Azenda comptait faire mijoter Isriel pendant encore un moment, mais l’ange demanda à toucher directement ses seins. Loin de se démonter, la succube la prit au mot.
« Très bien Isriel. Alors… aahh… fais-le. »
Quand Azenda sentit les mains de l’ange se poser sur sa poitrine, une forme encore inconnue de plaisir lui parcourut le corps. Cette demoiselle avait une forme d’innocence et de douceur qu’il était impossible de trouver en Enfer, ce qui rendait ses caresses encore plus délicieuses. C’était un plaisir qui lui était réservée, et qu’elle comptait bien garder pour elle, le partageant uniquement avec ses frères et sœurs.
« Hhmm… oui… c’est très bien… ma puce. »
Isriel s’en sortait bien, il lui fallait juste quelques conseils.
« Aahh… appuie bien… sur mes seins. Pince… mes tétons. N’aies pas peur… haann… de forcer… un peu. »
La succube allait devoir faire l’éducation sexuelle de cette petite ange, et elle allait y prendre beaucoup de plaisir. Mais pour ne pas oublier son propre plaisir, elle posa ses mains sur le corps de son amante. Une main sur sa poitrine, l’autre sur son fessier, elle pressa et massa ces zones bien en chair, se délectant des soupirs de son amante.
« Isriel… ma chérie… tu dois… te détendre. Laisse l’aphrodisiaque… et ma magie… pénétrer ton corps. Ouvre toi… au plaisir. »
Une fois que l’excitation l’aurait complètement gagnée, la succube serait prête à faire de l’ange sa nouvelle sœur. Et puisqu’elle ne semblait pas avoir envie de se rebeller, alors les choses ne pouvaient que bien se passer.
De leur côté, le frère et la sœur d’Azenda continuaient à faire l’amour tout en gardant un œil sur la façon dont leur sœur s’occupait d’Isriel. Dès que l’ange aurait passé le point de non-retour, ils seraient prêts à aller se joindre à la fête.