interrogatoire au poste (pv Hayley Stevens)

lili venait de passer une partie de la journée précédente et une grande partie de la nuit à se faire violer de différente façon par ce mystérieux agresseur à la langue susmentionnée, pour lili sa avait été l'un des pire moment de sa vie, se disant avant de tomber de fatigue, que si tout les hommes était comme ce mystérieux agresseur peut être préférerait-elle la compagnie des femmes.

le lendemain matin alors qu'elle dormait toujours dans la chambre de cette hôtel, entièrement nue, elle fut réveillé avec sursaut par le fracassement de la porte de la chambre, elle eu à peine le temps de comprendre ce qui se passait que des hommes de la police pénétraient dans la chambre en combinaisons d'intervention, armée jusqu'au dents. ces hommes fouillèrent toute la chambre, lili elle n'osait pas bouger, restant immobile.

ce n'est que quand un des policier prononça " zone sécurisé" qu'elle se dit qu'elle était enfin sauver et sortie d'affaire avec ces agresseurs, mais la joie fut de courte durée, puisque mécontent de n'avoir attraper personne l'un des flics passa les menotte à lili, elle entendit d'un des policier, qu'ils pensaient qu'elle était une de leurs complices et qu'apparemment il l'emmener pour l'interroger.

l'un deux lui mit une couverture sur le dos pour cacher sa nudité et l'emmenèrent jusqu'à la voiture de police. arriver au poste une policière prit le relais et donna à lili un débardeur blanc trop large pour elle, un jogging gris et une petite culotte blanche. elle l'emmena ensuite dans une petite cellule avec pour seule décoration, un WC et un lit de fortune.

lili n'était pas tranquille, sachant qu'elle n'était pas une complice de ces agresseurs qui avait abuser d'elle la veille, mais comment le faire croire et comprendre aux policiers. il fallait peut être juste leur dire la vérité, dans tout les cas elle était encore une fois coincer quelque par de force attendant que quelqu'un vienne pour l'interroger.

Soirée ennuyeuse qui commencait pour l'inspecteur Stevens... Elle prenait la permanance du poste, avec sous ses ordres, des poivreaux et des feignants... Elle regardait le planning, tout en se maudissant d'avoir accépté de remplacer l'officier de Nuit. Mais maintenant qu'elle etait la, inutile de faire marche arriére, c'etait deja trop tard. Premiére chose, elle se dirigea vers les vestiaires pour femmes, ou elle passa une tenue plus decontracté, une jupe, un top, des rangers, et sa plaque de police autour du cou, relié par une chaine... Resortant enfin, elle croisa quelques uns de ses collégue de nuit, qui lui adressérent tous un immense sourire aux dents jaunatre... De quoi vous ecoeurer des forces de l'ordre. Sans attendre, elle entra en salle de briefing. Ils etaient tous là, les six agents de la gardes de nuit... Aprés avoir regardait cette bande d'incapable, elle mit en place les systéme de patrouilles en ville directement, de quoi ne pas les voir de la nuit, et étre peinarde au poste, ce serait au moins ce de gagné.

Ils ralérent, mais finir par se rendre a leurs vehicule de patrouille, pour entamer la tourner des quartiers les plus chauds dela ville. Toute souriante, le café chaud a la main, le Lieutenant Stevens se dirigeait vers son bureau, quant elle fut intercépté par le sous officier de l'equipe d'intervention... John... Heu.. Machintruc, un nom Grec imprononçable.

"Lieutenant Stevens? Il y a un dossier pour vous en salle d'interrogatoire."

Haussant un sourcil, la flic regarda le nom du dossier, avant de sourire au sergent.

"Il doit y avoir une erreur, c'est pas une de mes enquétes, et encore moins mon secteur ca."
"Pas d'erreur Lieutenant, le chef a été trés clair, il veut que ce soit vous pour l'interrogatoire de la suspect"
"Chier..."
"Bon courage Mon Lieutenant."
"C'est ca..."

Il regarda partir l'agent d'intervention, le maudissant en silence, avant de poser un Oeil sur le dossier... Une affaire louche de crime sexuel apparement... Des agresseurs, une complice présumé, mais aucunes preuves... Sur quoi se basé celui qui avait rédigé se rapport a la con?... Hay' regarda la porte de la salle d'interogatoire, avant de la franchir avec douceur, regardant la jeune femme assise derriére le bureau, qui semblait plus perdu qu'autre chose finalement... POsant le lourd dossier de cette affaire devant elle, la flic s'installa en face de Miss Ivanes, la regardant un long moment comme pour la detailler... Elle avait ce don rare d'étre capable de trouver ce que les autre ne parvenaient pas a déceler...

"Je m'appel Hayley Stevens... Je suis Officier de police, et je suis chargé de m'occuper de ce dossier. Il est marqué ici que tu as été retrouvé nue... Que c'est il passé cette nuit... Lili?"

attendant dans la cellule, au bout d'une bonne demi heure un policier ouvre la porte, lui menottes les poignet dans le dos et lui demande de le suivre.
obéissant au ordre du policier sans dire un mot, elle fut amené dans une salle d'interrogatoire, seule une table métallique et deux chaises était dans la pièce et sur le pan d'un des mur un grand miroir.
lili savait que ce miroir était un miroir sans teins pour que d'autre policier puisse voir les interrogatoire, elle avait vue sa dans des films déjà.
elle s'assit toujours avec les poignet menotter dans le dos et attendit quelques minutes, le policier qui l'avait accompagné dans cette pièce était repartie.
mais très vite une nouvelle personne ouvra la porte, une grande femme, avec un regard sévère, ce qui intimida lili qui baissa les yeux.
elle sursauta quand le lourd dossier heurta la table provoquant un bruit sourd dans la pièce.
entendant la policière se présenté et lui posé la question fatidique qu'elle redoutait, devoir dire ce que ces agresseurs lui avait fait subir.

je... tout à commencer hier après midi, quand je devais aller rejoindre une amie au centre commercial, je suis passer devant les quartiers de la toussain et un homme ma demander son chemin, mais très vite tout à chaviré, il ma empoigné et entrainé dans une ruelle, il me touché, puis il ma obligé à le ...

lili commença à pleuré en ce remémorant ce qu'elle avait subit.

... prendre en bouche, ensuite il à abuser de moi en m'attachant à une tuyauterie, il ma laissé anéantie. puis l'homme est partie en me laissant attaché nue dans la ruelle.
je dirais une demi heure après, deux autres hommes sont venu, je leurs est demander de m'aider, mais ce que je ne savais pas c'est que c'était des amis de mon premier agresseur...

marquant un temps d'arrêt.

... eux aussi ont abusé de moi de toute part alors que j'étais toujours attaché, j'en est presque perdu connaissance, d'ailleurs j'ai perdu connaissance après qu'il met détaché. je me souviens m'être réveillé quand j'ai atterri  sur le lit de cette chambre d'hôtel, ou mon premier agresseur était et il à encore abuser de moi un grande partie de la nuit, jusqu'à je ne sais pas quel heure c'était un vrai cauchemars...

marquant encore un temps d'arrêt.

je me souviens d'une chose très bizarre, mon premiers agresseur avait les yeux rouge et pouvais allonger sa langue, je ne sais pas si c'est possible ou si sa venait de moi, un hallucination peut être. dans tout les cas je n'en connaissais aucun avant ce jour là.

lili ce remettait de ces émotions en espérant au plus profond d'elle même que la policière la croix.
 

La flic regardait donc cette victime... Lili Ivanes devait soit : se foutre d'elle, soit, avoir croisé l'une des créatures qui avait passé le portail entre les deux monde, Terra, et la Terre. La policiére arqua un sourcil tout en regardant cette jeune femme fondre en larmes devant elle... La, elle en etait génée. Hay' n'etait pas ce qu'on pouvait appeler une gentille fille... Les Larmes cela avait tendance a l'agacer plus qu'autre chose finalement... Mais la, pour la peine, cette jeune femme lui faisait un peu de peine.. Elle avait été l'esclave d'une bande de mutants assoifés de sexe... Et une jeune humaine, etait pour eux une cible de choix. Elle avanca alors sa main, qui vient se poser doucement sur l'epaule de l'humaine.

"Allons... Ne pleure pas. On va les retrouver ces enfoirés diforme..."

Mais si la "victime" savait qu'elle avait en face d'elle une de ces disformités... Hay tentait de le cacher tant bien que mal, mais parfois, en cas d'excitation visuels qui ferait mousser le demon qui vit en elle, elle ne peut que subir la monter en pression de son membre masculin. Le contact de sa main sur l'epaule de Lili n'en etait pas a ce point la, mais le demon trouvait sans doute cette petite humaine a son gout, en voyant l'augmentation de chaleur en elle... Serrant les dents, la Flic tentait de controler ses pulsions au mieux qu'elle le pouvait. Non, lili ne serait pas une eniéme victime des desirs de l'enfoiré qui lui avait offert un membre demoniaque.

Reprenant son souffle, elle reprit le dossier, ou il y avait les photos des marques qui avaient fait suite aux sévices qu'avait subit la jeune femme... Elle avait été violé a de multiples reprise, mais inutile de chercher l'ADN des aggresseurs, ils ne seraient pas connus de leurs services...

"Bon... Essaye de te calmer Lili... Tu veux boire quelque chose? Fumer? Demande moi hein, n'hésite pas."

Hay tentait de la calmer comme elle le pouvait, méme si ce n'etait pas son genre. Habituellement, c'etait des criminels qu'elle avait en face d'elle, pas des jeune femmes victimes de sévices sexuels...

après avoir fini de tout lui raconter, je continuer de pleurer, mais je me sentait soulager que quelqu'un m'écoute et me comprenne, après la journée et la nuit passer que j'avais passé, j'en avait bien besoin.

je sent alors la main de la policière venir se poser sur mon épaule ce qui me rassure et me fait sentir en sécurité, elle me demande de ne pas pleurer mais c'est plus fort que moi, elle continue en me disant qu'elle vas retrouver ce qui m'ont fait sa.
au font de moi je l'espère grandement pour qu'ils pays pour ce qu'ils m'ont fait.
c'est alors que je la voie retourner s'asseoir sur sa chaise et reprendre le dossier en mains, j'arrête peut à peut de pleurer et sèche mes larmes du revers de la main.

l'agent Stevens me demande d'essayer de me calmer, ce que je tente de faire et me demande si je veut boire quelques choses ou fumer.
je lui répond la voie encore tremblante.

n...non je ne fume pas... je n'ai que 15 ans... je n'ai pas le droit... par contre de veux bien... de l'eau ou un... soda si il y a... madame...

L'affaire allait étre des plus compliqué pour retrouver les agresseurs. Pas d'ADN, pas de portrait robot possible, rien, ils n'avaient rien sur eux, hormis la victime, qui aurait sans doute bien du mal a les reconnaitre si elle les avait en face d'elle. Soupirant, caressant gentillement le dos de Lili, Hay finit par rejoindre la porte de la salle d'interrogation. L'ouvrant a peine, elle y trouva le visage d'un des agents.

"Un Soda."

Le Jeune homme acquiesce et fila rapidement récupérer la demande de la jeune fille. Hay, quant à elle, prit dans la poche de son chemisier, un paquet de cigarette, en sortant une, l'allumant, sans demander a Lili si cela pouvait ou non la déranger... Mais encore une fois, Habituellement, ce sont des criminels qu'elle interroge, pas des jeunes filles traumatisées. La porte s'ouvrit a nouveau, et le jeune policier vient poser la canette de Soda, ainsi qu'un verre. Le remerciant d'un signe de tête, Hay prit la canette, l'ouvrit, et versa le contenue dans le Verre, pour porter le tout à Lili, dans un sourire qui se voulait gentil.

"Alors dis moi.. Tu as de la famille, quelqu'un chez qui loger? Il vaux mieux que tu ne reste pas seule pendant quelques jours, au cas ou..."

je sent la main de l'agent stevens me caresser le dos, sans doute pour me rassurer, ce qui marche à peine, je l'entends alors ouvrir la porte et demander à un agent d'apporter un soda.
quand la porte se referme sa me donne des frissons dans le dos, je ferme les yeux et me concentre sur ma respiration, mais les yeux fermé je revois des flashback de ce viol horrible que j'ai subit la veille, cette fellation forcer dans cette ruelle à deux doigts de perdre connaissance par le manque d'air, je me revois pendu comme un cochon et prise en même temps par ce grand noir et ce mexicain, hurlant à la fois de douleur et de plaisir sans que personne ne viennent m'aider, puis quand il m'ont ramener à leur chef qui ma à nouveau violé jouant avec la flamme de son briquet sur mes petite fesses pour me faire bouger.
tout ces souvenir me reviennent à chaque fois que je ferme les yeux, sa me dégoute mais à la fois quelques choses au font de moi me fait revivre le plaisir que j'ai pu ressentir à me faire maltraiter ainsi, je ne sais plus quoi penser, je suis perdu, dérouté.

j'ouvre à nouveau les yeux quand je sent une odeur de cigarette, je tourne la tête, c'est l'agent Stevens qui recrache la fumer de sa cigarette, elle me regarde, mais mon regard se dirige vers la porte qui s'ouvre, un agent viens poser sur la table un verre et un soda avant de ressortir de la pièce.
l'agent Stevens se rapproche, ouvre la canette, la vide dans la verre avant de rapproche le tout vers moi avec un sourire.
je prend le verre des deux mains et l'amène à mes lèvres, buvant quelques gorger alors que l'agent Stevens me demande si j'ai de la famille, quelqu'un chez qui loger.
je repose le verre sur la table et lui répond.

je... j'ai... de la famille, mon père et ma mère, j'habite avec eux... mais ils ne sont pas souvent là... la plupart du temps je suis toute seule...

elle me dit qu'il vaut mieux que je ne reste pas seule pendant quelques jours, au cas ou.
ces paroles me donne froid dans le dos, d'un air inquiète je lui demande.

au cas ou quoi? vous pensez qu'ils pourraient venir chez moi pour recommencer? OH non... ils ont gardé toute mes affaires, ma carte d'identité, mon portable,... ils peuvent savoir ou j'habite... ils faut que vous me protégiez... je ne veut pas qu'il recommence... s'il vous plais...

mes larmes remonte à mes yeux rien qu'en pensant à ce qu'il pourrais me faire à nouveau.

Ce qu'elle redoutait le plus, venait de tomber. En effet, Lili avait bien de la famille, mais ils n'étaient que peu présent, et sans une présence, la jeune fille allait paniquer, ne pas dormir, ni même étre tranquille, sans compter que les violeurs avaient en leurs possessions, les papiers de Lili... Apprenant cela, le lieutenant Stevens secoua doucement la tête. En effet les individus n'avaient lésinais sur les moyens de pouvoir la retrouver, pour de nouveau abuser d'elle... Typique, ils devaient imaginer que par peur, elle n'irait pas porter plainte. Mais heureusement, la jeune fille avait trouvé le courage de faire cette démarche qui n'était pas de plus simple a la suite d'un traumatisme.

Elle la regarda boire son verre de soda, tout en réfléchissant au solutions qui s'offraient désormais a elle. La garder ici, au poste? Non, trop de bruits, de passages, de gens. Un foyer d'accueil? Trop surchargé de jeune femme dans le cas de Lili, et aucunes véritable surveillance. Elle prit une longue bouffée de sa cigarette, tout en regardant la jeune fille... Recrachant, elle finit par se décider sur la seule solution qui lui semblait la meilleure, méme si elle n'etait pas inscrite dans le manuel de police.

"Bien. Ce soir, tu passera la nuit chez moi, je te protégerais, d'accord?..."

Elle lui adressa aun petit sourire, tandis qu'elle lui faisait signe de la main.

"Prend tes Affaires, inutiles de rester plus longtemps ici."

Elle prit l'avance, et sortie de la salle d'interrogatoire, son supérieur venant alors l'intercepter. Elle leva une main, avant même qu'il ne puisse parler.

"Je sais! Mais je sais ce que fais! Cette gamine est traumatisée chef. Elle ne peux pas rester seule, et a part moi, personne ne peux rester avec elle toute la nuit."

Soupirant, le chef finit par accepter, et tandis qu'Hay prenait la main de sa protégée, elles partirent en direction du parking, ou elles trouvèrent vite la Cadillac noire de la Lieutenant. Elle ouvrit la porte a Lili, la laissant s'installer, avant de monter elle même à l'avant, démarrant, pour rejoindre trés vite la route principale. Son appartement n'était heureusement pas trés loin du Commissariat, et en cas de problème, même si elle en doutait, elle aurait de quoi appeler du renfort trés rapidement. Arrivé au bout d'à peine dix minutes de route, Hay' ouvrit la portière a Lili a nouveau, lui prenant la main, tout en regardant les alentours. Elle n'était jamais trop prudente. Et quelle ne fut pas son agacement, quant elle tomba sur madame Lora, la concierge. Cette femme avait la fâcheuse tendance de trop parler, et de ce mêler de trop d'histoire... A peine vit elle Hayley, qu'elle s'empressa de savoir, qui etait cette jeune fille avec elle...

"Ma petite Soeur Madame Lora! Elle viens d'arriver, nos parents me l'ont confiée."
"Hooo qu'elle est...."

Elles n'entendirent pas la suite, qu'elles etaient toutes deux deja dans l'escalier. Enfin devant la porte, elle ouvrit celle ci de sa clef, et laissa entrer Lili avant elle. Donnant sur le salon, grand et spacieux, pourtant si peu decoré, elle n'avait que deux fauteuils club en cuirs, une  télé, et quelques livres dans une bibliothéque.

"Voilà, bienvenue Chez moi Lili, soit a l'aise surtout. Tu as faim? Soif? Je peux cuisiner si tu veux."

paniqué à l'idée de retourner chez moi toute seule alors que mes agresseurs peuvent très bien m'attendre là bas me tétanise.
je vois l'agent Stevens secouer la tête avant de prendre une bouffer de sa cigarette, le regard pensif pendant plusieurs minutes avant qu'elle ne me dise que ce soir je passerais la nuit chez elle, qu'elle me protègera et me demande si je suis d'accord.

vous... vous êtes sur que je peux...

l'agent Stevens me sourie avant de me fait un signe de la main, elle me dit ensuite de prendre mes affaire et qu'il est inutile de rester plus longtemps ici.
je fini en trois gorgées mon verre de soda et me lève de ma chaise avant de la suivre, n'aillant comme affaire que les habits que les policier mon donné, le temps que je passe la porte de la salle d'interrogatoire, je vois un homme en face de l'agent Stevens soupirer, celle ci me prend la main et m'amène jusqu'à sa voiture, elle m'ouvre la porte et me conduit jusqu'à chez elle.
pendant le court temps de trajet, je somnole un peut revoyant une fois de plus les images de mes sévices, sa me glace le sang et en même temps, mon corps réagis à ces souvenir obscènes, mon bas ventre se réchauffe comme si celui ci avait apprécié ces abus.
j’essaie comme je peut de ne pas y penser, nous arrivons enfin, l'agent Stevens sort de la voiture et m'ouvre la porte avant de m'aider à descendre.
nous marchons cote à cote alors qu'une femme demande à l'agent Stevens qui je suis, celle ci lui réponds que je suis sa petite sœur, que je viens d'arriver et que nos parents mon confier à elle.
bien sur ce n'est pas vrai, mais je n'ai pas la tête à contredire les dire de l'agent Stevens, si elle lui dit sa c'est qu'elle doit avoir une bonne raison.
nous montons les escaliers et entrons enfin dans son appartement.
elle me dit que je suis la bienvenue chez elle, que je me mette à l'aise, avant de me demander si j'ai faim ou soif et qu'elle peut cuisiner si je veut.

mais je n'ai n'y faim, n'y soif, je veut surtout prendre une bonne douche bien chaude, je me sent sale et souillé, mon antre jambe est moite, je doit absolument me laver.
d'un air triste je lui réponds.

non madame, je n'ai pas faim... je veut prendre un bain... si c'est possible... et changer de vêtement...  si vous avez des choses à ma taille...