Péché angélique [Edean] ARRET DEFINITIF :'( (RIP EDEAN)

“huuuum, tu es très belle, Michi.”
la jeune Michi recula un poil, se collant contre la paroi de la douche.  Le sol mouillé commençait imbiber ses vêtements.
Un peu incertaine, elle murmura, l'anxiété la faisant un peu buter sur les mots:
“tu...tu...tu es sure qu'on... qu'on ne va pas se faire repérer?”
“ouh! La sérieuse fille! Ne t'inquiète pas ma jolie, fit Katsue en s’avançant et posant doucement la main sur la cuisse de l'effarouchée.  J'ai des vigies dehors pour assurer le secret de notre petite... sympathie” et elle pencha en avant son buste pour embrasser son interlocutrice.

en apparence, Katsue était sur le point de violer une pucelle qui se servait de pales arguments pour y échapper. Dans les faits, Michi frissonnait au moindre contact avec sa partenaire et aurait été déçue si cette histoire venait à s'interrompre avant que les choses sérieuses aient commencés, malgré son inquiétude sur comment ces choses allaient se produire.
 D'ailleurs, elle s'était laissé entrainer par sa nouvelle amie dans un compartiment de douche individuel. Elle se figurait bien, même si obscurément, de la suite logique des évènements.


À l’extérieur des douches, Isae, la première vigie attendait, écoutant de la musique, que Michi soit prête à accepter son intervention. Il ne fallait jamais bousculer ce genre de personnes, elles se bloquent très facilement, et après ce n’était plus agréable pour personne.
C'est à cause de cette attente forcée qu'Asuna ne se pressait pas. À vrai dire, elle se demandait même si elle avait envie de rejoindre les autres. Le dépucelage d'une nouvelle élève était devenu un exercice barbant pour elle. Ces petites avaient toujours des réactions identiques, et après quelques variantes on s'y ennuie vite. Quand à dépuceler un garçon, s'était presque pire. Même si ils lancent des regard adorateurs proprement attendrissants et flatteurs, ils sont souvent extrêmement rapides à  exciter et à épuiser, et pas seulement du point de vue de la vitesse à laquelle ils ont leur orgasme, mais aussi selon le nombre d'orgasmes qu'ils peuvent tenir.
 Asuna avait décidé, dans l'espoir d'augmenter les chances de trouver un autre partenaire, de ne pas porter de sous-vêtements. Hélas, parmi les élèves jetant des regards plein d'envie sur elle, aucuns n'attira son attention. Elle désespérait de trouver quelqu'un de plaisant dans le lot, lorsqu'elle le vit.  

  Un jeune garçon, cheveux blancs, un visage fin pour autant qu'elle pouvait en juger. peut-être albinos? Il était à quelques mètres de là, un genoux à terre et  le regard sur le sol, Il devait lacer ses chaussures. Ce qui attira l'attention d'Asuna fut sa silhouette. Même dans cette posture, on sentait que le jeune homme était du type fin, svelte. Néanmoins il semblait assez musclé, et Asuna songea à la sensation agréable que ça devait représenter d'être serré contre cet adonis. Elle voyait bien deux bosses sur son dos, mais les attribuaient à ses omoplates. Elle ne voyait pas bien son visage mais il ne paraissait pas avoir de gros défaut de ce point de vue-là.

 Elle eut donc envie d'attirer son attention, et, pourquoi pas, le ramener là où elle devait se rendre.
En pensant ça, elle continuait de marcher, et se redirigea un poil pour passer sa jupe plissée juste au-dessus de sa tête, frôlant sa chevelure soignée. Il ne pouvait pas ne pas sentir ce contact, et elle savait qu'il devait logiquement tourner la tête vers elle, et fatalement voir au moins une portion de ce qu'elle avait sous la jupe. Elle tourna la tête vers lui et lui lança un sourire d'invite, sans s’arrêter, avant de retourner la tête devant elle.    
 Normalement, il devait la suivre, et s'il ne le faisait pas, c’était tant pis pour lui. Elle s'inquiéta seulement du fait qu'il pourrait être homosexuel, ce qui aurait tout de même été une jolie perte. Elle avait vu son visage. Mignon. et la cicatrice qu'il portait ne changeait pas ce constat.

Elle arriva assez vite près des douche, et Isae lui fit signe (un code qu'elles avaient convenu ensemble les premières fois qu'elle firent du dépucelage de nouvelles têtes) que si elle entrait dans les douches, elle ne devait pas aller dans la cabine, la jeunette n'étant pas prête. Asuna acquiesça et entra dans la pièce.
 Outre les cabines individuelles, le couloir des douches était, autant coté homme que coté femme, équipé d'une  série de douches murales qui servaient de douche commune quand on était en maillot de bain, les cabines étant individuelles pour les cas où il fallait y être nu.
En théorie.
Dans les faits beaucoup se lavaient nu(e)s dans le couloir parce que les équipements de rangement des cabines étaient toujours un peu humides, et qu'ils préféraient ne pas essuyer avec leur serviette ces emplacements. Bien sûr il y avait aussi quelques vicieux/ses qui comptaient là-dessus pour mater voir coucher, et on ne parle même pas du Cercle.

 Asuna s’avança, dépassant les alternances 4 douches-1 porte- 4 douches jusqu'en face de la cabine occupée. Elle s’arrêta. Elle était contre le mur opposé, et en tendant l'oreille entendait des soupirs timides. Elle attendit un peu, d'une part que l'albinos la rejoigne et d'autre part que les soupirs soient des soupirs d'abandon. À ce moment, elle savait que rien ne pourrait interrompre la jeune ingénue. Elle appuya donc de toutes ses force sur le déclencheur de la pomme de douche au-dessus d'elle. Elle fut complétement trempée, et elle espérait que l'autre serait autant.

Elle baissa rapidement les yeux sur son corps. La chemise lui collant la peau faisait ressortir ses seins et leur pointes déjà en train de durcir, sa jupe était plaquée contre ses cuisses et on devinait son mont de Vénus. C’était parfait. Elle se tourna face à lui, rieuse, et lui dit, avec une voix de moquerie:
“alors, on suit des inconnues? Est-ce que ce que tu vois te plait, au moins?”

Je ne savais pas ce qui m’arrivait aujourd’hui. C’était pourtant une belle journée de printemps, j’avais fini les cours et on avait même mangé des Sushi à la cantine, mais se devait être une de ces journées ou votre chance vous abandonne complètement vous laissant seul face aux misères de l’existence humaine. Ça avait débuté tôt ce matin, je suis tombé du lit manquant de peu de m’éborgner sur ma table de chevet, puis titubant à moitié j’étais allé prendre ma première douche de la journée, et forcément il n’y avait plus d’eau chaude. Ensuite ça avait continué au lycée où on a eu un contrôle de math sur une leçon que j’avais « oublié » de révisé, et voilà maintenant que je marchais comme un con sur mon lacet défait et me rétamais sur le carrelage… heureusement j’étais solide et pus me mettre à genoux afin de relacé ma chaussure, il serait peut-être temps d’avoir un peu de soleil dans cette journée de merde.

Je refaisais mon double nœud, bien serré pour que celui-ci tienne bien, quand quelque chose me toucha les cheveux, ce quelque chose était doux et soyeux comme un lambeau de tissu. Intrigué je levais la tête et restai ébahi par ce que je vis. Mon regard se posa d’abord sur une paire de longues jambes fuseler, puis remonta le long de deux cuisses parfaitement galbées qui se rejoignirent pour former des hanches bien féminine, mais ce qui me fis écarquillé les yeux fut l’absence de dessous. La lycéenne en jupe courte me sourit alors que je contemplais ébahis sa petite fente bien dessiner, se ne dura que quelque seconde avant qu’elle ne continue sa route. La belle me laissa littéralement sur le cul, alors qu’elle s’éloignait avec un déhancher du feu de dieu sans ce retourner.

Elle ne m’avait pas allumé, elle m’avait carrément incendié. Comme tout homme qui se respecte (je ne parle pas des homosexuel), je me relevai d’un bond et la suivis dans ce couloir presque désert. Sa longue chevelure noire cascadait sur sa fine taille, jusqu’à des fesses bien rebondies, mais pas trop. La lycéenne en jupette s’arrêta face à un pan de douche et l’actionna fébrilement, faisant jaillir un jet d’eau qui trempa son uniforme. La jeune femme se retourna et me dit avec une pointe d’effronterie dans la voix :

-   Alors, on suit des inconnues ? Est-ce que ce que tu vois te plait, au moins ?

Je souris en m’avançant sous le jet d’eau, sa chemise blanche devenu presque transparente lui collait à la peau, tout comme sa jupe qui m’offrait une vue imprenable sur les courbe sensuelle de la jeune femme.

-   Oh oui... Des inconnues comme toi, je veux bien toutes les suivre…

Dis-je en me rapprochant encore plus et lui prenant délicatement le menton, je déposai un petit baiser presque timide sur ses lèvres et susurrai à l’oreille de l’allumeuse :

-   Tu es mon rayon de soleil dans cette journée de malheur…

“tu vois, c'était pas plus compliqué que ça!”
“Ooooh...”
“tu aimes ça, hein? C'est agréable, n'est-ce pas?”
“HO!”
Michi eut un soubresaut. Katsue venait d'introduire son doigt dans la fente humide de Michi qui était assise contre le mur de la douche. Pour rassurer sa pudeur, elle ne lui avait rien retiré, se contentant de passer la main dans la culotte, après avoir longuement caressé à travers. Quand à elle, pour convaincre Michi de son engagement, s'était complètement dénudée. Accroupie entre les jambes étendues de l'ingénue, elle l'assaillait régulièrement de baisers et caresses. Le mouvement de ses doigts le long du sexe fébrile de Michi rendait cette dernière folle.
jouissant, les bras formant des gestes incontrôlables, elle peinait à parler entre deux halètements.
“...oui.... Continue!”
à un moment donné, elle entendit  un bruit d'eau. Elle parvint à articuler entre deux soupirs:
“....douche?...”
katsue joua la surprise. Elle se redressa et prit une voix de conspiratrice.
“oui! Il va falloir être silencieuse maintenant!”
et comme  pour appuyer sa déclaration, elle enfonça une nouvelle fois son doigt dans le corps de la jeunette. Celle-ci sursauta et gémit bien sûr, et Katsue l'en réprimanda:
“noon! Tu fais trop de bruit! Attend!” elle sourit “j'ai un truc pour te rendre moins bruyante.”
d'une main derrière le dos de Michi, elle la plaqua contre son corps et commença à l'embrasser longuement, étouffant ses gémissements alors même qu'elle continuait à la travailler.
"hmmmmmmmhmmmmmmmmmm! hm!hm!hm!"


Dans la salle de douches communes, l'ange venait de déposer un baiser fort chaste accompagné de  paroles poétiques:
-   Tu es mon rayon de soleil dans cette journée de malheur…

  Asuna eut un sourire. Il était bien mignon, mais ce n'est pas ce qu'elle appelait embrasser. Elle venait pourtant bien de montrer que l'approche directe était sa préférée. Après tout, si elle en pinçait pour le fleur bleue, elle elle aurait une culotte à ce moment-là.
Pour le mettre plus dans l'humeur adéquate, elle se jeta sur lui, se plaqua contre son corps en frottant sa jambe le long de celle de son partenaire, et bien sûr elle colla sa bouche contre la sienne, les deux mains dans les cheveux argenté du jeune homme.
L'embrassade d'Asuna fut longue sauvage, chatouillant d'abord le palais avec sa langue, puis partant jouer avec celle de son partenaire. pour jouer de la potrine sur son torse elle montait parfois sur la pointe du pied avant de reposer le talon, en un rythme langoureux accompagné d'un mouvement pelvien vers son aine.
Après un temps à lui caresser les cheveux, elle décida de glisser sa main le long du bras et de le guider sur ses fesses, faisant passer les doigts un à un entre l'élastique de sa jupe et sa peau. Elle était particulièrement fière de son fessier rebondi qu'elle donnait à toucher à ceux qu'elle prenait.

Elle sentait que sa journée allait être plus excitante e prévu grâce à ce jeune homme, lorsque son autre main, qui glissait lentement sur la nuque, sentit quelque  chose sur le dos du demi-ange. Prise  d'un doute, elle eloigna lentement sa main, attendit un temps: et agrippa d'un coup sec l'aile de l'ange.
 En sentant la chose dans sa main, elle eut un sursaut qui la  fit se jeter en arrière, lâchant sa prise. La jupe, dont l'élastique était glissant, tomba à cause de la brusquerie de son geste. Comme elle avait appuyé le bouton avec son dos, la douche s'activa une nouvelle fois.

“qu'est-ce que tu as derrière le dos?” demanda-t-elle les yeux plissés par sa suspicion. “qu'est-ce que tu es?”
 
Isae s'était avancée à l'entrée de la douche commune, pour observer le couple et jauger du meilleur moment d'intervention. Mais elle eut, en entendant la crainte dans la voix de son amie, elle choisit de se tenir prête à la défendre de cet homme qui avait inquiété une membre du Cercle.

Elle était vive et ce jeta sur moi comme une tigresse sur un bout de viande, m’embrassant passionnément et avec une ardeur que je n’aurais pas pu soupçonner chez une jeune lycéenne. Certes elle ne portait pas de culotte, aussi alors que nos langues valsaient ensemble et quand elle eut suffisamment caressé ma chevelure, elle prit mes mains dans les siennes pour les dirigées sous sa jupe, je pus sentir sa douce peau, ses fesses merveilleusement rondes et fermes. Je me mis à promener mes doigts sur ce magnifique postérieur et à masser ces rondeurs, tandis-que la belle caressait son corps entier contre le mien. Sa jambe délicieuse allait et venait langoureusement frotter contre la mienne faisant croitre mon érection à tel point que je crus que ma braguette allait exploser. Tandis-que je m’occupais de son fessier, elle passa une main sur ma nuque et alla caresser mon dos jusqu’à ce qu’elle tira avec brusquerie sur mon aile très sensible et elle fit un bond en arrière surprise.

-   Qu'est-ce que tu as derrière le dos ? Qu'est-ce que tu es ?

J’aurais dû m’attendre à une réaction de ce type-là, elle n’était qu’une "simple humaine" après tout, une humaine certes, mais aussi terriblement attirante. Sans répondre, je me mis à déboutonner ma chemise et la laissant mollement tomber au sol, je dépliai mes deux grandes et majestueuses ailes d’un blanc immaculé. Je m’approchai de la belle qui s’était littéralement plaquée contre le mur de la douche commune, enclenchant au passage un jet d’eau chaude qui vint ruisseler sur ses courbes galbées à souhait tout en trempant encore davantage l’uniforme déjà presque transparent de la lycéenne. Je n’étais plus qu’à quelques centimètres de ce corps déjà chaud, de cette bouche aux lèvres parfaitement dessiner et je m’approchai toujours plus, millimètre après millimètre… Elle était prise en sandwich entre moi et le mur, je fis glisser une de mes mains le long de sa superbe chute de reins, lui faisant légèrement cambrer le dos à son passage, ce qui m’offrit une magnifique vue plongeante sur les seins de la jeune fille couverts de tissu blanc humide. Mes lèvres à quelques centimètres des siennes, je souris, un sourire angélique qui se voulait charmeur et je fis serpenter ma deuxième main entre ses cuisses nues. Mes doigts baladeurs atteignirent la petite fleur du clitoris de la lycéenne, sur laquelle je faisais passer mon pouce tandis-que je massais copieusement sa douce vulve en un rythme alanguis, délicieux.

-   Tu aimes ça ? tu n’as jamais rêvé de faire l’amour à un ange ?

D’ange je n’en étais pas vraiment un, mais ça, elle n’avait pas besoin de le savoir. Je l’embrassais à nouveau langoureusement envoyant ma langue fougueuse explorer sa bouche, léchant l’intérieur de ses joues avant de tourner autour de sa propre langue.

-   Alors, tu me trouve à ton goût ?

Demandais-je en rompant le baiser tout en accélérant les mouvements de mes doigts sur l’intimité de la belle…

 A cause du silence imposé par un bâillon buccal, Michi put entendre un peu la voix de la personne qui prenait sa douche:
-... rayon de soleil... journée de malheur…
 Cette voix lui était familière, et elle eut frisson comme si elle pensait à quelqu'un d'agréable. Mais elle avait peine à se concentrer sur le décryptage de ses impressions, trop dépassée par ce que Katsue lui faisait sentir. Elle était caressée avec une intensité mais aussi un soin considérables, à tel point que tout dans la pièce, depuis le carrelage mouillé qui imbibait sa jupe, la tuyauterie contre  ses côtes, jusqu'au graffiti sur le mur, lui sembla empreint de sensualité.
 Soudainement, Katsue interrompit son geste, posant la  main à plat sur le sexe de sa victime, et le baiser, pour lui demander deux choses en chuchotant:

"-si je te dis que je peux te faire plus plaisir si t'y parviens, tu te sens capable d'être silencieuse?"
Michi acquiesça timidement.
"-et pour la même raison, es-tu prete à te caresser toi-même? Je te guiderais  si tu te le fais trop vite."
Michi acquiesça encore. Dans son état d'esprit, elle aurait promis bien des faveurs à Katsue pour lui faire plaisir. Celle-ci se mis donc derrière l'ingénue, qu'elle assied sur ses genoux, et introduisant ses mains dans le soutient-gorge de la petite, elle lui murmura à l'oreille:
"-tu peux commencer."
Puis elle pinca ses deux tétons pour le rouler sous ses doigts avec tendresse.
Michi, piquée par ce stimulant, commença à glisser pudiquement sa main vers sa jupe, osant à peine la soulever pour passer dessous, puis elle introduisit le doigt sous sa culotte, plein d'appréhension sur son éventuelle maladresse. L'œil bienveillant de Katsue qu'elle sentait posé sur ces geste la galvanisa assez pour remonter sa jupe de l'autre main, découvrant pleinement sa culotte.


  En embrassant Edean, Asuna avait comprit qu'elle mènerait le jeu et que l'homme se laissait guider. La façon dont il accepta de voir ses mains emportés, et surtout la façon de caresser les fesses de sa partenaire, étaient bien assez révélateurs de ce coté. Il les explorait avec un plaisir évident, et si elle en avait vu d'autres plus talentueux, il était doux dans ses gestes et elle eut aussi du plaisir dans ce préliminaire.
 La découverte de l'aile fut cependant une interruption de ce jeu. Il lui fallait savoir qui il était, parce que des membres du Cercle avaient déjà entendu parler de démons cherchant maltraiter des lycéennes, que toutes sortes de mauvaises rencontres pouvaient arriver à Seikusu, et que le Cercle devait être protégé de toute menace. Elle coupa donc le contact sexuel à l'instant, attendant avec appréhension sa réponse. elle ne nota même pas qu'elle avait perdu sa jupe. Elle remarqua d'un coupe que sa camarade s'était approchée, prête à riposter.

 Ses muscles tendus, elle le vit s'approcher avec lenteur, déboutonnant sa chemise qui était désormais transparente. Il la fit glisser à terre, collant encore à son dos, et déploya deux grandes ailes blanches. Les plumes à la la pointe de chaque dégoulinaient d'eau,  et des gouttes furent envoyés à travers la salle de douches. Asuna, aux premières loges, fut soufflée d 'ébahissement. Elle murmura des excuses.
- ooh! Je suis Désolé. j'ai cru que tu pouvait être...
  Mais fut interrompue par la main qu'il glissa au bas de son dos. Du fait du soulagement et de l'émerveillement, elle se laissa emporter, et Avec volupté, elle se cambra. Les lèvre de l'ange s'approchèrent, un sourire à la bouche. Elle senti une main entre ses jambes et elle frissona. Le massage de son sexe était un délice, et elle eut la tentation de s'y abandonner, de le laisser faire à sa guise. La révélation du jeune homme avait complètement changé leur rapport de forces. Elle glissa sa main sur le torse de l'ange pour sentir ses muscles.
 Il fit:
- Tu aimes ça ? tu n’as jamais rêvé de faire l’amour à un ange ?


 Puis il l'embrassade avec la langueur et l'intime vigueur qu'elle employait quelques instants plus tôt.
Il redemanda si il lui plaisait, et grâce au baiser, elle reprit ses esprits. Sa main toujours sur le torse de l'ange, elle prit un sourire pervers, le regardant droit dans les yeux. D'une voix pleine d'invites, elle lui dit:
-aaaah, ouuui! Corrompre un ange, le mettre à sa merci, ou même se soumettre à la sienne. j'adorerai!
Et passant la main depuis le torse jusqu'au dos, elle le plaqua contre elle, sa vulve collant contre son pénis en érection prisonnier  du tissus du pantalon, ses seins trempés contre ce torse doux et ses mouvements de haut en bas reprenant.
Mais je te souhaite d'être à la hauteur , car j'ai des exigences.

  Sa bouche lécha le creux de son épaule, tandis qu'une main baladeuse se glissa dans le pantalon pour agripper le sexe et le sous-vêtement, pour les sortir ensemble du pantalon.

-on va pas consommer tout de suite, Gabriel! D'abord je veux sentir de l'humidité  sur ton slip.
S'expliqua t-elle en poursuivant le haut-en bas, le doigt de l'ange toujours sur sa vulve.

  Isae, ne voyant pas grand-chose à cause des ailes, mais comprenant l'absence de danger, décida qu'elle restait sur la touche depuis trop longtemps. Elle s'avança vers l'ange, et glissa tendrement ses doigts parmi les plumes de l'oiseau. Elle lui susurra à l'oreille, lui frôlant le dos avec sa poitrine:
-est-ce que c'est agréable, petit ange?


Dans la cabine, Michi entendait certaines paroles, et même si certains mots lui échappaient elle comprit bien vite le plus important.
"-hé! Chuchota-t-elle. C'est la voix de Edean. Il dit qu'il est un ange, et il est en train de de... enfin, t'as pas peur qu'il nous surprenne?"
Elle avait essayé de donner le change quand à on inquiétude mais Katsue en avait vues d'autre, et l’intonation de la jeune fille était très clair: l'idée qu'Edean la voie lui plaisait bien plus qu'elle ne l'admettait.


 Quand à Katsue, la présence du surnaturel la rendait curieuse. mais il était plus raisonnable de réguler les surprises successive de l'ange qui devait déjà avoir deux joueuses à gérer. et donc, tout en lui caressant la poitrine avec tendresse, elle murmura à l'oreille de Michi:
"- pas tout de suite, il bien trop occupé pour faire attention à nous."

-   aaaah, ouuui ! Corrompre un ange, le mettre à sa merci, ou même se soumettre à la sienne. j'adorerai !

Alors que je frictionnais tendrement le sexe de ma camarade lycéenne, celle-ci planta ses deux grands yeux violets dans les miens et je vis avec une certaine satisfaction une trace de perversité envahir son doux regard de jeune fille. Passant une main dans mon dos, la belle allumeuse me plaqua un peu plus contre elle, ses seins s’enfonçant délicieusement contre mon torse et sa vulve délicate vint caresser mon entrejambe contrit dans sa prison de tissus. Elle reprit alors son petit manège  se haussant sur la pointe des pieds pour caresser tout son superbe corps contre le mien, me procurant un intense frisson de plaisir et je poussai même un petit gémissement d’envie, je la voulais corps et âmes, je voulais en profiter, profiter d’elle.

-   Oui ma belle… corrompt moi !
-   Mais je te souhaite d'être à la hauteur, car j'ai des exigences.

Je m’en serais douté, je souris malicieusement tandis-que sa petite langue rose venait me lécher au creux du cou et que sa main inoccupée allait se balader dans mon pantalon pour agripper mon sous-vêtement et le dégager du pantalon qui tomba tout seul au niveau de mes chevilles. Apparemment, ma belle camarade n’était pas pressé et elle voulait faire durer le plaisir, savourer cette instant ou deux partenaire sexuel s’excitait mutuellement avant de passer à l’acte. Sentant mon sexe ce durcir de plus en plus contre le bas-ventre de la jeune fille, je déboutonnais d’une main le morceau de tissu humide et transparent qu’était devenue la chemise de la belle allumeuse tandis-que je caressai toujours son sexe de l’autre.

-   on va pas consommer tout de suite, Gabriel ! D'abord je veux sentir de l'humidité  sur ton slip.

Je souris quand elle m’appela Gabriel, et d’un mouvement délicat je fis tombé sa chemise imbibé d’eau sur le carrelage humide de la douche commune, la laissant complétement nue contre mon corps glabre. Soudain, je sursautai en sentant des doigts fins se glisser dans mon plumage et je sentis une agréable poitrine effleurer doucement mon dos entre mes deux grandes ailes.

-   est-ce que c'est agréable, petit ange ?

Murmura la fille dans mon dos et je répondis par un profond soupir de plaisir bien plus explicite que n’importe-quels mots. Je tournais la tête pour la voir et aux fin fond de ses grand yeux bleus, je vis la même lueur de perversité que dans le regard de mon allumeuse, son corps quant à lui était tout ce qu’il y a de plus désirable et je soupirais encore une fois, avide de caresse de l’une comme de l’autre. Au bout d’un moment, je me retournais doucement évitant de glisser sur le carrelage humide pour me retrouver face à la deuxième lycéenne, je posais mes mains sur ces hanches et déposais mes lèvres sur les siennes pour un baiser passionné et langoureux.

  Il venait de la prendre dans ses bras. Elle s'était laissée emportée par cette force, trop émue pour faire le moindre geste. Elle eut un frisson en sentant les muscle de son amant. La tête plaquée  dans le creux de son épaule, elle sentait les odeurs d'Edean. Celui-ci la portait comme un rien et ses pieds ne touchaient pas le sol. comprenant sa chance, Michi le regarda dans les yeux , et elle put voir une tendresse d'amoureux dans son regard. Leurs bouches se rapprochaient, elle sentait son souffle chaud sur son visage. Bientôt, leurs lèvres se toucheraient et le monde autour d'eux disparaitra. Il n'y aura rien qu'elle, et lui.  Elle ferma les yeux...
- Michi? Hé! Michi!
 Michi émergea de ses pensées pour répondre à la voix enquiquinante qui lui bourdonnait à l'oreille.
- hhmhmhm?
- fais gaffe, tu vas trop vite!
Katsue prit les poignets de la jeune fille et força l'interruption de l'activité.
- tu vas t'épuiser avant qu'on ait le temps de faire quoi que ce soit. Oublie-le un peu, tu veux!
-de...de qui tu parles? Fit une Michi toute rouge, trémoussant d'embarras.
-bah! Fais pas semblant, je sais à quoi tu pensais.

Ne sachant pas quoi répondre, Michi opta pour la défense évasive, tout en essayant de reprendre ses caresses malgré ses mains prisonnières.
- oooh...euhh...
- ne t'en fais pas, va! Tu as le droit de fantasmer sur lui. Mais j'aimerais que tu retourne avec moi. En plus, je te promet que si tu es sage, je t'arrange un truc avec lui.
Et Katsue repositionna la main de son apprentie et la guida, en forçant une cadence plus relâchée. Michi, heureuse  d'entendre ceci, décida d'être obéissante.
- tiens, puisque tu as un main de libre, retire ta culotte, et ta jupe aussi Fit Katsue avec une voix qui ne reconnaît pas la possibilité de la contradiction.
 Après avoir hésité et rougi, Michi obéit, commençant par sa culotte. Imbibée d'eau et de cyprine, celle-ci restait collée à ses fesses, et elle fut obligée de pousser sur ses pieds pour hausser son bassin, prenant un meilleur angle pour se défaire du tissus. Se faisant, elle sent ses doigts, guidés par Katsue lui rentrer dedans. Prise par surprise, la jeunette ne put retenir son cri.
- OOOOhhhuum... 
elle fut interrompue par la main de Katsue sur sa bouche. Elle dressa la tête un instant pour ecouter si on les avait repéré, puis pour la rassurer, elle lui murmura:
- ce n'est pas grave, la porte est fermée. continue.
Et Michi entreprit donc, avec beaucoup de prudence, de retirer la jupe plissée qui, désormais en contact avec son sexe, commençait à  en dessiner les contours. 


   Asuna voulait absolument faire durer le premier round le plus longtemps possible, pour compenser les petites performances de ses derniers partenaires masculins.
  Bien qu'elle avait plaqué sa vulve contre son pénis, Edean continua à caresser la précieuse ouverture. Elle sentait ses doigt glisser entre le phallus et les lèvres supérieures, ça donnait comme un de ces godes avec des billes en périphérie.
 Elle venait de lui faire tomber le pantalon, et il réagit en lui retirant sa chemise. Elle se retrouvait donc nue face au jeune homme en slip. Elle se dit qu'il allait bientôt falloir remédier à cette inégalité. Elle avait cependant établi une petite règle, et comptait bien s'y tenir. Or, l'ange semblait bien se maitriser, parce que la pointe que son pénis faisait dans son slip demeurait sèche. Sur toute la longueur cependant,  le liquide intime d'Asuna commençait à humidifier le tissu, ce qui l'obligeait à manœuvrer habilement pour ne pas mouiller aussi la pointe qui lui servait d'indicateur. Il faut dire que ce jeu l'amusait énormément, et qu'elle anticipait déjà ce qu'elle pouvait faire avec un tel homme.

- est-ce que c'est agréable, petit ange ?
Asuna venait d'entendre cette phrase, et vit l'œil de l'ange prendre un accent de surprise, puis se fermer et l'ange laissa échapper un soupir. Asuna comprit vite qu'Isae s'était décidée à intervenir dans l'affaire, et eut peur qu'il prenne peur. Au lieux de quoi, il tourna la tête devant la nouvelle venue, et son sexe témoigna de intérêt en laissant apparaître sur son slip un petit rond plus foncé  au niveau du gland. l'idée d'avoir deux filles pour son plaisir lui plaisait bien apparemment. L'ange se retourna complètement, abandonnant Asuna qui émit un petit -Ooooohhh! De déception, tout à fait relatif, puisque après tout elle était dans le Cercle justement pour partager ses hommes et femmes.
 Au lieu de concevoir une quelconque amertume, elle décida de s'occuper de ce qu'il lui restait de l'homme en question. En l'occurrence, elle avait accès  à son dos, et plus indirectement, à son pénis.  Pensive, elle caressa les ailes de l'ange tandis que ce dernier embrassait la nouvelle venue. Elle avait vu que l'ange était sensible à cet endroit et songeait qu'elle pouvait peut-être lui faire perdre son sang-froid. Après une petite réflexion, elle se prit appui sur l'épaule d'Edean et se pencha sur Isae, à l'oreille de laquelle elle murmura:
- tu peux jouer avec lui, mais tu me laisse la priorité sur l'acte même, d'accord?
Isae ayant acquiescé, elle retourna à sa position précédente.  Puis elle se mit à genoux et commença à titiller le fessier d'Edean avec des petits baisers, ses mains de nouveau glissées entre les plumes dans son dos.

Isae s'était laissée prendre par l'ange et resta passive durant le baiser, le savourant, mais dès qu'il interrompit l'embrassade, elle s'écarta d'un pas, mis ses mains derrière son dos et, prenant une pose de fausse ingénue, lui fit une demande:
-est-ce que tu pourrais faire un truc pour moi? Avec vous deux en train de vous déshabiller mutuellement, je me sens indécente. Je voudrais que tu m'arrache mes vêtements avec tes dents.
elle marqua une pause calculée.
- tu veux bien?

 au moment de cette question, si les trois joueurs avaient tendus l'oreille, ils auraient entendus un cri venant d'une  cabine.
- OOOOhhhuum... 

Ma langue dansait sensuellement dans la bouche de la nouvelle venue qui se laissait prendre dans mes bras pour savourer ce baiser qui dura quelques longues secondes, ses lèvres étaient pulpeuses et je me régalais de les embrasser. La première fille, après avoir lâchée un minuscule gémissement de déception en voyant que je l’abandonnais, se mit à s’occuper se qui lui restait de mon corps en passant ses petites mains toutes douces sur mes ailes blanches, me faisant frissonner. Les deux jeunes femmes m’excitaient autant l’une que l’autre, elles m’excitaient tellement que je sentis mon membre, tendu et impatient d’être libéré de sa prison de tissu, mouiller mon caleçon d’un peu de pré-sperme.  Bientôt, la belle dans mon dos qui n’avait plus que sa mini-jupe  pour seul vêtement m’agrippa l’épaule pour s’y appuyer et se pencher pardessus moi afin de murmurer quelques paroles à sa camarade que j’embrassais goulûment. Elle hocha rapidement la tête sans cesser notre long balais lingual, puis visiblement satisfaite, celle qui se tenait en équilibre sur moi, retourna dans mon dos pour s’agenouiller avant de déposer quelques petits baisers sur mes fesses de demi-ange. 

Quand je finis par rompre le baiser, la belle donzelle aux yeux bleus recula d’un pas pour se libérer de mes bras et mit ses mains dans son dos comme si elle était attachée par un lien invisible avec un air naïf qui la rendait des plus craquantes.

-   est-ce que tu pourrais faire un truc pour moi ? Avec vous deux en train de vous déshabiller mutuellement, je me sens indécente. Je voudrais que tu m'arrache mes vêtements avec tes dents.

Me demanda-elle avant de marquer une pause calculée, le temps d’une inspiration suivie d’une expiration, apparemment elle savait s’y prendre et je me doute bien que j’étais loin d’être le premier à qui elle fait cette demande. Comme hypnotisé, je ne pus m’empêcher de traverser la distance entre nos deux corps,  jusqu’à me retrouver presque contre elle, le visage à quelques centimètre du sien,  je pouvais sentir avec délice son souffle chaud contre ma peau.

-   tu veux bien ?
-   toi tu sais ce que tu veux ma belle… Mais il faudra me remercier…

Dis-je sur un ton suave avec un petit sourire malicieux avant de baisser les yeux sur ses vêtements, son uniforme de lycéenne étais devenu presque transparent sous l’eau chaude qui dégoulinait toujours de la douche et collait à sa peau blanche. Passant ma langue sur mes lèvres, je savourait déjà le met que je m’apprêtais à déguster avant de plier légèrement les genoux pour amener ma bouche au niveau du petit foulard vert qui passait entre ces seins. Je dû mis reprendre plusieurs fois, mais finalement donnant d’astucieux coups de dents, j’arrivais à me débarrasser du bout de tissu encombrant et, le laissant glisser sur le carrelage tremper de la douche, je relevais mes yeux bleus vers les siens de la même couleur.

Après quoi je me mis à mordiller les boutons de la chemise de la belle pour les déferrent un par un, c’était bien la première fois que je dénudais une fille avec les dents, mais je trouvais ce petit jeu alléchant. Ayant déboutonné ses premiers boutons, je ralentis un peu mes mordillements quand je passais sur ses seins que je ne pus m’empêcher de gratifier de quelques baisers enflammés. Puis je dégrafais son soutien-gorge d’un habile coup de dents avant de m’attarder un peu dans le but de titiller ses tétons au garde à vous de ma petite langue rose et de prendre un mamelon en bouche pour le téter avec de léger mouvements de tête.  Après quelques délicieux instants, je repris le mâchouillement des boutons de la chemise de la belle lycéenne tout en déposant des petits baisers sur son ventre à mesure que je descendais en pliant toujours un peu plus me genoux jusqu’à me retrouver à genoux devant elle.

Quand j’eus défais tous les boutons, je mordis un bout du vêtement imbiber d’eau et, d’un mouvement vif de tête, je l’envoyai valdinguer à l’autre bout des douches avant de me mettre à défaire sa jupe plissée. Les Jupes de l’uniforme de Seikusu étaient déjà courtes, mais celles que portaient mes allumeuses remontaient bien au-delà de la mi-cuisse, ce qui n’était pas le moins du monde pour me déranger, bien au contraire. Après m’être rapidement défait des attaches qui ceignaient la jupette, je m’en débarrassais en lui faisant suivre le même chemin qu’à la chemise, dévoilant une petite culotte blanche, si petite qu’elle en était presque inexistante. Je pris alors délicatement le sous-vêtement entre mes mâchoires pour tirer doucement le petit bout de tissu, avant de le laisser glisser le long de ses longues jambes fuselées jusqu’à ces chevilles graciles, m’offrant une belle vue sur son sexe.

Ma belle donzelle aux yeux bleus était toute nue devant moi et, alors que j’étais agenouiller devant elle, j’embrassais ces lèvres intimes d’abord tendrement puis de plus en plus passionnément jusqu’à insérer ma langue dans son intimité. Ma tête entre ses cuisses, je glissais ma petit langue rose aussi loin que je le pouvais entre ses parois vaginales irriguée de cyprine, tout en faisant remuer fougueusement ma langue dans tous les sens en elle comme un petit tentacule. Tandis-que je poursuivais mon cunnilingus avec ardeur pendant de longues seconde qui devinrent des minutes, je pris la main de la lycéenne qui était restée dans mon dos et j’enroulais ces doigts délicats autour de ma verge tendu dans mon caleçon.

  Michi avait fini de retirer sa jupe plissée, prenant soin cette fois ci de ne pas accentuer la sensation de ses mains sur sa vulve.  Affalée sur le sol de la douche, les doigts de pieds dépassant un rien de la porte, elle exposait à l'air libre toute la partie inférieure de son corps.  Michi eut un sourire. Elle commençait à aimer ce jeu mêlant masturbation et écoute indiscrète.
  Car pour éviter de trop s'emporter, elle avait pris la décision de se concentrer sur ce que les trois autres faisaient de l'autre coté de la porte. Elle les écoutait donc pour se calmer, mais très rapidement, elle sentit tout le plaisir de l’indiscrétion coquine. Elle s'éforçait de deviner ce qui se passait de l'autre coté de la porte. N'ayant pas assez d’expérience pour ça, elle n'eut que de très vagues idées, qui pourtant la troublaient. Elle parvenait tout de même à émousser sa sensation de plaisir, ralentissant de fait ses gestes sur son sexe.
 Assurée du self-control de Michi, Katsue avait lâché son poignet, pour commencer à se satisfaire elle-même. Cependant, elle eut vite envie de changer la donne et de profiter de sa nouvelle vicieuse. De plus, si cette dernière voulait avoir un peu de l'homme qui s'amusait dehors, elle devait apprendre à avoir plus d'endurance, donc un exercice ne serait pas de trop.
-michi, mets-toi face à moi, veux-tu ? On va essayer un nouveau jeu.
Interrompant ses gestes, Michi eut un moment d’hésitation, mais Katsue avait toujours ajouté un peu de plaisir quand Michi suivait ses ordres, elle se décida à se retourner, une main toujours sur l'aine. Elle remarqua tout de suite que son nez tombait pile sur son sexe. Elle rougit en détaillant les formes des lèvres, plus amples que les siennes.
-tes mains, fit impérativement Katsue en tendant les siennes. Les deux.
Michi eut un regard de biche malheureuse, mais l'autoritaire Katsue ne céda pas. Michi posa donc ses mains dans celles de Katsue, qui commença à s'expliquer :
- je sais que si je te laisse aller en roue libre, tu vas vite t'épuiser. Je n'ai pas envie de t’épuiser, alors voilà ce qu'on va faire. Je te tiens les mains pour t’empêcher de jouir tout de suite, et toi tu me rend un peu de ce que je t'ai donné tout à l'heure, mais avec ta langue. Tu comprends ?
Michi hocha la tête, mais intimidée par ce qu'elle devait faire, n'osa pas bouger.
- alors, sors ta petite langue, et essaie donc le goût des bords. Si t'as peur, tu peux essayer ma toison.

 Michi eut la surprise de voir bouger les bordures de la vulve lorsque Katsue disait la dernière phrase. Elle eut une intuition. Animée par une envie de plaire et surprendre, elle se porta sur ladite toison pubienne et, la prenant avec les lèvres, tira doucement, la laissant glisser, les poils gentiment salivés. Katsue laissa passer un soupir.
-ooh... tu apprends vite, ma grande ! Je sens qu'on va passer pas mal de bon moments ensemble.
D'autoritaire, sa voix s'était faite caressante. L'élève se montrait meilleure que jamais, alors pourquoi gronder ?
     
  Isae venait de demander si il voulait bien la déshabiller avec les dents. elle avait toujours aimé faire ce numéro à ses nouveaux partenaires. Ça lui donnait une occasion d'observer comment celui-ci la désirait, et faisait avancer les choses, tout en évitant d'être gênée dans l'observation par le fait de devoir participer  au déshabillage. Mais plus important que ça, ça l'excitait de sentir une bouche sur son corps. Sans même prendre le temps de répondre, l'ange vint à elle.
  En le sentant aussi près d'elle, Isae retint un instant son souffle. Elle n'avait pas encore été touchée que déjà elle devenait fébrile.
- tu veux bien ? fit-elle, reprenant sa voix sensuellement ingénue pour garder sa contenance.
- toi tu sais ce que tu veux ma belle… Mais il faudra me remercier…

- je  n'y manquerai pas.  répondit Isae, peut-être avec un rien trop d'enthousiasme pour correspondre à son jeu.

  Il commença alors à observer le corps d'Isae en se léchant les babines. La douche était régulièrement réactivé par Asuna, et la buée avait fini par détremper les vêtements d'Isae. Elle aimait bien, ça lui permettait de rentrer dans la thématique du jour. L'ange se plaça à hauteur de la gorge, et prit sa première cible en bouche : le foulard. Isae formula une petite règle, avec toute l'autorité qu'elle se devait de montrer:
-attention, pas les main !
  il tira sur le ruban avec ses dents et défis le nœud grâce au choix stratégiques de placement de la mâchoire. Il regarda Isae pendant qu'il finissait de lui retirer le tissu, et elle se pencha lui embrasser le front en murmurant
-c'est bien, continue.

  Asuna, qui restait derrière, continuait à embrasser l'homme. Parfois, elle se plaquait contre lui, la poitrine écrasée sur son dos, lui caressant le torse des ses mains, qui redescendaient parfois titiller son sexe, le frôlant sans y appliquer de pression. Comme il s'était abaissé pour atteindre le nœud, Asuna se trouvait presque à la même hauteur que lui. Elle profita pour lui couvrir l’omoplate de baisers.

  l'ange poursuivi en défaisant les boutons. Il les défit en les passants par la fente, signe d'une certaine douceur. D'autres avaient arraché les boutons, ou tiré directement sur le bord de la chemise pour tout faire partir d'un coup. Elle songea que ça pouvait aussi être un manque de passion, mais l'idée fut aussitôt écartée lorsqu’il plaqua sa bouche sur sa poitrine à plusieurs reprises pour lui prodiguer quelques baisers. Isae passa sa main dans les cheveux argentés du séraphin, les lissant entre ses doigts.
  Un coup de dents plus tard, le soutien-gorge s'ouvrit, libérant la poitrine modeste mais joliment ronde, tout en restant sur les épaules de sa propriétaire. Au lieu de poursuivre le déshabillage, Edean commença à téter le sein d'Isae. Celle-ci avait encore sa main dans les cheveux de l'ange, et sentant le succion, ne put s’empêcher d'en agripper une touffe. Se reprenant, elle lui dit
-tu aimes mes seins, toi . 
 avant de diriger son mouvement, les deux mains appliquées sur les cotés de la tête, les déplaçant d'avant en arrière à un rythme de slow qu'il était obligé de suivre. Puis elle força la séparation, et avec un sourire lui intima de reprendre le dépouillement.
  Asuna, quand à elle, songea que s'il aimait les sein, elle pouvait lui en donner. Elle glissa ses mains le long des bras de l'ange, puis elle attrapa doucement ses poignet et glissa le mains captives derrière lui, jusqu'à ses propres seins dénudés. Avec un baiser sur l'épaule, elle lui murmura
- tâte un peu ces fruits-là avant de trop manger ceux des autres 

  poursuivant le strip-tease, Edean couvrait le corps de sa partenaire de baisers, auxquels elle répondait en lui caressant les cheveux. Puis vint le moment de finir de retirer la chemise, entièrement déboutonnée. Isae fit tomber une épaule de la chemise, et d'un mouvement de tête il la lui retira. Elle sentit le courant d'air produit par la chemise sur sa peau, et cela lui fit sentir un frisson agréable qui lui donna même la chair de poule.  Elle se trouva donc torse nu sauf pour le soutien-gorge, qu'elle jeta sur la tête de l'ange avec un sourire. Celui-ci était désormais à genoux, et s'appliquait à se débarrasser de la jupe, tandis qu'Asuna lui embrassait langoureusement tour à tour la joue, le creux de l'épaule, ou l'oreille, ses mains lui parcourant le bassin en contournant avec malice le pénis.
 Les élèves de Seikusu devaient porter le costume scolaire traditionnel, cependant, une brèche dans le règlement intérieur permettait de porter un modèle fait maison, à partir des critères du règlement. À l'époque de l'établissement de cette règle, toutes les élèves ne pouvaient pas payer le costume, et le droit permettaient d'en coudre un à moindre frais, selon des longueurs précisés à celles qui achetaient leur costume. Avec le temps, l’école a organisé un costume officiel gratuit, et n'eut plus l'usage de ces conditions, mais par ''négligence'' le règlement n'a pas annulé le droit du fait maison, ce qui permettait quelques fantaisies. Tant que les pratiquantes restaient raisonnablement proche du modèle, on fermait les yeux et on laissait passer des choses parfois singulières. Le Cercle tendait, bien évidemment, à retirer du tissu, mais d'autres idées ont germées dans leur esprit, et plus de choses se passent dans ces costumes qu'on ne le supposerait. Assez modeste dans le domaine, la jupe d'Isae se contentait d'un petit lacet à enrouler autour d’une pièce de métal. Elle aimait voir ses amants faire tourner le fil, pleins d'impatience mal contenue.

  Lorsque vint le tour de la culotte, celle-ci n’était déjà plus blanche. Isae avait beaucoup apprécié le traitement dont elle profitait, et ses cuisses commençaient le faire voir, malgré l'humidité de la pièce qui aurait dut dissimuler les traces. Isae portait une culotte blanche qu'elle avait réduit à son minimum, un fil  élastique tenant un tissus qui à l'avant contenait la fente, et à l'arrière se trouvait entre les deux fesses, ne cachant que la fente. Elle s'était aussi assurée d'avoir un tissus peu épais, de sorte que lorsque la cyprine d'Isae le touchait, la culotte devenait rapidement translucide, ne laissant rien de secret. L'ange fit glisser le tissu, qui laissa à Isae une délicieuse sensation collante. Le reste de ses jambes fut rapidement enduit sur le passage de la culotte.
  À genoux devant elle, il porta alors sa bouche sur le sexe d'Isae et commença à l'embrasser. Isae eut un gémissement qu'elle étouffa en ronronnement.
- oooh ! Tu commence déjà à profiter de ma faiblesse. Pas très angélique !
d'abord tendres, les baisers gagnèrent rapidement en intensité, jusqu'à ce qu'elle sente la langue d'Edean lui rentrer dedans. Cela lui fit encore une fois crisper ses mains dans les cheveux de l'ange.
  En même temps qu'il travaillait Isae, Edean prit la main d'Asuna, et la plaça sur son pénis. Isae et Asuna échangèrent un seul regard, et surent toutes les deux quoi faire, pour l'avoir déjà rêvé ensemble.

 Asuna amorça quelques mouvements de stimulation doux à travers le caleçon, quelques aller-retours sans serrer. Puis elle fit tomber le sous-vêtement et chatouilla du doigt le gland et le prépuce, les autres doigts agrippant le pénis en limitant le geste d'avant en arrière. De l'autre main elle taquinait les plumes de l'ange.
 Isae attendit quelque secondes, posa ses mains sur chaque épaule d'Edean, et fit un saut rapide pour finalement être assise sur lui, son bassin à quelques centimètres de la bouche. Profitant d'un bon sens de l'équilibre, elle parvint à se maintenir sur cette nouvelle monture. Puis elle balança un peu son bassin d'avant en arrière pour l'inciter à reprendre.
 
Au même moment, Asuna profita de cette distraction pour quitter son poste, et se plaça devant l'ange, à quatre pattes. Elle jeta un œil derrière elle pour viser, puis plia les jambes pour que le pénis de l'ange pénètre son vagin.
-AAAAAAhh !
 Ce fut une vraie libération pour elle ! Ça faisait déjà un moment qu'elle jouait avec lui sans vrai sexe, et elle n'avait pas beaucoup pu profiter de ses propres mains pour calmer sa propre envie. Sentir enfin un corps chaud en elle lui donnait presque envie de s’empaler violemment dessus, mais elle préférait lui laisser le choix du rythme. Elle attendrai donc au moins un temps qu'il commence la danse , quitte à l’accélérer si elle se sentait plus impatiente encore.

Pendant que je m’occupais de la belle aux yeux bleus que je dénudais d’une façon quelque peu originale, mais non moins sensuelle, l’autre fille dans mon dos ne resta pas inactive et je ne fus pas insensible à ses caresses. Elle se mit tout d’abord à coller sa poitrine toute douce contre mon dos tout en caressant mon torse finement musclé de ses mains baladeuses qui m’enlaçaient avec tendresse. J’avais gardé mes mains sur les seins de mon allumeuse aux yeux mauves que je malaxais avec des caresses mêlant tendresse et passion, elle avait une poitrine plus développé et généreuse que celle de sa camarade et j’en profitais pleinement. Comme je m’étais penché puis mis à genoux pour jouer avec la jeune femme qui me faisait face, elle put de ce fait venir déposer tendrement ses lèvres délicates dans le haut de mon dos, j’adorais ces caresses pleines de grâces et d’attentions.

Une fois que j’eus entièrement dénuée la belle lycéenne aux yeux bleus, je profitais du fait que j’étais à genoux devant elle pour embrasser langoureusement ses lèvres intimes déjà copieusement irriguées de cyprine. La tête confortablement calée entre ses cuisses alors que je poursuivais mon cunnilingus, je pris la main de la lycéenne qui était restée dans mon dos et j’enroulais ces doigts délicats autour de mon pénis tendu dans mon caleçon. Celle-ci commença par l’effleurer légèrement à travers le caleçon, me faisant frémir d’impatience avant de finalement ôter mon sous-vêtement pour libérer mon membre tout dur de sa prison de tissu. Puis allant cajoler mon gland tout rose avec son pouce, elle amorça un mouvement de vas et viens régulier qui me fit soupirer de plaisir tandis-que de son autre main elle caressait mes plumes d’un blanc ivoirin.

Mon membre en pleine érection était marbré de petites veinules bleues gorgé de sang et de désir pour les deux magnifiques donzelles nues avec moi sous l’eau de la douche qui continuait de couler sur nos trois corps en chaleurs. La lycéenne devant laquelle j’étais à genoux me prit par les épaules et après que je me sois relevé, elle s’appuya sur ses bras pour me bondir dessus et s’assoir sur moi, ma bouche à quelques millimètres de son bassin. Elle était vraiment légère comme une plu)me cette fille-là qui ne pesait vraiment pas grand-chose sur mes épaules et, retrouvant bien vite son équilibre dans cette position pour le moins originale, elle balança son bassin d'avant en arrière.

Elle balança son bassin d'avant en arrière avec désir, je repris donc ma léchouille avec un plaisir non feint, tandis-que mon allumeuse en profita pour se placer à quatre pattes devant moi et pour s’empaler délicieusement sur ma lance de chaire.

-   AAAAAAhh !

Cria-t-elle avec un plaisir mal contenu, je ne pouvais pas la voir à cause de cette position qui me m’empêchait de voir autre-chose que le bas-ventre de la lycéenne perché sur moi, mais c’était une véritable libération pour elle comme pour moi après avoir tant languis. Je pénétrais à nouveau dans son vagin si chaud et si humide, mon membre glissait sensuellement dans son intimité jusqu’à ce que mon gland tout rose heurte tel un bélier la porte vers son utérus avant de recommencer encore et encore. Plaçant mes mains sur ses fesses à la fois généreuses et fermes que je me mis aussitôt à masser avec sensualité, je me fis encore plus vigoureux, plus endiablé dans mes mouvements de vas et viens en elle.

Pendant ce temps, je poursuivais d’embrasser l’entrejambe de la belle donzelle assise sur mes épaules tout en insérant ma petite langue rose dans sa fente suintante de cyprine le plus loin possible. Mes coups de langues se firent de plus en plus vifs entre ses lèvres vaginales au fur et à mesure que je la sentais frémir et ronronner de plaisir, je léchais avec régal l’intérieur de son intimité dont les parois humides engluaient ma langue de son délicieux nectar de femme. D’ailleurs plus je la léchais, plus son jus d’amours coulait sur moi, huilant mon torse glabre aux muscles fins bien dessiner et brillant grâce à la cyprine de la belle perchée sur mes épaules, elle n’allait plus tarder à jouir.

   Michi lissait consciencieusement avec sa langue les poils pubiens de sa partenaire. Celle-ci appréciait l'initiative, et n'en faisait pas un mystère, glissant des soupirs de satisfaction entre ses dents. 
  La jeune demoiselle était bien contente d'avoir trouvé cette faiblesse de son entraîneuse. Elle n'était pas encore suffisamment à l'aise pour l'explorer plus intimement. Elle se doutait qu'à un moment donné, Katsue s’impatienterait, mais elle préférait attendre un maximum avant de devoir passer sur les zones embarrassantes.


  Isae glissait  ses doigts dans les cheveux de l'ange, alors que celui-ci reprenait son léchage. Sans surprise, le style de déshabillage de l'ange, tout en empressement soigneux , se retrouvait dans sa façon de satisfaire oralement sa partenaire. Son souffle chatouillait et échauffait son mont de vénus, dont elle sentait les poils se coucher à chaque brise. La cyprine coulait d'Isae et éclaboussait alentours à chaque coup de langue. Elle sentait le liquide suivre l’interstice entre ses cuisses et les épaules du jeune homme,  et elle songea avec une malicieuse satisfaction que le liquide devait lui couler dessus. Les éclaboussures en avaient d'ailleurs jeté sur son torse à elle, et elle retirait parfois ses mains des cheveux de l'homme pour essuyer  son corps puis lécher ses doigts.
 Elle ne pouvait pas voir ce que Asuna faisait, mais chaque fois que l'ange sortait de l'intimité de son amie, sa langue entrait plus profondément, par glissement. De plus, elle entendait distinctement les bruits que produisaient leurs corps, ainsi bien sûr que la voix d'Asuna. Tout ceci l’excitait davantage encore, et elle redonna quelques coups de reins.


  Asuna, à quatre pattes devant l'ange, avait de toute évidence usé de toute sa patience en titillant son partenaire, puisqu'elle se balançait d'avant en arrière, accentuant le rythme de pénétration de l'ange, qui progressait pourtant déjà de lui-même.  Se faisant, elle grognait et poussait de petits cris de plaisir. De temps en temps, elle se redressait, par étapes entre chaque entrée, sur ses mains ou se mettait face contre terre de la même manière, pour que l'ange visite son vagin par d'autres angles, appuyant d'autres cotés des parois.
  Quand elle se déplaçait pour être face contre terre, elle sentait le carrelage sur ses seins. D'abord il y avait la couche d'eau qui touchait le mamelon, puis la pointe du sein s'appuyait sur le sol froid. Lorsque le sein lui-même touchait l'eau, les va-et-viens tordaient la pointe dans un sens puis dans l'autre, et des vaguelettes apparaissaient sur la surface partant des deux monts, au rythme des coups de reins.
Elle regardait les ridules de l'eau un moment, puis elle se plaquait la joue contre le sol, bouche ouverte, yeux fermés, son souffle buccal fort, entrecoupé de cris, troublant la surface  de l'eau.  Elle attendait quelques coups de reins, puis elle remontait, sortant les seins de l'eau d'un seul coup pour que la peau sensibilisée par l'eau sente l'air circuler, se couvrant de petites bosses.
 Une fois au sommet, elle fermait les yeux et appréciait les sons de la petite orgie en cours. Les claquements humides d'Isae contre le corps de l'ange, sa respiration maîtrisée mais plus profonde que d'habitude, avec des hoquets et des irrégularités de temps en temps, les respirations derrière la porte, l'une timide mais avide, l'autre satisfaite et posée presque un ronronnement. Enfin il y avait  la respiration en sourdine(à cause du ventre d'Isae) mais joyeuse de l'ange, qui ponctuait le choc de leur coccyx.
  Après, elle se remettait dans une position médiane, plus confortable. Cette position reposait ses parois, même si elle en profitait pour donner des coups plus violents.   
   Elle fit trois ou quatre de ces variations sur la levrette, avant de se laisser prendre par le plaisir.


  Michi continuait à contourner le point le plus sensible de sa partenaire. Elle léchait la toison pubienne, embrassait les cuisses, parfois elle glissait sa langue au creux entre l'aine et la jambe, mais n'osait pas encore toucher le sexe lui-même.
  Elle pouvait entendre les cris que poussaient d'autres filles de l'autre coté du mur. Elle ne pouvait s’empêcher d'imaginer ce que Edean pouvait leur faire. Elle avait vu certaines vidéos, et si beaucoup lui avaient paru violentes, il lui arrivait de  se demander les sensations qu'elle ressentirait dans telle ou telle position. Et par conséquent elle imaginait Edean dans plusieurs postures avec deux filles, et elle sentit une chaleur au niveau des reins.  Katsue elle-même soupirait lascivement en réponse des efforts de son élève.
  Elle sentait aussi l'odeur que dégageait sa partenaire, ou plutôt les odeurs. L'odeur douce naturelle de son corps, l'odeur acre, un peu terreuse de sa sueur, l'odeur semblable mais plus soutenue de son intimité...   chacune de ces odeurs agissait sur la jeune fille comme un philtre magique.
   Le contact de la peau intime sur sa bouche et sa langue était aussi étonnement agréable. La peau était douce,  un peu collante avec la cyprine(un drôle de goût, d'ailleurs...). Elle sentait sur sa langue les bosses à la racine des poils qui la massaient.   
  Et l'ensemble de ces impressions se mélangent dans sa tête à mesure  qu'elle restait dans cette position, créant une ivresse sensuelle en elle, et c'est presque sans le décider qu'elle longea les lèvres intimes avec la pointe de sa langue.
  Elle sentit aussitôt son excitation monter d'un cran. Le contact, l’odeur, et même le goût la mettaient dans une transe, comme une hypnose sensorielle, et elle se mit à explorer avec fièvre le sexe de sa partenaire, se rapprochant du centre. Elle entendit alors la frénésie d'Asuna, les claquements s’accélérant de plus en plus.
 

  Asuna, dans sa dernière phase avant orgasme, s'était mise en position médiane et poussa le rythme de ses oscillations au maximum, ses fesses avaient à peine le temps de reprendre forme après un choc que déjà elle en imposait un autre, qui claquait bruyamment sur son derrière désensibilisé.
Multipliant les cris de plus en plus saccadés, elle se plaqua soudainement sa tête à terre pour subir son orgasme explosif. Les seins écrasés, elle poussa un dernier cri, un râle de satisfaction, avant tomber à terre. Le premier orgasme du jour la rendait toujours un peu animale. Elle devait se reposer.


Michi avait entendu la crise foudroyante d'asuna, et dans son ivresse de sensualité, se demanda vaguement si elle sentirait quelque chose d'aussi violent dans son orgasme.
Bien sûr elle avait eu des plaisirs solitaires avant, avec les vidéos. Mais elle se doutait que le sexe avait quelque force supplémentaire sur le corps, avec cette entrée plus massive dans les entrailles. En imaginant un pénis lui rentrant dedans, elle eut un frisson, et, faute de pouvoir se satisfaire, compensa en introduisant sa langue directement dans le plus sensible, à l’intérieur même de Katsue.
-Oooooooooohhh.... fit Katsue avec gourmandise. Tu prend la vitesse supérieure, hein ? Continue, c'est bien comme ça.
  Alors Michi, par un mouvement de tête d'avant en arrière, fit rentrer et ressortir sa langue de plus en plus rapidement, jusqu'à ce que finalement, elle sente un autre liquide lui asperger le visage.
-AAAAaaaaaaaaaahhh, fit Katsue de la voix de contentement de quelqu'un qui entrait dans un bain bien chaud, Merci Katsue, c’était très agréable.
Elle détendit tout ses muscles, sans pourtant lâcher complètement les mains de la petite, pour lui faire savoir qu'il n’était pas encore temps.
  De l'autre coté de la porte, Asuna venait de lancer son dernier cri, et semblait s'allonger ou s’asseoir, selon les remous.
- Je pense, ajouta Katsue  après un petit silence attentif, que ton cadeau va bientôt être prêt.
- mon cadeau ?
-et celui d'Edean répondit Katsue avec un clin d’œil.
 Comme pour répondre à cette supposition, elles entendirent frapper à la porte. La voix d'Asuna, encore un peu sous l'effet de son plaisir précédent, demanda :
- est-ce que la petite est prête ?
Pas besoin d'expliquer pourquoi. Les membres du Cercle sont souvent d'accord  sur la suite logique d'une orgie, et ici, ce n’était pas  difficile de deviner de quoi il s'agissait.
- presque, j'ouvre bientôt.
- elle est d'accord ?
- oh, elle sera ravie ! Fit Katsue en se levant.
Elle releva Michi, puis lui lâcha les mains, mais lui fit comprendre qu'elle devait écouter en lui tenant les épaules :
-maintenant, tu vas te tourner vers la porte, et tu vas l'ouvrir.
-mais...
-ne m'interrompt pas, tu veux bien ? Je veux bien que tu te touche si tu le veux (tu le voudra probablement d'ailleurs) mais n'oublie pas que si tu t'excite trop vite, par la suite ce sera moins bien.
-de quoi tu parles ?
-hé hé, tu verras bien.
  Elle lâcha les épaules de Michi, qui se tourna sans trop questionner les idées de sa maîtresse du jour. Katsue plaça ses mains sur les cotes de la demoiselle, juste en-dessous de la poitrine. Michi trouva le contact agréable et, rassurée par des mains qui lui étaient désormais familières, elle eut le courage d'ouvrir la porte.


  Elle vit d'abord Edean. Son corps, elle l'avait rêvé, mais jamais elle n'osait le déshabiller complètement. Il était nu devant elle, et son sexe était tendu, pointé vers elle.  Puis elle réalisa qu'il ne pouvait la voir, une autre fille était assise nue sur ses épaule, et elle tortillait son dos à un rythme violent.  Enfin elle vit les ailes de l'ange, et ceci, plus que quoique se soit d'autre, lui donna envie de plonger sa main en bas. Elle recommença donc à parcourir son aine, et faisait des efforts terribles pour ne pas accélérer sa cadence. Parce qu'elle faisait toujours ça quand elle était seule devant son ordinateur, son autre main vint pincer son téton, et la sensation aiguë lui fit sortir un petit cri bref.

  Isae était en train de finir. Désormais collée à la figure de l'ange, elle mettait toute son énergie à sautiller sur ses épaules de plus en plus vite, de sorte qu'à la fin, son clitoris se cognait contre le nez, ce qui lui faisait faire un sursaut à chaque fois. À chaque coup elle laissait sortir une exclamation sonore, vidant ses poumons d'un coup.  Puis vint la délivrance. Elle fit couler son jus de plaisir, en poussant une longue note aiguë avec trémolo, suivit de des trois petits cris pour les spasmes orgasmiques suivants.
 Temporairement vidée, elle menaçait de basculer en arrière, mais Asuna la tint par les hanches, et la fit descendre avec douceur, dévoilant à l'ange un nouveau spectacle.

Isae était portée par Asuna jusqu'au mur opposé, et dans sa torpeur, lui embrassait le cou.  Dans l'encadrement de la porte juste devant lui, Katsue le regardait avec un grand sourire de bienvenue. elle venait d'enclencher la douche, qui lui coulait dessus ainsi qu'à celle qu'elle tenait aux côtes. Cette dernière, en voyant qu'il allait la voir dans cet état, détourna les yeux en rougissant. Mais malgré sa gêne, elle ne parvenait pas à s’empêcher de glisser son doigt dans sa fente, et l'eau glissant sur ses lèvres intimes ne l'aidait pas à se maîtriser. Ni les deux autres demoiselles nues d'ailleurs.

Katsue, d'une voix enjouée, et après avoir acquis l’assentiment muet de ses deux copines sur ce qu'elle allait faire, le salua ainsi :
-bonjour Edean ! C'est bien ton nom ? C'est ce que dit la petite timide devant moi en tout cas
Michi rougi encore un peu, cherchant du regard un insecte invisible sur le mur.
Puis Katsue ajouta :
- elle, c'est Michi, et comme tu as été gentil avec mes deux copine, et qu'elle l'a été avec moi, on te la donne. Tu peux lui faire ce que tu veux.
En entendant ceci, Michi leva les yeux, les pointa obliquement vers Edean dans un regard plein d’espoir mêle d’appréhension.