Amy à tout prix... [pv]

Déjà 20 minutes qu'Amy marchait depuis son départ de l'appartement de son oncle et sa tante. Elle ne connaissait pas encore bien la ville qu'elle habitait depuis 2 jours seulement. Inutile de compter sur sa nouvelle famille pour l'accompagner à son premier jour de classe, elle avait dû se débrouiller toute seule dans cet endroit inconnu pour trouver son chemin.

On lui avait dit que le lycée se trouvait derrière le parc, et elle soupira de soulagement quand elle atteignit les hautes grilles qui entouraient un vaste écrin de verdure. Des allées propres et planes se déroulaient en volutes entre les pelouses bien entretenues qu'elle entrevoyait entre les arbres du sous bois où elle se trouvait. Elle s'arrêta un instant pour contempler la vue et chercher son chemin.
D'où elle était, elle ne voyait aucune indication de la route à prendre. Elle décida de poursuivre sa route dans le sous bois pour voir où il débouchait.
Au bout de quelques pas, elle se trouva totalement entourée d'arbres, dans une pénombre tranquile qui la coupait du monde. Il faisait sombre, délicieusement frais et humide ici. Les feuilles bruissaient autour d'elle, quelques oiseaux pépiaient, et l'air sentait bon l'humus et les fleurs.
Elle avait l'impression d'être désormais loin de la ville. Portée par son imagination d'enfant, Amy regarda autour d'elle et chercha des formes dans le sous bois. Des bêtes sauvages avaient-elles élu domicile dans ces buissons?
Non, bien entendu. Pas dans un parc en pleine ville! Elle haussa les épaules et sourit, poursuivant sa route, mais désormais taraudée par la désagréable impression d'être épiée, suivie...

[Noch' Na Lysoy Gorye http://www.youtube.com/watch?v=xzNfiOZluD4]

Des bêtes sauvages.. Non, Amy, Law n'a rien d'une bête sauvage. C'est un animal tranquille, totalement apprivoisable, qui observe de ses yeux d'homme avide la jeune fille insouçiante.

Qui eût pu croire qu'il arriverait jusque là ? Le chemin mena multiple périples et il fallu grassement rémunérer quelques intermédiaires pour atteindre Seikusu. Mais quand il avait apprit cette alternative, il a tout de suite sauté dessus. C'est là encore un choix amplement stratégique : Attraper une humaine sous un autre plan. Une lycéenne humaine qu'il emmènerait chez lui, jusque Nexus, pour en faire son esclave. Ainsi, il espérait l'obtenir assez pure et innocente pour la modeler à sa façon. Prendre les choses par la force, en voilà une initiative qui lui ressemble plutôt. Perdue dans Terra, elle ne pourra aller bien loin, lui qui en connaît nombres de recoins.

Mais tu peux toujours chercher, petite. Law est perché si haut qu'on ne peut le voir. Acrobate, celui-ci profitera d'un léger coup de vent qui ferait bruisser les feuilles pour descendre d'une branche, et d'encore une. Voilà, la cible était à portée de sa main. Enfin, tout est relatif.. Evidemment qu'i ne peut pas encore la toucher, mais cela ne saurait tarder. Il la contemple un instant, et son analyse lui arrache un sourire quelque peu sadique. Elle était parfaite pour ce qu'il comptait en faire. Il vérifie la présence de sa lame dans un fourreau calé contre sa manche gauche. Parfait. Il n'y a plus qu'à l'attraper.

Elle passe en-dessous de sa personne, et ne le voit même pas. L'humain est coincé dans ses automatismes : En effet, nous voyons systématiquement le monde platement, en deux dimensions. Quand on cherche quelque chose, si le paysage n'a pas de relief particulier, on se borne à regarder autour de soi, la ligne de nos yeux suivant paisiblement un axe toujours horizontal. Quand on est traqué, ou quand on veut traquer, il faut apprendre à regarder en haut et en bas aussi. Law attendra qu'elle ait fait quelques pas en s'éloignant, et se suspendra par une main à une épaisse branche pour ensuite se poser à terre. Tel le chat, son atterrissage se fait sans un bruit. Conservant son attitude féline, il marche vers elle, la démarche sûre, ses pas seront d'Hermès, si silencieux et léger qu'on eût dit qu'ils étaient amortis par le vent. Il contemple ses cheveux, son dos, ses fesses et ses jambes. Du délicat animal de compagnie affectueux, son esprit se meut en celui d'un tigre féroce. Il a envie d'attraper entre ses griffes, de mordre, d'arracher l'innocence comme il déchirerait la chair. La cible n'est plus qu'à quelques pas, il faut garder son calme.

Oui, maintenant, une bête sauvage se trouve dans ce parc.

Comme un aiguillon dans le dos, Amy était de plus en plus taraudée par l'impression désagréable d'être suivie, en danger. Elle avait furieusement envie de se retourner pour vérifier, mais se retenait de le faire, d'une part parce qu'une partie d'elle se sentait totalement idiote de s'inquiéter comme ça, d'autre part parce que... et si une bête féroce se tenait vraiment derrière elle, les yeux luisants, les crocs bavant, prête à attaquer?
Cette image lui fit monter une bouffée de panique et elle allongea le pas. Accélérer l'allure ne la rassura nullement mais amplifia au contraire cette sensation d'être traquée et elle se mit bientôt à trottiner tout en se fustigeant intérieurement. Etait-elle donc idiote pour se créer des peurs pareilles?
Là bas, un peu plus loin, un carré de lumière indiquait la sortie prochaine du sous bois. Elle soupira intérieurement. Elle serait bientôt loin du couvert des arbres et pourrait rire de sa mésaventure en se traitant d'idiote. Bientôt... Mais pour l'instant, elle se trouvait toujours dans la pénombre et se retenait de prendre purement ses jambes à son cou...

Avait-elle rêvé ou un crissement anormal s'était fait entendre juste derrière elle?

La biche aura senti l'aura maléfique de l'Habile, ou peut-être un instinct de survie très humain aura soudain pris possession de sa raison. Quant à Law, ses pensées ne démordent pas de son instinct de prédateur. La sensation de la posséder bientôt, de la tenir sous sa volonté.. De peur qu'elle ne se retourne trop vite, il accélèra le pas, sprintant pour consumer la distance qui les séparent, foulant le sol de quelques enjambées très rapides. Elle l'aura sûrement ainsi entendu et aura peut-être tentée de se retourner. Mais trop tard. Dans la pénombre, Law avec saisi Amy. Il la tenait par derrière, un bras passant autour de son buste pour tenter de bloquer ses deux avant-bras. L'autre main avait déjà sorti la lame de son fourreau et était positionné sur le cou de sa victime, prêt à l'égorger d'un simple mouvement.

Il resserrait son étreinte, avec le sentiment démoniaque de disposer de la vie comme il l'entend. Ce pouvoir réservé aux empereurs.. Il se sent puissant, fort.
Et surtout, satisfait. Car plus rien ne pourra désormais l'empêcher d'honorer sa nouvelle esclave, et de la posséder pendant de longues années.

Vue sa nervosité depuis quelques minutes, Amy n'aurait pas dû être surprise de ce qu'il lui arriva. Pourtant, toute à ses phantasmes de bêtes féroces, elle n'avait pas songé qu'une personne mal intentionnée ait pu la suivre... Aussi, quand une poigne très forte enserra sa taille et ses avants bras, Amy poussa un cri strident qui fit s'envoler une nuée d'oiseaux des branchages alentour.
Elle ne put esquisser un mouvement qu'une lame s'était déjà glissée juste sous sa gorge.
La toute jeune fille laissa échapper un gémissement de détresse et déglutit. Elle se garda de bouger d'un poil, et demanda d'une voix réduite à un filet :

"Qu... qui êtes vous? Que me voulez-vous?"

Malgré elle, ses mains et ses jambes tremblaient. Plus elle essayait de contrôler ce tremblement, plus il s'accentuait. Sa jupe courte d'écolière dansait autour de ses cuisses, et sa respiration haletante soulevait sa poitrine et son chemisier étroit à un rythme effréné.

Quand elle aura hurlée, Law aura vite fait d'appuyer avec son poignet sur son menton pour faire vite fait fermer sa bouche. Désormais, la menaçe de la lame se fait plus pressante, grandissant le danger. Aiguisée comme elle est, peut-être a-t-elle déjà commencé son oeuvre, et percé finement sa peau en un trait parfaitement rectiligne. Surtout si elle remue, ou si elle est prise de secousses...

shh shh shh shh shh..

Le volume était bas, sa voix doucereuse. Il usait d'un ton parfaitement mielleux pour souligner sa perversité et son sadisme. Tout ça l'excitait terriblement. Le plan de départ était de la prendre, et de l'emmener. Le déroulement va un peu changer.. mais la finalité sera la même. Il compte emporter cette brebis avec lui. En revanche, il faut satisfaire cette envie soudaine, qui devient pressante, et qui se manifeste par son souffle traversant ses cheveux, ses lèvres qui se rapprochent de son cou et la caressent délicatement, pour ensuite lui murmurer.

Qui je suis.. Quelqu'un avec qui tu vas passer du temps... Comment t'appelles-tu ?

Psychopathe à souhait, il continue de l'embrasser dans la nuque et sur les épaules, tenant avec toujurs autant de fermeté sa proie entre ses filets. Il ne fallait absolument pas qu'elle s'échappe. Tout à coup, le monde autour s'envolait. Son cri a alerté du monde ? Peu importe. Il les tuerait. Il la veut, considérablement.

La voix qui soufflait dans son cou était insupportablement doucereuse, tandis que la prise sur sa gorge se faisait de plus en plus ferme, à tel point que ses seuls mouvements respiratoires enfonçaient de quelques millimètres la lame affutée posée sur sa peau.
Amy sentait la panique la gagner et menacer de la submerger, une terreur animale et incontrôlable qui risquait bien de lui faire faire une bêtise et de mettre sa vie en danger, aussi se concentrait-elle pour garder son calme et ne pas bouger.

L'homme répondit à sa question en lui annonçant qu'elle allait passer beaucoup de temps avec lui... Il comptait donc l'enlever? L'emmener quelque part et... qu'allait-il faire d'elle? Amy se refusait à évoquer la moindre image de ce qu'un pervers sorti du fond d'un bois pouvait bien faire d'une jeune fille comme elle...

Elle sentait son souffle sur sa peau fragile, ses lèvres la caresser doucement, à quelques centimètres de la lame qui lui avait laissé de fines entailles dont sourdait quelques gouttes de sang vermeil. Un gémissement de peur, de désespoir, s'échappa de ses lèvres. Il voulait connaître son nom... pourquoi faire? Cela comptait-il à ses yeux? Mais elle n'avait pas vraiment le choix. Cet homme était fou, à n'en pas douter... Un mot, un geste de trop, et la lame qui la blessait pourrait bien la tuer!

"Amy... monsieur... s'il vous plait..."

Sa voix n'était qu'un souffle, elle se sentait sur le point de défaillir tant elle avait peur. Les lèvres de son prédateur baisaient maintenant ses épaules que son chemisier dénudaient. Elle ne pouvait plus réprimer ses tremblements.

Chht, calme toi. Tout se passera bien.

La chair blanche, tellement fraîche, tellement pure, rayonne dans cette étendue sombre dans laquelle ils se trouvent. Elle est l'idéal du moment, il n'aurait pu trouver plus bel objet. Objet ? Oui, car elle sera bientôt réduite à ce statut. Il prendrait sans aucun doute plaisir à user de sa nouvelle acquisition à outrance, et si il prend le temps de considérer la question, peut-être veillera-t-il à ne pas l'abîmer.

S'il vous plaît ? S'il vous plaît quoi ?

Il déserrait l'emprise qui la retenait contre lui, éloigna l'arme qu'il braquait sur elle pour la traîner - de force, cela va de soit - au bord du chemin, la tenant par le col. Puis il exercera une pression sur elle pour la faire plier et la faire descendre d'un niveau, et si elle ne cède pas, il donnera un coup puissant de sa semelle contre l'arrière de ses genoux. Perdant ainsi de sa hauteur, Law, toujours derrière elle, lui saisissait une épaisse touffe de cheveux près de la nuque pour lui faire basculer la tête en arrière.

S'il vous plaît quoi !?

Et il violentera ses lèvres, arrachant un baiser passionné, voire acharné à sa pâture du jour. Son couteau n'est plus dans ses mains. Celui-ci est planté depuis quelques secondes dans l'herbe, à-côté d'eux. Il serait facile pour elle de tenter quelque chose, mais les conséquences seraient sans nul autre pareil. De plus, elle ne peut voir l'arme - Law continu de l'embrasser, gardant le minois de sa captive vers les arbres et le ciel qui, témoins de cette agression, couvrent docilement le méfait de l'Habile.

S'il vous plaît quoi? C'était une question pertinente, en effet... Que désirait-elle le plus en ce moment? Qu'il retire son couteau? Qu'il la laisse partir? Qu'il ne lui fasse tout simplement pas mal? Difficile de définir sa priorité, tant Amy était envahie par l'angoisse.
Pourtant, l'un de ses souhaits s'exhaussa, puisque la lame s'éloigna soudainement de son cou. Amy eut juste le temps de reprendre son souffle et d'avaler correctement sa salive, qu'il la traina à l'écart du chemin, sa main empoignant son col et l'empêchant à nouveau de respirer correctement.  Il exerça ensuite une pression pour l'obliger à choir au sol et elle n'opposa pas de résistance, trop apeurée pour ça. La main quitta alors son col pour agripper ses cheveux et tirer sa tête en arrière, lui arrachant un cri de douleur.

Pour la première fois, elle vit le visage de son agresseur. Et la lueur horriblement malsaine qui habitait son regard acheva de la plonger dans l'effroi.
Il répéta sa question, mais sans lui laisser le temps de répondre, sa bouche se plaqua sur la sienne, dans un baiser violent qui n'avait d'autre but que la possession. Amy était tendue à l'extrême. A cause de la douleur de la traction sur ses cheveux, de la peur, mais aussi l'instinct qui la poussait à garder les lèvres et les dents scellées face à l'intrusion du baiser de son agresseur. Elle ne pouvait cependant empêcher son haleine de l'envahir, et sa salive de couvrir le bas de son visage...

Il rompait enfin le baiser, avec un soupire sonore, la bête a vraiment l'impression de pouvoir enfin déguster un met bien mérité. Une proie qu'il aura recherché et attendu avec patience, et maintenant, son dû pour cette chasse exemplaire se devait d'être dévoré avec la plus ardente des bestialités.

Law détendait la pression de son poing dans ses cheveux, pour la pousser avec force en avant. Dans cette position, elle n'avait d'autre choix que de s'écraser mains et tête les premiers contre l'herbe encore fraîche. Il se couchait aussitôt sur elle, pesant de tout son poids sur cette frêle créature. Son pantalon déformé par un oedème très masculin placé stratégiquement sur les fesses de sa future esclave, remuant très doucement et appuyant pour conserver l'excitation provoquée par la traque intacte, dans le sillon de ses fesses où il enfonçaient le tissu de sa culotte.

Amy.. Je suis Law.. Et désormais tu es ma chose.

Et c'est ainsi qu'il lui annonce. Il remonte ses deux mains, et ses doigts se refèrment sur les fins poignets de l'écolière, lui empêchant ainsi tout mouvement, toute initiative.

Je vais t'emmener chez moi.. Très loin.. Mais avant, on va jouer un peu tout les deux.

Il redressait de quelques degrés son buste, stoppant ainsi sur Amy la sensation d'écrasement physique qui devait l'envahir depuis quelques secondes. Ses mouvements de bassin se font plus amples, dénotant de son envie de la prendre, qui ne cesse de s'accroître.

Le fait que son agresseur ne la force pas à ouvrir la bouche pour l'embrasser pleinement rassura un instant Amy... Difficile de dire ce qu'elle espérait de mieux exactement, mais c'était pour elle une minuscule victoire que d'avoir préservé l'intégrité de sa bouche...
Son soulagement fut de très courte durée car bientôt il retira ses lèvres des siennes en soupirant d'aise, puis lâcha ses cheveux en la projetant en avant.
La gamine retomba lourdement sur ses mains, le visage à quelques millimètres du sol humide de la forêt. Elle voyait de minuscules gouttes perler sur de toutes aussi minuscules pousses qui s'extrayaient de l'humus. Des centaines de mouvements à peine perceptibles agitaient le terreau et les végétaux qui jonchaient le sol, mais Amy ne percevaient rien de tout ça. Ses yeux étaient comme voilés par l'horrible sensation d'un membre dur, comprimé par le pantalon de son agresseur, frottant contre ses fesses.

Les mots qu'il prononça heurtèrent ses oreilles. Sa panique monta d'un cran et atteint son apogée quand il parla de jouer un peu tous les deux...

La fillette poussa un cri de terreur, étouffé par le manque d'air provoqué par la compression de sa cage thoracique sur le sol, et essaya de se débattre, tandis que les mains de son agresseur enserraient ses poignets. La pression se relâcha alors qu'il se redressait légèrement, pas assez toutefois pour qu'elle puisse échapper à son contact. Ses mouvements sur son postérieur s'accentuaient, et Amy se mit à trembler de tous ses membres, alors que des larmes sillonnaient ses joues. Elle avait l'impression qu'elle allait s'évanouir... Sa peur était si forte qu'elle en se contrôlait plus, se débattant malgré la poigne de Law, poussant des cris et des gémissements de pure terreur. Bientôt, une humidité brûlante qui ne devait rien à une quelconque excitation gagna sa petite culotte de coton blanche ornée de petites fraises fantaisistes, puis coula le long de ses jambes nues comme un trait de feu.
Amy sanglottait maintenant, abandonnant toute idée de lutte.

Ferme-la !

Quand elle aura hurlé, il se sera assuré qu'elle ne puisse plus émettre le moindre son audible aux alentours, en la forçant d'une main à clore sa bouche par un appui sur son menton, et la compression de ses lèvres. Ainsi donc elle n'avait plus que la fatalité pour elle, et les larmes qui l'accompagnent.

Il écartait le bas de son corps pour faire glisser une main sur sa jupe, qui s'immiscera dans sa culotte, le majeur longeant le sillon qui marque la scission de ses fesses pour ensuite atteindre un corps qui lui semblait plus familier. Le digit carresse l'entrée des chairs humides avec amour, marquant un instant de tendresse dans l'acte odieux qu'il est en train de commettre. Puis il s'enfonce lentement, jusqu'à la première phalange, et s'agite ainsi en elle, sans brusquer.

Tout ce que tu as à faire c'est d'en profiter.. Dorénavant, ce sera ta récompense pour les bons actes que tu accompliras, ma belle. Tu aimes ? Je sais que tu aimes.

Le processus consiste désormais à lui inculquer les principes fondamentaux de sa nouvelle condition, et le premier est de vénérer son maître ainsi que tout ce qu'il offrira.