Yama-sensei... Tous les gars de la classe, moi compris, ont fantasmé sur vous de manière plus ou moins secrète ou subtile. Difficile, en effet, de suivre le cours en faisant complètement abstraction du corps sculptural de notre chère professeur d'anglais... Combien de blagues grivoises douteuses sur le temps de la pause? Combien de regards tombés de manière plus ou moins involontaire dans ce magnifique décolleté? Combien de regards rêveurs se plantant dans cet envoûtant regard au bleu d'azur? Comme tous, j'avais succombé à ses charmes. Mais comme personne, enfin je suppose, j'ai le droit, le privilège de goûter ces lèvres pulpeuses et cette généreuse poitrine.
Je ne raconterai rien à personne. Aussi bien pour elle que pour moi au final. Même si c'est tentant, rien que l'idée de se pavaner devant les autres gars, jaloux, est très plaisante. Mais je n'en ferai rien. Premièrement elle risquerait son travail... Et deuxièmement personne ne me croirait, surtout en fait. La situation ne se représentera probablement plus jamais. Je savoure ses lèvres, ses seins, l'instant présent, et probablement bientôt d'autres lèvres tout aussi humides... L'étoile de Vénus éclaire de ses reflets rougeoyant le ciel, mais ma déesse de l'Amour à moi éclaire mon triste quotidien par son regard divin...
Elle a chaud, moi aussi. J'enlève ma main de sa culotte pour enlever son haut. On est bien trop habillés pour ce qu'on a fait, ce qu'on fait, et ce qu'on va faire. Je fais tomber son chemisier et j'admire mon Aphrodite... Je l'embrasse d'un coup, fougueusement, passionnément. Difficile de croire que c'est ma prof...
Elle sert ma virilité, et le caresse doucement... C'est si agréable, doux... Elle m'en donne un peu mais j'en veux plus, beaucoup plus. Je ne veux pas qu'elle m'en donne au final, mais qu'elle se donne... Je la plaque contre le mur. Je me colle contre elle, elle doit me sentir raide je suppose. Disons que j'annonce ce qui va se passer... Je continue de la caresser tout en passant ma main sur sa nuque, et en déposant un baiser dans le cou. Ce petit jeu a duré maintenant. Place aux choses "sérieuses", comme si ce qu'on faisait là de suite était pas assez grave comme ça...
Je sens le clair de lune de la fenêtre juste à ma droite se refléter sur mon visage. Je lui souris. Comme je ne souris que rarement. Un mélange de sourire doux, assuré, et un peu charmeur au final. Un peu pour annoncer la suite. Mon regard se plante dans le sien, je la prends par la main et l'invite à s'assoir sur le bureau juste derrière elle. Elle s'exécute, et je profite alors de la situation pour l'embrasser. Tendrement. Et je descends alors... Le bas du cou, je passe entre les deux seins, sur lesquels je dépose un baiser au passage et je descends encore...
Le haut du ventre, le nombril... Je remonte brièvement pour continuer à faire naitre le désir, bien que d'après ce que je sens je n'ai pas beaucoup besoin de faire encore monter la tension, et je redescends finalement vraiment en même temps que je baisse la culotte. Son intimité révélée, je dépose de grands coups de langue. J'y vais vraiment, je réagis à ses réactions et je fais en sorte qu'elle se sente pour le mieux. Je la sens humide dans les lèvres, et ça me donne encore envie d'y aller encore plus franco. J'adore ça au final, je vois pas pourquoi je me priverai. J'espère qu'elle aussi apprécie.
Sans lui avoir beaucoup parlé jusqu'aujourd'hui, je m'étais toujours senti proche de Yamagashi-sensei. Ca n'a jamais été aussi vrai qu'en ce moment.