Je continue d’y aller aussi fort que je le peux. Je contracte mes muscles tout en la tenant très fermement, portant à bout de bras cette jeune femelle. Je la secoue et tous les mâles peuvent admirer ces merveilleux nibards qui gigotent dans tous les sens. La demoiselle couine à n’en plus finir, totalement soumise et sous notre emprise à tous. Le chien qui léchait la fente activement défoncée par ma bite était aux anges. Il se mit à poil lui-même, se dessapant totalement pour dévoiler un corps musculeux. C’était un mâle d’âge mur, habitué à engrosser sans doute toutes les chiennes en chaleur des environs. Il remonte sa tête au niveau des nibards de Zola et commence à lécher les tétons.
D’un autre côté c’est un lapin, tout athlétique et complètement à poil, qui commence à s’approcher. Son pelage est complètement noir, athlétique, il doit être du même âge que Zola. Il vient s’approcher des pieds de la lapine et commence à lécher.
- Haaa ! Putain quel chatte … Je continue sur ce rythme pendant un bon moment. La petite lapine se faisant ramoner la chatte, titiller les tétons et les pieds par trois mâles en rut. Le chien, de sa voix rauque, fini par relever la tête et roule une pelle bien baveuse à la lapine, engouffrant sa grosse langue canine dans sa bouche.
- Blacky, viens lui lécher les nibards, ça te rappellera ta mère, héhéhé ! Sous les ricanements de l’assistance, le lapin noir qui léchait les pieds de Zola se relève pour s’approcher, le chien lui laissant la place tout en lui claquant sévèrement le cul au passage. Le petit lapin s'était fait ramoné le fion tous du long de la soirée et boitait un peu. Mais il ne semblait pas fatigué le moins du monde. Il jette un regard considérablement pervers à la lapine, comme la promesse d'un long moment.
- Avec plaisir …Puis le lapinou en rut commence lui aussi à têter et lécher les seins, pendant que le chien branle Blacky et lui lèche l’anus. Moi, grognant de plaisir contenu, je grogne à l’oreille de Zola :
- Mhmm tu est tellement appétissante …
Tout en la besognant, je lui glisse des bisous dans la nuque et je viens lui mordre, doucement les oreilles. Mes mains sont fermes sur ses cuisses, je m'y agrippe aussi fort que je le peux pour pouvoir la tenir sur ma bite, qui supporte la majeure partie du poids. Mes couilles pendent bien et je sent par moment que Blacky s'amuse à me les lécher. Sale petit pervers ! J'adore ça !
Ma sève grimpe vite mais je tiens le coup. Je continue de défoncer le cul de la lapin, concentré et grimaçant quelque peu. Je ne ralentit pas le moins du monde et j'essaye même d'accélérer. Je veux qu'elle jouisse encore et encore !
- Ces mâles attendent que je finisse en toi. Tu veux que j… haaa … que je crache mon foutre ? Tu veux goûter leurs bites ?