Echange de bons procédés (Grayle-Enmoïra)

Enmoïra avait donc avancé sur la potion antidésir pendant les jours précédents, pas encore grand-chose, mais quelques théories et une liste d'ingrédients connus pour calmer les envies salaces ! Voilà son prochain produit, libérer les femmes et femelles de leurs désirs et ainsi les protéger des pervers qui les abusent sexuellement en croyant qu'elles en ont envie ! Mais le jour de revoir le pervers était arrivé, elle se rend donc  nouvelle dans l'immeuble et monte sur le toit, elle l'attend donc énervée, mais pas plus excitée que cela, faut dire que la colère à couper l'envie ! La faire attendre aussi longtemps, et tenter de la convaincre qu'elle veut cela, il la prend vraiment pour une conne ! Enfin, elle a fait sa potion aussi, ça devrait le satisfaire et le convaincre qu'elle est compétente. L'entendant elle se retourne face à lui et le laisse faire, il semble plus respectueux aujourd'hui. Peut-être qu'il veut se faire pardonner de la dernière fois ! Ça serait quand même la moindre des choses. Elle le regarde donc pour le jauger, mais quand il lèche les doigts elle les reprend et les secoues vites fais, non, mais oh ! Ça ne se mange pas !

- C'est très bien ici, y'a jamais personne et ça ressemble presque à la nature.

Bha oui, elle ne va pas baiser dans la rue, ni dans les bureaux, quelle idée ! Elle le sent prendre la potion et hoche la tête, bien sûr qu'elle a fini la potion ! Elle soupire un peu et le laisse aller vers sa croupe en le regardant du coin de l'oeil :

- En effet, mais ça aurait été mieux y'a quelques jours...

Avant qu'elle ne soit fâchée et furieuse contre lui ! Avant que ces chaleurs ne se soient finies aussi. Enfin elles ne sont pas tout à fait finies, mais elle est trop énervée pour y penser. Elle soupire pour se calmer un peu et le laisse regarder son vagin sous le rideau de tissus qui le protège. Normalement les humains ne regardent pas par là, il n'y a que ce pervers qui fait ça ! Elle rougit donc un peu et s'attend à ce qu'il la prenne quand même !

- Et sinon, que ça soit clair, j'étais en chaleur l'autre jour, je ne suis pas une perverse...

- Et sinon, que ça soit clair, j'étais en chaleur l'autre jour, je ne suis pas une perverse...

- Bien sûr dit-il en flattant la croupe de la bichetauresse. Les doigts caressaient la peau, avant de s'enfoncer un peu au sein de cette dernière. Son cul était généreux et un peu mou. Il aimait ca. Une claque, vive, une délicieuse douleur éclatant sur la peau de la créature, dont il vit les petits poils s'hérisser au fur et à mesure que la douleur se répandait dans sa chair, comme l'onde dans l'eau vive. Il s'amusa de son petit cri.

- La belle Enmoïra est bien trop digne et sérieuse pour être une perverse dit-il en défaisant sa ceinture et déboutonnant son pantalon. Il n'essayait même pas de le faire discrètement, laissant bien la belle entendre le cliquètement métallique de la ceinture, et le "pouf" du pantalon tombant au sol, suivit du boxer. La verge de l'homme, qu'elle avait tant désirée il y a quelques jours, était là à l'air libre. Toute tremblante, toute dure, toute brûlante, une odeur puissante et musquée que l'odorat de la jeune femme pouvait sentir même d'ici. Grayle souleva sa robe, exposant l'intimité de son associée, qu'il pouvait voir déjà brillante tant elle était humide. Tout sourire, il enfonca deux doigts dans cette dernière, son autre main s'aggripant fermement à la croupe d'Enmoïra, griffant légèrement -sans douleur- sa belle peau.

- C'est surprenant comme quelqu'un d'aussi peu pervers peu mouiller comme ça... dit-il avec humour alors que la créature couinait sous les assauts de ses doigts, ejectant de la mouille à chaque intrusion. Si elle était plus calme que la dernière fois, il était clair qu'un bon et vrai coup de bite lui manquait...

Elle ouvrit la bouche, prête à protester, mais il ne lui en laissa pas le temps. La prenant à deux mains, il s’enfonça brutalement en elle, son bassin s'écrasant contre ses fesses, son vit épais écartant ses chairs humides.

- Ah putain !

Il se recula un peu, affermissant sa prise, avant de revenir brutalement en elle, arrachant un cri étouffée à la bichetauresse. Son intimité était chaude et dégoulinante. Il sentait qu'elle pouvait encaisser plus gros, plus long, mais ses entrailles compressait son sexe jusqu'à l'étouffement. Ses mains bien enfoncée dans sa chair, il commença à la pistonner avec ardeur, sans préliminaire. Il savait qu'elle pourrait encaisser ce qu'il lui réservait... et n'allait pas se priver de baiser une femelle aussi avide de stupre.

En effet, le moment était arrivé où Grayle allait la baiser et remplume son rôle de simple mâle en rut qui n'est là que pour satisfaire les envies de la belle dame Enmoïra ! Il avait sa potion et il devait la baiser pour payer, il a de la canche qu'elle avait été en chaleur au moment du marché ! Mais bon, trop tard pour reculé, et il ne lui fait pas peur après tout ! Elle est juste à la bonne taille en tout cas pour sa grosse bite qui rentre et la fait gémir, après l'avoir bien doigtée et rendue humide ça glisse tout seul ! Elle a bien entendu qu'il avait tenté de la faire douter sur le fait d'être une perverse, mais elle ne compte pas se faire marcher dessus, ce sexe est purement une affaire commerciale, rien de plus ! Et il semble en tout cas apprécier sa grosse chatte étroite et spacieuse ! faut dire qu'il peut s'y installer sans toucher le fond !

- Hmm, pas mal, ahhnn, pour un humain !

Bha oui, autant le provoquer un peu, ça le fera y aller plus fort et puis puissamment ! Les humains sont des animaux si simples à comprendre. Tout ce qu'ils désirent c'est un trou humide pour satisfaire leur libido explosive ! Bien tenue au sol Enmoïra n'a aucun mal à l'encaisser sans bouger, agitant un peu sa petite queue de biche quand elle prend du plaisir, mais pour le moment c'est un peu calme à son gout.

Il ricana alors qu'elle le provoquait, comme s'il n'était qu'un simplet. Il savait très bien ce qu'il faisait, contrairement à cette bichette en chaleur et en plein déni. Il lui fesse violemment les fesses tout en s’enfonçant en elle.

- T'emmerde pas à me provoquer Enmoïra dit-il en la tutoyant soudainement. Je compte bien te défoncer comme tu le mérite dès le début.

Elle se mit à couiner alors que l'humain s'extrayait d'elle avant de revenir en son con. A chaque allez-retour, son gros gland écartait les chairs intimes, frottant ces dernières, avant d'être suivi par la hampe brûlante, dont la chaleur se diffusait au sein de la croupe de la belle. Un "splotch" sonore se faisait entendre quand les bourses du mâle percutaient l'intimité de la femelle l'instant d'après, encore et encore et encore.

Elle ne le savait pas, mais Grayle n'est pas un humain normal. L'immortel ne craint ni la fatigue, ni la faim, ni la soif. D'autant qu'il le sache, il pourrait potentiellement la baiser ainsi pendant des jours et des jours sans interruption. Ses coups de reins s'accellèrent et deviennent frénétique. La respiration du mâle devient rauque, brutale.

- Ah... ah... file moi tes bras... voilà...

Il lui captura les deux bras, tenant ses deux poignets d'une main, et continua ses coups de boutoir. Pendant un bref moment, on aurait pu croire qu'il arrivait à son extrême limite, avant de se calmer et ralentir, mais il ne ralentit pas. Il continuait de la baiser, sentant avec délice les fluides de la femelle martyrisée dégouliner entre ses jambes. La pauvre bichetauresse, le haut du corps contre le sol, le cul relevé et les bras tiré vers l'arrière, ne pouvait rien faire d'autre que subir.

Il se mit à grogner, crachant entre ses lèvres.

- Ah putain Enmoïra...  ah...

Une explosion de plaisir secoua l'homme, dont la semence chaud se répandit au sein de la bichetauresse. Un jet, suivi d'un deuxième, d'un troisième, et d'autres, de plus en plus massifs, se répandant en elle, pendant une bonne minute. L'immortel le foutrait pas comme un humain. Il entendit la bichetauresse murmurer quelque chose, mais il l'interrompit d'un coup de rein. Sa verge était toujours aussi dure et chaude.

- Ah ! Tu crois qu'il me suffit d'une fois pour être satisfait ? T'inquiète Enmoïra... je vais honorer mon marché...

Sa main libre, doucement, s'approcha de la rosette de la femelle....

Elle encaissait en effet sans trop de mal les coups de sa longue lance de chaire bien dure et épaisse ! Un régal pour elle, moins peut-être pour les étroites humaines. Mais quoi qu'il en soit elle gémit bien de plaisir et le laisse faire, un petit humain la satisfait pleinement toute fois, alors lui ! Elle est plus que satisfaite et agite un peu sa toute petite queue touffue et toute douce montrant avec cela qu'elle aime  vraiment ! Et cet humain ne manque pas de la faire apprécier, il se pense peut-être brutal, mais pour elle c'est quelque chose de normal, elle a l'habitude de partenaire comme des centaures ! Alors il peut clairement se donner à fond ! Elle se laisse donc prendre et l'écoute répondre à sa provocation, oh il va la défoncer ? Rien que ça ? Elle a déjà entendu ça plus d'une fois ! Son vagin bien serré en tout cas s'ouvre tranquillement sous les énormes coups de bite qu'il y met, un grand plaisir, et sans trop d'effort pour elle en plus ! Juste prendre son pied et sentir ses grosses burnes venir frapper la vulve et son clitoris sensible ! Quel plaisir en tout cas ! Il ne reste plus qu'à espérer que l'humain tienne le coup sur la longueur, ce n'est pas une espèce connue pour durer des heures dans l'acte, mais sans doute plus longtemps que des étalons ! Elle tend les bras en arrière et sent qu'il les attrape, ainsi il peut sans doute y aller plus fort, ce qui la fait crier de plaisir tranquillement et sans la moindre gêne pour le coup.

- Haannn oui Grayle, plus fort, bien au fond ! Hmm !

Elle subit en effet les coups, mais ce n'est pas pour lui déplaire, pas le moins du monde, et elle a au contraire très envie qu'il continue longtemps pour bien la faire jouir et jouir en elle aussi ! D'ailleurs... Elle le sentait jouir pour une première fois, et largement de quoi remplir une petite humaine ou deux en une fois ! Gâter elle rougit et le regarde un peu, puis sourit à sa phrase et recule un rien pour bien plaquer son bassin messin au sien et le garder tout enfoncé.

- Hmmpff, je l'espère...

Elle le sent alors sortir et se préparer pour l'autre orifice, celui sera moins plaisant pour elles toutes fois, elle l'observe toute fois lascive et attend de la sentir rentrer, ça ne lui fait pas peur, et ça sera encore plus serré pour lui ! Il va adorer ça ! Par contre elle veut jouir ! Elle est toute trempée et pointe beaucoup, elle a besoin qu'il n'oublie pas sa pauvre vulve esseulée !

Toujours enfoncé dans la gourmande bichetauresse, Grayle ondule doucement du bassin. Il aurait mal à ce dernier s'il 'était un humain normal, après tant d'efforts, mais l'immortel avait de l'énergie à revendre. Doucement, il enleva sa chemise, se retrouvant quasiment nu, avec seulement son pantalon accroché autour de ses chevilles.

Sa main gauche continuait de caresser la douce fourrure de sa partenaire, la griffant un peu, s'amusant de voir les réflexes nerveux de son cul lorsqu'il la fessait. Un autre coup de rein, arrachant un gémissement à la femelle. Puis, une plainte, alors qu'il enfonce son pouce dans son cul, en même temps que son sexe dans sa pauvre petite vulve. Il la sent toute proche de la jouissance, la lui ayant refusée sans le vouloir. Or, il est ici pour ça... la faire jouir, encore et encore.

Rapidement, l'humain se remet à la besogne. Son sexe, toujours aussi dur, s'enfonce violemment au fond de l'intimité de la politicienne, qui peut sentir son cul animal se faire pénétrer en même temps, alors que, minute après minute, Grayle lui administre une levrette doublée d'un fisting du tonnerre. Les grognements de plaisir de Grayle, de plus en plus animaux, couvrent à peine les hurlements d'Enmoïra, qu'il ravage joyeusement, alors que du sperme et de la cyprine coulent généreusement le long des jambes de la belle, un de ses bras tirés en arrière par l'humain. Le claquement de son bassin contre le cul épais de la bichetauresse est désormais mêlé d'un bruit de percussion humide, la baisant comme le ferait un minotaure, sans répit, encore et encore, avant de détailler la suite du programme.

- Ah... ah... quand t'aura joui, tu me pompera jusqu'à l'étouffement... j'ai envie de baiser ta petite bouche, ma chère...

Plus que lui remplir les entrailles, il avait envie de souiller ce beau visage et cette poitrine. Elle était belle, et son instinct primal lui demandait de la ruiner.

En effet l'humain semblait la satisfaire pour le moment, bien sauvage, presque brutal, mais heureusement avec leurs différences de tailles et de physionomie elle prend surtout du plaisir là où une pauvre humaine le supplierait de sortir de là ! Elle gémit donc encore comme une grosse pute en étant enfoncée sur tout ça bite dure et longue, si tendue et gonflée d'envie ! les humains sont vraiment les pires des pervers quand même ! Ils baiseraient avec tout ce qui se présente à eux, vivant ou non ! Et après cela il voulait son petit cul, un autre trou bien serré et chaud, bien que moins adapté au sexe en général ! Elle rougit et attend donc tranquillement qu'il rentre là-dedans, par chance comme chez eux sont à nu est sensible c'est déjà ça ! Griffée elle agite un peu la queue et frappe le sol du sabot, faut pas abuser non plus ! S'il fait mal, elle pourrait par réflexe lui faire du mal ! Vaudrait mieux qu'il continue de pousser son gros pénis par-derrière pour la faire gémir ! D'ailleurs il commence par un simple pouce, pas de quoi la perturber de trop, elle gémit un peu et continue de se faire baiser profondément par la grosse queue bien dure ! Voilà qui est parfait, des doigts dans le cul, une bite dans la chatte, voilà ce qu'il faut pour bien la tenir au chaud et la faire mouiller tout plein ! Elle crie un peu de plaisir par moment et le laisse totalement profiter, même si elle est incertaine pour le poing entier, mais s'il y arrive hein ! Elle couine et mouille très fort le long de ces cuisses et ça coule sur le sol et ses pattes ! Et ce qu'il demande pour la suite est clairement  bien aussi, elle gémit et grimace alors fortement jouissant à l'idée qu'il continue comme cela encore et encore !

- Ahhh hmm, oui ! Je jouais !

Le mâle pousse un grognement, suivi d'un râle sonore alors que la bichetauresse se met à jouir. Son intimité puissante et musclée ressere son pénis comme un étau, semblant aspirer l'homme en elle. Elle ne tremble pas, elle vibre presque alors qu'il peut sentir, contre ses cuisses, une éruption de cyprine. Elle en fout partout, et rapidement, Grayle et Enmoïra se retrouvent souillés des fluides de cette dernière. Il continue de la pilonner pendant son orgasme, la faisant repartir une seconde fois. C'est une minute de frénésie qui se joue, alors que la créature, qui continue de gémir et de couiner, se remet à jouir, défoncée par l'homme qui parvient à la secouer dans tous les sens à grand coups de reins.

Une sensation brûlante envahit le corps du pérégrin, qui serre les dents, et se retire de la belle, laissant derrière lui une trainée odorante de fluides. Il l'entend gémir de désespoir alors qu'il se retire, laissant son intimité béante et dégoulinante. Il fit le tour avec précipitation, et se saisit des cornes d'Enmoïra, la forçant à se redresser.

- Ouvre la bouche dit-il avec une fureur à peine contenue. Elle obéit sans discuter, et, sans sommation, il enfonça sa verge épaisse entre ses deux lèvres. Pas de lente et langoureuse fellation ici. Il la baisait, purement et simplement, continuant de la tenir par les cornes, enfonçant son pénis jusqu'à la garde, déformant sa gorge, étouffant sa respiration, ses bourses épaisses et pleines de cyprine et de sperme cognant contre son menton, laissant des marques blanches contre ce dernier.

Il ne faut que peu de temps pour que ce traitement de choc face céder Grayle. L'humain s’enfonça en Enmoïra jusqu'à la garde, expulsant son foutre chaud en grandes quantités, au point que les joues de la bichetauresse ses gonflèrent et que le fluide se mit à dégouliner de ses narines, manquant de l'étouffer. Dans un râle de plaisir, il se retira d'elle, et se branla devant elle, envoyant un long jet de semence sur son visage, suivi d'un autre, avant qu'il ne se finisse sur sa poitrine. La digne diplomate et politicienne de la nature ressemblait à une catin s'étant faite passer dessus par toute une bande

- Aaaah.... dit-il en soupirant, regardant sa partenaire. Alors, satisfaite ? Il se doutait qu'elle en demanderait encore plus. Il jeta un oeil discret à la sacoche de la belle. Il avait bien envie de lui faire tester sa propre potion. Perverse comme elle l'était, elle deviendrait probablement une incroyable salope avec...

Il désigna son sexe, maculé de fluide, encore dur et brûlant.

- Car moi, j'ai encore plein de trucs à te faire...

Elle venait en effet de jouir de sa grosse bite d'humain bien pervers ! Ce n'était pas surprenant après tant de temps à aller et venir dans son énorme vagin bien chaud et humide qui dégouline de jus ! Elle le laisse donc continuer un peu après sa jouissance et puis elle le voit faire le tour et venir devant elle, intriguée elle voit cela et baisse donc le buste pour venir prendre sa grosse queue en bouche aussi ! Ce n'est pas la plus pratique des positions pour elle, mais elle survivra ! Elle aspire donc sa grosse bite et le sent aller vraiment loin pour lui remplir la gorge ! Et il jouit avec ça, envoyant tout son foutre vers le ventre de la créature toute satisfaite ! Elle le laisse faire et bien pleine elle le suce encore u peu avant qu'il ne jouisse comme un précoce sur son corps ! Rhaa, ça, ce n’est pas chouette ! Elle est toute sale maintenant ! Elle gonfle les joues et frappes du sabot arrière droites. Elle hausse les épaules rapidement et croise les bras à sa question pour bouder ! Il n'avait pas besoin de la salir autant !

-Satisfaite pour le moment, mais la suite attendra un peu je dois me laver maintenant...

Bha oui elle peut pas retourner en ville salie ainsi par ce gros pervers qui ne prend rien en considération ! C'est bien un homme ça, ça ne pense qu'à se vider ! Et bien sûr il bande encore, mais là elle est calmée pour quelques heures, et préfèrera clairement une suite dans un endroit encore plus intime et reposant !

- Et pour vos trucs ça sera après la pause, aller donc me chercher à boire et de quoi laver tout ça.

Une vrai diva ! Mais bon, elle va pas aller dans cet état vers les toilettes pour se laver, ça va clairement se voir, donc à lui de réparer sa bétise !

- Ouah, quelle froideur princesse ! dit-il en riant. Grayle était de bonne humeur, joyeux d'avoir pu se taper la bichetauresse, qui, le visage et la poitrine maculée de sperme, essayait de faire la fière, alors qu'il y a quelques secondes à peine, elle couinait comme une chienne en chaleur sous ses coups de reins. Grayle ne s'en formalisa pas. La majorité des terranides étaient ainsi, assumant mal leurs pulsions et leur perversité, essayant de se drapper d'un voile de fierté mal placée et d'arrogance distante. La bichetauresse ne faisait pas exception.

Grayle ouvrit son sac, et en sorti une bouteille en verre, dont le liquide était rosé comme s'ils s'agissait de vin. Alors que la bichetauresse s'était assise devant lui, sans sommation, il ouvrit la bouteille et en versa le contenu sur la femme, qui poussa un cri scandalisé.

- Calme toi Enmoïra dit-il avec une sorte de sévérité paternelle. Laisse moi faire.

L'eau se déversa sur les beaux cheveux et les bois de la belle, coulant sur son visage et son corps. Le sperme fut emporté par le liquide, mais ce dernier, plus "lourd" et "gras" que de l'eau, coulait relativement lentement... et surtout, ne laissait aucune humidité sur le corps d'Enmoïra. En quelques dizaines de secondes, la bichetauresse avait été nettoyée et lavée, mais était au sec. Plus de trace de semence sur son corps, excepté entre ses cuisses, coulant paresseusement sur le sol.

- Et hop ! Tu vois ? Aucun problème. Te voilà propre comme un sous neuf, dit-il avant de reboucher la bouteille, qui s'était magiquement remplie. Il tendit sa main, comme un prince, pour l'aider à se relever.

- Alors, Enmoïra, tu parlais d'une pause... le grand air ne te convient plus ? Dois-je en conclure... que tu m'invite chez toi ?

Cet humain n'était qu'une bête sauvage, non seulement il l'a fait jouir, mais en plus il a envoyé tout son foutre sur la petite gueule d'ange de la druidesse ! Ce porc en a mis partout sur sa fourrure, c'est affreux, indécent ! Il faut qu'elle trouve vite une source d'eau et aille effacer ces traces impures de son pelage ! Elle est au moins contente d'avoir joui, c'est déjà ça de fait, maintenant elle va être tranquille pour quelques heures, voire jours si tout va bien. Elle est toute fois surprise de son geste, assise pour se reposer elle le voit vider du liquide sur elle, enfin plutôt un gel mangeur de foutre et de crasser avec un effet séchant, peut-être un slime en bouteille nourrie au sperme chaud ! Elle est en effet comme il le dit, propre comme un sou neuf ! Elle soupire un peu et en sent encor en elle qui déborde, elle tend une main et ajuste son paréo pour cacher cela, cet humain jouit clairement plus que la moyenne de son espèce, elle hoche la tête, oui une pause à l'air libre ! Mais l'inviter ? Elle pèse vite le pour et le contre et répond :

- J'ai un appartement en ville non loin d'ici, avec une terrasse bien exposée, et toutes les plantes dont j'ai besoin pour les potions courantes.

Mais il est un peu tôt pour rentrer s'enfermer non ? Elle regarde autour et puis lui dit :

- Toute fois, je dois encore faire les courses, alors vous allez m'aider, puis on ira manger sur le chemin y'a un chinois en bas de ma rue qui fait des plats exquis.

Et elle ne l'attendra pas pour se rhabiller comme il se doit avant de prendre la route vers le quartier commercial.