La louve se retrouva vite dans les bras d’un garde qui l’observa dans un rictus amusé et menaçant. Ce garde nous allons le nommer « Bertrand ». Vous n’aimez pas ce nom ? Pas grave, moi non plus. Bertrand sembla réfléchir avant de déclarer au vampire qu’il avait trouvé ce qu’il allait retirer. Sauf que à l’oral le « quelle partie » pouvaient également se faire comprendre par le fait qu’il pouvait retirer « plusieurs » parties. Saisissant l’Okami par les cheveux, il la traina, comme un vulgaire sac à patate vers la tente des gardes, mais se gardant de garder sa putain pour lui, du moins en priorité.
Arrivée au niveau de la tente, l’Okami fut jetée, cette dernière ne pouvant se rattraper s’égratigna sur le sol rocheux sous le rire des gardes. Bertrand parti un instant, allant demander la fameuse gaine au vampire avant de revenir, donnant un coup de pied dans le ventre de la lupine, d’où un « crack « sonore émana. Il n’était pas aller de main morte et lui avait déjà brisé une côte dont le brisement avait été illustré par le premier cri de douleur de l’Okami.
-Ce soir les mecs, on s’amuse ! Et puis ça tombe bien, elle est déjà à poil c’te salope ! »
Déglutissant, l’Okami senti qu’elle allait prendre cher…Très cher. Deux gardes la soulevèrent en l’attrapant par les aisselles puis à peine était-elle levée qu’on lui donna une gifle, puis une autre avant de finir par un coup de poing au milieu du visage, brisant ainsi son nez. Le sang goûta et créa déjà un cercle entre l’organe olfactif et la lèvre supérieure. La lupine put entendre un énième ricanement avant d’ouïr un bruit d’aspect métallique. Henry passa à son cher ami Bertrand une dague longue, effilée, qui n’avait qu’un seul but dans cette soirée, amputée Shad.
Le garde privilégié fit glisser la lame le long du corps, semblant chercher quelle première partie retirée, quel membre découpait doucement dans des cris de souffrances qui raviront de plaisir son maître vampirique. Il s’arrêta au niveau de la main droite, la prit fermement dans la sienne et plaça la lame de façon verticale, puis d’un geste rapide, il fit descendre la main de l’Okami, l’empalant la lame traversant sa paume de part en part. Puis il refit de même avec la main gauche d’où son geste fut ponctué par un « haaaa connard ! ».
Bertrand prit ensuite les mains de sa victime fermement dans les siennes, les tordant en arrière, s’exaltant de la souffrance procurée avant de se retirer un bref instant, ses affaires, se retrouvant en tenue d’adam avec en supplément la fameuse gaine ramené par Papa Liam. Pendant ce temps, les deux autres gardes présents s’étaient également dévêtus, et avaient empoignés leurs membres, se masturbant sous les yeux de la louve. Et nous allons appeler le troisième garde présent, Charles.
Empoignant rapidement la tête de l’Okami, Henry tira sur l’une des oreilles, s’exclamant :
« Tu ne l’avais pas désignée pour qu’elle soit retirée non ? Eh bien, ton souhait sera exaucé ! »
Puis, il commença à tracer un sillon à la base de son oreille mutilée, rentrant la lame dans la chair de quelques centimètres avant de découper l’oreille en suivant son contour, comme un enfant qui apprendrait le découpage. Faisant également bien exprès de triturer l’oreille dans tous les sens possible, les cris qui émanait de la bouche de l’Okami fut tût par l’intrusion du membre gainé de Bertrand, qui commença directement de brusque mouvement de va et vient. Les lames et autres ustensiles pointues et coupants étaient dirigés en contre sens, de tel sorte à créer le plus de plaie ouverte. Le palet, la langue, l’intérieur des joues s’ouvrirent en de longues plaies et le sang qui en naquit s’écoula des commissures des lèvres dans d’horribles gargouillis.
L’oreille fut retirée et la lame fut baladée à nouveau le long du corps, effleurant la gorge de la Terranide avant de faire le contour de sa poitrine, cette fois l’arme fut passé à Charles qui tout en plaçant son membre –par chance dénudé – entre les seins de l’Okami, pinça l’un de ses mamelons, le tirant, le tordant, observant avec hilarité le corps qui frémissait, se tordait de douleur, puis il entama sa découpe. L’Okami aurait bien voulu répliquer, mais avec une verge munie de lame dans sa bouche…C’est pas comme si cela aurait été simple ! Les yeux de la femelle étaient révulsés en arrière et des larmes s’en écoulait, pas des larmes de tristesses oh non, des larmes de douleurs.
Bertrand fini par sortir sa virilité de la bouche de la louve, d’où le sang qui s’était accumulé put être relâché, puis dans un nouveau mouvement brusque et soudain, après que la découpe du mamelon avait été faite et que Charles tout en faisant glisser son membre entre les seins de la lupine, traçait ici et là des sillons sanglants sur le ventre plat. Les jambes de l’Okami fut relevée, laissant libre accès à son intimité. Nouveau ricanement qui ne présageait rien de bon avant une entrée non autorisée. Le garde la déchira littéralement de l’intérieur, ses parois vaginales se faisant découper, ouvrir par la gaine.
Après quelques minutes, et trouvant qu’un trou n’avait pas encore était visité, le garde sorti et comme précédemment, rentra d’un coup de rein brusque dans le fondement de l’Okami sans aucune préparation. Evidemment, les sphincters étaient serrés et évidemment, les lames ne firent que plus de dégâts, nouveau long cri de douleur ponctués de jurons.
- Oh ça va ta gueule ! Et mais, j’ai une idée ! »
S’exclama Bertrand qui demanda le couteau à son partenaire puis serrant la mâchoire de Shad, il la forcit à la garder entre-ouverte, allant chercher sa langue qui étaient parsemée de diverses entailles. Tirant au maximum ce muscle buccal, il le découpa doucement de la droite vers la gauche, montrant par la suite son trophée à sa victime. Avant d’entendre Charles s’exclamait :
-Hey les mecs j’ai une idée pour finir la soirée attendez moi ! Mais bandez-lui les yeux ! »
Ne cherchant pas à comprendre tout en pilonnant l’arrière de la louve sans vergogne, le garde prit un morceau d’étoffe et le plaça sur les yeux de la louve afin de la plonger dans le noir complet. Le cœur de l’Okami battait à tout rompre, son corps était en sueur et parsemé de tremblement de douleurs mais la vue ne lui était pas nécessaire pour savoir ce que l’autre garde avait cherché. Une odeur forte et répugnante la prit au nez, car oui, même s’il était brisé, elle pouvait encore sentir. Nul doute que ce Charles étaient parti chercher une déjection, sans doute fait par lui-même.
- Bon, faite lui ouvrir la bouche, le dîner est servi ma salope ! »
Et sans le moindre geste de douceur, on força de nouveau la Terranide à ouvrir sa mâchoire qu’elle tentait de garder close, un coup de poing au niveau du plexus l’obligea à ouvrir cette dernière pour chercher de l’air. Mauvais réflexe car immédiatement, la déjection fut mise dans la bouche de la lupine qui immédiatement eu des haut de cœur, cherchant à recracher cette chose immonde. Mais les gardes ne l’entendirent pas de cette manière et tandis que Bertrand donner un dernier coup de rein, henry fit balancée la tête de la louve en arrière et lui imprégna des gestes de mastications, l’obligeant à avaler ce qu’elle avait en bouche.
Tous les trois se retirèrent et observèrent la scène amusée. La louve était genou à terre, ses mains contre le sol, toussant à s’en faire sortir les poumons, convulsant tandis que son estomac rejetait l’intrus. Elle senti de nouveau la merde remontait le long de son œsophage, puis dans sa bouche avant d’être rejeté avec quelques traces de gerbes ici et là. Manquant d’air, elle espérait avoir un temps de répit, se jurant que si elle aurait la possibilité, elle se vengerait sur ces trois connards avant de sentir qu’on lui enfournait de nouveau la déjection avec en prime ce qu’elle avait rejeté.
A chaque tentative, le corps de la femelle était parcouru de spasmes et quand ce fut ingéré contre son grès, l’intrus fut de nouveau éjecté. A bout de force, de la bave limite brunâtre s’écoulant en même temps que le sang, la louve était à même le sol, sans aucune force. Elle se senti cependant soulever puis jeter, non pas contre le sol mais dans le petit lac gelé. Saignant comme pas deux, l’écoulement du sang serait camouflé par l’eau. Les trois gardes se regardèrent avant de repartir, se demandant sur le chemin si elle finirait exsangue, bon d’un côté, ils en avaient rien à foutre.