La jeune femme en avait une envie folle, et ce que fit l’avocat l’excita d’autant plus. Elle se laissa porter, brûlante de désir, et quand elle le sentit entrer en elle, elle ne pu retenir son plaisir, et laissa un doux gémissement s’échapper d’entre ses lèvres. Elle captura entre ses bras le visage de William, niché entre ses seins, pour que ses doigts viennent se perdre dans sa chevelure, tandis qu’elle sentait venir en elle, par un rythme agréable, son membre. Ah, elle ne pouvait retenir ses soupirs et gémissements, et ne cherchait pas à être discrète.
Ce qu’ils étaient en train de faire, elle le voulait depuis longtemps, et comptait bien en profiter un maximum. Ainsi, elle se laissa aller, son corps chauffant et remuant, se arquant parfois, sous les coups de l’homme, tandis qu’elle sentait le plaisir à l’état pur monter en elle. C’était un délice, vraiment, aucun autre mot ne pouvait définir cela.
En entendant son nom, elle n’eut pas de réponse immédiate, se contentant d’agripper le dos de l’avocat au point de le griffer légèrement. Oh, cela montait en elle, un plaisir troublant qui jouait aux montagnes russes ! Elle eut un autre soupir, et continuait de remuer au rythme des va-et-vient, forts et excitants au possible.