Identité : Lise Peterson
Âge : 17
Sexe : Futanari
Race : Humaine
Sexualité : Malléable
Expérience : Douloureuses
Description Physique :
Lise est une jeune fille qui ne laissera personne indifférent. Malgré des conditions de vie difficile, elle arbore une chevelure d'or soignée qui souligne un visage agréable réhaussé de grands yeux bleus à faire fondre le plus rude des cœurs de pierre. Ses lèvres sont pulpeuses, son nez bien dessiné. Sa poitrine est lourde et arrogante, oscillant entre le bonnet F et G, ses courbes dessinées d'une main de maître. Elle fait partie de ces organismes agaçants qui peuvent savourer des tonnes de sucrerie sans le moindre effet néfaste. Juchée sur des jambes de sauterelle qu'elle n'hésite pas à agrémenter de talons à donner le vertige à un alpiniste, elle culmine à un mètre quatre vingt, véritable phare de beauté. Bien évidemment, en dehors de ses attributs affolants, Lise est une poids plume chez laquelle on s'évertuera à chercher le moindre gramme de graisse. Indubitablement, cette charmante demoiselle est belle avec une forte tendance au sublime. Parfaitement consciente de son charme tout sauf innocent, elle n'hésitera jamais à se mettre en valeur au mépris de la pudeur, du bon goût et de l'élégance, justifiant ses tenues par une mauvaise foi absolue et une référence larmoyante à sa vie si difficile. Elle apprécie particulièrement les bijoux, pourvu qu'ils soient aussi voyants (et chers, mais nous y reviendront) que possible.
Oh et elle est pourvue d'un organe génital de type externe, de catégorie absolument massive. Avec un braquemart à donner des complexes à un démon de la luxure lorsqu'il est en érection, Lise est devenue une experte du camouflage et une afficionados des jupes longues, à son plus grand désespoir.
Caractère :
Éduquée, voire forgée à la dure, Lise est une adolescente charmante, délicieusement gentille et agréable. Elle n'hésite pas à croquer la vie à pleines dents pour rattraper le temps perdu et s'intéressera à tout le monde, sans arrières pensées, ravie de découvrir de nouvelles personnalités, de nouvelles histoires qui la fascinent. Elle peut en devenir agaçante, assommant les gens de son exubérance. Souvent soupçonnée d'être hypocrite, elle fera taire les rumeurs en aidant son prochain avec une réelle dévotion, une abnégation à tout épreuve. On devine aisément qu'elle a peur d'être seule et les plus fins limiers sauront déceler un désir sexuel assez impressionnant, sans pour autant se douter qu'ils sont encore loin de la réalité.
Cette façade dissimule sa vraie personnalité de malheureuse paumée, désespérément à la recherche de ce dont elle a véritablement besoin, quelqu'un capable de la prendre en main. Loin d'être décérébrée, elle sait parfaitement qu'elle cherche à retrouver ses sensations d'antan, cette souffrance délicieuse qui l'amène au sommet du plaisir, cette sensation d'être un jouet pour un dominant qui la méprise et l'humilie perpétuellement. Un fin psychologue pourtant adepte des nuances a déclaré que Lise Peterson était une masochiste pathologique, sans espoir de rémission. Il n'a bien évidemment pas hésité à abuser des bonnes grâces de sa patiente après qu'elle lui ait décrit avec forces détails comment elle rendait ce genre de services aux gens du lycée, qui à son grand dépit, se contentaient bien souvent de se vider dans sa bouche, prenant leurs jambes à leurs cous quand elle les suppliait de lui faire mal. Quant à savoir s'il y a des limites à son désir de souffrance, c'est peu probable. Personne n'a jamais réussi à la satisfaire de ce côté là. Pour résumer, Lise est une nymphomane incapable de jouir sans souffrir la plupart du temps.
Histoire :
Lise Peterson, une fois qu'on décida de la nommer, était le fruit du démon. C'était la conclusion définitive d'une semaine d'examen du bambin par les très pieuses sœurs du Sanctuaire, l'énorme couvent dans lequel avait été retrouvé l'enfant. Portes closes et enceinte surveillée n'avaient pas empêché ce joli bébé d'être retrouvé au petit matin dans la Sainte Chapelle, provoquant force émois et prières avant que les très strictes sœurs s'intéressent au couffin. Bien évidemment, une gamine apparue dans la plus Sainte des enceintes n'avait guère de chance de s'en tirer. A supposer qu'elle eut été normale, elle aurait été sanctifiée, mais l'anormalité flagrante de l'enfant des cieux la condamna à une vie de souffrance.
A peine savait elle marcher et parler (et prier, tout de même!) qu'elle fut soumise aux plus savants supplices de ces demoiselles bénies des cieux, persuadées de trouver dans leurs ouvrages poussiéreux des méthodes radicales pour guérir cette envoyée des enfers, indubitablement débarquée pour répandre la mort et la luxure sur cette bonne vieille Terre. C'est qu'il fallait les voir enchainer les coups de martinets et les décoctions de racines, les nuits de prières et les psaumes douteux pour guérir l'enfant qui grandissait au sein de leur communauté coupée du monde. La belle grandissait, encaissant les privations et les supplices sans trop avoir son mot à dire. A sa puberté, bien évidemment, ce fut double ration de martinet et d'incantations, mais on la confina au cachot, au plus profond des caves, afin de limiter les dégâts.
A demie noyée dans des cuves entières d'eau bénite, son énorme chibre attaché sur une table pour s'y faire bastonner (parce que oui, au bout d'une grosse dizaine d'années, ces braves dames s'imaginaient faire reculer le démon avec un pied de chaise et une détermination sans faille), elle provoquait force hurlements lorsque ces adorables bigotes s'apercevaient du plaisir qu'elle y prenait. Soeur Marie Thérèse fut d'ailleurs aux premières loges pour recevoir en plein visage la preuve flagrante et gluante de son échec. Ses hurlements hantèrent à jamais les nuits du Sanctuaire et elle fut elle aussi internée, définitivement folle à lier, convertie par « la démone du stupre » comme elles en venaient à l'appeler. Ce fut monseigneur l'évêque qui mit fin à la mascarade et seize années de supplices. Après un long entretien seul avec Lise, dont il ressortit la soutane débraillée, la sueur au front et le rouge aux joues (preuve de son engagement spirituel, bien évidemment), ce très saint homme déclara à ces très saintes dames que le moment était venu d'oublier cette fâcheuse affaire, d'autant que la facture de triques sur les dix dernières années menaçait d'engloutir le budget annuel du Vatican. Lise Peterson fut immédiatement relâchée avec un billet d'avion et priée de foutre le camps aussi vite et aussi loin que possible, au diable si nécessaire. Elle ne se le fit pas dire deux fois et s'employa à rattraper son retard sur la vie, enchaînant orgies et partenaires des deux sexes dans une frénésie vorace. Jamais rassasiée, déçue des beaux parleurs et des jeunes coincées qui n'allaient guère plus loin qu'une timide fessée, elle poursuivit sa recherche inlassable en vivant de l'énorme indemnité offerte par l'Eglise pour son silence.