Après que je me sois allongé, il parcourut mon ventre de petits baisers et de caresser mon petit corps. Ses petits touches étaient agréables, mais j'étais toujours bouillante. Je caressai donc la tête du garçon, pressant sur sa tête pour l'amener à faire son devoir. Aussitôt que sa langue glissa sur mon clitoris, je frissonnai en me crispant. C'était vrai qu'il y avait là une sensation qu'aucun membre masculin aurait pus me procurer. Finalement, tout comme un pénis mou et mouvant, il pénétra entre mes petites lèvres et glissa au sein de mon corps.
Je ne l'entends plus vraiment. Je n'arrivai qu'à sentir la laisse au creux de ma main que je m'apprêtai à lâcher. Je tentai de le tenir fermement, aussi fort que possible, mais le petit chien s'appliquai avec tant de ferveur que je n'étais qu'à quelques instants de l'orgasme. Quelques minutes... non, même pas : quelques secondes après le début de ce traitement, j'atteignai une nouvelle fois l'orgasme, mon corps se parcourant à nouveau de spasme comme si j'avais reçu un coup de tonnerre. Vainement, mes mains serraient la laisse, jusqu'à ce que finalement, je relâche l'emprise pour aggripper le lit. C'était divin.
Pour autant, je me refusai de lui dire de s'arrêter : l'orgasme perdura, prenant parfois en ampleur, perdant à d'autre moment cette intensité. Mon vagin se contractait régulièrement sur la langue lorsqu'il touchait une zone sensible, et mes mains tenaient fermement le lit sans que je sois capable de relâcher cette étreinte. Après quelques minutes, il accéléra, ce qui me força à me redresser pour attraper sa tête, sans chercher à le repousser. Je tenais fortement ses cheveux, les yeux presque révulsés sous l'orgasme violent. Au bout d'un moment, durant lequel je ne captais plus ce qu'il se passait, Je gémissai dans une voix presque suppliante :
« S... stop... c'en est trop... Je... Je n'en peux plus... »
Je lui disai de cessai, mais au fond, j'aurai aimé que cela ne cesse jamais. Je n'avais vraiment jamais vécu une telle chose auparavant. Mes jambes enlaçaient le petit corps du inu, ce qui devait être gênant pour partir. Cependant, je ne contrôlai plus rien, pas même mes pensées contradictoires.