Nom/Prénom/Surnom : Val’Arrinian, dit Val
Age : 21 ans
Sexe : masculin
Race : E.S.P.e.r
Orientation sexuelle : Hétéro
Description physique :
Des cheveux bruns, des yeux marron, mais très foncés, presque du noir, Val est un humanoïde tout ce qu’il y a de plus proche de l’humain si ce n’est son don (ce sera expliqué plus bas). Plutôt grand et mince, cet homme est dans la fougue de la jeunesse. Son corps est finement musclé par un exercice régulier (qui est plus proche de la fuite après une rapine qu’autre chose, et croyez moi, c’est du sport !). Ses avant bras sont recouverts d’un bandage blanc sale sur lesquels on peut distinguer des tâches de sang séché, dernières traces de sa tentative de suicide. Il les garde non pas parce qu’il ne peut pas les changer, il les change souvent, mais plutôt comme le souvenir d’une bêtise à ne plus refaire.
Il possède une belle cicatrice en dessous des côtes à gauche, une belle marque de brûlure de la taille de son poing, peut être légèrement plus grande, cette cicatrice n’est pas récente, c’est juste le souvenir d’une fuite et d’une réception qui a mal finie, au milieu des braises d’un feu de camp.
Il a dans son dos des marques laissées par le fouet, des rares fois où il s’est fait rattraper par des soldats ou des gardes sur Terra.
Caractère :
Rêveur, Val est trop gentil, il a tendance à un peu trop vite se laisser faire, et ce, même si il donne l’impression d’être un peu sauvage, c’est pour tenter de cacher un tant soit peu sa grande timidité. Solitaire de nature, peut être est ce du à sa nature d’E.S.P.er, ou peut être est ce seulement une conséquence de sa vie de rapine et de misère. Toutefois, cette solitude lui pèse de plus en plus.
Débrouillard, il estime toujours avoir vu pire d’une façon ou d’une autre, ainsi, il peut être vu comme quelqu’un de très optimiste, et comme quelqu'un sur qui on peut compter, car son amitié est aussi assurée que sa confiance, une fois qu’il la donne, c’est pour la vie. Mais il est très dur de se plier à ses standards, car sa vie l’a rendu assez méfiant pour qu’il faille du temps, ne serait-ce pour qu’il enlève les poignards de sa ceinture,…etc.
Pour lui les cicatrices qu’il possède sont à la fois une fierté et une honte, tout dépend du souvenir associé, certaines sont glorieuses, d’autres beaucoup moins.
Il aime passer du temps à ne rien faire, constamment échapper à la prison ou à la main coupée, cela commence à devenir lassant pour lui. Il compte partir de cette ville, partir et trouver un coin qui lui sera adapté pour poursuivre son existence en paix. Loin de tout ce raffut. Et qui sait, peut être trouver une compagne.
Histoire :
Que raconter de la vie de Val ? Il en a vécut tant, et si peu à la fois. Il est né durant une nuit de lune rousse, dans un petit village perdu dans les montagnes qui eut tôt fait d’être rasé par des créatures dont il n’a pas le souvenir. Tout ce qu’il sait, c’est qu’il baigna plusieurs heures dans le sang de son père, les jambes brisées. Il fut recueilli et vécu de ses trois ans à ses huit ans avec l'homme qui le sauva. Au cours de ces années le vieil ermite qui l’avait recueilli lui appris à lire, à connaitre les plantes, et comment les utiliser. C’est comme s’il fut formé à devenir herboriste.
Mais le vieillard décéda au mauvais moment, alors il dut partir, brulant la maison derrière lui, comme l’avait voulu celui qu’il avait appelé « le vieux ». La seule période qu’il put considérer jusqu’à présent comme une vie heureuse. Dure, laborieuse, mais toujours riche tant en enseignement qu’en plaisir simple. Mais cette période était finie. Et bien qu’à regret, il se mit en route vers la ville la plus proche.
Le jeune garçon avait alors quatorze ans, et peu à peu, il avait été intégré dans la troupe de va nu pied de la ville, ces voleurs à la tire qui faisait la décrépitude de la ville. C’était contre tous les enseignements du vieil ermite, mais il n’avait pas vraiment eu le choix, s’il voulait survivre. Il avait du intégré la plus redoutée de ces bandes de gosses désœuvrés, son chef, Ren’ark, n’hésitait pas à recourir au meurtre, au viol, à la torture. Dans ses rangs, on reconnaissait un enfant obéissant aux nombre de doigts qu’il lui restait. Plus il y en avait, plus il était digne de confiance, et le jeune E.S.P.er les avait tous encore. La seule fois où il désobéit, ce fut en refusant de tuer l’un de ses compères, sous prétexte qu’il l’aurait trahi. Oh, il ne lui rétorqua pas, il n’y alla tout simplement pas, et resta cloitré dans une de ses planques. Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’alors qu’il sut par des rumeurs que pour cela, Ren’ark l’avait balancé aux gardes, comme étant le chef de la bande. Il s’était servi de lui pour limiter la casse lors des prochains sales coups. C’est durant cette dernière course poursuite qu’il chuta sur des braises et fut finalement arrêté, et fouetté jusqu’au sang.
Cet acte mit le jeune garçon dans une colère noire, et ce fut sous l’emprise de cette colère qu’il utilisa pour la première fois son don. Il matérialisa un clone, animé des pires intentions, et ayant les moyens de les mettre à exécution. Cette nuit, Ren’ark fut saigné comme un goret, et on le retrouva exsangue sur la place publique. Première manifestation de son don. Ce ne fut qu’à son réveil qu’il se rendit compte qu’il était le meurtrier. Mais lorsqu’il en parla, il ne reçut que les pierres. Alors il vécut seul, vivant de ses propres rapines, apprenant petit à petit à maitriser ses clones, à les utiliser, les contrôler, à doser la volonté, distiller l’intelligence qu’il donnait à chacun d’eux. Pour certains cela ressemblerait à de l’alchimie, et ils n’auraient pas tord, c’était comme doser les plantes d’un élixir. De la précision, du doigté, de la patience dans l’apprentissage.
Il arriva alors à un moment où non seulement il volait ce dont il avait besoin avec un clone, mais pendant ce temps, l’un apprenait à forger le métal, un autre apprenait la tannerie et l’assemblage du cuir, quand aux deux derniers, ils se musclaient ou luttaient ensemble, combattaient aussi, quand ils avaient les armes appropriées.
Mais au fur et à mesure que sa puissance augmentait à force de travail et de patience, il était de moins en moins bien intégré, et quand, par malheur, son secret fut dévoilé, il fut battu à mort. C’est suite à cela qu’il s’ouvrit les veines au niveau des poignets. Il ne sut pas exactement ce qu’il se passa, mais il se réveilla dans un lit inconnu, dans une maison inconnue. La seule certitude fut que ce n’était pas la prison ou le paradis. C’était sale, ça puait, mais ses plaies avaient été pansées, et il eut honte de ce qu’il avait tenté de faire. Tellement honte qu’il les laissa se refermer, mais ne fit rien pour faire disparaitre les marques. Bien au contraire, avec les bandages, il les mit en valeur.
Il devait avoir vingt ans lorsqu’il se rendit compte qu’il n’avait plus rien à faire dans cette ville, qu’il devait s’en aller. Il ne prit même pas la peine de prendre ses affaires, il n’avait pas grand-chose, juste ses poignards.
Situation de départ : Val’Arrinian est puceau jusqu’au bout des ongles.
Chronologie des rps :
1-/
Le voleur attrapé Avec Denna
(en cours)Faits et changements en découlant : une bien plus grande résistance à la douleur, une tendance occasionnelle à la violence durant l'acte, et dépucelage
2-/
Un souhgait jeune homme ? avec Azastohes
(en cours)Faits et changements en découlant : à compléter
3-/
Soirée mémorable chez le receleur avec Saori Kido
(en cours)Faits et changements en découlant : à compléter
Autres : Comme tout E.S.P.er, il a un pouvoir unique. Chez lui, cela se manifeste par la création de clones parfaits, ou presque, ils n’agissent qu’en fonction de la volonté et de l’intelligence qu’il leur insuffle. Mais même avec la plus grande concentration du monde, il ne peut les rendre plus intelligents que lui, ni même se répliquer à leur tour. Ils peuvent agir d’eux même, mais dans la limite des capacités offertes par leur créateur. Ils finissent par disparaitre au bout d’une dizaine d’heures. Il ne peut en manipuler plus d’une demi-douzaine à la fois. Il ressent en temps réel tout ce que ressentent les clones, les changements qui pourraient s’appliquer sur les clones les feraient aussi sur l’original, dans la mesure où il ne décide de ne pas les refuser, c’est un choix qu’il fait.
Il peut faire la même chose avec un autre être vivant, mais il ne peut maintenir qu'un clone et ce pour une paire d'heure au maximum.
Comment avez vous connu le forum : grâce à une membre : Marine
Avez-vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Je ne sais pas vraiment…. Enfin, j’essaierai !