Sa douce voix, ne fait pas vibrer que ma queue. Elle fait aussi résonance, dans mes tympans. Bien que j'aimerais lui exprimer toutes les pensées sales que j'ai pour elle, quelque chose m'en empêche. Même pourtant très excité, sans doute parce que je peux vraiment la considérer comme mon amie, je veux qu'elle se sente aussi bien que moi. La préoccupation du désir de l'autre, ne fait pas vraiment partit de mes habitudes. Mais je sais déjà que Victoria saura me combler, comme elle l'a déjà fait juste avant. Et plus ça durera encore et plus je vais aimer ça. Quant à Lumière, même si je ne l'oublie pas, je dois d'abord faire avant ça, ce qui doit être fait. De par ma loyauté et par mon amitié envers Victoria, je continue donc de la lécher passionnément, alors que j'ai vraiment la queue qui en a encore vraiment très envie. Son parfum de jeune petite délurée, n'arrête plus de m'enivrer, alors que j'ai en même temps de plus en plus de mal, à devoir me contenter seulement de "ça". A chaque coup de langue dans sa petite chatte, j'avale un peu plus de son délicieux jus de chatte. La belle est encore plus belle, quand je la vois se tortiller et couiner, juste au-dessus de moi. Le spectacle est même tout simplement parfait, quand elle se laisse aller à se frotter sur mon museau, qui ne cesse d'en redemander encore. C'était frustrant d'être immobilisé comme ça, mais c'était jouissif de la voir tressaillir sur moi, comme elle le fait. Au moins, elle s'amusait bien.
- Victoria... Victoria... Oui... Laisse-toi aller ma belle. Laisse-toi aller...
Pendant que mon museau ne cesse de respirer l'odeur de cette chatte d'humaine, mes iris de prédateur essaient d'observer d'elle, tout qu'ils peuvent voir. La vue a beau être imprenable, il n'y a pas que son trou tout gluant par ma salive et sa cyprine, que je vois. Victoria finit par trembler de plus en plus. Et plus je sens cette coquine me céder, plus je la lèche intensément. Ses efforts à se mettre à la tâche, pour me donner la chance de lui montrer que je suis meilleur, que n'importe lequel de ses sots de congénères paye enfin, quand je l'entends crier. Pendant qu'elle se lâche sans chercher à se retenir, je lèche encore et encore, en caressant autant que je le peux avec ma langue draconnique rapeuse, tout ce que sa chatte me le permet. Je fais tout pour être certain que la belle, sente son clitoris se faire laper à mort. Quand elle finit de jouir, elle vient plaquer ses cuisses d'humaines et toutes dégoulinantes de sa cyprine, contre mes écailles beaucoup plus rugueuses et remplies d'aspérités. Mon amie très coquine, ne reste pas bien longtemps dans cette position qui ne lui suffit surtout qu'à reprendre son souffle. Evidemment pas satisfaite du tout, tant qu'elle n'aura pas gouté à la meilleure partie que je suis prêt à lui offrir, elle descends rapidement un peu plus bas. En même temps qu'elle commence à me la toucher, ma bite réagit immédiatement au contact chaleureux de sa main.
- Mmmh... Coquine! Je savais qu'il en fallait plus que ça, pour te satisfaire. Maintenant, je sais surtout pourquoi tu m'as emmené ici. Mais ce n'est pas grave. Tu es toute pardonnée.
Le respect que j'éprouve pour elle, me force me sentir un peu plus doux avec elle. Bien que je voulais lui montrer toute ma virilité, il était surtout important qu'elle n'oublie pas ce moment entre nous. Quant à moi, ma grosse bite se comprime encore, quand elle s'amuse à me branler. Et ça vibre encore plus fort, quand je l'entends me dire perversement, qu'elle allait encore me réconforter. Elle joint ses mots par les actes, en allant ensuite enfin me lécher la queue. A doucement s'emplir la bouche, de mon engin animal à l'odeur beaucoup plus agréable et virile, que les pauvres petit machins de sa sous-race incompétente, quand Victoria qui s'est d'abord redressée, sur mon torse solide et souple, donne toute une série de coups de langues bien passionnées, sur mon chibre.
- Oui! Ouais c'est bien ma jolie! Vas-y, fais toi plaisir et ne te retiens pas. Il y a que nous deux ici. Enfin presque...
Sans jamais lâcher mon pieu, qui imprègne toute son odeur dans la pièce presque autant que celle se sa belle fente remplie de mouille, mon corps se contracte, quand la petite vicieuse continue d'enchainer agréablement ses coups de langues. Je laisse la perverse s'amuser avec mon gros joujou, pendant que j'halète, à cause de ses redoutables performances. Entre sa délicieuse petite langue, qui me caresse surtout mon gros gland violet et sa main qui m'asticote bientôt comme si elle ne voulait plus que ressembler à une fille de joie, difficile de ne pas résister. Avec ma bite toute enflée par tant d'attentions, Victoria finit par arrêter et me regarde d'une façon très provocatrice, en se léchant en même temps les doigts qui ont touchés mon manche draconnique, avant de me dire quelque chose qui me fait presque déjà jouir d'avance!
- Hahaha! Enfin! Je vois que mademoiselle est comme moi, dans son genre. Elle ne sait plus tenir en place et elle a bien du mal à résister à ses instincts primaires. Mais c'est une sage décision et qui t'honore, Victoria. Vas-y! Laisse-moi alors enfin te montrer ce que vaux un gentil dragon comme moi. Je te promets que tu ne vas pas regretter le voyage!
Je rend gratuitement la provocation de mon amie, qui ne m'empêchera pas de penser qu'elle aime quand même vraiment la bite, mais je ne vais sûrement pas m'en plaindre. Je déglutis et j'ai les tempes qui battent comme lorsque je pars pour une très grande chasse, quand je vois ma petite femelle, qui va pour s'empaler sur ma trique, qui sent vraiment très fort dans cette pièce fermée. Mais au moins, elle est raisonnable et la chérie a bien compris qu'elle ne pourra que gagner au change, avec moi. C'est avec un grognement victorieux que je fais, que Victoria s'empale presque d'un seul coup sur mon bâton. Dès qu'elle glisse enfin dessus. Que mon dard se loge enfin dans sa fente toute mouillée et excitée, la sensation que je ressens est au moins aussi forte que le bruit que j'entends, quand elle s'embroche.
- Aaarh! Aaarh! Put... Si tu n'étais pas mon amie, je n'aurais pas pu m'empêcher de t'exprimer tous les mots particulièrement doux, que j'ai à cet instant pour toi, très chère...
La chaleur de son vagin complètement mouillé par ma salive et par sa mouille, entoure enfin délicieusement mon pieux. La contraction est redoutablement puissante! Mais ce qui va suivre, va presque complètement me rendre fou! Victoria qui comprend raisonnablement nos intérêts communs, va jusqu'à desserrer les chaines qui retenaient encore mon bassin. C'est donc sans pouvoir l'agripper avec mes pattes avant, que je me rue malgré tout dans sa chatte, en la pilonnant directement, comme un enragé! La sensation est immédiatement agréable et renversante en même temps!
- Aaah! Aaarh! Aaarh! Victoria! Putain! Je vais te défoncer comme tu le mérites! Aaah! Aaarh!
De la retenue que j'avais encore avant pour elle, j'éprouve une totale satisfaction à enfin pouvoir remuer librement toute ma grosse trique, dans ce superbe trou odorant et tout excité, qui appartient à cette fille qui aime s'envoyer en l'air! Je grogne, alors que je ne me gène pas pour la marteler. Je lui envoie directement, les plus puissants coups de bite que je peux. Je gigote avec autant de force que possible et chaque fois que je culbute dans à l'intérieur de la petite cavité serrée de mademoiselle, je n'ai alors plus qu'un seul objectif, la démolir et jouir dedans à tout prix! Plusieurs fois, pendant que je grogne avec vivacité et que je respire très bruyamment, les dents serrées, mon gland s'enflamment de plus en plus. A chaque fois que je lui balance un bon coup de rein bien vicieux comme elle le mérite, mon pieu s'enfonce tout au fond, en faisant un bruit causé par sa mouille! Chaque fois encore que mon gland s'enfonce sans retenue en elle, j'éprouve une immense joie à ressentir pulser à l'intérieur, de façon habituellement la plus primale qui soit. Son trou tout gluant et chaud me la caresse et me la presse sans arrêt, pendant que je n'arrête plus de pilonner vigoureusement mon amie, que je considère en cet instant, surtout comme ma trainée!
- Encore! Anh! Encore! Oh Victoria, je sens que c'est en train de monter! Oh c'est tellement bon de te sentir!
C'est avec fierté et une envie qui me dépasse complètement, que je tremble d'extase, alors que je défonce joyeusement sa fente comme elle le mérite. Ou tout simplement, comme elle l'a toujours voulu depuis le début. Je ne peux aussi pas m'empêcher d'avoir un sourire particulièrement vicieux, quand je vois son corps que je culbute férocement. C'est très gratifiant de la voir se faire bousculer comme ça. Il ne me manque finalement plus que ses encouragements et peut-être une éventuelle participation supplémentaire de sa part, pour l'aider à lui montrer pourquoi on dit que les dragons, ce sont aussi les patrons. Le jeu prend enfin une tournure qui me plait vraiment.