Mais....Tu es un intrus? -Red King-

Zola sautait sur ma queue et j'en prennais mon pied ! C'était un moment excitant, jusqu'à ce qu'il devienne "public" avec ces deux vieux voyeurs ! La petite lapine se cacha contre moi, c'était mignon, mais agaçant surtout !
Je n'avais pas envie de m'exhiber ou de partager, je tentais "poliment" de renvoyer les viocs mais les voilà a se branler... Ma partenaire voulait partir d'ici, compréhensible, sans pour autant s'arrêter de bouger sur ma carotte.

- Tiens toi à moi Zola.

D'abord surprise, elle raffermit sa prise sur mon cou, avant que je me relève, nous sortant de l'eau. Nous rendant plus "visible", mes mains sour ses fesses pour la tenir accrocher en "koala" sur mon chibre. Les vieux furent surpris et n'eurent pas tant de temps pour mater, qu'un coup de patte les envoya valser dans l'eau. Ce fut presque un coup de rein simultané dans Zola. Me faisant gémir en même temps, j'étais presque venus...

J'hésitais vraiment à continuer ou sortir des bains et donc arrêter durant un temps... Elle tremblait contre moi, de plaisir ou un peu de crainte/d'embarras ? En tout cas on ne pouvait pas faire ça ici maintenant, je ruminais cette pensée et décida malgré tout de finir ça. La tenant toujours, je m'éloignais de notre position initiale pour allez dans un coin et la plaquer contre le mur pour l'utiliser comme soutien, avant de moi-même me déhancher en elle. Sans me donner à fond, mais avec des coups de rein vigoureux malgré tout.

- On... termine ça et on va dans... une chambre ! Grognais-je tandis que je l'embrassais passionnément.

Sa allait être rapide ce coup là, car je ne retiendrais pas ma jouissance, histoire d'avoir ce petit plaisir et passer vite au suivant !

La jolie lapinette se retrouvait dans une bien drôle de situation. Elle n’aurait jamais cru sautiller sur le sexe d’un lapin géant. Les sensations étaient si intenses en se moment et cela même si on les observaient. Son corps était bien éprouvé et elle voulait un peu plus, encore plus de cette sensation. Son excitation grimpait malgré le fais que son amant du moment envoyait promener les deux vieux pervers qui les mataient en se tripotant la nouille. Cela la rendait un peu plus gênée mais son désir était plus présent que sa gène pour arrêter de bouger des hanches.

- Tiens toi à moi Zola.

Elle raffermit sa prit autour de sa nuque, quelque peu surprise par la situation. Ses jambes entourèrent ses hanches alors qu’il se levait pour sortir de l’eau. Il lui tenait les fesses pour qu’elle reste bien empaler sur sa queue. À chaque mouvement qu’il faisait elle gémissait faiblement. Il donne un coup de pied aux deux pervers qui la faisait se cambrer. Il la rendait dingue à la prendre comme ça. Elle ne parvenait même plus a réfléchir correctement.

La pauvre Zola tremblait contre lui, ses gémissements étaient doux mais si lascifs. Il finit par s’éloigner des bains et trouva un endroit plus discret pour qu’ils puissent terminer ce qu’ils avaient commencer. Il la plaqua contre le mur des vestiaires du bâtiment et se remit à bouger en elle, la prenant plus brusquement, plus vigoureusement. Elle s’agrippait à ses épaules, sautillant sur son sexe de plus en plus. Ils arrivaient tous les deux à leur limite et cela se voyait.

- On... termine ça et on va dans... une chambre !
-o..ok

Elle répondit au baiser en gémissant. Plus il remuait en elle, plus, elle se sentait jouir. Au point qu’elle sentait son corps trembler de plaisir. Elle s’agrippa à lui de son mieux avant de jouir, il pouvait sentir ses parois le comprimer alors qu’elle laissait son plaisir déborder.

- Haaa....

La mignonne lapine, se laissait guider, me tenant bien par la nuque, ce qui me permit d'avancer et de la maintenir contre moi, sans perdre l'équilibre. Pourtant ce ne fut pas simple avec elle empalée sur mon chibre... Mais c'était si bon !
Je n'avais pas envie de remettre à plus tard, ma première jouissance, c'est pourquoi je la prise rapidement contre le mur.

Ses doux gémissements... sa féminité enserrant ma carotte, tout ça était trop stimulant pour moi,  tant et si bien qu'après un baiser de plus fougueux, elle vint, d'ailleurs, je ne tint pas plus non plus. A mon tour, je jouissais, délivrant ma semence chaude dans sa féminité.
Reprenant mon souffle, je restais une bonne minute en elle, ondulant lentement des hanches pour apprécier ce moment autant que possible.

Après m'être calmé, je sortais enfin d'elle, mon membre ayant presque déjà repris de sa droiture avec ce plaisir coupable et ce corps somptueux contre moi. Zola allait avoir une soirée mouvementé...

- Reprenons nos habits et allons continuer ça dans ta chambre.

Ce n'était pas une question, mais pas vraiment un ordre non plus, plus la suite logique de l'instant. Dans les vestiaires, je bandais tellement que ce ne fut pas possible de remettre mon bas, je me mis alors un peignoir qui peinais à cacher mon érection. Je l'attendais hors des vestiaires ou je m'empressais de prendre sa main dès qu'elle en sortie, je ne sais pas si elle était aussi presser que moi, mais cela devenait urgent.
Je pris donc les devants, la tirant, mais faisant attention à ne pas lui faire de mal.

Je marchais d'un bon pas, vers ma chambre, finallement, je l'avais trouvé trop timide pour lui laisser le temps de nous guider à la sienne et ouvrit ma chambre, la tirant à l'intérieur avant de refermer. Je jetais aussitôt mon peignoir, me découvrant entièrement nue face à elle, avec un grand sourire coquin, une trique bien droite et un regard ardent sur elle.

J'étais prêt pour reprendre, et elle ?

Zola gémissait alors que ce lapin la prenait de plus en plus sauvagement. Elle se tenait à lui de son mieux alors qu’il lui offrait de merveilleuses sensations. Il était si gros.. Si parfait qu’au moindre mouvement, il la faisait gémir, en frissonner de désir. C’était comme s’il était fait pour elle pour ce moment. Comme si malgré leurs différences, ils s’emboîtaient parfaitement. La lapine pouvait le sentir au plus profond de son être et il pouvait sentir l’effet que cela avait sur elle.

Contre ce mur qui était témoin de leur moment charnel sans précédent, Zola gémissait encore plus. Il se trouvait à devenir plus rapide alors qu’elle atteignit la jouissance. Il la suivit de peu, jouissant en elle alors que la pauvre petite tremblait. Ils se retrouvaient l’un contre l’autre, aussi essoufflés que des gens qui auraient couru un marathon. Elle reprenait son souffle avec difficulté, mais y parvenait lentement. Il finit par sortir d’elle et elle sentit son sperme couler le long de ses cuisses alors qu’elle se fit déposer au sol.

- Reprenons nos habits et allons continuer ça dans ta chambre.

Elle hocha la tête et alla rapidement dans les vestiaires pour remettre ses vêtements. Elle sortit rapidement et il lui prit la main avant de se mettre à marcher rapidement.  Ils se mirent à marcher dans les couloirs de cet hôtel, auberge... Zola rougit alors qu’il la tirait derrière lui rapidement. Elle parvenait à ressentir son envie de continuer... Et cela la fit frémir de plaisir. Elle savait qu’il la ferait crier toute la nuit. 

Elle fut surprise qu’il connaisse le chemin vers sa chambre. Elle ne lui avait pas dit. Et fut encore plus surprise lorsqu’il ouvrit la porte verrouillée avec une clé. Elle rentrait dans… leur? Chambre. En fait, il la tira à l’intérieur avant de refermer derrière eux et de se mettre nu. Il était déjà si dur et prêt pour l’action. Zola rougit et entreprit de retirer ses vêtements. Elle se mordilla les lèvres avant de se jeter dans ses bras et de l’embrasser sans plus de manière. Elle avait une main derrière la nuque de ce chaud lapin et l’autre entourait son sexe durcit pour le caresser.

J'étais surpris par notre compatibilité intime, était-ce parce que nous étions tous deux des lapins ? En tout cas, sa féminité semblait épouser parfaitement la forme de mon érection en elle. Je n'étais pas à sa place, je ne pouvais être sûr, mais mon sexe glissait en elle avec aisance, ce qui me donnait des fortes sensation !
Et j'aurais certainement continuer si les deux vieux n'étaient pas dans les parages... Heureusement, Zola était pour que la nuit ne s'arrête pas aussi tôt !

Je me dépêchais ainsi de la ramener à ma chambre, trop impatient pour me laisser guider à la sienne. A peine entrée, et la porte refermé, que je jetais mes habits sur une chaise et retira mon peignoir. J'étais vraiment un chaud lapin... Je craignis pendant un instant que mon approche fut trop rapide, mais je bandais tant que c'était difficile à retenir !

Heureusement, Zola, se déshabilla à son tour avant de me sauter dessus, je l'étreignis d'une main et posa la seconde sur son pompon. Répondant avec passion à ses lèvres. Hors de l'eau nos corps nues pouvaient mieux se frotter, et se ressentir. Sa chaleur et son doux pellage, sa main sur ma carotte... Ma langue vint chercher la sienne, alors que je me mis à caresser son pompon.

- J'ai tellement envie de toi Zola... de te prendre partout. De te faire jouir sur ma queue, de baiser ta bouche... Lui sussurais-je entre deux baisers.

Ma main glissa alors de sa petite queue à sa féminité que je vins frotter de ma paume, m'amusant à faire entrer une phalange, sans aller plus loin, puis la ressortir et la rerentrer. Oh cette nuit... Zola allai bien la sentir !