Tes mouvements lancinant, passionnés me font monter en extase, mon souffle est saccadé, accélérant de plus en plus, ma prise se rafermit, et je me cambre en arrière pour te remplir pour la première fois de la soirée de mon sperme chaud, par jets successifs, si bien que ça déborde le long de tes cuisses. Je prends la peine de retrouver mon souffle, te laissant tomber au sol et me servant de ta bouche pour nettoyer mon chibre gluant et puant.
Toujours aussi dur, je me lève, observant autour ce qui pourrait être utile, mon regard se projette d'abord à gauche avant de lentement aller sur la dr...oh que vois je ? Une sorte de piloris, selon ce que j'ai vu dans des livres d'histoires. Voilà une invention passionnante. Ca entravera tout risque d'échappatoire pour ce qui va suivre. Après tout le titre de cette histoire, n'est pas là pour faire joli. Attrapant une poignée de cheveux, telle une laisse, je te guide dans ton laboratoire, tandis que tu te meus tant bien que mal à quatre pattes, complètement chienne actuellement.
Te soulevant sans difficulté, je pose ta tête dans l'espace du milieu et tes bras de chaque côtés, laissant s'abattre pour se refermer la seconde partie, destinée à te maintenir en place. En voilà une vision qui me fait frémir, durcir, et lécher mes babines. Juste deux trous à remplir pendant que tu couines. Te griffant le dos, laissant des marques sur ton corps, en veillant à ne pas non plus te lacérer, je m'abaisse face à ton cul, offert gracieusement, ma langue vient chatouiller ton orifice encore vierge de toute intrusion, jaugeant tes réactions, aucune ne laisse penser que tu détestes. Génée, honteuse, peut être, sans doute, mais désireuse. Étonnement aucune odeur, ni goût désagréable, comme si inconsciemment, chaque jour tu te préparais à ce genre de traitement. Ca ou bien je suis chanceux, mais je ne crois pas en la chance.
Peu importe, car voilà ma langue qui se faufile toujours plus loin, ouvrant tes chairs peu à peu, chatouillant ton fondement, mes mains occupées quant à elles avec ta poitrine, pas suffisament gatée à mon goût. Malaxant à pleine main, sans retenue ni douceur, je m'amuse avec et prend mon pieds à profiter de leur opulence.
- Aller, tu es suffisament prête à mon goût. Respire un grand coup.
Pendant que je te parle, me voilà me redressant, guidant ma queue avec ma main à l'entrée de ton cul...tu trembles, tu as peur ? Tes chairs commencent à s'écarter avec résistance à l'invasion de ma protubérance mais délicieuse tentation. Tes hurlements ne m'empêche nullement d'aller jusqu'au bout de mon envie, au contraire, et je commence à aller et venir, pour t'empaler toujours plus loin. Tant que ton cul n'aura pas tout aspiré, ton « supplice » ne sera pas terminé