Identité : Hiroko
Âge : 18 ans
Sexe : Femelle
Race : ESPer
Sexualité : Je prends tout !
Physique : CLAC ! Une bretelle de soutien-gorge claqua sur la peau pâle de la jeune femme, sans doute un jeune homme qui venait la taquiner. Ses yeux verts se plissèrent sous l’effet de la douleur, mais elle se laissa faire sans protester. Elle tourna légèrement la tête, ses longs cheveux roses venant masquer une partie de son faciès. On devinait cependant un nez fin et aquilin, et une bouche suffisamment pulpeuse pour en faire baver tous les mecs de son lycée. La demoiselle était penchée en avant, son décolleté laissant apercevoir une poitrine généreuse, et sa position donnait une splendide vue sur sa petite culotte blanche. Elle remonta alors son serre-tête cornu, ressemblant à une succube, avant de se redresser doucement. Sa main, fine et féminine, tenait entre ses doigts - bien manucurés - son stylo, qu’elle venait de ramasser. Elle lança une œillade autour d’elle, vérifiant que personne ne l’avait remarquée.
Caractère : Elle réprima un léger frisson de plaisir. La si bonne odeur des cookies qui cuisaient dans le four lui donnait faim, elle qui était si gourmande. Elle adorait les pâtisseries, et elle aimait tout autant les faire. Mettre du temps à les préparer pour qu’elles deviennent, au final, de belles créations qui finissait par se faire croquer, c’était une grande fierté pour elle. Car oui, mademoiselle était fière de ce qu’elle faisait, et elle n’avait aucun honte à assumer toutes les parties de son être. Après tout, elle avait tout pour séduire : intelligente, belle et bonne cuisinière. Mais elle était aussi une sacré perverse, sous ses airs de sainte-nitouche. Elle avait toujours eu cette attirance, que ce soit envers les filles ou les mecs, pour les belles personnes. Elle les attirait dans son lit, leur volait quelques heures de plaisir ultime et ensuite s’en débarrassait. Enfin, pas toujours, puisqu’elle partageait souvent ses ébats solitaires sur le net… En même temps, fallait dire qu’elle était assez bonne, donc autant en faire profiter les autres. La sonnerie du four réveilla notre éternelle rêveuse, qui retira alors ses doigts de son antre humide, allant laver ses mains avant de sortir les cookies du four.
Histoire : Tout commence dans un lieu où la débauche et la luxure sont les maîtres mots. On entend, de partout, des grossièretés et des gémissements, et une sale odeur de sexe empeste les tissus. Certains ont tellement reçu de saloperies qu’ils en sont tachés, mais cela n’empêche pas cette
blonde à forte poitrine de se laisser tomber sur le lit, surplombée par un grand brun bien monté. Elle a l’habitude de se faire déchirer par des hommes bien membrés, et surtout de le faire devant tout le monde. Elle est une des femmes les plus actives, celle qui gagne le plus. Faut dire qu’avec un corps pareil, personne ne peut lui en vouloir.
Et à côté, il y a cette petite fille. Cette gamine, d’à peine un an, qui chiale dans son berceau improvisé. Mais il y a tellement de cris et d’orgasmes que personne ne l’entend. Personne ? Si. Il y a une femme, nouvelle dans cet endroit, qui entend ce petit cri de détresse. Qui vient la voir, la prend dans ses bras et la berce. La petite n’a pas sommeil, mais le réconfort qu’elle sent dans les bras de cette femme la font finalement se calmer. Et pendant ce temps, personne n’a remarqué l’acte de la jeune femme. Les autres sont tellement occupées à jouir que personne ne fait attention à la gamine, qui n’a pas sa place ici.
Alors c’est tout naturellement qu’elle va voir celle qui est la mère de l’enfant. Mais celle-ci la rabroue, lui disant alors que si elle aimait tant les gosses, elle n’avait qu’à la garder. Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde, vous vous en doutez, et c’est ainsi que la petite Hiroko sortit des bordels. Elle pouvait enfin avoir une vraie vie, loin de la luxure et des baises en public. La femme avait décidé d’écouter sa mère naturelle, et d’adopter officiellement la petite. Après tout, elle en avait le droit, puisque sa mère lui avait dit. Alors c’est ce qu’elle fit, et elle éleva elle-même la jeune fille.
Elle lui donna tout ce qu’elle pouvait. Amour, éducation, tout ce qu’elle-même n’avait pas pu recevoir de sa mère. Elle essaya de toujours se battre pour qu’elle ait ce qu’elle voulait, qu’elle fasse ce qui lui plaisait. La jeune fille savait qu’elle avait été adoptée, elle savait que sa mère se prostituait, mais jamais elle n’avait cherché à la retrouver. Pour lui dire quoi ? Que c’était une traînée, et qu’elle était heureuse avec sa mère adoptive ? Inutile, de toute façon elle ne la reconnaîtrait pas. Car la jeune femme, qui avait bien grandit, avait changé de look et de façon de se comporter.
Elle avait laissé ses cheveux pousser, et les avait teint en rose. Elle portait toujours son serre-tête orné de cornes de diablesse, et ne portait pratiquement que du rouge. Sa mère adoptive, elle, était décédée. C’était le déclencheur de tout, elle n’avait que 17 ans. Et voilà qu’elle perdait la seule personne qu’elle avait. Alors elle se débrouilla pour payer ses frais de scolarité, en partageant sur certains sites les ébats qu’elle avait seule. Et puis, elle commença à prendre goût au sexe sans lendemain, prenant toujours son pied. Hommes ou femmes, d’ailleurs, mais toujours à l’extérieur du lycée.
Ah oui, cette jeune fille… C’est moi.
Autre :Mademoiselle manipule, avec brio, la température. Cela explique beaucoup de choses, y compris le fait qu’on ait parfois subitement envie de se mettre tout nu tellement la chaleur est suffocante. Elle pratique la danse, la zumba pour être plus précise, et le sport en chambre.
Comment avez-vous connu le forum?Toujours DC d’Hisma, et je reconnais avoir pris connaissance du contenu du topic sur le traitement automatisé des données personnelles qui est fait par l’hébergeur de LGJ.