Sexe transgénérationnel [PV]

Il tâta ses cuisses avec son sexe. Hâtif, maladroit, il respirait lentement, lourdement, tremblait nerveusement, autant de conséquences d’une excitation sincère, honnête, vibrante, une chose qu’Anna n’avait quasiment jamais ressenti chez son mari. Akahide-san la faisait vibrer, ; elle avait des rougeurs féroces aux joues, et, quand il daigna enfin s’enfoncer en elle, quand son bâton de chair la transperça, Anna se crispa... Et eut dès les premières secondes un orgasme. Ses paupières se fermèrent, et, tandis qu’Akahide hurlait en la pénétrant, perdant sa virginité, son membre se mit à baigner dans la mouille. Il s’enfonça dedans, et la cyprine, en conséquence, ne trouvant plus aucune place, sortit abondamment, recouvrant sa queue, glissant le long des cuisses de la jeune mère frustrée, et déborda sur le lit... De plus, tandis qu’elle jouissait, des larmes de bonheur roulèrent le long de ses joues, et de profonds et intenses soupirs et gémissements fusèrent de ses lèvres closes, ne s’entrouvrant que pour gémir.

« Haaaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaaaaannn... HAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Premier orgasme, donc, mais annonciateur d’une longue série. Sa main se crispa sur la nuque d’Akahide-san, et l’homme continua à remuer en elle... Anna aurait voulu se retenir, ne pas hurler, afin que son fils ne les entende pas. Peine perdue. Le plaisir explosa en elle, comme si une bombe venait de pulvériser son esprit. Les premiers coups de reins la firent vibrer, puis Akahide-san alla s’attaquer à ses seins, avant de l’embrasser, ralentissant le rythme... Pour la plus grande rage d’Anna, qui gémit de frustration, et donna une claque sur ses fesses, conservant son autre main sur sa nuque.

« Baise-moi, Akahide-san... Pitié, baise-moi... ! »

Sa supplique na passa pas dans l’oreille d’un sourd. Akahide-san s’était bien redressé, et multiplia ses coups de reins, en grognant. Vierge, il était inexpérimenté, mais avait avec lui une énergie incroyable, et l’envie de bien faire... Tant et si bien qu’il y allait à fond. Sa chair claquait contre elle, sa queue était grosse comme jamais, et... Eh bien, pour le dire simplement, personne n’avait encore jamais baisé Anna comme ça. Oh, bien sûr, elle savait que le sexe, ça faisait du bien, mais... À ce point ? Elle avait l’impression de vivre un rêve éveillé, et, si on l’avait filmé, elle ne croirait pas à ce qu’elle verrait, tant ce qui se passait lui semblait surréaliste. Elle n’avait même pas conscience qu’elle hurlait, et qu’elle s’insultait en s’embrassant, elle ne voyait que le plaisir, le plaisir, uniquement le plaisir, et toujours le plaisir, noyant tout, aveuglant tout...

...Mais, du côté d’Akahide, c’était un spectacle bien différent. Car, entre ses hurlements, Anna le fessait régulièrement, tout en s’insultant copieusement. Akahide avait clairement percé quelque chose. Anna était le profil typique de la ménagère accumulant des années de frustration derrière un mariage en apparence heureux, mais en réalité factice. Elle avait toujours dissimulé sa frustration, fait bonne figure, tout en se plongeant dans la vie de son fils, et en devenant de plus en plus bigote et zélote, voyant les baisers en public comme une infamie, masquant sa jalousie profonde derrière un semblant hypocrite de puritanisme. Akahide avait fait éclater la bulle... Et c’était un torrent ardent de luxure qui lui éclatait dessus.

« Haaaa... Aaaaaah !! Baise-moi, Akahide-san... O-Ouiii, haaaa... Ouuuiii, hmmm... Encore, encore, plus fort, plus fort, haaaa... Bai... Baise-moi, haaaa... ! Défonce ma chatte comme si j’étais ta chienne, haaaa... !! Tu-Tu... Ouuuuiiii... Haaaaa... Baise-moi, hmmm... !! Je suis ta pute, ta salope, haaaa... !! Défonce-moi, a... Allez, haaaa... !! »

Elle eut au moins un nouvel orgasme avant qu’Akahide-san ne se vide, et en eut encore un autre quand son amant se vida en elle. Son sperme fila en elle. Un gamète masculin, spermatozoïde perça dans l’utérus, et rencontra une petite sphère, néanmoins bien plus grosse que lui, un ovocyte II. Les deux se jaugèrent, s’estimèrent mutuellement compatibles, appartenant après tout à la même espèce, et ce simple argument fut suffisant. Telle une prostituée se déhanchant sur le bord du trottoir, l’ovocyte attira son client, et le spermatozoïde rentra en elle.

Dans son ultime soupir, Anna s’affala sur le lit, sans savoir que la graine avait germé dans son ventre, et qu’un bourgeon était en train d’y grandir...

« Akahide-san... Mon chéri, mon amour... »

Elle le maintenait contre elle, et pleurait encore, la tête de l’homme située entre son cou et ses seins, refusant qu’il parte, refusant que ce corps chaud, ce corps masculin en sueur et en rut, ne s’éloigne d’elle, refusant même que sa queue ne se retire de sa fente.

« Merci, Akahide-san, merci... »

Akahide était grandement aidé par les réactions d'Anna au fait qu'ils soient en train de faire l'amour. La femme réagissait comme une junkie en manque qui avait enfin droit à sa dose, elle l'encourageait et s'insultait elle même, tout en lui donnant à intervalles réguliers des claques sur ses fesses pour l'inciter à garder son rythme. Le jeune homme se montra en effet vigoureux, et ne s'arrêta plus après qu'Anna l'aie supplié de la baiser sans s'arrêter, ce qu'il avait fini par faire.

Anna...je...hmmmm...je vais jouir putain !!!! Aaaaaaaah !!!!

Le jeune homme, après plusieurs minutes de cet effort intense, ne pouvait plus se retenir, malgré le fait qu'il aie joui plusieurs fois au cours de cette journée. Outre le fait que son sexe était délicieusement fourré dans la chatte d'Anna et qu'il la labourait furieusement, Akahide avait découvert le plaisir qu'il y avait à sentir une femme jouir pendant qu'il la pénétrait. De fait, le jeune homme avait été parfaitement conscient de chaque orgasme que la mère de famille avait eu, car il avait alors senti les parois internes de son vagin  se crisper et se serrer vivement sur son sexe, ce qui était équivalent à une sorte de massage particulièrement agréable.
A ce moment, il fut parfaitement impossible pour Akahide de prendre en compte le fait qu'il allait jouir dans le vagin d'une femme potentiellement fertile. L'excitation, la si grande proximité de son orgasme, l'empêchaient de réfléchir à ça. Et puis surtout, il se disait qu'Anna devait prendre la pillule, ou avoir recours à un moyen de contraception quelconque. Akahide avait pourtant pris les devant en venant plus tôt dans la journée, il était passé à l'infirmerie du lycée où il y avait une distribution gratuite de préservatifs tout au long de l'année, ce qui était une nécessité vu le véritable baisodrome qu'était l'établissement. Mais pris dans son élan, il n'avait pas pensé à les récupérer en allant dans la chambre d'Anna, et il avait fini par en conclure que pour son amante, il n'était pas nécessaire qu'il porte une capote.
C'est alors dans un dernier coups de rein, où il s'enfonça profondément en elle, qu'il éjacula. Complètement crispé et tendu, Akahide poussa des râles de plaisir alors qu'il sentait en prime Anna jouir en même temps que lui, massant frénétiquement son sexe, et aspirant en prime son sperme pour qu'il aille rapidement dans l'utérus de la femme.

Aaaaaaaaaaaaah....Haaaaaaaaaa...

La respiration lourde, le corps en sueur, Akahide finit par se laisser tomber sur Anna. Le jeune homme n'était pas d'un naturel très sportif, mais sur le coup il s'était surpassé en baisant pendant de longues minutes la mère de son meilleur ami. Épuisé, il n'en était pas moins très satisfait. Anna avait bien joui trois fois, et alors qu'il restait allongé sur elle, Anna le remercia sincèrement.
Akahide, lui, bien que quelque peu fatigué, bandait toujours autant dans la chatte de son amante, qu'il avait du mal à se résoudre de laisser. Il était bien ainsi, au chaud dans ce con humide, baignant dans la délicieuse cyprine de cette femme.

Oh Lovegood-San c'était...j'ai même pas de mots pour décrire à quel point c'était bon...

Le jeune homme se redressa un peu, rapprochant son visage de celui de la femme tout en collant son torse contre son opulente poitrine.

Je...j'ai jamais été autant excité. Déjà quand on...quand on le faisait par webcam, j'avais du mal à me calmer après mais là...j'arrive pas à débander Anna, tu m'excites tellement...

Le  jeune homme, vraiment, ne comprenait pas comment le mari d'Anna ne pouvait pas la trouver attirante et la délaisser. Mais sérieusement, il était aveugle et con.
Akahide, tout en restant allongé dans cette position pendant un moment, remuait légèrement son sexe à l'aide de son bassin, trahissant entre autres le fait qu'il avait encore envie, même si honnêtement, le simple fait que son mandrin soit toujours aussi dur devait être suffisant pour qu'Anna le comprenne.

T'es...t'es toujours partante...rapport à ce que t'a dis tout à l'heure ?

Il faisait bien entendu référence à la sodomie qu'Anna lui avait promis à demi-mots, quand elle lui avait dit qu'ils perdraient tous les deux leur virginité ce soir. Et l'idée non seulement d'être sa première fois, mais aussi de fourrer sa bite dans son cul...rien que ça était suffisant pour le relancer.

Akahide s’était joyeusement déchargé en elle, et, fugacement, Anna, dans les torpeurs des quelques instants suivant leur étreinte, se mit à rêver qu’elle tombe enceinte de lui. Elle balaya néanmoins rapidement cette idée, plus un fantasme qu’autre chose, et caressa le dos de son amant, glissant sur ses cheveux, se rapprochant de ses fesses. Elle aimait ça, elle aimait... Elle aimait tout. Anna aimait autant le sexe, cette danse endiablée, que ce moment intime et sensuel, après. Elle respirait contre son corps, et leurs peaux chaudes se frottaient ensemble, sa respiration lourde répondant à celle d’Akihide. D’une main, elle lui caressait les cheveux, tendrement, sentant la sueur le long de ses gants. Fugacement, elle avait pu noter qu’Akihide avait choisi de lui laisser ses gants et ses jarretelles, ce qui la fit sourire. Elle se pinça ensuite les lèvres en constatant que, si le sexe d’Akahide avait dégrossi, il semblait... Regagner de sa dureté.

*Bigre, quelle énergie ! Il est incroyable...*

Au bout de plusieurs minutes, Akahide finit ainsi par se relever. Ses joues étaient toutes rouges, et le jeune homme lui demanda s’ils pouvaient maintenant passer à la suite... Ce qui amena Anan à sourire, et à rougir à son tour, tout en se mordillant les lèvres. Son regard fila brièvement vers sa fenêtre, puis retourna observer son amant.

« Eh bien... Il fait encore nuit, tu sais, alors...  Pour que notre mariage soit parfait, tu te dois d’honorer tes devoirs conjugaux jusqu’à ce que l’aube se lève, mon époux. »

Elle l’embrassa alors, en lui souriant, mais rajouta ensuite, sur un ton se voulant moins badin :

« Je ne plaisante pas, tu sais, Akahide-san. Je n’ai jamais trompé mon... Mon mari... Avant toi. Et... Tu sais, je pense qu’une véritable union ne dépend pas d’une quelconque cérémonie, mais de ce qu’on ressent. Même avant ce moment, tu... Nos séances sur Internet, elles... Elles ont réveillé quelque chose en moi, un désir que je pensais enterré, disparu, mais qui ne demandait qu’à sortir. J’aime ta fougue, ta perversion, ton... Ton ardeur. »

Anna soupira encore. Après les orgasmes qu’elle avait eu, elle se sentait... Étrangement sereine. Plus apaisée qu’elle ne l’avait jamais été auparavant. Anna avait le sentiment tenace d’être heureuse. Le bonheur se lisait sur son visage, s’exprimait à travers la manière dont son corps se détendait, comme si elle retrouvait ses vertes années. Elle hocha la tête, et reprit ensuite, en retrouvant, dans le regard, une lueur plus malicieuse :

« Si tu me baises jusqu’à l’aube, je demanderai le divorce... Nous passerons par consentement mutuel, je connais mon mari, il voudra éviter un scandale, pour ses affaires... Et, quand ce sera fait, je t’épouserai, Akahide-san. »

Elle l’embrassa encore, plus longuement.

« Mais tu dois d’abord me prouver ta valeur, car, je te préviens, mon second mariage devra être beaucoup plus fusionnel que celui-ci. Alors, mon époux... Viens honorer ta femme... Et défonce-moi le cul ! J’obéirai à tous tes ordres... Mon aimé. »

Voulait-il qu’elle se mette à quatre pattes ? Il n’avait qu’à ordonner... Et elle obéirait.

Akahide en voulait encore, il se surprenait lui même par cette endurance dont il n'avait jamais fait preuve auparavant, mais clairement, entre ses scéances de masturbation sur du porno, et le fait de vraiment faire l'amour à une femme, il y avait une nette différence. Akahide voulait se montrer à la hauteur, et était excité comme jamais il ne l'avais été auparavant, le simple fait de voir Anna nue devant lui, et aussi chaude, suffisait à le relancer et à avoir envie d'y retourner. Et puis...merde quoi, elle lui avait promis qu'elle le laisserait la sodomiser !
Anna se montra tout à fait enthousiaste, et tandis que le jeune homme se maintenait au dessus d'elle, elle venait régulièrement l'embrasser à nouveau pour relancer la machine, son sexe infatiguable qui se remettait à bander bien dûr. A un moment, Anna évoqua la réelle possibilité qu'elle divorce, et qu'elle prenne ensuite Akahide pour époux. Cette folie aurait du le faire tiquer, reprendre ses esprits, car outre le fait qu'il soit encore au lycée, qu'elle divorce pour se marier avec lui, le meilleur ami de son fils...n'étais-ce pas moralement répréhensible ?

Mais d'un autre côté, Akahide n'était là surtout qu'un adolescent en pleine crise de puberté qui avait l'esprit complètement brouillé par son désir ardent pour cette femme plus vieille que lui. Le lycéen n'était jamais sorti avec une fille de son âge entre autres pour son attirance, qu'il avait rapidement assumé, pour les femmes plus vieilles et expérimentées que lui. Baiser avec une femme mariée, malheureuse dans son couple, c'était un vieux fantasme de sa part. Jamais il n'aurait cru le réaliser un jour cependant.
Mais dans tous les cas...et bien ce que faisait Akahide était de toutes façons moralement répréhensible, alors un peu plus ou un peu moins, quelle serait la différence ? D'autant que l'idée d'avoir Anna pour femme ne le rebutait pas tant que ça. Oh certes, à tête reposée, l'idée l'effrayerait car il n'était après tout encore qu'un adolescent qui n'était pas encore prêt à la vie d'adulte, mais sur le coup...l'idée que lui et Anna forment un vrai couple...et bien ça contribuait à le faire bander, surtout après que la femme se soit copieusement insultée quand il l'avait fourrée pour la première fois. Anna s'était tellement donnée à lui, s'était tellement montrée sincère dans son plaisir, que ça en hypnotisait le jeune homme qui voulait à tout prix que ça continue.

 Je vais faire tout mon possible, Lovegood-San...

Akahide répondit longuement à son baiser, puis il se redressa pour se mettre à genoux sur le lit, afin, entre autres, de laisser à Anna l'opportunité de se mouvoir.

Alors mets toi à quatre pattes et...et bombe tes fesses...

Anna s'exécuta avec un sourire pervers, et le fait qu'elle obéisse à ses directives lui donna comme une délicieuse poussée d'adrénaline. C'était la première fois qu'il donnait après tout des ordres à une personne plus âgée que lui, et surtout, surtout pour se mettre dans une position sexuellement suggestive. Anna se mit à quatre pattes, lui présentant son cul, achevant indéniablement de le faire bander à nouveau.

Oh purée...

Akahide sentit sa gorge se nouer lorsqu'il eu la divine vision de ce cul rebondi, bien ferme. Si il était un fan inconditionnel de la grosse poitrine d'Anna, au coeur de laquelle il avait toujours envie de fourrer son visage...son cul était au moins tout autant beau. Fébrile à l'idée qu'il allait glisser sa queue à cet endroit sous peu, il s'approcha alors derrière Anna et posa ses mains tremblantes sur ce cul. Son inexpérience le trahissait, mais ce qu'ils avaient fait tantôt l'encourageait à prendre des initiatives, à malaxer ces fesses fermes et à les écarter, ce qui lui permit de voir le trésor caché d'Anna encore vierge, son anus étroit.
Pris d'une inspiration subite, Akahide se pencha alors, et commença à embrasser le fessier de son amante, à fourrer son visage entre ses deux fesses.

Ton cul...il est...oh bordel mais comment c'est possible ?

Akahide était autant sidéré par la beauté de ce cul que par le fait que le mari d'Anna ne l'aie jamais exploré, ce qui lui semblait tout simplement impossible. Pourtant, alors que le jeune homme s'était mis à glisser sa langue sur ce petit trou rose, les réactions d'Anna ne laissaient que peu de doutes, car elle semblait moins à l'aise bien qu'excitée elle aussi. Akahide passa donc un moment avec son visage fourré contre le cul d'Anna, guère timide pour le coup, il léchait la croupe et titillait de sa langue cette entrée étroite afin de la stimuler. Il aurait aimé disposer d'un peu de lubrifiant pour faciliter encore le passage, mais d'un autre côté, Akahide souhaitait secrètement que l'anus de son amante ne soit pas trop dilaté afin qu'il se glisse réellement dans un cul étroit.
Le jeune homme se redressa alors et aligna son bassin avec celui d'Anna, posant une main sur les hanches amples de la femme, et l'autre empoignant son sexe pour le guider vers l'anus d'Anna, qu'il se mit à titiller avec le bout de son gland. Puis il commença doucement à s'enfoncer, en sentant une forte résistance, mais il poussa néanmoins.

Je...ça va ?

Anna réagissait sous le coup de l’émotion, bien sûr, mais, au-delà de ça, elle se voyait vraiment devenir sa femme. C’était précipité, mais jamais un homme ne lui avait fait autant de bien qu’Akahide-san, et la différence d’âge, aux yeux d’Anna, ne signifiait pas grand-chose. Certes, le fait qu’Akahide soit le meilleur ami de Kenji pouvait éventuellementposer problème, mais... Pour l’heure, Anna était incapable d’envisager le moindre souci. Elle flottait dans ce petit monde, dans ces doux et puissants fantasmes que son inépuisable amant était en train de soulager. Sa queue retrouvait sans arrêt sa férocité, et Anna ne pouvait qu’en frémir, terriblement heureuse. Ainsi, quand l’homme lui demanda de se retourner, de se mettre à quatre pattes, et de bomber les fesses, elle rougit furieusement, se pinçant les lèvres, puis se retourna.

« Tout de suite, mon Prince... »

Elle se mit en position, l’excitation supplantant la peur instinctive qu’elle ressentait. La sodomie... Un acte sexuel violent, intense, mais qui l’avait toujours tenté. Et, maintenant... Maintenant, elle allait enfin le réaliser. Ses joues rougissaient donc, tandis qu’elle se mettait en position, et cambrait son dos, relevant ses fesses. Est-ce qu’elle n’avait pas l’air ridicule ainsi ?

*Mais non, c’est tout l’inverse ! Regarde-le, il ne sait plus quoi dire !*

Tournant la tête, Anna pouvait effectivement voir Akahide, qui semblait comme... Fasciné par ce fessier. Frappé par la foudre, le jeune homme n’arrivait plus à parler, et, pendant quelques instants, se contenta d’admirer la scène, le spectacle de ce délicat fessier se dressant sous ses yeux ébahis. Il n’arrivait plus à trouver les mots, et, encore une fois, Anna prit les choses en main, en souriant légèrement, avant de lui répondre :

« Ne cherche pas à exprimer ton désir avec des mots, mon chéri, viens... »

En ce domaine, les gestes valaient mille mots. Suivant cette consigne à la lettre, Akahide fléchit davantage les genoux, et, avant de commencer à la prendre, prépara la scène. Pour Anna, ces préliminaires étaient une très bonne chose, car, même si elle n’avait jamais eu l’occasion de se faire sodomiser, elle savait combien la chose était intense, et nécessitait un peu de préparation. Et puis, au-delà de ça, même si l’idée de se faire prendre par la porte arrière l’excitait énormément, cette idée n’était pas aussi sans provoquer une certaine forme de tension en elle. La sodomie, ce n’était pas rien ! Elle soupira donc en sentant les mains de l’homme presser ses deux fesses, sa langue léchant son trou.

Le contact la faisait gémir, la douce femme fermant les yeux en haletant. Elle sentait la langue de l’homme heurter ce trou, cherchant, avec la pointe de sa langue, à en dilater les parois,  ce qui ne manqua pas d’exciter Anna. Gémissant de plaisir, elle se tortillait sur place, soupirant profondément, commençant d’ores et déjà à sentir quelques gouttes de sueur glisser le long de sa tête. Elle le sentit finalement se redresser, et gémit encore en sentant le bout de sa queue titiller son entrée. Et, en sentant cette queue, la jeune femme se pinça les lèvres, retenant son souffle.

*Ça y est... Elle est bien là, toute dressée contre moi, impatiente et assoiffée...*

Et elle allait venir, elle allait rentrer en elle... Anna soupira plus bruyamment, et se pinça les lèvres, figeant ensuite son visage dans une grimace quand le membre la heurta... Pour la première fois, un sexe venait explorer son fessier, et elle soupira lourdement, en sentant une pointe remonter à travers tout son corps, la traversant jusqu’au crâne.

« Haaaaaa... Hmmmmmmmmmmmmmmmmmmm.... !! »

Elle reprit sa respiration à nouveau, haletant plus fortement, et hocha la tête, tentant de répondre. Difficile de formuler des mots dans son état d’excitation, alors, entre plusieurs soupirs, la jeune femme parvint néanmoins à bredouiller quelques syllabes :

« En... Encore, haaaa... P-Plus... Plus fort, hmmm... !! »

Akahide était en train de goûter avec Anna à une belle partie des plaisirs qu'il pouvait y avoir à faire l'amour avec une femme, et présentement, il était sur le point de goûter au plaisir de la sodomie, et enfonçait progressivement sa belle queue dans l'anus étroit de la femme, qui était à quatre pattes devant lui. Glisser son sexe dans ce trou étroit et vierge était un véritable effort, car Akahide devait forcer le passage sans pour autant faire trop mal à Anna, afin que l'expérience ne la dégoûte pas de cette pratique, surtout que le jeune homme se voyait bien recommencer. Même si il n'était pas encore complètement enfoncé dans son cul, Akahide sentait déjà des vagues de plaisir le traverser, car sa bite était fortement comprimée dans ce trou bien plus étroit, et le simple fait de la voir progressivement disparaître entre les deux fesses d'Anna était en soit assez pour l'encourager.

Il s'inquiéta tout de même de savoir si sa partenaire n'avait pas trop mal, car si lui avait ressenti un grand plaisir à se faire doigter le cul pendant qu'elle le suçait auparavant, son sexe était d'un tout autre calibre que celui d'un index, et à l'entendre gémir ainsi, il avait un peu peur qu'il ne lui fasse mal. Anna toutefois, entre deux gémissements, parvenait à lui dire d'y aller plus franchement. Le jeune homme poussa alors un long soupir, et continua à progressivement s'enfoncer dans ce cul dont il était en train de bien écarter les parois. C'était une chance qu'il l'aie baisée juste avant, car de fait son sexe était encore bien couvert de cyprine, et faisait ainsi office de lubrifiant, ce qui était plus que bienvenu tant l'endroit où il voulait se glisser était étroit.

Haaaa...Ah putain !

Avec un grognement, Akahide donna un dernier coup de rein pour finalement se glisser complètement en elle. Les poils pubiens du jeune homme étaient maintenant bien collés contre la croupe d'Anna, et son sexe avant complètement disparu dans l'étau très serré de ses fesses. Il resta ainsi quelques secondes, avant de chercher à reculer un peu, puis il s'enfonça de nouveau.

Oh Anna...t'es...t'es si étroite...Han c'est bon...

L'adolescent avait désormais ses mains posées sur les fesses de sa partenaire, qu'il malaxait fermement et avec envie, tandis qu'il était doucement, mais surement, en train de la sodomiser. Akahide y allait pour le moment doucement, autant pour qu'Anna s'habitue à la présence de sa belle queue dans son cul, que pour éviter qu'il ne jouisse trop vite. Akahide avait en effet du mal à se retenir de ne pas se vider en elle, déjà car la sodomie était chez lui un grand fantasme, mais aussi car il y avait aussi la fierté et le plaisir d'ôter à Anna sa virginité ici, et qu'elle avait bien l'air d'aimer ça. Peu à peu, à mesure qu'il remuait, il pouvait sentir les parois internes d'Anna se dilater progressivement, et même si son sexe demeurait très comprimé, il arrivait à se mouvoir de mieux en mieux.

Huuuuuum...

Pris d'une inspiration subite, poussée par sa grande excitation, et par ce qu'Anna lui avait hurlé sous l'effet du plaisir quand il l'avait enfin baisée, Akahide donna une petite claque audible sur l'une des fesses rebondies et fermes de la femme. Certainement pas de quoi lui faire mal, mais en grand consommateur de porno, Akahide avait toujours trouvé excitantes ces scènes où les femmes se faisaient fesser tout en se faisant prendre en levrette, ou bien sodomisées. De fait, il trouvait la position dans laquelle Anna était absolument bandante, et il commença à sérieusement augmenter le rythme de ses coups de rein.

Prise en levrette, Anna goûtait à un plaisir exquis, inouï, celui de son fantasme... Une sodomie. Et ça, la mère de famille le devait grâce à Akahide-san. Dans son dos, il s’enfonçait progressivement en elle, et la sensation qu’Anna ressentit était... Indescriptible.

« Haaaaa... !! »

Tout son corps se mettait à trembler, à vibrer sur place, tandis que d’épaisses vagues de douleur la traversaient. Elle n’avait même plus la force de crier, poussant de longs couinements courts, ses doigts se crispant sur le lit, au fur et à mesure que le membre d’Akahide tendait à se glisser de plus en plus loin en elle. Il grognait, soupirait, sa queue imposante peinant à se faufiler un passage, creusant peu à peu le passage, jusqu’à pouvoir s’enfoncer jusqu’à la garde.

Avec ce membre pleinement planté en elle, Anna était partagée, divisée entre la douleur que ce membre lui infligeait, et, parallèlement, avec le plaisir furieux qu’elle ressentait. Tout son corps tremblait, ses joues étaient rouges, elle respirait lourdement, et mouillait, répandant sa cyprine et sa sueur sur le lit. Akahide s’était enfoncé en elle aussi loin que possible, et Anna poussa de nouveaux couinements, redressant sa tête, essayant de se maintenir en position. Là, l’homme ne bougea plus, restant immobile, comme pour se faire à cette sensation, à ce sentiment d’avoir sa queue nichée en elle.

« H-Hmmmm... A-Akahide-saaaan, haaaa... »

Elle soupirait plus longuement, se pinçant les lèvres, et, quand l’homme se recula, un gémissement s’échappa des lèvres de la femme. Akahide s’enfonça à nouveau, multipliant peu à peu les coups de reins. Toutefois, quand il se retirait, les parois internes d’Akahide se refermaient aussi, la jeune femme n’étant évidemment pas habituée à être prise par là. Il en résultait un effort physique supplémentaire pour l’homme, ce qui stimula son adrénaline. Et, quand il se renfonça, Anna, cette fois, se mit à hurler, sans tenir compte de rien d’autre. Le sexe avait cette faculté incroyable de vous aliéner, de vous faire oublier tout le reste, et, en ce moment, Anna oubliait tout. La moindre forme de décence, son propre fils, qui pouvait maintenant tout à fait l’entendre hurler. Rien d’autre ne comptait que cette queue massive qui la bourrinait par l’arrière.

« HAAAAAAAAAAAAA... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Les hurlements d’Anna s’accentuèrent, tandis que le brave Akahide-san continuait, et allait jusqu’à la gifler. La première claque résonna, et fit gémir Anna, qui, s’habituant peu à peu à ce membre, et devenant terriblement vulgaire, comme si toutes ses inhibitions avaient explosé, se lâcha :

« VAS-VAS-Y !! P-PLUS FORT !! FRAPPE-MOI, BAISE-MOI, INSULTE-MOI !! HAAAAA... !! BAISE-MOI, HMMMM... !! »

Oui, oui, qu’il se lâche, qu’il la prenne, qu’il la défonce, c’était là tout ce qu’elle voulait !

« A-AKAHIIIIDEEEEE... !! »

Si Akahide avait pu ressentir des remords ou des doutes quand au fait de coucher avec la mère de son meilleur ami, ce n'était désormais plus le cas. C'était immoral, il ne cherchait même pas à nier le fait que ce qu'il faisait était mal, mais Anna était tout simplement la femme parfaite pour ce jeune homme qui était d'avantage attiré par les femmes d'expérience plutôt que par les lycéennes de son âge.

Anna...oh putain Anna...

Qu'est-ce qu'il était bien, là, avec son sexe fourré dans le cul de la femme qui l'acceptait désormais assez pour qu'il puisse se mouvoir, et même donner de vrais coups de bassin pour la baiser. Anna elle commença à hurler de plaisir, réclamant exactement ça, qu'il la baise, qu'il l'insulte. Akahide redonna une claque sur les fesses d'Anna, avant de les empoigner fermement pour avoir une meilleure prise dessus. Il sentait son sexe bien écarter les parois de cet anus, et il prenait un plaisir indéniable à le faire. La simple pensée qu'Anna puisse avoir du mal à s'asseoir demain matin, car il lui aurait bien bourré le cul, lui donnait une trique d'enfer.

Seulement, à force qu'Anna se mette à hurler comme ça, Akahide se mit à se souvenir que Toshiro était dans une pièce voisine. Certes sa chambre n'était pas directement voisine de celle de sa mère, et l'isolation sonore de la maison était bonne...mais tout de même, le jeune homme ne pouvait s'empêcher de penser qu'à force, son ami allait finir par les entendre. L'idée que Toshiro les surprenne vraiment, dans cette position, si elle pouvait être excitante...était aussi très effrayante.
Akahide finit alors par s'allonger complètement sur Anna, de façon à la plaquer ventre contre le matelas du lit, et il posa alors une main sur la bouche d'Anna, afin d'étouffer ses hurlements.

Chuuuuuuut...Anna...je...je sais pas si tu t'en rends compte, mais tu cries vraiment fort...

Le jeune homme avait toutefois toujours sa queue bien fourrée entre les fesses de la femme, bien dûre, bien tendue, elle se trouvait au chaud et pulsait, presque prête à cracher la semence du jeune homme. Le corps en sueur, Akahide était maintenant couché dans le dos d'Anna, et l'écrasait délicatement car il n'était pas non plus un poids lourd. Son corps se lassa toutefois assez rapidement de son immobilité, et très vite Akahide se remit à remuer, mais il maintenait toujours sa main devant la bouche d'Anna.

Je pensais vraiment pas que tu serais comme ça...aussi en manque...aussi avide de ma bite...j'adore ça tu sais. Aaaaaah !

Akahide murmurait ainsi à l'oreille d'Anna tandis qu'il était clairement dans une position dominante, et il se remit à bien bourrer la femme. Il levait son bassin à l'aide de ses genoux avant de se laisser retomber d'un coup, et de fait, l'intensité de ses pénétrations était ainsi renforcée.

Jvais...huuuumf...jvais bourrer ton cul...juter dedans et...et...oh putain t'es tellement étroite !

Leurs chairs claquaient l'une contre l'autre alors que Akahide faisait preuve de toute la fougue dont il était capable, il kiffait d'autant plus de se trouver dans une position de "mâle dominateur", car il était en train de le faire avec la mère de son meilleur ami. Une adulte, à qui il avait toujours du le respect, et forcément obéir aux consignes qu'elle lui donnait. Là, il était en train au contraire de presque l'insulter, d'inverser les rôles, et la femme adorait ça. Il était certain qu'Akahide ne pourrait plus jamais regarder Lovegood-San de la même façon après cette nuit.

Salope...oh Salope...oh putain si...si j'avais su que t'es...humf...que t'es une pute q-qui aime se taper des...aaaaaah....des p'tits jeunes je...aaaaaaaah....

Le lit était en train de grincer, le matelas rebondissait à vive allure, au même rythme que les gros coups de bassin qu'Akahide donnait désormais. Il avait pris à la lettre les désirs d'Anna de se faire défoncer par une grosse sodomie. Il était en train de soupirer et de grogner dans son cou, il maintenait fermement une main contre la bouche de la femme pour étouffer ses hurlements, tandis qu'il était parvenu à glisser l'autre sous le ventre d'Anna pour aller jusqu'à son intimité, qu'il était en même temps en train de doigter.
Akahide fini rapidement sur le point de jouir, et il s'enfonça une dernière fois bien entièrement dans l'anus d'Anna avant de sentir rapidement son sperme monter.

Aaaaaaaaah !!!!!

Fourré tout contre elle, Akahide se vida longuement au plus profond de l'anus d'Anna, et libéra dans son cul une belle quantité de sperme chaud. Sa queue pulsa à de nombreuses reprises, lâchant à chaque tressautement de beaux chapelets de foutre qui tapissèrent les parrois anales d'Anna. Le jeune homme fini, au bout d'un moment, par se calmer, puis par retirer son sexe. Un fin filet de sperme commença à s'écouler du trou étroit d'Anna, tandis qu'Akahide restait allongé dans son dos, la respiration lourde, le corps en sueur.

Oh Anna...Anna...

Sa queue ne voulait toujours pas débander...

Akahide était un amant particulièrement fougueux, et, prenant conscience de l’intensité des hurlements de son amante, la bâillonna avec sa main. Les gémissements de cette dernière en devinrent étouffés, tandis qu’elle continuait à se tortiller sur place. Difficile de cacher l’intensité d’une telle séance, car, même à supposer qu’ils baisent silencieusement, les craquements du lit, eux, ne pouvaient se dissimuler. S’étalant le long du corps de la femme, Akahide se pressait contre elle, et poursuivit ses coups de reins, soulevant et abaissant son corps, la prenant fortement.

« Hmmm-hmmmm... !! »

Des gouttes de sueur coulaient le long de son front. Elle fermait régulièrement les yeux sous les vagues de douleur et de plaisir qui transperçaient son être, ses mains se crispant sur le lit, s’enfonçant dans la couette, traçant de délicats sillons. Ses muscles se comprimaient et se relâchaient, et elle gémit encore, avant de sentir son amant opter pour de grands coups de reins, se redressant, soulevant un peu le corps de la femme à chaque passage, avant de descendre d’un coup brusque, la plaquant contre le lit, et la faisant couiner. Sans le réaliser, elle relâchait sa salive sur les doigts de son amant, et soupira encore quand elle sentit l’autre main d’Akahide se faufiler sous elle, pour caresser sa fleur intime, et diffuser en elle des doses de plaisir.

Talentueux, Akahide savait comment s’y prendre avec la femme, et, malgré son inexpérience, Anna sentait en lui un potentiel terrible. Ce qu’il lui faisait subir, cette variété, les insultes qui venaient en renfort, jamais son mari n’avait déployé une telle armada en lui faisant l’amour. Une telle passion était résolument inédite pour elle, et c’était quelque chose qu’elle appréciait fortement. Oui, il était doué, terriblement doué, et ce talent se ressentait sur elle.

« Hmmmmm... Mmmhhhhmmmmm... !! »

Ciel, ciel, elle allait en devenir folle, il la bourrait encore ! Quelle force, quelle rage, quelle hargne, quelle énergie ! Rien n’était épargné à la jeune femme, qui multipliait les gémissements, frottant son visage contre le lit. Il se défoulait en elle, jusqu’à atteindre le point de non-retour.

« Hmmmmmmmmmmmmmmm... !! »

Bien entendu, c’est avec un plaisir évident qu’Anna sentit son amant se répandre en elle, répandant sa semence chaude, qui éclata dans son corps. Il se vida longuement, balançant de multiples chapelets de foutre. Pour Anna, c’était un moment particulièrement jouissif, et elle laissa son amant s’étaler en elle avec le plus grand des plaisirs. Il se répandit donc, et se calma ensuite progressivement, tout comme Anna, qui respirait lourdement.

Elle finit par se retourner, et laissa Akahide allongé sur elle, glissant ses mains contre sa nuque. Anna avait le visage rubicond, ce qui se mariait à merveille avec sa peau bronzée. Elle était en sueur, tout comme son amant, et, même si le désir était toujours là, Anna prit quand même son temps, et alla l’embrasser, sensuellement, mais aussi tendrement, avec un mélange d’amour et de passion. Sexuellement rassasiée, elle était paradoxalement toujours envieuse de ce corps, de ce membre, de cet amant endiablé et furieux qui l’avait prise avec l’énergie d’une tempête.

« A-Akahide, mon époux... Je t’aime... Je t’aime, mon amour ! »

Elle le disait avec toute la sincérité du monde.

Oui, elle l’aimait !