Faire adorer le sexe lesbien à Maria ? Voilà un défi. Un grand défi même ! Vanessa sourit malicieusement face à l’idée puis, en se tournant vers Maria, planta son regard dans le sien. Pleine de conviction, et sûre d’elle, l’agente lui répondit. « Je me sens capable de relever tous les défis que tu me donnes. Tu sais ... Ca ne sera pas la première fois que je me dépasse pour te satisfaire Maria. » Dit-elle d’une voix complice. Vanessa portait en très haute estime sa mentor. Maria était quelqu’un de très valeureux pour elle, et tout au long de sa carrière, Vanessa avait toujours fait son maximum pour ne pas la décevoir, et toujours accomplir ce qu’elle lui demandait. L’agente s’estimait déjà chanceuse d’être l’apprentie de la directrice en personne, alors, elle se mettait double pression pour être à la hauteur. Mais, aussi, il y avait le fait qu’elle ne désirait pas décevoir également la femme derrière le rang.
Décevoir Maria était donc une possibilité à écarter de l’équation, tout simplement. Alors quand elle lui demanda si elle était prête à relever le défi de lui faire adorer les relations lesbiennes, Vanessa ne pouvait qu’accepter. Accepter, et le relever, bien entendu, même si la tâche était loin d’être gagnée. « Mais tu sais ... Pour moi, aimer les femmes représente toute une philosophie en matière de sexe. » Dit-elle en premier lieu. L’agente se redressa puis, de manière très câline, sensuelle et tactile, se déplaça contre Maria, finissant allonger contre elle, poitrine contre poitrine, visage pendu au-dessus du sien. « J’ai toujours pensé que ça devait être lent, langoureux, passionnel, sensuel ... » Poursuit-elle, plongeant une main contre l’épaule de Maria, se mettant à la caresser avec une grande délicatesse. Puis, elle descendit, lentement, caressant également la peau de sa supérieure jusqu’à atteindre l’un de ses seins.
Dessinant de fines arabesques du bout de ses doigts, autour de sa pointe rosée, Vanessa reprit. « Que faire l’amour à une femme, c’est comme faire l’amour à la personne qu’on chérie le plus ... » Dit-elle, son index se mettant à taquiner son modeste téton. Vanessa continuait de provoquer le corps de Maria, tout en douceur et sensualité. Sa main décrocha et glissa à nouveau sur sa peau de velours, se faufilant sur son ventre, puis vers son intimité. « Mais, si je veux te faire adorer ça, je vais devoir faire autre chose, n’est-ce pas ? » Dit-elle d’un ton complice, avant de se mettre à effleurer sa féminité puis, d’un geste maitrisé et quelque peu ferme, se mettre à la doigter de son index et son majeur. De toutes évidences la douceur n’allait pas, à elle seule, convaincre Maria. Pour lui faire définitivement adopter les relations de ce genre, il fallait lui montrer qu’on pouvait avoir le même plaisir voire plus, qu’avec un homme !
Ce n’était pas facile mais, Vanessa pensait pouvoir y arriver. Ne désirant pas tarder plus que ça, elle plaqua très tendrement ses lèvres contre celles de Maria et l’emporta avec elle dans un balai de langue des plus sensuels et rythmés. L’agente embrassa sa supérieure avec beaucoup de fougue et de poigne, tout en continuant de s’occuper de sa féminité. L’idée était de l’exciter, de la préparer pour quelque chose d’un peu plus sportif qu’un doigté. Quand Vanessa sentit Maria prête, elle rompt le baiser puis s’écarta, un air très malicieux au visage. « On ne pourra pas parler de sexe lesbien sans ça Maria ... » Dit-elle, se mettant doucement en position, sa peau glissant et roulant contre celle de Maria. Au final, l’agente était en bonne posture pour faire goûter le ciseau à son amante. Une position des plus iconiques quand on parlait de relation lesbienne !