Le regard brillant et pétillant de désir me changeait pas mal des lourenas beaucoup plus... Prédateur ou soumise. Plus tourner vers le sexe et le besoin de calmer une pulsion puissante, que d'autre émotion. Elle, j'y voyait autant de désir, que de joie dans ce moment-là. Toute les humaines regardait pareil leur amant, mari ?
Tilla était des plus heureuse de pouvoir s'unir avec moi et j'appréciais beaucoup, nous prenions notre temps malgré le désir, je me trouvais plus calme et moins abrupte, capable d'apprécier autrement ce moment intime entre nous deux.
Pratiquement nue, Tilla ne gardais plus que le soutien-gorge, mais pour le moment j'étais plus intéresser par sa féminité, imberbe ou alors de tout petit poil blond comme sa chevelure, qu'on ne voyait pas tant ne sentait qu'au moment ou mon visage s'y frottait.
L'humaine ne me repoussa pas, intimidé, elle ouvrit toutefois les cuisses pour me permettre de lui donner à mon tour un coup de langue sur sa fleur. Ses soupirs suaves et plus délicat était raffraichissant, comparé aux grognements d'une lourenase. C'était un peu perturbant aussi, moins sauvage et plus délicat, cela faisait appel à des émotions moins présent. Je n'irais pas dire si c'est mieux ou non, c'est différent.
Embrassant sa féminité, je jouais ensuite du bout de ma langue sur son bourgeon, plus sensible en général que ses lèvres intimes à une langue. Toutefois, cela ne me fit pas les délaisser pour autant, ma main qui ne me retenait pas de tomber sur elle, vint caresser ses jolies lèvres , faire leur contour. J'aimais la stimuler, la sentir tremblé, soupirer, et soudainement se trémousser lorsque mon doigt entrait dans ses chairs intimes.
... Je m'en mordis la lèvre, j'avais hâte de venir m'installer entre ses cuisses. Sa peau délicate prenait quelques rougeurs et la chaleur qu'elle dégageait s'élevait, moins que la mienne, mais tout de même. Alors je changeais entre son bourgeon et des baisers sur son ventre, redescendant ensuite.
Mon doigt se pliait et dépliait pour frotter ses parois intimes et la stimuler toujours plus, cherchant les partis sensibles de son anatomie. Elle remuait sur le lit, tentant malgré tout de se freiner, c'était mignon... Mais je ne comptais pas relâcher la pression, rajoutant un second doigt pour écarter encore plus sa féminité... Et la préparer à ma futur entrée.
Après un temps, elle n'en peut plus, son corps se cambra et les muscles de son vagin comprimèrent mes doigts, jouissant sur ma main. Tout son corps se relâcha, tandis que je retirais mes doigts et les léchais sensuellement sous son regard.
Voir son ventre trembler, s'essoufler, reprendre une respiration plus "normal" était satisfaisant et séduisant. Alors je pris position contre elle, mon membre dresser par la stimulation de la voir prendre du plaisir.
- Tu es vraiment mignonne Tilla. Lui souriais-je malicieux en lui volant de léger baiser alors qu'elle reprenait son souffle. J'espère que tu es prête à la suite, car cela sera encore plus intense. Lui soufflais-je venant lécher son cou et effleurer sa poitrine, glissant ma main plus bas pour diriger mon gland sur sa fente.
J'attendis toutefois, un geste, un regard de sa part pour commencer à la découvrir plus intimement.
Cela ne tarda pas trop, enfonçant alors mon membre, ouvrant ses lèvres intimes et la pénétrant en douceur, sans m'arrêter. Mon glaive brûlant s'enfourna en elle jusqu'à la garde, j'ondulais alors généreusement les hanches pour me sentir frotter ses parois intimes. Grognant de plaisir à ses oreilles, bougeant peu et lentement, le temps que nos corps s'adaptent l'un à l'autre pour commencer vraiment à nous unirs.