Terre Séche, pour rencontre hasardeuse.. [Leïla]

Terra... A premiére vue, et aprés quelques jours passé a contempler cette petite planéte, la ressemblance avec l'originale etait des plus flagrante... Des humains, des terres, a la difference prés que certains étre ici etaient doué d'un pouvoir unique. Ce qui laissait perplexe le Dieu. Comment des petits humains, avaient ils reussi a s'accaparer des pouvoirs? N'etait ce pas le seul droit des dieux olympiens?
Doutant, de la nature méme de ce pouvoir étrange, il s'etait decidé a partir a la recherche d'une de ces créatures, a la seul fin de découvrir l'origine. Il avait deja croisé, depuis sa reincarnation dans le corps de son hote, des humains, mais ces derniers étaient loins de valoir le coup que le dieu perde son temps a les observer. Il lui fallait donc s'adonner a une activité qui etait sienne du temps de sa vie auprés des Dieux, la chasse...

Il avait vaguement entendut parler de cette contrée sauvage, ou il n'etait pas rare de croiser des humains etrange, qui tentaient de subvenir a leurs besoin en traquant leurs nourriture. Contré des dangers, mais lorsque l'on donne naissance a des conflits, certaines choses ne vous font plus peur. Fort de cette conviction, le Dieu de la guerre, marcha fiérement en direction de l'etendut desertique, croisant de ci de la des bestioles toutes plus étranges les unes que les autres..

Leïla voyageait, encore et toujours, de manière fort hasardeuse. Elle n'avait aucune piste pour ses parents, alors, elle voyait plus à l'instinct, plus par rapport à ses envies.

Ses pas la conduire vraiment de partout, on ne pouvait pas le nier. Tout semblait tellement  vaste. Sur les landes sauvages où elles venaient d'arriver, il y avait beaucoup moins de monde que la normale. on aurait presque pu dire qu'elle se trouvait près des dieux.

"Je me demande à quoi ça ressemble, un dieu..."

Elle murmura cette pensée, puis, s'ennuyant quelque peu en marchant. Il n'y avait rien à des kilomètres. Alors, la jeune femme se mit tout simplement à chanter, sa voix de cristal s'envolant dans les airs telle un papillon éphémère. Elle chantait une jeune fille qui rêvait si fort que ses rêves étaient exaucés. La jeune femme, dans sa robe de flanelle, semblait irréelle. Comme si le rêve, c'était elle.

Le Dieu etait déçu... Il n'avait rien trouvé d'autres que quelques misérable traces de vies, méme pas humaines, dans son longue marche sur cette terre pourtant reputée fertile en ame vivante... Pas un cobaye, ni méme la moindre créature digne d'interet.. Il repartait comme il etait venue, avec le mystére de ce pouvoir dans la téte. Meprisant les informateurs humains, le Dieu de la guerre se jura pour lui méme de rencontrer a nouveau ces mecrants, et leurs faire manger tout le sable de ce desert en signe de represaille.
Tandis que ses pas le ramenaient vers la ville la plus proche, a quelques kilométre de la tout de méme, un leger son arriva bien vite a ses oreilles.. Un son etrange, mais a la fois melodieux.. Une douce caresse sur son typan, mais qui peu a peu avait tendance a devenir plus sensuel...

S'approchant de la source de ce son, il distingua une silouhette, qui grandissait a mesure qu'il approchait d'elle. Un Mirage? Ici? Arquant un sourcils, le Divin personnage finit par distinguer celle qui etait en train de rendre ce lieux bien plus acceptable. Cela lui rappelait les chansons des douces muse sur Le Mont Olympe, le laissant reveur, parfois méme jusqu'a oublier le reste, méme les guerres en cours. Il resta a petite distance, il avait enfin trouvé une humaine ici bas.. Peu étre les infos etaient bonne, peut étre que les humains qui lui avaient indiqué l'endroit n'auraient pas a manger tout le sable... Finissant par s'approcher, lentement, a pas de loup, il resta contemplatif... Belle, chantant a merveille... Les humaines n'avaient vraiment plus rien a envier au Déesses de nos jours.
Finalement, il decida de rompre cette melodie qui avait la facheuse tendance a le rendre attendrit, pour s'exclamer d'une voix forte, a fin qu'elle puisse l'entendre...

"Quelle belle organne Humaine... Je dois avouer que ta voix est un delice pour les oreilles d'un Di... Homme tel que moi!"

Leïla sursauta, cessant son chant. Elle n'avait rien vu, rien entendu, et soudain, il y avait un homme derrière elle!

Se retournant lentement, elle vit que c'était un très bel homme qui l'avait arrêté, et elle comtemplait de ses beaux yeux couleur de rubis.

"Je vous remercie..."

Elle s'approcha gentiment de lui, lui souriant poliment. Plus elle se rapprochait, plus elle lui trouvait un certain petit quelque chose que d'autres hommes n'avaient pas. Cela le rendait mystérieux. Donc, cela le rendait charmant.

"Je m'appelle Leïla, dit-elle de sa belle voix, et vous? Que venez-vous faire dans ces contrées lointaines?"

Elle sourit, riant presque, amusée.

"Les Dieux ne sont pas si loin, on les entendrait presque!"

Il sourit quant elle sursauta... Avant qu'elle ne se tourne complétement, il put admirer sa croupe superbe, un dos volptueux, qui se terminé par une chute de reins epoustouflante. Il n'y avait pas a dire, les humaines possédaiend des atouts incroyables, elles rivalisaient  méme de beauté avec certaines des Déeses d'Olympie.. Enfin il la vue de face... Jolie visage, doux et sincére, ou deux magnifiques yeux couleur rouge, transpercés, celui du Dieu. Il resta un long moment a la contempler, ses forme aguicheuses, ses seins bien present, et ses jambes interminables.. Il y avait de quoi imaginer tant de choses... Aprés avoir eu milles pensées, toutes plus folles les unes que les autres, il finit par approcher plus encore d'elle, s'arretant a quelques pas seulement... Il sourit, predateur, pour lentement la contourner, et venir se positionner derriére elle, son torse frolant le dos de la Muse.. Il se pencha, ses lévres venant aux contact de l'oreille droite de la chanteuse..

"Leïla...? Je suis a la recherche de... spectacles et de moyens de me divertir un peu... Je m'appel Ares, et vous semblez toute disposé a étre un excellent moyens de chasser mon ennuis"

Il sourit, restant la ou il était, tandis qu'il rit a l'entente du mot "dieux"... Si elle savait... Et pourquoi ne saurait elle pas finalement? Ses mains se posérent sur les epaules de la jeune humaine, sentant cette peau chaude sous ce fin tissus, il resta un instant silencieux, avant de s'approcher de nouveau, son corps touchant totalement celui de Leïla, le fessier de la superbe humaine venant titillier l'épée de chair au travers le tissus.

"Les dieux, ne sont jamais trés lloin vous savez Leïla..."

Leïla trouvait ce nouveau personnage particulièrement curieux. Il était vraiment intriguant, mais cela ne rebutait pas le moins du monde la jeune fille. Car dans son flou de mystère, il restait attrayant, même s'il était même un peu angoissant.

Le voyant la contourner, puis le sentant être aussi près de son corps, dans son dos la frôlant presque, la jeune fille frissonnait d'un étrange sentiment qu'elle n'aurait su correctement décrire, car son coeur s'emballait soudainement malgré elle.

"Ma chanson était-elle si agréable?"

Il parlait si près de son oreille, elle sentait l'air chaud tout près de son visage, ses joues s'empourprant d'un beau rose. L'entendant reparler des Dieux, elle reprit son sourire, son visage se tournant vers lui, frôlant presque apr inadvertance les lèvres de son inconnu au nom d'Ares.

"Peut-être ne sont-ils jamais loin, mais ils ne sont jamais près de nous..."

Il etait toujours aussi prets d'elle, ne reculant pas tandis qu'il sentait ses lévres douces et au parfum sucré le froller doucement. Le dieu sourit, mi carnacier, mi amusé... Cette humaine avait elle une passion pour les dieux, ou avait elle compris qui il était réellement?Ne se posant méme pas la question, le maitre de guerre, soupira, comme exaspéré de sa question pourtant si evidente a ses yeux...

"Si il n'y avait que la chanson, j'aurais ecouté a distance belle Muse... Mais ton corps entier est un art magnifique, qui a sa place au panthéons des merveilles."

Les mots étaient sincéres, méme si il n'avait de cesse de penser qu'elle pouvait faire merveille dans la chanson... Son enquétes sur ces humais allait finalement devenir des plus interessante, surtout si tout les specimens femelle ressemble a Leïla... Belle, douce, artiste... Ares lui méme s'en voulait de penser a son corps nue contre lui, qu'a sa voix melodieuse en ce moment méme... Mais le Dieu de la guerre etait ce qu'il etait.. Qu'importe pour lui l'art et l'aspect magique de la musique, il voulait cette femme, qu'importe le prix pour cela...

"C'est ici que tu te trompe, humaine... Il y en a certains qui sont, trés proche de vous en ce moment méme..."

Il laissa sa phrase en suspend, tandis qu'une de ses mains venait jouer sur le bras de la jeune femme.. Simples caresses, juste de quoi decouvrir la douceur de cette peau si attirante... Un delice pour le doigt voyageur...

"Mais si tu en avais un a disposition, que souhaiterais tu lui dire?"

Leïla ne s'en rendait peut-être pas compte, mais elle était réellement face à un dieu. Et si c'était cela qui le rendait si différent des autres hommes qu'elle connaissait? Il avait cette lueur étrange dans les yeux, tels des voiles surnaturels qui faisait comprendre qu'il était très différent d'elle.

Mais...il y avait cette autre chose, cet aimant dont l'origine inconnue qui attirait la jeune femme auprès de ce dieu qu'elle avait en face d'elle.

Car la belle petite Leïla avait compris malgré tout que c'était bel et bien un dieu qui la frôlait ainsi doucement, lui procurant des petits frissons de délice qui la faisait rougir un peu plus. Mais elle n'avait pas peur, cela était sûr. Elle soutenait son regard avec ses beaux yeux de rubis, de plus en plus fascinée par l'homme qu'elle découvrait.

"Si un dieu était à ma disposition...sans doute lui dirais-je bonjour, et je ferais en sorte qu'il reste dans notre monde pour qu'il ne rate rien de ce que peut offrir le monde humain..."

Face à lui, leurs corps se collaient presque. S'il était un dieu, peut-être qu'il apprécierait de voir le genre humain...

Elle etait en train de l'etudier. Plus profondement qu'auparvant. Oui elle avait sans doute compris desormais a qui elle avait affaire, mais n'en etait pas pour autant appeurée... Le sourire du Dieu s'aggrandit d'autant plus. Cette espéce etait deja des plus interessante, mais Leïla etait une représentante de choix. Son corps etait un appels aux caresses, imuable et insoumise, elle etait un feu enformie, qui n'attendait qu'a étre allumer... Ares sentait tout cela, sans méme chercher a plus la connaitre, il lisait en elle comme dans un vieux grimoire. Elle possedait un talent incroyable, et pourtant, n'en profitait pas pleinement... Soupirant, alors que leurs corps continué a se decouvrir timidement, il laissa en core son doigt jouer le long de son bras nue...

"Et, qu'y a t'il dans ce monde, qui soit si intéressant que cela, Belle Leïla?"

Son doigt quitta alors un instant la peau de Leïla, a la seul fin de tenter de resister a cet appel incroyable du plaisir et de la jouissance... Mais l'attraction etait bien trop forte... Il posa sa main, sous le menton de la jeune femme, le prenant entre ses doigts, avant de sourire...

"Je vois bien une chose qui semble interessante..."

Gardant son regard dans celui de la jeune humains, il laissa sa main descendre lentement vers sa poitrine, pour aggriper le col de cette derniére.. En un eclair, sa main entra dans le decolté, pour venir glisser le long de son cou, sans descendre plus bas encore...

"Mais, pour une fois, je ne veux pas forcer la main..."

Il sourit, avant d'ajouter...

"Sauf si tu m'y oblige belle humaine..."

Leila se laissait ensorceler, lentement, par ce dieu aux traits humains si attirants, si envoûtant à chacun des mots qu'il prononçait, A chaque instant ou sa peau frôlait la sienne, que ce soit tout d'abord au bras, puis son menton, son cou, puis sa poitrine...

"Si je peux attirer un dieu dans mes bras..."

Elle se rendit compte qu'Ares était vraiment plus grand qu'elle. Alors, Elle lui sourit, même si cela faisait un peu gamin, et se mis sur la pointe des pieds, arrivant alors enfin à effleurer les lèvres de ce merveilleux inconnu.

"Je ne vois pas pourquoi je ne le retiendrai pas."

Elle redescendit sur le place de ses pieds, ses mains se metant à glisser lentement sur le torse d'Ares qu'elle sentait sous ses doigts bien fait et fort musclé. Tout autour semblait s'être tu. Le monde s'était-il arrêté? En tout cas, cela y ressemblait.

tout etait... etrange. En ce moment méme, le dieu ne comprenait pas bien ce qu'il etait en train de se produire, Leïla jouant de ses mains sur son torse, ce mouvement seul suffisant a le faire frissoner, de la base du cou, jusqu'a la pointe des pieds.. Sentiment incroyable et unique en son genre, de la part du dieu de la guerre, qui n'avait pas prit violement la jeune humaine, sans lui demander son avis, mais qui prenait son temps, se laissant charmer par cette créature splendide qui lui avait été miraculeusement offert de rencontrer.
Ses gestes doux, ses lévres frollant les siennes, Ares ne comprenait plus rien... Etait ce son hote qui reprenait place? Non, impossible, ces derniers temps, ce pleutre etait en sommeil plus que profond... Alors quoi? Leïla avait elle usée de magie, ou tenait il plus simplement... A étre doux et passioné?
Ses yeux de glace se posérent sur le visage de l'humaine, avant qu'un sourire, lui aussi rare, se dessine doucement sur ses lévres..

"Alors retiens moi... Montre moi la maniére dont tu va réaliser cet exploit, Leïla, le Dieu de la Guerre t'offre son attention, ainsi que ces delices..."

Il avait parlé avec douceur, la aussi, une grande premiére, et tandis qu'il sapprochait de nouveau d'elle, il posa sa main sur la nuque de la jeune femme, crochentant cette derniére pour avoir une bonne prise, et l'attira tout contre lui, leurs visage s'approchant, pour enfin laisser leurs bouche entrer en contact... Doucement, la langue aventureuse d'Ares entra, pour venir taquiner celle de Leïla, commencant une danse abstraite, cherchant, caressant sa jumelle méme...

Son autre main, glissa derriére la jeune femme, se posant sur son dos, avant de glisser lentement le long de ce dernier, pour venir pincer delicatement les fesses, entrant méme sous la ceinture, pour entrer en contact avec la peau de son jolie derriére, sa main partant a la decouverte de cette merveille.

Leïla se sentait étrange: comment ce faisait-il qu'elle se laissait ainsi faire, encore une fois? Est-ce parce que cet homme était aussi attirant que le Dieu qu'il disait être? Etait-ce à cause de ce sang de succube qui lui avait causé tellement d'ennui? Peu importait maintenant que sa peau glissait contre la sienne, leurs langues échangeant d'agréables promesses d'une envoûtante idylle éphémère, tel un rêve fabuleux au milieux de ces landes désertes des hommes et des dieux.

"Je vous retiendrez, Ares, Dieu de la Guerre, dit-elle, en vous entraînant dans la plus longue et fougueuse des guerres du monde..."

Ses bras caressèrent ses bras qui l'entouraient et la caressaient, remontant lentement jusqu'à ses épaules, frémissant de plaisir au simple contact de leur chair. Puis, elle frôla ses hanches, passant ses mains sur dos, commençant à caresser les muscles puissants qu'elle sentait sous ses doigts agiles.

Ses lèvres embrassaient encore et encore son amant, savourant ses  baisers épicés, sa peau au gout de miel, et lui mordilla même tendrement l'oreille, afin d'exciter un peu plus la convoitise de son partenaire.

Son regard se fixa alors un instant sur celui d'Ares, ses yeux rouges flamboyant d'un désir profond pour l'homme qu'elle retenait entre ses bras, l'air sensuel.

"La guerre des corps"