Identité : Katelin Elinore Strauss.
Âge : 86 ans réellement, 25-30 en apparence.
Sexe : Femme, la plupart du temps.
Race : Humaine.
Sexualité : Uniquement au fouet.
Bonus : Image entière de l'avatar.RésuméKatelin est une sorcière commerçant avec les démons. Grâce à cela, elle a acquit de nombreux pouvoirs supplémentaires, et une longévité exceptionnelle lui conférant une apparence jeune. C’est une femme aussi belle qu’insupportable, vénale, odieuse et méprisante, au style gothique chic et au langage pompeux. Elle ne compte plus ses défauts tel l’avarice, la gourmandise, la luxure… Seule sa propre personne l’intéresse, ne reculant devant rien dans sa quête de pouvoir illimité.
PhysiqueCe que l’on remarque au premier abord chez Katelin Elinore Strauss, ce sont ses très longs cheveux d’un blanc de nacre, si souples qu’ils suivent la ligne de son dos jusqu’à sa chute de reins. L’effet de cette singulière chevelure est accentué par sa peau lisse et laiteuse, si blanche et délicate qu’elle se colore facilement au moindre contact. La pression d’un doigt, la trace d’un ongle et sa fragile épiderme en garde la marque rouge immédiatement.
Avec son mètre quatre-vingt quatre, c’est également une grande femme à la silhouette très fine, semblant aussi fragile que l’est sa peau. La sorcière est véritablement une beauté froide. Ce charme particulier est amplifié par des lèvres décolorées qu’elle s’oblige à masquer d’un rouge à lèvres sombre, souvent noir ou pourpre. Bien que cela ne soit pas sa couleur de naissance, ces pupilles sont d’un rouge sombre, le résultat d’années de sorcelleries interdites et de sombres magies appliquées sur elle-même.
Malgré son âge réel, son apparence demeure celle d’une femme guère plus âgée de vingt-cinq ans. Avec un physique général aussi svelte, ces formes suivent également le même credo. Sa poitrine est suffisamment menue pour que Katelin la rehausse délibérément avec un corset dès qu’elle le peut, affinant encore davantage sa taille. Ses hanches élégantes laissent place à un fessier léger, tandis que ses longues jambes fines ponctuent son physique effilé de ravissants pieds au vernis sombre. Ses élégantes mains sont toujours vernies, de sombres également, avec de nombreuses bagues d’aspects gothique. Un style que Katelin affiche plus que jamais. Si les tatouages permanents lui sont interdis de par sa peau délicate, son corps est souvent décorées de dessins, des runes à l’encre d’un rouge sombre ou de noir.
Sa garde robe n’est pas en reste, et se résume en deux mots : gothique chic. Katelin adore plus que tout les vêtements sombres, et surtout riches, même pompeux. Notamment une collection impressionnante de sous-vêtements en dentelle tout aussi somptueux les uns que les autres. La sorcière s’habille exclusivement de robes aux couleurs lugubres, et apprécie rajouter quantité de parures : gants luxueux, écharpes de fourrures, grands chapeaux chics, lingerie, collants et jarretelles. Les bijoux ne sont pas non plus absents. Des boucles d’oreilles au style complexe, des bagues aux formes serpentines, des bracelets de poignets ou de chevilles, ou d’autres accessoires plus singuliers comme des monocles, des gants griffus ou des bagues crochues. Elle aime également dissimuler sous ses vêtements des accessoires plus secrets comme des chaines d’argent autour de son ventre, des anneaux de soie autour de ses cuisses, des collants en résilles. Le tout en noir bien entendu.
CaractèreKatelin Elinore Strauss est une femme extrêmement désagréable. Avec son caractère très hautain, méprisant envers autrui, et presque misanthrope, on peut facilement la qualifier de peste. La sorcière agit avant tout pour elle-même, et le sort des autres ne lui importe guère : elle aime le pouvoir plus que tout, et ne s’embarrasse pas de morale pour parvenir à ses fins. Avec un comportement exagérément maniéré et prétentieux, un langage ampoulé, elle devient rapidement insupportable en société, essayant de rabaisser constamment ses interlocuteurs s’ils n’ont pas les standards de culture requis. Pour cette raison, Katelin vit et travaille seule. Ce n’est pas qu’elle ne soit pas capable de communiquer en société, mais personne n’est jamais à la hauteur de ses attentes à ses yeux.
Katelin souffre de la presque totalité des pires vices existants. L’orgueil est certainement le plus développé, s’estimant loin au-dessus du commun des mortels, son talent certain, sa riche culture et ses pouvoirs ne l’aidant nullement à calmer son ego. L’envie fait partie intégrante sa vie, convoitant des buts normalement inatteignables aux mortels : l’immortalité, la richesse et la puissance sans limite. La sorcière est également avare autant de ses biens que de ses connaissances, et aime particulièrement la cuisine raffinée. Quant à la luxure, même si elle n’en fait pas autant preuve que l’orgueil, Katelin aime s’offrir de temps à autre une lubrique expérience avec un amant ou une amante. Avec un tel caractère, elle garde évidemment la main au lit, et domine toujours ses partenaires avec plus ou moins de violence.
Car là réside un petit secret. Comme cela arrive parfois chez les personnes apparemment dominatrices, Katelin fait subir aux autres ce qu’elle aimerait subir elle-même. Mais avec un tel ego, comment pourrait-elle avouer un fantasme lui paraissant honteux ? La sorcière est beaucoup trop fière pour laisser autrui la dominer, l’humilier, lui faire rougir sa peau blanche, même par jeu, ce qui créé malencontreusement une frustration chez elle. La rendant encore plus brutale dans ces jeux coquins. Bref, Katelin Elinore Strauss est une sorcière aux pouvoirs conséquents, cultivée, orgueilleuse et hautaine au possible. Assoiffée de puissance, elle ne recule en rien pour atteindre ses objectifs. L’ignorance, la pauvreté, en somme le sort même des autres l’indiffère complètement et ne s’attache à quelqu’un que pour son utilité présente. Matérialiste, elle aime vivre dans l’opulence, et montre un soin maniaque en ce qui concerne l’hygiène sur toutes ses formes, ainsi, son apparence extérieure est toujours impeccable.
HistoireLa cellule crasseuse était plongée dans l’obscurité la plus complète. Les ténèbres opaques masquaient jusqu’aux fers maintenant les fragiles poignets de Katelin, et celle-ci ne parvenait même pas à distinguer l’épaisse porte de bois fermant sa prison. La minuscule lucarne perçant cette dernière n’offrait nulle lumière de ce côté-ci, donnant dans le couloir des oubliettes plongées elles-aussi dans une noirceur de poix, sans la moindre torche. La plupart des prisonniers devenaient fous en l’espace de quelques semaines, disait-on, et la sorcière en était bien consciente. On l’y avait jeté voilà désormais deux semaines, après que les bourreaux aient échoué à obtenir d’elle la plus petite repentance pour les crimes dont on l’accusait. Coupable d’arts tabous, elle l’était, l’affaire était parfaitement entendue et pour exposer davantage sa culpabilité, les autorités l’avaient privé de nourriture.
Mais Katelin Elinore Strauss ne mourrait pas. Quand bien même elle n’avait pas goûté à la moindre nourriture depuis près d’un mois, son corps continuait à fonctionner grâce aux arts obscures dont elle s’était fortifiée. Des arcanes aussi interdites que la nécromancie. L’appel à la magie infernale, la fraternisation voire la fornication avec les démons, tout cela elle l’avait fait, et la sorcière ne pouvait désormais mourir par les méthodes conventionnelles. Définitivement immortelle, certes elle ne l’était pas, mais Katelin en nourrissait le projet. Le tout était désormais de se tirer de ce mauvais pas. Qui l’avait dénoncé ainsi ? La sorcière ruminait cette interrogation, et la vengeance cruelle qui en découlerait une fois sortie d’ici. Certes, avec son physique qui ne changeait guère au fil du temps, la dénonciation à l’Ordre Immaculé était une éventualité à envisager lorsqu’on vivait dans un village aussi proche de Nexus.
Hors, malgré ses planifications maniaques, Katelin n’avait jamais envisagé qu’on la dénonce si tôt, et sans le moindre signe avant coureur. L’Inquisition avait bien prévu son opération. Les hommes de celle-ci étaient entrés brusquement chez elle un beau matin, avant même que la sorcière n’ait le temps de préparer la moindre riposte, et ils étaient suffisamment équipés contre la magie pour ne pas être inquiétés. Quant aux preuves, sa demeure en regorgeait. Livres aux savoirs interdits, artefacts maudits, carnets d’études contenant les méthodes d’invocations infernales, stigmates sanglants de rites attestant de ces offrandes aux démons… L’Inquisiteur n’avait eu que l’embarras du choix, et Katelin n’avait même pas songé à nier l’évidence. On avait bien essayé de lui extirper une repentance de ces péchés, mais les coupures, les brûlures sur son corps guérissaient trop vite pour que cela menace son existence. Une autre preuve de ses allégeance surnaturelles à leurs yeux.
Katelin était une sorcière corrompue jusqu’au bout des ongles, et les autorités, maintenant qu’ils tenaient une telle aubaine, comptaient bien faire de son exécution une démonstration de leur efficacité. La femme était plus que jamais la parfaite représentation du Mal, comme ils le définissent. Tout le voisinage s’était manifesté pour lui mettre sur le dos les pires calamités survenues dans la région, et même si la moitié n’était pas de son fait, Katelin n’en avait nié aucune. Bien au contraire, même à présent au fond de sa cellule obscure, la sorcière jubilait de leurs expressions horrifiées lorsqu’elle avait énuméré la liste de ses crimes. Et cela, avec le sourire, un aplomb et une fierté assumée, déconcertante. L’ego de Katelin se gorgeait d’autant plus de la frayeur qu’elle leur inspirait. Comment une femme pouvait-elle avoir l’âme suffisamment noire pour appeler aux puissances des ténèbres sans le moindre scrupule ni le moindre égard pour la vie ? L’Ordre Immaculé ne pouvait le concevoir.
Mais Katelin aimait le pouvoir, et par-dessus tout, l’exercer à son gré. Celle-ci ne pouvait simplement pas y résister. Là au fond de cette fosse, la sorcière, au lieu de ressentir des regrets, méditait uniquement sa revanche. Jamais on ne lui avait infligé pareille humiliation. Qu’on lui impute autant de crimes, ce n’était que trop vrai, mais l’Inquisition avait brûlé ses biens, ses précieux livres, et confisqué l’ensemble de ces richesses. Ses beaux vêtements, sa somptueuse lingerie, ses magnifiques bijoux, envolé que tout cela, et elle en était irritée bien plus que pour le reste. Katelin ne possédait qu’en tout et pour tout, que cette robe de bure sale et en lambeaux qu’on lui avait jeté pour éviter que son physique séduisant ne puisse générer de lubriques sentiments chez les honnêtes croyants. Malgré tout cela, la sorcière se sentait nue. La perte du travail de toute une vie, le noir totale et l’horrible crasse qui régnait dans la cellule, tout cela lui avait fait perdre la notion de temps et d’espace. Seule sa rancœur demeurait, vive et croissante de jour en jour.
Le bruit de semelles résonnant sur le pavement du couloir la tira de ses pensées aussi brutalement que s’il s’agissait d’une cavalcade tonitruante. Le silence presque totale de la prison rendait son ouïe irritable, et le cliquetis des clés déverrouillant la porte fut une véritable torture. Pire était la lueur de la lanterne. Katelin ne vit plus rien sinon un halo de lumière brûlant malgré ses paupières closes, et l’on souleva de force ses bras, l’obligeant à se mettre debout, ses poignets libéré de l’étreinte froide des fers. Le trajet vers l’extérieur lui parut interminable, et ses yeux n’y voyaient goutte. Oh certes, elle avait veillé à s’exercer à la marche autant que possible dans sa cellule, mais ses longues jambes souffraient encore de l’immobilisme. Ses gardiens ne pipèrent mot, et de même fit-elle. Ils avaient pour consigne de ne rien dire à cette créature corrompue, et les hommes de l’Inquisition la conduisirent à travers un véritable labyrinthe de marches et de couloirs jusqu’à la cour extérieure. Ses pieds nus titubèrent parfois sur le sol de pierre glacée, mais les mains enserrant ses bras l’empêchèrent de flancher ou de se dérober à son sort.
Le soleil de l’après-midi fut certainement la pire épreuve pour Katelin. Après tout ce séjour dans les ténèbres, ses pupilles mirent de longues minutes pour s’habituer à l’astre diurne et aux vives lueurs que reflétaient les murs du château. L’exécution était publique, devina-t-elle, à la clameur qui montait de la foulée rassemblée là. Des insultes fusèrent, des visages inconnus l’invectivaient comme si la sorcière focalisaient les haines et les frustrations de toute la population locale. Là, face au grand bûcher de paille et de rondins, l’on avait dressé en grande pompe une grande scène recouverte d’une toile d’un blanc immaculé où grimpèrent les représentants de l’Ordre. La vision désormais claire, Katelin se vit escorté, invité brutalement à prendre place sur le bûcher dressé en son honneur, tandis que les soldats du châtelain disciplinaient tant bien que mal la populace.
Jamais depuis sa condamnation, la sorcière n’avait eu les sens plus en alerte, vivifiés par sa brûlante rancœur. Tout était si clair. La senteur doucereuse du bois, la sensation piquante de la paille sous la plante de ses pieds, la voix tonitruante de l’Inquisiteur qui tentait de se faire entendre sous le brouhaha, les mains rugueuses des hommes liant ses poignets au poteau à l’aide d’une corde grossière. A la lumière du jour, Katelin n’avait pas le moins du monde souffert de son séjour, et l’Ordre ne se fit pas prier pour le faire remarquer. Ses formes étaient toujours aussi suaves, sa peau d’un blanc de lait immaculé, ses cheveux soyeux et sa beauté n’avait rien fané malgré les loques dont on l’avait grimé. Le discours de l’Inquisiteur lui parut si vide, si dénué d’intérêt, que la sorcière ne l’entendit même pas, se contentant de fixer l’homme à la calvitie et à la bedaine naissante qui dévidait son plaidoyer, une main posée sur le livre de l’Ordre.
« … oui ou non, Katelin Elinore Strauss, vous repentez-vous de vos péchés et de vos agissements contre nature pour que votre âme puisse être sauvé ? » Furent les seuls mots de l’Inquisiteur que Katelin perçut.
« Non. Ni hier, ni aujourd’hui, ni jamais. » Répondit-il d’un ton sec, aussi cinglante qu’un coup de fouet.
Les vociférations de la foule prirent un nouvel élan face à une telle affirmation. L’Inquisiteur fit signe à ses acolytes de prendre scrupuleusement acte des derniers faits de la sorcière, non sans satisfaction, conforté d’avoir arrêté là un si parfait exemple. Leur idéal maléfique. Katelin le lorgnait avec un souverain mépris, apportant encore davantage d’eau à son moulin si cela était encore possible. Sur un signe de l’Inquisiteur, on jeta les premières torches sans plus attendre. L’Ordre était parfaitement conscient des pouvoirs de l’accusée, et tenait à se dégager du moindre risque inutile. Mais ils l’avaient sous-estimé. A aucun moment, Katelin n’avait révélé ses plus noirs secrets, ses plus sombres pouvoirs, si bien que son visage ne montrait aucun signe de crainte malgré la chaleur croissante des flammes. L’Inquisition le remarqua, et l’on resserra davantage encore l’étau de soldats autour du bûcher.
Alors que les flammes commencèrent à frôler sa robe en lambeaux, les lèvres décolorées de Katelin commencèrent à psalmodier à voix basse. Nul ne l’entendait sous le crépitement du bois, mais l’Inquisiteur, fort de son expérience, hurla
« Allez chercher des archers, qu’on l’abatte immédiatement ! ». Une réaction salutaire, mais trop tardive. Le feu dévorait le dernier vêtement de la sorcière, mais aucune brûlure, aucune cloque ne noircissait sur sa blanche peau, alors même que la chaleur du brasier forçait les soldats à reculer. Puis le corps nu de Katelin se révéla entièrement sous les yeux horrifiés du public. Le moindre centimètre de peau laiteuse dissimulée auparavant sous la robe de bure, était couvert de symboles, de cercles runiques et d’écritures mystiques. L’encre était d’un noir sale, un mélange de sang et crasse qu’elle avait tracé elle-même, patiemment, lors de séjour, guidant ses doigts de mémoire faute de lumière.
Les membres de l’Ordre s’étaient mis à aboyer des ordres. Déjà, les renforts accouraient depuis les bâtiments voisins, mais hélas pour eux, il était trop tard. Le brasier se teinta de noir, les flammes elles-mêmes devenant ténébreuses, d’un feu démoniaque qui dévorait jusqu’à la lumière du soleil. Tout, sauf Katelin. La sorcière trônait au milieu du bûcher, le menton fièrement haussé, fusillant d’un regard vindicatif l’Inquisiteur.
Pour Katelin, la vie de mortelle était terminée. Le feu noir gagna la foule, se répandant comme autant de serpents affamés et dévorant là ses voisins, ici ses ennemis de chair et de sang. Elle était désormais et plus que jamais, une paria comme elle l’avait toujours voulu. Car tout ceci n’avait rien d’une fin, ni n’était le moins du monde triste. La sorcière débutait une nouvelle vie sous les abominables hurlements des êtres vivants dévorés par les flammes.
PouvoirsKatelin Elinore Strauss maitrise une vaste quantité de sorcelleries, si bien qu’il serait fastidieux d’énumérer toute les formules, rituels, et arcanes de sa bibliothèque. Retenons seulement que la sorcière dispose de pouvoirs supplémentaires, directement issus d’arts liés aux puissances infernales avec qui elle commerce sans vergogne :
- Les flammes noires : Katelin a usurpé ce pouvoir d’un être infernal lui-même, de force bien entendu, et est capable de s’en servir à sa guise, dans les limites de ses capacités humaines. Ce qui est inférieur aux démons, bien sûr. Cela peut prendre la forme de flammes d’un noir d’encre ou bien d’un nuage de miasmes noirs.
- Capacité de régénération : A force d’user et d’expérimenter avec le sang des créatures des Enfers, Katelin est parvenu à renforcer son corps de mortelle. Elle n’est pas immortelle, mais vieillit extrêmement lentement et son corps se régénère tout seul, même sans alimentation.
- Familier : Comme toute sorcière, Katelin est capable d’invoquer un familier, un être qui lui obéit au doigt et à l’œil. Sa particularité de ses familiers est qu’elle peut appeler des démons mineurs sans être contrainte de donner de son sang pour les nourrir.
- Magie rose : Eh oui, séduire ou se faire obéir des démons même mineurs n’est pas chose évidente, si bien que Katelin a bien été forcée d’apprendre un de leurs tours. Elle est capable d’utiliser la magie rose pour se rendre plus séduisante via des parfums subtils, ou de se doter d’outils plus conséquents entre les jambes pour affirmer sa position.
- Métamorphose : Certains démons en sont capables, Katelin l’est en tout cas. La peste est capable de prendre la forme de plusieurs animaux considérés comme symbolique des démons, comme les serpents, les crapauds ou les rats.
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