La seule et unique raison pour laquelle la queue du laquais n’est pas érigée, c’est parce qu’il vient à peine de se branler, de copieusement juter dans ses sous-vêtements usagés. Mais ça, la sale petite garce ne le sait pas. L’air courroucé qu’elle affiche lorsqu’il la délaisse l’amuse, et un léger sourire se dessine sur ses lèvres entrouvertes. Eden a un besoin maladif, pathologique de plaire. Il en est certain, le fait qu’il reste de marbre en enduisant son joli petit corps diaphane de crème est vécu comme un rejet. Et Eden n’aime pas du tout se faire rejeter par son chien. Il a malgré tout un geste de recul lorsque la garce se redresse, agitant ses petits seins laiteux juste sous son nez, pousse sur ses jambes pour se relever, mais la petite princesse le prend de vitesse et il frissonne lorsque ses longs doigts fuselés glissent dans ses cheveux de jais. Jolis petites mains toutes douces et toutes propres, qu’il est si facile d’imaginer coulisser sur son gros chibre.
“Loin de moi l’idée de vous fuir, Mademoiselle Eden. Mais j’ai à faire dans la maison.”
Il sursaute, cligne des yeux lorsqu’elle le frappe, la foudroie brièvement, mais intensément du regard. Son corps s’est tendu à l’agression, et avec une moins bonne emprise sur lui-même, il l’aurait giflée. A l’ordre donné, il obéit silencieusement, avec un sourire de façade. “Merci Mademoiselle Eden.” Néanmoins, sa voix est un peu rauque, altérée. En dépit de son récent orgasme, il sent le désir refluer dans ses entrailles. Il a toujours eu de gros besoins. Difficiles à satisfaire. La jolie petite garce est proche, bien trop. Sous le tissu de son uniforme, les muscles de ses biceps et de ses avant-bras sont contractés à l’extrême, et il peine à ne pas serrer les poings. Il a envie de la ravir, de la ravager, de la souiller.
“Mademoiselle Eden.” Il pose doucement ses mains sur ses poignets lorsqu’elle agrippe les pans de sa veste. “Ce n’est pas correct.” il lui suffirait d’une torsion pour les briser, Eden Blanc est si fragile.. Et pourtant si impérieuse. Il finit par se laisser faire. Il n’a pas vraiment le choix. Il coopère, en espérant qu’elle n’aille pas trop loin. Ce qu’elle fait. Une fois sa coûteuse veste jetée comme un vulgaire chiffon en travers d’une chaise de jardin, les doigts fuselés de l’adolescente s’attaquent au bouton de sa chemise, dont la lourde respiration d’Arthur tend le tissu soyeux. Il sent ses ongles effleurer sa peau, à travers la boutonnière, plisse les yeux, respire par le nez lorsqu’elle expose son torse pour le plaisir de ses jolis yeux. Le jugement qu’il y lit toutefois, manque de le faire vriller. Mademoiselle la petite pute fait la difficile. La pression de son ongle sur ses abdominaux ciselés le fait frémir, le contact de ses deux petites mains fraîches le fait sursauter. Un grognement involontaire rauque, animal, s’échappe des lèvres entrouvertes du laquais. De nouveau, le sang afflux vers sa grosse queue, mais la sale petite garce s’est déjà détournée, affectant le désintérêt le plus complet. Soupir de soulagement. Prudent, il recule d’un demi pas, pour ne pas que sa croupe s’écrase contre la grosse bosse naissante. Trop proche, toujours trop proche.
“Oui Eden, bien Eden”,[/color] balbutie-il. Sa main tremble lorsqu’il s’empare du sous-vêtement. Il est si perturbé qu’il en oublie ses formules de politesse. A ses pieds, Nimbe se redresse paresseusement, lui jetant un regard courroucé, avant de s’éloigner d’un pas tranquille. La chienne doit probablement être sensible au déferlement de phéromones qui agite l'atmosphère. Lorsqu’il passe les bras autour de ses hanches, il se penche légèrement, par-dessus son épaule, la gratifiant de son souffle brûlant sur sa nuque. Mais alors qu’il s'apprête à poser le tissu sur ses petits seins, Eden remue légèrement, volontairement ou non, et la paume de sa main droite dérape sur le renflement de son téton érigé. “Hmmpf.” Eclair blanc. Les battements de son cœur s’accélèrent, et Arthur vrille. Il avance son bassin, écrasant sa monstrueuse trique contre le dos de la jeune femme, ses pectoraux contre ses omoplates. Sa grosse main droite lâche la bande de tissu pour se refermer sur son petit sein de la jeune fille. L’autre se referme délicatement sur sa gorge, comme par réflexe.
“Mademoiselle Eden. Vous. Devriez rentrer au salon.”
Le ton est haché, fiévreux. Et il ne la lâche pas. Sournoisement, son bassin remue contre la croupe de sa petite maîtresse. Il se penche légèrement déposant un baiser fiévreux sur sa nuque, puis entre ses omoplates. Ses doigts calleux, habitués aux basses besognes, enserrent désormais sa gorge laiteuse et vulnérable. Sans effort, il relève le menton autoritaire de la jolie petite brune, pour écraser ses lèvres avides contre les siennes, enfonçant sa grosse langue entre les petites lèvres entrouvertes. Il est foutu, et il le sait. Perdu pour perdu… “Il est temps de passer à la caisse maintenant, Mademoiselle.” Malgré son excitation, malgré la rupture de tous ses engagements, il reste dans son rôle, sans trop savoir pourquoi, si ce n’est que ça l’excite. Sa main droite glisse de son sein, sur son abdomen plat, encore poisseux de crème, jusqu’à s’insinuer entre ses jambes. Du bout de ses doigts, il effleure le renflement de sa petite vulve à travers le tissu de sa culotte rose pâle. “Hm ? la petite princesse, serait-elle mouillée ?” Il persiflent tout proche de son oreille, dont il vient brièvement mordiller le lobe. La prison lui tend les bras. S’il apprend son dérapage, Monsieur Blanc n’hésitera pas une seule seconde, sauf s’il décide de lui faire sauter la cervelle dans le salon. Seule la perspective de tringler cette sale petite garce qui le torture depuis des mois apaise son angoisse croissante. “Elle a besoin d’être lavée.”
Sans ménagement, il la pousse vers l’avant, pour qu’elle se réceptionne sur la chaise de jardin. “Cambre.” Le ton est impérieux, sans réplique. Arthur n’est pas né de la dernière pluie. Il a senti le mol abandon de la jolie brunette sous son assaut brutal. Il sait qu’il peut aller plus loin, même s’il en paiera probablement les conséquences plus tard. Si elle s’exécute, il se jette à genoux derrière elle, comme un foutu clébard, pour abaisser sèchement sa culotte sur ses genoux et la lui retirer. “Le pied droit d’abord Mademoiselle. Puis le second.” Putain de merde, cet adorable petit cul. Il le claque sèchement, l’écarte délicatement, pour dévoiler la corolle brune et nervurée de son anus, et, au-dessous, les lèvres baveuses de sa petite chatte qu’il sait vierge. Nouveau frisson. Cinq bonnes secondes passent, comme pour lui laisser la possibilité de s’échapper, même si son souffle court et brûlant caresse son intimité. Puis, il tire sa grosse langue et une première fois, la promène lentement de haut en bas sur la vulve de la jeune femme, avant d’embrasser fiévreusement son sexe, avec un odieux bruit mouillé. Entre ses propres cuisses, sa grosse main fait lentement glisser la tirette de sa fermeture éclair.