Nouvelle venue [PV : Cassandre Harmington]

6h05, Jenny s'occupait, comme depuis le début de sa carrière de fermière, de ses vaches. Elle adorait les traire, elle pourrait y passer ses journées. Passer du temps avec elles aussi, combien de fois, on l'a surprit endormie dans la paille accolée à elles. Un amour fou pour les vaches en somme.
La jeune demoiselle de 21 ans, brune aux cheveux long, avec une mèche nouée en tresse sur le côté, d'un mètre soixante-cinq, visage fin, et très bien foutue physiquement, en atteste sa très généreuse poitrine et ses fesses arrondies et ferme ; se dirigea vers sa ferme, dont elle avait l'entière responsabilité étant donné que son grand-père lui avait légué à sa mort il y a deçà 3 ans. Elle ouvrit l'énorme porte pour rentrer dans la grange où était stocké toutes ses précieuses vaches.

« Un, deux, trois, quatre et cinq ! Vous êtes toutes la mes chéries ! » Dit-elle en sautant de joie.

Jenny était de nature très gentille, mais elle savait être dur quand il le fallait avec ses vaches, car il faut bien le dire, elles n'obéissaient quasiment jamais et il fallait montrer qui était le chef ici, c'est pourquoi elles n'hésitaient à user de la force lorsque c'était nécessaire.

La jeune fille se dirigea vers le fond de la grange pour actionné la machine à traire le lait. En effet, la ferme de Jenny était équipé des tous derniers équipements technologiques. Elle s'approcha d'une de ses vaches et pris les appareils à traire, elle les fixa sur les pies de cette dernière et le lait commença à en sortir, elle fit pareil pour les cinq dernières vaches.

Jenny était heureuse aujourd'hui, car on allait lui offrir une vache qu'on avait trouvé non loin d'ici, une vache un peu particulière, car elle était mi-femme mi-vache. Rien qu'à l'idée de pouvoir rencontrer cette créature, la remplissait de joie.

Il était bientôt 7h00, quand on klaxonna. Jenny occupé à traire manuellement une de ses vaches, car l'appareil qui permettait de le faire était un peu défectueux, relâcha directement les pies de la vache pour se hâter à sortir de la grange. Elle sauta par dessus le portail, serra la main du conducteur venu à sa rencontre et regarda directement l'arrière de la camionnette, pour voir une magnifique vache, comme elle en avait jamais vu.

« Toi ! Tu es à moiii !!! » Dit-elle, les points  au niveau de sa bouche, afin de baisser le volume de ses cris un maximum.

Elle signa quelques formulaires d'usages, pendant que l'une des personnes venues avec le conducteur emmena la vache vers la grange. Une fois ceci fait, elle se dirigea vers elle, ferma la porte de la grange derrière elle et couru à la rencontre de la nouvelle. Nue sous sa salopette, sa poitrine dépassait legerement quand elle se hâtait de la sorte.

« Tu es magnifique ! Comment tu t'appelles ? » Dit-elle, en entrant dans le box de la créature.

Une vache n’était pas fait pour vivre seule. Cela, tout le monde était d’accord. La vache était un animal de troupeau, donc, il était important qu’elle vive avec... Et bien avec le fameux troupeau. C’était la base... Cela, c’était pour les vaches, et tout le monde était d’accord. Personne n’irait laisser à une vache la possibilité d’être « toute seule ». Et bien, alors, se posait la question logique : Et pour les terranides vaches... Qu’est-ce qu’on faisait ? Et bien, la même chose ! Une bonne terranide vache n’avait pas à existé toute seule, et encore moins libre. Les vachettes étaient faites pour elle aussi, appartenir à des maîtres. Mais leur proximitée avec des femmes, faisaient qu’elles pouvaient aussi être utilisée... Et bien comme des femmes ! Cela faisait que ses vachettes étaient souvent très prisées... Et donc, extrêmement recherchés, car elles pouvaient rapporter beaucoup à ceux qui la capturaient, et ceux qui l’utilisaient...

C’est le cas de notre fameuse Cassandre... Cassandre avait été éduquée pour être une bonne vachette, cependant, au cours d’une randonnée, elle s’était perdue. Donc, elle était restée plusieurs jours toute seule, perdue... Elle avait fait de son mieux pour manger... Mais heureusement -ou malheureusement- les terranides « libres » ne le restaient pas souvent très longtemps. De nombreux « chasseurs » de Terranides vivaient justement de la capture de ses terranides. Alors qu’elle cherchait un endroit calme, elle avait fini alors dans un filet, qui avait été trainé par un homme. Elle n’avait rien pu faire. Elle était capturée, elle allait être vendus donc.

Elle fut attachée et baillonnée pendant son trajets. Visiblement, le conducteur, son captureur, n’avait pas spécialement envie de la supporter pendant autant de temps de trajets. Elle était restée endormie dans son filet pendant un long moment, et ses seins commençaient à lui faire mal. Les deux énormes seins étaient remplis de lait maintenant... Bref, ce fut de bon matin qu’elle commençait à être conduite pour sa future résidence. Où allait-elle se diriger exactement ? Un endroit où elle allait être vendue ? Ou bien, directement à sa nouvelle maison ? Bref, une fois arrivée, elle fut libérée de ses menottes, et de son baillon. Seul son collier, avec sa laisse, lui permettrait d’être guidée. Elle avait également perdue ses vêtements, faisant qu’elle était entièrement nue, exactement comme une vraie vache.

« Toi ! Tu es à moiii !!! »

« Ou... Oui... ! »

C’est alors qu’une demoiselle arriva à son niveau. Elle semblait légèrement essoufflée, comme si elle s’était empressée de venir jusqu’à elle. Cassandre pouvait alors voir qui allait être son interlocutrice : c’était une jeune demoiselle, peut-être de son âge, qui avait des longs cheveux noir, et une très imposante poitrine ! Presque de son niveau... Etait-elle une terranide vache ? C’était possible. Cassandre ne connaissait pas grand chose des humains, des terranides... Elle n’avait pas eu d’éducation, ce qui faisait qu’elle ne connaissait pas les différences fondamentales entre les différentes créatures qui pouvaient coexister ! Bref, une méconnaissance totale... Quoiqu’il en soit, une fois la paperasse fait, le fameux vendeur amena la vachette à l’aide de sa laisse jusqu’à sa nouvelle demeure... Une fois rejointe par son interlocutrice, celle-ci déclara :

« Tu es magnifique ! Comment tu t'appelles ? »

« Je m’appelle Cassandre... »

Elle déclara son nom. Elle était très fière de son nom. Cela prouvait qu’elle était quelqu’un, une vraie vachette ! Elle l’était, et donc, elle était fière de son nom, qui prouvait qu’elle était ce qu’elle était. En tout cas, elle ne connaissait rien de son interlocutrice, et des questions se bousculaient dans sa tête. Faisant fi alors de tout respect, de toutes règles, elle déclara :

« Je suis une vachette qui a été récupérée... Vous êtes ma... Maîtresse ? Ou bien vous êtes comme moi ? »

Elle demandait, car elle avait des doutes. Ouh là là !!! Cela risquait de mal commencer pour elle ! Une esclave qui emet la possibilité que sa maîtresse pourrait être l’une des leurs... Cela ne se faisait pas. Et quand je disais que cela ne se faisait pas, c’était du genre que cela ne se faisait pas du tout ! Mais pas du tout, du tout ! Mais que voulez-vous... Cassandre avait véritablement des doutes, étant donné que... Et bien... Et bien, elle avait en face d’elle l’une des plus grosses poitrines qu’elle n’avait jamais vu ! Hors, il fallait bien le dire, pour elle, une grosse poitrine, cela voulait dire une chose... Qu’elle avait une autre vachette en face d’elle ! Hors non, elle avait en face d’elle sa maîtresse, celle qui pouvait faire ce qu’elle voulait d’elle ! Aussi bien la réduire comme un animal, ou pire, même, un simple objet, une paire de sein sortant d’un mur, servant juste à donner du lait. Surtout que l’avantage d’une vachette se révélait aussi dans ses seins. C’était très simple de traire une vachette... Bref, ce qui allait arriver, risquait d’être très intéressant...

Jenny adorait les vaches, elles les trouvaient vraiment magnifique, leur nonchalance, leur petit minoit, leur façon de manger leur nourriture, de parler entre elles, et surtout leur énorme réserve de lait. En effet, une vache c'est bien évidemment utile pour le lait, ce lait qu'elle adorait retirer des pies de ses vaches. Elle s'était même prit pendant quelques nuits, seule, à tirer sur ses tétons et à souhaiter que du lait en jaillisse. Rien ne vint évidemment, mais ça l'avait toujours passionnée. Conclusion logique, le fait de trouver une vache, avec les attributs d'une femme, rendait toute excitée la demoiselle, elle allait pouvoir faire ce qu'elle veut de la nouvelle venue, qui d'ailleurs était toute nue, ses énormes seins bien rebondit et ferme, tétons durs, pointés vers l'avant, du lait commençait à y couler.

« Je suis une vachette qui a été récupérée... Vous êtes ma... Maîtresse ? Ou bien vous êtes comme moi ? »

Jenny, ne comprenait pas trop ce qu'elle voulait dire, car elle n'avait pas de corne, encore moins une queue qui sortait du bas de son dos, mais Cassandre regardait avec envie sa poitrine, elle comprit.

« Ah non, moi je suis une humaine, tout ce qu'il y a de plus normal. Je suis ta maîtresse, tu n'appartiens qu'à moi et à personne d'autre, et ça … » dit-elle, en déboutonnant sa salopette pour pouvoir relâcher ses deux énormes obus « Ce sont mes seins, tu auras le droit d'y toucher, seulement quand je le voudrais et surtout si tu es une bonne vachette ! »

Sourire aux lèvres, elle reboutonna sa salopette et s'approcha de Cassandre, elle commença à toucher les seins de cette dernière, comme elle s'en doutait, du lait jaillit aussitôt. Mais elle adorait les toucher, les seins de la vachette, étaient encore plus doux que les siens, une excitation, qu'elle n'avait jamais connu auparavant vis à vis d'une de ses vaches, commença à monter. Elle relâcha ses seins.

« Ils te font mal ? Je vais m'en occuper. Tu ne bouges pas ! » dit-elle en montrant le sol du doigt.

Elle se dirigea, vers l'autre box où elle avait laissé le tabouret, le prit, et retourna vers Cassandre. La jeune femme posa le tabouret devant le corps de la vachette, récupéra un sceau qui était posé non loin d'ici et commença à traire … plus précisément à pincer les tétons de cette dernière. Du lait, commençait à couler, à grande quantité.

« C'est bien … Par contre quand je te traies, j'aimerais que tu poses tes mains sur mes cuisses, c'est plus pratique pour moi » dit-elle, en continuant de la traire.

Cassandre, notre chère Cassandre, regardait donc, sa nouvelle maîtresse, bien qu’elle n’était pas complètement sûre... Après tout, c’est vrai qu’elle avait une très grosse poitrine. C’est vrai que néanmoins, elle n’avait ni les oreilles, ni la queue spécifique aux Ushis... Donc, cela était absurde de penser ce que pensait Cassandre... Mais il faut comprendre qu’en vrai, enfaite, les vachettes se concentraient presque exclusivement sur les seins. Pour une vachette, ses seins, s’étaient tout. Etant donné qu’elle se reposait surtout sur cela, pour beaucoup, même, une vachette n’était qu’une paire de sein, coller à un vagin, pour satisfaire leur plaisir... Quoiqu’il en soit, la fameuse Cassandre écouta avec attention alors les déclarations de sa nouvelle propriétaire :

« Ah non, moi je suis une humaine, tout ce qu'il y a de plus normal. Je suis ta maîtresse, tu n'appartiens qu'à moi et à personne d'autre, et ça … »

A ce moment là, elle libéra sa poitrine... Ouah ! Ce n’était qu’une poitrine normale ? C’était impressionnant ! La fameuse Ushi ne connaissait rien aux femmes « normales », et ainsi, elle n’avait aucune idée à quoi servait vraiment les seins d’une femme. Elle savait qu’elle devait donner le plus de lait possible, elle, mais alors, elle voyait pas en quoi cela était utile pour les autres demoiselles ? Après, elle n’était pas contre : Comme beaucoup d’Ushi, elle aimait les poitrines de ses amies, et encore plus ceux de ses maîtres et maîtresses ! Enfin, maîtresse, c’était rare qu’un homme ait de la poitrine... Quoiqu’il en soit, elle eut alors les conditions de son accès aux fameux seins...

« Ce sont mes seins, tu auras le droit d'y toucher, seulement quand je le voudrais et surtout si tu es une bonne vachette ! » 

« Bien, je... Aaah... Meuh ! »

C’est alors qu’elle tentait de dire une phrase, qu’elle eut le droit à se faire un peu masser la poitrine. Pas d’hésitation, elle ne put même pas terminer sa phrase, et poussa un gémissement de plaisir, alors que du lait venait à être légèrement projeté de l’ensemble. Ses seins, tout deux, étaient très sensibles, de base, mais encore plus quand ils étaient bien plein de lait... Elle regarda sa maîtresse, qui déclara :

« Ils te font mal ? Je vais m'en occuper. Tu ne bouges pas ! »

« Bien ! »

Sa nouvelle maîtresse laissa alors seule la vachette un moment. Celle-ci resta alors bien sage, le temps qu’elle reviennent. On racontait que certaines Ushi pouvait fuir, c’est pour cela qu’elles étaient d’habitude bien attachée, mais non, Cassandre était bien sage, elle. Quand celle-ci revint, elle posa alors un tabouret, à côté de la vachette, et prit un sceau pour récupérer le lait. Elle commença alors à traire Cassandre... Bon dieu, que cela faisait du bien...

« C'est bien … Par contre quand je te traies, j'aimerais que tu poses tes mains sur mes cuisses, c'est plus pratique pour moi »

« Oh... euh... Comme ça ? »

Comme toujours, avec Cassandre, tout était d’une grande maladresse. Elle n’était pas extrêmement douée, faisant qu’elle avait tendance à être d’une très grande maladresse. Elle positionna ses mains au niveau des cuisses de sa maîtresse, mettant en avant ses deux gros seins. Elle espérait qu’elle faisait ce qu’elle devait faire. Cela jouait beaucoup dans son côté adorable... Comment critiquer une aussi mignonne vachette ? Elle regardait sa maîtresse, et continuait à pousser des gémissements de plaisir, alors que ses seins étaient normalement trait... En théorie, les Ushi apprenaient à se contrôler quand on leur faisiat la traite... Mais Cassandre n’était pas spécialement douée pour cela, elle, étant donné qu’elle se contrôlait très peu, comme en témoignait ses déclarations :

« Ah... Cela fait du bien... Merci maîtresse... »

Elle remercia sa maîtresse. Elle se demandait si elle faisait toujours attention à traire ses vaches ainsi ? Enfin, vachette, Cassandre ne savait pas qu’elle était au milieu de différentes vraies vaches. Quoiqu’il en soit, si c’était le cas, elle allait devoir s’accrocher, car Cassandre était ce qu’on appelle une grosse productrice, elle pouvait être traire et rapporter énormément de lait. On disait que ce qui était le mieux, pour Cassandre, c’était de la traire deux fois par jour, une fois le matin, et une fois le soir. Bien sur, cela dépendait aussi des jours, des techniques de traites, etc... Mais voilà, c’était une moyenne. Quoiqu’il en soit, Cassandre continuait de meugler de joie. Donc, voilà sa nouvelle maison !

Continuant la traite, elle entendit légèrement la vachette gémir, sans doute de plaisir, car ses autres vaches ne faisaient pas ce son là quand elle leur enlevait le lait. C'est alors que Cassandre mis ses mains sur les cuisses de la jeune femme, elle avait maintenant une vue parfaite sur la poitrine de la vachette. Décidément, elle en avait une très jolie, du lait continuait à en sortir, et la taille des seins de Cassandre ne diminuait pas, pour le plus grand plaisir de Jenny. En effet, la fermière n'avait pas pour habitude de fréquenter d'autres personnes dans son milieu, elle était assez renfermée ici, la ville était à une vingtaine de kilomètres d'ici. Par chance, elle arrivait à vendre un peu de lait, ce qui lui procurait pas mal de revenu, mais c'était tout. Elle n'était pas non plus, plus attirée par les hommes que par les femmes, elle se savait très jolie, ayant de magnifiques atouts, mais c'était tout. Donc de voir une vachette aussi belle, aussi humaine, rien que pour elle, faisait monter l'excitation.

A longueur que la traite durait, le lait se faisait de plus en plus rare. Jenny en profita alors pour caresser les seins de sa vachette, ils étaient décidément bien ferme, bien rond, facilement maniable et très excitant. Elle ne savait pas qu'elle pouvait être à ce point attiré par les mamelles d'une de ses vaches, mais qu'importe, elle était à elle, et allait en profiter un maximum.

« Tourne toi, il faut que je vérifie si tout va bien au niveau de ton arrière-train » dit-elle, en lui faisant signe avec sa main de se tourner. « Voilà, maintenant, mets toi à quatre pattes … parfait ! »

Il était inutile de le préciser, tant elle était belle, mais les fesses de la vachette était tout aussi jolie que le reste de son corps. Des fesses bien rebondies, fermes, blanches qui ne demandaient qu'à être croquées. Jenny commença alors à caresser ces fesses si jolies, elle s'amusait à les écarter pour pouvoir voir le sexe, mais surtout l'anus de sa vachette. Mais il fallait qu'elle vérifie si tout allait bien, et en même pas une seconde elle entra toute sa main dans l'anus de la vachette. Elle enfonça encore sa main à l'intérieur, jusqu'à son poignet, elle trifouilla à l'intérieur avec ces doigts afin de constater si oui ou non il y avait un soucis.
 
Après cinq minutes de vérification, elle retira d'un coup sec sa main de l'intérieur de la vachette. Elle remarqua que du liquide sortait des seins, ça c'était du lait, même si c'était étonnant vu qu'elle venait d'en retirer le maximum, c'était normal, hors du liquide sortait aussi du sexe de Cassandre. Jenny y posa sa main, pour en retirer le liquide, demanda à Cassandre de se retourner avec un signe la main.

« J'en ai plein les doigts Cassandre, enlève moi ça. Avec ta langue ! » précisa-t-elle.

Une fois fait, Jenny demanda à Cassandre de se lever et de la suivre. Elles sortirent de la grange et se dirigea vers la maison. C'était une très jolie maison, avec un étage. Au rez de chaussée se trouvait la cuisine, une salle de bain, des WC, un salon, le garage et une chambre d'amis. Tandis qu'en haut se trouvait la chambre de Jenny, une deuxième salle de bain, des WC, une salle de jeu. Elles entrèrent à l'intérieur, la jeune femme se dirigea directement vers le salon, et la commode, elle ouvrit un des tiroir et en ressorti un collier, noir avec un pendentif jaune et rose.

« Tiens, c'est pour toi. Tu m'appartiens et j'ai envie que tout le monde le sache. Donc mets-le et ne le retire jamais, sinon ta maîtresse ne sera pas contente ! » dit-elle en le menaçant gentiment avec le doigt. « Rejoins moi en haut. »

Jenny se dirigea en haut, dans sa chambre et attendit sa vachette.

La traite dura quand même un bon moment... Cassandre, comme dit précédemment, était une grosse productrice de lait, il ne fallait donc pas s’étonner qu’elle... Et bien, qu’elle produise énormément de lait... Donc, la vachette était contente de bien faire son travail. Le plus grand avantage de notre Cassandre, c’est que non seulement elle produisait énormément de lait, cela, vous avez bien compris... Mais qu’en plus, elle donnait un très très bon lait. Le lait de Cassandre était un lait excellent, un brin sucré, qui avait un grand succès chez les consommateurs. On pouvait même dire qu’il fallait absolument en récupéré le plus possible ! Les vachettes pouvaient être traites 24h/24, quand elles étaient préparés à cela, mais c’était souvent suivant les choix des producteurs...

Néanmoins, toutes les bonnes choses avaient une fin, il fallait bien l’avouer. Donc, une fois que ses seins terminaient de donner leurs laits... Et bien, elle eut une nouvelle mission. En effet, maintenant, sa propriétaire voulait en apprendre plus, en savoir plus sur cette fois l’arrière train de la vachette. Elle demanda donc, chose relativement logique, que la fameuse vachette se mettent à quatre pattes. Elle accepta sans aucune difficultés. Beaucoup de vachettes avaient l’habitude de ne vivre quasiment qu’à quatre pattes, à la demande de leurs maîtres ou leur maîtresses. Elle ne savait pas encore ce qui allait se passer.

On pouvait dire qu’elle ne s’y attendait ABSOLUMENT pas. Alors qu’elle attendait, elle sentit la main de sa maîtresse s’enfoncer dans son anus. Cela fit mal au départ, elle ne s’y était absolument pas du tout prévue, et en plus, rien n’avait été lubrifiée... Donc, en toute logique, cela fit mal. Elle poussa un gémissement de douleur, mais peu à peu, elle s’habitua à la douleur. Les vachettes, vivant à l’extérieur, et pouvant être prise par des vrais taureaux, faisait qu’elles étaient bien solide, prête à endurer des sévices importants. Quoiqu’il en soit, son anus fut trifouillée, sans aucune pitié, pour vérifier qu’il n’y avait aucun problèmes... Peu à peu, elle commença même à renssentir du plaisir, avec du lait qui en coulait de ses seins... Et de la cyprine de son sexe...

« J'en ai plein les doigts Cassandre, enlève moi ça. Avec ta langue ! »

Elle s’exécuta alors. Ce ne fut pas spécialement agréable pour elle, et elle n’apprécia pas spécialement. Même si le goût de la cyprine lui plut quelques peu, le passage de la main dans l’anus de la vachette, fit que ce ne fut pas spécialement agréable niveau goût. Mais elle était une bonne vachette... Donc, elle acceptait de le faire. Après tout une bonne vachette était obéissante, et faisait ce que sa maîtresse ordonnait ! Quel vachette ne serait pas obéissante à ce point ? Une mauvaise vachette ! Une fois cela fait, elle fut amenée par sa nouvelle maîtresse, à l’intérieur de la maison. C’était un grand privilège ! Bien souvent, les vachettes n’avaient pas le droit dans les maisons de leur propriétaire. Elle suivit cette dernière, d’ailleurs,

«Tiens, c'est pour toi. Tu m'appartiens et j'ai envie que tout le monde le sache. Donc mets-le et ne le retire jamais, sinon ta maîtresse ne sera pas contente ! »

C’est alors qu’elle reçu un beau nouveau cadeau ! Quel gentillesse ! Ca cadeau était un collier, entièrement noire, qui allait remplacer le vieux collier temporaire qui lui avait été donné le temps que justement, elle soit amenée ici. Mais le collier n’était pas uniquement un collier, bien utile si on voulait lui mettre une laisse. Non, c’était également un pendantif, qui lui, servait donc à montrer à qui elle appartenait ! C’était très important. Les plus gentils maîtres et maîtresses se contentaient de cela, mais beaucoup, aussi, marquaient leur vachettes, pour être sur que tout le monde sache bien à qui elles appartenaient. D’ailleurs, d’autres maîtres et maîtresses faisaient les deux. C’était ça le plus sur après tout. D’un côté, on marque, de l’autre, on met le collier. Comme ça, aucun risque quoiqu’il arrive... Bref, quoiqu’il en soit, une fois cela fait, elle devait maintenant rejoindre sa maîtresse dans la chambre.

« Me voilà, maîtresse ! »

Elle n’eut pas trop de difficulté à trouver donc là où elle devait être. Je dis bien « pas trop », car Cassandre était parfois un cas désespérée. Mais là, c’est bon. Maintenant, elle avait retrouvée sa maîtresse, elle se demandait quoi faire. Elle connaissait mal ce que devait faire une vachette, autrement que donner du lait. Elle était parfaitement passive et obéissante, donc, ses capacités à faire des choses elle-même était... Et bien proche de zéro.

« Que voulez-vous faire donc, ma chère maîtresse ? »

Cassandre s’installa alors sur le lit, sans attendre l’autorisation de sa maîtresse. Elle avait un peu mal aux pieds, donc, elle se permettait à s’installer. Après tout, elle ne voulait pas le soucis, non ? Bref, quoiqu’il en soit, elle regardait, toute contente, sa maîtresse. Elle avait un peu mal aux fesses, bien sûr, mais globalement, cela allait. Elle pensait qu’elle était vraiment chez une bonne maîtresse, qui était contente d’elle. C’était le principal, après tout ! Une bonne vachette, c’était une vachette obéissante ! Mais si elle était obéissante, parfois, elle oubliait les règles, et là, elle avait sans fait exprès oubliée une règle. Une bonne vachette ne va pas sur les lits, enfin, pas sans l’autorisation de sa maîtresse... Mais bon, elle était sans doute, sa chère maîtresse, une femme qui pardonnait sans problème, non ?

Jenny disposait d'une très grande chambre, un lit deux places était situé au fond de la chambre, un bureau avec un ordinateur est posé juste à côté de la porte d'entrée et au milieu un tapis de gymnastique. En effet, la jeune fille faisait attention à son corps et faire du sport était indispensable pour rester belle et tonique. En plus elle adorait se balader en leggings, c'était super confortable et le tissu lui moulait bien le cul parfait qu'elle avait. C'était tout bénef ! Cassandre arriva et se posa sur son lit, ce qui amusa dans un premier temps la jeune fille, mais il fallait qu'elle soit stricte et de laisser la vachette faire ce genre de chose ne l'aidait pas, car elle apprenait à faire ce qu'elle veut et ça il ne fallait pas que ça se passe. Elle s'approcha alors d'elle, la tourna face contre le lit et lui donna une grosse fessée, puis deux, puis trois.

« Dis dont Cassandre ! On me demande avant de monter sur le lit ! » Dit-elle, index pointé vers le ciel.

Les fesses de Cassandre virent aux rouge, lorsqu'elle lui fit signe de se retourner. Jenny expira une dernière fois, et commença à déboutonner sa salopette, comme tout à l'heure, ces deux énormes seins firent de nouveau leur apparition, elle était à présent seulement habillé de son string bleu marine. Elle se tourna, se cambra et enleva son sous vêtement. Elle le prit avec ces deux doigts, le string était maculé de cyprine, on aurait dit qu'on avait renversé un pichet d'eau dessus, elle tendit celui-ci à la vachette.

« Tiens, dorénavant tu porteras les sous vêtements de ta maîtresse. Évidemment tu n'auras pas le droit de prendre des propres, uniquement ceux que je porterai la veille. » Dit-elle amusée. « Ah oui et tu ne porteras pas de soutien-gorge, j'ai envie de voir ton énorme poitrine en permanence ! »

Elle regardait à présent la vachette mettre son string, c'était très excitant, de voir sa toute nouvelle vache mettre son string imbibé de cyprine. Toujours nue, elle se dirigea vers son armoire et enfila un leggings, ainsi qu'un haut, puis se dirigea vers la vachette.

« Est-ce que tu me trouves belle ? » Dit-elle tout simplement. « Oui je veux ton avis, car tu me serviras aussi à ça, à me dire si je suis jolie dans cette tenue ou pas. Et selon, tu auras des récompenses, beaucoup de récompenses. » Dit-elle un clignant de l’œil.

Jenny s'approcha encore un peu de sa vachette, maintenant habillée de son string. Elle caressa alors la poitrine de la vachette, elle la trouvait vraiment douce.

« Et tu me feras … ce que je veux … » dit-elle les yeux fixés sur la poitrine de Cassandre. « Je te ferais ce que je veux aussi ! »

Elle caressa la poitrine de la vachette avec ces deux mains maintenant.

Ohlala... Notre fameuse vachette avait fait une bêtise ! C’était pas bien... En effet, elle n’avait pas le droit de se mettre sur le lit, comme ça, sans autorisation. C’était normal, il ne fallait pas que les vachettes, les esclaves, etc... Pensent qu’elles puissent aller comme ça, sans autorisation, sur le matériel et les meubles de leur maîtresse. C’était une base relativement saine pour former leur relation... Donc, en toute logique, la fameuse maîtresse devait agir. Celle-ci ne se fit pas attendre, d’ailleurs. Ni une, ni deux, elle fit changer de position la fameuse vachette, et commença à lui donner une bonne fessée, comme elle avait rarement eu. Elle expliqua d’ailleurs ce qu’elle faisait à la vachette assez rapidement : la punition devait servir :

« Dis dont Cassandre ! On me demande avant de monter sur le lit ! »

« PARDON ! »

Mais le pardon ne suffisait pas ! Elle avait fait une bêtise, et elle le payait. Elle n’avait pas à se plaindre, après tout, c’était totalement normal. Les vachettes qui faisaient des bêtises étaient punis... C’était normal, logique, et cela arrivait ! Voilà ! Alors, bien sur, pour Cassandre, cela n’était pas spécialement chouette, étant donné qu’elle n’appréciait pas trop le fait d’avoir une fessée. Elle préférait genre ne pas avoir de fessées. C’était quand même mieux. Mais bref, après la fessée qu’elle avait bien mérité, la vachette reçu un cadeau... Mais le cadeau n’était pas n’importe quel cadeau. Pour elle, pour Cassandre, c’était un immense cadeau... Rien de moins que l’un des sous vêtements de sa maîtresse !

« Tiens, dorénavant tu porteras les sous vêtements de ta maîtresse. Évidemment tu n'auras pas le droit de prendre des propres, uniquement ceux que je porterai la veille. Ah oui et tu ne porteras pas de soutien-gorge, j'ai envie de voir ton énorme poitrine en permanence ! » 

« Promis ! Dès que vous voulez, je vous suivrai ainsi ! »

Cassandre n’avait aucun problèmes avec les conditions pour qu’elle s’habille. Cela serait gênant, dans un premier de temps, de porter les sous vêtements de sa maîtresse, bien entendue, mais elle pensait qu’elle aurait vite l’habitude. Et pour le soutien-gorge... Et bien, elle en était extrêmement contente ! Etant donné que les vachettes détestaient bien souvent les soutien-gorges, qui compressaient leurs poitrines. Comme pour les vachettes, leurs poitrines étaient extrêmement importantes, elle n’aimait pas qu’on la compresse. Donc, Cassandre mit son nouveau vêtement. Elle n’était pas la seule à s’habiller d’ailleurs, étant donné que son interlocutrice faisait de même, de son côté, et lui déclara, une fois habillée :

« Est-ce que tu me trouves belle ? Oui je veux ton avis, car tu me serviras aussi à ça, à me dire si je suis jolie dans cette tenue ou pas. Et selon, tu auras des récompenses, beaucoup de récompenses. »

« Vous êtes superbe ! Par contre... Euh... Je sais pas trop juger avec les vêtements... Donc... Euh... »

Oui, euh... Cela, ce n’était pas faux. C’est vrai que Cassandre n’avait pas de goûts en matière de vêtements, étant donné qu’elle n’y connaissait rien... Mais cela voulait-il dire que la fameuse Cassandre ne devait-elle pas donner d’avis ? Au contraire ! N’y connaissant rien, elle avait un avis assez neutre, pur... Elle n’était pas bloquée par des considérations esthétiques trop complète, ou pour l’envie d’avoir des goûts tolérant... Non, Cassandre dirait ce qu’elle pense, et cela serait un avis neutre, et totalement basé sur ce qu’elle trouve joli et ce qu’elle trouve laid. Alors bien sur, cela ne serait pas toujours objectif, et il y avait le risque qu’elle dise que sa maîtresse soit toujours joli, mais bon...

« Et tu me feras … ce que je veux … Je te ferais ce que je veux aussi ! »

« Mmh... Meuh... »

Cassandre commença à gémir. Bien que ses seins soient globalement vide, après une bonne traite, déjà, il y avait toujours un peu de lait à tirer, Cassandre étant une énorme productrice... Et surtout, elle était une très grosse sensible. Entre ses fesses et son anus qui étaient littéralement en feu, entre la main et la fessée, et ses seins qui étaient très sensible... La vachette se reposait bien sur ses sens aujourd’hui. Bref, elle gémissait fortement, ses seins étant des jouets, des véritables jouets pour son interlocutrice, qui pouvait les tripoter, les manipuler, les peser, les malaxer... Tout cela, sans aucune difficultés. Et ce manque de difficulté, s’expliquait largement, quand on entendait les déclarations de la fameuse Vachette :

« Je sers à cela... Maîtresse... Vous faîtes ce que vous voulez de moi... ! »

Et ouais ! Elle était une vachette, elle était faîtes pour faire ce qu’on veut d’elle. Nous l’avions déjà abordés à plusieurs reprises, Cassandre avait l’habitude d’être manipulée, touchée, tripotée... Et elle aimait ça ! Alors bien sur, son corps était très sensible, mais il fallait se rappeler qu’elle s’était quand même fait tripatouillée au niveau des fesses, et avait prit une fessées... Il était logique qu’elle gémisse... Surtout quand on savait ce qu’elle pouvait encore subir !

Qu’est-ce qu’elle était obéissante cette petite vachette, Jenny en avait presque des regrets, qu’elle aimait bien lui faire mal. Elle était comme ça, avec ces autres vaches, elle aimait leur taper dessus quand elles ne faisaient pas ce qu’elle voulait, les gronder, les mettre en quarantaine, etc. Oui, il ne fallait pas se fier au joli petit minois de Jenny, elle pouvait être un véritable tirant et savait aussi être très violente. Quelque part, elle avait toujours rêvé d’accueillir chez elle une vache comme Cassandre. Puis elle se sentait surtout très seule, Cassandre ne pouvait que boucher ce vide qu’elle ressentait, vide psychologique, mais aussi physique. Comme dit précédemment, Jenny n’était pas plus attiré par les beaux garçons que par les filles. Au contraire, les filles avaient de nombreux atouts qui plaisaient beaucoup plus à Jenny, et la vachette qu’elle venait de posséder en posséder de nombreux. Les gros seins, le gros cul et puis ce visage si mignon, les tétons de Jenny pointaient et se voyaient à travers son t-shirt. Elle regardait à présent Cassandre, qui fixait ses tétons à présent dur.

« Qu’est-ce qu’il y a ? Tu veux les revoir ? Très bien. » Dit-elle en relâchant la poitrine de sa vachette.

Jenny enleva son t-shirt, et relâcha ses deux énormes seins. Effectivement ses tétons étaient tout dur, ils attendaient que quelqu’un les touche, les suce …

« Vas-y ! Tu peux les toucher. » Dit-elle en s’asseyant à côté de la vachette. « Mes seins sont assez gros pour toi ? » Ajouta-t-elle en sentant les mains de la vachette sur sa poitrine.

Jenny en profita alors pour mettre sa main sur la cuisse de Cassandre, elle remonta sa main pour atteindra l’entrejambe de cette dernière. Elle sentait son string, c’était mouillé, était-ce la cyprine de Jenny ou celle de la vachette ? Quoiqu’il en soit, elle rentra sa main dans le string de Cassandre et commença à frotter le dessus du vagin de la vachette.

« Enlève-moi ton string et ensuite tu m’enlèveras mon leggings. Je veux ensuite que tu me lèches les seins. » dit-elle sans donner le choix à la vachette.

Oui, il fallait que Jenny montre qu’elle était au-dessus de Cassandre hiérarchiquement, qu’elle n’était qu’une vache, profitant de liberté que seule elle avait le droit. Si, elle ne faisait pas ce que sa maitresse lui demandait, elle la ferait retournée dehors, avec les autres vaches.

« Je veux que tu te touches aussi, tout en me léchant les seins, c’est important pour ton éducation. » Dit-elle, l’embrassant sur la joue.

Ça y est, elle savait ce qu’elle allait faire de cette vachette. Elle allait la rendre la plus lubrique possible, un objet sexuel, une petite vachette qui demandera sa fessée tous les jours, qui demandera à sa maitresse de pouvoir lui toucher ses seins, son sexe et ses fesses.

« Et fais-le bien ! Je serai intransigeante là-dessus ! » Dit-elle sourire aux lèvres.

Elle avait été bien punie… Mais c’était logique, comme dit précédemment. Après tout, la vachette avait fait des bêtises, et quand une vachette faisait des bêtises, et bien, on la punissait ! Il n’y avait rien de mal à voir dans tout cela. C’était un comportement normal et sain… Et puis, la vachette semblait tenir le coup, et ne semblait pas en tirer un bon gros traumatisme. Et tant mieux, car cela serait assez ridicule, je pense que vous en conviendrez avec moi. Bref, quoiqu’il en soit, visiblement, notre chère maîtresse avait une idée en tête, étant donné qu’elle proposa à son interlocutrice, de façon très gentille.

« Qu’est-ce qu’il y a ? Tu veux les revoir ? Très bien. Vas-y ! Tu peux les toucher. Mes seins sont assez gros pour toi ? »

« Oui maîtresse ! Vous êtes tellement gentille, merci ! »

Quelle gentillesse ! La fameuse vachette n’avait aucune hésitation sur ce point ! Elle se disait très certainement que ce n’était pas toute les vachettes qui pouvaient en profiter ainsi ! Et ce n’était pas toutes les vachettes, de toutes façons, qui avaient la chance d’avoir une maîtresse, qui avait des seins presques aussi gros que les siens ! D’habitude, les vachettes avaient plutôt des maîtres. Les maîtresses étaient plus rares pour les Ushis. Déjà, c’était souvent des plus gros consommateurs de lait de Ushi, mais en plus, souvent ils avaient moins de pitié. Il faut bien dire que Cassandre, elle était une énorme productrice. Là, d’ici quelques heures, elle serait de nouveau pleine à rabord, et aurait de nouveau besoin d’être traite... Elle produisait énormément, et parfois, et bien, il fallait pas hésiter à utiliser la machine, car c’était juste trop chiant autrement...

« Enlève-moi ton string et ensuite tu m’enlèveras mon leggings. Je veux ensuite que tu me lèches les seins. »

« Bien ! »

Elle fit alors ce qu’elle devait faire, et retira les vêtements de sa maîtresse, tranquillement, en essayant d’être la plus efficace possible... Mais alors qu’elle allait commencer la seconde partie de sa mission...

« Je veux que tu te touches aussi, tout en me léchant les seins, c’est important pour ton éducation. Et fais-le bien ! Je serai intransigeante là-dessus ! »

« Euh... Mais... Mais je ne sais pas faire... »

Et oui ! Notre vachette ne s’était jamais touchée ! La honte ! Bref, elle ne comprenait absolument pas ce que demandait enfaite sa maîtresse. Enfin, si, elle avait bien compris le fait qu’elle devait lécher sa maîtresse, cela... Cela n’était pas trop compliqué. Après tout, elle savait bien manier de sa langue, et elle aimait bien ça... Mais se toucher ? Le soucis, c’est qu’elle pensait comprendre, mais qu’elle trouvait ça... Tellement... Etrange, qu’elle supposait qu’elle devait mal comprendre. Mais comment en être sûre ? Et bien... Et bien, il ne restait plus qu’à tenter. Ainsi, elle s’approcha de sa maîtresse, et commença à lécher ses seins, avec amour... Tandis qu’elle se « touchait ». En effet, elle passait ses mains sur ses bras, son cou, ses seins, ses fesses... Bref, elle continuait comme ça, avec plaisir, mais elle n’avait aucune idée... Il ne restait plus qu’une chose à faire, dans ce genre de situation... Demandé :

« C’est comme ça... Maîtresse ? Je ne sais pas si je fais bien... »

Oh que non, elle ne faisait pas ça bien ! Mais bon, elle tentait… le soucis, avec une esclave… C’est qu’elle ne devait pas TENTER, elle devait réussir ! Et là, c’était amusant, mais assez ridicule… Quel mauvais vachette ! Elle ne savait même pas se toucher… Bref, on sentait que la vachette allait être bien punie pour sa « bêtise »… Mais ce n’est pas de sa faute, me diriez-vous d’un air médusé pour s’être pauvre vachette… Mais bien sur que ce n’était pas sa faute ! Sauf que c’était ainsi, que vouliez-vous… Une vachette qui ne faisait pas ce qu’on lui dit, et bien, elle se faisait punir… Ou elle était éduqué. Qu’elle allait être la décision de sa maîtresse ? Cela pouvait être soit l’un, soit l’autre… Et rien n’empêchait d’ailleurs de faire les deux, après tout. Ne dit-on pas qu’on apprend mieux par la punition ? Quoi ? Personne ne dit ça… ? Et bien, maintenant, je le dis… Et nah ! Bien fait !