Au moins, si elle n'était pas expérimentée ou perverse, elle avait énormément de talent et de potentiel... à moins d'être une professionnelle de la masturbation en solitaire. Peut-être une masseuse, en même temps, vue qu'elle savait exactement où poser l'oeuf vibrant sur mon corps. Bien sûr, j'avais nettoyé ces jouets, les ayant confisqué pour une année entière. Je caressai doucement sa tête qui s'occupait maintenant de mes seins, cessant d'agacer son anus. Ce qui était plaisant chez les femmes, c'était qu'elles étaient toujours propres, même aux endroits considérés comme les plus sales, tel l'anus, justement. Je m'efforçais de rester neutre à ses caresses, pour la pousser à donner le meilleur d'elle-même, mais sa langue était tellement douce sur mes seins, ses dents me faisaient frissonner et ses yeux... ils étaient magnifiques, tellement beaux que j'aimerais les avoir. Je sentais le plaisir faire monter en moi une vague de chaleur plaisante et agréable.
Pour réduire un peu le temps de contact, j'approchai mon visage du sien et je m'emparai de ses lèvres pour l'embrasser langoureusement, léchant sa langue avec avidité, voir même avec un peu de voracité digne d'une louve. Mon regard se posa sur sa mignonne poitrine, bien formée, bien que petite, mais Tsukiyo-chan n'étant pas très grande, cette taille lui était proportionnelle. Ses tétons étaient dressés et très sensibles, alors, j'allais lui montrer un peu de mon savoir-faire en terme de sado-masochisme. La petite en avait le potentiel, je le sentais en moi. Je m'approchai de ses tétons et je mordis assez fortement pour laisser une marque son auréole. Mes dents enfoncèrent la chair, se heurtant à ses nerfs pour transmette cette douleur si agréable pour moi comme pour elle. Un sourire naquit sur mes lèvres et, me mettant à téter bruyamment et douloureusement, je me mis à la fouetter de ma queue sur ses fesses rondes et douces. Mais je n'avais pas encore fini. Ma main plongea dans mon sac et j'en sortis un petit appareil à électrochocs. Je savais qu'elle allait aimer, j'ai un don pour découvrir les masochistes et elle en était très certainement une.
-On passe maintenant à une étape plus haute de notre nuit. Tu auras peut-être mal, mais je suis sûre que tu vas adorer au plus profond de toi tout ce que tu vas vivre.
Et je me remis à la mordre et à fouetter ses fesses avec ma queue, les faisant rougir de sang, ne frappant que rarement au même endroit, rendant ses fesses de plus en plus sensible, de plus en plus érogène. Chaque coup lui procurerait le plaisir plutôt particulier de la douleur, mais j'avais confiance en son endurance.