Je n'avais pas pu me retenir. En fait, je n'avais pas essayé. J'avais jouis dans sa bouche, et jouis une quantité importante de semence. Iinuki était trempée. Elle avait avalé une bonne partie du liquide blanc et chaud, mais cela avait débordé, sur ses seins. Et puis, quand elle avait faillit s'étouffer avec mon sexe, lors de mon éjaculation et qu'elle avait retiré précipitamment mon phallus d'entre ses lèvres, j'avais fini de jouir sur son visage et dans ses cheveux.
En tous les cas, je pouvais faire une constatation assez simple. Elle dansait à merveille, mais elle suçait également à merveille. Cette danseuse que j'observais depuis déjà plusieurs semaines, je l'avais là, avec moi, absolument nue et mouillée. Mouillé de ma semence..mais également de la sienne. Elle avait profité de la fellation pour se faire du bien aussi, et ses cuisses luisaient et dégoulinaient d'un liquide blanchâtre.
Sa poitrine se redressait sans cesse sous le rythme de ses respirations, saccadés. C'est sans se précipiter qu'elle se posa sur le lit, mi-assise mi-allongée, son regard accrochant le mien. Il se voulait séducteur, et ne voulait dire qu'une seule chose. "Vient là".
Autant dire que je n'allais pas me faire prier. Je me remettais de mes (fortes) émotions et venait me caler sur le lit, à genoux. Elle avait ouvert totalement ses jambes, les écartant presque à l'extrême. Quand j'avais parlé de goûter ses délices, je pensais plutôt à.. un cuni. Mais tant pis, je le lui ferai après. Sa fente rose, aux lèvres toutes gonflées de cyprine, n'attendait que moi.
Mes mains glissèrent sur ses genoux et descendirent jusqu'au dessus de ses douces cuisses. Tout son corps tremblait, et nos regards ne se quittaient pas. J'avais jouis, mais mon pénis était toujours aussi gros qu'avant la première éjaculation. Nous allions pouvoir nous amuser.
Mes doigts vagabondèrent sur le haut des cuisses quelques secondes, pas plus. Je n'avais aucune envie de faire durer, et manifestement.. elle non plus. Je vins écarter encore un peu plus ses cuisses, puis attrapais ses mollets et soulevais ses jambes sans forcer. Ses pieds se posèrent sur mes épaules, mon sexe touchait désormais ses cuisses, et glissait contre cette peau inondée de semence.
Je pris appui sur ses jambes et descendais le regard sur son corps de rêve. Ce corps de 1m70 était là, dénudé et allongé devant moi dans un lit.. étais-je dans un rêve ? Non, impossible, même dans mes rêves, la fille n'était pas aussi parfaite.
Sans même que je m'en rende compte, mon corps s'était rapprochait du sien, et c'est un gémissement sorti de la bouche de ma partenaire qui me fit me rendre compte que mon gland titillait l'entrée de son vagin. Mon sexe se tendit. Je ne pouvais plus attendre. Mon gland, luisant de sperm, s'infiltra facilement entre les parois de son anatomie. Puis vint le reste de mon sexe. Je la pénétrais avec douceur, et dû insister légèrement sur la fin. Mais je rentrais en elle en entier, et mon gland vint cogner le fond de sa vulve. Mes yeux se fermèrent et je lâchais un grognement. Comme s'ils avaient été attiré, mes yeux se rouvrirent pour se poser sur les siens. Faire l'amour en regardant sa partenaire droit dans les yeux durant tout l'acte, c'était quelque chose de purement excitant..et fortement jouissif. Mes mains bien accrochés à ses jambes, je fournissais un premier mouvement de va-et-vient. J'avais l'impression de ne ressentir plus que ce que ressentais mon pénis. Je le sentais coulisser en elle sans aucune difficulté, et mes fesses se contractèrent sous le plaisir. Je la cherchais du regard, en entamant des mouvements fluides mais plutôt doux.