La jeune femme se laissait faire, se laissait porter. Sa longue chevelure blonde encadrant ses épaules, certaines mèches venant cacher sporadiquement sa poitrine. Elle était belle, c’était normal. Et donc, la vouloir sous sa coupe était quelque chose d’une « atroce » banalité. Je n’étais pas une exception dans mes volontés. Mais à la différence d’avant, elle le faisait volontairement, et, j’en étais sûr, pousserait plus loin d’elle-même. Encouragée par mes soins, bien sûr… je lui fis un sourire avant de finalement la regarder dans le bleu des yeux, attendant de voir une réaction de sa part à mes mots, critiquant ses anciennes habitudes. Je lui souris, et je lui caressais la joue, doucement, comme pour lui montrer que je ne pensais pas de mal d’elle.
Non, en effet, je ne pensais que du bien d’elle. Seulement, la jolie blondinette avait besoin, peut-être, de se voir « poussée » un peu pour aller sur la bonne direction.
Et voilà. Mon sourire triomphal n’eut sans doute qu’un instant pour se montrer sur mon visage avant de disparaitre sous un air un plus doux, plus tendre…
« C’est une belle démonstration de détermination, une première étape très forte, Priscilla. Un très bel effort de détermination. Mais ça ne se fait pas comme ça, si tu parles bien de ça… »
Mes mains sur sa culotte appuyèrent doucement une caresse sur la raie de ses fesses, pour bien lui faire comprendre la situation et mon avis sur le sujet. Je lui fis un sourire avant de finalement répondre à son baiser tendrement, alors qu’elle venait sorti mon sexe de son écrin de tissu, appréciant l’épaisseur et la lourdeur de l’appendice sexuel. Elle n’avait plus d’innocence depuis longtemps.
« Préparons cela sur plusieurs jours, jusqu’à ce que tu sois prête, d’accord ? »
Mon sexe, sous ses doigts fins, frais, presque froids, se raidissait doucement sous ses attentions.
« Voilà ce que je te propose : pendant les trois prochains s=jours tu habitueras ton anus avec tes doigts, avec des objets., et au soir du troisième jour, je prendrai cette virginité. Qu’est-ce que tu en penses ? »
J’avais porté ma main à son menton et je caressais ses douces lèvres du pouce. J’avais aussi une idée en tête.
« Et je vais faire plus que ça, si tu me fais confiance. Quand j’aurai fait cela, je te ferai vivre mille et une chose, j’écraserai chaque mauvais souvenir de Manchester par un bon souvenir similaire. Je vais m’occuper de toi, Prisci. Je vais te guider et te réparer. »
Cette fois, je fus à l’initiative du baiser. Pas loin, mais tout de même, avant de descendre et de baiser ses petites pointes de chair dressées.
« Si, bien sûr, tu te sens assez forte pour ça. Et si tu le souhaites. Je vais t’offrir la vie que tu mérites… »