A genoux derrière la kitsune, il savait dorénavant qu'elle ne lui échapperait plus. Et par le silence qu'elle gardait, elle montrait même qu'elle se résignait en partie à son destin. C'était souvent ainsi avec les terranides, ils se rebellaient au début, puis à force de conditionnement, ils devenaient plus dociles et plus malléables aux exigences de leurs maitres. Leur sensibilité sexuelle devait également jouer là dessus, car même s'ils n'étaient pas consentant, la plupart prenait tout de même du plaisir, et finissait par l'accepter.
Cyscek porta deux doigts à la fente de la jeune femme, pour en tester l'humidité. Peu convaincu par ce qu'il trouva, il crachait dans sa main, pour étaler la salive le long de son membre, puis ce qui restait contre la vulve chaude de la kitsune. Le moment qu'elle redoutait arriva, il pressait son gland contre la fente et s'enfonçait lentement, laissant tout loisir à Louane de jauger de la dureté de sa queue et de sa grosseur.
A avancer petit à petit, il prenait possession de son intimité et l'emplissait pleinement, jusqu'à venir buter son bassin contre les fesses fermes. D'une main il saisissait le lien qui retenait les poignets de Louane, pour la tirer un peu en arrière et la forcer à garder le bassin relevé, à rester empalée sur son membre.
Tu vas vite aimer, alors arrête de pleurer ...
Le ton est plutôt doux pour une fois. Elle doit surement être encore sous le choc de sa capture, de sa peur de ce lieu et de ce qu'il va advenir d'elle. Pourtant, outre sa liberté qu'elle a perdu, elle gagnerait surement beaucoup d'avantages au service d'un maitre. Pour sa part, il se dit que ce sera toujours mieux qu'une vie d'errance ou de vagabondage pour elle. Après un moment à la garder ainsi, contre lui, il relâchait un peu son bras tenant le lien, ce qui avait pour effet de laisser redescendre un peu la kitsune, et du coup de faire ressortir en partie la queue de son antre. Il jouait ainsi, la faisant remonter pour la remplir à nouveau, puis quand il en eut assez de ce mouvement lent, il lâcha totalement le lien pour s'emparer du bassin de Louane à deux mains. Là il entamait des coups plus rapides et plus profonds, baisant la kitsune avec ferveur.
Il ne faisait ça que pour se faire plaisir, et aussi habituer un peu Louane à ce genre de traitement, c'était l'un des avantages de son métier, de joindre l'utile à l'agréable. Le bruit de son bassin claquant contre les cuisses et les fesses de la kitsune emplissait la pièce, à continuer sur ce rythme ils auraient tôt fait de réveiller les pensionnaires des autres geôles adjacentes.