Union équine [Pv Clad]

Aaron profita pleinement des cris de la jeune femelle. Il aimait ça, entendre sa partenaire criéer le rendait fier, fier de ce qu'il lui faisait. Il avait beau être un mal dominant lors de ces ébas, il voulait par dessus tout savoir qu'il le faisait bien. Il continua alors ses vas et vient, insistant de plus en plus, le faisant de plus en plus fort, plus en plus loin. L'étalon ne se posait pas vraiment la question de savoir s'il allait trop loin à l'intérieur de Konoka, il était tellement bien, qu'il remarqua à peine qu'il était déjà au fond de son vagin. C'est pour cela, qu'il continua de s'enfoncer jusqu'à passer dans son utérus et déformer son ventre. En effet, une bosse commençait à se former dans son bas ventre.

« Annn … Je vais bientôt … Venir ... » dit-il en fourrant sa langue dans la gorge de la jument.

C'est alors qu'une épaisse giclée de foutre s'échappa de nouveau de sa bite, remplissant complètement l'utérus de Konoka. La quantité était telle, que du sperme en sorti et retomba sur ses cuisses, ainsi que son bas ventre. Il retira son pénis, et le posa au dessus de Konoka afin de faire tomber le reste de son sperme sur sa tête et sur ses seins.

« Tu en veux encore bébé ? » dit-il en montrant ses belles dents et en reprenant un peu sa respiration.

Le male n'attendit pas sa réponse et la retourna sur le lit. Il pouvait ainsi apprécier le joli cul bien galbé de la jument. Il lui donna une belle fessée, avant de poser son pénis comme un hot dog, entres ses deux fesses. Il lui tira les cheveux, approchant sa tête de la sienne.

« Je veux te remplir tous les trous ! » dit-il en plaquant sa tête contre le lit.

Aaron fit glisser son pénis le long de son cul, il écarta ses deux fesses avec ses mains et entra profondément à l'intérieur de l'anus de Konoka. Son pénis avait beaucoup plus de mal à rentrer. Il glissait moins, sa mouille n'était pas présente ici pour lubrifier l'entrée de son cul. Cependant, il ne recula pas, et enfonça encore un peu plus son épais pénis à l'intérieur de la jument. Il commença alors les vas et vient, tirant ses cheveux par l'arrière, tandis que sa main libre lui donna de grosses fessées.

La semence ne tarda pas à inonder son intérieur, ravagé par lui puissant vas et viens du mâle, tendis que la jeune femelle contracta elle aussi un orgasme, du fait de la chaleur se repensant en elle, envoyant de puissants jets de mouille contre le torse de son amant. Leur jouissance commune dura de bien longues minutes, le corps ce Konoka cambré en arrière. Si elle avait eu des orteils, ceux-ci seraient dépliés en éventails. Finalement, Aaron se retira d'elle, le membre sortant de sa chatte dans plop humide et sonore, lui arrachant et petit couinement. Son amant termina de se vider sur son visage et sa poitrine, alors que le trop plein de sperme se déversait de son intimité.

- Haaaa... Haaaa... Oui.... Prend moi encore...

Comment ne pas succomber au plaisir avec une telle bête de sexe ? Celui-ci la retourna alors, après un nouvel échange buccal et fit brièvement glisser son sexe entre ses fesses, avant de pénétrer sa petite rondelle. Heureusement qu'elle avait eu droit à une double pénétration dans sa réserve, la nuit où elle avait perdue sa virginité, sinon elle aurait probablement hurlée de douleur. Mais là, entre ses chaleurs et le sexe, tout de même bien lubrifié, ne lui fit émettre qu'un faible gémissement.

- Gniiiiii.... Haaaaa... Pu... Putain... Haaaaa....

C'était gros et épais, élargissant avec dificulté sa rondelle, qui se resserrait sur ce pieu de chair... Son cul lui brûlait sous l'effort, mais putain que c'était bon. Pas autant que par devant, mais ça restait tellement bon... Alors forcément, quand il lui ramona le derrière, Konoka se remit bien vite à détremper les draps, son jus intime ruisselant sur ses cuisses, et un nouvel orgasme ne tarda pas à secouer tout son corps d'extase, envoyant quelques geysers de cyprine contre le matelas...

- Haaaaa.... T... T'arrête pas... Haaaaa.... Continue.... Haaaa....

Et bien entendu, l'extase augmenta encore d'un cran, lorsqu'il décida de lâcher sa hanche et ses cheveux, pour maintenir sa prise directement sur ses seins et en stimulant au passage ses tétons.

Les paroies de l'anus de Konoka se serrait de plus en plus autour de sa bite. Ce qui le força inconsciemment à aller plus loin et plus vite. Et afin de tenir la cadence, il passa ses mains sous la jeune femelle et agrippa ses seins. Il les serra de toutes ses forces, allant même jusqu'à lui tirer ses tétons. Son cul devant rouge, sous les coups de boutoirs de l'étalon. L'envie était trop forte, avec une seule de ses mains, il releva son cul afin d'être encore plus à l'aise et aller encore plus profond. Evidemment il arriva rapidement à la limite, mais continua de lui péter le cul.

Aaron continua son mouvements pendant de très longues minutes, il était à présent assis sur ses mollets et la jeune fille assise sur lui, se prenant son pénis en plein dans le cul. Le mâle n'en puit plus, et déversa toute sa semence à l'intérieur du cul de Konoka. La force du jet, éclaboussa tout le lit, ainsi que le bas ventre de Aaron. Il retira sa bite de son cul et se vida sur ses cheveux, ainsi que son dos et son cul.

« Putain … C'était parfait … » dit-il en la regardant face contre le lit en train d'agoniser de plaisir. « Mais je n'en ai pas fini avec toi. » Il regarda l'heure, il était seize heure passée. « Je vais t'user jusqu'à tard dans la nuit, bébé. » dit-il en la regardant de nouveau.

C'était un spectacle des plus beaux, Konoka gisait sur le lit, tel un pantain sans ses fils, ses deux orifices continuèrent de ressortir le sperme de l'étalon, tandis que le reste du sperme dégoulinait sur son corps. Il se rapprocha d'elle, la tourna face à lui et posa son pénis entre ses seins. Il tira ses cheveux afin d'orienter sa tête vers celui-ci et entra son pénis à l'intérieur de sa bouche. Il commença les vas et vient avec sa tête.

« Tu as la bouche parfaite pour ça. » dit-il en la regardant gober son gland.

Aaron prenait un plaisir monstre. Jamais une femelle n'avait autant tenu avec lui. Ce qui le rendait encore plus excité. Qui plus est, il ressentait quelque chose en plus, lorsqu'il le faisait avec. Après tout, une femelle partageant sa vie ne serait pas une si mauvaise idée ...

Dire qu'il y a deux mois à peine, Konoka était encore une jeune vierge pleine d'innocence. Et aujourd'hui, elle prenait un pied d'enfer à se faire défoncer l'arrière train par un mâle dominant, doté d'une verge démesurée. Même entre ses fesses, le sexe d'Aaron parvenait tout de même à entrer de moitié, ce qui n'était pas rien. Il lui faisait également un peu mal à la tête, à force de tirer sur ses cheveux, mais cette douleur était noyée sous la déferlante de plaisir. Peu après son orgasme, elle en eu de nouveau un, puis un autre. La jument eu le temps d'enchaîner pas moins de cinq jouissance, à environ une dizaines de minutes d'intervalle entre chacun, avant de sentir la chandelle semence se déverser dans son fondement, continuant de chauffer ses entrailles. Et le plus fort, c'est qu'elle était toujours consciente.

Konoka se fit une nouvelle fois retourner. Elle pataugeait dans un lit sale, visqueux, qui sentait le sexe à plein nez, mais elle s'en foutait. Le membre de son amant tomba lourdement entre ses seins, le gland juste devant ses lèvres et elle n'eut qu'à ouvrir la bouche pour qu'il s'enfonce en elle, remuant dans celle-ci. La jument avait même encore assez de force pour le branler en pressant de nouveau ses seins sur la hampe de chair, excitée de sentir ce monstrueux piston se déplacer si vite sur son clito gonflé.

- Glorrp ! Glooorp ! Gluuurp ! Gloooorp !

Ce bruit, ce sont les vas et viens dans sa bouche inondée de salive. Konoka continuait de faire aller et venir ses seins en même temps que les coups de piston, tout en se triturant les tétons pour maintenir son plaisir au même niveau. Et malgré sa position soumise, elle parvint à surprendre encore son amant... en enfonçant sa langue dans son urètre, après l'avoir titillée jusqu'à l'élargir.

Konoka reprit les devants et posa la verge de Aaron entre ses seins et se mit à la sucer. Tout en le branlant, on entendit des bruits très sexuels sortir de sa bouche, ce qui excita davantage l'étalon. Et à un moment, où il ne s'y attendait pas, la femelle entra sa langue dans son urêtre, ce qui donna un petit jet électrique dans tout son corps. Il n'avait pas l'habitude qu'on s'occupe de ça lors de ses ébas. Mais il fallait avouer que c'était bien agréable, trop peut-être. Puisque son sperme, sans crier gare, sortit d'un seul coup et remplit une nouvelle fois la bouche de Konoka. Mais cette fois ci, le jet de sperme ne s'arrêta pas aussi vite, Aaron continua de jouir pendant plusieurs secondes, inondant et recouvrant complètement le visage de sa partenaire.

Une fois le jet stoppé, l'étalon profita de la situation pour se baisser et faire face à la chatte toute rose de Konoka. Sa langue vint faire le tour de son petit bouton rose. Il le lécha longuement, un de ses doigts venant même accompagner le mouvement en rentrant dans sa chatte. Son doigt étant aussi gros  qu'un pénis d'homme au repos, il l'enfonça de moitié et vint caresser ses paroies. Sa main libre venant lui agripper son cul, le tenant fermement, laissant une trace rouge très visible. Il continua ses mouvements pendant plusieurs minutes, avant de se relever et de se mettre face à elle.

« Allez, viens sur moi bébé. » dit-il en se couchant sur le dos.

Aaron prit la jeune fille par la taille et l'amena sur lui en l'ampalant directement sur sa bite. Cependant, au lieu d'y aller progressivement, il fit rentrer toute sa queue à l'intérieur de son utérus. La bosse de l'autre fois se reforma au niveau de son ventre. Des coups de bassain venaient accompagner les  mouvements de la jeune femelle. Afin d'avoir un meilleur appui, il agrippa ses seins, en les frappant presque de toutes ses forces ; et comme ses fesses, les seins de Konoka devinrent rouge au fur et à mesure.

Les deux amants partageaient à présent une baise de débauche, la jeune fille débordait de foutre, sa bouche et son anus en dégoulinait, sans parler de ce qu'elle avait dans les cheveux et sur son corps tout entier. La sueur venant accompagner tout ça. Aaron lui aussi était recouverrt de sueur, mais aussi de la mouille de la femelle, ainsi que de sa propre semence.

« Bébé... Je vais pas tarder à jouir de nouveau ... » dit-il en aggripant de plus en plus fort ses gros seins.

Depuis combien de temps baisaient-ils ? Combien d'orgasmes avaient-ils eu ? Konoka avait perdue le compte. Ils étaient tout deux maculés de leur semence, mélange de sperme et de cyprine. Dehors, la nuit était tombée depuis un moment et la pièce avait bien besoin d'être aérée, tant elle puait le sexe et la sueur. Mais elle était aussi saturée des phéromones de la femelle et de la testostérone du mâle. Après avoir généreusement giclée dans sa bouche, et elle, ayant une fois de plus envoyée la sauce après son cuni, voilà que la jument chevauchait son amant équin. Depuis plus de deux heures.

Aaron avait jouis à plusieurs reprises dans son intimité et, dans cette position, le trop plein sexe versait plus rapidement sur lui. Elle même avait expulsée des jets de mouille directement sur son visage, excitée comme une folle et plus encore lorsqu'elle le voyait ouvrir la bouche pour avaler son jus intime. À présent, elle était allongée contre lui, ses seins écrasés contre le torse de son amant, son cul fermement agrippé par sa poigne et son bassin remuant rapidement sur son membre. La jeune femelle ne criait pas, mais gémissait et couinait de bonheur, embrassant goulûment son amant.

Leur séance de baise continua ainsi encore une bonne dizaine de minutes, avant qu'ils ne jouissent à l'unisson, puisement. Un torrent de sperme brûlant déferla dans son intimité en feu, alors qu'elle même envoya de puissants geysers de mouille tout aussi chaude contre son bas ventre et ses testicules. Leur orgasme dura trente bonnes secondes, avant que leur frénésie sexuelle ne se calme enfin.

- Haaaa... Haaaa... Shuis morte... Haaaa.... Haaaa...

Konoka n'en pouvait tout simplement plus. Elle resta sur son amant, tandis que le sexe en elle sortit de lui même, expulsé par la semence sous pression, qui se déversa de sa chatte élargie. Mine de rien, ils avaient baisés 8h d'affilées sans prendre de pause. Et malgré cela, même si la jeunette ne pouvait plus bouger d'un pouce, elle était toujours consciente.

- C'était... Incroyable... Ma meilleure expérience... De toute ma vie... Haaaaa....

Doucement mais sûrement, Konoka sentit la fatigue l'emporter et elle s'endormis comme ça, dans les bras d'Aaron, dans cette marmelade de fluides sexuels collants et gluant, avec un sourire ravis accroché aux lèvres.

Après de longues heures de baise, les deux amants se couchèrent l'un sur l'autre. Le sommeil vint aussi du côté de jeune mâle. Avec ses grands et forts bras, il serra la femelle contre lui et s'endormit. Il dorma pendant plusieurs heures, se réveillant le lendemain matin sous les coups de neuf heures. Il remarqua que Konoka était restée sur lui durant toute la nuit, ce qui le fit sourire. L'odeur, ainsi que l'humdité de la mouille et de la semence des deux individus avaient disparus. Il en profita pour allonger la femelle plus confortablement, oreillé sous la tête, ainsi qu'une couverture épaisse pour la recouvrir. Il sortit de la chambre et partit.

Aaron sorti pendant deux bonnes heures, afin de vérifier si tout allait bien dans sa propriété. Sa maison principale était dotée d'écrans permettant d'avoir un aperçu complet sur tous les coins de sa prairie. Il pouvait ainsi voir que quelques maisons secondaires avaient été occupés pendant la nuit. Les légumes, ainsi que les fruits avaient besoin d'être ramassés et cultivés de nouveau. La barrière au nord avait besoin d'une réparation, tandis qu'une de ses propriétés n'avaient plus d'électricité. Il avait l'habitude de rêglé tous ses problèmes, mais il est vrai qu'une aide ne serait pas de refus. Il se voyait mal demandé à son amante d'une nuit de venir l'aider et de s'installer avec lui. Elle avait beau être perdue et avait connue nombre de soucis, lui demander cela était peut-être un peu trop gros. Il oublia vite cette idée.

Quelques instants plus tard, il reçu un message, lui rapportant qu'un couple de femelles équins arrivaient ce soir et avaient besoin de distraction. Cependant, elles demandaient la présence d'une femelle uniquement. Jusqu'à ce jour Aaron refusa contre son gré cette demande, étant donné qu'il était seul et n'employait aucune femelle. Il rangea son portable dans son sac qu'il portait en bandouillère et sortit de chez lui, en prenant avec lui quelques fruits et de l'eau fraîche.

Le mâle retourna dans la résidence où était endormi Kanako, il entra et monta à l'étage pour la voir à présent réveillée, en train de regarder la télévision.

« Réveillée ? La nuit n'a pas été trop dure ? » dit-il en souriant.

Il déposa sur un plateau les fruits qu'il avait ramané, ainsi qu'une énorme bouteille d'eau fraîche. Il déposa cela sur la table de nuit.

« Si tu veux manger, tu as le droit de te servir. Je les ai ramené pour toi. » dit-il en s'asseyant sur le bout du lit.

Aaron était évidemment nu, il n'avait pas eu le temps de se changer et puis il n'avait rien à cacher. C'est un peu comme si un humain se mettait torse nu, il n'y avait rien de choquant.

Pendant plusieurs minutes ils parlèrent de tout et de rien en partager les fruits qu'Aaron avait ramené, puis se leva.

« Bon, c'est pas le tout, mais j'ai du travail. Et puis je dois dire à ses jeunes femelles que je ne pourrais pas leur proposé le divertissement qu'elles convoitent. Tu peux rester ici autant que tu veux et sortir de cette maison comme bon te semble. » Il commença à se lever.

Quand Konoka se réveilla le lendemain matin, elle était seule, confortablement installée sous les draps... Enfin, autant qu'on puisse l'être dans un lit devenu rêche à cause du sperme séché. Elle même sentait des croutes un peu partout sur elle et dans ses cheveux, rien de très agréables. Elle se dit qu'elle aurait bien besoin d'un bon bain.. Ou d'une douche, ça dépendait de l'équipement sanitaire de cette maison. Elle voulu donc se lever, mais se résolue à abandonner cette idée. Sa cheville lui faisait toujours mal.

Faute de vraiment pouvoir se déplacer, elle se contenta donc d'allumer la télé et regarda les infos. Juste histoire de voir un peu ce qu'il se passait dans le monde. Elle appris ainsi que des fouilles archéologiques se déroulaient dans la proche forêt de la capitale, qu'une visite diplomatiques était en cours à l'autre bout du pays, sur les terres des dragons et qu'un grand championnat de voltige devrait bientôt avoir lieu. Rien de bien passionnant lorsqu'on vient à peine d'arriver sur un nouveau monde. Konoka se rendit alors compte qu'il lui faudra bien du temps pour s'adapter à cette nouvelle vie...

Aaron finit par revenir au bout d'une paire d'heure, avec un plateau de fruits, et la jeune jument pu ainsi se restaurer un peu, tout en écoutant son hôte. À sa proposition, elle eu un léger sourire un peu crisper.

- Et bien justement... J'aimerais me laver un peu et prendre l'air... Mais j'aurais besoin pour cela de béquilles, si ça ne te dérange pas trop...

Il sembla ne pas comprendre. Alors d'un signe de tête, elle lui indiqua son bandage de la veille... Sans doute à cause de leurs ébats, avait-il oublier ce détail... Heureusement qu'elle était presque toujours assise ou allongée, sinon à un moment, elle n'aurait pas pu continuée à coucher avec lui.

Une bonne heure plus tard, Konoka sortit enfin sur la terrasse côté prairie, les cheveux au vent, propre et légèrement parfumée, non pas avec un parfum quelconque, mais parce que le savon lui même l'était. Et en toute honnêteté, voilà bien longtemps qu'elle ne s'était pas savonnée. Ça faisait un bien fou ! Appuyée sur ces béquilles, elle observait Aaron qui travaillait ses champs au loin.

Bien qu'elle ait obtenue son diplôme de fin de lycée, elle n'avait aucune idée de quoi faire de son avenir... Ces dernières semaines, elle avait mît tout cela de côté, mais maintenant qu'elle était de nouveau libre, et qui plus est dans un monde ou sa transformation ne posait aucun problème, Konoka devait à nouveau y réfléchir... Peut être qu'aider son hôte serait une bonne idée... Ça lui permettra d'avoir un métier, ainsi que garder contact avec la seule personne qu'elle connaissait sur ce monde...

Lorsqu'il approcha, elle engagea la conversation.

- Tu sais, par rapport à ce que t'as dis tout à l'heure... Je n'ai aucun repaire autre que cette demeure et j'ai tout perdue de mon ancienne vie, donc... Ça ne me gêne pas d'aider... Mais avant, il faut que ma blessure guérisse... Et... Je veux pas seulement aider avec des prestations sexuelle... J'aimerais aussi être initiée à un vrai métier...

Aaron avait presque oublié qu'elle était blessée, étant donné qu'ils avaient baisé toute la journée et une bonne partie de la nuit, sa cheville était passée au second plan dans sa tête. Il s'en voulait beaucoup et c'est pour ça qu'il la laissa quelques minutes seule dans la chambre, et  revenir avec une paire de béquilles. Il s'excusa d'avoir été un piètre hôte et les lui tendit. Après lui avoir montré où était situé la salle de bain, il sortit de la résidence et partit s'occupé des légumes. Pendant une bonne heure, il cueilla tout ce qui était mûr, il ferait le tri, chez lui. Puis en s'approchant de la maison où habitait pour le moment Konoka, il l'entendit sur le balcon. Elle lui proposa son aide, afin dans un premier temps de satisfaire l'appétit des jeunes femelles et ensuite de lui apprendre un vrai métier, mais seulement lorsqu'elle sera rétablie.

« Ecoute. Pour les deux juments, tu n'y ai pas obligé. Je peux refuser comme j'ai l'habitude de faire dans pareille situation. » dit-il en levant la tête afin de la regarder. « Puis il n'y a pas de soucis, je peux t'apprendre tous les métiers qu'on puisse exercer ici. Seulement, pour le moment, avec ta jambe, je t'en apprendrai un qui ne nécessite aucun effort. » dit-il en rangeant une carotte dans son panier.

Après lui avoir dit qu'il reviendrait vers elle dans une bonne heure, Aaron continua la cueillette, elle se déroula sans soucis, il remarqua cependant qu'il lui faudrait changer quelques plans de tomates, ainsi que refaire tout le par-terre de fleur. Nombreux de ses « clients » en raffolaient. Il ramassa les dernières carottes et rentra chez lui. Il fit le tri de tout ce bazard et se dirigea vers chez Konoka, toujours entièrement nu.

En y allant, il reçu un message :

« Alors elle est où la fille ?!! On l'attend nooooouuus ! »

Aaron resta pensif, mais continua de se diriger vers la propriété. Il y entra et monta à l'étage, là était assise devant le bureau la jolie jument.

« Hey ! Excuse-moi de te parler de ça aussi brusquement. Mais les filles qui recherche une troisième partenaire aimeraient savoir quand est-ce qu'elle arrivait. Je leur dit que c'est impossible ou tu es  vraiment partante pour le faire ? » dit-il en un peu gêné de demander ça.

Mais après tout la jument avait le droit de refuser, c'était même logique, étant donné sa blessure.

Finalement, Konoka fut initiée à un métier plutôt basique, celui de secrétaire derrière un bureau. Au moins, elle était dans une maison de campagne, avec vue sur les prés, un cadre bien plus agréable qu'une tour d'entreprise. Ainsi, elle devait juste surveiller les écrans, noter les problèmes et répondre au téléphone s'il sonnait. Devant elle, un calendrier avec des rendez-vous notés, ainsi relevé des rentes d'argent et des dépenses. C'est donc ainsi que la jeune jument appris que Aaron, en plus de vendre ses produits au marché, louait également ses différentes propriétés pour une nuit ou un weekend à des couples, des femelles célibataires ou des groupes d'amis. Dans quelques cas, il y'avait parfois des familles qui venaient pour une semaine de vacances, loin de la ville. Finalement, le sexe était un peu secondaire dans tout ça.

Plus elle observait le téléphone, plus Konoka avait envie de tester quelque chose... Quelque chose d'un peu idiot, mais elle se devait d'essayer quand même... Si Elle, pouvait passer d'un monde à l'autre, il n'y avait aucune raison pour que les ondes ne puissent pas en faire autant. Ainsi, doucement, elle prit le téléphone, et composa le numéro de son appartement, à Seikusu. Et elle attendit. Au bout d'une vingtaine de tonalités, de plus en plus longues, Konoka se dit qu'il n'y avait aucune chance... Lorsque ça décrocha enfin.

- Allo ? Qui est à l'appareil ?

- Ma... Maman ?

- Konoka ? C'est toi ? Mon dieu, où est tu ma chérie ? Est ce que tout va bien ? Je me suis fais un sang d'encre depuis ta disparition, la Police n'a rien découvert malgré l'aide de nombreuses associations et... Misère, ce sont des larmes que j'entend ? On t'as fait du mal ?

- Non, c'est... Je suis juste contente de t'entendre à nouveau... Maman...

C'était une idée débile, mais elle avait fonctionner. Une faille d'ici à la Terre devait être ouverte quelque part, reliant les deux mondes. Elle qui avait vécue deux horribles mois, entendre de nouveau sa mère l'avait fait fondre en larmes.

- Si tu savais tout ce qui m'est arrivée... Mais ça va maintenant... Quelqu'un s'occupe de moi, il est gentil et attentionné... Par contre... Je ne suis plus tout à fait normale... C'est difficile à expliquer... Et je suis plus vraiment au Japon...

- Que veux tu dire ? Où est tu, que t'es t-il arrivé ?

- Ce serait trop long et trop bizarre à expliquer, je veux juste que tu sache que je vais bien et...

- Oh mon dieu c'est pas vrai... Je viens de comprendre, tu es devenue une jument, c'est ça ?!

Konoka resta interdite... Comment sa mère avait-elle devinée un truc aussi spécifique sans qu'elle ne laisse rien filtrer. Et alors elle compris.

- Tu veux dire que... Que toi aussi tu... ?

- Si tu es devenue comme je le pense, tu ne peut être que sur mon monde natal... C'est incroyable... Ça veux donc dire que la fa... est ...ouj...rs ouv...rte, depuis tout ce temps...

- Euh... Maman, je te perd...

- Écoute moi, ça va prob... ement me ...ndre un peu de ...rshhhhh... avant que je puisse te rejoindre... D'ici là, je... que tu aille, si tu... au 15 ave... es raisins, dans une ... quina, avec un peu de chance, ta gr... ère doit... Rssshhhrrsshhhhh....

- Maman ? MAMAN !?

Plus rien, ni voix, ni tonalité. La faille avait probablement dû se refermer, coupant ainsi net la conversation. Mais Konoka avait appris une chose essentielle : sa mère était originaire de ce monde. Et si elle n'avait jamais rien dit concernant son père, c'était probablement parce que lui même vivait ici autrefois... Donc finalement, qu'elle devienne une jument en quittant la Terre, c'était probablement normal, si cela avait toujours été dans ses gènes... C'est à ce moment là que son hôte choisit de faire irruption dans le bureau, lui demandant si elle était toujours partante pour recevoir le couple lesbien. Mais Konoka ne répondit pas tout de suite, le téléphone serré contre elle, des traces de larmes sur ses joues.

- Je... Pas tout de suite... Quand je ne serais plus blessée... Dis... Tu connais l'avenue des raisins, à Equina ? Paraît que ma grand mère y vit...

En arrivant dans la chambre, Aaron vit Konoka poser le téléphone sur sa plateforme, elle paraissait soucieuse, comme si quelque chose n'allait pas. Il posa quand la question qui était de  savoir si oui ou non elle voulait aller dans les appartements des deux jeunes femelles. Elle refusa, affirmant qu'elle avait toujours mal, ce qui était tout à fait compréhensible. Puis elle enchaîna en lui demandant si il connaissait cet endroit. Et effectivement oui, cette adresse se trouvait dans une ancienne cité équine. Elle avait été dépeuplé lorsque les humains sont parti il y a deçà une dizaine d'années. Etant donné que les équins pouvaient aller à présent où ils voulaient, cet endroit s'en ai retrouvé dépeuplé. Cependant des personnes n'ayant pas autre part ou aller y étaient resté.

« Oui oui, je connais bien. C'est à une vingtaine de minutes d'ici à sabots. » dit-il en montrant la direction à la femelle. « Pourquoi ça ? Tu veux y aller ? » dit-il en la regardant toujours pensive.

Aaron et comme tous les équins de la planète, se déplaçaient essentiellement avec ses sabots. Mais travaillant à l'agriculture, qui plus est sur autant d'hectares, il avait besoin de se déplacer loin et longtemps ainsi que transporter beaucoup de matériels avec lui. C'est pour ça, qu'il avait investi dans un gros véhicule tout terrain.

« Si tu veux on peut y aller avec ma voiture. On y sera plus rapidement et il y a assez de place derrière pour que tu puisses t'allonger. » dit-il se rapprochant d'elle, un genou à terre, puis une main frottant sa jambe blessée.

L'équin était prévenant, un peu trop peut-être avec elle, comme si la nuit dernière avait réveillé chez lui quelque chose dans son cœur.

Visiblement, l'endroit où vivait sa supposée grand mère n'était pas très loin d'ici, une chance, elle pourra donc s'y rendre régulièrement lorsqu'elle serra guérie, même si elle devait connaître le chemin au préalable. Quant à sa question si elle voulait s'y rendre à la raison pour laquelle elle le souhaitait, autant lui répondre franchement.

- J'ai réussie à avoir ma mère au téléphone... Apparemment, ma grand mère vivrait à cette adresse... Moi qui pensait ne plus avoir beaucoup de famille, c'était une surprise... Mais à cette heure-ci, elle doit sans doute être occupée et ce serait sans doute une mauvaise idée de s'y rendre à l'improviste...

Mieux valait en effet essayer de la contacter pour annoncer une visite, plutôt que de débarquer comme ça sans prévenir. De plus, elle avait vue, après être sortie de sa douche, que l'armoire de sa chambre, si elle contenait effectivement des fringues féminines, étaient plus d'ordre sexuelles. Autrement dit, si elle voulait sortir en ville avec, alors il faudra qu'elle se résoute à sortir avec un corset en latex. Elle repensa aussitôt aux caméras de surveillance et prévint son hôte d'un autre problème qu'elle avait vue.

- Ah oui, au fait, il y'a aussi eu une tentative d’effraction dans la résidence n°5, au niveau de la serre... Le grillage de sécurité à été coupé mais la serrure de la porte n'a pas été forcée. Les résidents présents à ce moment là ont juste eu le temps de voir une ombre fuir lorsqu'ils ont jetés un œil à la fenêtre...

Elle lui disait cela en affichant la caméra de sécurité concernée, ainsi qu'un commentaire posté par les clients sur son site d’hébergements dans la matinée. C'était probablement un simple rôdeur, à moins qu'Aaron n'ait des concurrents déloyales qui ne lui cherchent des noises ? Bref, tandis que le mâle ressortait finire ses affaires et jeter un oeil sur place, Konoka elle, reprit sa surveillance, tout en se baladant sur le net. Elle chercha ainsi à en apprendre un peu plus sur ce monde et découvrit ainsi le passé historique du pays.

Visiblement, avant l'invasion du monde, les habitants avaient d’avantage une apparence Férale, quadrupède, bien qu'étant doués inintelligence A cette époque, les habitants ne portaient pas forcément de vêtements, ces derniers n'étant vu que comme de simples accessoires. Ce n'est que lorsque l'armée venue de l'autre monde envahis Equestria que les choses changèrent peu à peu. En effet, la magie de cet autre monde se déversa dans celui-ci, la corrompant peu à peu, et s’ensuivit diverses modifications. Ainsi, les poneys prirent une forme plus chevaline, tout en devenant des bipèdes anthropomorphiques. Au contact des humains, ils adoptèrent pour la grande majorité leurs meurs, devenant plus pudiques. En revanche, ceux n'étant pas en contact avec les humains conservèrent leur mode de vie et restèrent naturistes. Bien que les 5 Alicornes disparurent par la faille, la magie des licornes gagna peu à peu en puissance, au point que la population parvint à repousser l'ennemi. Le site indiqua également que depuis la corruption magique du monde, les poulains de moins de 5 ans a l'époque en ont également été victime. Ainsi, aujourd'hui, les habitants de moins de 25 ans ne possède aucune marque de beauté sur leur flanc, et ce malgré la révélation de leur talent.

En prenant ces informations en compte, Konoka se dit que sa mère et sa grand mère devaient donc toujours posséder la leur... Konoka en revanche, était encore dans le ventre de sa mère lors de ces évènement. Etant née sur Terre et ayant été élevée sous forme humaine dans un monde dépourvu de magie, peut être n'avait-elle pas été corrompue par cette magie, qu'elle avait été en quelque sorte été préservée... Mais n'ayant aucune idée de ce qu'elle voulait vraiment faire et ne s'étant pas découvert de talents particulier, il y'avait donc peu de chances malgré tout que cette marque apparaisse également. Et Pour Aaron, s'il n'en avait pas, cela devait donc dire qu'il faisait partit de cette catégorie d'individus touchés par la corruption magique au moment des faits, mais qu'il était lui même trop jeune à l'époque pour s'en souvenir...

Mais surtout, Konoka avait découvert que certains habitants restaient naturistes au quotidiens et que cela était accepté dans les mœurs du pays. Autrement dit, elle pourrait sortir ainsi sans que cela ne pose de soucis. Tant qu'elle ne s'exhibait pas complètement non plus et restait au naturel bien entendu. Se balader en tenue d'Eve était une chose, se caresser en public en était une autre... Même s'il y'avait des chances pour qu'elle excite toutes les personnes passant près d'elle à cause de son apparence globale.

Haussant les épaules, Konoka décida de mettre ces pensées de cotés et essaya de contacter sa grand mère...