ?

C'était le même rituel à chaque fois, son père l'ordonnait de se déshabiller, Cassandre demandait le nombre de coups, le père répondait et donnait ses coups en demandant à la jeune bourgeoise de compter à voix haute. C'était un moyen vicieux pour éviter que la bourgeoise ne sert les dents et étouffe ses cris. 


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Rahemar

Dieu

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 12 jeudi 03 janvier 2013, 22:27:55

Il regarda la gêne et la honte s’emparer d’elle alors que comme une fille bien élevée elle faisait bien sagement ce que père décidait… son père avait une influence considérable !  Il comptait bien en profiter autant que faire ce peut et peut être au-delà des limites de la bienséance et des bonnes mœurs..

Le dieu avait un sourire aux lèvres, un sourire qui se répercutait sur son apparence par un rictus sadique. Rictus qu’elle devait connaitre et qui, elle le savait, n’augurait rien du bon… rien de bon pour son corps à la peau pâle qui allait recevoir une correction sans doute sans précédent. Les coups de bâtons et les coups de fouet seraient peu de choses comparées au temps qu’ils allaient passer tous les deux ici et tout ce qu’il prévoyait…

La jeune femme retirait son soutien-gorge… il devait être rembourré car elle n’avait absolument rien, pas plu galbée qu’une limande niveau poitrine, une planche à pain de chez planche à pain ! Il la regarda  retirer sa culotte, pas non plus de formes excessives mais il notait qu’elle était tout e finesse et le côté menu n’était pas que mammaire…

Elle était nue, là, devant lui et lui demandait combien de coups elle prendrait… on sentait l’habitude, une habitude qui avait été plus qu’usitée… il ne pipa mot, ne lui donnant pas immédiatement le nombre de coups qu’elle allait recevoir. Non, il avait quelques préparatifs à faire…

« Va te mettre vers le tableau assez loin des murs que je puisse toujours tourner autour de toi, et écarte bien les bras, à l’horizontale de chaque côté, je veux pouvoir te frapper comme il me plait où il me plait. Exécution ! »

Il ramassa les chaussettes de la jeune femme et attendit qu’elle se soit placée à l’endroit indiqué pour lui cacher la vue avec les chaussettes longues qu’il noua comme un bandeau épais devant ses yeux… ça avait un avantage certain. Elle ne pouvait voir venir les coups, et il allait pouvoir la filmer en trai de subir cette humiliation.

Il sortit la caméra de poche et le pied escamotable et installa le tout au fond de la salle avant de commencer à enregistrer. Devant la caméra il s’approcha d’elle, cravache à la main et lui lança, de manière bien audible.

« On va commencer par quarante coups et en fonction de ton comportement je rallongerai peut être. »

Il commença par faire glisser la cravache sur sa poitrine enfin ce qui aurait du être sa poitrine, mais il n’y avait que du plat, une extrème platitude…

« Toujours aucun atout physique… je plains le mari que je te trouverai… au moins il aura quelqu’un de bien obéissant à sa disposition… »

Il lui frappa la joue avec la cravache et descendit pour frapper la cuisse, puis sa « poitrine », et ainsi de suite, il continua de frapper, faisant varier les endroits, avec une telle violence que peu de temps avant d’arriver à la fin des comptes, il brisa la cravache sur la cuisse de la victime.

Symphonia

E.S.P.er

Re : Père ? Est-ce bien vous ? [Symphonia]

Réponse 13 samedi 05 janvier 2013, 17:11:53

La jeune femme se mit à attendre la réponse, mais à la place ce fut un ordre spécial qui se fit entendre. Elle obéit rapidement, contente de s'écarter de cette fenêtre et de ne pas avoir la honte qu'un élève ou un professeur la voit dans cette tenue.

Cassandre se mit dans la position que le dieu machiavélique avait sollicité. Cassandre se rendit rapidement compte que cette séance serait plus rude, car en générale elle est attaché aux poignets par des chaines et pouvait utiliser se support quand cela devenait trop douloureux pour rester debout. Mais là il n'y avait rien de tout cela et son "père" alla même jusqu'à bander ses yeux, la désorientant.

Enfin elle reçu l'information demandée, quarante coups, cela paraissait assez raisonnable ou sans doute Rahemar prenait en compte le fait que la jeune bourgeoise allait devoir rester debout malgré la douleur. La nuque de la jeune femme se mit à frémir, sentant la claquette glisser sur son sein. Puis vint les premier coups, cela la surprit, mais rapidement elle se mit à compter les coups à chaque fois qu'ils claquaient sur son corps.

Cassandre ne put rester immobile au bout du dixième coups, se tordant légèrement sous la douleur, Rahemar allant suffisamment vite pour que la jeune femme ne s'écroule pas et que sont corps aille dans le sens opposé du coups précédent.

Au bout du trente-cinquième coups la cravache céda, Cassandre tombant au sol en gémissant de douleur, son corps marqué de bleu tellement les coups n'ont pas été ménagé. Le dieu avait en face de lui un corps tremblant de douleur et de peur, un corps brillant légèrement de sueur sous l'effort de rester debout. La jeune bourgeoise ne sentit pas les cinq derniers coups et se mit donc naturellement à les demander, ainsi son calvaire serait terminé.

Cassandre savait déjà comment expliquer ses bleus à la classe et aux professeurs, elle ne voulait pas que son père soit inculpé de maltraitance, car ce serait elle qui en ferait au final les frais.


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