Li est contente de son coup, il n’y avait pas que Souta qui pouvait profiter en venant caresser sa petite fente humide, elle aussi pouvait s’amuser en venant le faire bander sous son boxer. Fin sourire narquois, la mafieuse enleva ses mains baladeuses pour reprendre le chemin de la planque qui commençait à se faire attendre… Li avait mal aux pieds à force de marcher sans chaussures, même si intérieurement elle bouillonnait la pluie venait glacer son corps au point de lui donner la chair de poule, ses vêtements horribles lui collaient à la peau dessinant chaque pixel de son corps. Par chance, son garde du corps lui propose de s’arrêter à la supérette de quartier pour faire quelques achats.
À l'intérieur, LI pouvait se chauffer un peu et faire son choix dans un éventail de vêtements par très étoffé, ça sera toujours mieux que ce qu’elle portait présentement. Ce maillot, avec cette phrase l’écoeurait plus que tout, elle se demandait encore comme une femme pouvait acheter ce genre de vêtement si graveleux.
- Bien, je vais chercher des vêtements.
Souta avançait l’argent pour les frais, Li lui rembourserait l’intégralité quand elle sera rentrée bien entendue pour les vêtements et même les fournitures prisent à côté pour temporiser dans la planque. La mafieuse regardait la sélection de tissu, ce n’était pas de la grande qualité, mais toujours mieux que ce qu’elle portait à l'heure actuelle. Li se saisit d’une jupe qu’elle posa par-dessus ce qu’elle avait déjà pour s’imaginer comment elle serait dedans, la patronne ne portait jamais de pantalon préférant mettre ses interminables jambes en valeur. Cette jupe ne lui plaisait pas, peut-être que la robe au fond allait être mieux… Dans la continuité de la journée, elle n’arriva pas à atteindre la robe, deux employés du magasin venaient de l'intercepter.
- Ce n’est pas croyable.
Li n’en revenait pas, ces hommes ne savaient pas se contenir en voyant une fille dans la rue, c’était parce qu’ils étaient dans les bas quartiers qu’ils pensaient qu’ils pouvaient tout se permettre. La patronne était fatiguée de ces agissements et surtout de toute cette aventure, elle essaya de contester, mais les deux hommes avaient très vite la dominance pour la tirer dans un coin d’un rayon.
- Je vous ordonne de reculer, sinon je vais devoir appeler mon…
Même pas besoin pour Li d’appeler son garde du corps à la rescousse il était déjà là, attrapant la main de l’employé pour le faire abandonner et aussitôt… En profiter ! À son habitude, il ne manquait pas une opportunité, pour tripoter sa patronne, lui claquant ses fesses pour les saisir et pétrir, sa grosse main serrait fermement son postérieur dodu.
- Chaton soit gentil, il ne savait pas que tu étais monté comme un étalon.
La patronne, vient installer sa main sur le pantalon de Souta au niveau de son vif pour le cajoler devant les employés, coulissant de haut en bas sur son membre.
- Il aime bien se la raconter sur sa troisième jambe.
Li vient presser plus fortement sur sa troisième jambe justement, serrant sa main autour pour en divulguer l’épaisseur aux employés tout en se léchant les lèvres.
- Ehnnnn… Et c’est bien vrai, j’adore les hommes avec une énorme queue et des bonnes couilles. Ehnnnn… Chaton ! Tu sais bien comment t’occuper de moi, j’ai hâte de rentrer à la maison.
La conversation se clôt, les employés retournant à leur occupation, Li lâchant son garde du corps avec un sourire en coin après ce qu’elle venait de lui dire allant finir de choisir une nouvelle garde de robe. Elle opta pour une robe longue, un gilet fin, qu’elle allait porter quand ils pourront quitter la planque, elle prit des bricoles pour s’occuper de ses cheveux, un rouge à lèvres pour être convenable après, une serviette pour se sécher et pour finir une paire de basket qu’elle mit sans attendre et laissa Souta s’occuper du reste.
Il paya le tout, Li prit quelques sacs avant de sortir du magasin escorté de Souta pour se remettre en route, qu’il était bon pour la mafieuse de marcher avec des chaussures même si c’était des simples baskets.
- Allons… Cha-Ton ! J’aimerais bien retirer ses vêtements, me sécher comme il faut pour me réchauffer. Dites-moi que nous allons bientôt arriver.
En partant, Li se tourna pour attraper les employés regardant par les vitres de la porte, elle se colla contre Souta pour enfiler sa main libre autour de sa taille et contourner encore des problèmes. S’ils venaient encore à croiser des fous dans la rue, au moins ils n’allaient rien tenter normalement.