Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Violence [Hitsumi Gotô]

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La Reine Rouge

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Violence [Hitsumi Gotô]

dimanche 08 septembre 2013, 22:19:12

J'aimai frapper plus faible que moi, les combats à sens unique. Et l'endroit où il y avait le plus de créatures faibles était la Terre. Les humains sont d'une faiblesse affligeante, encore pire que ces petites putes de terranides qui se laissent mettre en esclavage presque sans résistance. Leur impuissance m'excite, je frôle l'orgasme à chaque craquement de leurs os sous mes coups. Je pleure de rire à chaque fois qu'ils se ratatinent devant moi, me suppliant pour que j'épargne leur misérable vie. Le seul défaut de ces humains, la chose qui en fait de mauvais esclaves, c'est qu'ils sont fragiles, tellement fragiles et autant physiquement que mentalement. Ce sont des esclaves jetables, tu utilise une fois et après c'est bon pour être jeté, c'est cassé, ça fonctionne plus. Mais il a un truc, une chose, un énorme détail qui me plaisait chez eux : Leur prédisposition à se chier dessus au moindre petit coup de pression. Leur lâcheté, la facilité avec laquelle on pouvait les faire pleurer me rendait folle.

Je suis rentré dans un grand bâtiment humain, une sorte de marché permanent un peu bizarre où ils venaient acheter tout et n'importe quoi. Pourquoi ce lieu ? Parce qu'il est plein à craquer. Je me suis placée à l'entrée et un homme m'a approchée en me félicitant pour mon costume, très réussi d'après lui. J'ai éclaté de rire au beau milieu de la foule, pendant dix bonnes secondes j'ai ri comme une grande malade. Les passants gênés se demandaient surement ce qu'il m'arrivait, ils se sont agglutinés autour et certains ont remarqués la bosse qui gonflait dans mon mini-short. J'ai arrêté de rire brusquement et j'ai sorti à voix haute :

"Putain que c'est bon, j'en bande déjà."

Sitôt ma phrase finie, une lame d'os a instantanément poussé au bout de ma queue et d'un geste vif j'ai balayé tout ce qui se trouvait autour de moi. Le sang s'est mis à gicler de partout, après quelques secondes de stupéfaction ils se sont mis à courir dans tout les sens, complétement paniqués. En un seul coup j'en avais tué une bonne dizaine et gravement blessé plusieurs autres. En voyant un homme agripper sa petite fille qui avait une jambe coupée pour l'éloigner de moi j'ai commencé à caresser mon sexe à travers mes vêtements. Oui c'est ça, courrez, pleurez, crevez, souffrez, c'est exactement ce que je veux, faites moi jouir avec vos cris. Émue, je me suis avancée, j'ai arraché la petite fille aux bras de son père qui me suppliait puis j'ai arraché sa tête sous ses yeux horrifiés. L'homme a éclaté en sanglots, voila c'est ça, c'est très bien, souffrez pour moi êtres inférieurs. Satisfaite je l'ai épargné, pas par pitié mais parce que je venais de détruire sa progéniture sous ses yeux, il allait devoir vivre avec ça, quel horrible destin.

Je me suis élancée vers la foule, cherchant une proie, une jolie proie, frêle, fragile, séduisante. Puis j'ai vu cette gamine blonde, je l'ai attrapée et je l'ai plaquée contre un mur, me foutant éperdument des sirènes de police qui s'approchaient. D'une main je lui serrais la gorge, de l'autre j'ai caressé sa joue, admirant ma prise. La lame au bout de ma queue est venue au niveau de son visage, puis j'ai essuyé le sang qu'il y avait dessus sur sa joue gauche avant de faire disparaitre la lame. Sans desserrer mes doigts qui écrasaient sa gorge j'ai léché sa joue, récoltant ainsi le sang de mes victimes. Ce n'était pas du sang de qualité, pour ne pas dire qu'il était dégueulasse, encore un inconvénient des humains qui étaient incapables de rivaliser avec le goût du sang d'une princesse ou d'une puissante créature. Mais bref, passons, déçue j'ai balancé la gamine plus loin, juste au milieu de la galerie commerciale à un endroit où tout le monde pouvait la voir. J'ai retiré mon mini-short que j'ai balancé par terre, laissant mon pénis à l'air libre. Et je me suis mise à califourchon sur le ventre de la petite humaine, déchirant ses habits sans ménagement. Mise à nue, au milieu des lambeaux de ses vêtements, je lui ai demandé d'une voix autoritaire :

"Astique ma bite, ta vie dépend du plaisir que tu vas me donner ! Comment tu t'appelles petite salope ?"

Je n'aimai pas qu'on me fasse attendre, si elle voulait rester entière un peu plus longtemps elle allait devoir se magner et ne pas se planter de réponse. Les policiers se massaient à l'extérieur, les hélicoptères de la télé survolaient déjà la galerie commerciale, filmant à travers le plafond en verre. Ma petite esclave nue allait se faire violer devant quelques milliers de téléspectateurs horrifiés, quelle situation délicieuse. Il y avait une boutique de télés juste à côté de nous, on pouvait voir sur tout les écrans un flash spécial. "Un massacre avec prise d'otage dans le centre commercial de Seikusu.", puis je pouvais nous voir. J'ai de nouveau éclaté de rire avant de dire à ma victime :

"En fait je m'en fous de ton nom, petite salope ça te vas très bien ! Ça te fais quoi de passer à la télé ? Tu vas te faire violer devant des milliers de tes semblables, peut être plus. Dans 30 ans il y aura encore des pervers pour se branler sur les enregistrements ! Ça te fais quoi ? Hein ? Moi j'adore ça ! Et applique toi davantage, je sens pas tes doigts sur ma bite, masse la mieux que ça. Vu ta tronche t'as déjà dû t'en prendre deux ou trois entre les cuisses tu devrais savoir comment on fait. Aller tout le monde te regarde ma jolie, fais un grand sourire et prie pour ta vie."
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Hitsumi Gotô

E.S.P.er

Re : Violence [Hitsumi Gotô]

Réponse 1 lundi 09 septembre 2013, 01:23:29

Assise seule au fond de la salle, je m'assoupissais à moité en entendant mon professeur de biologie réciter sa leçon de géologie sur un ton à la monotonie assommante. Dieu que c'était barbant. Je sursautai néanmoins tout d'un coup en sentant mon téléphone vibrer. Je n'avais nul besoin de le regarder pour savoir qui ça pouvait bien être : mon père, le seul contact de mon répertoire, et le seul à avoir mon numéro de téléphone. Je m'empressai néanmoins de le sortir, discrètement, avant de lire le sms qu'il venait de m'envoyer, une liste de course longue comme le bras, principalement de fruits et légumes, que je devrais m'empresser d'aller chercher après les cours... "Oui, papa." me contentais-je de répondre, un peu blasée mais sans aucune amertume.

La sonnerie retentissais à peine que j'étais déjà prête à partir, et filais rapidement à travers la classe, évitant soigneusement de croiser le regard de mes camarades, qui avaient le don de me mettre mal à l'aise. Ils avaient la fâcheuse tendance à me taquiner à la moindre occasion, et c'était souvent embarrassant... enfin bref, je sortis du lycée et bifurquai directement en direction du centre commercial et de son marché quotidien, mon sac à dos à l'épaule. Pendant que je selectionnais des tomates, j'entendis non loin de moi un rire étrange, étonnamment long, j'étais curieuse de savoir ce qu'il se passait mais m'abstins de me retourner malgré tout, concentrant toute mon attention sur les tomates. Si j'avais le malheur d'en apporter une mauvaise, ou qui ne lui plaisait pas, j'étais bonne pour recevoir une sacrée correction...

Mais quand le rire cessa, remplacé par des hurlements provenant d'une foule terrifiée, je fus bien contrainte de me retourner !

"Mais, bons sang, que se passe-t-il ?"

La réponse, aussi insolite soit-elle, ne tarda pas à se faire savoir. Je vis au bout du marché une femme étrangement vêtue, à la peau d'un noir loin d'être naturel, s'emparer d'une jeune fille en riant comme une échappée d'asile psychiatrique, avant de purement et simplement lui arracher la tête. Oh mon dieu... Était-ce un cauchemar ? Je n'en croyais pas mes yeux, c'était, c'était... c'était tout simplement atroce ! Je portais une main choquée à mes lèvres, tétanisée, laissant tomber à terre mon sac et les quelques légumes que je venais de choisir, et je la voyais avec horreur s'avancer dans ma direction.

"Ohmondieu ohmondieu ohmondieu ohmondieu..."

Je commençais à paniquer, incapable de bouger le petit doigt, jusqu'à ce que nos regards se croisent fatalement. M'avait-elle vue ? Punaise, elle m'avait vue ! Dans un élan desesperé, je me jetai à terre et me cachai derrière une étale, priant de toute mes forces.

"Faites qu'elle ne m'ai pas vu, faites qu'elle ne m'ai pas vu, faite qu'..AAAAAHH !!"

La terrifiante femme m'avait non seulement vue, mais m'avait en plus tirée par les cheveux, avant de me plaquer contre le mur et de serrer ma gorge, me couper la respiration. Je me débattais, en vain, sa poigne était de fer, et elle ne cillait pas. Ses yeux... mon dieu ses yeux, ils étaient rouges, terrifiants, sans aucune once d'humanité. Je voulu hurler, prier, la supplier de me laisser partir, mais aucun son ne sortait de ma bouche, seulement un vague cri étouffé et quelques suffocations. Continuant à me débattre, je tapais des pieds sur le sol, mais m'arrêta net lorsque je sentis le tranchant effilé de ce qui semblait être une lame glisser sur ma joue. Je déglutis, tremblante, terrorisée à l'idée d'être tailladée, sentant avec dégout un liquide poisseux sur ma peau, que la démone lécha avec satisfaction. Je ne me posais pas la question de savoir ce que c'était, car elle n'était clairement pas humaine, ou ce qu'elle venait faire ici... non, pour l'heure, ma seule préoccupation était de prier pour rester en vie.

"OUUUUAAAAAAHHH !"

Elle m'envoya faire un vol plané de plusieurs mètre, m'envoyant m'écraser lourdement à terre, m'arrachant un nouveau cri de douleur. Mon dieu, mais c'est quoi cette histoire ! Sans avoir le temps de me relever, encore subjuguée par la douleur de la chute, la démone me rejoint et s'installa sur moi, m'arrachant l'intégralité de mes vêtements, me présentant... un pénis ? HEIN ? De plus en plus abracadabrantesque ! Et cette "femme", si je pouvais me permettre de l'appeler ainsi, semblait particulièrement intéressée pour que j'en prenne soin... un peu comme ce que mon père m'ordonnait de faire, parfois.

"Je...je...je..."

J'étais sous le choc, et comment ne pas l'être dans une telle situation ?! Incapable de rassembler mes esprits, je bégayais, et restais immobile, regardant avec désespoir ma tortionnaire. Néanmoins cela s'améliorait peu à peu, et je pu enfin aligner deux syllabes sans broncher.

"Je m'appelle Hits..."

"En fait je m'en fous de ton nom, petite salope ça te vas très bien !"

Sursautant, interrompue, je ne cherchais pas à la contredire, et acquiesçai silencieusement. Bon dieu, elle était terrifiante ! Je ne remarquais que bien plus tard que, près de nous, de larges télévision retransmettait la scène. Je me voyais, à moitié nue, la jupe en lambeau et le chemisier grand ouvert sur une poitrine que plus rien ne dissimulait, chevauchée par une démone ravie et dont le membre massif pointait de manière très troublante vers mon visage. OH MON DIEU. Et toute la ville pouvait voir ça !? J'étais rouge comme une pivoine, morte de honte, mais la démone me rappela bien vite que ma priorité n'était pas tant ce que les gens pensait de moi... mais plutôt qu'elle ne m'arrache pas la tête comme elle l'avait fait quelques instants plus tôt ! Mon regard papillonnait en tous sens, j'haletais, j'étais tout bonnement terrorisée !

N'ayant pas le choix, j'acquiesçai à l'ordre de la démone, et pris en main le gland qui se présentait à moi, non sans avoir, en un geste plus désespérée que réellement efficace, rejeté mes cheveux sur mon visage d'un mouvement de tête, afin de le dissimuler aux caméras. J'entrepris alors de masturber sa queue, timidement, la serrant entre mes doigts fins et glissant sur sa longueur. C'était la première fois que je faisais ça avec quelqu'un d'autre que mon père... son sexe était certe bien plus gros, mais ils se ressemblaient beaucoup, aussi chaud et frétillant à chacune de mes caresses. J'espérais que cette masturbation improvisée allait satisfaire la démone ! Peut-être même aller-t-elle me laisser rentrer chez moi !? Et que dirait mon père s'il voyait que je n'avais pas ramené les courses ? Et que je revenais dans cet état ?! HAN, il me tuerait, c'est sûr ! Non, pas le temps de penser à tout ça ! Rassemblant tout le courage et l'assurance que je pouvais avoir en moi, je me mis à bredouiller.

"Pi...pitié, madame... laissez moi partir."

La Reine Rouge

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Re : Violence [Hitsumi Gotô]

Réponse 2 lundi 09 septembre 2013, 11:44:31

"Pi...pitié, madame... laissez moi partir."

"Pourquoi ?"

La demande de ma jeune proie me paraissait légitime mais très hautement improbable. Quel prédateur relâchait sa proie sans au moins y avoir goûté ? Aucun, absolument aucun ! Une petite explication s'imposait avant de poursuivre, afin qu'elle comprenne sa situation.

"Tu me trouve monstrueuse ? Horrible ? Dangereuse ? Ça ce n'est que ton point de vue ! En quoi suis-je plus monstrueuse que vous, humains ? Vous torturez et tuez vos animaux sans la moindre pitié, sans leur donner la moindre chance de survivre. Et c'est normal, c'est naturel, les forts mangent les faibles et en dispose comme bon leur semble. Où est le problème ? Oui je viens de tuer plusieurs de tes semblables et oui j'ai adoré ça. Mais en quoi ce serait plus monstrueux que les élevages que j'ai vu sur votre planète où vous entassez des centaines de bêtes ? Vous les battez, vous les tuez par millions et en plus vous refusez de regarder vos instincts en face, vous refusez de voir leurs souffrances, de les accepter. Je suis juste plus honnête que vous, je regarde vos souffrances en face, je m'en délecte. À mes yeux vous êtes des animaux, des tas de viande sur pattes. Reste à savoir si tu deviendras une gentille petite chienne pour laquelle j'aurai de l'affection ou si tu seras une méchante chienne mordeuse que je devrai piquer."

Énervée j'ai repoussé ses mains, je lui avait demandé de me branler, de me donner du plaisir et elle n'en était même pas capable. Néanmoins son petit corps m'excitait, je ne voulais pas tuer cette petite là, pas tout de suite en tout cas. Je me suis levée, la laissant ainsi libre de ses mouvements. J'ai placé mes poings sur mes hanches, avançant mon bassin dans sa direction, si elle n'était pas capable de me donner du plaisir avec ses mains seules elle y arrivera peut être avec sa langue en plus.

"Tout d'abord soyons clairs entre nous petite salope. Si tu tente de t'enfuir je te coupe les jambes et je violerai ce qu'il reste pendant que tu te videras de ton sang. Je n'ai pas l'intention de te relâcher, ni maintenant, ni après, ta seule chance de survie est de me faire jouir. Si tu m'offre suffisamment de plaisir, j'épargnerai ta vie et tu deviendras mon animal de compagnie."

Je me suis avancée vers elle, je l'ai forcée à se mettre à genoux devant moi, puis j'ai planqué mon sexe contre ses lèvres, poussant sa tête vers lui grâce à mes mains. Qu'elle soit d'accord ou pas je m'en foutais royalement, je voulais jouir dans son joli petit corps tout faible et tout mignon, c'était tout. D'une voix autoritaire et n'autorisant aucune réponse négative je lui ordonné :

"Suce !"

Court, clair, précis, l'ordre le plus simple qu'on puisse donner. Désormais sa survie dépendait de son habilité à me servir, je ne voulais pas d'un animal inutile et elle devra me prouver son utilité si elle voulait garder sa tête là où elle était actuellement.
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Hitsumi Gotô

E.S.P.er

Re : Violence [Hitsumi Gotô]

Réponse 3 mercredi 11 septembre 2013, 00:42:24

J'étais honteusement gênée, profondément bouleversée, mais par dessus tout terrorisée ! J'avais l'impression que le ciel, non que tout l'univers s'effondrait sur moi, mettant en scène mes pires cauchemars. Je voulais juste rentrer chez moi, par pitié ! Mais suite à ma demande, la démone-au-gros-sexe commença un long laïus auquel je comprenais à peine la moitié de ce qu'elle disait, encore sous le choc, mais j'avais tout de même saisi l'essentiel : elle ne contait pas me laisser partir, et cela me laissait un amer gout de désespoir en travers de la gorge...

J'étais tout simplement prise au piège, entièrement à sa merci, j'avais autant de valeur qu'un pantin entre ses mains. La preuve, j'étais en train de la masturber devant tout le monde ! C'était pourtant dingue, à bien y penser, mais pas aussi dingue qu'une démone sanguinaire débarquant à Seikusu certes. Je n'avais aucun échappatoire, en dehors de la moindre once de pitié qu'elle voudra bien éprouver pour moi. Aussi, quand elle écarta avec irritation mes mains de son sexe, l'idée qu'elle soit déçue m'effleura l'esprit, et je vis soudain ma vie défiler devant mes yeux. Enfin, au sens figuré... mais je croyais vraiment qu'elle en avait marre et aller me tuer. Et mes nerfs craquèrent.

"Pitiééééé ! Je vous en supplie, je n'ai rien fait, laissez moi m'en aller, par pitiéééé !"

Au bord des larmes, je finis par éclater en sanglots, et pleurer abondamment, gémissant encore quelques plaintes désespérées. Et la perspective de me faire couper les jambes et vider de mon sang ne m'aida pas à me calmer, loin de loin ! La vue brouillée, l'esprit embrumé, je peinais à réfléchir. Tout ce qui comptait à mes yeux était de rester saine et sauve, rentrer chez moi étant un luxe auquel je n'aurais visiblement pas droit pour le moment. Me rattacher à la moindre parcelle d'espoir, c'était tout ce qu'il me restait à faire, et ce fût la démone elle-même qui me laissa entrevoir un espoir ! Mais à quel prix ?

"Suce !"

De toute façon, avais-je le choix ? C'était ça où finir en morceau...

"Ou-oui madame ! Laissez moi m'occuper de votre plaisir, je vous ferais jouir..."

A genoux devant elle, mon visage à hauteur de son sexe, la démone rapprocha d'elle même ma tête contre ses hanches, et je n'eu plus qu'à ouvrir la bouche comme une salope pour gober son membre entre mes lèvres. Mon dieu, voyez à quoi j'en étais réduite pour éviter un destin tragique. Et avec toutes les caméras et projecteurs braqués sur nous, j'avais l'impression de tourner dans un film pornographique... Je tendis ma main et serra la base de son pénis entre mes doigts, avant de sucer la démone comme elle m'en avait donné l'ordre. Je fermai les yeux et m'imaginais une bonne sucette au chocolat, suçant sa queue avec gourmandise, tout en lui lançant de petit regard, qui m'assurait que je ne me débrouillait pas trop mal, enfin j'espérais, ce qui signerait mon arrêt de mort. Je léchais le gland, le titillant doucement, pendant que mes lèvres glissaient le long de son sexe, de plus en plus rapidement. Je gémissais faiblement, ma langue s'enroulait autour, accompagnant les mouvements de mon visage, pendant que je la suçais, avec de plus en plus d'ardeur. Le message avait été clair, si je voulais avoir la vie sauve j'allais devoir la faire jouir avec ma bouche !

La Reine Rouge

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Re : Violence [Hitsumi Gotô]

Réponse 4 mercredi 11 septembre 2013, 18:04:01

L'humaine s'est exécutée. Que pouvait elle faire d'autre de toute façon ? Un animal ne peut strictement rien faire contre une espèce dominante, c'est la loi de la nature. Et cette espèce dominante d'opérette qu'était la race humaine ne pouvait pas accepter d'être traitée de la sorte, du moins pas au début. Ils avaient l'habitude de tout maitriser, ils pensaient être les maîtres sans se douter que d'autres, biens plus forts, pouvaient les réduire en esclavage comme bon leur semblait. Je prenais mon pied à voir les policiers impuissants se masser devant le centre commercial, agitant leurs petites armes dans ma direction. Moi je me faisais sucer tranquillement face à eux, n'hésitant pas à violer une de leurs semblables pour les provoquer.

"Tu vois quand tu veux petite salope ! C'est bien mieux qu'avec les mains ! Utilise plus ta langue par contre !"

Disais-je à mon mignon petit sac à foutre. Emballée, tant par la situation que par la confortable bouche de ma nouvelle esclave, j'ai agrippé ses cheveux. Levant les yeux au ciel j'ai commencé à faire d'amples vas et viens, baisant littéralement sa gorge avec de puissants coups de rein. Je pouvais la sentir s'étouffer avec mon sexe, je sentais aussi sa salive dégouliner le long de mes jambes. Elle allait tout salir la vilaine. Pendant de longues minutes je l'ai malmenée ainsi, me foutant éperdument de son avis ou de son plaisir. Finalement, alors que je sentais la jouissance arriver, je l'ai repoussée en arrière, je ne devais pas jouir tout de suite.

"Alors petite salope. Comme ça tu voulais me faire jouir dans ta bouche et gâcher mon précieux sperme ?"

Je me suis mise à quatre pattes, m'avançant comme une lionne vers sa proie pour finalement la chevaucher. J'ai écarté ses cuisses avec mes mains, puis je me suis allongée sur elle. J'ai commencé à masser sa poitrine tout en l'embrassant, je voulais goûter à son petit corps fragile avant de le souiller. Tout en continuant mes caresses je l'ai pénétrée, je voulais jouir entre ses cuisses. Si elle tombait enceinte de moi cela pourrait devenir amusant. Finalement, je l'ai mordue au cou, partageant ainsi mes 5 sens avec les siens tout en aspirant son sang. Je pouvais sentir tout son corps, la sensation qu'elle éprouvait au contact de ma queue, de ma langue, de mes doigts. Puis je l'ai remplie, au sens propre du terme, faisant encore quelques vas et viens avant de m'immobiliser, satisfaite.

Je me suis relevée et j'ai dis à la petite humaine en montrant mes cuisses pleine de sa salive et de sperme :

"Nettoie tes cochonneries ! Ensuite fais moi une jolie danse pour me refaire bander, histoire que je te remplisse aussi les fesses."
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