Les rythme de nos ralentit, mais seulement pour mieux accélérer de nouveau. Cette soudaine accélération me fit pousser un grognement, parmi les nombreux gémissements de ma partenaire forcée. Soudain, un grand hurlement de plaisir sortit de la bouche de ma prisonnière. Il faut dire qu’elle en avait de la voix, malgré sa petite taille!
Ce fût le moment pour moi aussi de jouir, enfin, j’avais déjà joui une fois, mais je ne pus, que sous ses attentions, jouir une nouvelle fois… Mais cette fois, j’étais venu en elle… Mmh… mauvais. Mais bon, je ne pouvais plus rien y changer désormais… Et de toute façon, j’étais persuadé qu’elle ne porterait pas plainte contre moi, de toute façon, personne ne l’aurait cru, aucune preuve ne me reliait à elle, et je pouvais aisément dire qu’elle avait accepté de son bon consentement, et d’ailleurs, elle ne m’avait pas précisé son âge, j’aurais donc pu facilement feindre la surprise lorsqu’on m’annoncerait son âge… Enfin bref, j’allais aisément faire tourner ça à mon avantage, d’ailleurs, tout le monde a un prix, non?
Je me relevai donc tranquillement, poussant un petit soupir. C’était enfin fini… Je posai alors ma main sur la hanche de la jeune femme, qui s’était recroquevillée en boule, sur ses côtes, dos à moi.
Voilà, c’est terminé, Mademoiselle Arménya. Ce que je vous ai dit à l’extérieur de l’entrepôt, c’était vrai, je n’avais simplement pas précisé Quand cette promesse faisait effet, et c’est dès maintenant, du moins lorsque je quitterai cette pièce, que ni moi ni mes hommes ne vous embêterons, à moins bien sûr que vous vous présentiez à l’audience… Rhabillez vous je vous prie…
Nous nous rhabillâmes tous deux et une fois vêtue, je sortis une nouvelle seringue. Je posai alors une main sur sa joue, pour que mon pouvoir puisse faire effet sur la jeune dame.
Vous comprendrez que je ne peux partir en vous laissant seule ici… Je vais donc vous injecter un somnifère, juste assez puissant pour que vous puissiez dormir jusqu’au matin, lorsque vous vous réveillerez, vous serez dans votre lit, vous croirez que ce n’était qu’un simple rêve.
Je fis donc entrer l’aiguille dans la peau de la jeune femme, injectant le liquide qui se mit à couler dans ses veines. Elle me tomba directement dans les bras, me laissant le soin de la soulever convenablement, puis sortir de l’entrepôt. Deux hommes m’attendaient à la sortie.
Nettoyez le bunker, toute preuve doit être détruite, les corps, foutez les à la flotte, avec du ciment, bien évidemment.
Bien monsieur! Votre voiture est avancée, comme vous l’aviez demandé!
Je remerciai l’homme et alla asseoir Arménya au coté passager, l’attachant avec la ceinture de sécurité. Je pris ensuite place au côté conducteur, conduisant jusqu’à la maison de la jeune dame. Il était tard, et tout le monde dormait, personne n’aurait donc regardé ce qui se tramait à cette heure. J’entrai donc à l’intérieur de son appartement avec un kit spécial juste pour ouvrir les portes verrouillées, puis je l’allongeai dans son lit, la couvrant avec les couvertures, elle ne prit pas de temps à se replacer dans une position confortable pour se rendormir. Je me penchai doucement à son oreille
Au plaisir de ne jamais vous revoir, Arménya.
En route pour mon appartement, je passai un appel assez urgent, enfin, assez pour que je doive réveiller le propriétaire du numéro en question. Une voix rauque et endormie répondit.
Allo?
Père, c’est Hiro. Vous direz à Hitovo de venir sur Terre demain, nous devons discuter…
La voiture, seule sur la route, fila vers le centre-ville, alors que je m’allumai une cigarette. Enfin fini…